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#poème d'amour
poetrybyonur · 9 months
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Love doesn't always needs words. Let my kisses speak. Let my lips tell you how much I love you.
L'amour n'a pas toujours besoin de mots. Laisse parler mes baisers. Laisse mes lèvres te dire combien je t'aime.
Music: Les Moulins de Mon Cœur by Michel Legrand.
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enoramenguy · 4 months
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Une Journée à la Mer
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Rouge
Comme tes joues après avoir passé la journée
Sous le soleil d'une journée d'été
Orange
Comme le fruit dans lequel tu croques
Tout en admirant la plage du Roc'h
Jaune
Comme le sable qui s'est collé à ta peau
Si belle quand elle brille grâce à l'eau
Vert
Comme tes yeux me regardant profondément
Avant de retourner vers l'océan
Bleu
Comme le ciel nous surplombant toutes deux
Sous sa couette, bénédiction des Cieux
Rose
Comme tes lèvres, ce soir au goût salé
Que j'embrasserai pour finir en beauté
Enora Menguy
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roiallard123 · 11 months
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Dans le haut de ton château
Je veux nager dans ton bateau
Tes photos sont magnifiques
La météo qui t’entoure
Elle entoure l’irrésistible personne
Tu n’es qu’un inconnu
L’étrange matelot que je n’ai jamais vu
Les nuages semblent si loin de toi
Le coup de foudre n’est que chez moi
Tu me donnes l’esprit d’un éclair
Tu m’envoies ces satanés nuages
Mais la pluie, ce n’est que dans mes yeux
Une paire d’ensemble brun
Qui ne voulait pas plus qu’une petite lueur
Celle du bleu que tu me prends
C’est original d’aimer un étranger
J’ai toujours trouvé ça inutile
Mais maintenant que tu existes
J’ai envie d’y croire
C’est en sanglot que je te dirai
Prend connaissance de mon existence
Au verso de ta vie, il y en a un qui t’observe
Quand j’ai vu qui tu étais
J’ai crié bingo
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thomaspetitspapiers · 6 months
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Je vis en Adolescence
Ça sentait bon les vacances
C'était hier, des boucles blondes
Au vent du large, qui vagabondent
Sur son vélo, elle tourne et tourne
Si près de moi, je me retourne
Sans une parole elle dit
On se le boit ce Martini?
Nos années quatre-vingt
C'est si proches et si loin
Son vieux pull-over bleu
Sur ma peau je le veux
Et ses lèvres sur ma bouche
Tant rêvées sur ma couche
Et le sable des dunes
Faisait d'elle et moi une...
Une histoire de jeunesse
Et même pas de promesses
Mais la vie continue
Quelles paroles incongrues
C'était plus les vacances
Allez fils, tu avances !
C'est tellement banal
Pourtant ça fait mal
Comme j'ai pu rêver d'elle
Et des larmes et du sel
Pas toujours, pas souvent
Hier, parfois maintenant
Sur la digue là bas
Cours lui prendre le bras!
Et pendant un moment
Retrouvons nos quinze ans.
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blanche-page · 7 months
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Poème pour M #621
Tout est de plume Et de brume de joie Chaque caresse Du bout de tes dix doigts De mon front à mes lèvres Où se pose un baiser Tu me bordes de rêves De sentiers etherés Et de velours doux effleurés De plaisir je me fonds dans ton souffle et ta flamme Mon cœur bat dans ce feu qui embrase mon âme Je t'aime et je frissonne et tu me fais l'amour Et l'amour me façonne et façonne nos jours
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photo de Tabea Edelstein
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mrs-inconnue · 8 months
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Reviendras-tu à moi ?
En ton absence
Rien n’a plus de sens
Je ne suis que silence
Tout m’est ignorance
Perdue dans ce vaste monde
Accrochée à mes réflexions profondes
Je deviens quelqu’un d’immonde
Qui commence à perdre toutes ses ondes
Envahi par la dépression
Je perds chaque jour mes ambitions
Je prends le lit et le noir pour addiction
Pour trouver des réponses à mes questions
Comment oublier tout ce qu’on a vécu ?
Pourquoi ce changement inattendu ?
L’amour m’est-il vraiment défendu ?
Pourquoi m’arrive t-il tous ces abus?
Je me regarde dans un miroir
Et je vois ce fameux couloir
Qui me ramène vers le noir
D’où me vient ce grand désespoir
Où est passé toute cette fougue de mon enfance ?
La joie que j’avais de vivre durant mon adolescence..
Je suis comme une personne en convalescence ..
Qui a l’envie mais peur des nouvelles expériences.
Aurais-je la force de retrouver la joie de mon enfance ?
Le courage de m’élever au-dessus de cette pâle apparence ?
Je m’épuise à force que chaque matin dessiner à mon visage un sourire qui plus tard loin des regards
Se transforme en interminable larme mélancolique du soir
Rien qu’en pensant à toi me donne l’envie de créer mes propres rêves
Un monde dans lequel tu serais mon Adam et moi ton Ève
Un moment où tes lèvres ne cesseraient d’être sur les miennes
Mais Malheureusement tout ça est réduit en miettes .
Mrs_Inconnue
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journaldesvertiges · 1 year
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L'encre noire
Je n’ai rien oublié,
Ni l’obscurité de ta chambre
Ni la lumière des couchers
Que nous regardions ensemble
Celle du phare au soir
Qui même après nous
N’a jamais failli au devoir
D’éclairer tes rendez-vous
Celle du feu sauvage
Qui, hors de contrôle
M’a tirée du nuage
Des surnoms espagnols
Celle des chats de la Médina
Celle de nos yeux rieurs
Quand l’encre sur mes draps
Portait encore notre odeur
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Bibliothèque Rose
(peux-tu/veux-tu) m'Apprendre (bien) ?
Je crois que je t'en ai dit beaucoup de moi, je te dirai tout et moi si tu me dis tout et toi et si tu me dis tout de toi je te dirai tout de moi. Alors tu pourras (m')avoir tout (ce que je possède). Je n'ai rien (d'autre) que moi mais je suis entier et généreux. Si tu veux/peux (m')avoir tu auras (Tout) si tu (ne) veux que moi je (ne) voudrais que toi. Entier(ement) et généreu(sement). Je t'ai/t'aurais/t'aimerai sans limite si tu veux/peux m'avoir sans limite. Si tu m'as (bien) lu (partout) je (n')ai pas de limites. Si tu (en) as je les ferai_ sauter les depasserai_ avec ce que tu veux mais (toujours) avec amour. C'est ma/la condition. En parlant de ça on pourra en parler (beaucoup). Je (n')en ai (pas) eu beaucoup. (Enfin) pas dernièrement. Je veux être ton (premier) si tu veux être ma (première). Ne me traite plus jamais (de menteur). Je ne te traiterai jamais (de rien) et te traiterai_ tout(les)jours bien tous les jours que tu voudras si tu (me!!) Veux.
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instagram
La fin Enveloppé dans cette tiède et douce somnolence, Admirer le coucher de soleil pour l'éternité. Occupé à me remémorer la veille, avant le silence … Tes derniers mots : c'est terminer. Loréa Pesnicki, Mardi 18 Avril 2023.
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maaxne · 1 year
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Un mot pour un autre
Cascade d'or, frappée par la foudre. Splendeur, poésie et adoration. Ma fascination me rends ourde, Sans un mot, tu offres la communication.
Dans tes bras, au doux son de la nature, J'observe ces brunes branches, intriguées. Cet espace est une surnature, Les branches semblent m'observer.
La couleur du bois à la lumière , M'évoque l'ambre qui étincelle. La nature autour de moi est tellement fière, Une création humaine, jamais ne seras aussi belle.
Une douceur et une écoute dans pareille, Une tendresse idyllique, irréelle , Le chant de la nature à la son d'une voix, Qui réchauffe mon cœur, tel un feu de bois.
Terre onirique, frontière de la réalité, A tout jamais, permet moi de rester.
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leukagbl · 1 year
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("Nos coeurs se meurent")
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ecrisettaistoi · 2 years
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In Goddess I trust
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Notre histoire ne sera
pas dans les livres
mais elle vaudra
bien Abélard et son Héloïse
Abraham et sa terre promise
Sailor et Lula
et toutes les romances infinies
vécues ou imaginées
qui peuplent les esprits
vifs et peu éclairés
Ma lumière à moi
elle vient de toi
ma déesse
mon dieu-lumière, Râ, so lovely,
mon dieu sans ténèbres
mon dieu qui répond
et dont
les voies ne sont pas, par chance,
impénétrables,
merci mon dieu
Le miracle permanent
dans mon lit
face à moi
devant moi
ici et là
c'est toi.
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enoramenguy · 4 months
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Qui donc a écrit ta partition? Sa mélodie est douce et gracieuse L'ensemble des notes forment une constellation Dont l'observation me rend amoureuse.
Je deviendrai pianiste de génie J'apprivoiserai les touches d'ivoire Afin d'ordonner à ma timidité : "Fuis! Laisse mes doigts courir sur elle dans la nuit."
Enora Menguy
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roiallard123 · 8 months
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J’ai arraché des pages pour toi
J’ai gribouillé dans un carnet des phrases insensées
Le mal m’atteint quand j’y repense
Dans une nuage de chaos
Un voyage de cendres
Ceux de mon corps brûlé
Des pensées envolées
Détruites par du rose
Je voulais chasser le rose ce soir
Mais à mon arrivé, le ciel était noir
La nature me fait de bonnes leçons
Même si je pourchasse ce qui est immobile
La terre continuera de tourner
De m’éloigner des couleurs
D’approcher la nuit
Celle froide et affamée
Celle qui mange mes os
Peut-être par jalousie du Soleil qui ne mange que ma peau
Ou par hypocrisie
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Tomber à. l'eau. de rose.
Tu aimes et tu as peur de le dire Car, à coup de clichés, tu te ferais détruire. Un jour, j'ai aimé, enfin je crois, je sais pas. Tout ce que je sais c'est que je l'ai gardé pour moi. Impossible de décrire ce que je ressens. Peut-être quand je te dis « je t'aime », je te mens. Faut-il que ça ressemble aux contes de fées ? Combien de personnes ai-je le droit d'aimer ? Est-ce que c'est « toi, moi, dans les yeux pour la vie » ? Est-ce qu'on s'aime encore lorsque tout est fini ? Est-ce que c'est comme une vieille photo qui s'efface, se détruit avec le temps, ne devient qu'une trace ?
Tu aimes et tu as peur de le dire Car, à coups de clichés, tu te ferais détruire. Parce qu'au final t'es pas vraiment Barbie, Tu as peur de vieillir, de changer et tu fuis. Espérances qui dépassent la réalité, Trop douloureux de créer un conte avorté. Par ta propre pensée que tu te fais bouffer. Dis-donc, Princesse, de qui es-tu effrayée ? Des autres ? ou de ton regard stéréotypé ? C'est typique de l'image que tu veux donner. L'amour n'est pas un état ou une histoire, C'est un moment que tu prolonges par espoir.
Tu aimes et tu as peur de le dire, Car, à coup de clichés, tu te ferais détruire. On dit : tu sera le prince, moi, la transie, On dit : Je serais l'amante, toi, le mari. Va falloir choisir une date de péremption. Une nuit, une semaine, trois de passion Un, trois, dix ans ou éternellement ? C'est le compte à rebours de l'engagement. Des clichés d'Hollywood, tu te sens l'otage. Tu voudrais aller voir le soleil sur la plage, Comme passer des heures les yeux dans les yeux Sans te sentir du cinéma un amoureux.
Tu aimes et tu as peur de le dire, Car, à coups de clichés tu te ferais détruire. Mais aime ! Un instant et une éternité ! La mesure du moment n'est pas dans la durée. Suspends le temps autant que tu le voudras, Ce que tu donnes jamais ne te détruira. Offre donc sans retour, sans attendre de dû. Le pouvoir est à celui qui peut donner et, à celui à qui il ne peut être rendu.
Tu aimes et tu as peur de le dire, Car, à coups de clichés, tu te ferais détruire. À ceux qui ont déjà, qui peut les comprendre. Les stéréotypes il faudrait désapprendre. A ton image, ton amour est à la fois, Banal et unique. Il est surtout à toi. Laisser d'autres regards te le façonner, Serait le renvoyer à sa banalité. Ce qui n'ont jamais, ne peuvent te jeter la pierre. Ils devraient la garder puisqu'ils espèrent… Alors tu aimes et tu finis par démentir, Car, à coups de clichés, tu t'es fait détruire.
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blanche-page · 2 years
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Poème pour M #613
Ton ombre découpée sur ma peau allongée Là Dans ton lit rouge sang Ton ombre déposée sur mon corps alangui Qui peu à peu t'apprend Et ta main caressant mon souffle sous mes seins Ta main d'homme haletant Nos cœurs dans nos bassins Battant Et tes yeux dans mes yeux et nos lèvres ouvertes Aspirant l'Univers Ton parfum nos odeurs Et nos chemins traçant en plein cœur de l'hiver Un vigoureux printemps Millénaire
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