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desamorce · 5 months
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lerefugedeluza · 28 days
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Je suis pleine d'émotions. Et parfois, quand la vie me secoue, je déborde. Pendant longtemps, j'ai eu du mal à l'accepter, et je faisais tout pour ne plus rien ressentir. J'avais honte de mes larmes, de ma colère, de mes fous rire que je jugeais trop bruyants, de mes sanglots que je trouvais trop envahissants. Ça m'a pris plus de 25 ans pour accepter mes émotions. J'ai fait cette vidéo pour partager en quelques phrases le chemin que j'ai parcouru jusqu'ici, en espérant que mes images et mes mots sauront apaiser ceux qui, comme moi, ont des émotions très envahissantes ♡ N'oublions pas que les émotions sont le sel de la vie et que sans elles, toutes nos expériences nous paraîtraient bien fades. Apprenons donc à vivre avec elle plutôt qu'à essayer de les combattre ou les contrôler ! Je vous souhaite plein d'émotions à tous, des hauts comme des bas, mais plus de fleurs que d'épines ♡ Pour m'aidez : aimez, commentez, partagez & abonnez-vous ♡ DES BISOUS !
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grain-de-rien · 7 months
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Les petits riens
Si on se prenait la main? Si tu m'emmenais au loin? Combien de temps durent les rêves? Combien de fois est-ce qu'il nous reste? On n'en sait rien. On sait pas vraiment quoi faire. On sait même pas comment s'y prendre. Alors, tenus en suspens au dessus des heures qui se compriment, on s'enivre des petits riens que l'on distille.
Grain de Rien, 2023
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vvosgo · 5 months
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Le Sommeil Contrarié
Cette nuit-là, enveloppé dans la douce quiétude de notre amour, je me suis laissé emporter par un sommeil paisible. Un sommeil, non pas par ennui, mais par la quiétude que tu insuffles à mon être, par le réconfort que tu représentes.
Pourtant, ce sommeil, cette évasion vers un repos si désiré, s’est transformé en un écho de tristesse. Ta voix résonnait, chargée de déception et de frustration, parce que je me suis endormi comme un bébé, bercé par la sécurité de ton amour.
Je me suis retrouvé perdu entre le doux cauchemar de ta contrariété et le désir de rester dans cet état de béatitude, cet état où je me sens enfin en paix. Mes yeux clos ont été témoin de ce conflit entre le bien-être que tu m’apportes et la peine que ma sérénité a pu causer.
Je suis là, éveillé dans l’obscurité de cette nuit, me demandant comment quelque chose de si doux peut se muer en source de désaccord. La contradiction entre le bonheur ressenti et la peine infligée se mêle en un tourbillon d’émotions.
Pourtant, au milieu de cette confusion, une certitude demeure : l’amour, parfois, se perd dans le labyrinthe de nos sentiments, mais la quête de compréhension et de réconciliation reste un phare dans la tempête de nos tourments.
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valleedulys · 9 months
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Je me suis rappelé à quel point on a été beau, à quel point on a été chaotique.
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ellaoclair · 5 months
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Je suis nouvelle ici.
Enfin un endroit où je pourrai me sentir libre décrire a ma guise, sans jugement ni lois.
(Incluant mes fautes d’orthographe) Aujourd’hui rien de particulier à dire. Je ne sais pas encore ce que je vais raconter ici. Je sais meme pas si je me parle à moi ou à toi.
(Toi qui lis)
Tumblr je peux juste te dire que c’est le début d’une longue histoire.
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enoramenguy · 5 months
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La Mère des Cendres
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« Tu vois que je ne suis pas morte. Il y avait un grand arbre ; il s’était battu contre le Feu, et il avait perdu. Il était couché par terre, et le Feu avait laissé des abeilles rouges qui le mangeaient. Je me suis approchée parce que c’était joli. À ton tour, ne t’approche pas de moi. Cela pourrait t’être fatal, et je pense que ces derniers mois t’ont en fait prendre conscience.
Tu vois que je ne suis pas morte. J’ai trop dépéri en ma couche ; l’appel du grand air et du Feu était plus fort. Six mois dans ce lit, entre ces quatre murs, avec pour seule compagnie une Bible, dont les pages me murmuraient, depuis la table de chevet, le souvenir de ma folie. Avec, pour seule conviction que le monde extérieur existait encore, la vue sur ce bel arbre, autrefois luxuriant, autrefois vert, maintenant noir.
Tu vois que je ne suis pas morte. Je sais que tout ce que tu voulais était mon bien. Qu’en m’attachant les poignets au montant du lit, à l’aide de lambeaux de tissus, tu pensais que tu pourrais me contrôler et épargner d’autres vies.
Tu vois que je ne suis pas morte. En m’abandonnant à mon sort tu pensais que je le serais enfin. Ce qui m’a tenue éveillée, ce sont ses cris. Ses pleurs me hurlant que je l’avais trahi, moi, dont le rôle premier était de le protéger. Parfois ses gémissements me réveillaient de ma torpeur, et ce moment entre le rêve et le réveil me faisait croire qu’il était toujours là, et qu’il avait besoin de mon sein. Ses cris résonnaient dans la pièce, comme si son berceau était toujours à sa place, près de la fenêtre aux rideaux rouges. Tout comme ce jour fastidieux où je l’ai pris dans mes bras. Tout comme ce jour où, lui aussi, a fondu dans les flammes. L’odeur n’était pas aussi enivrante que celle de l’arbre. Ce relent insupportable est témoin qu’un nouveau-né n’est pas censé prendre feu ; un arbre, parfois, si.
Tu vois que je ne suis pas morte. Mais je ne t’en veux pas de l’avoir souhaité. Je ne t’en veux pas d’avoir abandonné. Après tout, je n’ai pas emporté mon fils, j’ai emporté notre fils.
Tu vois que je ne suis pas morte. Mais peut-être devrais-je l’être ? Peut-être que Maman aurait-dû m’étouffer dès qu’elle m’eus mit au monde. Peut-être que, jetant un coup d’œil à la cicatrice rougeâtre qu’il lui restait sur le bras, dernier souvenir qu’elle avait de sa propre mère avant qu’elle ne s’immole, elle aurait sû que c’était la meilleure chose à faire. Peut-être espéra-t-elle que je n’avais pas hérité de ce fléau générationnel. Mais, quand à mes treize ans, la robe de ma camarade de classe pris soudainement feu, après qu’elle eut tiré sur mes nattes, j’imagine qu’elle comprit.
Tu vois que je ne suis pas morte. Mais peut-être, qu’intérieurement, je le suis déjà depuis longtemps. Fantôme pyromane, sorcière incontrôlable, fille des flammes de l’Enfer. Te rencontrer fût ce qui me ranima soudainement. A l’école déjà, tu étais le seul qui ne me fuyait pas. Tu m’avoua même que je te fascinais. Grâce à ta douceur, jamais je ne laissai une seule flamme sur ta peau, mais toi, tu en allumas une en mon cœur. Je me souviendrai toujours de nos exercices dans la forêt, où tu m’appris à contrôler ma colère, mes émotions, où je pu enflammer quelques brindilles, avec mon esprit, comme thérapie.
Tu vois que je ne suis pas morte. Mais, même si tu m’avais ressuscitée, et avais fait de moi ta femme, et même si tu m’avais toujours défendue et cachée des regard suspicieux, et n’avais jamais eu peur de ma monstruosité, je mourus à nouveaux, en même temps que notre enfant.
Tu vois que je ne suis pas morte. Mais lui, si. Trop tôt. Nous fûmes peut-être naïfs de penser que mon pouvoir était enfin sous contrôle. Mais, essaies de me comprendre. L’accouchement fût difficile. J’aurais préféré mourir en couche. « Souviens-toi que tu es née cendre et que tu redeviendras cendre. ». Le bébé ne cessait de pleurer, je ne dormais plus. Je me souvenais de tout ce que tu m’avais appris et essayais de garder mon calme. Mais il attrapa une mauvaise grippe, et ses hurlements me scindaient le cœur en deux. Il y avait comme un joueur de tambour dans ma tête et je nageais dans ma sueur. Je sentais que l’infection revenait. Mais tu n’étais pas là, ce jour-là. Tu étais partis au village, espérant trouver de quoi soigner l’enfant. Je ne pouvais plus supporter de l’entendre crier. Sa gorge devait s’enflammer. Alors, je me levais du lit et le pris dans mes bras ; ce qui ne le calma pas. Prise de désespoir, la chair de ma chair pris feu sous mon joug. Ce fût, de nouveau, incontrôlable. Je ne pouvais le lâcher, et tu ne retrouvas qu’un petit corps calciné dans mes bras, à vif, recouverts de cloques.
Tu vois que je ne suis pas morte. Cela grâce à ton amour et ta compréhension sans faille. Je t’en veux de ne pas m’avoir jamais blâmée, je t’en veux d’être tombée amoureux d’un danger vagabond. Je t’en veux de m’avoir donné l’espoir que je pouvais briser la tradition et vivre une vie normale, loin de toute émotion négative, sous contrôle de moi-même. Je t’en veux d’avoir essayé de ne jamais penser que cela n’était pas de ma faute, puisque je ne l’avais pas souhaité. Mais je comprends que tu ne pu jouer le jeu du déni plus longtemps.
Tu vois que je ne suis pas morte. Mais, maintenant que nous n’avons plus de progéniture, laisse moi briser la chaîne ; laisse moi être le Feu. Laisse le Feu m’emporter. Et ne laisse plus jamais le Feu t’atteindre. J’espère juste que, quand tu te réchaufferas près de l’âtre, avec tes futurs enfants et ta future femme, tu penseras à moi. Je te dois la vie, mais maintenant je me dois la mort. C’est en regardant l’arbre par la fenêtre que je compris quel était mon destin. Je cru entendre ses feuilles gazouiller comme un nourrisson, et alors que des larmes recouvraient mes joues, l’arbre s’enflamma. Il se battu longtemps, mais il n’avait aucune chance de gagner. Comme mon bébé. Mes liens prirent feu également, et je pu m’évader vers l’arbre vaincu. Non, ne pleure pas, ne t’excuse pas. Dès lors, quand tu admireras les flammes dansantes, tu verras que je ne suis pas morte. »
Enora Menguy
Suite inventée à partir de l'incipit de Le premier amour (1974) de Marcel Pagnol
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mariannaszymanska · 2 months
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Je suis un fantôme.
Je suis morte le jour où mon amant m'a étranglée et laissée livide sur le canapé.
Un fantôme...
Je suis une ombre vivante.
Les humains hantent ma vie et ne me laissent pas en paix.
Ils passent,
Me traversent sans me voir.
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Tourbillons (jour 13)
C'était la fin avant alors même que ça commençait. Le monde continuait de tourner tout autour de moi et j'abandonnais le jour, me contentant de ces soirs sans lune. Eveillée malgré moi et m'assommant de mes peines afin de veiller jusqu'à l'aube, j'apprivoisais la nuit jusqu'à ne faire plus qu'un avec elle. Faisant en sortes de sortir lorsque le soleil se couchait et de libérer le peu de vie qu'il restait en moi lorsque tous les regards étaient ailleurs. Cherchant un endroit où les étoiles étaient suffisamment visibles, je m'allongeais dans l'herbe, à l'écart de la ville. En oubliant que la Terre me portait, je me retrouvais perdue dans cet infini ciel étoilé. Persuadée d'être l'une d'entre elles, je me demandais ce que je faisais ici. Pourquoi devais-je être condamnée à vivre ici, alors qu'elles avaient le privilège d'être celles dont les rêveurs rêvent et que les astronomes admirent ? Moi, personne ne me regardait comme je pouvais les observer elles. Mais celle que j'aimais le plus était la lune, particulièrement lorsqu'elle était pleine. Astre féminin qui illumine le monde lorsque la nuit tombe. Le son de l'eau près de l'herbe brûlée par la sécheresse m'apaisait et me rappelait ma solitude. Sauf que celle-ci était délibérée. La seule que j'arrivais encore à tolérer. Et lorsque je fermais les yeux, j'écoutais la nature. Je me sentais en sécurité quelques secondes, avant de songer à ce qui me faisait le plus peur. La nature ne m'effrayait pas. Ce sont les Hommes qui me terrifient. Alors, perdue dans mes pensées mais totalement libre de corps, je ressentais en moi comme une envolée de tourbillons qui faisaient frapper mon sang contre mes veines et mon coeur contre ma cage thoracique. Mouvement de panique à l'intérieur de mon organisme et envie de me relever pour sauter dans l'eau, me laisser face au danger et seule au milieu de nulle part. Parce que même lorsque ce lieu était peuplé, je savais que je pouvais me noyer sans que personne ne le remarque. Sans que personne ne me voit. Alors, peut-être valait-il mieux ne pas leur offrir ce spectacle et me laisser tester mes propres limites. Quelle est la limite entre la Terre, l'eau qui m'en sépare et le ciel ? Car même si je pense que le feu ne peut pas m'atteindre d'où je suis, il brûle plus que jamais en moi. Il me consume. Car je pourrais mourir, où que je sois.
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secicrexe · 9 months
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Il nage dans la forêt et les balançoires ne fonctionnent pas tout le temps.
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Je vais disparaître dans la cuisine. Je serai silencieux. Je serai ravi. L’univers s’habituera à mon odeur. Il réfléchit quelques secondes. Donc, le mal n’est pas juste et quand il fait du bien, il est injuste. Un caillot d’une petite planète dans l’oreille. L’articulation dans la mâchoire. La violence. Les dents d’un fort, la bouche d’un faible. Son estomac est lié à une nature, à une logique constituée. Il marche dans la forêt. Il est lié à des pas puissants et à la vie. Sa nature est liée à une ficelle. L’idée de la machine à coudre a vécu dans le cerveau depuis des millénaires. Les planètes tournent, comme par hasard. Prendre un objet dans le bras et marcher. Dans la forêt drôle.
Khalid EL Morabethi
projet tentacule - 2023
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photosansapp · 2 months
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La boule s'est installée. La balle de l'angoisse. Petit calibre mais elle nuit quand même. Il faut bien respirer pour la faire sortir. Le vent apporté tâchera de la faire tourner sur elle-même et peut-être qu'elle partira comme un hélicoptère.
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desamorce · 5 months
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lerefugedeluza · 2 months
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Aujourd'hui, ça fait six mois jour pour jour que j'ai créé ma chaîne youtube.
C'est fou de me dire qu'en si peu de temps, c'est presque devenu quelque chose de normal pour moi de publier des vidéos de mes pensées sur internet. D'autant qu'au début, je n'en menais pas large, ma timidité rendait le bouton "publier" comme le truc le plus angoissant du monde, et j'avais toujours peur que je ne sais qui tombe sur mes vidéos et m'insulte de tout les noms et se moque de moi.
Enfin, cela dit, la plupart des personnes de mon entourage ne sait toujours pas que je fais mes petites vidéos dans mon coin, et je pense que si un jour mon père ou mes collègues tombent sur ma chaîne, je déménage en Alaska et je change de nom.
Mais en dehors de ça, je suis contente d'avoir appris à faire les choses naturellement et à ne plus angoisser chaque fois que je mets mes images en ligne.
Prochaine étape, et pas des moindres : réussir à me filmer en public et ne pas prendre mes jambes à mon cou chaque fois que quelqu'un passe dans la rue où j'essaie de tourner une scène (ça m'évitera d'avoir un comportement plus que suspect aha). Je sais que quelques uns d'entre vous ici suivent mes vidéos, donc merci beaucoup, car c'est aussi grâce à votre bienveillance et vos gentils retours que je n'ai pas abandonné dès le début ♡
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grain-de-rien · 8 months
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Misérable dans la détresse (1/2)
Étranglée Par des sanglots épais, Elle se fracasse en hâte dans l'ivresse,
Sacrifiée À l'orée nouvelle d'une nuit sans réveil.
Ses iris brisés Laissent entrevoir sa détresse, Ses hurlements Se dissipent en silences, Ses larmes Ternissent prises au piège, Ses rêves acérés Tapissent ses perspectives enclavées. Elle erre Péniblement dans les regrets, Lacérée, Et tremble Quand l'horizon se ferme, La poitrine écrasée Par des mains obscures glissant sur sa peau, Qui la meurtrissent Tristement De caresses en cicatrices.
Grain de Rien; 2023
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vvosgo · 5 months
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"L'Amour Caché d'un Homme Ignoré"
Dans le silence étourdissant de mon amour pour elle, je me tiens, un naufragé au cœur brisé sur les rives de son indifférence. Chaque battement de mon cœur résonne comme un écho, un murmure perdu dans le vide de son absence. Mes mots doux, mes gestes tendres, se perdent dans les méandres d'une distance qu'elle a érigée, une barrière invisible qui éloigne nos âmes déjà si éloignées. Ses yeux, autrefois des fenêtres ouvertes sur mon monde, sont devenus des volets fermés, refusant de voir la profondeur de mon affection. Je suis là, un artiste de l'amour, peignant des toiles de dévotion sur un canevas de solitude, espérant secrètement qu'un jour, elle lèvera le voile de l'ignorance pour redécouvrir le trésor caché de mon amour inconditionnel.
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valleedulys · 10 months
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Mon temps et mon énergie sont si précieux aujourd'hui, alors prouve ou ne fait pas d'erreurs fatales car je n'en ferai pas une affaire publique ; je serai loin, sans avoir prononcé aucune explication.
J'ai mis tant de temps à aimer ma propre personne que je me trouve incapable à le transmettre aux non méritants.
La Vallée du Lys
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