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#angoisse
vhscorp · 4 months
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Le manque d’amour et d’estime de soi conduit à une double souffrance : celle de se sentir nul, inutile et sans valeur, à laquelle s’ajoute celle que provoque l’angoisse permanente du rejet et de l’abandon…
V. H. SCORP
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lerefugedeluza · 1 month
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Je ne sais pas si je suis la seule, mais régulièrement, je me retrouve à me demander ce que je vais bien pouvoir faire de ma vie. J’ai beaucoup de passions, mais aucune ne me semble vraiment viable, alors je vivote entre différents boulots alimentaires qui ne me plaisent pas vraiment. J’essaie de faire mes petits trucs dans mon coin, de vivre mes passions à fond, de me donner corps et âme dans mes projets. Et puis j’angoisse : et si ça ne marche pas ? Est-ce que je vais devoir me satisfaire de petits jobs toute ma vie ? Et j’angoisse encore davantage : et si ça fonctionne ? Si mes projets décollent ? Qu’est-ce que je vais faire ? À quoi cet inconnu dans lequel je vais me retrouver projetée va ressembler ? Parfois, réussir à réaliser mes rêves m’effraie encore plus que de me dire que je vais rester coincée dans cet état toute ma vie. Je sais que j’angoisse trop, que je suis trop jeune pour m’inquiéter à ce point et pour remettre en question toute ma vie chaque fois que j'ai un moment pour réfléchir. Pourtant, je ne peux pas m’empêcher de penser, toute la journée et toutes les nuits, à me stresser pour des choses qui n’existent que dans ma tête. Cette vidéo c’est un mélange de la vie que je mène et des pensées que j’ai en ce moment. J'espère que vous vous reconnaitrez dans mes mots et mes images et que vous vous sentirez moins seuls. Merci à ceux qui la regarderont et qui la partageront ♡
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The materiality of the unconscious is made, not of learning, but of things said to the subject, that have hurt him, and of things, impossible to say, that make him suffer…Unconscious memory parasites the living [being] and alters its potency.
The materiality of the unconscious is made, not of learning, but of things said to the subject, that have hurt him, and of things, impossible to say, that make him suffer.
As soon as man speaks, he is submitted to the question of his truth and his most intimate identifications come to respond to the paradoxes of his link to what he says and to what has been said to him. The materiality of the unconscious is made, not of learning, but of things said to the subject, that have hurt him, and of things, impossible to say, that make him suffer. The opposition between the principles of the nervous system’s functioning, arising directly from the laws of biology and physics, and the register of another causality for founding psychology, is thus posed. Unconscious memory parasites the living [being] and alters its potency.
Éric Laurent. Uses Of The Neurosciences For Psychoanalysis. La Cause Freudienne no. 70, December 2008.
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francepittoresque · 5 months
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INVENTION | Poire d’angoisse ➽ http://bit.ly/Poire-Angoisse Cet instrument était une sorte de petite boule, qui, par de certains ressorts intérieurs, venait à s’ouvrir et à s’élargir, en sorte qu’il n’y avait moyen de la refermer ni de la remettre en son premier état qu’à l’aide d’une clef, faite expressément pour ce sujet
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Eyke Volkmer, 1966.
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photosansapp · 2 months
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La boule s'est installée. La balle de l'angoisse. Petit calibre mais elle nuit quand même. Il faut bien respirer pour la faire sortir. Le vent apporté tâchera de la faire tourner sur elle-même et peut-être qu'elle partira comme un hélicoptère.
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mariannaszymanska · 2 months
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L'éternelle danseuse en boite de nuit
Les yeux rivés au sol, elle attend.
Le rideau s'ouvre, lumière, Elle se redresse avec grâce en une arabesque.
Elle sourit. Elle enchaîne les piqués.
La musique de Barbarie s’accélère.
Elle tourne sans cesse : quart de pirouettes, demi-pirouettes, pirouettes en dedans, pirouettes en dehors. Son corps ne lui appartient plus.
Rideau noir, elle s’effondre sur le tapis rouge. Au loin, les applaudissements et cette enfant qui rit aux éclats.
Des mains menues ouvrent la boite à bijou de Maman.
« Encore ! Tourne encore !» susurre la voix cristalline, à son oreille.
Son démiurge s’appelle Marie.
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gwraskel · 5 months
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angoisses
la longue lame, fine,
appuyée sur la jugulaire,
le souffle, qui se coupe,
les tempes, qui battent,
la poitrine, chargée.
c’est irrespirable,
cet air saturé,
de regards qui s’attardent,
et, le mien qui fuit,
vers l’extérieur, inatteignable.
le sternum se serre,
les poumons s’affaissent,
mais ne semblent, jamais se remplir,
on ne me laisse plus,
le temps de vivre.
le nœud, de mes organes,
qui se contractent,
par fractions,
en une douleur, sourde,
grave.
j’étouffe.
sans verser une larme.
19 octobre 2023
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mone-s-glade · 3 months
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Fête foraine de dépressifs
Ca me casse le cul de vieillir, plus va plus je suis névrosée. Ah ça! On est bien loin d'un vin qui se bonifie avec le temps. Mes angoissent s'accroissent, mes peines creuses des tranchées sur mon visage, les amis se raréfie non mais c'est quoi cette vie de merde (si si on y va)? Alors va voir un psy qu'on m'a dit. Beh v'la que j'ai commencé une thérapie. V'la 2 ans, et tu sais quoi? Toujours envie de crever! Ah par contre, je suis sobre depuis 9 mois grâce à ça mais l'envie de me pendre; elle, je peux pas en faire l'abstinence tu vois. "Oh tu vois j'ai fais une overdose de déprime alors je vais rester abstinente de toute dépression pendant quelques temps" déblatère t-elle à son journal intime " à dans 2ans! " 2 ANS, SI SEULEMENT!! 4 mois de répit max que j'ai pu avoir en 3ans. C'est pas une vie moi je vous assures. Le marathon de Joe en déclin. Peut être qu'on devrait créer une fête foraine de gens dépressif, ça nous permettrait à tous de faire des blagues et dire nos pensées morbide à tous va sans plomber l'ambiance! En plus les attractions nous ferait gonfler notre 2nd degrés. Putain le paradis des dépressifs. On se ferait enfin des potes enfin... Des potes potentiellement en fin de vie. Y a pas de solution à la fugacité de l'amitié hein. La famille qu'on choisit. Qu'elle connerie. On se croirait dans un jeux d'échec ma parole. A la fin pas besoin d'être bon en maths pour voir que t'as plus grand nombre de pion. M'enfin la solution se trouve peut être dans le contacte avec ceux qui sont au loin mais là malgré tout. Merci à vous. ♥
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telunfeuquidanse · 1 year
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Eh bah du coup grosse crise de boulimie.
Comment on gère ses angoisses sainement svp ???
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blanche-page · 1 year
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Névroses
Si tu savais mon cœur Ce que me soufflent mes pensées Quand la nuit vient Au dehors Au dedans Si tu savais les flots déchaînés dans l'obscure et si profonde nuit Les idées noires d'être baignées de nuit Noires comme la pluie dans mes yeux lanternes folles Noires comme les lames de fond qui balaient mes joues de leurs cataractes De leurs flots tumultueux Les muscles noués je respire à peine Je me tends et j'attends Peur Angoisse La nocturne agonie de mon corps qui supplie Au supplice de mon mental Acier bourreau Pas assez pas assez Je ne dors pas La nuit me scie l'insomnie me sied Ricil cernes noir sous mes yeux Dans mes yeux corbeaux et ciels d'orage Je ne dors pas je gis.
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vhscorp · 18 days
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Ne pas confondre peur et angoisse : l’une se combat, l’autre nous dépasse…
V. H. SCORP
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lerefugedeluza · 3 months
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Nouvelle vidéo ♡ Je vous parle de mes insomnies à imaginer la fin du monde (du moins, la fin du mien), de mes angoisses et de ma peur de mourir sans avoir assez vécu... (à la sauce Luza comme d'habitude) Bon visionnage ! Merci d'avance aux personnes qui aimeront, commenteront et partageront, vous donnez tellement de force ♡
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rallumons-les-etoiles · 6 months
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Mon parcours de vie : Partie 4
L'année est finie, mon redoublement acté et me voila passant le pire été de ma vie. Mes parents sont divorcés, j'habitais au maroc et mon père habitait en france, j'ai donc passé un mois chez mon père, cet été fut un enfer et au retour, j'ai commencé à avoir énormément envie de vomir, les traitements pour la nausée ne marchait pas, j'ai perdu en un été 15 kilos. Puis petit à petit je me suis rendu compte que les seuls moments ou je n'avais pas envie de vomir c'est quand j'étais à l'intérieur de chez moi. Dès que je sortais , qu'il y avait du monde , j'avais l'impression que j'allais vomir et j'ai ainsi développer une peur de vomir. La rentrée est arrivée, je suis de nouveau en classe de seconde et quelque chose se passe : je pleure pendant des heures sans savoir pourquoi ? et ca tous les jours ! Je n'arrive pas à rester en classe car dès qu'il y a du monde il y a cette envie de vomir et je courais imédiatement au toilette. J'ai été voir un gastro-entérologue et pour lui c'étais du à l'angoisse. Mon état se détériore. Un jour en cours, mon professeur principal ( je lui en serais à jamais reconnaissante ) m'a dit : tu ne sors pas de la classe, si tu as envie de vomir tu vomis dans ce sachet ( il savait ..), d'un coup, envie de vomir, je paniques et la : hyperventilation, tremblement, pleure, spasme . C'étais bien une crise d'angoisse ! je vais chez mon pédiatre et je fais un malaise. Le jour même j'ai été recu par une psychiatre ( ce fut la première d'une longue liste ), elle m'expliqua que j'étais en dépression, que je faisais de la phobie scolaire , de l'agoraphobie et que c'étais effectivement des crises d'angoisses. J'ai donc eu un traitement. Ce traitement m'a fait prendre du poids et les rumeurs ont commencés : elle est enceinte , regarde elle arrêtait pas d'avoir des nausées et maintenant elle grossit... J'ai commencé à énormement me scarifier au lycée. J'ai aussi commencé à fumer. Je croyais que je pouvais remplacer l'addiction à la mutilation par l'addiction à la cigarette. Raté..J'ai touché le gros lot ! En milieu d'année j'ai appris que j'allais quitter le maroc et déménager avec ma mère à Paris. J'étais heureuse car je pensais qu'en quittant un lieu , j'allais y laisser mes problèmes. Je dis aurevoir à ma psychiatre .Cette été la , j'arrête tous mes traitements, je perds 20 kilos et je suis admise à la rentrée dans un lycée privé dans le 16ème arrondissement de Paris en 1ère littéraire et la ... Aie.. : crise d'angoisse sur crise d'angoisse, pleure. Ma mère m'emmena voir un psychiatre dans un hopital connu à Paris, dès la première consultation, il décida de m'hospitaliser....
La suite au prochain post...
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kiala-story · 1 year
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•Il lève la main contre toi•
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Mention : Violence - Angoisse - Pleure - Injure - Blessure
Personnages : Mikey - Ran - Taiju - Sanzu
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Mikey (Kanto) :
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Comment en sommes-nous arrivés là ?
C'était la nuit de trop.. la fois de trop !
Tu avais attendu ton petit ami une bonne partie de la nuit car tu étais très inquiète.
Il finit par rentrer vers 4h du matin avec son uniforme blanc et ses cheveux longs a peine coiffé.
Tu te lèves inquiète et te dirige vers lui énervé.
"Bon sang Mikey mais où étais-tu encore ?" lui dis-tu serrant les dents de toutes ses forces.
Un regard noir et profond sans aucune compassion envers toi.
"Cela ne te regarde pas" Finit il par dire froidement avant de te contourner pour aller se placer dans le canapé.
Tu le suis déterminé à avoir des explications de sa part.
"Je voudrais que tu me répondes quand je te parle !" Dis tu le regardant droit dans les yeux.
Avant même que tu puisses redire quelque chose il se lève et frappe le mur juste à côté de ta tête, te laissans sans voix toute tremblante.
"A qui crois-tu parler ?" Son regard pesant sur le tient prêt à te tuer à tout moment.
"Je...Je parle à mon copain ! Celui avec un bon coeur !" Cris tu contre lui.
Il se mit donc à rire, te laissans perplexe à sa réaction.
"Moi ? Ton copain ? Tu n'es personne pour moi." Dit-il avec certitude dans sa voix.
Des larmes incontrôlables coules de tes yeux subitement après ces paroles dures.
"Mik- !" Tu ne eu le temps de finir ta phrase qu'il colle à sa main sur ton visage écrasante à tête contre le mur.
Une douleur de lancinant la tête tres violemment devenant presque insupportable.
Une énorme angoisse ce créé en voyant son regard plus dur que celui d'avant.
"Tu n'es personne pour moi ! Retiens bien ça." Dit-il en enlevant sa main ta tête pour se rassoir son canapé tranquillement.
Trop choquée tu prends ton sac à main ta veste et tu pars en courant de la maison afin de t'éloigné le plus possible de cet homme violent qui a là-bas c'est un gars bienveillant et aimant.
Ran :
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Tu t'attendais vraiment pas à ce que ce jour arrive.
Tu avais entendu plusieurs rumeurs à son sujet... Mais tu t'es dit qu'avec toi il ne serait pas violent...
Du moins c'est ce que tu pensais.
J'avais passé une longue journée au lycée tu finis par rentrer accompagné de ton meilleur ami avec qui tu as une excellente complicité.
Il était clair que vous étiez assez proches mais pas assez pour vous puissiez être en couple vu que tu étais avec Ran et que lui avait déjà également une copine.
Tu avais beau expliquer à ton petit copain que ce n'était qu'un simple ami, celui-ci ne le vois pas de cette manière.
Tu dis aurevoir à ton ami qui part de son côté, tu finis par rentrer dans l'appartement de ton petit ami pour y passer le week-end comme toutes fins de semaines.
"Je suis rentré !" Dis-tu avec joie.
Tu vois ton petit ami torse nu les cheveux détacher au vent en train de fumer sur le balcon.
Ton regard se dresse automatiquement sur son tatouage parcourant une bonne partie de son corps.
Tu te rapproches de lui afin de venir lui afin de l'enlacé après cette dure journée.
"Bébé ?" Dis tu te rapprochant de plus en plus de lui
"A quoi tu joues ?" finit il part dire te regardant avec un regard glacial.
Tu arrêtes tout mouvement essayant de comprendre sa réaction.
Pour quelle raison dire demander ça ?
"Je te demande pardon ?" Le regarde tu le questionnant.
Sa mâchoire se resserre, Il jette sa cigarette du haut du balcon te ramenant contre le mur plaçant ses mains autour de ton cou.
"Tu veux me quitter pour lui c'est ça ?!" Dit-il vert de jalousie.
Tu places tes mains sur les siennes pour desserrer un maximum la pression sur ton cou t'empêchant de respirer.
"Ra-..argh" Tu essayes de respirer cela dit c'était possible, il resserrer sa prise de plus en plus.
"Ce mec te donnera rien comparé à moi !" Criats t-il hystériquement.
Tu te débat le plus possible réussissant à retirer ses mains, tu tombe au sol toussant reprenant ta respiration difficilement.
"Ce n'est qu'un....putain d'ami !" Essaya tu de lui dire.
Réalisant ce qu'il venait de faire il tenta une nouvelle approche pour te serrer contre lui.
"Béb-... Je.. Je suis désolé...pardon ! Je ne voulais pas...!" Bégaya t il.
Tu ne lui laissera pas le temps d'essayer que tu te leva d'un coup courant vers sa porte prenant au passage ton sac les larmes coulant sur t'es joues brulante et la peur au ventre.
Les cris de ton petit copain raisonna dans toute l'apartement.
"Y/N ! Je t'en prie reviens !" Criats t-il en fond.
Courant dans les rues de Roppongi sans but précis tu voulais juste te tenir loin de ce garçon qui voulais clairement te tuer.
Taiju :
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Tu connaissais déjà sa réputation d'un violent.
Mais stupidement ton coeur est tombé amoureux de lui, te laissant croire qu'il avait changé
Quelle naïveté as-tu fait...
Tu avais passé une bonne journée à l'université, tu avais décidé de rentrer tranquillement pour te détendre.
Enfin rentrés chez ton copain tu ne le voyais pas à la maison... Tu t'en inquiétez pas plus que ça puis pars dans la salle de bain.
Tu prends une douche tranquillement puis tu entends un gros claquement en bas.
Tu te mets en pyjama vite fait et descend pour rejoindre ton copain.
"Taiju ?" Dis tu le cherches dans la maison.
Son regard se tourne directement vers toi revenant sur ses pas. Il t'a pris violemment par les épaules te surprenant.
"Où étais-tu bordel ?!" De crier a-t-il dessus.
"Comme tous les jours j'étais à la fac bébé" dis-tu calmement
Cela dit tu viens de comprendre que tu étais rentré 2 heures plus tard que d'habitude... En soit tu n'avais absolument pas prévenu.
Mais pour toi cela ne justifiait pas sa réaction actuelle
"J'étais à la bibliothèque en train de réviser mes cours sais rien !" Comment ça tu a haussé le ton
Soudainement un douleur sur ta joue s'installe en quelques secondes te retrouvant au sol.
Il venais de te frapper sans aucune raison. Tu reste choqué de son attitude.
"N'osent même plus aussi le ton contre moi" Dit-il d'un ton très calme.
Tu n'as même pas répondu trop effrayée de ce qu'il pourrait te faire ensuite. Tu as simplement hocher la tête.
D'un coup tu penses à la porte d'entrée que tu avais heureusement oublié de verrouiller à ce moment-là.
Taiju te tourna le dos pour repartir a ses activités.
Tu en profita pour d'un coup d'adrénaline tu te lèves pour te dirigé en courant vers la porte et partir le plus loin possible.
Sur le moment il n'a pas eu le temps de te rattraper.
Il reste la choqué repensant à ses actes soudaine, ses yeux s'écarquille en repensant à tout ce qu'il avais fait subir à ses frères et soeurs.
Il regrettait toujours ses actes et quand il a pensé à ce qu'il t'a fait actuellement il voulut se frapper lui-même.
Il s'en voulait terriblement...
Depuis ce jour tu n'as plus voulu allez en cours de peur qu'il vienne devant la fac, tu la supprimer de partout.
Quant à lui Il désespérait de ne plus te voir et de plus avoir de contact avec toi.
Sanzu (Kantô) :
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Sanzu et toi êtes ensemble depuis ta première année de lycée.
Sanzu à un côté assez fou ce qui t'a fait craquer chez lui.
Car tu étais un peu près pareil, assez folles dans ta vie tous les jours.
Mais quelque chose en ce moment à déraper chez lui...
Il rentrait sois il était violent ou te parlais mal par moment il t'ignorait ou alors il te faisait des crises de jalousie pour rien.
Chaque jour est une surprise... Donc tu ne pouvait jamais savoir ces réactions.
En ce jour actuelle il était rentré complètement fou.
"Sanzu ?" Dis tu le regardant rentrer à la maison.
"Y/N...Pourquoi es-tu si cruelle avec moi ? Hum ?" Dit il s'approchant tout un téléphone à la main
Tu ne comprenais pas actuellement ce qui se passait il était complètement fou son visage avait changer complément.
"Comment ça ?" Répond-tu
Il allume son téléphone et te montre plusieurs photos qui te laisse sans voix.
"C'est bien toi sur ces photos non" dit t'il avec sa voix dur et froide.
"Bébé...Comment tu ces photos ? C'était il y à longtemps quand j'étais avec mon ex..." dis-tu tremblante.
Je ne savais pas que ces photos sexy de toi que tu avais envoyé il y a longtemps à ton ex allait ressortir pendant ta relation actuelle.
Ce qui te questionnait le plus était de savoir comment il avait eu ses photos..
"Avec moi tu sors des excuses à chaque fois... Mais avec lui tu avais l'air de te lâcher" Dit il avec toujours autant de violence.
Si tu avais décidé au fond de toi de ne plus faire ce genre de photo c'est parce que avec ton ex ii c'est passé énormément de problème avec ça.
Ce que Sanzu ne savait pas c'est qu'à cause de ces photos là tu as eu une toutes t'es années de collège gâcher à cause du harcèlement que tu as subit et des violence et chantage de toin ex.
"Tu ne connais rien de mon passé tu n'as pas à me dire ça !" Criats tu contre lui.
Ses mains viennent entourer ton cou se plaçant au-dessus de toi mettant tout son poids pendant que toi tu es en train de t'étouffer sur le canapé.
"Argh...San-...zu" Essaye tu de respirer
"Arrête de mentir! Tu ne m'aime plus ? Tu le préférais lui pas vrai ?! Tu continue de lui en envoyé hein !? " Cria-t-il hystériquement
Tu commences à tousser et et à te débattre pour échapper de son emprise, paniquer.
"Argh..Je-...t'en pris" Dis tu manquant d'air.
Il écarquille les yeux soudainement retirant ses mains brutalement de ton cou, tu tombe sur canapé pour pouvoir reprendre ton souffle correctement.
Tu étais à 2 doigts de vomir à force de tousser brutalement.
Bébé ? Qu'ai-je fais ? " dit-il tremblant regardant ses mains.
Il tente de s'approcher de toi mais tu recules jusqu'à te prendre le dos contre le mur de la salle.
"Ne..- t'approche pas !" Cris-tu contre lui les larmes au yeux.
"Attends...Y/N! Pa-pardonne moi !" Répond-il en criant en retour
Tu te relève d'un coup pour partir de l'appartement avec t'es jambes tremblantes sous le regard attristé de ton petit ami qui ne savais plus quoi faire.
Tu t'arrête devant la porte te retournant une dernière fois vers lui.
"Tu es une personne violente, je pensais naïvement que tu m'aimais sincèrement. Mais un homme qui s'attaque a une femme.... N'est rien d'autre qu'un déchet Sanzu. Prenons nos distance pendant un moment, j'ai besoin de m'éloigner et que tu réfléchisse sincèrement a t'es actes stupides." dis-tu le regardant de haut.
Suite à t'es paroles tu quitte l'appartement laissant Sanzu dans la réflexion totale.
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jhesite · 6 months
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"The others, all of them, were maybe preoccupied by the same fears. It's in action they would find a remedy. They didn't like life since they were revolting. Fortunately society was bad. What would they do if one day there would be a good society? They couldn't revolt against it, so the subject of the fear would appear in all its nudity, in all its horror. For me, fear was here, no society could resolve it. And all societies are bad anyway, is there one successful since times and times? We kill each other in wars and revolutions. We get killed. We kill each other. Or maybe we try to kill death. And then, I suddenly had infinite sadness, a gigantic distress. I bore this sicce always, without realizing. It was a "what's the point" which prevented me from being happy. A not really conscious "what's the point". It was conscious now."
Le solitaire, Eugène Ionesco
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