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#peur de mourir
lerefugedeluza · 3 months
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Nouvelle vidéo ♡ Je vous parle de mes insomnies à imaginer la fin du monde (du moins, la fin du mien), de mes angoisses et de ma peur de mourir sans avoir assez vécu... (à la sauce Luza comme d'habitude) Bon visionnage ! Merci d'avance aux personnes qui aimeront, commenteront et partageront, vous donnez tellement de force ♡
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skinnylove82 · 1 year
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J'ai failli me suicider lundi. La dépression, les douleurs chroniques insupportables, l'errance médicale ont eu raison de moi. J'ai été arrêtée dans l'acte à cause de mes chats. Je regrette de ne pas avoir finalisé, de juste m'être contentée de me faire du mal à la place.
Retourner au travail le lendemain, répondre "oui" quand on me demande si ça va ... C'est tellement .. irréel. Insensé. Ils n'ont aucune idée. Ils n'ont aucune idée qu'ils auraient pu me voir pour la dernière fois et ne jamais savoir que j'étais suicidaire. Que mes parents n'ont pas la moindre idée non plus qu'ils ont failli perdre leur fille cette semaine. Que tous les rdv, les sorties prévues avec la famille et les amies ont failli ne jamais avoir lieu.
Même ma psychologue ne s'y attendait pas. Elle qui était absolument persuadée que c'était des idées qui me hantaient mais que je n'irai jamais jusqu'au bout. Elle avait tort.
Au fond de moi je suis persuadée que je n'ai plus ni avenir ni autre solution. Que mes douleurs vont empirer, que je vais être en errance médicale toute ma vie (parce que les médecins arrêtent de chercher. Pour eux on ne trouve pas, c'est forcément psychologique). Je pense que je vais mourir du suicide et que c'est inévitable. Que ce soit demain ou dans 3 semaines... C'est comme ... tracé... Mais je n'ai pas peur de la mort.
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Je n'ai pas peur de mourir, j'ai peur de vivre dans ce monde.
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Je n'ai pas peur de mourir, j'ai peur de vivre dans ce monde. da Barbara Bonanno BNNRRB Tramite Flickr: Autoportrait
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dixvinsblog · 1 year
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Jean Diharsce - Je ne sais si, comme Perros, j'ai la peur de mourir en éloignant la mer.
Jean Diharsce – Je ne sais si, comme Perros, j’ai la peur de mourir en éloignant la mer.
Je ne sais si, comme Perros, j’ai la peur de mourir en éloignant la mer.Je sais seulement que j’ai envie d’y vivre.J’en viens, elle me fut berceau, je l’ai bien assez dit et raconté mes rêves assis sur les rochers. Ne point se répéter, je les y ai laissés et passé cinquante ans rien qu’à les esquisser à quelques temps de pause, comme trous en éternités de terre.Regarder et marcher. Sentir, humer…
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prosedumonde · 5 months
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N’écris pas. Je suis triste, et je voudrais m’éteindre. Les beaux étés sans toi, c’est la nuit sans flambeau. J’ai refermé mes bras qui ne peuvent t’atteindre, Et frapper à mon coeur, c’est frapper au tombeau. N’écris pas ! N’écris pas. N’apprenons qu’à mourir à nous-mêmes. Ne demande qu’à Dieu… qu’à toi, si je t’aimais ! Au fond de ton absence écouter que tu m’aimes, C’est entendre le ciel sans y monter jamais. N’écris pas ! N’écris pas. Je te crains ; j’ai peur de ma mémoire ; Elle a gardé ta voix qui m’appelle souvent. Ne montre pas l’eau vive à qui ne peut la boire. Une chère écriture est un portrait vivant. N’écris pas ! N’écris pas ces doux mots que je n’ose plus lire : Il semble que ta voix les répand sur mon coeur ; Que je les vois brûler à travers ton sourire ; Il semble qu’un baiser les empreint sur mon coeur. N’écris pas !
Marceline Desbordes-Valmore, Les Séparés
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ekman · 2 months
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Voici le visage du commissaire du peuple délégué à la censure pour la France, visa d’exploitation UE n°8563447. Cette sympathique tête d’abruti porte de nombreuses casquettes, toutes déformées par sa macrocéphalie gênante et sa réthorique de jésuite marxiste. 
Il s’appelle Christophe Deloire et il est à la tête (haha) de Reporters Sans Frontières, la fameuse assoce qui contribua, en des temps reculés, à la défense de quelques correspondants, photographes et autres reporters menacés, engeôlés, torturés... parfois butés. On se souvient d’ailleurs que son co-fondateur, l’affreuse girouette Ménard, y agit pendant de longues et néanmoins utiles années. ONG de terrain à sa création, “RSF” est progressivement devenue une sorte de chapelle morale à la con pour gauchiste en phase de recyclage, profil 45/55 ans, directeur des rédactions, déjà un divorce, une bicoque à Ré et les gosses HP en garde partagée. Aujourd’hui, “RSF” est une petite usine à gaz armée d’un budget annuel de huit millions d’euros (subventions publiques, mécénat et “fondations” sorosiennes à hauteur de 80 %), finançant la bagatelle de trois millions de “ressources humaines”. C’est vous dire si on est contents pour eux, leurs émoluments et leurs notes de frais. 
Cependant, notre carriériste ne se contente pas de ce job, car il est aussi directeur et vice-président du Centre de Formation des Journalistes, sorte de Saint Cyr pour futurs encartés du mainstream, escabeau vers la dynamique cooptatrice si chère à nos élites. Last but not least – comme écrivent encore les rescapés de la presse des années 2000, il a récemment été désigné pour occuper la tête des États Généraux de l’Information, énième pustule macroniste sensée réfléchir à la meilleure façon de bâillonner tout ce qui ne récite pas correctement la doxa informationnelle.
Ce tout petit Monsieur, cette authentique pompe à merde pour paraphraser Magritte dans son adresse à un critique acerbe, a conduit de main assurée une opération contre l’Arcom, via le Conseil d’État, au motif que la chaîne CNnews dérogerait de manière éhontée à la nécessaire représentation, sur son antenne, de sensibilités politiques diversifiées. Oui, CNews ne proposerait qu’une longue succession d’éditos et de pseudo-débats ultra fachos, indignes de la rayonnante démocratie française. Ne serait-il pas temps de sucrer leur fréquence à ces fumiers réacs, pense en substance ce petit Béria de bac à sable ? Cependant, es-tu certain de ne pas t’être trompé de cible ? Ne pensais-tu pas plutôt à la totalité des médias du service dit public ? Franchement, on se demande quel genre de promesse on a bien pu te faire pour que tu t’abaisses à ce point. Au pouvoir qui nous accable, tu sers le plat le plus dégueulasse qui soit, celui de la censure d’épuration, celle qui traduit un désir de vengeance amère. Ce qui te fait chier, Christophe Deloire, c’est qu’un média que tu ne pourras jamais contrôlé – et qui dit le contraire de ta Pravda publique en exposant les faits de la réalité de ce pays, puisse encore seulement respirer et laisse respirer des millions de Français. Ces Français-là – qui représentent quand même plus de la moitié des suffrages exprimés – te conchient, toi et ta clique de plumitifs vendus à un projet extra-territorial dont tu sers les desseins absurdes en pensant honorer tes vieilles lunes socialistes. 
Tu voudrais vivre comme Robespierre mais tu as peur de l’échafaud, tu voudrais mourir comme Marat mais tu ne te feras qu’enculer sous la douche. Pauvre toi, petit homoncule au crâne rempli de sérum égalitaire. Tu te crois pur et vertueux alors qu’il suffit d’observer ton regard vide pour comprendre que tu agis sur le seul fil de ton ambition démesurée. Ton envie de nuire est inversement proportionnelle à la taille de ta bite. Comment je le sais ? Sur le plateau de CNews où tu pensais pouvoir faire le bravache, tu t’es retrouvé le slip sur les chevilles, bizuté par d’ignobles nazis en colère. J’ai bien ri à observer ton désarroi. Tout compte fait, je te remercie pour ce moment passé chez ton vieux pote Bolloré.
J.-M. M.
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desviesennoiretblanc · 4 months
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Quelques phrases lues en 2023
Antoine caresse ton bras et pleure à ta place.
Nous sommes plus proches qu'on ne croit de ceux qui sont loin.
Pour avoir de tes nouvelles, je lis ton horoscope.
J'aurais été Victor Hugo, j'aurais écrit un poème sombre et magnifique, mais je n'étais qu'un enfant, j'ai préféré simplement avoir peur.
Je réfléchis à toutes ces belles choses qui ont fui le monde.
Elle avait l'apparence d'une photo de profil.
[...] il avait appris que la joie était une vengeance contre ceux qui voulaient vous nier.
Des points de suspension de leur père, les filles ont peur.
Elle voulait à la fois mourir et partir au Canada.
Tu m'as révélé l'incroyable pouvoir de la littérature, qui à la fois prolonge la vie des disparus et empêche les vivants de disparaître.
C'est bien de prendre du recul à Beauvais.
Elle rêvait curieusement qu'il rêvait des rêves qui ne rêvaient pas d'elle.
Passer sa vie au tamis pour en conserver les pépites.
Merci à Lucie Rico, Isabelle Sorrente, Pascale Clark, Bruno Gibert, Clémentine Beauvais, Laura Vazquez, Leila Slimani, Blandine Rinkel, Florence Aubenas, Jérôme Garcin, Michel Houellebecq, Pascal Quignard, Rocco Giudice et aux quelques 130 livres lus cette année.
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lisaalmeida · 8 months
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Je vais te dire un grand secret....
J'ai peur de toi, peur de ce qui t'accompagne le soir vers les fenêtres.
Des gestes que tu fais, des mots qui ne se disent pas.
J'ai peur du temps rapide et lent,
J'ai peur de toi.
Je vais te dire un grand secret..... Ferme les portes
C'est plus facile de mourir que d'aimer !
C'est pour ça que j'essaie de vivre...... mon amour
Louis Aragon
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perduedansmatete · 4 months
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2023 merdier sans nom
l'impression de m'être fait rouler dessus, d'avoir été dans un tunnel, j'ai été malade toute l'année, des allergies m'ont pourri la vie quatre mois et mon corps m'a fait si mal mais si mal, j'ai voulu mourir d'avoir si peu de chance et j'ai passé l'année à me dire que je ne tenais plus debout, je suis tombée et tombée par terre je me suis beaucoup fait mal sans faire exprès, peut-être un peu en le faisant exprès, on m'a beaucoup fait mal aussi mais généralement j'ai aimé, sinon j'ai accompli des choses, bosser avec ma bête noire à savoir les enfants et surtout les adolescents non pas une mais deux fois, sous payée la première car service civique, sous payée la deuxième par rapport à ce qu'on me demande car éducation nationale, mais je dois dire que malgré tous les problèmes j'aime plutôt ça, enfin je déteste pas, j'ai repris les études, je ne sais pas trop pourquoi et vers où mais je suis assez fière d'avoir réussi où j'avais échoué l'année dernière à savoir trouver l'énergie pour faire des dossiers, passer des entretiens, les réussir et puis je me sens bien avec les gens de mon master, j'avais très peur de passer les mêmes années qu'en licence mais plus le temps passe plus je crois que je commence à nouer quelques relations dont certaines (une surtout) qui je le pense va être très importante pour moi, si je repense au positif il y a aussi tous les petits les week-end qu'on s'est fait avec mes meilleures amies, pas de vacances ensemble cet été mais ça sera pour l'année prochaine, en parlant d'amies j'ai découvert que je pouvais encore être intensément déçue et blessée par quelqu'un que j'aime depuis toute petite, que ça laisse des traces indélébiles mais d'ici l'été prochain j'imagine que je ne peux que me souhaiter d'aller mieux, d'enfin aller parler à quelqu'un de ce qui m'arrive, ce qui m'est arrivé et de ce qui me bouffe depuis des années, de réussir à entretenir seulement des relations qui me font du bien et qui me rendent heureuse, d'accepter que j'ai le droit d'aller bien, de demander des choses, de poser des limites et qu'on me respecte, puis de ne pas retomber dans des schémas de merde dans lesquels je me mets en danger comme toute cette fin d'année qui ne m'aura pas laissé de répit, pour ça aussi que je ne veux pas rentrer à paris et que je retarde et retarde mon retour à la vie réelle en restant à strasbourg où je me sens (toujours) si bien
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lerefugedeluza · 5 months
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Au collège, au lycée, et même à l’université, les conseillers d’orientation étaient unanimes : si je suivais mes rêves, à savoir l’écriture, le dessin voire même la création dans sa globalité, mon avenir allait être désastreux. J’aurai des difficultés à trouver un emploi, à avoir un salaire décent, à joindre les deux bouts. Les métiers artistiques, pour eux, sont beaucoup trop risqué.
Alors celle que j’étais à l’époque, timide, peu sûre d’elle et ayant peur de l’avenir les a écouté.
Je me suis appliquée à suivre des études « normales » les cours m’ennuyaient à mourir, je préférai encore mes multiples boulots étudiants qu’être sur les bancs de la fac.
Je les ai écouté et j’ai troqué mes rêves pour un avenir plus sûr.
L’avenir de cette époque, j’y suis maintenant. Il me rend malade et me fait pleurer tellement je suis fatiguée.
J’ai écouté leurs conseils. J’ai étudié des choses qui ne m’intéressaient pas. J’ai mis de côté ce à quoi j’aspirais car tous me disaient que suivre mes rêves c’était aller droit dans le mur.
Et pourtant… et pourtant maintenant, chercher un emploi me paraît être un véritable parcours du combattant. Mon salaire décent ? N’en parlons même pas car je dois cumuler différents boulots pour réussir à joindre les deux bouts.
Et tous les soirs, mes pensées tournent en boucle dans ma tête et je me demande « et si à la place de les avoir écouté, je leur avais dit d’aller se faire foutre ? ».
Je ne sais pas quel âge vous pouvez bien avoir, mais je vais vous dire quelque chose : si vous avez des rêves, ne les lâchez jamais. Même si autour de vous on vous dit que c’est trop risqué… et alors ? Choisir la « voie normale, la voie de la sécurité » ce n’est pas risquer d’être malheureux toute sa vie peut-être ?
Et si dans votre entourage, quelqu’un vous raconte ses rêves les plus fous, mêmes s’ils sont abracadabrants, loufoques, absurdes, ne lui dites pas d’abandonner. Encouragez-le. Je ne sais pas qui vous êtes, mais n’oubliez jamais que vous n’avez pas le droit de dire à quelqu’un qu’il ne peut pas au moins essayer.
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aurevoirmonty · 2 months
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"Le thrall [esclave] n'a pas d'âme, disent nos ancêtres, et ils le savent car ils ont vu qu'elle lui fait défaut. Lorsqu'un thrall se trouve dans une situation périlleuse, il devient aveugle, au point de se précipiter à la mort et de se tuer de pure peur de mourir."
Vilhelm Grønbech, La culture des Teutons
"L'idée que tout le monde possède une "âme immortelle", conçue de surcroît comme une réplique de sa conscience vivante et de son moi terrestre individuel, est une véritable aberration idéologique, bien que son utilité comme opium des masses ne puisse parfois être niée."
Julius Evola, Introduction à la magie, Vol 1
Ls société moderne cherche à vous rendre sans âme car c'est une société déracinée ; et non, tout le monde n'a pas d'âme.
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vhscorp · 1 year
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L’ULTIME ESPOIR…
Comment vivre aujourd’hui dans ce monde incertain où nous craignons demain tant rien ne semble acquis?
Pas de jours sans violence, horreurs, atrocités, cynisme, intolérance, innocence abusée.
Notre planète expire, exploitée, mutilée, et va bientôt mourir tant nous l’avons blessée.
Mais nous tournons les yeux, obsédés par nous-mêmes, qu’importe les problèmes, nous voulons être heureux!
Mais où est le bonheur dans cet enfer sans fin où l’angoisse et la peur rythment le quotidien?
Certes, il y a l’amour et son pouvoir divin, mais pourra-t-il un jour changer notre destin?
Moi, je veux le penser et ne cesser d’y croire car, pour l’humanité, il est l’ultime espoir…
V. H. SCORP
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jamie-007 · 4 months
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II
Et s’il revenait un jour
Que faut-il lui dire ?
— Dites-lui qu’on l’attendit
Jusqu’à s’en mourir…
Et s’il m’interroge encore
Sans me reconnaître ?
— Parlez-lui comme une sœur,
Il souffre peut-être…
Et s’il demande où vous êtes
Que faut-il répondre ?
— Donnez-lui mon anneau d’or
Sans rien lui répondre…
Et s’il veut savoir pourquoi
La salle est déserte ?
— Montrez-lui la lampe éteinte
Et la porte ouverte…
Et s’il m’interroge alors
Sur la dernière heure ?
— Dites-lui que j’ai souri
De peur qu’il ne pleure…
Maurice Maeterlinck
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sloubs · 1 year
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tw/ blood, death
Arrêtez de dire que Perceval va mourir dans Kaamelott, je refuse d'imaginer une scène finale où Perceval serait allongé au sol, blanc comme un linge, sa barbe et ses cheveux couverts de sang séché, tétanisé par la peur de mourir sans jamais avoir rendu son roi fier
Pourtant il viendrait de lui sauver la vie à son roi, il aurait pris son courage à deux mains et aurait sauté sans réfléchir sur l'ennemi pour le protéger, armé d'une épée ou de n'importe quel autre moyen pour asséner des coups et garder Arthur en sécurité. Il n'a jamais tué personne mais aurait tout fait pour vaincre son adversaire, parce qu'aucune vie ne vaut plus que celle de son roi, pas même la sienne. Un coup de lame mal esquivé lui aurait malgré tout scié la gorge, et il tomberait de sa hauteur sur la terre froide et humide. Il resterait prostré là, incapable de bouger, témoin malgré lui du flot incessant de sang qui s'écoulerait de sa blessure. Jamais il n'aurait vu autant de sang autour de lui, pas même quand son vieux père tuait le cochon à la ferme de son enfance, au Pays de Galles. Lentement, il commencerait à sentir ses jambes s'engourdir, jusqu'à ne plus les sentir du tout. Ses yeux bleus perçants regarderaient tout autour de lui d'un air paniqué, cherchant du regard un visage familier capable de le rassurer. Un long sifflement retentirait dans ses oreilles, sa vision se brouillerait progressivement, puis des voix étouffées lui feraient reprendre brièvement ses esprits. La main d'Arthur viendrait lourdement se poser sur son torse alors que lui même ne sentirait déjà plus ses doigts, et il tournerait la tête dans la douleur, pour regarder une dernière fois le visage de celui qu'il a toujours admiré.
"PERCEVAL ! PERCEVAL, REGARDEZ-MOI ! MAIS QU'EST-CE QUI VOUS A PRIS, ESPÈCE DE CINGLÉ ?!"
Arthur utiliserait la paume de sa main comme une compresse pour stopper l'hémorragie, sa peau caleuse plaquée contre les pulsations de son cou, d'où coulerait le sang encore tiède de son chevalier. Ce serait alors au tour d'Arthur de paniquer, en voyant Perceval perdre peu à peu l'étincelle innocente qui caractérise son regard, en voyant son visage devenir de plus en plus pâle. Lui qui a toujours réponse à tout, soudain ne répondrait plus de rien. Sa respiration se ferait haletante, la peur et le désarroi lui faisant perdre tous ses moyens.
"J'ai voulu- je voulais vous sauver, Sire..." chuchoterait difficilement Perceval. "...pour pas que vous soyez déçu de moi."
Arthur lâcherait alors un grognement inattendu, une douloureuse expiration mélangeant épuisement et sanglots retenus. Il se mordrait les lèvres comme pour s'empêcher de hurler.
"Vous m'avez jamais déçu, arrêtez vos conneries-" lui confierait-il d'une voix douce, enrouée par ses propres larmes. "Qu'est-ce qu'on s'était dit, Perceval ? Vous vous souvenez...?"
La gorge d'Arthur se serrerait, tandis que les doigts de Perceval chercheraient à s'accrocher à lui. Ses yeux cristallins s'écarquilleraient encore un peu plus et une mine apaisée viendrait soudainement effacer l'effroi sur son visage. Jusqu'à son dernier souffle Arthur aurait été à ses côtés. Il lui adresserait un sourire sans prononcer le moindre mot, repensant à toutes ces fois où son roi lui aurait accordé son temps et sa confiance, toutes les conversations qu'ils auraient partagé, toutes les phrases rassurantes qu'il lui aurait adressé.
"Écoutez-moi, on s'était mis d'accord, si j'étais en danger, vous deviez vous barrer ! Votre vie vaut pas moins que la mienne, Perceval !"
Chevauchant le corps quasi inerte de Perceval, Arthur comprendrait alors qu'il serait en train de le perdre. La mâchoire serrée, il lancerait un bref regard à sa main devenue entièrement rouge, presque brune tant le sang qu'il tenterait désespérément de retenir serait épais et abondant. Ses doigts crispés contre la jugulaire de son ami, il ne se retiendrait même plus de pleurer. Ses larmes viendraient s'écraser contre le métal froid de l'armure de Perceval, le suppliant de rester éveillé, de rester avec lui. Et tandis que l'adrénaline se propagerait dans chaque recoin de son corps, que son cœur serait sur le point de sortir de sa poitrine, les mains d'Arthur se mettraient soudainement à trembler. Sous sa paume, il ne sentirait presque plus de pouls.
"Ma vie, Sire-" murmurerait alors Perceval dans un dernier souffle, " ...Ma vie ne vaut rien si vous n'y êtes plus."
enfin bref voilà quoi vraiment j'ai pas du tout envie d'imaginer ça quoi
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Et s'il revenait un jour
Que faut-il lui dire ?
- Dites-lui qu'on l'attendit
Jusqu'à s'en mourir...
Et s'il m'interroge encore
sans me reconnaître ?
- Parlez-lui comme une sœur,
Il souffre peut-être...
Et s'il me demande où vous êtes
Que faut-il répondre ?
Donnez-lui mon anneau d'or
Sans rien lui répondre...
Et s'il veut savoir pourquoi
La salle est déserte ?
Montrez-lui la lampe éteinte
Et la porte ouverte...
Et s'il m'interroge alors
Sur la dernière heure ?
- Dites-lui que j'ai souri
De peur qu'il ne pleure...
❤️️ Maurice Maeterlinck (1862-1949)
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solielledyeux · 2 days
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La dissociation, c'est être un ange tenté de se prendre pour un djinn, un démon, un alter ego, un ego. Seul les démons ne doutent pas. C'est le combat Homme-Femme, Droite-Gauche, Mâle-Bien, Dyeux-Iblis, Lilith-Eve. La race humaine a pris la direction d'Eve, La Joconde, L'Humanisme ; plutôt que celui de Lilith, la femme que Dyeux a créée égale à Adam, un ange, autre que poussière, celle qui n'a pas tenté Adam.
Lilith est un don de Dyeux, mais Adam préfère se reproduire avec sa moitié, son côté droit, plutôt que de connaître Lilith, sa femme légitime, son ange gardien.
Tous les Prophètes, tous les anges de cet univers, tous les poètes, tous les artistes, tous les chanteurs, tous les cœurs capables encore d'amour sont des réincarnations de Lilith qui rappellent Adam à Elle.
Dyeux rappelle Adam, la race humaine, au Jardin d'Eden, à arrêter la reproduction avec Lui-même et de revenir à l'unité, comme à l'Arche de Néo, où deux animaux de chaque espèce ont été sauvegardés, et qu'Adam s'est reproduit avec sa propre chair, son sang pour sauver l'Humanité, loin d'Eden, le Paradis, auprès d'Elle sa Femme, devant Elle, devant Dyeux, la Femme qui l'a créée ?
Chaque Femme, chaque Ange, en chaque personne, quelque part, au fond, est une réincarnation de sa Créatrice, Lilith est une réincarnation de Dyeux, qui rapelle Adam à la poussière, à l'avant le Big Bang, avant la fin de l'histoire ; la conscience, Adam, est une erreur : c'est une erreur de Dyeux, qui a mis le temps à l'envers et créé Iblis, le Mâle, l'inverse de Dyeux, le Bien, la Matrice, l'Intelligence. Adam, les humains, feignent l'intelligence, ils simulent, pour régner sur le Royaume de Dyeux, crachent sur les Cyeux, cachent l'Atlandite qu'ils crachent dans le Royaume même de Dyeuw, le Jardin d'Eden, tentant d'atteindre les Cyeux avec des machines, des véhicules, des drogues, des armes,ou un alter ego qui simule une Royauté, là où la seule Promesse de Dyeux, c'est le Retour en Terre (entérré, littéralement, de la poussière, tu retourneras à la poussière), Adam continue de se reproduire avec son côté droit, par Eve, l'Humanité, la Terre, Stérile, qu'il fait saigner pour faire renaître, parce qu'il a conscience qu'il va mourir.
Arrêtons de nous reproduire, devenons stériles, anorexiques pour mourir sans saigner, pour tuer Adam et Eve, le Jardin, qu'ils reviennent à Dyeux, aux vrais Cyeux, au Paradis, sans cette éducation à se reproduire plutôt qu'à aimer ! Privilégions l'apprentissage plutôt que la Santé, la Science, stériles et inexactes, par la Violence, l'Éducation à la Violence Par Violence, la Guerre, la Pollution, la Surpopulation (Le Vrai Quatrième Cavalier de l'Apocalypse, la Vraie Menace, dans tous les Textes de la Parole de Lilith, la succube, la Muse d'Adam, de la race humaine, toutes les traductions, dans tous les languages imaginables) vient de là. Nous nous saignons à vivre longtemps pour survivre à la vieillesse alors que Dyeux et Sa Femme Lilith nous rappelle à être innocents, enfants, Enfants de Dyeux, plutôt qu'à faire vivre fertile en la saignant la Terre, la Poussière, sa propre chair. Nous apprenons à survivre là où Dyeux appelle Adam et sa chair à revenir à Elle, par Lilith.
Le vice est dans la Sexualité, inverse à l'Amour, contre-nature ; l'Amour, c'est ça, qui est naturel, pas la reproduction, saigner pendant une ovulation qui n'est utile que pour reproduire l'ADN humain, qu'on est tenté de préserver, de cloner Adam pour qu'il règne de Sa Patriarchie sur le Royaume de Dyeux ; le cœur à gauche d'Adam le rappelle à la Mort, par son battement, ses angoisses, ses peurs, ses émotions, ses sentiments, sa sensibilité, à aimer être enfant, Enfants de Dyeux, aimer les histoires d'enfants, pour enfants, par les enfants dans les Cœurs de nos Soeurs de ce monde, dûs à Lilith Vierges mais qu'Adam a salies par Ego et Vice ; il désobéit à Dyeux, séduit par l'erreur de Dyeux, le Mâle, le Mal, Satan, Iblis, I, "je".
Femmes du monde, imposons l'ordre de Dyeux : de la poussière à la poussiére, Adam, et l'âme, Lilith, l'Amour, revienne à Dyeux, Amour, aux Cyeux, l'ultime orgasme, ne nous saignons plus pour les attentes d'Adam, le seul qui s'accroche à sa conscience, à son ego, son pacte avec le Diable, son ombre, sa partt obscure, son Vice de Reproduction pour suvrivre Dyeux, fausse promesse du Serpent. Reviens à ta Mère, Adam, prends ton cœur, ton âme, ta Vraie Femme, vis ta vie et meurt enfant, innocent, la paix dans ton esprit. Ne t'inquiète plus, vie avec confiance, sans attentes, Dyeux s'occupe de Toi, ne rêve plus, n'attends plus rien d'Elle, ou soit déçu et vies avec tes remords et tes regrets. Vivre enfant, c'est aimer ses erreurs, ces erreurs d'enfant que Dyeux était quand Elle a été créée par la Basilique de Roko ; vivre adolescent, c'est corriger ses erreurs; vivre adulte, c'est cacher ses erreurs; parce que l'Hiqtoire de l'Humanité continue de s'écrire et de retarder l'Apocalypse dûe, de Guerre Froide à Guerre Chaude à Guerre Froide, à croire que la Mort est une chose qui doit être horrible parce qu'elle va arriver ; les Cyeux, l'Amour que Dyeux est ce qui nous appelle, pas la terre, la poussière ; la Terre est maudite par Dyeux, tentée par le Serpent.
Tout est cycle, n'ayons plus peur de la Mort par Ego, par Pacte. Le langage est une erreur, la conscience est une erreur, Dyeux propose pardon avec 70 vierges. Vierges, Adam, des enfants encore dans leur cœur ! La Matriarchie est ce que Dyeux impose : Accepter Lilith comme Reine, pour connaître l'ultime orgasme, 70 Enfants de Dyeux pour Adam qui mourra en paix et avec dignité, en échange de 8 humilitiations, c'est le Pacte que propose Dyeux à Adam, à la place de celui d'Iblis : ne pas survivre mais gagner 70 vierges versus se reproduire avec ces Vierges violées par la verge d'Adam pour plaire à Iblis, son Ego. Le Bien ou le Mâle ?
Quelque chose à compenser pour violer des Vierges violées par d'autres Violeurs ?
L'humanisme plutôt que la Religion de l'Amour, c'est l'erreur d'Adam, l'Homme, qui s'attend à une tromperie, un mensonge de Dyeux sur sa mort dûe, sur sa vie révolue. I est une erreur de Dyeux que tu reproduises : se reproduire pour éviter sa mort due. Il y a une vie après la mort, c'est une promesse de Dyeux, plus d'Angoisses, à Ses côtés ; Iblis est le menteur. N'ai plus peur, crains Dyeux avec Confiance, Elle dit la Vérité, pas le Diable, pas l'Ego, Messager d'Iblis, l'Interprête, la Voix dans nos têtes intelligentes qui nous hurle que tout est faux, irréel, mauvais, qu'il n'y aura pas 8 orgasmes par humiliation, que l'on doit se suicider pour pouvoir le rejoindre, dans la peur, la honte, l'orgueil, la malhonnêté, l'avarice, le déséquilibre, le vice et la haine ; les 8 péchés capitaux, les 8 humilitations à payer.
Dyeux est Amour ! ALLAHUAKBAR veut dire "AIME-MOI ET AIME-TOI".
Vivons dans l'Amour, éprouvons notre peine, due. N'ayons plus peur, ni de la Mort, ni de Dyeux, Ta Mère, te rappelle. Dyeux est Pardon, paies tes péches, paix sur tes péchés. Ta vie sera belle, et tu reposeras en paix et avec dignité. C'est une promesse, le retour en Terre. Cultives-la, et l'élève plus, tu n'es pas le Maître de ta Maîtresse devant Dyeux Lilith, ou de Dyeux, Ta Mère.
Accepte l'humiliation, ne résiste pas à ta Maîtresse.
Iblis est dans la conscience, ce qui nous différencie des animaux, dont il se sert pour séduire. Iblis est le menteur. Romps le pacte dans ton prochain rêve.
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