Tumgik
ekman · 18 hours
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Les mots sont-ils encore des armes dans un fantôme de société où l’écrit a été supplanté, depuis longtemps maintenant, par le pouvoir de l’image et même au-delà, par le pouvoir du seul écran. Que sont les mots aujourd’hui ? Qui peut encore les lire ? Je veux dire : les comprendre et les lire, avant de les lire puis de les comprendre ? Tout est là. Aller vers eux, ouvrir un livre, prendre sa plume, écrire, écrire et lire, lire puis écrire. Si l’écran est un moyen de jouir, une stratégie de cloporte, une dynamique de glande, les mots restent le seul moyen d’exprimer son désir d’être.  Mais l’époque, toute entière absorbée par le tourbillon de la décadence, est bien cuelle. Au temps d’Hanouna, la réflexion a-t-elle seulement un sens ? Car après tout, chez nos contemporains, l’envie d’avoir raison est plus forte que tout. Elle a la puissance d’un shoot de sucre ou d’une dose de gras. J’ai raison parce que je suis d’accord avec le mec qui a dit ça, et le mec qui a dit ça, visiblement, a eu raison de le dire – les applaudissements programmés sur le plateau d’Hanouna l’attestent. Et s’il a raison (la mimique d’Hanouna est sans équivoque sur ce point), alors j’ai raison avec lui, et dans ce jeu de dupes, ma voix compte enfin, fut-ce par la lointaine et illusoire procuration de l’écran. Les mots, disais-je, dotent la pensée de pertinence et de poids. Ils sont faits de tous les bois et permettent à l’intelligence de crépiter de mille façons, illuminant l’esprit de leur chaleur profonde. Ils forment le discernement, ils organisent la discrimination. Ils orientent le jugement à la lumière de faits tangibles, de vérités accessibles, établies et reconnues. Ils forment le bon sens. Ils relaient l’expérience, ils défient l’avenir. Ils sont le moteur et la transmission du savoir ; ils sont la garantie de la continuité et la condition de l’élévation. Ils sont d’aujourd’hui, d’hier et de demain, forcément, et cela est merveilleux parce que cela s’appelle la liberté. Rejoignez-les !
J.-M. M.
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ekman · 6 days
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Le mensonge aura eu raison de nous, de nous tous, Occidentaux. C’est le mensonge qui apparait en dernier ressort lorsque l’on a analysé avec soin les raisons plausibles de la chute de ce qui fut une extraordinaire civilisation. La dynamique du gain financier, comme instrument et moteur du pouvoir réel – celui de la contrainte des nations, de leurs institutions et des citoyens – a installé le mensonge économique, politique, social comme outil de la disparition des valeurs premières de l’Occident : l’évidence du réel, la valeur esthétique, la primauté de l’éthique. 
L’argent, le prêt, la finance ont permis, tour à tour puis conjointement, de concrétiser la domination du petit bourgeois et de l’oligarque sur l’aristocrate, seule garant du sacré et de la liberté de chacun, toutes conditions entendues. En provoquant la décollation d’un roi de droit divin, c’et un peuple aveuglé par les Lumières qui a contribué à projeter sur tout un continent l’ombre portée des échafauds. 
Dès lors, la communauté des hommes a cessé d’écouter le prêtre quand ce dernier est descendu de chaire pour se laisser gagner par le vertige séculier. Son désir de contrôle a laissé le champ libre aux forces matérielles que lui-même avait contribué à renforcer. Mensonge et corruption des âmes !
Elle a aussi cessé de soutenir le soldat parce que ce dernier, endormi par le confort des paix de compromis et accablé par ses propres reculades, est devenu – pour la certitude d’une solde – le chien docile d’un pouvoir glacial qui n’avait plus rien de charnel. Mensonge et duplicité !
Elle a enfin cessé de compter sur elle-même en oubliant l’essentiel – le primat de sa survie – pour déléguer sa souveraineté à des falsificateurs, pour se vautrer dans le superflu aussi, troupeau toujours plus informe en deuil de ses balises identitaires, avide d’un progrès sans fondement rythmé par le tempo de la facilité et de l’illusion sociale. Mensonge et mensonges encore !
J.-M. M.
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ekman · 7 days
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Dix petites années seulement pour que la France devienne un pays détesté et les Français des bêtes d’abattoir. Dix petites années qui sont l’aboutissement de décennies de mensonge, de manipulation, de corruption, d’incompétence. Partout où l’intelligence française brillait – recherche, industrie, technologies, médecine... – le voile opaque de l’internationale financière a brutalement obscurci l’horizon et brouillé les perspectives. L’immigration de remplacement est le bras armé de cette stratégie, chargée de ruiner les nations au budget, au moral, aux mœurs. J.-M. M.
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ekman · 1 month
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Moi, la guerre, je l’ai faite, figurez-vous. Oui, on ne dirait pas en me voyant. Cet air de s’en foutre que j’affiche toujours du coin de mon œil bleu, les gens se disent en le découvrant que je dois être un fieffé malin, peut-être même un salaud, un abuseur, allez savoir.
Moi, je les emmerde tous. J’ai pas survécu à la mitraille, à la boue, aux Boches et aux rats pour subir leur sale gueule et baisser les yeux. Je les emmerde, je vous dis. Et dans des proportions que vous ne soupçonnez pas. Pas l’un d’eux ne trouvera grâce à mes yeux. Ni le bourgeois replet parti prier son Juif repenti à l’église le dimanche, ni le tchékiste resté à encenser son grand Staline dans une réunion de quartier. Les deux me font chier – et savez-vous pourquoi j’entretiens à leur endroit une haine parfaitement égalitaire ? Mais parce qu’ils sont jumeaux, sortis du même ventre flasque de la Révolution, de la même fente puante, matrice qui dégueule son trop plein d’humanité féroce, foetus aux dents acérées, dévoreurs de mamelle ! Boivent autant de sang que de lait, ces monstres absurdes. Des vraies dégueulasseries biologiques conçues pour anéantir le monde beau et sauvage qui ne les a pas vu venir.
Ces affreux-là, j’en ai croisé sur le front. Jamais en première ligne, trop couards pour ça. Toujours en retrait, juste ce qu’il faut. Se chiant dessus à la première déflagration, même lointaine, même ténue. Terrorisés à l’idée d’une baïonnette boche s’enfonçant dans leur sale bide tout gonflé de haricots mal cuits et de gaz diaboliques. Le rouge et le calotin unis dans la même pétoche minable, incapables de transcender leur peur de mammifère absurde, condamnés à baisser la tête, à lever les bras, à écarter leurs miches poisseuses de merde honteuse. Ah ils puaient ces deux-là, faut me croire. Dans les abris, on les laissait pas rentrer ces ordures. “Allez les gars, soyez pas salauds, allez. Faites une place... Je boirais bien la moitié d’un quart de soupe... Allez…” Des cafards, des magouilleurs, arrangeurs, tricoteurs. Des enculés de frais. “Va chier avec ton quart, sale rat !”, que je leur gueulais. “Quand il fallait monter l’échelle tout à l’heure, t’étais où, hein, mon salaud ?” Généralement, ils baissaient la tête ou mieux, ils se barraient. Partaient pleurnicher dans l’abri d’à-côté. Mendigoter un quignon ou une tige à de bonnes âmes qui ne les avaient pas vu s’affaler au signal de l’assaut. Les mêmes tous les deux ! Le rouge et le calotin. Tout pareillement conjoints dans la terreur, taillés pour survivre à tout, coûte que coûte, dussent-ils se faire cracher à la gueule pour l’éternité des temps, se faire maudir par les agonisants, ceux dont la tripe s’étalait tout autour et qui mettaient pourtant tant de temps à crever ! J’aurais jamais assez de toute ma vie pour les maudire, ces fils de salaud, ces petits rongeurs sans honneur, sans grandeur, sans rien !
Et allez ! Que croyez-vous ? Qu’on n’avait pas peur nous autres ? Qu’on ne pleurait pas en claquant des dents au milieu des éclairs qui hurlaient la mort ? Que l’on se prenait pour des Croisés ou pour des Jean-sans-Peur ? Tu parles ! Dans toute cette apocalypse, nous n’étions plus rien ! Et c’est bien à cause de cela qu’on se redressait et qu’on y allait. Parce que je vais vous dire, moi, l’idée de crever recroquevillé comme un cafard, ça m’a toujours été insupportable. Si je dois y passer, ce sera debout, nom de Dieu. À ma gauche, j’avais Lepault Gaston, un garçon gentil comme tout qui voulait entrer dans la banque. À ma droite, j’avais Lefeuvre Martial, fils de paysan, au travail depuis ses treize ans, père de quatre marmots à pas vingt-cinq. Un peu plus loin, il y avait notre lieutenant, un marquis avec un nom à rallonge incroyable, qu’on appelait Duguesclin pour faire court. Eh bien vous le croirez ou pas, mais on est sortis de la tranchée tous les quatre comme un seul homme et moins de deux minutes plus tard, j’étais le seul en vie, coincé dans un trou peu profond, avec un éclat boche calé dans la cuisse. Les autres étaient partis en poussière, pulvérisés par un obus fabriqué avec soin par de rondelettes bouffeuses de saucisse, quelque part du côté de Cologne.
Alors ne venez pas me faire chier avec mon regard inquisiteur. Il fera toujours moins mal que le shrapnel, tas de cons. Si je vous attrape du coin de l’œil... si je vous ajuste, pour tout dire, soyez heureux que ce ne soit pas entre deux rangées de barbelés avec, calé dans la molletière, le beau couteau de chasse que mon oncle Albert gardait depuis Sedan.
J.-M. M.
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ekman · 2 months
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À peine a-t-on célébré la figure héroïque d’un Badinter raidi, champion incontesté du progressisme, pourfendeur de la peine de mort au nom du vaste humanisme républicain, que l’on s’empresse d’inscrire le droit à l’avortement dans la Constitution. Entre esprits éclairés, frangins militants, satrapes opportunistes, féministes auto-décrétées, le congrès réuni à Versailles a rapidement pris des airs de kermesse à l’instant des résultats de la consultation. Vu l’accélération des revers présidentiels depuis deux gros mois, rendre “immuable” le droit à avorter devenait une affaire urgente. Créer en permanence des faux problèmes et relayer des causes Potemkine est devenu l’occupation principale du staff des conseillers sensés éclairer les pas d’un petit président perdu dans ses nuages blancs et sa dévorante ambition européenne. Échec face aux agriculteurs – échec de communication, s’entend, car pour le reste, ils pourront toujours monter sur leurs tracteurs pour se pendre : rien n’a changé ni ne changera. Visiblement, les Français élevés en batterie et stockés hors sol, bourrés de boosters et d’anti-tout, semblent maintenant résolus à mâchouiller des haricots verts kenyans pour accompagner leur cochon hormonal guatémaltèque. Échec aussi à la réunion des boute-feus européistes où il fut question d’imaginer la possibilité de déployer dix-sept poilus du côté de Kramatorsk au nom de la défense de l’UE et de ses valeurs formidables. Vents et contre-vents s’ensuivirent afin de signifier au pyromane élyséen que cette déclaration était à tout le moins inopportune. Même en cas de canicule carbonée, l’hiver nucléaire n’est pas souhaité. Avec l’Otan et ses affidés comme amis, plus besoin d’avoir Vladimir comme ennemi. 
L’urgence abortive s’explique mieux ainsi.
Le narratif peu inspiré des spin doctors de McKinsey a planté le décor : une droite ultra-réac comptant dans ses rangs des calotins acharnés, des phallocrates maladifs et des misogynes sadiques étant dès à présent aux portes d’un pouvoir trop bienveillant, il était absolument vital de mettre sous cloche un “droit” établi il y a cinquante ans pour faire cesser une autre boucherie, celle des “faiseuses d’anges” en l’espèce. Dès 1974, les préambules et autres prolégomènes de la loi appelaient à la prise de conscience des femmes et des hommes concernés, suggérant mille prudences autour d’un acte terrible autant qu’irréversible. Pour autant, l’histoire récente montre qu’il était déjà trop tard pour barrer la route au “jouissez sans entraves” des gorets de 1968 : au prétexte de libérer les femmes du fardeau de l’enfantement, on les assignait au rôle d’objets sexuels défécondables, conçus pour le seul plaisir de gauchistes pornocentrés et de bourgeois honteux. Belle avancée sur la voie de “l’émancipation”, lisait-on alors dans la presse progressiste. Cependant, comme ça enfantait toujours plus dans les chaumières, les canules se mirent à aspirer à un rythme soutenu les excès de plaisirs fugaces – c’est que la pilule n’était pas encore complètement entrée dans les mœurs, comprenez-vous. En outre, les capotes manquaient de romantisme, le coïtus interruptus ressemblait trop souvent à une loterie et la méthode Ogino n’intéressait que les paroissiens. Décennie après décennie, le nombre d’avortements n’allait que croître, malgré la contraception libre et quasi gratuite, le sida et les MST. La France, avec ses assoces frénétiquement pro-IVG, est devenue un phare dans le domaine. Toutes ces bonnes âmes sont parvenues à tourner un drame féminin en épopée féministe. Et pourtant. L’avortement, c’est d’abord un cœur humain qui cesse de battre. Au-delà des parfaites abruties qui se contre-foutent de la valeur d’une vie (mais adorent le bouddhisme qui est cool et hyper-respectueux), l’avortement c’est d’abord un échec, souvent un drame, toujours une défaite. C’est une borne sombre dressée sur le chemin de celle qui ne sera pas mère. Pour son compagnon, son jules ou son mari ça ne le sera pas moins, si tant est qu’il assume sa responsabilité et soit doué d’un minimum de conscience vitale. En France, la constitution autorise l’interruption de grossesse jusqu’à 14 semaines de gestation, ce qui veut dire que le foetus a déjà son visage, un cerveau et une moelle épinière fonctionnels. Cela, on ne va pas trop vous le dire et surtout on ne va pas vous le montrer, parce que l’on sait jusqu’à quel point les images de chiots dénutris sur Instagram vous émeuvent. Surtout, ne pas prendre conscience de la réalité des choses ni de l’existence des êtres. Votre sexualité, c’est votre liberté. Votre corps vous appartient. Jouissez sans entraves. Ni Dieu ni maître. Et d’ailleurs, comme vous le rappelait un bénévole du Planning Familial, on peut aussi bien assurer le renouvellement des générations avec Momo de Marrakech et Babacar de Dakar. C’est même souhaitable.
J.-M. M.
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ekman · 2 months
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"Je ne voudrais pas vous inquiéter, mais il y a quand même de fortes probabilités pour que Vladimir Poutine soit un agent russe."
J.-M. M. (sur BFM)
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ekman · 2 months
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Il n’y a plus de politique, il n’y a que de la communication, Il n’y a plus de citoyens, il n’y a que des consommateurs, Il n’y a plus d’agriculteurs, il n’y a que des pendus, Il n’y a plus d’écologie, il n’y a que du réchauffement, Il n’y a plus d’opposition, il n’y a que des télévisions, Il n’y a plus de stratégie, il n’y a qu'un prévisionnel, Il n’y a plus d’Europe, il n’y a qu’une colonie, Il n’y a plus d'Élysée, il n’y a qu’une préfecture, Il n’y a plus d'Histoire, il n’y a que des narratifs, Il n’y a plus de banques, il n’y a que des endetteurs, Etc.
J.-M. M.
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ekman · 2 months
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Voici le visage du commissaire du peuple délégué à la censure pour la France, visa d’exploitation UE n°8563447. Cette sympathique tête d’abruti porte de nombreuses casquettes, toutes déformées par sa macrocéphalie gênante et sa réthorique de jésuite marxiste. 
Il s’appelle Christophe Deloire et il est à la tête (haha) de Reporters Sans Frontières, la fameuse assoce qui contribua, en des temps reculés, à la défense de quelques correspondants, photographes et autres reporters menacés, engeôlés, torturés... parfois butés. On se souvient d’ailleurs que son co-fondateur, l’affreuse girouette Ménard, y agit pendant de longues et néanmoins utiles années. ONG de terrain à sa création, “RSF” est progressivement devenue une sorte de chapelle morale à la con pour gauchiste en phase de recyclage, profil 45/55 ans, directeur des rédactions, déjà un divorce, une bicoque à Ré et les gosses HP en garde partagée. Aujourd’hui, “RSF” est une petite usine à gaz armée d’un budget annuel de huit millions d’euros (subventions publiques, mécénat et “fondations” sorosiennes à hauteur de 80 %), finançant la bagatelle de trois millions de “ressources humaines”. C’est vous dire si on est contents pour eux, leurs émoluments et leurs notes de frais. 
Cependant, notre carriériste ne se contente pas de ce job, car il est aussi directeur et vice-président du Centre de Formation des Journalistes, sorte de Saint Cyr pour futurs encartés du mainstream, escabeau vers la dynamique cooptatrice si chère à nos élites. Last but not least – comme écrivent encore les rescapés de la presse des années 2000, il a récemment été désigné pour occuper la tête des États Généraux de l’Information, énième pustule macroniste sensée réfléchir à la meilleure façon de bâillonner tout ce qui ne récite pas correctement la doxa informationnelle.
Ce tout petit Monsieur, cette authentique pompe à merde pour paraphraser Magritte dans son adresse à un critique acerbe, a conduit de main assurée une opération contre l’Arcom, via le Conseil d’État, au motif que la chaîne CNnews dérogerait de manière éhontée à la nécessaire représentation, sur son antenne, de sensibilités politiques diversifiées. Oui, CNews ne proposerait qu’une longue succession d’éditos et de pseudo-débats ultra fachos, indignes de la rayonnante démocratie française. Ne serait-il pas temps de sucrer leur fréquence à ces fumiers réacs, pense en substance ce petit Béria de bac à sable ? Cependant, es-tu certain de ne pas t’être trompé de cible ? Ne pensais-tu pas plutôt à la totalité des médias du service dit public ? Franchement, on se demande quel genre de promesse on a bien pu te faire pour que tu t’abaisses à ce point. Au pouvoir qui nous accable, tu sers le plat le plus dégueulasse qui soit, celui de la censure d’épuration, celle qui traduit un désir de vengeance amère. Ce qui te fait chier, Christophe Deloire, c’est qu’un média que tu ne pourras jamais contrôlé – et qui dit le contraire de ta Pravda publique en exposant les faits de la réalité de ce pays, puisse encore seulement respirer et laisse respirer des millions de Français. Ces Français-là – qui représentent quand même plus de la moitié des suffrages exprimés – te conchient, toi et ta clique de plumitifs vendus à un projet extra-territorial dont tu sers les desseins absurdes en pensant honorer tes vieilles lunes socialistes. 
Tu voudrais vivre comme Robespierre mais tu as peur de l’échafaud, tu voudrais mourir comme Marat mais tu ne te feras qu’enculer sous la douche. Pauvre toi, petit homoncule au crâne rempli de sérum égalitaire. Tu te crois pur et vertueux alors qu’il suffit d’observer ton regard vide pour comprendre que tu agis sur le seul fil de ton ambition démesurée. Ton envie de nuire est inversement proportionnelle à la taille de ta bite. Comment je le sais ? Sur le plateau de CNews où tu pensais pouvoir faire le bravache, tu t’es retrouvé le slip sur les chevilles, bizuté par d’ignobles nazis en colère. J’ai bien ri à observer ton désarroi. Tout compte fait, je te remercie pour ce moment passé chez ton vieux pote Bolloré.
J.-M. M.
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ekman · 2 months
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Je constate que la France, avec la participation active de l'UE et sous le haut patronage du commisaire Breton, s'enfonce doucement dans une forme anesthésiante de dictature avérée. En effet, la plupart des canaux d'information russes ou pro-russes habituellement disponible sur Telegram, sont rendus inaccessibles avec un numéro de mobile français... "car ils enfreignent la législation locale". Je voudrais que l'on me présente la loi qui autorise le gouvernement à censurer l'information sur Internet, fut-elle russe. Car, je ne sache pas que nous soyons en guerre avec Vladimir – du moins pas officiellement et, de toute façon, le serions-nous que ce serait de la plus déplorable façon : a-t-on jamais gagné de guerre en ne la déclarant pas ? Bien entendu, personne ne réagit à cela, la plupart de mes compatriotes (quotidiennement entrainés à regarder le doigt et non la lune) considérant que "c'est normal puisque c'est Poutine l'agresseur". J'ajoute que j'ai également expérimenté aujourd'hui mon premier cas de lâcheté numérique, un (ou une ? Un .iel peut-être ?) membre de la vaste tribu Tumblr ayant cru bon de me traiter de criminel sexuel suite à mon billet sur Gérard Depardieu : "vu que vous défendez un pédo et un violeur on peux considérer que vous l'êtes aussi ? Abruti de première, c'est grave quand même de mettre tant d'énergie à défendre un criminel". Cela m'a bien fait rire, et je souhaitais recommander en retour à ce .iel d'aller découvrir les joies de l'hypnose avec Gérard Miller, mais le courageux personnage m'avait entretemps bloqué. Encore un Bayard du clavier, voire un petit Breton exilé !
J.-M. M.
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ekman · 3 months
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La horde écrase la notion d’individu. Plus encore, la masse indifférenciée des esclaves-prédateurs supprime jusqu'à l’idée d’individualité plausible. L’époque commande, les importés sont là, dans les gares, dans les rues, les magasins, à la piscine, au cinéma... Dans les faits, le choc permanent de soi avec l’autre – c’est à dire la multitude infinie de tous ces autres – interdit, bloque, supprime toute parole, toute velléité d’échange. On est surtout dans l’urgence de l’oxygène mental, de l’horizon dégag��, du repère culturel, d’une appartenance à son propre passé... Le regard embrassera les rondeurs d’un immeuble haussmanien, accrochera une enseigne un peu datée, suivra une bagnole des années 80, sourira aux notre d’une chanson française, s’éclairera à l’ovale d’un visage enfin pâle. Respirer, enfin. Respirer à nouveau. Opposition entre l’hémisphère civilisée qui appréciera toujours la rencontre avec un étranger, et l’hémisphère reptilienne qui fuira et combattra le surnombre. Nous avons perdu le luxe d’un choix et, avec cela, la possibilité même de considérer la pertinence d’un dialogue. Ces quelques lignes pour tenter d’expliquer ces mots qui se sont imposés à moi alors que je sortais du métro parisien : “le racisme, c’est l’urgence.”
J.-M. M.
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ekman · 3 months
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Environ 18 heures après la diffusion de l’interview de Vladimir Poutine par Tucker Carlson, Twitter annonçait autour de 125 millions de vues. Je ne sais pas si ce missile-là est supersonique, ou s’il s’est déguisé en torpille au plasma, mais autant vous dire que c’est un brin la panique dans l’Occident collectif – pour ne pas dire “collecteur”. On m’a montré les réactions sur LCI (ou était-ce BFM ?) de chroniqueurs confus, d’experts délirants et de traine-sabres hystériques n’hésitant pas à se noyer dans leur logique de loser intégral : Poutine ment, alors mentons plus que lui encore. Fascinant ! Plus loin, c’est le chargé de communication du “National Security Council” des États-Unis, l’amiral John Kirby, qui ne parvient pas à dissimuler son agacement et son désarroi face au tsunami d’audience réalisé par cette longue séquence. “Les Américains savent qui est Poutine et ce qu’il a fait.” Oui, bien sûr John. Ils savent aussi que quelques heures plus tôt, Joe “Alzy” Biden affirmait que tout allait bien dedans sa boule d’escalier – deux jours après s’être entretenu avec Mitterrand. Les États-Unis fabriquent des mensonges comme ils impriment des dollars. C’est à dire sans vouloir comprendre qu’ils sont dans une fuite en avant qui un jour va cesser, Brics obligent. L’empire de la freedomerie s’écroule à son tour, emporté par cette méchante fièvre apparue un soir de novembre 1989. La liberté tue l’espérance et seuls ceux qui doivent lutter pour elle ont l’énergie pour se tenir debout. Je sais, c’est un poil sisyphien, mais c’est ce que j’ai observé tout au long des cinquante dernières années. Les combattants marxistes d’hier sont devenus des entrepreneurs libéraux et les porteurs de sacs de riz face caméra sont devenus des porteurs de parts anonymes. Mozambique et Amazon réunis dans la même équation fatale. Vladimir sourit. Il s’amuse à dérouler sa démonstration sans appel. Il aime bien Carlson, ça se voit, même s’il le rattache fatalement à cette nation de clowns psychopathes que sont devenus les États-Unis. Enfin “Unis”... pour quelques temps encore.
J.-M. M.
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ekman · 3 months
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“Mais vous, ces histoires de paysans... que pensez-vous que cela puisse donner, hein ?” m’interroge le dirigeant d’une boîte de carrure mondiale, dans l’échange “off” que nous nous accordons. Je souris. Ça oui alors, qu’est-ce que ça va bien pouvoir donner, ce dernier carré de mohicans qui bloque des routes pour rappeler à tout un pays qu’ils est entrain de crever, pour de bon ? “Méfiez-vous”, lui dis-je. “Pas sûr que les Français se laissent berner cette fois. Quoi qu’on en dise, ils sont attachés à leur vieille terre.” Je dis cela sans grande conviction ; je n’y crois plus trop. Même si je sais que les Français, produits d’une nation de cultivateurs, d’éleveurs, de maraîchers et de pêcheurs sont profondément attachés à leurs paysages, à leurs cheptels et à leurs vignes, aux plaines ponctuées de bois propices au gibier, aux vallons striés de murets multiséculaires, aux champs tenus en terre par un bocage généreux, aux côtes de granit dentellisées par les vents et le sel... malgré tout cela, que puis-je espérer de ce peuple abâtardi par les mélanges incertains, décérébré par la consommation, enlaidi par le béton, les parkings, les zones commerciales ? Ce pays mourant tenu à l’écart de son destin par un État corrompu, vendu à une oligarchie obscène, comploteuse et dissimulée, ce peuple toujours plus anesthésié par les arguties d’agités télévisés et les fessiers négroïdes de putes photogéniques ? Miné par les crédits Cetelem sur vingt ans, soufflé comme un popcorn Euro Disney, baisé par une pile à roues badgée Renault ? Que puis-je raisonnablement espérer ? Une préfecture qui crame accidentellement ? Un CRS rendu cul-de-jatte par un tracteur ? Toujours plus d’OQTF pourfendeurs mortels de barrages familiaux ? Honnêtement, je ne sais pas ce que je puis attendre, cher Monsieur, puisque j’ignore ce qui surgira ou s’endormira dans l’esprit de mes compatriotes. Je crains l’apathie totale, l’anesthésie générale, la mort sans nom. Mais je suis prêt et j’espère encore, toujours.
J.-M. M.
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ekman · 3 months
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Cette grosse gourde de Yolande Moreau, prototype de la comédienne conscientisée beuglant sa phobie convenue de l’esstrèmedrouate, trouve que “c'est affligeant ce qui se passe en France, ce tapis rouge fait au RN !”. La vieille courge franco-wallonne, vaillante démocrate comme tout ce qui moralise à gauche, ne supporte pas que les micros soient tendus en direction d’une sensibilité politique rassemblant environ 40 % d’opinions favorables.  Ce qui est cocasse dans l’histoire, c’est que cette vieille chose semble oublier qu’elle a bâti son succès en jouant, avec Morel, Lochet, Duquesne et Saladin, la bousarde débile des Deschiens. Elle a du mal à voir qu’elle a incarné une France tantôt paysanne, tantôt périphérique, celle-là même qui grossit les rangs de l’électorat RN. En fait, le RN, c’est son écho sur bien des points, l’image en miroir d’une France perdue pour l’espérance, une France qui se voit dégradée, déclassée, dépitée et qui n’a plus que la colère ou l’abrutissement pour se sentir encore vivante. Les Deschiens, oui... dernière caricature avant fermeture. Et cette pauvre courge de Yolande qui se plaint du fumet montant de sa propre déjection. Abrutie.
J.-M. M.
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ekman · 3 months
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Hier, j’ai parcouru Paris en voiture. Quelle catastrophe. Travaux innombrables, trous béants, chicanes étroites, caméras fliqueuses, vélos anarchiques, trotinettes sans freins, bus seuls au monde, bobos vindicatifs, livreurs azimutés, coursiers suicidaires, SDF en grappes, campements erratiques, engeances répugnantes... D’arrondissements en quartiers, le Paris qui fut n’est plus. Un esprit avisé me dira : “vous auriez pu dire la même chose au XIXème siècle, lorsque Haussmann... etc.” Mais non ! Bien sûr que non ! Il ne s’agit pas d’évolution, ni même de révolution, mais de destruction totale, d’annihilation identitaire. Ce qui faisait Paris, sa vie, son quotidien et sa renommée – n’est plus. Sa beauté est fanée, sa langue n’est plus parlée, ses jurons sont muets, jusqu’à ses odeurs, même mauvaises, qui se sont évaporées. Sa population a été auschwitzée par la marée africaine, exilée, effacée, supprimée. Plus de sperme fécond ni d’ovules gouailleurs. Plus de Parisiens le mégot collé à la lèvre, de Parisienne élégante, de gamins rieurs, de landaus insouciants, de jardins publics tranquilles et parfumés, L’enfantement de Paris pour Paris a cessé. Paris, c’est le portrait de Dorian Gray de la France, cette France qui s’enlaidit et s’envulgarise à chaque minute qui passe. Cette France dépossédée d’elle-même, cette France qui ne sait plus, qui n’en puis mais, condamnée à l’impuissance par une république corrompue, complice d’une oligarchie chemsexée, déjantée, vampiresque. Baisée et rebaisée par des sauvages et des barbares. Une France confetti, une France Netflix, la France “Emily in Paris” made in USA, la France-province made in Ursula. Tout se rejoint, se recoupe, se complète. Bientôt les crétin.e.s assexué.e.s commanderont leur bouffe en wolof et négocieront une autorisation de découvert en berbère. Le méchant tour sera joué. Et Paris sera Alger, Yamoussoukro, Islamabad et Davos enfin réunies.
J.-M. M.
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ekman · 3 months
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La France a un nouveau premier ministre, et un presque nouveau gouvernement. Ça fait deux fois "nouveau", et ça c'est nouveau.
• C’est officiel, Attal a été nourri au lait Davos, spécial premier âge, efficace pour attirer les fées Récession et Rébellion autour du berceau de l’heureux élu, jeune Éloïm dressé à coups de saucisse alsacienne.
• Profitons de l’instant pour placer un bonus/malus à celui qui espérait une récompense, je cite notre vieil ami Moussa, fraichement niqué-de-sa-race-sur-le-coran-de-la-Mecque, qui a réceptionné la nomination de son rival pile à cet endroit que Gaby affectionne tant. Pour l’instant, c’est acté, le coq reste chef des poulets.
• Sachez qu’Attal se prononce “Attal” parce que l’on dit “ravioles” quand on veut parler de “raviolis”. Comprenne qui pourra.
• Gaby investit Matignon – sonnez hautbois, résonnez musettes ! – avec l’air modeste et compassé de tous ceux qui l’ont précédé, trop content de jeter à la rue celle qui restera, pour la postérité, l’incarnation même de la sécheresse vaginale.
• Gaby est proche des gens, c’est le service de presse de Matignon qui le dit. Ainsi le voilà parti dans vers les “Hauts de France”, qui valent bien ceux de Hurlevent pour le quart d’heure, tant la tempête y souffle et l’eau y monte. Il est beau surtout dans l’action, Gaby. C’est de son âge.
• Sur les ondes et les plateaux téloche, on vous sert Attal solidaire et volontaire, Attal enfant surdoué, Attal homosexuel assumé, Attal et sa passion Véran – d’ailleurs ne dit-on pas d’une machine efficace qu’elle est montée sur Véran ? Bon, je sors.
• Question people : qu'en pense leurs exs ? Stéphane Séjourné, mari divorcé du fougueux impétrant, a accepté le quai d’Orsay un peu comme on prendrait du bout des doigts un cadeau de rupture. On imagine que la cote de la France va remonter très fort dans les pays africains. Quant à Coralie Dubost, ravissante arriviste qui sortit un temps avec le turbulent bi Véran, on n’a plus de nouvelles. Tant mieux pour elle.
J.-M. M.
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ekman · 4 months
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Tu sais, France, je ne sais plus trop quoi te souhaiter à l’orée de quatre nouvelles saisons. On ne va pas se mentir, toi et moi. On se connait depuis bien trop longtemps pour verser dans les banalités d’usage. Nous savons tes vérités car nous avons fait l’état des lieux. Ce n’est pas brillant, reconnaissons-le. Ça l’est d’autant moins que la somme des boulets et des tumeurs qui ralentissent ton pas et minent ta santé prend maintenant plus de place que ta propre géographie. Déficits économiques abyssaux, remplacements physique et génétique de ta population d’origine, destruction ou réécriture de ton récit historique, pression croissante d’occupants hostiles et sous-formatés, disparition ou corruption des institutions, absence de direction et de décision politiques, effacement progressif et programmé des libertés publiques et individuelles, flicage et répression des populations natives, mansuétude judiciaire pour les exogènes, matraquage médiatique permanent... je pourrais en ajouter quelques autres wagons, mais à quoi bon ?
L’année écoulée a vu son lot de victimes physiques et morales grossir comme jamais depuis la dernière guerre – qui n’était en réalité que l’avant-dernière. La population française, je veux dire celle que l’on appelle maintenant “de souche” car à peu près leucoderme et vaguement chrétienne, n’a jamais été aussi divisée. Non sur des idées ou des opinions de politique générale, pas non plus sur la meilleure façon d’accomoder le bœuf bourguigon ou d’ouvrir une bouteille de Gevrey-Chambertin, mais sur l’attitude à adopter à l’heure du grand vautrage. Faut-il continuer à pousser son maigre avantage comme le bousier son bousin, le tête baissée, le verbe bas ? Doit-on ne plus se préoccuper que des intérêts du premier cercle, le seul qui compte encore, celui qui n’a de valeur que privée ? Est-il possible d’envisager une fuite salvatrice vers une terre encore civilisée ? Ou alors doit-on cultiver l’insouciance en espérant l’éclaircie, ce qui revient à développer un certain (mauvais) esprit en préparant les mouchoirs ? Les Français, selon leur caractère, leurs intérêts, leur degré d’espérance, suivent leur pente. En tout état de cause, qui qu’ils soient, ils se retrouveront tous au creux de la bonde, sur le côté gauche du vaste évier de l’Histoire.
Bonne année quand même, ma vieille et chère France !
J.-M. M.
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ekman · 4 months
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– Vous souvenez-vous des Fêtes de Noël au château, du temps de la douairière, ma chère grand-mère ? – Si je m’en souviens, Monsieur le Comte ! C’était, avec Pâques, le moment le plus important de l’année. Tout le domaine préparait l’évènement des semaines à l’avance. Les gens disaient “tiens, garde donc cela, mets-le de côté, nous en profiterons à la Noël”. Toutes les fermes sélectionnaient à partir de la mi-novembre ! Les viandes, les foies, les beaux légumes, les conserves... – Et les vins ! Nous visitions les caves avec mon père et mon oncle. Joseph suivait avec son chariot et disposait les cols choisis avec science. Jamais une de brisée ! – Oui, les vins... et les champagne, et les liqueurs pour ces dames ! Vous savez, Monsieur le Comte, le moment le plus émouvant c’était quand toute les familles du domaine, les fermiers, les métayers, les ouvriers des ateliers de Monsieur Charles et même certains journaliers, se rassemblaient dans la cour d’honneur, neige ou pas. – Combien pouvions-nous être alors ? Une cinquantaine ? – C’est monté à plus de quatre-vingt, Monsieur le Comte. – Le discours toujours bienveillant de mon père, ma grand-mère distribuant des babioles aux plus jeunes enfants, l’archevêque qui venait bénir tout le monde, même les communistes ! – Il y avait encore du respect de ce temps, Monsieur le Comte. Les gens avaient leurs idées mais les codes étaient respectés. De l’ordre, de la cohérence, aucune familiarité, juste de la bienveillance. Voilà ce qui tenait le domaine. – Vous avez raison. Il y avait cette équité par delà les opinions, les ambitions, les contrariétés... Le sentiment d’appartenir à une communauté, à une terre, à un monde qui gardait du sens, entre le calendrier chrétien et les saisons, le rythme de l’agriculture, les mariages aussi. Et les décès. Plus personnes ne vient se faire enterrer chez nous, vous avez remarqué ? – Je ne sais pas si l’on a encore le droit, Monsieur le Comte. En tout cas moi...  – Et moi aussi, soyez-en sûr. – Bien. Je vous attends vers 19h30 pour l’apéritif avec votre épouse ?  – Ce sera une joie et un honneur, Monsieur le Comte. – Puis nous dînerons avec mes autres invités et ce sera la messe de minuit avancée à 22h30 par commodité. Ce nouveau curé est déplorable. Il a une photo de François à la sacristie. Posée à côté de La Croix et Télérama. Ça ressemble de plus en plus à une kommandantur, son gourbi. – Oh, Monsieur le Comte... Paix aux hommes de... – De bonne volonté, oui, je sais.
J.-M.-M.
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