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#poétiques
plumedepoete · 2 years
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L’homme aux oiseaux - Jean-Marie Audrain
L’homme aux oiseaux – Jean-Marie Audrain
  C’était un petit homme en gris De la couleur de ses mégots Cheveux et barbe assortis En poivre et sel incognito.       Son univers était petit Celui d’une parcelle de parc Bien à sa taille aurait-t-on dit Vu qu’il n’était même pas énarque.   Son monde, c’était les oiseaux Amis qu’il gâtait des deux mains Miettes en bas, quignons en haut Un grand partageur tous terrains.   Un beau jour il se…
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astredempouck · 6 days
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Recueillement, Charles Baudelaire
Sois sage, ô ma Douleur, et tiens-toi plus tranquille. Tu réclamais le Soir ; il descend ; le voici : Une atmosphère obscure enveloppe la ville, Aux uns portant la paix, aux autres le souci. Pendant que des mortels la multitude vile, Sous le fouet du Plaisir, ce bourreau sans merci, Va cueillir des remords dans la fête servile, Ma Douleur, donne-moi la main ; viens par ici, Loin d’eux. Vois se…
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ruemorinpointcom · 2 months
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Conférence « Regard sur le monde »
Les fondements poétiques de la culture arabe | Mercredi, le 3 avril 2024 19h 30 Continue reading Conférence « Regard sur le monde »
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myelicia · 3 months
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Lucy Campbell
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source : @cheminer-poesie-cressant
vivre dans la douceur disparue ; le soleil a trouvé une voie parmi le ciel ; ses rayons qui sont entrés un instant jusqu’ici pour me dire de recroire ; le plus simple arrive encore à me pousser vers ta vie qui vacille ; je me dis encore que tout est possible l’espace de cette lumière
© Pierre Cressant
(samedi 29 octobre 2022)
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kissedbyghosts · 7 months
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Strings
Ivy and hornbeam the color of honey join the new ghosts of Autumn’s world.
I feel the Sun’s fire on the great pines, as long shadows poke boney fingers through the briarwood.
Crows call in the forest as above the wooded hills of burning orange oaks a sweeping Hawk hunts.
I follow a lone Stag down a trail known only to beasts through a bright sea of amber leaves.
I feel the wildness of hardwood around me, and of balsam firs in the biting cold.
I lift a fallen feather and hold it to the Sun, now a hot coal searing into the West.
Bound by strings of spirit to bone, I would sink with it, through reeds and tall grass, to dream of you.
© JM Tiffany
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aschenblumen · 5 months
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Dialéctica del poema, su acto de pensamiento, su saber fundamental: trasnformar nuestro dolor, tu emoción, mi mirada, en su esplendor impersonal quiero decir el esplendor desatado, cristal, mónada, complejidad sin embargo, de un «vislumbre» modulado en la escritura.
—Georges Didi-Huberman, Sublevaciones poéticas (poesía, saber, imaginación). Traducción de Juan Tapia Araya.
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trailofleaves · 4 months
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"Le paradis vers lequel vous vouliez retourner n’est rient d’autre que le reflet d’un excès séculaire du langage même. Mon chat domestique, qui m’est philosophiquement utile, n’a aucun subconscient, car il ne dispose pas d’un langage et n’est donc pas tourmenté par le vestige d’un rêve. Par conséquent, il ne rêve pas non plus d’une expérience intense qu’il regrette."
— Stefan Hertmans, Poétique du silence
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blugrlgroup · 8 months
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i guess you were right.
i gave you
what you begged for,
what i meant to be
a gentle, enveloping comfort
a familiar embrace, draped
around your neck,
like a favourite scarf,
fell victim to my terrified grip,
like a child
clutching their mother’s hand,
a bouquet strangled
in hesitation,
you look down and see
the knife
i held to your throat,
blinded by the light reflecting
in your eyes
you saw a white rose
and forgot about the thorns
you never liked scarves
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succoflood · 12 days
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Titre non sauvegardé : aucun caractère autorisé.
C’est un mot. C’est une sensation. C’est un mot hors du langage, c’est une sensation hors du temps. Une sensation qui s’exprime dans un inconscient, un conscient muet. Un conscient sans corde vocale. Une sensation qui s’imprime sur la rétine, une sensation qui s’imprime dans le cerveau. Une sensation qui s’imprime dans l’âme. Mais il n’y a pas de mot. Mettre des mots dessus est trop complexe. C’est une sensation d’un futur. Une sensation d’un passé. Une sensation d’un présent. Un présent bien trop présent qui plaque notre âme au fond de notre corps. Un présent qui s’absente, un présent qui nous dépasse. Un présent qui oriente, et pourtant qui nous lasse. Un présent qui nous chante « l’aventure est proche », et pourtant l’aventure fait de nos tripes une mélasse.
C’est une image imprimée dans la tête. C’est une peinture que l’on n’explique pas. C’est un amas de couleurs qui se parlent entre elles. C’est un voile qui berce mon cœur. C’est un voile qui aveugle mon cœur. Une histoire sans mot. Une histoire qui n'est que sensations. Une histoire qui n'exprime que des sentiments.
C'est une impression. Une impression que quelque chose attend dans le futur. Une impression qu'il y a quelque chose à faire. Une impression qu'il faut faire quelque chose. Une impression que le monde est distordu. Une impression que tenter de mettre des mots sur cette impression n'est qu'inutile. Une impression qu'on ne peut pas mettre de mot sur ce sentiment. C'est un sentiment qui dit que bientôt ... Bientôt.
Un sentiment qui dicte une pulsion. Une pulsion de vie. Une pulsion d'art. Une pulsion de création. Une impression d'avoir besoin de créer pour vivre. La survie c'est la création.
Une sensation que le bon mot se trouve dans l'art. Que le bon mot est une image. Que ce sentiment est une image. Que le mot pour parler de cette image est une image.
Comment décrire ce sentiment qui est une impression qui est floue, inexplicable. Un besoin qui vient des tripes. Un besoin qui se traduit dans l'art. Un besoin obscure que seul mon imaginaire comprend. Mais que mon imaginaire n'explique pas.
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plumedepoete · 1 year
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De poétiques tourbillons - David Frenkel
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Nuit psychédélique Dans le tourbillon assourdissant De la grande messe métallique, Et sous les lasers fluorescents, Je dansotte avec les alcooliques. Pris dans un tourbillon de folie, Dans l’abysse je suis entraîné ; J’aperçois la méduse Aurélie ; Sous ses ailes d’or je vais caner. Le mal de tête me ressuscite,  M’extraie du tourbillon de mes rêves. J’émerge dans une aube anthracite Celle qui m’enténèbre et me crève. Dansez arias Les soucis dansent avec moi Dans un tourbillon de joie. Ils ont vibré d’effroi Aux souffles de Dame Fortune, Et ont trépassé Dans un tourbillon de bonnes nouvelles. Ils ont ressuscité Aux détours des vicissitudes de la vie ; D’autres esprits les avaient invités. Avant de partir, valsez avec moi. Le labeur, ma solitude Dans un tourbillon de labeur, J’enfonce mon impérieuse vanité. Agite-toi, besogne indispensable ; Tes objectifs me font vibrer jusqu’à la moelle. Sous le joug d’un capitalisme fiévreux, Sous la férule de fébriles mépris, Je tourbillonne dans la vaste économie, Dans la solitude endormie. Mouvements amoureux Dans le tourbillon de l’amour, Tes yeux tournent en vrille, Ta voix descend en spirale, Ton parfum monte en volute, Ta grâce tourne comme une hélice, Et mon cœur se tortille d’amour. L’infâme jalousie Dans le tourbillon de la passion, J’aperçois maintes rivalités. Mon amour est en ébullition Dans la tortueuse volupté. Mes mots s’agitent de jalousie Qui dans un tourbillon de violence Enlève à l’amour sa poésie. Le poème se meurt en silence. Un vaste tourbillon de colère Entraîne mon esprit et mon cœur Dans des pensées qui vont vous déplaire ; Mon âme s’abîme de rancœur. Ô vieillesse Par la fenêtre de la vieillesse, J’aperçois mes années printanières Qui dans un tourbillon de joliesse Me saluent de brillante manière. Le tourbillon de la mort m’entraîne. Avec le trépas, je dois descendre. Autour de moi, les années s’égrènent La vieillesse me joue les Cassandre Aux confins du trépas Dans le tourbillon de l’angoisse, La noire inconnue m’engloutit. Je virevolte dans le néant, Damné par l’hydre des ténèbres. Je tournique dans l’ombre infernale, Dans le tourbillon de la mort. Aucune main ne me sauve, Aucune parole ne me délivre Du tourbillon d’un diabolique silence. Dans le tourbillon des souvenirs, Mon âme soudainement surgit ; Leur mémoire va me retenir ; Ils gravent sur mes années : ci-gît. Le tourbillon de la création Un jour Dieu a tourbillonné d’ennui. Il s’est agité dans la profonde nuit Et s’est morcelé en d’infinis tourbillons Qui tournent autour de l’éternel sillon, Celui que Dieu creuse continuellement Dans le labyrinthe de son entendement. David Frenkel Read the full article
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astredempouck · 12 days
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Bénédiction, Charles Baudelaire
Lorsque, par un décret des puissances suprêmes, Le Poète apparaît en ce monde ennuyé, Sa mère épouvantée et pleine de blasphèmes Crispe ses poings vers Dieu, qui la prend en pitié : – « Ah ! que n’ai-je mis bas tout un nœud de vipères, Plutôt que de nourrir cette dérision ! Maudite soit la nuit aux plaisirs éphémères Où mon ventre a conçu mon expiation ! Puisque tu m’as choisie entre toutes les…
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Dis-nous, comme autrefois nous l’aurait dit Horace, Si l’homme doit combattre ou suivre son destin ; Si je me suis trompé de but ou de chemin ; S’il est vers la sagesse une autre route à suivre, Et si l’art d’être heureux n’est pas tout l’art de vivre ?
Alphonse de Lamartine, Méditations poétiques, Tome 1, Vingtième méditation "Philosophie" (Au Marquis De la Maisonfort) (1834)
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T’es belle
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T’es belle comme la mélancolie. T’es belle comme la sobriété ivre d’ivresse. T’es belle comme les coccinelles. T’es belle comme l’herbe verte. T’es belle comme la pluie. T’es belle comme un matin bleu d’hiver. T’es belle comme l’instant qui ne sait pas qu’il va mourir. T’es belle comme la lenteur. T’es belle comme la douceur. T’es belle comme un « t’es belle » un soir de printemps. T’es belle comme un « ta gueule » bien placé dans la tronche d’un mec qui t’aurait mal parlée. T’es belle comme un soleil d’automne. T’es belle comme une nuit d’été, noire et étoilée. T’es belle comme une nuit blanche déglinguée, trouble et poétique. T’es belle comme les papillons. T’es belle comme du beurre sur une tartine grillée. T’es belle comme la confiture. T’es belle comme le miel. T’es belle comme une page blanche qu’on a envie de noircir de poèmes érotiques. T’es belle. C’est tout. T’es belle.
// Dédé ANYOH //​​
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.
un jour il y aura une dorure de plus
dans laquelle je ne te verrai plus
il y aura un principe en moins
pour trouver le bonheur
il y aura ta parole qui tourmentra mon silence
et mon silence qui contiendra plus de silence
un jour il y aura la peine de ton absence
.
© Pierre Cressant
(jeudi 2 mai 2024)
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euesworld · 2 years
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"Soulmate with me, intertwine your hand in mine and let our hearts beat as one when the sun is high in the sky.. midday, sunny smiles for miles or the sky is grey, I don't care.. I just want us to be together. Wherever you find yourself in life, I want to be there with you taking in the beauty of the day. Let it softly, oh ever so softly bleed into the night when the stars are out and the constellations wink out to bring the dawn, hold my hand through it all.. soulmate with me."
I will be here loving you with every breath until my last - eUë
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