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#maison bagues
labellenouvelle · 1 year
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1960s BRASS BAR CART
Sexy vintage 1960s Italian brass two tier bar cart. Solid acorn brass finials and gallery on both tiers. Rolls smoothly.  The piece you were waiting for to complete your decor and entertain in style.  Fix your favorite drinks and cocktails out of this gorgeous cart !!  
Item No. E5699
Dimensions: 36″ wide ( handle included ) 32″ wide ( not counting handle ) x 20″ deep x 32″ high / 36″ high ( handle )
SOLD
504.581.3733 / t
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maraboutahoton · 2 months
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RETOUR D’AFFECTION RAPIDE
Ce rituel de Retour d’affection mystique immédiat saura débloquer les situations les plus difficiles et vous guider.Pour vous fait revenir votre ex. Vous fait aimer de l’être aimé, retour d’affection par ses travaux occultes puissants.Votre ex sera irrésistiblement attiré vers vous et vous retrouverez le bonheur d’antan Retour d’affection.Pas de déception.Magie d’amour dont la puissance et…
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Closet Boston Inspiration for a sizable transitional dressing room renovation with carpeting, open cabinets, and white cabinets
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glennkotche · 11 months
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Transitional Closet - Closet Large transitional gender-neutral carpeted dressing room photo with open cabinets and white cabinets
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diamantaire01a · 2 years
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https://www.laveran-paris.com/
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mediummaraboutdako · 2 years
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BAGUE DES JEUX DE HASARD DU MEDIUM JEAN DAKO
BAGUE DES JEUX DE HASARD DU MEDIUM JEAN DAKO
BAGUE DES JEUX DE HASARD DU MEDIUM JEAN DAKO Cette bague magique est un pouvoir conçu pour les jeux de hasard. IL s’agit de la plus ancienne bague, mystique et plus puissant anneau magique. Cette BAGUE MAGIQUE avec son TALISMAN. Est un article conçu par le grand maitre marabout voyant compétent papa MEDIUM jean dako pour les jeux de hasard. Ce pourvoir organisé par les grands magiciens…
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marabouts-blog · 1 day
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AVEZ-VOUS DES PROBLÈMES SPIRITUELS ET EN RECHERCHER VOUS DES SOLUTIONS EN 21 JOURS ? CONTACTER MOI SUR WHATSAPP: 00229 691 02375
VOICI LES PRODUITS MAGIQUES QUI PEUVENT VOUS APPORTEZ LE BONHEUR A VOS PROBLÈMES: -1)RITUEL POUR GAGNER UN PROCES –2)SAVON MAGIQUE DE PROTECTION ET DE RICHESSE -3)TALISMAN POUR EMPÊCHER LE DIVORCE -4)PUISSANTE BAGUE MAGIQUE D’AKARAM -5)LE PUISSANT TALISMAN DES 1000 POUVOIRS MAGIQUE -6)LE COFFRE AUX 05 ETOILES MAGIQUES –7)LA REUSSITE DE VOTRE ELECTION POLITIQUE, –8)TALISMAN SPECIAL DE L’ŒIL DE SEDUCTION –9)COUP MAGIQUE DE GUÉRISON –10)LE STYLO MAGIQUE (LE BIC MAGIQUE) -11)RITUEL D’AMOUR POUR RETROUVER SON AME SOEUR -12)L’EAU ,SAVON,ET LE PARFUM MAGIQUE -13)BAGUE DE PROTECTION 24/24 -14)RITUEL POUR OBTENIR UN EMPLOI -15)DETECTEUR DE POISON -16)LE PUISSANT TALISMAN DES 20 CARRES MAGIQUES -17)RENDRE UN HOMME ET UNE FEMME FERTILLE -18)BOUGIE DE PROTECTION ET DE RICHESSE -19)LA GUÉRISON DU SIDA PAR LA PLANTE MIRACULEUSE AFFAMA -20)LA PUISSANTE BOUGIE MYSTIQUE -21)PROTECTION DE LA MAISON CONTRE LES FANTÔMES,LA MAGIE NOIRE ET LA SORCELLERIE -22)COUTEAU MAGIQUE DE PÊCHE , DE CHASSE, ET AUTRE Wossou Dogboli Contactez-moi sur WhatsApp, signal 00229 691 02375 Que les bénédictions soient…
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Bague "Nuit" gouache de la Maison Vever (2021) à l'exposition “Dans l'Intimité de Vever, Bijoux et Objets depuis 1821” chez la Maison Vever, rue de la Paix, juin 2023.
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it-is-i-a-retard · 2 years
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Fluent Forever 625: French
For those of you who can’t be assed to get all the 625 words in French I’ve done it for you (I might do other languages as well)
-Repost from my old account
Animals: chien, chat, poisson, oiseau, vache, cochon, souris, cheval, aile, animal
Transport: train, avion, voiture, camion, vélo, bus, bateau, navire, pneu, essence, moteur, billet, transport
Lieux: Ville, maison, appartement, rue/route, aéroport, gare, pont, hôtel, restaurant, ferme, cour, école, bureau, chambre, commune, université, club, bar, parc, camp, boutique/magasin, théâtre, bibliothèque, hôpital, église, marché, pays, bâtiment, terre, espace, banque, lieu
Vêtements: chapeau, robe, combinaison, jupe, t-shirt, pantalon, chaussures, poche, manteau, tache, vêtements
Couleur: rouge, vert, bleu (clair, foncé), jaune, marron, rose, orange, noir, blanc, gris, couleur
Personnes: fils, fille, mère, père, parent, bébé, homme, femme, frère, sœur, famille, grand-père, grand-mère, mari, femme, roi, reine, président, voisin, garçon, fille, enfant, adulte, humain, ami, victime, joueur, amateur, foule, personne
Travails: professeur, étudiant, avocat, docteur, patient, serveur, secrétaire, prêtre, police, armée, soldat, artiste, auteur, directeur, journaliste, acteur, travail
Société: religion, paradis, enfer, décès, médicament, argent, dollar, facture, mariage, mariage, équipe, race, rapports sexuels, sexe, meurtre, prison, technologie, énergie, guerre, pais, attaque, élection, magazine, journal, poison, arme à feu, course, exercice, balle, jeu, prix, contrat, drogue, marque, sciences, dieu
Art: bande, chanson, instrument de musique, musique, film, art
Boissons: café, thé, vin, bière, jus, eau, lait, boisson
Nourriture: œuf, fromage, pain, soupe, gâteau, poule, porc, bœuf, pomme, banane, orange, citron, maïs, riz, huile, graine, couteau, cuillère, fourchette, assiette, tasse, petit déjeuner, déjeuner, dîner, sucre, sel, bouteille, nourriture
Maison: table, chaise, lit, rêver, fenêtre, porte, chambre à coucher, cuisine, salle de bains, crayon, stylo, photo, savon, livre, page, clé, peinture, lettre, note, mur, papier, plancher, plafond, piscine, verrou, téléphone, jardin, jardin, aiguille, sac, boîte, cadeau, carte, bague, outil
Électronique: horloge, lampe, ventilateur, téléphone portable, réseau Wi-Fi, ordinateur, programme d’ordinateur, laptop, écran, appareil photo, télévision, radio
Corps: tête, cou, visage, barbe, chevaux, œil, bouche, lèvre, nez, dent, oreille, larme, langue, dos, orteil, doigt, pied, main, jambe, bras, épaule, cœur, sang, cerveau, genou, sueur, maladie, os, voix, peau, corps
Nature: mer, océan, rivière, montagne, pluie, neige, arbre, soleil, lune, monde, terre, forêt, ciel, plant, vent, sol, fleur, vallée, racine, lac, étoile, gazon, feuille, air, sable, plage, vague, feu, glace, île, colline, chauffer, nature
Matériels: verre, métal, plastique, bois, pierre, diamant, argile, poussière, or, cuivre, matériel
Mathématiques/dimensions: mètre, centimètre, kilogramme, pouce, pied du roi, demi, cercle, carré, température, date, poids, bord, coin
Noms divers: carte, point, consonne, voyelle, lumière, son, oui, non, pièce, douleur, blessure, trou, image, modèle, nom, verbe, adjectif
Directions: haut, bas, côté, devant, derrière, à l’extérieur, à l’intérieur, en haut, vers le bas, gauche, droit, nord, sud, est, ouest, direction
Saisons: été, printemps, hiver, automne, saison
Nombres: zéro, un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf, dix, onze, douze, treize, quatorze, quinze, seize, dix-sept, dix-huit, dix-neuf, vingt, vingt et un, vingt deux, trente, trente et un, trente deux, quarante, quarante et un, quarante deux, cinquante, cinquante et un, cinquante deux, soixante, soixante et un, soixante deux, soixante-dix, soixante-onze, soixante-douze, quatre-vingt quatre-vingt-un, quatre-vingt-deux, quatre-vingt-dix, quatre-vingt-onze, quatre-vingt-douze, cent, cent un, cent deux, cent dix, cent onze, mille, mille un, dix mille, cent mille, million, milliard, première, deuxième, troisième, quatrième, cinquième, nombre
Moie: janvier, février, mars, avril, mai, juin, juillet, août, septembre, octobre, novembre, décembre
Jours de la semaine: lundi, mardi, mercredi, jeudi, vendredi, samedi, dimanche
Temps: année, mois, semaine, jour, heure, minute, second, matin, après-midi, soir, nuit, temps
Verbes: travailler, jouer, marcher, courir, conduire, voler, nager, aller, arrêter, suivre, penser, parler/dire, manger, boire, tuer, mourir, sourire, rire, pleurer, acheter, payer, vendre, tirer, apprendre, sauter, sentir, écouter, écouter, goûter, toucher, voir, regarder, donner un bisou, brûler, fondre, creuser, exploser, asseoir, supporter, adorer, passer à côté, couper, se battre, s’allonger, danser, dormir, se réveiller, chanter, compter, marier, prier, gagner, se perdre, mélanger, plier, laver, trouver, tomber, pousser, tirer, porter, casser, porter, pendre, secouer, signer, battre, soulever
Adjectives: long, court, grand, petit, large, étroit, grand, petit, lent, vite, chaud, froid, chaleureux, frais, nouveau, ancien, jeune, vieux, bon, mal, mouillé, sec, malade, sain, bruyant, tranquille, heureux, triste, belle, moche, sourd, aveugle, gentil, méchant, riche, pauvre, épais, mince, cher, pas cher, plat, courbé, mâle, femelle, serré, ample, haut, bas, doux, dur, plongé, peu profond, propre, sale, fort, faible, mort, vivant, lourd, léger, foncé, clair, nucléaire, célèbre
Pronoms: je, tu, il, elle, ce, nous, vous, ils/elles
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marie-swriting · 1 year
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Je Te Le Promets - Bucky Barnes
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Marvel Masterlist
Résumé : Tu es amoureuse de Bucky Barnes, mais la Seconde Guerre Mondiale se met en travers de votre amour.
Warnings : angst, fin triste, mort de personnage, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
N/A : Dans la dernière partie du One Shot, il y a deux temporalités utilisées donc quand s'est écrit en italique, ça signifie que c'est l'autre temporalité qui se passe en 1945.
Nombre de mots : 2.8k
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : Hurts Like Hell par Fleurie
Perdue dans ton discours, tu ne réalises pas que tu as passé les dix dernières minutes à parler du Hobbit. Bucky avait lancé le sujet, ignorant complètement que tu étais tout autant passionnée par ce livre que lui. On pourrait dire que tu es même plus passionnée que lui. Tu lui expliques des détails précis de l’histoire qu’il n’avait jamais remarqué. Il t’écoute avec attention, ne voulant rien manquer de ta pensée. Alors que tu arrives à la conclusion d’une réflexion, tu réalises que tu ne lui as pas laissé la chance d’ajouter des éléments. Tu te tournes vers lui, une expression gênée sur le visage.
-Désolée, j’ai encore trop parlé. J’ai cette mauvaise habitude. 
-Ne t’arrête pas pour moi. J’adore t’écouter, te rassure-t-il, mais tu es toujours embarrassée. 
-Ne dis pas ça par politesse. Je sais que je peux être agaçante à trop parler. On me le dit tout le temps.
-Les personnes qui te disent ça ne méritent pas que tu perdes ton temps pour eux. Je t’écouterai toujours. 
-Toujours ? Même quand tu seras marié et que tu auras des enfants ? rigoles-tu. 
-Oui, je t’écouterai toujours car je ne serais pas contre l’idée d’être marié avec toi et d’avoir des enfants. J’aimerais être celui qui place une bague sur ce doigt précis, informe-t-il en prenant ta main gauche et montrant ton annulaire. 
-Tu parles d’avenir alors que tu n’as pas encore osé m’embrasser, fais-tu remarquer avec un sourire malicieux. 
-J’attends juste le moment parfait pour te poser la question.
-Quelle question ? demandes-tu en feignant l’ignorance et faisant sourire Bucky. 
-Puis-je t’embrasser ?
-Je n’attends que ça. 
Sans attendre, Bucky pose sa main gauche sur ta joue alors que l’autre tient toujours ta main avant de poser ses lèvres sur les tiennes. Rapidement, ta main de libre se positionne délicatement sur son cou. Vous vous embrassez tendrement alors que Bucky caresse affectueusement ton annulaire, imaginant déjà le jour où il sentira la bague alors qu’il t’embrassera devant vos proches.
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Après un an de relation, Bucky a demandé ta main, ce que tu as accepté sans hésiter. À présent, une jolie bague avec des symboles fleuris et une petite pierre orne ton doigt. Vous n’avez pas encore fixé de date de mariage sachant que Bucky pourrait être appelé à la guerre à n’importe quel moment. Cependant, rien ne vous empêche d'agir déjà comme un jeune couple marié. En effet, il n’est pas rare que vous fassiez des activités chez l’un ou chez l’autre comme si vous viviez dans votre propre maison lorsque vous êtes seuls. 
Ce jour-là, tu es chez Bucky, vous préparez un gâteau. Enfin, tenter de préparer un gâteau serait plus juste. Tu essaies d’être sérieuse, mais ton fiancé fait tout pour te déstabiliser, ce qui fonctionne. À un moment, tu feins l’agacement et décides de le laisser travailler seul. Tu t’assois face à lui. Bucky te regarde, complètement perdu, ne sachant pas comment continuer la recette sans faire d’erreur. 
-Tu es capable de réparer des bateaux, je suis sûre que tu peux suivre une recette.
-Mais on était censés le faire ensemble, boude-t-il. 
-Tu aurais dû réfléchir à deux fois avant de m’embêter.
-Je m’excuse sincèrement, chérie, dit Bucky en prenant avec délicatesse ton visage entre ses mains. Veux-tu bien m’aider avec le gâteau, s’il te plait ?
Tu réfléchis pendant une seconde, voulant camper sur tes positions, mais le regard amoureux de Bucky t’oblige à rendre les armes.
-Très bien. De quoi as-tu besoin ? 
Alors que Bucky retourne lire les instructions, tu prends discrètement une poignée de farine. Il a toujours le nez plongé dans la recette quand tu lui lances l'ingrédient. Bucky ouvre sa bouche, choqué par ton geste. Il relève sa tête vers toi avec un faux regard menaçant.
-Cours.
Il ne t’en faut pas plus avant de fuir hors de la cuisine. Tu cours jusqu’au salon, tentant de trouver une cachette alors que Bucky est derrière toi, farine en main. Tu te tournes pour voir s’il est proche et pour lui, c’est le moment parfait pour te balancer la farine en pleine tête. Par chance, tu as fermé les yeux pile à temps. Bucky profite que tu sois déstabilisée pour te rattraper et entourer ses bras derrière toi. Il serre ta taille alors que tu tentes de te défaire de son emprise en rigolant. Bucky n’attend pas avant de te chatouiller, te faisant rire encore plus. 
-Je continuerai jusqu’à ce que tu t’excuses, t’infome-t-il.
-Tu l’as cherché ! rétorques-tu. 
-Je ne t’avais rien balancé, moi !
-Tu as commencé. 
-Tu ne vas pas t’excuser ? questionne-t-il en calmant sa torture.
Tu fais semblant de réfléchir avant de répondre sérieusement :
-Non.
Bucky te chatouille de plus belle. Tu batailles à respirer comme il faut. Vous restez dans votre bulle, riant à gorge déployée, jusqu’à ce que vous entendez frapper à la porte. 
-Tu attends quelqu’un ?
-C’est sûrement ma soeur, elle a dû finir sa séance shopping plus tôt.
Bucky se dirige vers la porte avant de l’ouvrir et de tomber sur, non pas sa sœur, mais un homme avec un uniforme de l’armée. Rapidement, il tente d’enlever la farine présente sur son visage et se tient droit. L’officier lui donne des informations ainsi qu’une lettre et repart. Bucky fait le salut militaire et referme la porte.
-Qui c’était, Buck ? demandes-tu en devinant que c’était important.
-J’ai reçu mes ordres. Je dois partir à la guerre demain, t’annonce-t-il et tu sens ton cœur louper un battement. 
-Demain ? J'espérais que l’on aurait au moins quelques jours avant ton départ. 
-Ils ont besoin d’hommes le plus tôt possible, répond Bucky avant de voir ton visage triste. Hey, Y/N/N, ça va ?
-Je devrais être celle qui te demande ça. Tu pars pour la guerre.
-Je vais bien, répond Bucky avec un sourire confiant.
-Mais tu n’as pas peur ? Pour ma part, j’ai vraiment peur. J’ai peur pour toi, Bucky, avoues-tu avec une petite voix.
-Tout ira bien, Y/N, assure-t-il en prenant tes mains.
-Tu ne peux pas dire ça. On en sait rien.
-Je te le promets.
-On parle de la guerre, Bucky, répliques-tu en te séparant de lui. Tu sais aussi bien que moi que la guerre est imprévisible. Ton destin n’est plus entre tes mains. On ne sait pas ce qui peut t’arriver.
-Je reviendrai.
-Comment peux-tu être aussi sûr ? 
-Il y a six mois, je t’ai fait une promesse, celle d’être ton mari, commence-t-il en reprenant ta main gauche et caressant ta bague. Je suis un homme honnête. Tu penses vraiment que tu vas te débarrasser de moi avant que j’accomplisse ma promesse ? Je reviendrai à la maison. Je te reviendrai, Y/N. Je te le promets, termine Bucky avant de te serrer contre lui, sa main gauche toujours dans la tienne. 
-Tu as intérêt à tenir cette promesse ou je te fais la promesse que je trouverai un moyen de te botter les fesses, déclares-tu, ton visage contre son torse.
-Je n’en attendais pas moins de toi, rigole-t-il avant de t’embrasser le front. Je t’aime, Y/N/N.
-Je t’aime aussi, Buck. 
-Viens, je dois préparer mon sac et il faut aussi qu’on se nettoie et qu’on lave aussi la cuisine avant de retrouver Steve au cinéma. 
Ta main tenant encore la sienne, tu le suis alors que tu ne peux t’empêcher d’avoir une boule au ventre, craignant le pire pour Bucky.
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Bucky est au front depuis presque deux ans. Chaque jour, tu te forces à rester optimiste, ne voulant pas penser aux pires scénarios. Tu ne peux pas laisser tes peurs parler. Tu tentes de concentrer tes pensées sur la prochaine lettre de Bucky. Tu sais qu’elle peut arriver à n’importe quel moment et tu ignores combien de temps tu devras attendre avant d’en avoir une nouvelle. 
Ces lettres sont devenues ton nouvel espoir. Ce sont ces lettres qui te permettent de tenir bon, car elles sont la preuve qu’il est toujours vivant. Toutefois, quand le temps entre deux lettres se fait long, ton anxiété bat ton espoir un peu plus, ce qui est le cas actuellement. Tu n’as pas reçu de nouvelles de Bucky depuis deux mois. Tu es de plus en plus désemparée à chaque nouvelle journée. 
En temps normal, tes parents font tout pour t’éviter de trop penser à ton fiancé. Malheureusement quand ils ont des choses de prévues, tu ne peux t’empêcher de penser à Bucky. Tu es en train de tricoter quand on frappe à ta porte. Tu poses ton tricot et vas ouvrir. Il te faut une seconde pour reconnaître Steve qui a bien changé depuis la dernière fois que tu l’as vu. Ta peur s'évanouit en un instant et un grand sourire prend place sur ton visage. Tu le prends dans tes bras sans attendre.
-Mon Dieu, Steve ! Ça fait si longtemps ! t’exclames-tu en te séparant légèrement de lui. Même si j’ai vu les affiches, ça fait bizarre de te voir ainsi. Mais je reconnais toujours bien le Steve de Brooklyn, ris-tu en prenant son visage entre tes mains. Tout va bien ? Qu’est-ce que tu fais là ?
-Je peux rentrer ? Je dois te parler, dit-il, tentant du mieux qu’il peut de cacher sa tristesse. 
-Bien sûr. Allons dans le salon, réponds-tu en l’invitant chez toi. Qu’est-ce qui se passe ? Je n’ai pas attendu parler de la fin de la guerre alors pourquoi es-tu ici ? Bucky n’est pas avec toi ? questionnes-tu, innocemment. 
-Tu devrais t'asseoir, Y/N, suggère Steve et tu sens ta peur revenir aussi vite.
-Pourquoi ? demandes-tu en t’exécutant, anxieuse.
-J’étais en mission et Bucky était avec moi…
-Il est blessé ? l’interromps-tu. Dans quel hôpital est-il ? Steve, dis-moi ! ordonnes-tu, complètement paniquée, mais le visage fermé de ton ami ne te rassure pas.
-Y/N, je… Je suis désolé. Bucky a fait une chute. On n’a pas pu retrouver son corps. Il est décédé, t’annonce Steve et tu as l’impression d’avoir mal entendu. 
-Qu… Comment…, commences-tu en sentant un nœud se former dans ta gorge. Comment peux-tu en être sûr ? Vous n’avez pas retrouvé son corps, il est peut-être quelque part ! t’indignes-tu en te levant du fauteuil.
-Il est tombé de trop haut. Il n’avait aucune chance de survivre, affirme-t-il et tu sens les larmes commencer à couler doucement sur tes joues. 
-Ce… Ce n’est pas…, bégayes-tu, désespérée. Steve, il peut pas être… C’est impossible.
Tu exploses en sanglots quand tu comprends que tu as officiellement perdu Bucky, pour toujours. Ton cri déchire le cœur de Steve. Sachant qu’aucune phrase ne peut t’aider, il se rapproche de toi, tu tentes d’abord de l’éloigner, mais tu n’as pas de force pour le combattre. Steve te serre contre lui, te caressant le dos alors que tu pleures toutes les larmes de ton corps. Tu t’accroches à sa veste comme si c’était ta bouée de sauvetage. Steve savait que t’annoncer la nouvelle serait une épreuve horrible. Il avait tenté de se préparer à te voir te briser devant lui, mais c’est pire que ce qu’il avait imaginé. 
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Malheureusement pour Steve, il n’avait pas eu à annoncer ce genre de nouvelle qu’une seule fois. Après avoir été décongelé, Steve a découvert que Bucky avait, en effet, survécu à la chute, comme tu l’avais suggéré dans un moment de désespoir. 
Quand Bucky a réussi à retrouver un peu son identité, il a tout de suite voulu savoir ce qui t’était arrivé. Il sait que la réponse le brisera plus qu’elle ne le réconfortera. Après tout, soixante-dix ans sont passés. Les chances d’une fin heureuse sont minimes. Mais il a besoin de savoir. Steve a fait des recherches complètes sur toi, voulant pouvoir répondre à toutes les réponses de Bucky. 
-Y/N est décédée il y a deux ans pendant son sommeil. Je suis désolé, Buck, déclare Steve en regardant son meilleur ami tristement.
-Je… J’avais un espoir qu’elle soit encore vivante. Je pensais encore pouvoir tenir ma promesse, dit Bucky en riant jaune.
Des larmes apparaissent dans les yeux de Bucky alors que son espoir disparaît. Il réalise que tout ce qu’il avait souhaité, tout ce qu’il pensait qu’il pouvait encore avoir, n’est plus à sa portée depuis deux ans. 
Quand il lâche un sanglot, Steve prend son meilleur ami dans ses bras. Bucky le serre contre lui, se servant de lui comme d’une bouée de sauvetage, comme tu l’avais fait de nombreuses décennies auparavant. Ses pleurs se font de plus en plus fort alors que Steve tente de le réconforter du mieux qu’il peut. Comme lorsqu’il t’avait annoncé le présumé décès de ton fiancé, son cœur se déchire, se sentant, une nouvelle fois, impuissant. 
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Après s’être calmé, Bucky se rend au cimetière. Tes fleurs préférées en mains, Bucky se tient debout devant ta pierre tombale. Tout comme tu l’as fait lorsque tu as enterré un cercueil vide en 1945. 
A la fin de l'obseque de Bucky, Steve t’a laissé seule pour que tu puisses te recueillir. Dès qu’il n’est plus en vue, tu commences à parler, ayant besoin d’exprimer ce que tu ressens.
-C’est malin, maintenant je dois trouver un moyen de te botter les fesses, comme je te l’avais promis. 
Au moment où tu dis le dernier mot, tu craques à nouveau. Tu tombes à terre, tes joues à nouveau baignés dans les larmes. 
-Tu avais… promis, sanglotes-tu en regardant la terre fraîchement retournée. Tu m’avais promis de revenir à la maison. 
Les yeux déjà larmoyants, Bucky pose le bouquet face à ta pierre tombale. En faisant ceci, il prend réellement conscience de la situation.
-Je suis enfin revenu à la maison, Y/N, annonce Bucky en regardant là où tu es enterrée. Je suis désolé pour mon retard. 
-On était censés avoir un avenir ensemble. On… on devait vivre ensemble… vieillir ensemble, déclares-tu en sanglotant.
Les yeux de Bucky se posent sur ta photo, placée à côté de ta date de naissance et de mort. Malgré les rides, il reconnaît sans effort ton visage.
-J’aurais aimé vivre avec toi, voir ton visage vieillir en même temps que le mien, murmure-t-il en commençant à pleurer. 
-Ce n’est pas juste. Tu méritais de revenir. Tu méritais d’avoir l’avenir dont tu n’arrêtais pas de parler. On méritait de vivre notre histoire comme on le souhaitait, t’exclames-tu avant de reprendre ta respiration. Si je ne peux pas être avec toi, je ne serai avec personne. Tu es la seule personne avec qui je voulais un avenir. Je ne veux personne d’autre que toi. Je ne veux pas d'une autre bague, affirmes-tu en touchant le bijou en question. Je ne veux pas une promesse de la part d’un autre homme. Peut-être que tu aurais voulu que je “refasse ma vie”, mais tu n’as déjà pas tenu ta plus grande promesse, alors permets-moi de ne pas t’écouter sur ce point.
-Steve a dit que tu ne t’es jamais mariée. Je ne t’en aurais pas voulu si ça avait été le cas. Tu avais le droit, avoue Bucky en reniflant. J’espère juste que tu as fini par être heureuse comme tu l’étais quand l’on s’est rencontrés. 
-Je ne serai plus jamais heureuse, Buck, proclames-tu, en tentant de sécher tes larmes, en vain. En tout cas, c’est l’impression que j’ai. Mais je suis sûre d’une chose. Le jour où je rendrai mon dernier souffle, je le serai, car je sais que je serai enfin de nouveau avec toi, dis-tu avec un léger sourire. Peut-être qu’à ce moment-là, on pourra vivre comme on avait voulu le faire, suggères-tu avant de calmer un peu tes sanglots. Je n’arrive pas à croire que… que tu ne sois plus là. J’ai si mal, Buck.
-Je suis désolé que tu aies dû passer le restant de ta vie à croire que j’étais mort alors que j’étais utilisé comme une machine à tuer. Au moins, tu connais seulement l’ancienne version de moi. Tu ignores tout ce que j’ai pu faire, tente de se rassurer Bucky, détournant légèrement le regard. 
-Je ferai en sorte que tout le monde se rappelle de ce que tu as fait durant la guerre, Bucky. Je te le promets. Personne n’oubliera le héros que tu es… étais.
-Steve m’a également dit que tu avais passé ta vie à entretenir notre mémoire, à moi et à lui. Je ne te mérite vraiment pas. Je t’ai trahie et tu as quand même passé ta vie à me commémorer. J’aurais voulu qu’on ait au moins quelques heures ensemble. 
-J’aurais aimé te revoir une dernière fois, au moins durant quelques heures.
-Je t’aime, Y/N Y/L/N. Je t’aimerai toujours, dit Bucky en essuyant ses joues.
-Je t’aimerai toujours, Bucky Barnes. Je te le promets.
Comme pour sceller ta promesse, tu poses délicatement tes lèvres sur ta bague de fiançailles. Ce bijou est désormais la seule preuve de l’amour de Bucky pour toi. Il est ton seul moyen pour l’avoir auprès de toi, pour toujours. 
Bucky, quant à lui, n’a que ses souvenirs, qu’HYDRA lui avait enlevés pendant ces derniers soixante-dix ans et qu’il doit encore totalement récupérer, et le dossier que Steve a fait sur la partie de ta vie qu’il a manquée, car il n’est pas revenu auprès de toi à temps, comme il te l’avait promis.
Marvel Masterlist
{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
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sundaymorningsims4 · 2 years
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Lilith Simpa 🌙
« Angela et Lilith Simpa ont emménagé dans une vieille maison de famille à Gibbs Hill pour étudier dans les prestigieuses universités de Britechester. Pour leur relation, ce sera un test : les jumelle arriveront-elles à surmonter leurs divergences ? Ayant choisi deux matières principales différentes, elles seront dans deux universités distinctes, mais se tourneront-elles le dos ou feront-elles équipe pour surmonter les obstacles ? »
𝔾𝕖́𝕟𝕖́𝕣𝕒𝕝 : Skin (Rosewater) | Cheveux | Hairline | Sourcils | Yeux | Cils | Tâches de rousseur 1, 2 | Grains de beauté | Face Overlay | Boucles d’oreille (Cloud) | Anneau | Septum | Dents | Collier | Poitrine | Tatouages 1 & 2 | Ongles | Bagues | Pieds 𝕄𝕒𝕢𝕦𝕚𝕝𝕝𝕒𝕘𝕖 : Fard 1 & 2 | Eyeliner | Face Highlight | Lèvres 1 & 2 | Highlighter ℚ𝕦𝕠𝕥𝕚𝕕𝕚𝕖𝕟 : Barrettes | Haut (Lucy) | Jupe (Clover) | Bracelet | Collant | Bottes ℍ𝕒𝕓𝕚𝕝𝕝𝕖́  : Barrettes | Robe | Ceinture (Amore v2) | Chaussures 𝕊𝕡𝕠𝕣𝕥 : Barrettes | Haut (Cleo) | Short | Bracelet | Chaussettes (EA) | Baskets (LowTopSneaker03) 𝕊𝕠𝕞𝕞𝕖𝕚𝕝 : Haut (SemiTucked) | Short | Chaussures (FlatformSliders01) 𝔽𝕖̂𝕥𝕖 : Barrettes | Haut (Geri Matte) + (Fishnet) | Jupe (Angela v2) | Bottines (LeatherPlatformAnkleBoots02) 𝕄𝕒𝕚𝕝𝕝𝕠𝕥 𝕕𝕖 𝕓𝕒𝕚𝕟 : Lunettes | Maillot  𝕋𝕖𝕞𝕡𝕤 𝕔𝕙𝕒𝕦𝕕 : Barrettes | Haut (Lara) + (Ana) | Short | Chaussures (LeatherAnkleBoots03) 𝕋𝕖𝕞𝕡𝕤 𝕗𝕣𝕠𝕚𝕕 : Bonnet (Lifted) | Manteau (Martha) | Pantalon (Gwen) | Chaussettes (EA) | Bottines (LeatherPlatformAnkleBoots02)
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carreimperial · 10 months
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Napoléon & Joséphine : Mariage arrangé
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Le dimanche 21 septembre 2014, lors d'une vente aux enchères à Rueil-Malmaison, le Musée des lettres et des manuscrits de Paris avait acquis pour 350000 euros (437500 euros, taxes comprises) le contrat de mariage liant le général Napoléon Bonaparte à Marie-Josèphe Rose Tascher dite Joséphine. Cet exemplaire est celui de l'Impératrice Joséphine. Les Archives nationales conservent celui de Napoléon. Le 24 mars 2013, la bague de fiançailles était adjugée à 896400 euros à la maison Osenat de Fontainebleau.
Date : 9 mars 1796
Lieu : mairie du 2e arrondissement de Paris, à l'hôtel Mandragon, rue d'Antin.
Début février 1796, le général Napoléon Bonaparte et Joséphine (Marie-Josèphe Rose Tascher) décidèrent de se marier - publication du 7 février, 17 ventôse an IV.
A l'époque, l'annonce de ce mariage surprit et dérangea l'entourage à cause de leurs différences : Joséphine, âgée de 32 ans, veuve du général Alexandre de Beauharnais, mère de deux enfants. Napoléon, âgé de 26 ans, sans enfant.
Bien que fort séduit, Napoléon comprit aussi tout l'avantage de s'unir avec l'amie de Paul Barras, l’homme fort du gouvernement de la Première République française. Le 9 mars, après 22h00, le mariage fut prononcé à la mairie du 2e arrondissement de Paris, à l'hôtel Mandragon, rue d'Antin. Le 18 mars, le contrat fut enregistré et les copies authentiques destinées aux époux furent envoyées.
Autorités présentes
Collin-Lacombe, commissaire ;
Maurice-Jean Raguideau de La Fosse, notaire ;
Étienne-Gabriel Jousset, notaire.
Témoins des mariés
Paul Barras, membre du directoire exécutif ;
Capitaine Jean Lemarois, aide-de-camp de Napoléon ;
Jean-Lambert Talien, membre du corps législatif ;
Étienne-Jacques-Jérôme Calmelet, homme de loi.
Toutes les modifications et étrangetés
Pour se conformer aux mœurs de l'époque, les âges des mariés ont été modifiés. Joséphine est rajeunie de quatre ans, soit 28 ans, et Napoléon est vieilli d'un an, soit 28 ans, né le 5 février 1768 au lieu du 15 aout 1769 (cette date est antérieure au 15 mai 1768, date du traité de Versailles attestant l'occupation et l'administration de la Corse par le Royaume de France).
L'adresse du domicile de Napoléon n'est pas rue d'Antin, mais rue Neuve des Capucines, aujourd'hui rue des Capucines.
Napoléon est désigné comme général en chef de l’armée de l’Intérieur, alors que le 2 mars, il fut nommé commandant en chef de l’armée d’Italie.
La minute du contrat fut signée le 8 mars devant les notaires Raguideau de La Fosse et Jousset et en présence du capitaine Lemarois.
Charles-Théodore-François Leclercq, officier public de l'état-civil du 2e arrondissement du canton de Paris, est désigné comme autorité du mariage, mais il partit avant et fut remplacé par le commissaire Collin-Lacombe.
L'article 1er du contrat indique que les époux ne seront nullement tenus des dettes et hypothèques l’un de l’autre, mais 3 ans plus tard, le 18 avril 1799, une apostille du tribunal civil de la Seine vint se joindre au contrat, attestant l’inscription d’un acte privé sur un registre public. En effet, pendant que Napoléon était en Orient, Joséphine demanda la séparation des biens avant son achat du château de Malmaison. Elle emprunta pour cela des sommes que son mari rembourserait personnellement à son retour.
Extrait original
Article 1er. Il n'y aura aucune communauté de biens entre les futurs époux… en conséquence les futurs époux ne seront nullement tenus des dettes et hypothèques l’un de l’autre.
"Par devant les notaires à Paris soussignés, furent presens Napolione Buonaparte, général en chef de l’armée de l’Intérieur, demeurant à Paris, rue d’Antin…, originaire d’Ajaccio en Corse, fils de défunt
Charles Buonaparte et de Letizien Ramolini, son épouse, actuellement sa veuve, stipulant pour lui et en son nom, d’une part, et Marie Josephe Rose Tascher, veuve d'Alexandre François Marie Beauharnois, duquel elle a deux enfans, Eugène et Hortense, demeurant à Paris, rue Chantereine…, la dite citoyenne née en l’isle Martinique du mariage de Gaspard Tascher, capitaine de Dragons et Rose Claire Des Vergers, son épouse, stipulant pour elle et en son nom, d’autre part, lesquelles parties, dans la vue du mariage proposé entre elles en ont arrêté les conditions civiles ainsi qu’il suit.
Article 3e. Chacun des futurs époux contribuera pour moitié aux charges du mariage.
Article 2e. Chacun des futurs époux jouira à part et divisément des biens, droits et actions tant meubles qu’immeubles lui appartenant et pouvant lui appartenir par la suite à quelque titre et à quelque cause que ce soit et en quoi qu’ils puissent consister… la future épouse ne restant tenue de recourir à l’autorisation de son mari que pour les actes qui emporteroient aliénation de ses capitaux. Le futur époux autorise d’ailleurs la future épouse à continuer les fonctions de la tutelle qui lui a été déférée des deux enfans mineurs issus de son premier mariage…
Article 4e. Le futur époux constitue à la future épouse un douaire de quinze cens livres de rente annuelle et viagère, valeur ancienne…
Article 6e. La future épouse déclare et le futur époux reconnois que les meubles, linges, l’argenterie, et généralement tous les biens meubles corporels dont la future épouse est maintenant en possession appartiennent à la communauté qui a subsisté entre elle et son premier mari et qui a continué avec ses enfans, faute par elle d’avoir fait faire inventaire dans le délai prescrit par la loi. Que la future épouse fait actuellement procéder à cet inventaire et qu’il est sur le point d’être mis à fin. Qu'elle, future épouse, ne peut déclarer maintenant le montant de sa fortune parce que tout dépend de la question de savoir si elle acceptera la communauté ou si elle y renoncera, ce à quoi elle ne peut se déterminer qu’après la confection dudit inventaire…"
Article 5e. Arrivant la dissolution du mariage, la future épouse et ses héritiers reprendront : 1° les habits, linge, hardes, dentelles, argenterie, bijoux et diamants à l’usage personnel de ladite future épouse, 2° tous les meubles et autres objets mobiliers et quelqu’espèce qu’ils soient que la future épouse ou ses héritiers justifieront avoir été acquis par elle ou autrement lui appartenir.
Apostille du tribunal civil de la Seine datée du 18 avril 1799 : "Insinué à Paris au bureau établi près le tribunal civil du département de la Seine le vingt neuf germinal an sept (18 avril 1799)… et transcrit
tout au long les articles premier et cinq au registre de forme dudit tribunal… à la réquisition du porteur qui a signé sur ledit registre et a été averti de la déclaration à faire dans les six mois du décès du prémourant et de réitérer l’insinuation de l’article premier relatif à la non communauté au greffe du tribunal civil…"
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chicinsilk · 1 year
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US Vogue January 1, 1967
Editha Dussler in a taupe Anglo wool tweed suit woven in America By Jack Sarnoff. Small short jacket, full skirt, deep A pleats on each side, large military pockets. Brass buttons. down Hanes. Napier earrings. Handbag by Ruza Creations. Kislav's Gloves. Cadoro, Ciner, Marcel Boucher rings. Hairstyle: Sebou from Maison Revlon.
Editha Dussler dans un tailleur en tweed taupe en laine anglo tissée en Amérique Par Jack Sarnoff. Petite veste courte, jupe ample, plis A profonds de chaque côté, grandes poches militaires. Boutons en laiton. bas Hanes. Boucles d'oreilles Napier. Sac à main par Ruza Creations. Gants de Kislav. Bagues Cadoro, Ciner, Marcel Boucher. Coiffure : Sebou de la Maison Revlon.
Photo Irving Penn
vogue archive
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fauvelienne · 11 months
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Lili
Tu t’appelle Lili, tu es entré dans ma vie un jour d’octobre, comme tombent les feuilles à cette période, par hasard.
Un hasard peu commun car ta maman était très malade. Tu devais partir à Bali, et puis tu as changé d’avis.
Moi je revenais au bled après 5 ans. J’étais en plein burn-out je n’en avais parlé à personne mais c’était une mauvaise période. Mais pas pire que de voir sa mère malade, m’étais-je dit en l’apprenant de ta sœur.
Ta maman c’est ma voisine au bled. Celle que j’ai connu depuis ma naissance. Celle qui a une maison depuis laquelle on voit mieux la mer que de chez nous, ça me rendait jalouse quand j’étais plus petite. Je trouvais ça injuste que les arbres me chachent la mer à la maison.
Un matin, ma maman te présente à moi comme celle avec qui elle a fait les 400 coups plus jeune. Dans la discussion, je me rends compte que tu es une personne très douce, bienveillante et je ressens tant l’amour inconditionnel que le non jugement. J’analyse tout, ta voix un peu cassée mais qui me reste dans la tête. Ton sourire, les bracelets à tes poignets, les bagues à tes doigts.
Je me sens aimée. Instantanément. J’ai ma place dans le cœur de quelqu’un. Je trouve une grande cousine et bien plus que ça, une grande sœur. Dans ton regard je me sens comme une personne saine, douce. Pour ça j’ai envie de changer. À ce moment, je sais que je ne suis pas à ma place dans ma vie actuelle, que je mérite mieux. On sait pas toujours ce qu’on vaut.
Les jours passent, on se voit tous les jours. Je ne te dis pas grand chose de ma vie j’ai le sentiment que je n’ai pas besoin de te raconter quoi que ce soit. Tu sais. Toi tu me racontes toute la tienne. Tes voyages, tes amis, ton boulot. L’état de ta maman ne s’améliore pas. On se promet des mots « ça va aller promis ». Ça devient notre phrase. Cette phrase de @aelnaute
Vient le moment où je dois rentrer du bled. Ce jour là alors que je charge mes valises dans la voiture je supplie le ciel de t’envoyer. Ça se produit, tour de chance. Les derniers mots de courage, que je retiendrai longtemps. Je garde dans ma tête la douceur de ta voix cassée, ton parfum, tes gestes. Ce jour là je te promets de ne pas t’oublier et de faire en sorte d’aller mieux. Toi tu me promets de ne pas m’oublier.
Le retour est dur. Dans l’avion je ne dors pas je pleure silencieusement. Je pleure le manque, je pleure le travail que je vais devoir faire pour devenir la personne que je dois devenir. Je ne veux pas seulement être une fille saine un temps, ça doit durer.
Pendant des semaines, je pleure en appelant ton nom chaque fois qu’il m’arrive une galère (et elles sont nombreuses). J’ai besoin de quelqu’un pour me conseiller, d’un adulte plus adulte que moi.
Lorsque ta maman est partie rejoindre un autre monde. J’ai eu peur de ne pas savoir être suffisamment là. J’ai fait avec ce que j’étais et ça semblait bien. Pour la première fois de ma vie je suis assez.
Lorsque tu pars finalement à Bali, on se parle beaucoup même avec 8h de décalage.
Moi j’avance. Enfin. J’obtiens mon permis et un nouveau travail. Quand j’étais venue au bled j’avais fait 50 candidatures je n’avais pas une réponse. Comme par enchantement j’en fais 10 j’ai 10 réponses.
Je deviens cette personne dont tu es fière.
Le temps passe, Noël, nos anniversaires, le jour de l’an. La vie.
En mars, j’ai le privilège d’apprendre avant tout le monde que tu pars vivre dans les îles. Pour 2 ans au moins. Ça me brise un peu le coeur et à la fois je suis heureuse pour toi. Moi aussi j’ai changé de vie, chacun son tour. Je ne sais pas quand on se reverra mais je commence à économiser durement. Actuellement j’espère pouvoir venir en janvier. On se verra en 2024 tu as ma parole.
C’est toi qui m’a proposé qu’on se voie à l’aéroport avant que tu partes. Je n’ai pas hésité une seconde. J’ai posé une aprèm. Et j’ai couru.
C’était doux. Ça m’a fait du bien de te voir en allant mieux. Ça m’a fait du bien de me jeter dans tes bras en criant « Lili ».
Une dernière promesse. Avec 2 bracelets de @aelnaute Où que tu soies je veillerai sur toi.
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C’était moins dur que je pensais de te laisser dans cet aéroport. Parce que je sais. Je sais que la distance ne peut rien faire contre l’amour d’une famille. J’ai confiance en nous maintenant.
On m’a toujours dit loin des yeux loin du cœur mais c’était pas vrai. Je te parle tellement plus souvent à toi qu’à ceux qui vivent à côté de chez moi. J’ai compris qu’un entourage ça se choisit. Ça se construit. C’est la première fois que je n’ai pas peur de la distance. Alors que quand je suis partie du bled, tu sais, si je t’envoyais un message un jour sur 2 c’était pas à cause du décalage horaire. C’était parce que je testais, parce que j’avais trop peur de m’attacher. Et puis j’ai arrêté de vouloir faire semblant d’être froide, parce que ce n’est pas ce que je suis. Je suis quelqu’un de bien. Je veux être cette version de moi qui existe dans ton esprit.
Je m’estime heureuse d’être si bien entourée. D’enfin savoir sur qui compter.
C’est doux d’être aimée. C’est doux de ne plus avoir peur. J’ai vu le vrai moi avec toi.
Je t’aime de tout mon coeur.
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swedesinstockholm · 1 year
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journal de let’s move pt.2
19.01
je viens de répéter toutes les chorégraphies pour ce weekend, ça me prend vingt fois plus de temps que la moyenne, mais si je m’entraîne vingt fois plus que les autres, ça pourrait potentiellement commencer à rentrer. je pourrais même... aimer ça? quand je pense au weekend, l’enthousiasme est plus grand que l’angoisse, c’est une sensation étrange.
22.01
pendant toute la partie d’america où il faut être énervée j’aurai qu’à penser à la maison et à la place hamilius qui me donne envie de vomir à chaque fois que je la traverse en sortant du bus. une des danseuses a comparé luxembourg à dubaï, ça m’a horrifiée mais c’est de plus en plus vrai. c’était déjà mille fois mieux que le weekend dernier hier, j’étais un tout petit peu moins perdue dans les chorégraphies grâce à mes révisions intensives, j’ai regardé les videos de cybille tellement souvent que le téléphone s’est éteint tout seul. je devais faire attention à pas trop la regarder avec mon air énamouré devant les caméras d’rtl hier soir, j’ai pas trop envie que mon entichement passe aux infos nationales. elle portait un jean noir large comme celui que j’ai acheté chez episode à bruxelles mardi. dans les escaliers j’ai entendu quelqu’un dire qu’elle avait deux enfants.
23.01
je veux pas être amatrice. j’étais un peu énervée par sylvain groud le chorégraphe hier qui arrêtait pas d’involontairement me ramener à ma position de non professionnelle, ma position de jean-jacques, de non-artiste, dont la tâche est d’être honnête et authentique, d’être soi-même, de représenter la société ou que sais-je. mais moi je veux être honnête, moi-même et authentique en tant qu’artiste. j’en ai marre de représenter la société civile. je veux que ce soit tous les jours comme lundi dernier à la soirée de lectures performées à la maison poème de bruxelles. je veux être l’artiste. ceci étant dit, j’ai écrit god bless participatory art dans mes stories ig parce que quand même, merci la vie de me donner toutes ces opportunités de me retrouver sur scène! j’ai de nouveau chanté dans le micro hier, sur la scène, devant la salle vide, mais cette fois sylvain m’a donné d’autres directives et j’ai du la faire plus cheeky/diva. j’étais crispée par la peur mais en même temps j’ai un peu goûté au nectar des dieux. j’avais déjà goûté au nectar des dieux lundi dernier à la maison poème, mais chanter sur scène, c’est encore autre chose. oh boy. et encore y avait que dix personnes dans la salle.
à chaque fois qu’éléonore ouvre la bouche je me dis que c’est la plus belle chose que j’ai jamais entendue. le spectacle vivant, et plus spécifiquement le chant et la danse sont au dessus de tout. j’ai passé une heure à stalker cybille sur mon téléphone hier soir avant d’aller au lit. elle a fini sa formation de danse à istres en 2010. l’année où j’ai fini le lycée. je me demande quel âge elle a. elle est mon opposé polaire. elle porte du vernis bleu foncé sur les orteils et bordeaux sur les doigts, un bracelet de cheville, deux boucles d’oreille différentes à chaque oreille plus d’autres petites boucles et plusieurs bagues. hier je la regardais attacher ses cheveux longs longs longs en chignon et je me demandais comment je pouvais être à ce point sensible aux gens, pourquoi tout de suite j’ai l’impression de me liquéfier sur place? pourquoi je me laisse aussi facilement prendre dans les filets des gens charismatiques, ou même moyennement charismatiques, je suis tellement une proie facile, je sais pas, c’est une question de pas savoir comment gérer ses émotions? est-ce que je devrais faire de la sophrologie pour arrêter de tomber amoureuse cul par dessus chaise à tout va?
à part ça j’ai enfin éprouvé du plaisir en dansant ce weekend, c’est enfin arrivé j’ai eu du plaisir en dansant en public c’est possible!!! est-ce que tout va être différent après le spectacle? est-ce que ma vie va changer? c’est pour ça qu’en 2015 sur le chemin de skalanes à la pointe de la côte est islandaise en remontant le temps jusqu’au début de l’univers broadway est apparu devant moi comme une illumination? c’était un signe du futur? est-ce que c’est une des clés? en rentrant du théâtre à pied je marchais à moitié sur la route à moitié sur le trottoir enneigé en chantant all that jazz non stop en boucle jusqu’à ce que j’arrive à la maison, même quand y avait des gens autour. hier je chantais les trois phrases de tonight de west side story tout en écoutant l’enregistrement d’éléonore au piano sur mon téléphone pour chopper la bonne tonalité, je m’entraînais en public et je peux plus marcher quelque part autrement maintenant.
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De Jem à Emma
Très chère Emma,
Merci d’avoir écrit pour me tenir informé de la situation à Blackthorn Hall, et de ces manifestations fantomatiques en particulier. J’apprécie beaucoup que tu veuilles bien parler de ce qu’il se passe. Je suis heureux que nous ayons laissé derrière nous la période où tu ressentais le besoin de dissimuler tes intentions les plus folles à l’ancienne génération, moi y compris. J’espère que tu sais que tu n’as pas besoin de garder ces intentions secrètes, aussi insensées qu’elles soient. Les secrets vous ont causé tellement de souffrances à toi et Julian par le passé, je veux que tu saches que tu peux tout me dire et que je ne te jugerai pas.
Tu dis donc que tu aides un fantôme ? Cela pourrait être un dessein noble et charitable, mais je me dois de t’inciter à la prudence. L’histoire de Blackthorn Hall a par moments impliqué d’affreux personnages et de la magie sinistre, et si un esprit hante véritablement le manoir, il n’est peut-être pas bienveillant. Le fait que Magnus n’ait perçu aucune méchanceté me rassure grandement, mais je t’inciterais tout de même à faire preuve de prudence concernant les demandes de ce fantôme pour retrouver sa liberté. Il ne te veut peut-être aucun mal apparent, mais cela ne signifie pas qu’aucun mal ne t’arrivera.
Au sujet de la Taverne du Diable : en effet, je la connais. Elle a été un repaire de Créatures Obscures pendant des siècles, et pendant un temps, au début du siècle dernier, c’était une sorte de refuge pour des personnes qui étaient très chères au cœur de Tessa et au mien. Je ne souhaite pas te parler beaucoup d’elles – c’est douloureux de nous replonger dans les souvenirs de cette époque, car cela nous rappelle beaucoup de choses que nous avons perdues, et des personnes que nous n’avons pas pu sauver. Mais je pense aussi que cela ne t’aiderait pas personnellement : il me semble qu’il vaut mieux que tu entreprennes ces recherches sans idée préconçue ni attente au sujet de ce que tu pourrais trouver.
Pourquoi ai-je cette impression ? Je peux seulement te dire qu’au cours des nombreuses années que j’ai passées en tant que Frère Silencieux, j’avais une grande affinité pour les ombres : pour les morts et ceux qui hantaient, et pour les souvenirs qui les rattachaient à notre monde. J’étais moi aussi rattaché par des souvenirs à cette époque. Ce sont eux qui m’ont permis de rester humain et de revenir à cette vie que j’ai maintenant, que j’aime tant.
Alors je ne te parlerai pas des noms ni des personnalités – ce ne sera peut-être pas du tout pertinent dans tes recherches, mais tu dois continuer pour le découvrir. Et c’est pour cette raison que je te dirai ceci : tu n’as vu qu’une fraction de la Taverne du Diable. Il y a un escalier plutôt noirci derrière le bar, et en haut de ces escaliers il y a une pièce secrète, qui a été condamnée il y a des dizaines d’années. Il est possible que l’objet recherché par votre fantôme s’y trouve. Si tu souhaites avoir accès à la pièce secrète – et un accueil plus chaleureux à la Taverne de manière générale – montre au patron du bar les bagues de vos familles. Dis-lui vos noms : Blackthorn, Carstairs. Ils seront importants.
J’espère que tu me tiendras informé de ce que tu découvres, et des prochaines étapes de ton aventure. Je souhaite savoir, même si une partie de moi craint ce que tu pourrais trouver dans cette pièce, et ce que ça pourrait révéler sur les destins des personnes que j’ai aimées par le passé. J’espère avoir tort. J’espère que ce récit aura une fin heureuse. Je sais au moins ceci : ce fantôme a de la chance que des âmes aussi déterminées que toi et Julian l’aident à trouver le repos.
Church m’a informé que c’est, en réalité, l’heure du dîner, et naturellement je dois satisfaire ses moindres caprices. J’espère que votre installation à Blackthorn Hall se passe bien pour Julian et toi, malgré le fantôme agité et les nombreuses années d’abandon dont la maison a souffert. Tu as raison de dire que je ne suis pas étonné par la présence d’un fantôme. Le passé hante ce lieu, une histoire de choses qui ont été faites et d’autres qui sont restées inachevées. Il est possible qu’en apportant de l’amour et de la vie dans cette demeure, tu fermeras ce chapitre d’abandon, et en ouvriras un nouveau, d’infinie possibilité.
Je crois en toi, Emma. Quand je te vois, je vois les Carstairs du passé : je vois du courage, et la flamme de Cortana. Souviens-toi que tu es du même acier et de la même trempe que ceux qui sont passés avant toi. J’espère te revoir bientôt, et qu’à ce moment, j’aurai la force de te parler de certains d’entre eux, d’une fille aux cheveux lumineux comme des flammes, et de son frère, et de ceux qui sont arrivés avant et après eux.
Je t’embrasse,
Jem.
Texte original de Cassandra Clare ©
Traduction d’Eurydice Bluenight ©
Le texte original est à lire ici : https://secretsofblackthornhall.tumblr.com/post/670476065741881344/jem-to-emma
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