#transcult and violence | Explore Tumblr Posts and Blogs

radcaen · 3 years

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Le modèle CIPE et l'activisme transgenre

"La plupart des gens pensent que le contrôle mental est un processus ambiguë, mythique, qui ne peut pas être défini en termes concrets. En réalité, le contrôle mental se réfère à une panoplie de méthodes et techniques spécifiques, comme l'hypnose ou l'arrêt de pensées, qui influencent la manière dont une personne pense, se sent, et agis."

Le modèle CIPE[1], dont j'ai traduit tout les points sur mon Instagram, est un modèle descriptif des méthodes utilisées par les cultes pour recruter et maintenir le contrôle sur ses membres. Il a été développé par Steven Hassan. CIPE est l'acronyme de Comportement, Information, Pensée, Émotions, les quatre éléments que contrôlent les cultes.

Sur internet, beaucoup de radfems parlent du mouvement transgenre comme d'un culte (l'expression "transcult" est beaucoup utilisée) pour souligner le côté abusif de son fonctionnement. Mais est-ce que cette appellation est juste ? C'est ce que j'aimerais analyser ici.

Mise au point

Il n'y a pas besoin de cocher toutes les cases de toutes les catégories du CIPE pour déterminer qu'un mouvement relève du culte. De plus, dans un mouvement aussi large que l'activisme trans, il est normal de retrouver certains aspects dans des communautés spécifiques et pas dans d'autres, surtout qu'il n'y a pas de "pouvoir centralisé" pyramidal qui dirige l'idéologie. Ainsi, il est possible que je ne coche pas certains points que d'autres personnes auraient cochés, basés sur l'expérience personnelle avec différentes communautés transgenres.

Comme le dit le créateur du modèle : "On détermine qu'il y a un contrôle mental destructif quand les effets généraux de ces quatre éléments promeuvent la dépendance et l'obéissance à un leader ou une cause ; il n'est pas nécessaire que chaque élément de la liste soit présent.[...] Le contrôle mental devient destructif quand il détruit les capacités d'une personne à penser et agir de manière indépendante."

Ensuite, j'aimerais faire un point sur ce qu'est un culte, car on m'a dit que la transidentité ne peut pas être un culte car ce n'est pas religieux et qu'il n'y a pas de leader. Un culte peut être lié à une idéologie ou à une cause ; même sans leader, s'il y a croyance, il peut y avoir un culte. D'où le besoin d'avoir ce modèle pour déterminer les mouvements qui peuvent être dangereux.

Pour la lisibilité de l'article, j'ai coloré en rouge chaque élément de chaque partie qui, selon moi, s'applique à l'idéologie trans, basé sur mes observations personnelles et sur des témoignages. Je développe ensuite chaque point pour clarifier ma position. J'invite très sérieusement chaque lectrice à me donner un retour sur cette classification, et à discuter de l'impacte de ce modèle.

Contrôle du Comportement

Promeut la dépendance et l'obéissance

Modifie le comportement avec des récompenses et des punitions

Dicte avec qui et où tu vis

Restreint ou contrôle la sexualité

Contrôle les vêtements et les coupes de cheveux

Régule quand et à quel point tu manges et bois

Te prive de sept à neuf heures de sommeil

Exploite financièrement les membres

Restreint les temps de repos et de détente

Oblige à obtenir une autorisations pour les décisions importantes

Promeut la dépendance et l'obéissance Pour la dépendance, les trans et alliées doivent se référer à ce qui est en vogue en ce moment pour savoir ce qui est bien ou pas : l'obligation de ne rien relayer qui ait été "cancel", l'encouragement de s'entourer d'autres personnes queers, trans, etc. et à ne pas remettre en question la narration principale actuelle, à partager les cagnottes quand c'est demandé, etc. Il ne s'agit pas d'une dépendance matérielle mais intellectuelle et sociale, une dépendance aux avis et opinions des trans "influenceurs". Pour l'obéissance, il s'agit d'obéir aux hommes transidentifiés du mouvement (les femmes trans) et de ne pas les remettre en question. Voir mon article sur la misogynie dans les espaces trans.

Modifie le comportement avec des récompenses et des punitions Les récompenses et punitions sont d'ordre social. Les gens qui mettent leurs pronoms en bio sur les réseaux sociaux, qui utilisent le hashtag "trans women are women", qui assurent ne pas soutenir les TERFs se voient approuvés socialement et récompensés, comme l'autrice du livre "Moi, les hommes, je les déteste" qui a tweeté ne pas soutenir Marguerite Stern et s'en est vu félicitée. A l'inverse, critiquer la transidentité est synonyme de harcèlement, de violences, d'être "cancel", même pour des militantes qui ont passé leur vie à se battre pour les droits des femmes. En France, c'est ce qui est arrivé à Marguerite Stern. En Grande-Bretagne, c'est JK Rowling qui s'est faite cancel. Aux US, la militante Buck Angel (un homme trans) se fait taxer de transphobe pour souligné l'importance du sexe biologique malgré ses années d'activisme en faveur des personnes trans.

Restreint ou contrôle la sexualité Ce point me semble évident. Selon l'idéologie trans, l'orientation sexuelle est basée sur le genre et non le sexe ; il n'existe pas de raison valable de refuser une relation avec une personne trans. Les homosexuel-les doivent coucher avec le sexe opposé au nom de la validation des identités, sous peine d'être transphobes. N'être attiré que par un sexe/genre est régressif et nécessite un examen des raisons. "Je suis attiré par les gens, pas par des parties génitales". Il existe des termes pour parler du phénomène des homosexuel-les qui refusent de valider les identités trans par le sexe : plafond de coton pour les lesbiennes et plafond jockstrap pour les gays. Voir mon article sur le plafond de coton.

Contrôle les vêtements et les coupes de cheveux J'ai hésité à cocher ce point car il me semble ridicule, mais force est de constater qu'il existe un "style queer". Les trans ne contrôlent pas à proprement parler les vêtements mais les membres sont quand même encouragés à "sortir de la norme" à l'aide de leur style vestimentaire, de tatouages et piercings, de couleurs de cheveux, etc. Les "normies" sont moins bien considérés, car iels "conforment". Être Q*eer est très lié au style, qui doit refléter une résistance à la norme. Je n'ai jamais vu personne être rejeté pour être habillé normalement, mais la culture de l'idéologie trans associe énormément un style décalé à la validité d'une identité Q*eer, surtout chez les jeunes. A voues de voir si vous cocherez cette case ou non, basé sur votre expérience.

Exploite financièrement les membres Voir toutes les cagnottes pour des chirurgies esthétiques maquillées comme des "opérations nécessaires" à la survie de la personne. Les allié-es sont supposés donner leur argent pour permettre aux personnes trans d'accéder à leurs chirurgies, alors même que ces chirurgies n'améliorent pas la santé mentale même après plusieurs années. Cet argent est donné "librement" mais les menaces de suicide et les incitations à être un "bon allié" me font penser que cela rentre dans la case de l'exploitation.

Contrôle de l'Information

Restreint et déforme volontairement l'information

Interdit de parler à d'anciens membres et à des critiques du culte

Décourage l'accès aux sources d'informations extérieures au culte

Divise l'information en doctrine du Membre vs Non-Membre

Utilisation généralisée et importante de propagande

Utilise les informations confessées contre toi

Utilise du gaslighting pour te faire douter de ta mémoire

T'oblige à reporter des pensées, sentiments et activités à un supérieur

T'encourage à espionner et reporter les "mauvais comportements" des autres

Restreint et déforme volontairement l'information Qui est une manière élaborée de parler de mensonges. Exemples, "les bloqueurs de puberté sont complètement réversibles (faux)", "un gynécologue ne saurait pas différencier un néo-vagin d'un vagin (faux)", "le sexe n'a jamais été binaire et l'existence des intersexes le prouve (faux)". Ces informations sont volontairement déformées par les activistes transgenres malgré les études qui prouvent l'inverse dans le but d'avancer un agenda militant. Les exemples sont multiples pour cette catégorie.

Interdit de parler à d'anciens membres et à des critiques du culte Cela se traduit par l'invisibilisation des personnes détransitionnées et par l'effacement du discours féministe radical et matérialiste. Sur Tumblr il existe des listes de TERFs à bloquer, un homme trans-identifié à créé une extension chrome qui affiche les discours pro-trans en vert et les discours radfems en rouge, l'idée selon laquelle lire des textes radfem peut laver le cerveau et changer la personne en transphobe... Plus grave, la censure des études universitaire qui ne vont pas dans le sens de l'idéologie transgenre. Des professeurs ont été virés pour leur vision radicale matérialiste, et les étudiants dans ces domaines ont beaucoup de mal à trouver des financements pour leurs recherches. Les universités censurent les travaux qui prouvent que la transition n'améliore pas la qualité de vie, que les jeunes trans sont le plus souvent homosexuel-les, etc.

Décourage l'accès aux sources d'informations extérieures au culte Il n'existe pas réellement de sources d'informations crées par l'idéologie transgenre, mais les membres sont découragés de se référer aux sources des radfems car elles seraient biaisées. J'ai personnellement eu affaire à ce phénomène : la justesse d'une étude est jugée sur qui la partage, et non sur la technique utilisée pour la réaliser. Les études financées par des groupes LGBT, pro-trans, etc. sont diffusées en masse sans remise en question, et considérées comme plus juste que les autres. Les sources comme Pink News, qui est un média pro-trans, ne sont pas remises en question malgré leur ligne éditoriale biaisée.

Divise l'information en doctrine du Membre vs Non-Membre L'idée selon laquelle les radfems, les détrans, les critiques du genre sont des intolérants qui veulent la mort des trans à tout prix. Le fait que le discours adverse est diabolisé et modifié pour paraître faux, illogique et agressif, en opposition totale avec les informations relayées au sein des organisations LGBT.

Utilisation généralisée et importante de propagande On touche à un sujet très large. Le thème de la propagande trans est très controversé mais il est indéniable que même dans les premières années, il y a eu une forte propagande en faveur des trans, propagande diffusée y compris par l'armée américaine notamment. Ce n'est pas pour rien que les trans ont obtenu en quelques années ce que les femmes et les gays ont mit des décennies à obtenir. De nos jours la propagande prends la forme de séries pro-trans sur Netflix, dans lesquelles on voit des enfants trans et des hommes gays qui couchent avec des femmes trans-identifiées. Je rappelle qu'un des actionnaire de Netflix est une société qui produit et vend du Lupron, un des bloqueurs de puberté les plus utilisés. Donc oui, il s'agit bien de propagande, et je pense qu'on en voit à peine le bout du nez. Voir la chaîne youtube de "The Deprogrammer [2]" (en anglais)

Utilise du gaslighting pour te faire douter de ta mémoire Les affirmations comme "Le plafond de coton n'a pas été inventé par les trans mais par des TERFs pour diaboliser les femmes trans !" ou "Il n'a jamais fallu de dysphorie pour être trans et si tu détransitionne tu n'as jamais été trans !" rentrent dans cette catégorie. Il s'agit de nier des faits vérifiable pour faire douter les gens de l'existence de ces faits. De nombreuses personnes détrans se voient dire qu'elles n'ont jamais été dysphoriques, jamais trans, etc. Les radfems passent leur temps à vérifier des faits pour cette raison.

T'encourage à espionner et reporter les "mauvais comportements" des autres Sur Tumblr, il s'agit du fameux "OP is a Terf !" qui peut se traduire par "La personne qui a écrit ce post est une Terf !". Les femmes qui se trompent ou disent quelque chose de controversé sont affichées et doivent faire des excuses publiques, que ce soit pour avoir dit que les lesbiennes n'aiment pas les pénis ou autre chose. Reporter un mauvais comportement est encouragé pour "protéger la communauté". Sur Instagram, il est de bon goût de faire des story sur les gens problématiques pour les afficher et signaler qu'on est pas comme eux.

Contrôle de la Pensée

Instille une pensée binaire (Eux vs Nous, Bon vs Mal, etc)

Te fais changer d'identité, possiblement même le nom

Utilise un langage chargé et cliché pour empêcher la pensée complexe

Induit des états hypnotiques et des transes pour endoctriner

Apprends des techniques de blocage de la pensée pour empêcher la pensée critique

Ne permet que des pensées positives

Utilise des transes, méditations, chants, prières excessives pour bloquer les pensées

Rejette la pensée critique, l'analyse rationnelle, et le doute

Instille une pensée binaire (Eux vs Nous, Bon vs Mal, etc) Les trans se revendiquent d'être contre la binarité, mais la réalité est toute autre. Leur dichotomie est entre Trans et Cis, les trans étant les gentils, et les cis les méchants. Il y a une diabolisation des gens qui ne sont pas LGBT, ce qui encourage à se créer tout un panel d'oppression pour ne pas se retrouver dans le collimateur. Il y a aussi la diabolisation de toute personne qui critique l'idéologie actuelle, que cette personne soit trans, experte de son sujet ou juste une femme qui parle de son expérience. Il n'y a pas de nuance. Les gens sont soit pour les trans et ne posent jamais de question, soit transphobes.

Te fais changer d'identité, possiblement même de nom Besoin de préciser ? L'idéologie trans est très liée au transhumanisme, qui vise à "améliorer" les humains et transcender la biologie. Être trans, c'est abandonner son "ancienne identité" pour en choisir une autre qui convient mieux, et souvent en changer régulièrement pour trouver ce qui colle parfaitement. Il est interdit de mentionner le nom de la personne (deadname), de l'appeler par ce qu'elle est vraiment (mégenrage), et beaucoup de personnes détrans parlent d'une interdiction de regarder en arrière. Au point que beaucoup ne voient plus d'autre choix que de continuer la transition. Utiliser les dénominateurs de l'ancienne identité est perçu comme de la haine, comme une "violence littérale".

Utilise un langage chargé et cliché pour empêcher la pensée complexe Le concept selon lequel chaque personne qui critique l'idéologie actuelle veut tuer des personnes trans ou se réjouit de les voir mourir, que critiquer = vouloir du mal, même non intentionnellement. Critiquer l'idée selon laquelle un homme qui dit être une femme est réellement et matériellement une femme c'est tuer des femmes trans, utiliser les mauvais pronoms est de la violence, prononcer le deadname c'est une preuve qu'on aime pas vraiment la personne, etc.

Induit des états hypnotiques et des transes pour endoctriner C'est sans doute un cas "isolé", mais je me doit de noter ici l'existence de la pornographie hypnotique. Oui, vous avez bien lu. Beaucoup de personnes trans (surtout les hommes) disent avoir découvert leur identité grâce à la pornographie, et notamment la catégorie "sissification", que je vous recommande de ne PAS aller chercher sur internet, et qui consiste à féminiser et baiser de force un homme. Par féminisation, on entends ici le port de vêtements dégradants (soubrette, lingerie sexy), l'obligation de se comporter de manière dégradante (être attaché, marcher à quatre pattes...), et des actes de pénétration de l'homme féminisé. Cette pornographie existe en format hypnotique, et le créateur même du modèle CIPE en a parlé dans un thread Twitter comme d'un outil de contrôle mental extrêmement puissant, n'ayant rien à envier aux techniques de la CIA.

Apprends des techniques de blocage de la pensée pour empêcher la pensée critique Le plus évident est le mantra "les femmes trans sont des femmes", répété en boucle sans réflexion à côté de "les droits trans sont des droits humains", "les vies des trans sont importantes", "le futur est trans", etc. Il s'agit tout simplement de réponses automatiques à des questionnements qui n'ont pas lieu d'être posés, pour éviter à la personne d'avoir à créer une vraie réflexion. Aussi, les "techniques" pour ne pas se tromper de pronoms partagées sur les réseaux sociaux, qui consistent à dire mentalement cinq phrases positives sur une personne en utilisant les bons pronoms dès qu'on se trompe pour reprogrammer le cerveau à ne pas se "tromper". Je parlerai plus en longueur des pronoms dans un autre article. Ces techniques de répétition bloquent la pensée critique en la remplaçant par une pensée positive qui permet de se sentir mieux et d'effacer le doute et le malaise.

Ne permet que des pensées positives Dans l'idéologie trans, il est interdit de mentionner les sujets qui fâchent. On ne parle pas du taux de prisonniers trans qui sont des abuseurs sexuels, on ne parle pas des meurtres commis par les hommes trans-identifiés, on ne parle pas des dommages de la chirurgie et de ses risques, ni de l'effacement des femmes (trans-identifiées ou pas), etc. Il est interdit de mégenrer un homme trans-identifié même s'il a commis des meurtres et des viols, et le mégenrer est d'ailleurs pire que les crimes qu'il a commis. Chacun est libre de bloquer toute parole qui l'affecte négativement, d'empêcher les autres de s'exprimer sur ces sujets, de censurer les informations qui ne lui plaisent pas. Aussi, le concept selon "chaque identité est valide, nous sommes tou.x.te.s légitimes" qui consiste à "valider" les sentiments de chacun sans aucune analyse critique.

Rejette la pensée critique, l'analyse rationnelle, et le doute Les trans n'offrent jamais de réponses claires aux questions qu'on leur pose, ou alors des réponses toutes faites qui relèvent plus du mantra que de la réponse. Lorsqu'ils ne peuvent plus répondre, ils demandent aux gens de s'éduquer sur le sujet au lieu de poser des questions qui leur font du mal, se positionnant en victimes et empêchant la pensée critique. L'analyse rationnelle est empêchée par les accusations d'être une TERF, une transphobe, même quand la personne est sincère et pas du tout haineuse. Les argumentaires construits par les radfems sont taxés de haineux et les gens sont encouragés à ne pas lire pour se préserver (exemple parfait avec l'essai "Terf Wars" de JK Rowling). Il n'est pas non plus permis de douter de sa propre identité : sur de nombreux site, il est indiqué que "si vous vous demandez si vous êtes trans, c'est que vous l'êtes probablement !". Il n'est pas possible d'attendre, de se remettre en question. Beaucoup de personnes trans témoignent d'avoir reçu leurs prescriptions d'hormones après seulement un ou deux rendez-vous dans des cliniques spécialisées du genre.

Contrôle Émotionnel

Instille une peur irrationnelle de questionner ou quitter le groupe

Marque certaines émotions comme mauvaises, négatives, etc

Apprends des techniques d'arrêt des émotions pour empêcher la colère

Promeut des sentiments de honte, de dévalorisation et de nullité

Te couvre d'amour et d'attention

Menace tes amis et ta famille

T'évites si tu désobéis ou arrête de croire

Apprends qu'il n'y a pas de bonheur et de joie hors du groupe

Instille une peur irrationnelle de questionner ou quitter le groupe Les personnes détrans sont rejetées de la communauté, parfois discrètement, parfois violemment. Récemment j'ai vu un post facebook d'un groupe trans qui appelle à ignorer les détrans et affirme que ce sont des menteurs transphobes qu'il ne faut surtout pas écouter. On peut aussi voir l'agressivité avec laquelle les gens qui critiquent l'idéologie sont associés à des personnes horribles qui détestent les trans, et qu'être d'accord avec eux c'est encourager leur haine. Les radfems sont vivement critiquées, voir insultées et harcelées.

Promeut des sentiments de honte, de dévalorisation et de nullité Surtout pour les femmes trans-identifiées et les allié-es. Dans les groupes LGBT, le discours est que les hommes trans-identifiés sont la population la plus opprimée (du monde !), qu'ils sont opprimés par les femmes et les femmes trans-identifiées, que les femmes doivent s'adapter à leurs exigence sur l'inclusivité et le langage, etc. Les féministes doivent centrer les hommes trans-identifiés dans leur féminisme pour être de bonnes féministes inclusives, au risque d'être rejetées et traitées de TERFs. Le mouvement déshumanise les femmes et invisibilise notre anatomie en refusant d'en parler, et se moque de la femellité. J'ai quelques exemples d'hommes trans-identifiés qui disent que les vagins puent et sont nuls, que les femmes post-partum sont moches et sales, etc. Voir mon article sur la misogynie dans les espaces trans.

Te couvre d'amour et d'attention Les jeunes qui transitionnent ou font un "coming out" trans voient leur popularité augmenter, ainsi que l'attention que leur portent les adultes. Ce phénomène a été étudié aux US, car certains enseignants s'inquiétaient du phénomène de contagion qui pousse les jeunes à s'identifier trans pour recevoir de l'attention. Quand un jeune est trans, l'école change typiquement ses règles pour s'adapter à lui, et ce phénomène rends la transition irrésistible aux yeux de certains jeunes. Signaler les comportements déviants et conformer aux attentes du mouvement donne généralement accès à des félicitations et à un sentiment d'acceptation profond sur les réseaux sociaux. Dans les associations, les groupes sont présentés comme des endroits sûrs, de soutien, de respect de l'identité. Il y a une idée de "famille choisie" dans les espaces Q*eers qui est acceptante et bienveillante.

Menace tes amis et ta famille En Australie, les parents qui n'affirment pas la transition de leur enfant peuvent se voir retirer la garde. C'est arrivé à une famille dont la fille pensait être un garçon. Ils ont été obligés de valider la transition de leur enfant au risque de la perdre. Cette histoire a été très médiatisée. Les personnalités qui parlent mal de l'activisme trans peuvent voir leur famille réellement menacée (le lieu de travail de la femme de Graham Linehan a été révélé après qu'il ait critiqué la mouvance trans en Grande-Bretagne). Récemment un maire d'une ville américaine a vu son domicile être vandalisé pour avoir dit que si une personne a un pénis, cette personne est un homme. Je ne sais pas si ça rentre dans "famille et amis", mais techniquement toute la famille de cet homme vivait avec lui, donc je le compte, car ils ont été impactés.

T'évites si tu désobéis ou arrête de croire Évitement littéral de celles et ceux qui détransitionnent, émettent des doutes, posent une critique, postent quelque chose de non approuvé. Une femme détransitionnée (@detrans_ellie) a posté sur Instagram[3] les réponses de groupes LGBT à sa proposition de discussion sur la détransition ; les deux assos contactées ont refusé par peur que son discours soit récupéré par des TERFs, et parce qu'elle est suivie sur les réseaux sociaux par des radfems.

Apprends qu'il n'y a pas de bonheur et de joie hors du groupe L'idée que sans transition les jeunes vont se suicider, que les chirurgies sauvent des vies et mettent fin à la dysphorie, que transitionner peut soigner la dépression d'une personne trans, que seules les personnes trans t'accepteront pour ce que tu es vraiment, etc. Tout ceci vise à éloigner la personne de sa famille et ses amis si ceux-ci ne conforment pas à l'idéologie trans.

Conclusion

L'idéologie transgenre a beaucoup d'aspect d'un culte, les plus évident étant l'isolation des membres par des techniques de punition sociale, et la diabolisation des critiques de l'idéologie. Mais comme je l'ai écrit, on ne peut pas non plus oublier l'existence de la propagande médiatique et le fait que des éléments qui relèvent de la croyance (identité de genre) sont inculqués dans les écoles en France (lois 2016).

Les témoignages des personnes détrans sont également révélateurs : beaucoup ont perdu tout leurs amis queers et se retrouvent seules, elles voient leurs expériences être niées et reléguées au rang de petite erreur qui ne serait pas arrivée si elles avaient été plus malines.

Le fait que des experts du culte s'intéressent au mouvement et que des survivantes de culte divers devenues radfems reconnaissent certains aspects dans l'idéologie trans est un avertissement à ne pas négliger.

Dites-moi ce que vous pensez de cette analyse dans les commentaires, et n'hésitez pas à partager des expériences personnelles si vous avez fréquenté des clubs LGBT et que vous reconnaissez certains aspects.

Sources externes : (1) Steven Hassan’s BITE Model of Authoritarian Control (2) The Deprogrammer sur Youtube (3) La détransition : Les bons arguments à avoir pour esquiver le sujet par @detrans_ellie sur Instagram

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coochiequeens · 1 year

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Nothing is stopping the transcult from opening their own shelters and offering services for abuse survivors

Prolific author JK Rowling is under fire from trans activists after throwing her support behind a new counseling service for female survivors of sexual violence in the Edinburgh area, leading many pro-woman advocates to question the priorities of her detractors.

On December 12, Rowling announced via Twitter that she was funding Beira’s Place, a facility described as being women-led and catering to female survivors of sexual violence. The service will provide support, advocacy, and information to women aged 16 and over.

In an exclusive interview with columnist and women’s rights advocate Suzanne Moore about her new project, Rowling stated that she was driven by her own experience with sexual violence, and had noticed a gap in available resources to provide exclusively woman-centered care.

“As a survivor of sexual assault myself, I know how important it is that survivors have the option of women-centred and women-delivered care at such a vulnerable time,” Rowling said.

Many on social media celebrated the opening of Beira’s Place, including Vancouver Rape Relief, a Canadian rape crisis shelter that was stripped of Vancouver city funding in 2019 after refusing to change their female-only mandate. The center was vandalized for their sex-based policy, with trans activists nailing a dead rat to the door of the building during the public battle.

“Sisterhood is powerful! Congratulations @beirasplaceand @jk_rowling for the new women-only sexual assault support centre for women and girls in Edinburgh and the Lothians,” tweeted Vancouver Rape Relief from their official account.

One Twitter user responded to the Rowling’s announcement, saying: “I’m crying. This is amazing. THIS is what protecting women and being a true feminist looks like. Thank you to @jk_rowling on behalf of #YoungGCFeminists and women everywhere.”

But the response was not uniformly positive, with many trans activists immediately jumping to condemn Rowling for supporting a shelter with a female-only mandate.

Responding to the news, several critics speculated that a policy which excludes men would inevitably result in “masculine-presenting” or “butch” women being turned away.

“Imagine being a slightly masc[uline] presenting cis woman and going to a shelter like that at your worst moment and your greeting is somewhere between the 3rd degree about your birth sex and an actual call to prove it somehow,” said one Twitter user.

“I would love to know what the process is for checking that any woman using this service is definitely not trans, what kinds of checks will you be doing to the the already vulnerable sexual/domestic abuse victims? I have major concerns for women’s safety here,” tweeted another.

Multiple trans activists accused Rowling of funding Beira’s Place with the specific intention of “spiting” trans-identified males.

“I think it’s actually quite telling as to the vindictive nature of JK Rowling that’s she’s had the means, resources and power to set up a crisis center for over 20 years, and she’s only decided to do it now so she can use it as some bizarre point scoring against trans victims.”

Yet Rowling has a history of using her substantial wealth to contribute to humanitarian causes. In 2012, she was famously removed from Forbes‘ billionaire list due partly to her hefty charitable contributions. At the time, it was estimated that she had given away approximately $160 million during the course of the year.

Jen Ives, an activist who also identifies as a comedian, mocked the support service and victims of sexual violence in response to Rowling’s announcement.

Ives had previously gone after Rowling during his set at the Edinburgh Fringe Festival earlier this year. However, when the audience failed to laugh at his jokes, a fellow comedian complained that Ives was a victim of “transphobia,” and the audience’s cold response was a “hate crime.”

Another trans activist who uses the moniker ‘Cathy Brennan’ called the opening of Beira’s Place “one of the most sinister moves” he’s seen from “UK transphobes.” Brennan infamously harassed feminist campaigner Julie Bindel after she gave a speech at Edinburgh University in 2019.

As Bindel left the building after giving a speech on male violence against women, Brennan “lunged” at her while calling her derogatory names. Bindel reported that Brennan had attempted to punch her in the face but a security guard pulled him away.

Former TV presenter and Big Brother contestant, Jonathan “India” Willoughby also tweeted in response to the news about Beira’s Place, comparing masculine women to males.

“The whole point of JK Rowling’s new centre is banning women who happen to be trans. But what happens to butch women who could be men?” Willoughby tweeted.

This is not the first time Willoughby has compared masculine women to men. Willoughby has previously said that butch lesbians have effectively “transitioned” and “behave like blokes.”

Willoughby had recently come under fire for racist and sexist comments he made towards broadcaster Esther Krakue, calling her a “talentless bigoted blackwomen [sic]” and a “b*tch.”

But the anti-woman backlash wasn’t isolated to social media.

Earlier today, The Independent published an op-ed from Ryan Coogan, who compared a single-sex rape crisis shelter to opening a “whites-only orphanage,” while LGBT outlet INTO used a graphic featuring JK Rowling and devil heads.

The Times reported that Rape Crisis Scotland has released a statement regarding Beira’s Place stating that while they welcome any new services with “rigorous safeguarding procedures,” they urged the service to be opened to trans-identified males as well.

The CEO of Edinburgh Rape Crisis is a trans-identified male, Mridul Wadhwa. He was hired for the position despite the job advertisement for the role specifying it was open only to women.

Wadhwa came under fire last year for comments he made during a podcast interview in which he stated that “bigoted” sex abuse victims who request female-only support should expect to be “challenged on their prejudices” and told to “reframe their trauma.”

The mixed-sex policy at Edinburgh Rape Crisis in part motivated Rowling to set up Beira’s Place. Rowling said that the single sex service fills an “unmet need for women in the Lothians area.”

Wadhwa’s position as CEO of Rape Crisis has been highly criticized by feminists as he is reportedly still legally male and does not hold a gender recognition certificate. Tensions are currently high in Scotland between trans activists and feminists as SNP leader and Scottish First Minister Nicola Sturgeon aims to push through reforms to the Gender Recognition Act. This will remove all safe guarding requirements to obtaining a GRC such as the need for a gender dysphoria diagnosis.

Ahead of the proposed reforms, For Women Scotland, a feminist campaign group, had petitioned the Scottish government to protect sex in law. But a Scottish judge ruled against them the day after Rowling’s announcement.

“Sex is not limited to biological or birth sex, but includes those in possession of a [Gender Recognition Certificate] obtained in accordance with the 2004 Act stating their acquired gender, and thus their sex,” the Judgementhanded down on December 13 read.

The verdict means that a male who holds a legal document indicating a gender change should be treated as a “female” across the board in all areas of law. This has concerned women’s rights advocates as Gender Recognition Certificates will soon be available to almost any applicant, with very limited requirements.

Rowling has become a target for abuse since first speaking out against gender identity ideology in December of 2019. Rowling had tweeted in support of Maya Forstater, a researcher who was involved in a high-profile tribunal case after her employer did not renew her contract on the basis of her belief that biological sex cannot be changed and is relevant to public policies. Rowling then went on to publish a detailed essay in 2020 outlining her concerns with gender ideology.

The celebrated children’s author has since refused to back down to the trans activist mob and has continued to use her platform to spread awareness about how gender ideology impacts the rights and safety of women and girls. This has led to her receiving countless death threatsover the years. Several trans activists even picketed her home before posting her address online last November.

By Shay Woulahan Shay is a writer and social media content creator for Reduxx. She is a proud lesbian activist and feminist who lives in Northern Ireland with her partner and their four-legged, fluffy friends.

#Queen JKRowling #Beira’s Place #YoungGCFeminists #Domestic abuse #Male violence #transcult whining instead of doing something for their own community

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terfslying · 5 years

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Extremist Traits & TERFs

The traits are taken from (here), which is a list of extremist traits by Laird Wilcox. Most examples are from interactions with people on this blog, because I’ve got to limit myself to something.

Character Assassination

“Extremists often attack the character of an opponent rather than deal with the facts or issues raised. They will question motives, qualifications, past associations, alleged values, personality, looks, mental health, and so on as a diversion from the issues under consideration”

TERF Examples: Character attacks on Susie Green, of Mermaids UK, to attempt to imply that her motive for Mermaids UK is to force her own child to transition. & Claiming Mermaids UK was a significant part of forcing a young UK child to be trans, when in fact he was being abused by his mother and Mermaids UK only ever were contacted by phone by the mother, and were not otherwise involved in any way.

Name-Calling and Labelling

“Extremists are quick to resort to epithets (racist, subversive, pervert, hate monger, nut, crackpot, […] and so on) to label and condemn opponents in order to divert attention from their arguments and to discourage others from hearing them out. These epithets don’t have to be proved to be effective; the mere fact they have been said is often enough”

TERF Examples: "pedophile apologist”, “infertile, fat white loser”, “rapist” (all directed at me!)

Irresponsible Sweeping Generalisations

“Extremists tend to make sweeping claims or judgements on little or no evidence, and they have a tendency to confuse similarity with sameness […] they assume that because two (or more) things, events, or persons are alike in some respects, they must be alike in most respects.”

TERF Examples: “trans women are just men”; use of crimes by cis men to attempt to demonstrate trans criminality

Inadequate Proof For Assertions

“Extremists tend to be very fuzzy about what constitutes proofs, and they also tend to get caught up in logical fallacies […] they tend to project wished-for conclusions and to exaggerate the significance of information that confirms their beliefs while derogating or ignoring information that contradicts them.”

TERF Examples: “This research is reliable because I agree with it, and I don’t care that the authors have deliberately published politically motivated anti-gay propaganda studies before”

Advocacy of Double Standards

“Extremists generally tend to judge themselves or their interest groups in terms of their intentions, which they tend to view very generously, and others by their acts, which they tend to view very critically. They would like you accept their assertions on faith, but they demand proof of yours. They tend to engage in special pleading on behalf of themselves or their interests, usually because of some alleged special status, past circumstances, or present disadvantage.”

TERF Example: Refusal to criticise WoLF + Julia Beck’s association with the Heritage Foundation due to presumed good intentions

Tendency to View Their Opponents and Critics As Essentially Evil

“To the extremist, opponents hold opposing positions because they are bad people […] not merely because they simply disagree, see the matter differently, have competing interests, or are perhaps even mistaken.”

TERF Example: I deserve to “rot in hell” because I don’t agree with TERFs

Manichaean Worldview

“Extremists have a tendency to see the world in terms of absolutes of good and evil, for them or against them, with no middle ground or intermediate positions. All issues are ultimately moral issues of right and wrong, with the ‘right’ position coinciding with their interests.”

TERF Example: Willingness to use and spread sources from the alt-right with no regard for the source, since if it coincides with their interest, it’s ‘right’

Advocacy Of Censorship or Repression of Their Opponents or Critics

“They may include a very active campaign to keep opponents from media access [… or] actually lobby for legislation against speaking, writing, teaching, or instructive ‘subversive’ or forbidden information or opinions.”

TERF Example: Pressure to isolate young trans teens from media access

Tend to Identify Themselves In Terms Of Who Their Enemies Are

“[E]xtremists may become emotionally bound to their opponents, who are often competing extremists themselves. Because they tend to view their enemies as evil and powerful, they tend, perhaps subconsciously, to emulate them, adopting to same tactics to a certain degree.”

TERF Example: "TRA’s”, “libfems”, “transcult”; emulating anti-feminist tactics by joining groups like Hands Across The Aisle to directly partner with anti-abortion, anti-feminist conservatives and divide-and-conquer

Tendency towards argument by intimidation

“Extremists tend to frame their arguments in such a way as to intimidate others into accepting their premises and conclusions. […] They use a lot of moralising, pontificating, and tend to be very judgemental. This shrill, harsh rhetorical style allows them to keep their opponents and critics on the defensive, cuts off troublesome lines of argument, and allows them to define the perimeters of debate.”

TERF Example: Using the words “trans women” and “literal pedophiles and rapists” interchangeably in arguments

Use of Slogans, Buzzwords, and Thought-Stopping Cliches

“For many extremists, shortcuts in thinking and in reasoning matters out seem to be necessary in order to avoid or evade awareness of troublesome facts and compelling counter-arguments. Extremists generally behave in ways that reinforce their prejudices and alter their own consciousness in a manner that bolsters their false confidence and sense of self-righteousness.”

TERF Examples: “Peak trans”, “autogynephiles”, the bathroom & prison rapist tropes, to discredit trans women; “handmaids” and “libfems” to discredit cis women who disagree with them

Assumption of Moral or Other Superiority over Others

“Most obvious would be claims of general racial or ethnic superiority […] Less obvious are claims of ennoblement because of alleged victimhood,”

TERF Examples: Expanding real victimisation of women to include historically inaccurate concepts, such as ‘witch hunts were methods of controlling women’s knowledge’ to increase superiority; complete disownment of any moral responsibility for violence perpetrated or encouraged by TERFs

Doomsday Thinking

“Extremists often predict dire or catastrophic consequences from a situation or from failure to follow a specific course, and they tend to exhibit a kind of ‘crisis-mindedness’. It can be a Communist takeover, a Nazi revival, nuclear war, earthquakes (… etc. …) Whatever it is, it’s just around the corner unless we follow their program and listen to the special insight and wisdom, to which only the truly enlightened have access.”

TERF Example: Fair Play For Women’s unrealistic theory that if Gender Recognition Certificates were easier to get, women’s prisons would be flooded with trans sex offenders instantly.

Belief that it’s okay to do bad things in service of a good cause

“Extremists may deliberately lie, distort, misquote, slander, defame, or libel their opponents or critics, engage in censorship or repression, or undertake violence in “special cases”.”

TERF Example: Wetmeadow ‘distorting’ my post on the cotton ceiling to imply that I was saying same-sex attraction is a mental illness, to discredit me.

Emphasis on Emotional Response (and less on logical analysis and reasoning)

“Extremist have an unspoken reverence for propaganda, which they may call ‘education’ or ‘consciousness-raising’. Symbolism plays an exaggerated role in their thinking and they tend to think imprecisely and metamorphically.”

TERF Example: ‘consciousness-raising’ has a long history in extreme radfem spaces; in recent online spaces it’s more often called ‘peak trans’.

Hypersensitivity and Vigilance

“Extremists perceive hostile innuendo in even casual comments; imagine rejection and antagonism concealed in honest disagreement and dissent; […] Although few extremists are clinically paranoid, many of them adopt a paranoid style with its attendant hostility and distrust.”

TERF Example: Exposinglesphob’s entire blog

Problems Tolerating Ambiguity and Uncertainty

“[T]he ideologies and belief systems to which extremists tend to attach themselves often represent grasping for certainty in an uncertain world, or an attempt to achieve absolute security in an environment that is naturally unpredictable […] Extremists exhibit a kind of risk-aversiveness that compels them to engage in controlling and manipulative behaviour, both on a personal level and in a political context.”

TERF Example: “What do you mean, someone’s gender or sex might be ambiguous?? Woman is a biological term for adult human females, it’s simple”

Inclination towards “GroupThink”

“‘Groupthink’ involves a tendency to conform to group norms and to preserve solidarity and concurrence at the expense of distorting members’ observations of facts, conflicting evidence, and disquieting observations [… Extremists may] only talk with one another, read material that reflects their own views, and can be almost phobic about the ‘propaganda’ of the ‘other side’. The result is a deterioration in reality-testing, rationality, and moral judgement.”

TERF Example: Any source I give is bad, even if they’re genuinely trying to say that wikipedia is ‘good research’.

Tendency to Personalise Hostility

“Extremists often wish for the personal bad fortune of their ‘enemies’ and celebrate when it occurs.”

TERF Example: The fact that pretty much every person who isn’t a TERF and who discourses has been told to kill themselves.

Extremists often feel that the system is no good unless they win

“If public opinion turns against them, it was because of ‘brainwashing’. If their followers become disillusioned, it’s because of ‘sabotage’.”

TERF Example: Ex-terfs like myself either are just too dumb to understand radical feminism, or we never even existed in the first place.

#long post #the longest of posts #terfs n fascists #terfs behaving badly tag #tag for sources

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treadingonyourcape · 7 years

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Yet more male-pattern violence seen in a transwoman. The narcissism and entitlement involved in trying to kill someone telling you that you are not a biological female and therefore cannot compete with them, is mind-boggling and we can see, incredibly dangerous. If you’re centering these individuals in feminism, you need to have a long hard look at yourself.

#guardian #uk news #british news #transcult #trans ideology #trans politics #radfem #radical feminism #gender critical #TERF #male violence

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norcani · 6 years

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honestly im dying like this “radfem” rly wrote down i need police to protect me from evil transcult On a post about police violence in a country that has nothing to do with her even attached a fucking picture like could go thru that effort to find a pic but not the effort to think for 2 seconds is this something that needs to be said is this an appropiate response is this my place to say this

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rosalesbeausderholle · 6 years

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You're one of my favorite Tumblr lesbians. But this is how cults treat subversive persons. Lesbians have been so dehumanized that violence against one of us is something to laugh at. With so many in the transcult saying we deserve to be raped and murdered, wearing Punch Terfs t-shirts, even the legacy of Die Cis Scum ensured irl violence was inevitable. It's also like a gang. They want to prove themselves to each other. They want the glory of attacking the enemy.

Thank you 😘 idk what I did to be one of your favorites but this is really appreciated, and yeah the whole pack mentality they have and their trivializing of violence does make this inevitable sadly... I just hope it makes more people woke up to how fucked up this whole situation is but I don't even know

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antiterf · 7 years

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A transcultist almost set me on fire

I saw a familiar cultist from the night where they were brainwashing the precious womyn. They were with a disgusting man and setting off fireworks with flashes of male violence. I went to hide in a nearby bush to get a closer view of the brainwashed womyn and the male that follows along in their delusions, when all of a sudden one of the things fell over. Bright lights of male violence flew all over the place before the transcultist dodged one, and it flew right into the bush that I was in. The bush ignited into flames because of that damn gendershit! I then looked into the flames, the flames of the patriarchy that the transcult strengthens with each passing day, while they themselves are passing and tricking the non deluded c*s people. They then ran inside and I broke from my gaze to sprint out of that bush.

These cultists spread chaos and destruction wherever they go, stay safe my fellow cisters.

#happy forth of july #I have no pride in my country #but at least I can be white trash #transcult encounters #also I literally exist and shit goes wrong #things just catch fire all the time #and this transcult encounter is based off of last night #terf #twerf #anti terf #anti twerf #radfem #radical feminist #radical feminism #gender critical #trans critical

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alex-craig · 7 years

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Trans rights activists doing what they do best : threaten violence #nametheproblem #transideology #transcult #maleviolence #abolishgender #liberatewomen #radfem #ally #Repost @etra2.0 ・・・ Proof of trans activists doxxing and threatening me. These men will do anything to silence women. Yet #twitter continues to shut down my account rather than deal with these men, who have obviously hacked my info.

#maleviolence #transcult #abolishgender #transideology #repost #radfem #nametheproblem #ally #liberatewomen #twitter

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thedepressedweasel · 6 years

Conversation

Me: Terfs don't interact

TERFs: *interact anyway*

Me: WTAF?! Can you not?!

TERFs: OMG STOP RAPIIIIING MEEEEEEEE!!! "TERF" IS A DIRTY SLUR!!!!!! YOU WILL NOT SILENCE MEEEEEEE!!!!!! I AM A STRONG AND BEAUTIFUL WOMAN, YOU BIG FAT MEANIE ASS MISOGYNIST!!!!! HEY, MY FELLOW LADIES, WE'VE JUST SEEN MISOGYNY IN HERE!!!!!!!!

Every TERF blog, ever: *anti-female receipts*

Every TERF reblog tag, ever: #male bullshit, #all men are rapists, #rape, #violence against women, #male entitlement, #misogyny, #terf is a slur, #kill all men, #all men are men only, #transcult

#i hate terfs #i hate radfems #terfs don't interact #no terfs allowed #no terfs please

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coochiequeens · 1 year

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If Argentina can recognize when trans people are the victims with a term like “Transfemicide” then they can create a term for trans people are the murderers.

The brutal murder of a prostituted woman in Argentina is no longer being reported as a “femicide” after it was discovered that her killers did not identify as male.

Brenda Córdoba, 28, was murdered on November 10 of 2021 in the Buenos Aires neighborhood of Balvanera. Grisly surveillance camera footage released by police during the investigation into her death showed Córdoba being approached by what appeared to be a man in a white hoodie and face mask. The man circled around to her back before grabbing her in a headlock and stabbing her multiple times in the chest.

Córdoba, who was dropped into a puddle of her own blood, was initially found alive by passersby who had attempted to intervene in the stabbing and rushed to hospital. She died as a result of her injuries days later.

Additional security camera footage was uncovered in which the individual who attacked Córdoba was seen leaving the area with someone else.

Police began disseminating images taken from the footage in October of this year along with a call for assistance from the public to identify the two suspects after difficulty in finding leads.

On November 2, two individuals were taken into custody after neighbors saw the call for leads and photos from the crime scene and alerted police. But while law enforcement officials had initially put out a call for two men, both suspects involved in Córdoba’s murder were found to be transgender.

Alex Maia Sam Estela, a trans-identified male, is believed to have been the one who stabbed Córdoba, while his accomplice, Christian Santiago Machado Abad, another trans-identified male, is currently considered an accomplice. Some local media reports refer to Abad as a “transvestite,” differentiating him from Estela, who is consistently identified as a “trans woman.”

The motive for Córdoba’s murder is believed to have been a territorial dispute, in which she was targeted for “working” on a street corner that had been claimed by Abad and Estela. She is known to have had a hostile interaction with Abad prior to her murder.

While Córdoba’s slaying has been reported as being considered a femicide under Argentinian law for the past year, the revelation of the gender identity of her alleged killers has resulted in that classification being dropped.

According to Infobae, the case file was initially treated as a femicide due to the fact the attacker was wearing male clothing and so was believed to be a man. But since the identities of the two suspects have been revealed, media is no longer referring to the slaying as a femicide.

Femicide in Argentina is considered a crisis, with one woman being murdered by a man every 25 hours on average.

In 2012, Argentinian lawmakers amended the criminal code to recognize femicide as an aggravated form of homicide. The femicide provision was defined broadly as “a crime against a woman when the act is perpetrated by a man and gender violence is mediated.”

Trans-identified males can be included as victims of femicide in Argentina, but also have a separate provision for “transfemicide.”

Earlier this year, a prominent trans-identified male activist was murdered by his boyfriend in the country’s Santa Fe province. Alejandra Ironici, 45, was the first person in Argentina to legally change his gender identity. Ironici’s 32-year-old partner, has been charged aggravated femicide as well as transfemicide.

Córdoba’s case bears striking resemblance to one recently reported out of Spain.

In October, Reduxx revealed that a man who abused his female partner had avoided charges of gender-based violence after it was learned he had begun to identify as a woman.

Gender-based violence is a specific charge which exists in Spain to classify male violence against women. It was introduced after feminist activists in the nation pointed out the need for a law to address the pervasive issue of sex-based violence perpetrated by men against women. In addition to being a unique classification, the charge comes with tailored protections for female victims, such as the ability to have the abuser removed from the home.

In the case Reduxx reported, the male abuser’s gender identity being changed meant he could no longer be charged with gender-based violence as he was not considered a “man” under law. Instead, he was charged with domestic violence, which dropped the sex-based distinction and did not provide any specific protections for his victim.

#Argentina #Rest In Peace Brenda Córdoba #Femicide #women killed by men #Men in dresses are still men #Male violence #Transcult and crime statistics #Infobae

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