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#méditation sur le passé
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les sons contiennent tout l’été qui est passé, l’espoir qu’il contenait, la douleur qu’il évoquait, la chaleur ardente, sa lumière ; dans l’arrière monde qu’ils édifient, midi devient un trésor de souvenirs brûlant où le dernier se fait le début de la mémoire, le début de ce qui prend fin ; là se ressent encore ce qui n’a plus lieu ; le festin de la disparition est insaisissable
© Pierre Cressant
(dimanche 4 septembre 2022)
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abridurif · 5 months
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Mon cas n’est pas unique : j’ai peur de mourir et je suis navrée d’être au monde. Je n’ai pas travaillé, je n’ai pas étudié. J’ai pleuré, j’ai crié. Les larmes et les cris m’ont pris beaucoup de temps. La torture du temps perdu dès que j’y réfléchis. Je ne peux pas réfléchir longtemps mais je peux me complaire sur une feuille de salade fanée où je n’ai que des regrets à remâcher. Le passé ne nourrit pas. Je m’en irai comme je suis arrivée. Intacte, chargée de mes défauts qui m’ont torturée. J’aurais voulu naître statue, je suis une limace sous mon fumier. Les vertus, les qualités, le courage, la méditation, la culture. Bras croisés, je me suis brisée sur ces mots-là. Violette Leduc, La Bâtarde, Éditions Gallimard, 1964, p. 19
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ditesdonc · 17 days
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Emma, son Django, son vélo… et que ça roule!
Texte d’Emma Montillet
Emma est une voyageuse invétérée, il faut que ça bouge, à droite, à gauche, en haut, en bas, en diagonale aussi surtout, mais pas sans son vélo ni, surtout, son adorable Django. Lors de ses aventures, elle prend le temps d’écrire un petit journal, en ligne. En voici un extrait!
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Llanes, Espagne, 23 Mars 2022, 17°C
Etape 1: 62 km et des patates, 1086 m de dénivelé.
Je suis partagée entre vous faire transpirer ou mettre les formes.
Plantons le décor. Un voyage à vélo peut avoir des moments fabuleux et d'autres complètement galère ! C'est pas vraiment des vacances, mais plutôt un dépassement de soi et un challenge.
Oui, j’aurais pu passer des vacances pépère tranquillou mais j'ai choisi d'aller à la rencontre de moi- même. Désolée pour cette philosophie “femme actuelle” mais je suis complètement KO! A l’heure où je vous écris, je m'apaise un peu. Une demi-heure plus tôt, je voyais mes affaires se faire emporter par l’océan, le chien en train d’essayer de nager et moi pousser le vélo en pleurant.
Petit aperçu de la journée : je l’ai passée avec l'impression d'être un saucisson oublié dans une voiture en plein mois de juillet ! Trempée !!!!!! C'est hyper vallonné… Ma difficulté vient de mon patapouf Django qui boîte et a de grandes difficultés à marcher. Ça me fait de la peine pour lui. Demain je vais chercher un véto. Et me reposer un peu car j'ai tellement transpiré que… j’ai un fessier de babouin!!!! Demain, c’est danseuse je crois bien!!! J’essaye de tourner avec humour ce qui s'est passé ce soir, prendre du recul, mais je vous avoue que j'en ai plus que bavé. Ben oui… je suis tombée car je n’arrivais pas à soutenir le poids du vélo, plus la remorque, plus le chien. J'étais en train de me dire “ c'est une belle plage pour mourir mais ça fait chier, j'ai pas rangé ma maison avant de partir!”
Et là.... miracle… je croise deux randonneurs! Mes sauveurs!!!!! Tous les trois, on a poussé le vélo pendant plus de 30 minutes. Grâce à eux, j'ai pu rejoindre le haut de la colline. J'étais tellement reconnaissante, j’en avais les larmes aux yeux.
Je suis dans ma tente, complètement tordue, car le sol n'est pas droit; mais avec mon cerveau tordu ça va compenser… Comme un oiseau qui apprend à voler. Là, j'aurais eu une riche expérience! Parfait pour du “REX”!!!! Traduction: du Retour d’expérience. Comme quoi ce qu'on apprend au boulot peut nous servir dans la vie perso ! Demain je tirerai les enseignements de ma journée, pourquoi je vais grandir grâce à ça etc… Et je vous parlerai des magnifiques paysages que j'ai découverts. Mais là... place à la méditation, à la guitare… Un câlin au chien et dodo.
PS: dans quelque temps ça deviendra mon anecdote préférée. Je vais m'en sortir et faire appel à mon moral d'acier. Même si j'ai pleuré, je sais que je vais rebondir !
PS2 : tout va déjà mieux, je passe la soirée avec mes anges!!!!!! Je vous raconte demain. Je suis trop chanceuse!!!
Ribadesella 23 Mars 2022 18°C
Étape 2 : 35.6km 455 m dénivelé et… mes anges gardiens!
J'ai fait toutes les erreurs de primo-intervenants. Pourtant, c'est loin d'être mon premier voyage à vélo. Bref. Alors, en “REX”: - nourriture: prendre plus à bouffer. Je ne sais pas ce qu'il m’arrive mais je mange comme
4!!!!! Du coup hier j'ai tout englouti en mode boulimique. Résultat, comme les bars où je suis passée étaient fermés j'ai failli manger las croquetas del perro…
Oulalala pinaise (façon Simpsons), j'ai encore plein de choses à raconter sur hier. Déjà il faut que je m'engueule. Si j’avais été patron, je me serais virée !
- préparation : je crois que quand une personne me recommande en espagnol un endroit pour dormir, je n’écouterai plus car je ne comprends rien aux consignes!!!! Hier c'était juste impossible comme endroit!
-hydratation: quand c'est trop pentu, tu ne peux pas boire en roulant car tu vas tellement doucement que tu tombes. Et si tu t’arrêtes et ben, tu ne repars plus! Dilemme cornélien !!!! Pousser ou se déshydrater????
Ni l'un ni l’autre, banane! Si tu prépares ton parcours un peu plus, tu peux anticiper. En tous cas, là, je ne pouvais pas boire. C'est comme si vous essayiez de prendre un verre en faisant du trampoline....
- minute d'arrêt ! Quand tu vois un obstacle qui te semble quasi insurmontable ben… peut-être qu'il l'est vraiment ! Arrête-toi, boudu. Réfléchis deux minutes et fais demi-tour si besoin!!!! Ne fais pas ta tête brûlée : ça passe large !
Revenons à la soirée. Hier j'ai vraiment eu le "cul bordé de nouilles"!!!! (C'est au sens figuré car au sens propre, c'est plutôt des ampoules… pas de dessin.) Mes anges gardiens sont revenus pour m’amener des bonnes pâtes chaudes et une bière. J'ai hésité, j’avais peur de faire un coma éthylique vu mon état ! Or la soirée a été incroyable !!!! Tellement inattendue. José et Christina, les petits anges, donc, ont joué de la guitare et chanté. J'ai eu tellement de chance de les rencontrer… J’en ai eu les larmes aux yeux. Il faut croire que j’avais une belle étoile.
Ce matin je me suis réveillée en haut des plages, c'était trop beau. Puis véto pour Django. Et, vous savez quoi: José est mécanicien vélo !!! Si si, je vous jure!!! Incroyable non? Il m’a tout réparé le vélo !
Là, je surplombe la mer. Je vais me laisser bercer par le chant des vagues. "Oulalala tu fais ta poète pouet pouet pouet;-)"
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mariepascaleremy · 2 months
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LA PENSÉE VOLONTAIRE ET LA VOLONTÉ CONSCIENTE
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Si nous voulons nous libérer du point de vue unique donné par le monde matériel et accéder à une connaissance supérieure, il faut entrer dans la région du principe originel où gît l’énergie créatrice avant sa manifestation concrète (dans notre volonté inconsciente). Il nous faut "retourner" notre pensée ordinaire : de passive, la rendre volontaire, de morte, la rendre vivante. C’est donc une nouvelle faculté humaine que nous devons développer, une faculté qui soit indépendante de notre corps physique puisqu’on ne peut pas compter sur le cerveau pour rester conscient dans les forces de vie (il n’est pas conçu pour ça). Nous devons nous extraire librement de l’emprise de notre corps physique (par la méditation, notamment) pour nous immerger dans notre corps éthérique ; sortir consciemment du monde des solides inertes pour entrer dans la plasticité fluide du végétal. Ce retournement de l’être auquel l’humanité doit se livrer pour s’élever à un niveau de conscience supérieur (la conscience Imaginative) n’est pas qq chose de nouveau. Les mystiques et initiés lui ont donné le nom de "métanoïa" (de meta = changement avec une nuance de retournement et de noïa, activité de la pensée ou encore état d’esprit). La métanoïa est un changement d’état d’esprit, un retournement de la pensée, qu’on pourrait aussi traduire par conversion ou repentir. Un véritable repentir dans le sens d’une « conversion » morale. C’est le chemin du retournement vers le monde spirituel auquel nous invitait déjà Jean Le Baptiste il y a 2000 ans (Matthieu 3,2) : « Changez l’orientation de votre pensée car le Royaume des Cieux s’est mis à votre portée » ; un changement d’état d’esprit dont parle aussi Paul dans son Épître aux Ephésiens (4, 22/23) : « Il vous faut, renonçant à votre existence passée, vous dépouiller du vieil homme (...). Il vous faut être renouvelés par la transformation spirituelle de votre intelligence et revêtir l’homme nouveau (...) ».
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lavoiedeleau · 26 days
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La liberté de vivre seule
Un nouveau chapitre le jour j'apprend à vivre seule dans mon appartement, sans chien ni relation toxique.
Toute une étape avec une grosse peur de l'abandon, j'ai toujours vécu soit colocation, très entouré et de plus avec un traumatisme de la solitude chez toutes les femmes de ma famille (sans présence masculine). J'en avais conscience et pourtant c'était compliqué, à faire le deuil de l'ancienne vie (famille, amis, ex et mon premier bébé mon chien).
J'ai commencé alors à faire des méditations pour couper les liens toxiques au fond de mon être. J'avais l'habitude d'en faire avec la sophrologue toutes les 3 semaines, en travaillant sur la liberté d'agir et de pensé seule, de retrouver mon corps et coeur.
Je culpabilisais de passer de super moment avec mes amis et mon nouveau petit amis et d'un autre sens d'être constamment triste du aux événements passées. Cette sensation sera de moins en moins forte mais durera presque 1 an, de bataille contre et envers moi même et cette tristesse. Avec un parent dépressif, je savais qu'il fallait que je travail sur moi et me guérir car la génétique n'était pas en ma faveur.
A cette époque mes géants (comme j'aime les appellés : mes maitres apprentissage) étaient Chloé bloom ( ose briller) et François Lemay ( tu es une plus merveille du monde, ton affaire c'est de t'occuper de toi et tout est toujours parfait.
Une nouvelle femme voyait le jour à ce moment la, remplis d'espoir et de sagesse.
'm learning to live on my own in my flat, without dogs or toxic relationships.
I'd always lived with a flatmate, surrounded by lots of people, and all the women in my family had been traumatised by loneliness (with no men around). I was aware of this and yet it was complicated, mourning the loss of my old life (family, friends, exes and my first baby, my dog).
So I started doing meditations to cut the toxic links deep inside me. I used to do them with the sophrologist every 3 weeks, working on the freedom to act and think on my own, to rediscover my body and heart.
I used to feel guilty about having a great time with my friends and my new boyfriend, and on the other hand about being constantly sad about past events. This feeling became less and less strong but lasted for almost 1 year, a battle against and towards myself and this sadness. With a depressive parent, I knew I had to work on myself and heal myself because genetics weren't in my favour.
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icariebzh · 1 month
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BESTIAIRE ÉROTIQUE
"Des caps pris en beauté malgré les déferlantes, Larguée, un peu cramée, quarantaines rugissantes, Se laisser glisser pour ressurgir en grande orque, Une ode au punk à l’aube des cinquantièmes hurlantes.
Envie folle d’un bestiaire érotique et braque, D’alexandrins stylés qui déchirent et qui claquent. D’un poème utérin sur fond de ménopause, De plombs fondus, fantasmes, et de métamorphoses.
Loin des mines compassées, de la pondération, Des salons trop feutrés, de la mort des saisons. Le délire situé d’une nature ni douce, ni con.
Y fourrer l’illusion de complétude visuelle, Qui défait le réel et oxyde la raison. Un brin de rêves mystiques et de cauchemars séquelles, Raptus anxieux passé sous les démangeaisons.
Canines vulpines, cauchemars, corps de chiens mutilés, Avenir radieux fuyant à vives et grandes foulées.
L’hystérie née d’esprits tordus de mâles pétés, Imagine les fureurs viscérales d’un loir, Bestiole en quête de sang, s’agitant tard le soir De la tête à la vulve de la femme infertile, Fou de manque, vomissant l’aménorrhée, fébrile. Vives bouffées de chaleur, subite mélancolie, Bûchers, internements, vapeurs et insomnies.
Musculosité crasse et flambées d’urticaire, Herbacées maléfiques et vipérine vulgaire, Hermaphrodite velue, érigée, narcotique, Mucosités visqueuses et rêv(es) fous de mastic.
Là, des licornes en joie chient des paillettes dorées, De petites chattes bourgeoises suc(ent) des cadavr(es) rongés, Une foule de galériens accrochée à leurs pieds.
La glande supra-caudale de renardes violettes, La danse d’animalcules sur une peau offerte, Créatures de ténèbres, de chimères, de nuées - Noms féminins pluriel aux racines emmêlées.
Les flashs lubriques de mille lucioles dévergondées, Leur désir débridé, palpitant et veiné Luminescences fiévreuses pleines de luciférine Diaboliques femelles déguisées en ballerines.
La flamboyance de nos crises clastiques et cosmiques, L’endurance inouïe de la manie psychotique. Imperturbablement. « Le jour, le soir, la nuit ».
Orques ménopausées au mitan de leur vie, Lourdes globicéphales, bélugas aquatiques, Libérées des contraintes et rapports domestiques, Menant leur espèce en cheffes claniques respectées. Elles arborent au melon, comme un grand vit dressé, Une palanquée d’humaines pleurant leur puits séché.
Un troupeau de mille poulpes, cerveau tentaculaire, Et des pieuvres mourantes qui ne seront qu’une fois mères. Des castors résistant à la binarité, Munis d’un habile trou polyactivités, L’œuvre d’un dieu foutraque, nommée pseudo cloaque.
Le moine d’Alexandra David-Neel au Tibet, Enfanté de rêves zen et de méditation, Le Morel de Gary et sa Mademoiselle Repeuplant les bloks d’un camp de concentration. Les mésanges de Rosa, le lierre de Cyrano, Les mouches de Jack London et de son vagabond, Des tulpa, des chenils, des égrégores, des vifs, Notre insatiable besoin d’une consolation..."
Corrine Morel Darleux-Masto
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kenovele · 7 months
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Bog's blog 41
Bog’s Blog    On est reparti pour un tour. Cette semaine a suivi son cours comme une autre l’aurait fait avant elle. Il y a quand même eu quelques évènements notables qui sont sortis de notre routine habituelle.  
J’ai profité de la bonne météo de ce début de semaine pour travailler sur les “home improvements” extérieur.   Notre système d’eau grise est officiellement fonctionnel avec des améliorations potentielles qui peuvent encore y être apportée à l’avenir. On espère que les plantes filtrantes y trouvent leur compte et enfoncent leurs racines profondément dans la scorie. J’ai également installé des pavés pour pouvoir se déplacer jusqu’au composte sans trop se mouiller dans les hautes herbes et également devant l’escalier principal de la maison. Pour ce qui est de l’intérieur, on a fini la cage moustiquaire autour de notre lit samedi. Elle requière également quelques finitions mais dans l’ensemble elle est fonctionnelle. On a très bien dormi dedans. Lundi au réveil on a découvert qu’il y avait 3 moustiques à l’intérieur qui n’avaient pas eu l’opportunité de nous embêter. En plus ce n’était pas très bon pour mon Karma de perpétrer de génocide de moustique tous les soirs et souvent, au plein milieu de la nuit.   J’ai aussi fait des trous dans le contreplaqué derrière le frigo pour que celui-ci puisse un peu respirer. On a des problèmes de bruits qu’on associe à une surchauffe. Je pense qu’on a passé un point de non-retour et qu’il va nous rappeler sa présence pour toujours. Il y a également la possibilité qu’il ait toujours été bruyant mais qu’on y payait moins attention. Il a tendance à obséder mes pensées le matin pendant ma méditation. Maintenant que je sais que j’ai agi pour régler la situation ça va soulager ma conscience.   Ma liste de chose à faire a donc bien diminué ces derniers jours et heureusement étant donné que cette longue période de liberté (presque 2 ans) arrive à sa conclusion. En effet, la semaine prochaine, je suis censé recommencer à contribuer à la société. Je vais m’habiller correctement, interagir avec des inconnus, participer à l’effort économique de mon ménage et payer des taxes à mon pays adoptif. Ce changement de dynamique est le bienvenu. D’une certaine manière j’aimerai bien me resynchroniser avec le reste du groupe.   Je n’ai pas encore reçu mon horaire pour mon travail dans les élections mais ça devrait être plutôt chill. C’est censé durer environ un mois puis je commence chez les Wilcox début novembre. Je suis allé voir Blair Wilcox (mon frère d’accueil) sur le terrain vendredi aprem pour qu’il me donne un peu les ficelles du métier. Pour me préparer à l’entretient, j’ai nagé 1h15 afin d’être dans les meilleurs dispositions mental possible et me montrer sous mon meilleur jour (de façon naturel). C'était chouette de le revoir après tant d’années. Il a l’air d’aller vraiment bien. Ça se ressent qu’il a une bonne énergie. Il a un enfant et un deuxième en chemin.  
Je compte me déplacer en vélo électrique jusqu’au travail donc j’ai fait pas mal de recherches récemment et je pense avoir trouver ce qu’il me faut une batterie de 625KWh, assistance jusqu’à 45km/h pour 1800 euro. Le vélo a une chouette esthétique. C’est une marque Néo-Zélandaise. Je vais aller au magasin demain pour poser quelques questions.   
Après ma visite chez Wilcox, je suis retourné au boulot de Kate pour boire un verre (ce qui est commun le vendredi aprem) avec ses collègues et Cathy. Cathy était là parce qu’elle avait besoin d’un peu de compagnie après une longue semaine. La bière a bien tapé à jeun après une heure de natation. On est allé faire une dégustation de Gin dans la foulée au “liquor shop” du coin. Je n’avais pas intégré le fait que tester un gin impliquait l'écoute d’une pléthore d’explication inutilement compliqué d’œnologue en herbe/fleur. Kate et Cathy ont assuré les interactions et je me contentais d’acquiescer et sourire docilement. Kate avait l’intention d’acheter une bouteille pour mettre en réserve pour les occasions ce qu’elle a fait.  
Le soir on avait des invités particuliers à la maison. On a reçu trois vétérinaires belges de notre âge qui étaient arrivé quelques jours plus tôt. Robin Delrez, le frère de Natasha (la copine de Vinz), m’a demandé si je pouvais m’occuper un peu de ses amis/collègues. On les a donc conviés à la maison pour un curry. Ils étaient très sympas. Ils ont un working holiday visa mais compte ne rester que 3 mois bizarrement. Il y en a un qui a une promesse d’emploi et qui doit rentrer. Une autre qui a une offre et la dernière qui n’a rien de prévu et qui se voit bien rester plus longtemps. Mais bon, c’est le début de leur voyage et je ne voulais pas trop les embêter avec le fait de penser à la fin. Ils ont tous les trois un boulot rémunéré à 1H30 vers le sud dans une ferme qui commence le mois prochain. On les recroisera peut-être à l’avenir.  
Dimanche, Jamie est rentré une semaine plus tôt que prévu pour l’anniversaire de Mark. Je pense que sa famille et sa copine lui manquait de trop. Un anniversaire représente à la fois la cause du manque et l’opportunité de rentrer en grande pompe. On a fait des pâtes fraiches au pesto et des pisco en apéro. Les grands-parents étaient bien entendu de la partie. C’était chouette d’avoir les différentes histoires du voyageur. On compte l’inviter avec Bea (sa copine) à la tiny house dans la semaine et peut être aller grimper ensemble. Ils comptent aller skier deux semaines début octobre.  
Je pense que ce sera Kate qui vous écrira la semaine prochaine. Ce sera rafraichissant d’avoir un peu son point de vue. Passez une bonne semaine, bisous.  
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boblemeditant · 9 months
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Un extrait les trois ères
Les trois ères
Je vous écris d’un temps où l’ennoblisse­ment de l’humain s’achève. La sagesse et le respect du monde qui l’entoure structurent toute sa croissance. On me nomme Dabou de la particule de conscience consciente1. Ceci est ma troisième incarnation en tant que Dabou. Comment je le sais ? Parce que la faculté qui me relie à mes mémoires de Dabou, le don, s’exprime en moi grâce à Madrasam, la Grande Conscience jamais née, jamais morte, jamais tombée dans l’illusion de sa propre personne.
J’entreprends d’écrire mes vies de Dabou. J’ai eu la chance de les vivre sous trois ères. Dans la première ère l’on me nommait Niquemado, mon père s’appelait « Éternel ado inconscient » et ma mère « la Grande courageuse », mon frère « Namu j’ai pas assez de temps pour vivre » . Il conduisait un véhicule à deux roues propulsé par un moteur à trollpeu2. Cette ère se nomme : le grand carnaval et ma vie consciente commença comme car­navaleux3. Mais j’y reviendrai plus tard. Là j’écris de mon époque. L’écriture est devenue un exercice.
Nous avons développé notre mémoire dans les trois temps grâce à nos amis et frères les céphalos, la deuxième espèce consciente de sa conscience. Vous lecteurs du passé ou de l’ère du grand carnaval, n’oubliez jamais que si mes propos sont durs envers votre époque, Niquemado développera un amour compassionnel très puissant à votre égard et cela malgré les difficultés de sa vie.
Ma contrée se situe dans ce que vous appelez le petit pôle Eu­rope dans une gonré4 à deux cents kilomarche de votre côte ac­tuelle. Mais à l’heure d’aujourd’hui la mer se trouve à trente ki­lomarche de mon lieu de vie. Ma communauté me considère comme grand Dabou car pendant une nuit, le centre de ma conscience se révéla à ma réalité : le retour au stade de parti­cule de conscience. Depuis cette expérience, je vis sur l’autre rive. Si mon langage vous semble spécial c’est parce que j’écris du futur à votre intention. C’est aussi un message d’es­poir, la vie est plus forte que tout.
Dans la sonmais que j’occupe, vit avec moi la voyageuse du temps appelée Tempo. Nous lui devons beaucoup, c’est une cé­phalos5.Elle pense et parle dans les trois temps. Dans l’époque où je vis c’est tout à fait naturel. Notre civilisation ne considère que l’éternel Présent. Le passé et le futur se sont fondus dans notre mode de pensée.
Hé oui, dans notre ère beaucoup de transformations ont eu lieu. Nous ne voulons plus commettre les mêmes erreurs que les car­navaleux. Notre rencontre lors de notre apprentissage dans la coleaapprenti6 scellera notre amitié. C’est un lieu où la mèrepa­cult est enseignée. Tout tourne autour de la mèrepaculture pen­dant les dix premiers tours de soleil ;on commence tous par le terre à main7 et en même temps on apprend la turecré8. C’est excellent pour le développement de nos mains et de l’imagi­naire. Nous gardons les mêmes profédus9 pendant cette pé­riode. Ah j’oublie ! Toute notre petite enfance nous la passons avec nos parents, partout où ils vont, nous allons. Je reprends, la colleaapprenti : durant cette période d’apprentissage nous expérimentons un maximum de méthodes. Nous stimulons beaucoup la créativité pour le bien-être de la communauté,nous ne pensons plus en « je », mais en « nous », nous inventons beaucoup de nouvelles techniques, nous avons aussi des cours de scientiste unification. La méditation est la deuxième fonda­tion de notre éducation et de notre société. Un céphalos et un humain se partagent la tâche pour l’éducation de nos petits. La quater mixité est de mise, ce que vous appelez le racisme n’existe plus, il n’y a plus d’échec scolaire vu la solidarité entre les petits apprentis. Notre expérience nous montre qu’une édu­cation qui tient compte des besoins, des capacités, d’une en­traide et d’une égalité dans les différentes tâches quelles qu’elles soient, nous évitaient bien des problèmes.
Je vous explique notre mode de vie, c’est toujours intéressant, enfin moi je trouve cela captivant, l’observation pour les diffé­rentes façons de vivre de nos communautés me fascine.
Les dirigeants tels que vous les connaissez n’existent plus, seulement des médiators. Je suis l’un d’eux. Souvent notre seule aura d’apaisement et de réflexion sur nos semblables, dé­tende les communautés ou celles qui ont un problème intérieur. Les solutions surgissent d’elles-mêmes. Notre absence de pou­voir temporel les rassure. Qui serions-nous pour imposer quoi que ce soit ? Nos parents, notre entourage nous repèrent dès notre enfance. Le comportement apaisant et guérisseur que nous avons sur notre environnement nous prédestine à cette tâche grâce à une étique naturelle, à l’impermanence liée au corps. Notre impartialité et notre neutralité nous évitent tous les pièges d’une position dominante. La nature de notre personna­lité s’unifie au vivant. Nous les médiators entrons en fraternité avec l’amour de l’être. Nos contemporains ont des difficultés à suivre notre mode de vie. La confiance dont ils font preuve à notre égard grandit à chaque génération d’homme sage au ser­vice des leurs. Le type de société que nous choisissons sur Ter­rableue10 provient de longues palabres au niveau planétaire. Tous les six tours de soleil, une personne désignée par sa com­munauté se rend dans un endroit bâtit par nos soins, on l’ap­pelle l’Agora. Ce conseil des êtres conscients peut durer des nuits et des jours entiers et ne finit qu’avec des accords bien établis pour pérenniser les acquis de notre mode de vie. Le ci­ment de notre société se nomme « la palabre ». Je dois vous dire qu’avec les céphalos c’est plutôt de la transmission de pen­sée.
Les Céphalos étaient de votre temps ce que vous appeliez les pieuvres, les calamars, les poulpes. Pour le moment sachez qu’ils et elles se sont adaptés à la vie terrestre mais gardent
1 Humain totalement conscient
2pétrole
3Personne inconsciente
4région
5Céphalopodes
6école
7travail
8écriture
9Prof, enfin un peu plus que ça
10Ce que l’on appelle la terre
The three eras
I am writing to you from a time when the ennoblement of the human is coming to an end. Wisdom and respect for the world around him structure all his growth. They call me Dabou of the conscious consciousness particle1. This is my third incarnation as Dabou. How do I know? Because the faculty that connects me to my memories of Dabou, the gift, expresses itself in me thanks to Madrasam, the Great Consciousness never born, never dead, never fallen into the illusion of its own person.
I undertake to write my lives of Dabou. I had the chance to experience them in three eras. In the first era, I was called Niquemado, my father was called "Eternal unconscious teenager" and my mother "the Great Courageous", my brother "Namu I don't have enough time to live". He was driving a two-wheeled vehicle powered by a trollpeu2 engine. This era is called: the great carnival and my conscious life began as a carnival. But I will come back to that later. Here I am writing from my time. Writing has become an exercise.
We developed our memory in the three times thanks to our friends and brothers the cephalos, the second species aware of its conscience. You readers of the past or of the era of the great carnival, never forget that if my words are harsh towards your time, Niquemado will develop a very powerful compassionate love towards you, despite the difficulties of his life.
My country is situated in what you call the little pole of Europe in a region two hundred kilometers from your present coast. But today the sea is thirty kilometers from where I live. My community considers me as a Grand Dabou because during one night, the center of my consciousness revealed itself to my reality: the return to the stage of consciousness particle. Since this experience, I have lived on the other side. If my language seems special to you, it is because I am writing the future for you. It is also a message of hope, life is stronger than anything.
In the room that I occupy lives with me the time traveler called Tempo. We owe her a lot, she is a cephalos5. She thinks and speaks in three times. In the time I live in, it's quite natural. Our civilization considers only the eternal Present. The past and the future have melted into our way of thinking.
Yes, in our era many transformations have taken place. We don't want to make the same mistakes as carnival goers. Our meeting during our apprenticeship in the coleaapprenti6 will seal our friendship. It is a place where the mother pacult is taught. Everything revolves around the motherpaculture during the first ten turns of the sun; we all start with the earth to hand7 and at the same time we learn the turecré8. It is excellent for the development of our hands and the imagination. We keep the same professions9 during this period. Oh I forget! We spend all of our early childhood with our parents, wherever they go, we go. Let me go back, the colleaapprenti: during this learning period we experiment as many methods as possible. We stimulate a lot of creativity for the well-being of the community, we no longer think in “I”, but in “we”, we invent a lot of new techniques, we also have unification scientist courses. Meditation is the second foundation of our education and our society. A cephalos and a human share the task of educating our little ones. The quater mix is in order, what you call racism no longer exists, there is no more school failure given the solidarity between the little apprentices. Our experience shows us that an education that takes into account needs, abilities, mutual aid and equality in the various tasks, whatever they may be, avoided many problems.
I explain our way of life to you, it's always interesting, finally I find it captivating, the observation for the different ways of living of our communities fascinates me.
Leaders as you know them no longer exist, only picks. I am one of them. Often our only aura of appeasement and reflection on our fellow human beings, relaxes communities or those who have an inner problem. Solutions arise on their own. Our lack of temporal power reassures them. Who are we to impose anything? Our parents, our entourage identify us from our childhood. The soothing and healing behavior that we have on our environment predestines us to this task thanks to a natural ethic, to the impermanence linked to the body. Our impartiality and neutrality avoid all the pitfalls of a dominant position. The nature of our personality is unified with the living. We picks enter into brotherhood with the love of being. Our contemporaries find it difficult to follow our way of life. The trust they have in
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ambipolis · 1 year
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Vendredi 4 novembre 2022
La France qu’est-ce qu’il en reste ?
L’excellent magazine L’Incorrect dirigé par Arthur de Watrigant nous livre dans son numéro 57 d’octobre 2022 une passionnante rencontre inédite entre quatre intellectuels de notre temps sur le thème : « La France, qu’est-ce qu’il en reste ? »
Alain Finkielkraut, Pierre Manent, Chantal Delsol, Mathieu Bock-Côté échangent sur quelques vertiges qui « menacent la France dans son existence même : disparition du sacré, menace du wokisme, fin de la chrétienté, place de l’Islam et de la laïcité, rôle de la presse. »
Dans cette première note de lecture, je me limiterai aux deux premiers sujets abordés : d’une part Élisabeth II, la France et la place du sacré en politique ; d’autre part que penser - et faire. - face au wokisme. Je vous invite à lire ou relire cette « rencontre au sommet » dans son intégralité sans attendre la seconde note de lecture.
Chantal Delsol pose ainsi la première problématique : « Nous saluons avec la mort de la reine ce désir d’éternité que nous n’avons plus. » Alain Finkielkraut cite la grande méditation de José. Ortega y Gasset dans La Révolte des masses et fait référence au droit fondamental de l’homme à la continuité historique « si fondamental qu’il est la définition même de sa substance. » Pierre Manent relève que la République a été « ramenée aux valeurs de la République, ce qui introduit une rupture délibérée avec cette grande aventure que l’on appelait l’histoire de France. »
Rupture qui nous amène à la menace du wokisme. Pierre Manent y voit « un progressisme pessimiste, une imitation du christianisme ou plutôt d’une moitié du christianisme qui garde la pénitence mais exclut le pardon, qui nous condamne à un châtiment indéfini pour les crimes réels ou supposés de nos aïeux. » Alain Finkielkraut cite à nouveau Ortega y Gasset : « L’homme n’est jamais un premier homme. Il ne peut commencer à vivre qu’à un certain niveau du passé accumulé. » Enfin Mathieu Bock-Côté revient sur « l’expiation sans rédemption » en indiquant que ce mouvement n’est pas réservé aux universités américaines et « a colonisé le monde de la culture, des médias et de l’entreprise. »
La suite dans la prochaine note de lecture.
Jean-Loup ARNAUD
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seetamuller · 1 year
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Dessins insignifiants 2023
 "se concentrer non pas sur l'évidence mais sur la représentation de l'insignifiant ".
Regarder à l'extérieur de l'atelier dans le monde au-delà du verre, et créer des dessins erratiques avec des matériaux d'encres et de matières végétales. Ces aperçus et visions erratiques témoignent du temps que j'ai passé dans cet atelier fermé, représentant l'invisible et le visible.
Ce qu'il en reste ressemble à des notes de terrain, des fragments et des souvenirs d'une époque et d'un lieu. 
Les eaux boueuses et les marques souillées de la terre sont étalées et pressées sur les feuilles blanches vierges, comme des taches juxtaposées à des images qui se chevauchent, dont certaines sont ajoutées et pressées dans le papier telles quelles. 
C'est l'espace entre les mauvaises herbes qui est à l'origine de l'inspiration de ces impressions et dessins. 
Les couleurs sont floues et translucides, minimales et même insignifiantes, elles capturent quelque chose qui n'est presque pas là, et une étendue de vide qui est vaste comme elle est petite. Elle constitue en quelque sorte une méditation sur l'espace que j'ai habité au cours de cette résidence. 
C'est un témoignage du processus de fabrication des choses, plutôt qu'une décision finale ou une obsession pour une œuvre d'art finale.
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mes pas sont bien réels, alors pourquoi tes pas qui me rejoignent, me doublent et me dépassent à cet instant ne le seraient-ils pas aussi, toi qui marche chaque jour à mes côtés sur les chemins de mes souvenirs qui me guident ?
car en eux je vis ce présent qui m’est cher et dont je sais l’étendue plus longue à tous les autres présents, ce présent plus durable que cette lumière qui déjà se couche au lointain de ma vie ; aux mille présences, vivants, les souvenirs ne viennent pas toujours du passé
© Pierre Cressant
(mardi 9 mai 2006 - mardi 21 février 2023)
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tournesolaire · 11 months
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Je crois que j'ai envie de pleurer
De joie probablement, ou d'émotions de façon générale
Ces derniers temps je me sentais vraiment très très très seule, en permanence, j'avais l'impression d'être complètement inutile et de ne pas compter ; j'avais l'impression que d'une seconde à l'autre j'aurais pu me jeter d'un pont sans conséquences pour les gens autour de moi
Et puis le groupe de la fac a intégré une nouvelle fille il y a quelques jours, Louise
On a été chez elle avant hier et c'était vraiment chouette, on était plein et même si je me sentais seule malgré tout c'était chouette d'avoir des gens un peu autour de moi, puis j'aime vraiment bien Louise elle est rigolote et attachante
Mais du coup
Hier soir on a fait une petite soirée chez elle
Il y avait Louise, Thibault, Rémi et moi
On a été mangé à la friterie, c'était la première fois de ma vie que je faisais un "restaurant" avec des copains ça m'a touché
Après la friterie on a été donné nos restes de frites aux canards avec Louise et Rémi c'était vraiment chouette
Mais surtout
Cheyenne nous a rejoint
On a tous pas mal bu
On a passé une trop chouette soirée, on est même allés au drop
A un moment je suis allée parler de spiritualité avec Thibault, allongée sur le parvis de la cathédrale a regarder le ciel et l'écouter
Puis on est tous rentrés chez Louise
Cheyenne était vraiment adorable avec moi
Elle m'a dit d'aller dormir chez elle alors j'ai accepté
A un moment donné (comme d'habitude) j'ai du aller vomir et elle restait derrière la porte pour être sûre que tout allait bien
Elle était vraiment gentille avec moi et quand je suis sortie des toilettes elle a réunit mes affaires et elle a voulu qu'on rentre pour que j'aille me reposer un peu
Donc on est rentrées chez elle
Puis au final l'air de la nuit nous a aidé, alors on a décidé de continuer à boire du vin, on a aussi mangé des tomates cerises et des radis en parlant de traumas et de trucs un peu compliqués à aborder d'habitude
Elle m'a répété plein de fois que ça faisait longtemps qu'elle voulait absolument être ma copine et j'ai cru que j'allais pleurer
Toute la soirée elle a aussi insisté pour que la semaine prochaine on se fasse un petit atelier peinture/vin sur les quais et ça me rend tellement heureuse d'avoir enfin trouvé quelqu'un avec qui faire ce genre de choses
Elle m'a aussi donné un beau caillou, elle m'a dit qu'elle savait pas ce que c'était celui ci mais qu'elle voulait me le donner parce qu'il brille et que du coup ça la faisait penser à moi
On a été faire dodo vers 4h30 environ et ce matin elle était vraiment attentionnée envers moi parce que je faisais que de vomir
On s'est préparées ensemble et c'était beau
C'était doux
Je pleure des larmes chaudes
J'ai une vraie amie
Je suis amie avec Cheyenne
La moi d'il y a 3/4 n'y croirait jamais mais je suis amie avec Cheyenne et on va faire de la peinture ensemble et aussi des rouleaux de printemps
On va faire de la méditation
Se tirer les cartes
Peindre
Vivre
Et je suis heureuse
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🟢🇫🇷 DES SOLUTIONS AU STRESS ET À LA PRESSION?
la faute des amis, de la pub, des parents, du passé, de la télé ? La bonne nouvelle est que vous n'avez rien à accepter ni personne et que vous pouvez vous transformer en une personne positive sans mais ni si grâce à la puissance de votre esprit et à l'hypnose DCS unique au monde !
Je sais que cela peut sembler idiot mais c'est ce qui m'est arrivé ainsi qu'à des centaines de personnes aidées par moi partout dans le monde !
J'étais, il y a 13 ans, la personne la plus stressée et la plus colérique de l'univers !
J'ai fumé 3 paquets de cigarettes et, avec 2300 responsabilités, j'ai eu 209 000 pressions de toutes formes et couleurs chaque jour !
Je sautais de 3 mètres depuis la chaise 3 au moindre problème !
Aujourd'hui je suis une personne à l'esprit clair, calme et paisible, comme le meilleur samouraï, le meilleur sage de l'univers !
J'ai effacé à 100% mon passé négatif de mon subconscient et toutes les images négatives que mon père et la vie m'avaient envoyées sur la colère, le stress et plus encore !
Pas content, j'ai reproduit la même chose à des centaines, voire des milliers de personnes partout dans le monde, avec rien de moins que des résultats incroyables !
Vous n'êtes pas obligé de me croire mais laissez parler les faits et non le bla bla même à partir de 1 DCS audio sans même faire des séances en ligne d'hypnose DCS uniques au monde, qui sont actuellement suspendues partout dans le monde !
Seulement vous le fameux choix!
si vous les avez vraiment tous essayés et Zero fait, qu'est-ce que cela vous coûte d'essayer l'hypnose DCS True et professionnelle de Los Angeles Beverly Hills pour votre bien et celui de vos proches même avec seulement 1 audio DCS ?
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awakeclub · 2 years
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FR/EN
• Vous n'êtes pas un fardeau mais un cadeau pour ceux qui vous aiment.
 • Overthinking détruit votre bonheur, votre situation et vos relations.
• Votre passé ne vous définit pas et votre avenir peut être ce que vous voulez qu'il soit.
 • Personne n'a tout compris. L'action est le meilleur remède.
• Les opinions des autres en disent plus sur eux que sur vous. Concentrez-vous sur vous-même.
 • Réalisez que vous contrôlez votre propre destin. Le monde vous appartient
• Mettez vos pensées en perspective.
 • Apprenez à entraîner vos pensées avec des exercices de méditation et de respiration.
• Votre esprit peut être votre meilleur ami et votre pire ennemi. Prenez-en soin.
 • Tu es plus fort que tu ne le penses. Regardez jusqu'où vous êtes déjà arrivé.
• Vos pensées ne sont que des pensées. Ils ne sont pas la réalité.
 • Le monde travaille pour vous et non contre vous. Il y a de la positivité à trouver dans chaque situation
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• You are not a burden but a gift to those who love you. • Overthinking destroys your happiness, your situation and your relationships.
• Your past does not define you and your future can be whatever you want it to be. • No one has it all figured out. Action is the best medicine. The opinions of others say more about them than about you. Focus on yourself.
• Realize that you control your own destiny. The world belongs to you
• Put your thoughts into perspective.
• Learn to train your thoughts with meditation and breathing exercises. • Your mind can be your best friend and your worst enemy. Take care of it.
• You are stronger than you think. Look how far you have already come.
• Your thoughts are just thoughts. They are not reality. • The world works for you, not against you. There is positivity to be found in every situation.
YOU ARE WONDERFUL
Awake Club
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christophe76460 · 4 hours
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Manne du matin - 28 Avril -
Dieu est fidèle...
"Dieu est fidèle, Lui qui vous a appelés à la communion de Son Fils, Jésus-Christ notre Seigneur." 1 Corinthiens 1:9
Ces paroles de l'apôtre Paul impliquent un regard en arrière et un regard en avant. Il pouvait dire de lui-même, en se souvenant du passé: Celui qui m'a appelé à la communion de Son Fils, Jésus-Christ, mon Seigneur, est fidèle. Et quant au temps qui lui restait à vivre sur cette terre, il pouvait dire par la foi, avec une pleine assurance: "Il sera fidèle."
Quand nous regardons en arrière, nous pouvons constater avec reconnaissance que Dieu a été fidèle pour nous, depuis le jour où nous avons reçu le salut par grâce jusqu'à aujourd'hui. Et par la foi, nous regardons l'avenir qui nous est entièrement inconnu, et pouvons considérer avec une entière espérance les années qui sont devant nous, jusqu'au jour où nous comparaîtrons devant Lui pour rendre compte à notre Maître de notre service. La fidélité du Père des lumières en Qui il n'y a ni changement ni ombre de variation est le fondement de notre vie. Jacques 1:17. Soyons reconnaissants de ce que Dieu est fidèle, car cette reconnaissance est une source qui fait jaillir de notre coeur et de notre esprit l'espérance qui ne trompe point.
La fidélité de Dieu est comme un arc-en-ciel qui s'étend d'un bout à l'autre de notre vie. Comme cet arc glorieux aux vives couleurs illumine le paysage après l'orage, ainsi la fidélité de Dieu éclaire toute notre existence. Quand Il nous a pris en mains, pécheurs que nous étions, il était déjà "Celui qui a commencé en vous cette bonne oeuvre et qui la perfectionnera jusqu'au jour de Jésus-Christ". Philippiens 1:6 V.O.
En nous-mêmes comme autour de nous, nous trouvons beaucoup d'infidélité; celle-ci met encore en relief la fidélité de notre Dieu qui nous a appelés à la communion de Son Fils. Et voilà pourquoi nous devons aspirer à une vie toujours plus vraie et toujours plus intime avec Celui qui est fidèle. Voilà pourquoi nous voulons Lui demander du fond de notre coeur que notre vie reflète Sa fidélité, et qu'avant toutes choses, nos relations avec Lui-même et avec les hommes soient empreintes de cette même grâce divine.
Méditation biblique quotidienne
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traces-ecrites · 17 days
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Mon lit : le meilleur endroit au monde, à coup sûr. Mon lit, c’est mon refuge, mon havre de paix, mon lieu de repos et de régénération. Je peux m’y étaler en travers ou m’y rouler en boule sous la couette, j’y suis bien. Je m’y sens à l’abri, protégée de l’agitation du monde.
Le meilleur moment de la journée, c’est celui où je me couche dans mon lit. Quoi qu’il se soit passé dans la journée : argh, beurk, snif, taratata, youpi, au moment de me coucher, c’est toujours le grand soupir : hhhaaaaaa ! L’appel du repos, de la détente, du relâchement.
À l’heure du coucher, il est temps de répondre entièrement à l’appel de la couette. Je me blottis dans sa douceur, dans sa chaleur. Je savoure la caresse des draps sur ma peau. Cette sensation enveloppante s’accompagne du soutien plus ferme du matelas. Mon corps peut s’abandonner. Mon lit ne me laissera jamais tomber.
Les contours de mon corps se moulent dans la texture subtilement élastique du matelas. Mon oreiller épouse la forme de ma tête et de ma nuque. Mes mains, mes pieds, parfois plus frais au début, se réchauffent peu à peu. Je m’engourdis délicieusement. Je respire plus paisiblement.
À l’horizontale, mon corps est capable d’explorer une large palette de positions. La plus spontanée pour moi, c’est sur le côté, les jambes plutôt rassemblées, le bras de dessous replié sous ma tête, avec l’oreiller. J’aime bien aussi quand mes deux bras s’enroulent autour de moi, en mode gros câlin à moi-même. Mes jambes peuvent être plus ou moins repliées, ensemble ou de façon asymétrique. Et autant de variantes sont possibles du côté droit et du côté gauche, sans préférence marquée pour l’un ou pour l’autre.
Sur le côté, j’aime aussi quand mon corps vient s’accorder à celui de mon homme aimé, celui qui partage mon lit et ma vie depuis presque trois décennies. Nos épidermes se connaissent et se reconnaissent. C’est comme si nos formes s’étaient moulées au fil du temps l’une sur l’autre, comme des empreintes.
Allongée sur le dos, de tout mon long : ce n’est pas une position spontanée, même si je m’y sens bien pour pratiquer des respirations ou des méditations (les deux vont bien ensemble). C’est aussi une position de repos volontaire, que j’adopte pour réfléchir à des questions aussi existentielles que : quel est l’intérêt de réfléchir à sa position allongée ?
L’intérêt ? C’est sortir du mode « pilote automatique », observer comment je fonctionne et envisager des façons différentes qui pourraient, peut-être, se montrer plus intéressantes que celles pétries par mes vieilles habitudes.
Par exemple : allongée sur le ventre. Cela peut se montrer utile à la plage, pour bronzer recto verso. Pour ma part, allongée, je préfère savourer l’intimité de mon lit que rester à griller sur une serviette. J’observe que j’aime de plus en plus sentir la chaleur de la couette dans mon dos qui se vrille légèrement. Cette posture requiert une certaine souplesse de la colonne vertébrale : je trouve cette torsion plutôt relaxante.
Allongée sur le ventre, je m’embarque volontiers pour de grands voyages immobiles, quand mon imagination se débride et m’entraîne dans des divagations plus ou moins fantaisistes. Tout devient possible, les idées rebondissent et s’entremêlent, elles gonflent comme des ballons de baudruche, éclatent en gerbes d’étincelles comme un feu d’artifice, s’évaporent en volutes de brume dans lesquelles se perdraient des arcs-en-ciel.
Avant de m’endormir, il m’arrive de tourner dans mon lit. Au bout d’un certain temps, parfois court, parfois plus long, je finis par m’assoupir. Je m’endors et j’oublie. Mon corps continue de faire son boulot : il respire, il digère, il élimine. Il sait encore ressentir, mais ma conscience est mise en veille.
Je peux alors embarquer pour des explorations mystérieuses, guidées par mon inconscient. Tout devient possible, je flotte, je nage, je plonge, je me noie… Je remonte à la surface pour surfer sur les vagues de mon imagination débridée. Qu’importe le lit, celui que je connais le mieux ou tous ceux dans lesquels j’ai dormi, dans le confort ou à la dure.
Le lit, c’est évidemment le lieu du sommeil. Nous autres humains y passerions en gros un tiers de notre vie. Le sommeil est ce grand mystère dont aucun animal vivant ne peut complètement se passer. C’est le moment où le cerveau trie, classe, mémorise et donc oublie.
Je pense et j’oublie. Je pense que je vais oublier. J’ai déjà oublié ce à quoi je pensais. Je m’endors. À certains moments, je suis éveillée : je pense, j’agis, je décide, j’exécute, je suis présente. À d’autres, je suis endormie : je me relâche, je divague, je rêve, je suis absente. Comment se fait le passage d’un état à l’autre ? À quel moment, précisément, se situe la bascule ?
Le jour, je veille. La nuit, je dors. À quel moment, précisément, le jour devient-il nuit ? La même question se pose pour le noir et le blanc : ce noir qui dessine les lettres est-il vraiment noir à 100 % ou bien est-il déjà un peu gris ? La dualité est omniprésente : lumière et obscurité, vérité et mensonge, santé et maladie… Un beau sujet de divagation pour une prochaine insomnie…
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