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#troisième mi temps
nouvellesdumaquis · 8 months
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Julien Dassin reprend le tube Dans les yeux d'Emilie
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Julien Dassin vient de dévoiler une vidéo du titre Dans les Yeux d'Emilie enregistrée sur le plateau des Enfants de la télé. Ce titre de Joe Dassin est redevenu viral et populaire grâce aux férias, fêtes de villages et les compétions sportives. Il accompagne les troisièmes mi-temps de la Coupe du Monde de Rugby.
Depuis de nombreuses années, Julien Dassin continue à faire découvrir le répertoire de Joe Dassin avec des concerts partout dans le monde. Il va d'ailleurs prochainement chanter aux portes de l’Asie (Kazakhstan et au Kirghyzistan) en Novembre 2023. "Moi, j'avais le soleil… Jour et nuit… Dans les yeux d'Émilie…" Il n'y a plus de 3e mi-temps sans cet air entraînant. Les plus âgés reconnaîtront les paroles de la chanson Dans les yeux d'Émilie de Joe Dassin mais ce sont maintenant les plus jeunes qui s'époumonent sur cette musique à la fin des matchs de rugby. Un morceau déjà repris dans les stades de rugby et les férias depuis une dizaine d'années. Ecoutez Julien Dassin chanter Dans les yeux d'Emilie :
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homomenhommes · 24 days
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 166
Cela faisait déjà quelque semaines que Xavier m'avait demandé de passer chez eux. Je savais qu'ils m'attendaient avec un cadeaux.
Nous finissons par trouver un soir alors que Marc est en déplacement.
Quand j'arrive Laure est encore seule. Bisou avec la langue. Collée contre moi, je la sens chaude. Je le lui dis. Elle m'avoue que quand elle sait que je viens, ça l'excite. ;L'idée de se faire prendre en même temps des deux cotés (cul et chatte) et même de voir son mec me sodomiser, ça l'excite un max.
Je passe ma main entre ses cuisses et je la retire trempée, elle n'a pas mis de culotte ! Sa main à elle est venue se plaquer sur mes jeans et masse la déformation du tissus que ma bite provoque vers la gauche. Je calme le jeu en attendant son mari.
Heureusement il ne tarde pas. Il vient directement me rouler un patin et enfile un doigt dans sa femme qui nous colle. Ils sont chauds tous les deux et nous passons directement au sexe ! Xavier nous emmène à sa salle de muscu et à poils nous commençons la partie de plaisir.
Comme à chaque fois nous débutons par Laure. Elle se laisse envahir par nos sexes. Bouche, chatte et anus nous voient passer plusieurs fois. Elle n'a maintenant plus de difficultés à se prendre les 26cm x 6,5 dans ses trous. Cela me vaut à chaque fin de séance un remerciement particulier.
Grâce à l'action conjuguée de nos bites et nos langues, nous la faisons jouir deux fois. Premier tableau : je la prends par derrière alors qu'elle chevauche son mari. Je m'introduis dans son cul alors qu'elle est toujours planté sur Xavier. C'est divin ! je sens au travers de ses muqueuses l'autre bite qui occupe son vagin. Quand Xavier reprend ses va et vient, nos glands se frottent l'un contre l'autre et nous sentons bien le passage de nos couronnes. Je dois me distraire un peu si je ne veux pas jouir aussitôt. Je me calme au moment où elle à son premier orgasme, sinon les compressions de ses muscles vaginaux m'achèveraient.
Deuxième tableau : inversion des rôles, je suis dans sa chatte, compressé par la queue de son mec en train de la sodomiser. Là, je ne crains pas de partir trop vite, je suis moins serré que dans son cul.
troisième tableau : Xavier délaisse sa femme, je prend sa place dans son cul. J'y suis quelques instants un peu au large, le temps que l'anneau se resserre sur ma queue. Je le sens venir dans mon dos. Je devine ce qui m'attend, sa grosse bite dans mon trou ! Il sait que je ne suis pas un coutumier de ses dimensions et commence par me bouffer l'oignon. Sa langue fait merveille, je m'ouvre et le sens la rentrer d'au moins un cm. Faut dire qu'il est habitué à manger la chatte et le cul de sa meuf. Après sa langue, il y va de ses doigts plein de gel et ne cesse que quand il en fait coulisser 3 sans résistance. Même ainsi je me sature en poppers ! Les 6,5cm de diamètre, plus encore que les 26 de long posent problème dans les premières minutes, bon après c'est bien sûr les 26cm qui ont un peu de mal à se frayer un passage ! Je me plante bien dans le cul de Laure et attend l'assaut de son mec. Alors que j'ai encore la tête bouillante (et le trou ramolli) par le poppers, il présente son gland sur ma rondelle. Excité, je veux en finir vite et recule sec. Son gland volumineux me pénètre. Je sens mon sphincter se refermer derrière la couronne. Xavier me prend alors par les hanches et pousse son bassin. Mm par mm, il fait entrer les 26cm de sa grosse pine. Je ne débande pas dans le trou de Laure. Je prend un plaisir fou à me faire écraser la prostate par son mandrin. Une fois au fond de mon cul, nous restons quelques instants sans bouger, tous les trois à écouter les sensations provoquées par le partenaire. Il recule me retenant contre son bassin jusqu'à ce que seul mon gland reste dans sa femme. Là, il me relâche et me dit d'y aller. Je vais passer comme cela un bon moment à coulisser dans le trou de sa meuf alors que le pieu de son mec me perfore l'anus. Je me plante au fond du cul de Laure, ça me libère l'anus. Je recule et m'enfonce le sexe de Xavier alors que la pression sur ma bite disparaît. Je ne jouis que quand, trop excité, Xavier me maintient planté dans sa femme et qu'il me laboure à fond. Je ne peux plus me retenir et explose. J'arrive à bloquer les mouvements de piston de Xavier et ça le fait juter à son tour. Je suis anéanti ! Xavier trouve encore la force de titiller de ses doigts le clito de madame et de lui tirer un troisième orgasme. Etalés sur le sol nous mettons 1/2 heure à récupérer.
Quand nous nous relevons, je boxe par jeux les pecs de Xavier en lui disant qu'il me ruine l'anus à chaque fois qu'il y passe. Il me répond que je ne dois pas détester cela car j'y revient régulièrement (ok, j'aime bien et aussi l'enveloppe qui va avec). Comme ils m'invitent à diner, je préviens Samir que je ne renterais pas très tôt. Nous mangeons très bien dans un restaurant 2* Michelin et au dessert, Xavier me tend un boite cubique noire. J'avais oublié qu'ils voulaient m'offrir un cadeaux pour les avoir " décoincé " de leur misère sexuelle. J'ouvre et trouve une montre super originale à une seule aiguille, Suisse bien sûr, la montre pas l'aiguille !
Je détache ma Tag-Heuer Monaco de tous les jours et la remplace par leur montre. Grand cadran noir, rond, qui virilise le poignet qui le porte. Très sobre elle est d'un chic fou, bien moins ostentatoire que le premier cadeau d'Emma (avec ses diamants roses), Je me lève et au risque de choquer les " bien pensants " embrasse Laure sur la bouche ainsi que Xavier.
Quelques jours plus tard, j'ai reçu un coup de fil de Daniel (mon vendeur Suzuki). On papote quelques instants sur le taf : vente et son taf : Escort. Il me dit qu'il commence à ne plus avoir de complexes rapport à sa culture et qu'il apprécie de plus en plus son " client ". Il me dit que bien qu'il ait été en combi moto ou à cause de cela, son " client " l'a emmené dernièrement dans un grand restaurant où son accoutrement faisait vraiment tâche ! Je lui demande si cela l'avait gêné. Il me dit que finalement il n'en n'avait rien eu à faire. Il avait même noté chez les serveurs, une certaine connivence. En attendant, ils avaient passé un bon moment, son " patron " s'amusant même des regards réprobateurs qui provenaient des tables voisines. Coté sexe, ça le fait bien aussi. Comme ils sont tous les deux recto/verso, il n'y a pas de manque (contrairement à Kev et son Boss). Je lui demande quand il pourra passer avec Cédric et nous tombons d'accord pour le WE qui suit, Marc sera présent. Il aime trop les ptits mecs pour que je le prive d'une baise avec Cédric.
Ils arrivent dès le vendredi soir (même si ils travaillent le samedi matin pour Cédric et toute la journée pour Daniel). J'irai d'ailleurs le chercher à midi (Cédric).
Nous les débarrassons de leurs combi moto, ils restent en shorty et t-shirt. Cédric est très à l'aise et saute alors dans les bras de Marc pour lui rouler un patin, pendu à son cou, les jambes autour de sa taille. Comme il ne veut pas en descendre, Marc le porte jusqu'au salon. Nous les suivons en échangeant les dernières nouvelles et les retrouvons Marc dans un canapé et Cédric en train de glisser le long des ses jambes. Quand il est à genoux, il lui écarte les cuisses et s'occupe à défaire les boutons du Jeans. Nous le regardons faire et j'appelle Ammed pour qu'il nous serve l'apéro.
Il n'a pas fallu beaucoup de temps à Cédric pour arriver à ses fin et qu'il libère le sexe de Marc. Il ne reste pas à l'air libre très longtemps et se retrouve couvert par la bouche vorace de Cédric. Je fais attention et je m'aperçois qu'il réussit à le manger en entier. J'en discute avec Daniel qui me confirme que tous les jours il lui fait la gorge pour qu'il s'entraine et maîtrise les réflexes associés au passage de la glotte. Je le félicite car le résultat est là. Marc apprécie les progrès. Devant tant de bonne volonté, il prend la tête de Cédric entre ses mains et gère le pompage de sa bite. Entre autre il teste la capacité respiratoire de son suceur en maintenant progressivement de plus en plus longtemps son gland au fond de sa gorge. Ce n'est pas Ric mais il arrive à tenir un bon moment sans respirer. Sans ôter la bite de Marc de sa bouche, il se défait de son shorty et de ses chaussettes et passe de la position sur les genoux à 4 pattes, nous présentant son petit cul étroit, véritable appel au viol. Marc nous demande de bouger et de lui préparer le cul. En vitesse nous nous mettons aussi à poil et commençons à lui travailler le trou. Bien souple, peu être un peu plus que dans mon souvenir. Daniel me rassure et me dit qu'il a été obligé de le sauter à midi, tellement il (Cédric) était excité de passer son premier WE chez nous.
Je passe en premier et Kpoté enfonce mes 20cm dans son cul. Bâillonné par la queue de Marc, il ne peut manifester. Je le prends par les hanches et le lime sèchement. A chaque fois que je suis au fond de son cul, je pousse encore pour qu'il s'enfonce la queue de Marc jusqu'à ce que son front butte sur les abdos. Il arrive a se dégager de Marc juste le temps de nous déclarer que c'est trop bon et de reprendre sa pipe là où il l'avait laissée. C'est vraiment adorable autant de bonne volonté ! Je vais pour céder ma placer à Daniel mais il me dit de continuer, lui a le privilège de l'enculer tous les jours. Il se place dans mon dos et glisse sa bite entre mes cuisses, son gland me caressant les couilles. Je lui dis de mettre une kpote et j'ai juste le temps de me mettre un peu de gel qu'il se présente à mon passage arrière et défonce la porte. Bon, très bon même ! Se faire enculer alors que soi même on est en train de faire la même chose c'est divin. Marc ne tient plus, il repousse Cédric et le prend par les épaules pour le relever. Je me retrouve la nouille à l'air ! Il se rassoit dans le canapé, se kpote et demande à Cédric de s'assoir sur sa bite en lui tournant le dos. Une fois Cédric bien planté dessus, il bascule en avant et le met à 4 pattes devant moi. J'ai juste à prendre sa tête entre mes mains pour lui indiquer le chemin de ma queue (dkpotée).
Photo : Daniel m'encule alors que je me fais sucer par Cédric lui même enculé par mon mec qui en se penchant un peu vient me rouler un patin. Trop bon cette situation ! Cédric s'applique à me sucer et à m'avaler le gland, même si les coups de rein de Marc désordonnent, de temps en temps, le rythme.
Marc, à force de taper dans sa prostate, fait jouir Cédric. Après ça part en cascade. Marc se verrouille au fond du cul de Cédric et large la sauce dans sa kpote, ce faisant il pousse Cédric à me manger entier et je ne peux me retenir et je lui envoi mon apéritif maison direct dans l'estomac. Il se recule juste pour accueillir ma dernière giclée dans sa bouche et la garder pour en tartiner mon gland avec sa langue. Mes éjaculation se sont accompagnées d'autant de contractions anales et le massage de celles ci sur la bite de Daniel qui était dedans l'a fait exploser. En ressortant brusquement, il a réussi à m'en foutre plein le dos.
Le dos essuyé avec sollicitude par Ammed, j'attends que nous ayons tous repris nos souffle pour proposer un douche.
Sous les jets d'eau, nous nous mettons à trois pour laver Cédric. Pas un mm² de sa peau ne nous aura échappé. Puis c'est le tour de Daniel, moi et nous finissons par Marc. Il avait eu le temps de recharger les batteries et nous a présenté ses 22cm raide au rinçage. Comme nous ne pouvions le laisser dans cet état pour le dîner, J'ai poussé sur la tête de Cédric et ce dernier, sans se faire prier, l'a gratifié d'une bonne pipe. Cette vue m'a fait bander à mon tour et Daniel, sans que je lui demande, s'est agenouillé à coté de Cédric et me sucer aussi.
Photo : Marc et moi, debout, épaule contre épaule, le dos en appui sur le carrelage de la douche avec entre nos pieds Daniel et Cédric à genoux en train de téter nos bites.
Marc à juté le premier sur les épaules de Cédric. Libéré, ce dernier s'est couché sur le carrelage pour sucer Daniel. Le ballet de sa langue sur mon gland et ma hampe a eu raison de ma résistance et j'ai, à mon tour, éjecté mon sperme sur ses épaules et le dos de Cédric. Peu de temps après ce dernier avalait la production de Daniel. Nous nous sommes mis à trois pour faire jouir Cédric. Coincé dans les bras de Marc, je l'ai sucer jusqu'à l'os pendant que Daniel lui bouffait les tétons. Il n'a pas fallut 5 minutes pour qu'il explose à son tour.
Nouvelles douches pour tous et nous sommes remontés diner.
JARDINIER
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lilias42 · 23 days
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Bon bah, une année de plus et maintenant, on est au quart de siècle ! Aux noms des dieux, si la vingt-troisième était très longue et difficile, la vingt-quatrième est passé à toute vitesse !
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C'était vraiment l'année des premières fois j'ai l'impression... première fois que j'ai passé un concours, même si je ne l'ai pas eu (j'ai réussi les écrits, pas les oraux) mais, ce n'est pas vraiment grave, c'était pour un emploi qui vraiment n'était pas fait pour moi et ne plus être dans cette voie m'a fait vraiment du bien.
Première fois que je ne fais pas une rentrée scolaire aussi vu que j'ai eu mon premier travail sur le long terme qui n'est pas un job d'été ou un service civique ! (et j'ai appris qu'il faut que j'aille au cinéma plus souvent l'après-midi, c'est toujours à ce moment-là que j'avais des appels pour un emploi et pour le coup, c'est celui qui m'a recruté ! XD) C'est pas dans ma branche de base mais, j'y suis plutôt bien depuis juillet, et ça me permet d'accumuler des sous pour reprendre mes études quand je pourrais / voudrais, ou alors me permettre d'avoir qu'un emploi à mi-temps pour avoir du temps pour préparer des concours dans mon coin. Ce sera peut-être pour cette année-là, même si je ne me suis pas réinscrite à la fac. On verra bien comment ça va tourner mais pour l'instant, j'aimerais continuer à me faire de l'expérience et voir ce que ça pourrait donner (surtout que je n'ai pas trop le courage de lire de gros livres en ce moment).
Sinon, je suis assez contente de ce que j'ai pu faire cette année du côté créatif ! J'ai pu expérimenté la BD avec celle sur Pan dont je suis toujours très fière, et j'ai fini mon UA avec berserkr!Rodrigue, une réconciliation générale chez les Fraldarius avec Glenn qui survit, et Lambert qui survit aussi pour se prendre toutes les claques qu'il mérite ! J'ai aussi mis ma version d'AM où Rodrigue survit sur AO3 ! Bon, ça fait un moment que je ne l'ai pas mis à jour vu que je me prend la tête avec le passage où Rodrigue et Alix avouent tout ce qu'ils ont sur le coeur à Dimitri vis à vis de Lambert et expliquent toute son histoire mais, je finirais bien par me débloquer. C'est surtout que je ne sais pas si je leur fais avouer à mi-mot à quel point ils en veulent à Lambert à cause d'une ligne que j'ai ajouté lors de la relecture, avec Rodrigue qui marmonne à Félix qu'il serait étonné s'il savait qui il haït le plus au monde, c'est à dire Lambert à cause de tout ce qu'il a fait et son inconscience qui a tué Glenn et Nicola. D'un côté, ça permettrait de répondre à la potentielle question "qui Rodrigue haït tant ?" mais d'un autre côté, ils viennent déjà de refaire le portrait de Lambert devant Dimitri - qui leur a demandé de lui raconté l'histoire de son père sans le ménager - alors, je ne sais pas si ça suffit et j'ai peur que ce soit trop dur s'ils disaient qu'ils ne pardonneront jamais à Lambert ce qu'il a fait et que même avant sa mort, leur relation s'était beaucoup dégradé à cause de son comportement. Je change d'avis tous les jours à ce sujet mais, je finirais bien par me décider... sinon, je laisserais le chapitre comme il est, il répond déjà à pas mal de question.
Pour l'instant, je suis plus dans un moment où je dessine bien plus que je n'écris mais, je m'amuse bien en le faisant, c'est tout ce qui compte ! J'essaye aussi de m'y remettre petit à petit en écrivant une petite histoire tournant autour d'une pierre de résurrection dans l'univers de FE3H, et j'essaye aussi de mettre mes idées en place pour une histoire originale très inspirée de ma manière de voir les Fraldarius mais, dans un autre contexte et sans le boulet du canon au pied ! J'ai aussi ma BD avec Pyrkaïa qui explose Lonato qui suit son cours et même si je n'ai pas trop continué ces derniers jours pour des raisons persos, j'espère réussir à la finir ! Après tout ce temps déjà mis sur les schémas, se serait bête d'arrêter ! Au moins, j'ai fait trois planches cette semaine qui se déroule après la bataille, avec Ashe qui s'isole après avoir vu Lonato qui lui a hurlé dessus après la bataille, avec Pyrkaïa qui vient le voir pour parler. ça lui fera vraiment beaucoup de bien de parler avec elle, surtout que Pyrkaïa est certifiée adulte responsable et devrait trouver les bons mots pour lui, surtout comparée à Lonato qui ne s'est pas fait explosé pour rien. J'essayerais de vous poster des planches, même si je vais avoir un long week-end assez chargé...
Et surtout, je suis contente d'avoir pu discuter avec plein de gens ! Que ce soit IRL ou sur internet ! Que ce soit mes collègues qui sont sympas pour la plupart, mes amis de longue date IRL, ou les gens de Tumblr ! Surtout @ladyniniane ! Je suis vraiment contente qu'on continue à discuter depuis aussi longtemps ! J'aime vraiment nos conversations, et tes idées sont aussi incroyables que toi alors, je suis contente que ça continue et j'espère que ça continuera encore cette année ! J'ai aussi un peu plus parlé avec les personnes qui suivent mon blog ou que je suis (notamment @mwezina qui fait un travail incroyable sur l'étude des cartes de tarot et leur rapport avec FE3H, j'adore ce qu'elle fait !) et je croise les doigts pour que ça continue !
En tout cas, encore merci à tous pour cette bonne année de vie d'écouler et place à la première de mon nouveau quart de siècle !
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plexussolaire · 5 months
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Pousser la porte et prendre une chaise
Hier soir, troisième semaine de réunion des Alcooliques Anonymes. C'est ma sixième réunion.
La plus belle réunion depuis la première.
Ça fait quinze jours que je suis abstinente, j’en savoure les premiers effets bénéfiques. Je dors le même nombre d’heure mais la qualité de mon sommeil s’est significativement améliorée, si l’on exclue les réveils nocturnes causés par le chat. Je me sens calme, reposée, mon humeur s’est stabilisée : je ne pars pas dans les tours, je n’ai pas l’impression d’avoir besoin de re-fonder ma vie entièrement et sur de nouvelles bases, chaque matin. Je ne me mets pas en colère, je ne panique pas dès qu’un problème se présente, je suis tranquille. Je crois que j’ai cessé d’avoir peur tout le temps, et d’avoir honte. Je n’ai plus cette croix à porter, si lourde sur mes épaules, le lendemain d’une simple bière légère.
Je suis même heureuse, je peux le dire. C’est aussi simple. C’est ce sentiment euphorique qui m’avait convaincu d’arrêter la thérapie. Je me souviens de ce fameux mois de septembre, il y a un an et demi, où tout roulait, mon quotidien, ma vie sociale, mes valeurs, l’intérêt que je portais à la vie, le désir, l’enthousiasme. Sans alcool. J’ai replongé après, mais c’était la première fois de ma vie que je me sentais légère et joyeuse, durablement. J’ai passé un temps infini à livrer une bataille titanesque contre le poison qu’insinuait l’alcool dans mes veines, même quand je ne buvais pas deux jours, et c’est ça que je trouve fascinant aujourd’hui, en écrivant et réfléchissant à mon rapport à l’alcool, c’est que tant qu’on n’est pas abstinent, tant qu’on laisse une place à l’alcool dans notre vie, même quand on ne le consomme pas abusivement, il nous empoisonne l’esprit. Il est présent. Il ravive une petite honte, une fatigue, des souvenirs douloureux, des symptômes physiques. Il reste physiquement et mentalement dans notre système et nous met des bâtons invisibles dans les roues. Il change la face de notre quotidien sans qu’on s’en aperçoive.
J’ai tellement lutté pour dépasser la honte et la culpabilité d’être alcoolique, que j’ai développé à force d’obstination et de persévérance, des attitudes très saines pour compenser cet excès morbide. J’apprenais à lire tous les jours, à faire du sport régulièrement, j’ai mis en place des routines du matin, du soir, essayé des choses, reporté, recommencé, pendant des mois, à installer des habitudes pour bien vivre. J’ai lutté pour ma santé mentale. C’est un cadeau que je me suis fait : après tant d’effort pour les inscrire dans mon quotidien, arrêter l’alcool a suffit. Toutes ces habitudes qui me demandaient tant d’effort face à la petite voix de mon cerveau qui me disait : “tu es nulle”, “tu n’arriveras jamais à rien”, “tu ne sais rien faire”, deviennent infiniment plus simples depuis que j’ai retiré l’alcool de ce même quotidien. Tout est plus simple, alors, juste comme ça, je suis simplement heureuse. J’ai enlevé le bâton de ma roue, et je l’ai fait quand j’ai compris qu’il fallait le faire pour moi. Arrêter de boire, je l’ai fait pour moi, et il n’y a pas d’autre façon d’arrêter de boire.
Le partage de P. Hier en réunion parlait de ça. Pour certains, on arrête pour les autres, pour retrouver un travail, récupérer son permis, son appartement… mais c’est seulement quand on comprend qu’on mérite d’arrêter de boire et d’aller mieux, soi, parce que personne ne le fera pour nous, qu’on passe le cap de l’abstinence. On replongera plusieurs fois, mais on n’attendra plus que la solution viennent de l’extérieur. C’est pas qu’on en est pas capable, mais on arrête de boire seulement quand on se met à penser qu’on le mérite. Parce que nous sommes nos propres parents, nous devons d’abord être aimés par nous même, comme nous aurions aimé être aimé au départ. Toutes les personnes que je croise en réunion ont eu des enfances et des foyers dysfonctionnels. C’est tellement fort d’être parmi les siens. D’être parmi des gens qui comprennent ce que c’est que de vouloir se détruire parce qu’on n’a pas trouvé d’autre voie dans la vie, parce qu’on a pas trouvé de soutien ni de raison, déjà tout petit, de se lever et d’avancer.
Hier soir, j’ai trouvé du soutien. J’ai senti mon appartenance. Comme a dit S. Ici, j’ai ma place, parce que quand j’arrive, j’ai une chaise pour m’asseoir. Je peux m’exprimer. Personne ne va m’interrompre, je vais parler aussi longtemps que je le veux, et ces gens vont m’écouter comme on ne m’a jamais écouté nulle part. Ces gens dont je ne sais rien, à part les lieux sombres de leur addictions, leurs démons, leurs joies aussi dans leur rétablissement, m’ont apporté plus que ne l’a jamais fait ma propre famille.
Il y a trois semaines, c’était Noël. Un événement tellement désacralisé et obligatoire, qu’il ne ressemble plus qu’à un simple repas de famille du samedi midi. Il ne s’est rien passé de différent, mais j’ai mis deux semaines à m’en remettre, à me sentir terriblement vide, blessée, profondément malheureuse, dévastée, déprimée. Je n’arrivais plus à sortir de ce marasme d’idées noires, jusqu’à me dire mais à quoi bon ? À quoi bon vivre, si c’est pour ressentir ça ? Mais alors que s’était-il passé là-bas, pour qu’avec ma propre famille, je me sente si abîmée ? Et bien, il n’y avait rien. Pas de lien, pas de regard, pas de sourire, pas de câlin, pas même une tape sur l’épaule, un compliment ou une parole affectueuse. Que des visages renfrognés derrière des masques de personne qui luttent, qui ne veulent pas montrer leurs émotions, ni les ressentir ni les offrir. Pas d’écoute, pas d’attention, pas d’amour. Pas de connexion. Rien, en vérité. Des mots vides, répétés cent fois, sans foi, des mots qui passent entre les couverts, les verres de vins et s’échouent plus loin au pied de la table. Des ricanements débiles, des moqueries, des humiliations même parfois, de celles qui vous saccagent l’esprit avant même de savoir que vous en avez un.
Hier, T. A dit une phrase qui m’a fait réfléchir. La puissance supérieure des AA, c’est la puissance supérieure que nous avions placé dans l’alcool et qui nous dictait nos façons d’agir. Il suffirait de la déplacer dans autre chose, que ce soit Dieu, que ce soit l’Univers, que ce soit le groupe. Je crois qu’il a raison. Il existe encore quelque part dans mon cerveau une croyance, que je tends à déconstruire à présent grâce au programme, une croyance que l’alcool va m’aider à ne plus ressentir la souffrance d’abandon que m’a fait vivre ma famille, qu’il va m’aider à m’extirper de ma dépendance affective. J’ai déplacé en quelque sorte, ma dépendance désastreuse à ma famille, vers une dépendance désastreuse à l’alcool. Car je souffrais, et je souffre encore profondément, Noël me l’a montré. Renoncer à l’alcool, c’est aussi renoncer à cet amour que je n’aurai jamais, ce soutien que je n’aurai jamais, de leur part. Renoncer à mes dépendances, c’est m’accorder enfin la liberté de vivre sans cela, d’en faire le deuil. C’est vivre librement, sans attendre ce réconfort qui ne viendra jamais, qui n’est qu’illusion, et se change en griffe quand on s’approche un peu trop près.
Les personnes dépendantes cherchent à jamais la nourriture affective dont ils ont manqué, cherchent à jamais la sécurité affective et l’attention qu’on leur a refusé. Jusqu’au jour où ils s’aperçoivent que le produit qu’ils consomment possède la même essence que ce poison d’abandon, que le dépit familial. Consommer à outrance, c’est s’enfoncer un peu plus dans la mort et les idées noires, à rechercher l’oubli et l’aisance que nous aurait apporté cet amour initial. Mais la vie sans eux est plus douce, et c’est cela qui soigne.
Remplacer un vide par un gouffre, mais alors qu’est-ce qui vient après ? Comment remplace-t-on l’alcool ? Je crois que les AA sont effectivement une réponse. Je crois que ça marche. Ils m’apportent, une à deux fois par semaine, une drogue douce, humaine : la connexion, le partage, l’écoute, le soutien, gratuit, inébranlable, inconditionnel. Une drogue de rêve que j’ai désespéré de trouver un jour, alors qu’il suffisait de pousser la porte, et de s’asseoir sur une chaise.
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sous-le-saule · 10 months
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Démolition
Il n’y a que deux rues en pente douce pour arriver sur la place du village abandonné mais c’est assez pour le faire haleter. Heureusement que quelqu’un – probablement les auteurs des tags récents sur les façades – avait forcé un passage entre deux barrières, parce qu’il n’aurait jamais été capable de les escalader.
Il a du mal à se repérer parmi ces habitations toutes identiques. Ses souvenirs sont aussi flous que sa vision nocturne. Il finit par trouver la bonne maison, et s’y appuie pour reprendre son souffle. Ce fichu élancement fait son retour sous ses côtes gauches.
Il a mal au cœur, au propre comme au figuré. Ce n’est pas qu’il y repensait si souvent, à la maison de son enfance. Depuis le décès de ses parents, il n’y a mis les pieds que pour la vider et la faire visiter aux deux personnes attirées par l’annonce. Aucune n’avait rappelé par la suite – qui, de nos jours, achèterait une de ces minuscules anciennes bicoques de mineurs sans le moindre confort, dans un village de plus en plus désert ? Puis, des années sans venir, avec une pensée fugitive de temps en temps, agacée – que faire de la maison ? Mais, tout de même, de savoir qu’on va la détruire, ça lui fait quelque chose. Les expropriations sont terminées et demain, les bulldozers feront leur office. Dans quelques mois, la nouvelle autoroute passera ici.
Des mois qu’il le sait, qu’il se persuade qu’il s’en moque (qu’il s’en réjouit, même : il a été dédommagé). Et soudain, au dernier moment, au beau milieu d’une nuit sans sommeil : « Il faut que je revoie la maison une dernière fois ».
Il pousse la porte. Les espaces, vidés de leurs meubles, lui paraissent différents, à la lumière de sa lampe torche. Tout est plus petit, non ? Il convoque ses souvenirs, mais il n’en a pas tant qui répondent à l’appel. L’odeur de la chicorée. L’excitation quand son père a acheté leur première télévision. La chaleur du poêle. Le fauteuil où sa mère s’installait pour lui tricoter des pulls qu’il détestait porter, parce qu’ils lui grattaient le cou. D’autres bribes, vagues, presque des sensations plutôt, incertaines – peut-être imaginées ou nées de vieilles photos, mais pas des vrais souvenirs.
Est-ce là tout ? Il est né dans cette maison, il y a vécu presque vingt ans – des années dont il devrait se rappeler mieux que ça, que diable, c’étaient les premières, celles des découvertes et des émerveillements, avant que la routine de la vie d’adulte n’uniformise tout sous un voile gris.
La déception s’empare de lui. Les émotions qu’il espérait revivre ne sont pas au rendez-vous et, s’il verse une larme essuyée furtivement, c’est uniquement d’apitoiement sur lui-même.
Dans son ancienne chambre, peut-être ? L’escalier lui fait maudire l’état de ses genoux, probablement pour la troisième fois de la journée. On ne s’y fait pas, à toutes ces petites douleurs qui viennent et ne repartiront plus.
La mémoire se fait plus nette, ici. Il se souvient des posters aux murs. De son exaltation quand il lisait « Les trois mousquetaires », planqué sous les couvertures avec une lampe de poche parce que l’heure du coucher était passée et que le paternel ne plaisantait pas avec ces choses-là. Et là, près de la fenêtre, il y avait le lit de son frère, avec l’édredon bleu. Cette fois les larmes coulent librement, bouche crispée sans un bruit, tandis qu’il agrippe le chambranle. Ils auraient dû faire cette dernière visite à deux. Saloperie de cancer.
Il est le dernier à avoir des souvenirs de cette maison. Il y a la génération suivante, bien sûr. Sa fille. Ses neveux. Mais ils n’ont pas vécu ici. Tout ce qu’il a oublié, il n’y a plus personne à qui il peut le demander. Il n’y a plus de témoins de son enfance.
L’immensité de cette solitude, tout à coup, le prend à la gorge. La pointe, à gauche, se réveille, plus aiguë, lancinante, s’étend jusqu’à l’épaule. Etourdi par la douleur, il se laisse glisser par terre. Ca va aller. Il va juste se reposer avant de repartir. Dormir un peu. Quel meilleur endroit que la chambre de son enfance ?
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🔴 AL-AQSA
1. Les médias ont évité d'expliquer dans quelles conditions le conflit a éclaté. Ils se sont contentés de parler d'une "attaque non provoquée des terroristes du Hamas". Or, l'opération du Hamas lancée le samedi 7 octobre 2023 s'appelle "Tempête sur Al-Aqsa". La mosquée Al-Aqsa est le troisième lieu saint de l'islam. Le 5 octobre, plus de 800 colons israéliens ont pris d'assaut l'enceinte d'Al-Aqsa à Jérusalem-Est, sous la protection des forces israéliennes. Pour les musulmans, les attaques contre la mosquée ont toujours représenté une violation de la ligne rouge. Le Hamas a mis en garde Israël contre Al-Aqsa depuis le 1er octobre.
2. Plusieurs rapports circulent sur les canaux Telegram au Moyen-Orient, affirmant que le Hamas a attaqué des positions israéliennes avec des armes fournies à l'Ukraine par les États-Unis et l'OTAN.
3. L'armée de l'air israélienne s'est mise en grève au début de l'année contre la réforme constitutionnelle de Benjamin Netanyahu. La réforme judiciaire a divisé la société israélienne. En outre, elle a créé des dissensions au sein même des services secrets. Certains analystes à Tel Aviv affirment que le Hamas a profité des faiblesses au sommet de l'armée israélienne. Ce qui est certain, c'est que les manifestations internes ont été suspendues pour une durée indéterminée. Netanyahou pourrait être tenté de blâmer les performances lamentables des services de renseignement pour avoir purgé certains officiers aux opinions gauchistes et mondialistes.
4. Le bien-être économique et même la vie des 500 000 Palestiniens de Gaza dépendent de la bonne volonté d'Israël et de l'aide fournie par l'Égypte, l'Union européenne et les États-Unis. Le Hamas n'a aucune chance de gagner une guerre contre Israël. Il a été suggéré qu'il faisait le jeu de l'extrême gauche à Tel-Aviv (les admirateurs de Biden, qui attaquent les réformes de Netanyahou) ou de l'extrême droite (les admirateurs de Trump, qui rejettent l'idée d'un État palestinien et veulent que Jérusalem soit exclusivement israélienne). Il a également été dit que le Hamas cherchait simplement à empêcher le rapprochement attendu entre l'Arabie saoudite et Israël sous l'égide des États-Unis.
5. Il est très peu probable que les forces de sécurité de Tel-Aviv n'aient pas été averties des attaques du Hamas le 7 octobre. Il est plus probable qu'elles aient été organisées de concert avec certains membres du Hamas qui travaillent également à temps partiel pour le Mossad.
6. Qui gagne et qui perd avec l'accord ? Le Hamas a réussi à raviver le sentiment anti-israélien au Moyen-Orient. D'importantes manifestations de solidarité avec les Palestiniens ont eu lieu dans plusieurs États de la région, ce qui accélérera leur alignement sur la Russie et la Chine. L'Occident n'a collectivement pas d'autre choix que de soutenir fermement Israël. Peut-être au détriment de l'Ukraine. En théorie, la Russie et la Chine tenteront de calmer les esprits en Iran et en Syrie. Il est possible que l'Arabie saoudite, la Russie et d'autres membres de l'OPEP réduisent encore leur production de pétrole, ce qui aurait un impact majeur sur l'économie mondiale et l'élection présidentielle américaine.
7. Jusqu'à présent, le Hamas n'a eu droit qu'à des "Breaking News" à la télévision. Le grand gagnant pourrait être Bibi Netanyahu. L'approvisionnement en argent, en électricité et en carburant de la bande de Gaza a déjà été interrompu ; un mur est susceptible d'apparaître le long de la ligne de démarcation avec Gaza, semblable aux murs de la Cisjordanie ; la libre circulation entre Gaza et la Cisjordanie pourrait être bloquée ; la question de la reconnaissance de l'État palestinien est reportée "sine die" ; les colonies israéliennes en Cisjordanie se multiplieront ; les protestations contre la réforme judiciaire de Netanyahou s'éteindront ; les structures de pouvoir israéliennes donneront à Netanyahou tout ce qu'il n'a pas pu leur donner dans des conditions pacifiques. 🔽
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🤔
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bourbon-ontherocks · 1 year
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(Previously, on the HPI rewatch...)
Bon là on est clairement  sur le début de la fin, aka l'épisode où j'ai commencé à perdre toute santé mentale.
Déjà la gêne COLOSSALE de la scène d'introduction je meurs
eLLe a dEmaNDé à dOrMiR chEz lUi... 🥹
IL LUI A TENU LES CHEVEUX 😭😭😭
Non mais je sais pas si vous vous rendez bien compte, là. Il lui a tenu les cheveux pendant qu'elle vomissait. A deux heures du mat. Après avoir été la chercher au poste ou on ne sait où alors qu'il avait sûrement mieux à faire. Mr. "C'est SALE" qui se lave les mains dix fois par jour a tenu les cheveux de Morgane bourrée. C'est -- j'ai même plus les mots, à ce stade c'est une déclaration d'amour et c'est la chose la plus romantique qu'il ait jamais faite pour elle 😱
NON je m'en suis toujours pas remise
"Vous m'avez tenu les cheveux, c'était gentil..." je la vois TELLEMENT lui sortir ça bourrée, retenez-moi... 😩
Pour rappel, c'est littéralement et uniquement cette phrase qui est à l'origine de Show you where it's dark. Just saying.
LE FICUS 🪴🪴🪴
Morgane qui bloque en boucle sur Karadec à poil c'est beaucoup trop drôle, girl, your obsession is showing
"Vous et moi on a mis un peu de temps avant de trouver une manière de travailler ensemble, je voudrais pas que cet incident vienne tout gâcher..." vous croyez que c'est aussi ce qu'il lui a dit dans la voiture entre Calais et Lille ? 😢
"On attend la PTS" suivi de Morgane qui déchiquète le punching ball, elle n'essaye même pas, je l'adore
"Vous allez faire la gueule toute la semaine ?" "Ouais" La synchronisation de Gilles et Daphné est absolument parfaite 😂
Bon par contre c'est quand-même la troisième enquête de la saison avec une mère qui a perdu son fils, faudrait se renouveler un peu, là...
"Non mais sérieux vous avez cinq ans, quoi.." Morgane ? Morgane ?! Heu, hôpital, charité, tout ça, ça te dit quelque chose ?
On a le droit de prendre sa voiture en Ehpad ? Non parce que là Henri nous apprend que sa mère est morte au volant, mais dans l'épisode suivant il nous dit qu'elle était en Ehpad depuis des années, I'm confused.
Morgane qui vit dans sa voiture et qui se fait virer du parking tout en mentant à Théa, c'est quand-même un des trucs les plus déprimants du monde 💔 ...
... Par contre Morgane qui s'incruste au dîner en tête-à-tête d'Adam et Roxane, c'est hilarant.
J'ADORE la subtilité de Roxane qui sort "Non mais y'a vraiment des gens sans gêne" en parlant totalement de Morgane sans que Morgane s'en rende compte, en vrai elle est beaucoup trop cool pour Adam 😅
Et puis ça me fait mourir de rire que globalement Roxane soit plus amusée qu'autre chose par le débarquement de Morgane, alors que Adam est au bout de sa vie
Et c'est LUI qui passe son temps à s'excuser, comme s'il était responsable du fait que sa collègue s'incruste, this speaks volumes about him tbh 😆
"C'est délicieux, mais c'est vrai que c'est un petit peu fade" Pahahaha, cette femme manie l'oxymore d'un façon magistrale 🤣 mais du coup est-ce que ça veut dire que sans Morgane elle aurait subi en silence ? Donc au fond, elle la remercie pour son initiative ketchup-mayo ?
Allez, rien que pour le plaisir, je vous mets petit goret Morgane qui s'en fout partout en imax
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"Je le trouve vraiment craquant quand il s'énerve" et bah NOUS AUSSI
Bon, j'le dis ou j'le dis pas ? Karadec is officially a slut, c’est juste dommage que pour une fois qu’on a l’occasion de voir cet aspect de sa personnalité, ça soit pas avec Morgane... 😏
Mais sinon c'est juste adorable que ce soit lui qui décide de rogner sur les horaires pour prolonger les câlins, Mr. “le meilleur moyen d'être à l'heure c'est d'être en avance” ? 🥰
Morgane qui débarque à littéralement une seconde et demie d'une scène de sexe explicite 🤭😘
Roxane qui est morte de rire pendant l'intervention de Morgane, j'arrive pas à savoir si c'est Clotilde qui a pas gardé son sang-froid ou pas, mais elle est tellement plus chill qu'Adam, good for her
Et aussi, pourquoi Adam est aussi stressé à l'idée que Morgane fouille dans son pantalon ? Elle risque d'y trouver quoi, des capotes ?
HPI 🤝 Kaamelott => grumpy trouple energy
Vous pariez que Karadec les reverra jamais ses vingt balles ?
"J'étais jalouse des autres femmes, j'ai compris que j'étais en train de m'attacher, etc..." non non non, c'est pas DU TOUT on the nose haha
Céline et Daphné qui veulent aller draguer en mode non mais c'est un super plan et on y va absolument pour le boulot... LOL
Le "Pardon !" vénère de Daphné quand elle se casse après avoir suggéré à Morgane de s'excuser me fait toujours autant rire 😅
PAR CONTRE
Le fait que ça catalyse Morgane qui va s'excuser auprès de Ludo parce qu'elle réalise qu'elle va le perdre comme elle a perdu tout le monde dans sa vie, ça me 😭
Les explications sur la piste de danse... Encore une occasion manquée de voir Céline sortir à Morgane qu'Adam a failli démissionner pour elle 😢 Sinon vous avez remarqué que Céline danse la macarena ?
Le CHAOS absolu de cette sortie, quand-même, entre Céline et Morgane qui sont passées à ça 🤏 de se pécho sur un suspect pendant que Daphné vit sa meilleure vie sur la piste de danse 😅
La voix de Morgane qui déraille quand elle s'excuse auprès de Ludo gets me every fucking time 💔😰 Audrey Fleurot sait tellement bien jouer quand elle veut...
J'y crois pas, elle continue à sortir des bobards à Adam sur son soi-disant hôtel, et lui pas dupe il dit rien mais il sait très bien qu'elle ment c'est TELLEMENT mignon
Il lui a gardé une assiette, hello 😍
"Vous vous brossez réellement trois minutes ?" oh putain je commence à faire des palpitations 🙊
POURQUOI ils se brossent les dents ensemble comme un vieux couple, d'abord ??? Qui fait ça ? Vous faites ça quand vous hébergez un collègue en galère, vous ? Genre Adam était TELLEMENT pressé d'aller se coucher, il a pas pu attendre trois minutes ? Mais enfin 😆
Et Morgane qui remet sur le tapis le fait qu'elle l'a vu à poil
LE BROSSAGE DE LANGUE 😱😱😱   
Sérieusement, si on m'avait dit qu'un jour je shipperais des gens qui se brossent la langue je l'aurais pas cru
La naissance de 💫 Brosse Adam 💫 , ladies and gentlemen
"Vous vous lavez la langue ?"
Le SOURIRE de Morgane
Elle se fout de sa gueule mais en même temps on voit la vulnérabilité et l’attirance qui percent sous le masque, et je --- 😩😩😩
la GÊNE ABSOLUE
Adam qui sait plus où se mettre 🤣
"Vous avez des projets, ou...?" c'est pas DU TOUT parce qu'elle l'a vu sur le point de mettre lesdits projets à exécution avec Roxane, non non non
LA TENSION 🥹🥹🥹
Ce moment où ils n’ont PAS PU ne pas penser à s’embrasser
On ne m’ôtera pas de l’esprit qu’ils en mouraient tous les deux d’envie 🫠
Leurs regards dans le miroir, ils peuvent même plus se regarder en face oh my god 😩
Morgane qui geint "éteindre la lumière" comme si elle était au bout de sa vie (she probably is)
(Local Woman Just Hit On Her Very Not Single Boss, etc)
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Hold on I need a minute
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J'adore, parce que l’argument massue de Morgane c’est "le mec a réservé ses billets d'avion vachement à l'avance et il choisit la place à côté des toilettes", heu, deux semaines avant pour un vol international, vous appelez ça à l'avance, vous ?
"Au début il m'agaçait mais petit à petit... [...] c'était plus fort que nous" La façon dont Adam regarde Morgane pendant tout ce passage me tue. C’est l’épisode où elle réalise qu’elle est amoureuse, mais on dirait que c’est LUI qui se sent concerné, j’en peux plus 🥵
"Je tombe enceinte à chaque fois que je suis amoureuse" Ah non, hors de question. Leave Morgane’s uterus alone 2k23
Je rêve, ils ont même pas pris la peine de créer un fil WhatsApp crédible, là on dirait que la conversation vient de démarrer avec Ophélie alors que c'est sa cliente depuis trois mois 😅  l’amateurisme technologique de TF1 me surprendra toujours
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"Et Gilles qui a fait... sans doute un tas de trucs" 😂😂😂
La façon dont Adam est complètement obsédé par Morgane dès qu'elle ne vit plus chez lui ça me rend dingue. Je le vois. Roxane le voit. Les acariens dans sa moquette le voient. Lui, non, il voit pas.
Tu m’étonnes que Roxane fasse des recherches sur Morgane, après...
Morgane qui hallucine Adam en train de se brosser la langue dans la cellule du commissariat -> poetic cinema 😍
ELLE LUI A PIQUE SA BROSSE A DENTS EN BAMBOU
La révélation finale de Morgane est absolument magique, pas parce qu’elle prend conscience de ses sentiments, mais parce que ce show s'auto-fanvid c'est extraordinaire 😅 
Ce montage de tous leurs petits moments 😘😘😘 Les moments où elle fait rire Adam... leurs câlins... leur complicité 🥹🥹🥹
Et mention spéciale aux petits bébés chats qui se font des léchouilles, ça me fait mourir de rire à chaque fois et c’est exactement comme ça que je veux les voir en saison 3 (ouais je sais c’est mal barré, BUT STILL, gimme my kittys 😻😽)
Oh ! Pour une fois je finis pas un épisode avec le cœur en miettes dis-donc !
M’enfin c’est juste histoire de reprendre des forces avant la suite, hein...  😏
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Misère de la philosophie et pathétique misère des philosophes (et pseudo-psychanalystes) qui se prétendent "lacaniens"…
Il fut un temps où j’appréciais vraiment Zizek dont j’ai lu tous les livres — et Zupancic aussi — dont j’ai suivi au cours des années les travaux avec intérêt… mais le réel du covidiotisme est passé par là et l’ordalie a fait son office, balayant définitivement toute illusion sur la récupération possible par des "philosophes" de concepts psychanalytiques, qui nés d’une praxis mettant au premier chef le sujet de l’énonciation, ne sauraient être recyclés sans se trouver pervertis au dernier degré par l’hypocrite machinerie du Discours Universitaire qui fait recel du signifiant-maître…
Les mots tranchants de Lacan dans La Troisième nous avaient pourtant mis en garde depuis longtemps: «Comment vous sortir de la tête l'emploi philosophique de mes termes, c'est-à-dire l'emploi ordurier, quand d'autre part il faut bien que ça entre, mais ça vaudrait mieux que ça entre ailleurs. Vous vous imaginez que la pensée, ça se tient dans la cervelle»…
La psychanalyse est essentiellement et avant tout affaire de discours, le Discours Analytique c’est le nerf de l’enseignement lacanien, avec les trois registres de l’expérience humaine que sont le symbolique, l’imaginaire et le réel. La psychanalyse est un discours, dans l’acception stricte que Lacan donne à ce terme, et de facto une clinique du discours tout aussi bien. Ce qui malheureusement est passé largement au-dessus de la tête de la grosse majorité des "psychanalystes" eux-mêmes, englués qu’ils sont dans le Discours Univeritaire, ce qui témoigne du fait qu’ils n’ont jamais fini leur analyse — quand ils en ont fait une ! La psychanalyse n'opère que du discours qui la conditionne.
Le Discours de l'Analyste est le lien social déterminé par la pratique d'une analyse menée jusqu'à son terme logique.
Il est par conséquent logiquement impossible de se dire psychanalyste — ou même dire «avoir fait une analyse» et avoir été un covidiot (ou s'adonner aux autres avatars du Discours Capitaliste: écolo-climatisme, gender studies, féminisme, antiracisme, technologisme, bla-bla-bla...) La psychanalyse nous convoquant au désir de l'Autre en tant qu'il structure le rapport du sujet à la parole, il est logiquement impossible de se dire lacanien ET user du mot "complotiste" pour stigmatiser l'autre…
Dans la 4e leçon du Sinthome, Lacan s’exclame: «…il s'appelle Schechner, c'est regrettable. (…) il s'imagine qu'il est analyste . Il s'imagine qu'il est analyste parce qu'il a lu beaucoup de livres analytiques, et c'est une illusion assez répandue, parmi les "analystes" justement»…
Le juste pragmatisme des concepts mis à jour par la psychanalyse est inaccessible au sujet qui n’a pas mis lui-même sa peau sur le divan, qui n’est pas allé jusqu’au bout de son analyse, sans tricher, c’est le prix à payer pour apprendre de cette expérience décisive, menée à son corps défendant, comment à partir des contours retracés de sa singularité subjective absolue il peut arriver à articuler l’autre avec un a petit à l’Autre avec un grand A, le grand Autre dont il ne pourra jamais se débarrasser du savoir, ni de la vérité qui fait structure de tout discours…
Nul énoncé "savant" ne saurait jamais masquer, derrière les effets rhétoriques, la place logique du sujet de l’énonciation, qui se croyant invisible, contemple le monde depuis son balcon imaginaire... Cela se voit, cela se lit, cela s’entend…
Bye bye Zizek !
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aisakalegacy · 9 months
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Été 1912, Le Caire, Egypte (1/2)
Cher Constantin,
Félicitations pour toutes ces nouvelles. J’ai été ravi de lire les avancées des équipes françaises sur les chantiers de Thèbes. Il est palpitant de voir que nous sommes en train d’exhumer tant de grandes cités !
Je vous écris actuellement du Caire, où je suis arrivé hier et où je vais stationner encore quelque temps, jusqu’à la reprise du chantier qui est actuellement interrompu. J’ai donc tout le loisir de vous écrire. Je ne vous ai pas donné de détails par rapport à l’expédition à laquelle je participe, à mon grand tort. Laissez-moi corriger cela.
Mon employeur se nomme Herr Ludwig Borchardt, employé par la Société Orientale Allemande pour excaver le site d’El Amarna, où vous n’êtes pas sans savoir que se trouve le site de la capitale d’Akhénaton, fondée en 1350 avant Jésus-Christ. J’y travaille en temps qu’assistant temporaire, aux côtés de huits autres assistants, un géomètre, un contremaître, deux archéologues et un architecte, Uvo Hölscher, qui nous dirige effectivement, puisque Herr Borchardt n’est pas souvent présent sur le chantier qu’il dirige à distance depuis Le Caire. J’ai joint à cette lettre une photographie, où vous pouvez me voir en train de poser avec des membres de mon équipe. Je me trouve en troisième position en partant de la droite. À ma droite vous pouvez voir Breith, assistant, notre géomètre le Capitaine Timme, ainsi que Ranke qui est archéologue. A ma gauche, Honroth, ingénieur, et Hollander, assistant.
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Les fouilles ont commencé le 2 février 1911 à l’est d’El Hagg Qandil, à un demi-kilomètre de notre quartier général, sur le site de la ville principale. Nous avons mis en place une documentation riche que vous aurez certainement l’occasion de consulter : nous employons des moyens modernes et nous documentons tout ce que nous faisons. Nous prenons des photographies, nous mettons au point des plans et des coupes, tout ce que nous trouvons est croqué ou saisi à l’aquarelle. Nous avons trouvé tellement de choses dès la première semaine, qu’Herr Hölscher a dû nous faire construire un nouveau bâtiment pour les stocker… Quand notre première campagne s’est achevée il y a un an, nous avions découvert environ quatre-vingt structures.
La deuxième campagne a commencé l’automne dernier et vient de s’achever. Nous avons découvert une large artère que nous avons baptisée « la rue du Haut Prêtre », puisque l’on y trouve la résidence du haut prêtre Pawah.
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frisquette27 · 1 year
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Voilà la suite d'un philtre sans philtre ..au départ je voulais faire qu'un chapitre mais au vu du nombre d'annerie que j'avais ecrite me voilà déjà au troisième chapître ..petite dedicace à @miung-dreamer merci pour tes encouragements 😊
Comme d'habitude toujours les mêmes avertissements
UN PHILTRE SAN PHILTRE
CHAPITRE 3
C’était incroyable, comment le père Blaise pouvait-il donc se retrouver dans un bazar pareil. La salle des archives était sens dessus-dessous, sur les tables des monticules de document attendaient d’être classés correctement, des livres s’entassaient parterre alors que certaines étagères étaient vides. Une chatte n’y retrouverait pas ses petits dans un tel foutoir se dit Guenièvre. Bien décidé à trouver un livre sur l’agriculture, elle se mit à fouiller, elle rêver d’avoir son propre potager et elle y pensait depuis très longtemps mais n’avait jamais osé auparavant. Mais la confiance lui était revenu aujourd’hui et elle avait donc décidé que cela plaise ou non de se renseigner dessus. En fouillant, elle se dit qu’elle voulait apprendre plus de chose et sur absolument les sujets, le père Blaise l’envoyait paître dés quelle voulait avoir accès à la salle, ce temps était donc révolu, maintenant décida-t-elle si elle souhaitait une information plus personne n’entraverait son désir d’apprendre.
Malheureusement il faudrait commencer par ranger cette pièce pour pouvoir trouver quelque chose d’utile. Assise sur le sol, un énorme livre posé sur ses genoux, la Reine parcourait la liste officielle des chevaliers, de prime abord ce n’était pas du tout ce qu’elle cherchait pourtant d’avoir lu le nom du seigneur Perceval qui avait de toute évidence était rajouté à la va-vite, avait piqué sa curiosité et elle avait entreprit de chercher les noms des chevaliers quelle connaissait dans la liste des adoubements. Cependant elle ne trouvait pas le nom du seigneur Karadoc, elle essaya avec plusieurs orthographes possibles mais rien. Ce pourrait-il que le mari de la femme qui lui avait volé son époux ne soit pas chevalier ? Tout était possible avec l’organisation désastreuse du père Blaise.
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Arthur était dans une rage folle et même s’il osait à peine se l’avouer, très inquiet pour sa femme. Les deux enchanteurs l’avait mis en danger, heureusement la prise de cette potion n’avait affecté que l’humeur de la Reine, elle aurait pu l’empoisonner et rien que cette idée le faisait frissonner. Il avait missionné le deux huluberlus de retrouver rapidement la Reine et de la mettre en sécurité dans leur laboratoire et surtout de le prévenir immédiatement.
C’était donc toujours très inquiet que le Roi se rendit à la réunion de la table ronde, en rentrant dans la salle il fut surpris de trouver ses chevaliers en grand débat sur le Graal.
« Non mais elle a raison on devrait se concentrer à le chercher au lieu de déblatérer sur ce que ça pourrait bien être »
« Je suis d’accord avec vous seigneur Calogrenant notre priorité est de le trouver mais comment peut-on le chercher si on n’est pas certains de ce que c’est exactement »
« En tout ça c’est sûr il est pas dans les cuisines je vous assure que sinon … »
« Oui on sait vous l’auriez déjà trouvé, on vas pas faire toute la réunion dessus quand même !! Ah bah c’est pas trop tôt on vous attendez plus ! »
« Ah ben cela fait toujours plaisir un accueil pareil mais ne vous arrêtez surtout pas pour moi, pour une fois que vous intéressez un tantinet soit peu à ce que pourquoi vous êtes chevalier. Je ne vais surtout pas gêner ce regain d’intérêt »
 Après s’être installé le Roi ne parvint pas à s’intéresser au cours de la discussion, affalé sur son siège il n’arrivait pas à détourner son regard du chevalier de Vanne. Une haine montait en lui, son chevalier l’agaçait plus que d’habitude, comment son épouse avait pu embrasser cette pauvre nouille. Le chevalier sentait le regard assassin du Roi sur lui mais il ne comprenait pas cette nouvelle animosité, d’ailleurs l’assemblée autour de la table ressentait bien le malaise flagrant entre les deux hommes.
« Vous avez un problème Sire, quelque chose ne vas pas » essaya le chevalier de Gaunes
« Hein non non continuez tout va très bien, mieux serait insupportable, en parlant d’insupportable seigneur Karadoc aux dernières nouvelles vous avez bien décidé de fonder votre propre clan non ! Du coup vous vous barrez quand ! »
« C’est-à-dire sire on peaufine encore les derniers détails comme je vous disais tout à l’heure avant que votre femme .. »
« LA FERME ! »
Tous les chevaliers tressaillirent sur leurs chaises à la réponse et au ton que le Roi employa. Tous perçurent dans sa voix une haine qu’ils ne connaissaient pas au Roi, certes il avait toujours été soupe au lait voire colérique mais jamais il ne semblait haïr et c’était bien de la haine qu’ils ressentaient dans le regard d’Arthur.
« Je vous interdit de parler d’elle après ce que vous avez osé faire, vous ne manquez pas de culot de vous présenter devant moi après ce qu’il s’est passé !!»
« Mais …je comprends pas Sire Je … »
« TAISEZ VOUS ! » Il se leva d’un bond « Et puis d’abord j’ai autre chose à faire que de parler à une bande de pignouf qui comprend que dalle »
Excédé il partit de la pièce comme une furie laissant dubitatif les chevaliers qui n’avaient rien comprit. Il fallait qu’il la retrouve au plus vite, très inquiet au sujet de sa femme et beaucoup trop en colère contre son chevalier et surement trop jaloux pour ne pas être violent envers cet homme que sa femme avait embrassé. La scène ne cessait de tourner dans sa tête, ses poings se serraient, il marchait d’un pas rapide.
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Il l’avait à peine regardé, comment avait-il encore osé la ridiculiser ainsi. Elle ne lui faisait plus aucun effet et pour elle c’était impossible. Il l’avait quitté certes elle n’était pas vraiment amoureuse de lui ce qu’elle aimait chez lui c’était son hygiène et surtout le fait qu’il soit Roi. Car elle avait adorée être Reine, elle était taillée pour ça bien plus que la gourdasse qui se trouvait à la tête du Royaume sans en faire quoi que ce soit. Alors certes elle était gentille, prévenante, et même plutôt jolie, beaucoup la trouvait adorable mais elle était naïve et ne comprenait absolument rien aux affaires du Royaume. En ouvrant la porte de ses appartements qu’elle fut sa surprise de les trouver dans un état déplorable, des fleurs jaunes avaient été déversées partout sur le sol, sur le lit, sur le bureau. Un parchemin attira son attention, posé négligemment sur le tas de fleurs qui se trouvait sur son lit. En prenant le document, elle fulminait, qui avait donc osé lui faire un tel affront. Ses yeux s’écarquillèrent en lisant la missive, non ce n’était pas possible.
« Chère Dame Mevanwi,
Je pense que cela vous appartient, je ne voudrais surtout pas vous en priver.
Si vous ne savez pas où les mettre j’aurais bien un endroit à vous proposer mais la bienséance ne me permet pas de vous l’écrire.
La VRAIE Reine. »
Mevanwi hurla de frustration, elle allait lui payer.
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Guenièvre un livre sous le bras avait quitté la salle d’archives préférant se rendre dans les jardins pour poursuivre sa lecture. Sur son chemin elle recroisa sa mère qui n’avait pas l’air d’avoir apprécié leurs échanges plus tôt dans la matinée.
« Ah vous revoilà, vous croyez que je vais me laisser envoyer paître comme ça, qu’est ce qu’il vous arrive aujourd’hui ? »
« BAH RIEN, je vais extrêmement bien ! »
« Alors ma p’tite mère si tout va très bien, vous allez me retirer fissa cette robe, elle est beaucoup trop décolletée et beaucoup trop étroite au niveau de votre buste, il y a plus de place à l’imagination »
« Oh mais c’est pas vrai, elle vous plait tant que ça ma robe » Guenièvre commença à la détacher pour pouvoir l’enlever « Mais si elle vous plait je vais pas vous en priver ! »
La Reine finit de l’enlever et l’envoya sur sa mère tout en s’enfuyant en riant dans les couloirs. Elle n’était plus que vêtu d’une toute petite robe blanche fine très courte, trop courte, juste au-dessus des genoux, sans manche. Au détour d’un couloir, toujours prise d’un fou rire dû à la tête qu’avait fait sa mère, elle tomba littéralement sur des dames de la cour occupés à médire.
« Oh pardon » fit elle en leur rentrant dedans « Je suis vraiment navré »
Les deux femmes la regardèrent de la tête au pied outrés par l’apparence de leur souveraine.
« Vous avez chaud ma Reine ? » dit l’une d’elle en gloussant
« Non j’allais rejoindre votre mari ! » répondit elle avec aplomb.
Les deux femmes perdirent leurs sourires mesquins alors que celui de la Reine grandissait, elle s’amusait beaucoup aujourd’hui.
 « Méfiez-vous Mesdames à force de dénigrer les autres, je pourrais vous obligez à porter la même tenue après tout n’oubliez pas je suis la reine donc …d’ailleurs oui je suis la Reine, je vous ordonne de changer de tenue et de …vous mettre en tenue …de nuit …voilà c’est bien ça maintenant vous n’aurez droit que de porter vos chemises de nuit ! »
Elle leur tira la langue et repartit vers les jardins toujours son livre dans les mains. Alors qu’elle était presque arrivée à destination, elle croisa Elias. L’enchanteur avait levé un sourcil amusé à la vue de la Reine, un petit sourire aux lèvres, il lui expliqua la situation. Un peu déçu que ce soit la faute d’une potion et pas une révélation personnelle, Guenièvre accepta de le suivre au laboratoire.
Assise sur une table, sa robe relevée sur ses cuisses, elle balançait nonchalamment les jambes, amusée par la situation. Les deux enchanteurs avaient fait prévenir le Roi mais ils étaient surtout occupés à se disputer sur le meilleur moyen de minimiser les effets de la potion.
« Oh vous savez moi je vais très bien, ce n’est pas très grave après tout ! »
Les deux hommes tournèrent vivement leurs têtes vers la Reine qui rit à leurs expressions choquées.
« Ah non vous n’allez pas bien et puis je ne pense pas que le Roi apprécie réellement votre nouvelle attitude même si personnellement j’aime beaucoup »
« Ben allez dire ça au Roi, je suis sure qu’il va adorer ! »
« Oh vous ! ne faites pas le malin si vous saviez faire une potion correctement on ne serait  pas dans la mouise »
« Oui bon ben ça va »
Merlin bouda dans son coin, tandis qu’Elias se rapprocha de la table et murmura à la Reine.
« Sinon vous ne me raconteriez pas votre petite journée en attendant ? »
Guenièvre ria de plus belle à l’expression qu’avait choisi l’enchanteur. Elle prit le temps de lui raconter en détail sa matinée et fût ravi de voir que cela faisait rire aussi l’enchanteur.
« Je crois que le plus drôle c’était la tête d’Arthur !! »
Comme s’il avait entendu que l’on parlait de lui, Le Roi entra dans le laboratoire ce qui fit rire encore plus Elias et Guenièvre. Arthur allait s’énerver quand il vit sa femme assise sur la table à moitié nue. Le rouge lui monta aux joues, voir ses jambes, ses épaules lui donnèrent un coup de chaud. Et comme pour le narguer un rayon de soleil venait jouer sur la robe de son épouse rendant légèrement transparente la robe par endroit.
« MAIS …QU’EST-CE QUE …VOTRE ROBE …POURQUOI VOUS ETES A MOITIE …NON MAIS C’EST PLUS POSSIBLE …ET VOUS BARREZ VOUS …VOUS CROYEZ QUE VOUS POUVEZ ETRE AUSSI PRES D’ELLE »
Il hurlait et bégayait en même temps, ce qui fit reculer immédiatement l’enchanteur.
« Bon on va partir sur la tisane pour calmer les effets, Merlin venez on va chercher de quoi faire l’infusion »
Ils laissèrent le couple Royal seul, Arthur se mit devant la fenêtre tournant le dos à son épouse, il préférait contempler l’extérieur de peur de la regarder, elle était tellement belle et surtout désirable, il en avait d’ailleurs les effets physique qu’il préféré calmer avant tout. Depuis quand sa femme lui faisait un tel effet, il n’aimait pas du tout cette journée, il se sentait un peu fébrile, de la savoir là assise sur cette table, si belle, si …non non pensa-t-il, il fallait qu’il se reprenne.
« Vous boudez ? »
Il sursauta à la voix de sa femme, il se tendit un peu plus.
« Pourquoi vous boudez ? Allez …quoi …dites moi ! »
« Je boude pas » lui répondit Arthur en grognant légèrement
« Si vous boudez ! Et puis c’est pas gentil de me tourner le dos, je suis si moche que ça ! »
« Quoi mais non qu’est ce que vous pouvez raconter comme ânerie parfois !»
Il s’était tourné vers elle et s’approcha doucement, elle était vraiment très belle.
« Ne vous inquiétez pas les deux guignols vont trouver quelque chose pour vous guérir »
« Me guérir mais je NE suis PAS malade moi je vais bien même très bien d’abord ! »
« AH NON vous n’allez pas bien, vous avez embrassé un autre homme »
«Un autre homme ? »
« Oui vous avez embrassez KARADOC, non mais vous rendez compte » dit il furieux
Elle le regarda intensément ce qui le troubla encore plus, elle se mordit la lèvre inférieure, elle était adorable ce qui lui donna un autre coup de chaud.
« Pff c’était pas un baiser ça! »
« Ah si si vous l’avez embrassé ! et puis d’abord je peux savoir pourquoi vous l’avez embrassé parce que la potion elle a bon dos, il vous plait ce machin, non mais sérieusement dites le moi et je vous laisse tranquille »
Elle se leva et le rejoignit doucement, il se figea. Elle passa sa main sur sa joue et se rapprocha encore plus au point de coller son corps contre le sien, trop choqué pour réagir Arthur ne bougea pas. Il pouvait sentir son souffle chaud sur ses lèvres. Sans réfléchir il se pencha légèrement s’arrêtant à quelques millimètres de sa bouche pret déjà à reculer quand il sentit la pression de ses lèvres sur les siennes. Elle avait fait le dernier pas, c’est elle qui avait initié le baiser, il goutait ses lèvres ne cherchant pas aller plus loin ou plus vite.
Savourant la douceur de cet instant, ils s’embrassaient et c’était délicieux, paradisiaque. La main d’Arthur se posa sur la nuque de la jeune femme caressant la peau douce de ses doigts, elle gémit doucement et il lui rendit son baiser plus passionnément cette fois, mordillant sa lèvre inférieure, elle entrouvrit ses lèvres et il y glissa sa langue pour explorer sa bouche, elle lui rendit caresse sur caresse. Il grogna de plaisir, jamais un baiser ne lui avait autant fait tourner la tête, elle s’accrochait les deux bras à son coup alors que ses mains à lui avaient entreprit de découvrir son corps, tout d’abord caressant son dos lascivement, elles vinrent se poser poussivement sur ses fesses la rapprochant encore plus de lui.
Ils se souciaient peu du lieu où ils se trouvaient à cet instant, rien ne comptait d’autre que leur corps pressé l’un contre l’autre, de leurs bouches qui se dévoraient. Pour reprendre son souffle, elle se sépara à regret de sa bouche délicieuse pour enfouir son nez dans son cou et respirer son odeur chaude et masculine. Il remonta une de ses mains vers sa poitrine oubliant toute retenue elle laissa échapper un long gémissement.
Peut-être est-ce les effets de la potion, mais à cet instant elle se contrefichait de ce qui arriverait quand il la lâcherait pour l’instant elle voulait tout sentir de lui, elle glissa sa main dans sa tunique et elle griffa légèrement son dos, souriant alors qu’il grognait et se collait encore plus à elle. Il ne savait pas ce qu’il lui arrivait, il était comme enivré par elle. Toute sa résolution de la tenir éloigné, volait en éclat, plus de dix ans qu’il s’accrochait à un serment, plus de dix ans qu’il la repoussait et il avait suffi d’un seul baiser pour tout détruire. Il caressait ses délicieuses courbes recouvertes par la légère robe qu’elle portait. Alors qu’il allait la plaquer contre la table, il sentit qu’elle reculait. Elle s’éloigna doucement de lui, le laissant sur sa faim, elle plaqua son regard dans le sien et avec un sourire goguenard.
« Ça c’est un baiser ! »
Un garde entra dans la pièce ne laissant pas le temps au Roi de reprendre sa contenance.
« Sire, Vous êtes attendus d’urgence ! Votre mère et sa sœur viennent d’arriver au château ! »
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homomenhommes · 1 month
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 148
Dans le donjon, avec Daniel, je mets Cédric à nu. Direction les douches. Nous le lavons. Je vérifie qu'il est nickel coté pilosité et à l'aide de quelques bandes de cire enlève les quelques poils en trop. Pour le reste (aisselles, couilles) le travail est déjà bien fait. Il est surpris quand je lui enfile la canule de lavement dans le cul. C'est une première pour lui. Comme je viens de l'enculer, elle rentre facile et j'ouvre l'eau. Je lui explique le principe. Je coupe l'eau quand il se tortille et Daniel le pose sur les WC. Il expulse et nous recommençons. A la troisième fois, l'eau sort nickel. Séchage, inspection, il est tout beau. Avec Daniel, je le pousse jusqu'à l'un des slings. Nous le positionnons dessus. Ajustement des attaches et le voilà pieds et poings liés. Un peu paniqué (mais bientôt...niqué) il nous questionne. Daniel le rassure et lui dit que l'on ne lui fera rien qu'il n'aime déjà. A l'aide des chaines de suspension, nous remontons le sling jusqu'à pouvoir travailler son trou sans se pencher. Avec nos doigts et à 4 mains, nous ouvrons gentiment sa rondelle. Durant la prépa, nous avons du nous arrêter plusieurs fois, notre sujet d'étude arrivant au bord de l'éjaculation. Après nos doigts, nous sommes passés aux godes. Taille progressive jusqu'au 22 x 4,5 afin qu'il reste un peu de travail à la bite de Marc. Cela fait, je lui ai mis un plug taille moyenne pour le faire patienter et nous l'avons descendu à hauteur de bite.
Juste comme nous finissions, la porte s'est ouverte sur Marc. Sacoche à la main, il arrivait directement du taf. J'ai embarqué Daniel pour m'occuper de lui après avoir glissé dans l'oreille de Cédric de ne pas dire un mot.
En quelques instants, nous l'avons dévêtu puis douché. Daniel n'a pu résister à l'appel de sa bite qui prenait doucement du volume et à genoux, a commencé à lui sucer la queue. Bientôt il a du engouffrer les 22cm en pleines formes. Pendant ce temps là je roulais un patin à mon homme. Ainsi mis en forme, il nous a repoussé et s'est déplacé vers le centre du donjon et le sling. Devant Cédric en position, il nous a félicité de notre choix. Sa main a parcouru le corps mis à sa disposition, provoquant quelques frissonnements et apparition locale de " chair de poule ". Il s'est finalement positionné à sa tête et poussant le front vers le bas a dit à Cédric d'ouvrir la bouche. En avançant le bassin, il a entré son gland puis sa bite entière. L'entrée dans la gorge a fait sursauté le corps allongé mais pas plus. A la suite, il s'est offert à Marc sans recul. Comme Cédric, encore novice en gorge profonde, était obligé de déglutir fréquemment, Marc nous a dit son plaisir à se faire un néophyte.
Pendant ce temps là Daniel et moi nous bandions comme des fous. Marc nous demande alors d'enculer Cédric pour le roder. Aussitôt demandé aussitôt réalisé. Je passe en premier. Retrait du plug avec sursaut de son hébergeur lors du passage renflé et je pousse mon gland au fond de son trou. Avec Marc nous ajustons nos mouvements pour les synchroniser. Avec régularité, nous nous enfonçons en léger décalé ensemble dans le jeune corps à notre disposition. Quand je suis au fond du cul, Marc est au fond de la gorge. Cédric gémit de plaisir sous l'envahissement de nos bites. Daniel se presse contre mon dos et je sens sa queue entre mes fesses. Comme je ne veux pas sortir de Cédric, je lui dis de mettre une kpote. Il comprend de suite et, encapuchonné, il revient se coller à moi. Je me bloque au fond de Cédric le temps que Daniel m'entube. C'est trop bon ! Lentement il me met ses 20 cm. Quand je sens ses couilles contre les miennes, je sais qu'il est entré entièrement. Je me recule pour le placer à la bonne distance et m'active. Seul en mouvement, je coulisse sur la bite de Daniel tout en limant l'anneau de Cédric. J'y prends un grand plaisir ! Marc nous demande de lui laisser la place. Je me recule et sors de Cédric sans me décoller de Daniel. Nous nous déplaçons à l'autre extrémité du sling et kpote retirée, je remplace Marc dans la bouche accueillante de Cédric pendant que Marc l'enfile à l'autre extrémité. Malgré mes passages dans son cul, Cédric reste encore serré pour Marc. Je me penche sur Cédric pour mieux voir le travail de la queue de Marc. Son petit sexe tout droit m'attire et je fini par le prendre en bouche. avec un peu de persévérance, j'arrive à y faire entrer aussi ses deux petites boules. Sous mes yeux, la bite de Marc entre et sort de l'anus de Cédric qui commence à se boursoufler un peu. Ce n'est que gémissements et cris de plaisir. sous ma langue je sens monter la pression dans les couilles de Cédric et me relève juste à temps pour voir jaillir son sperme. Ses premiers jets atteignent mon menton puis mes pecs pour finir à 5cm de son gland sur ses abdos. Cela ne l'a pas arrêté dans sa pipe et je sens que ça va bientôt être à mon tour. J'ai juste le temps de reculer et je jute 6 grosses giclées sur Cédric. Mes contractions annales achèvent Daniel qui n'a pas le temps de sortir et jute dans sa kpote, accroché à mes épaules. Marc, lui, a profité du resserrement de l'anus de Cédric (dû à l'après éjaculation) pour continuer à le limer avec augmentation de frottement. Cela l'emmène à jouir à son tour. Il décule et dkpote dans le même mouvement et ajoute son sperme au mélange du mien et de celui de Cédric. J'ai juste la force de détacher Cédric, d'enlever le bandeau de ses yeux et de le faire descendre du sling, puis nous nous étalons sur les tatamis. Cédric choisit de se coucher sur Daniel (y aurait il plus que du sexe entre eux ?). Un 1/4 d'heure plus tard, sous une sensation de froid, nous filons tous les 4 aux douches que nous prenons brulantes.
Ammed nous attend avec peignoirs et manteaux pour nous dire que le diner est prêt. Samir nous attend à la maison. Apéritif, Daniel commence par refuser, c'est lui qui pilote. Marc lui dit qu'il peut se lâcher et rester dormir ici, la maison est grande. Il refuse devant ramener Cédric chez ses parents. Ce dernier confirme mais ajoute aussitôt que si on veut, il s'arrangerait pour pouvoir rester en WE. Il nous dit en rougissant, avoir vu des trucs dans le donjon qu'il aimerait bien essayer. Nous rions tous puis dinons avec appétit. ; Comme Daniel et Cédric nous ont quittés, Marc et moi discutons un peu. De son taf, il sera absent environ une semaine sur deux, des miens, où il est d'accord avec moi que je dois continuer à encadrer Jimmy et surtout Ed.
Nous convenons de nouveau du fait qu'en voyage il baise qui il veut (en général il n'a pas de difficulté à se trouver un cul parmi le personnel de service, c'est l'avantage de l'hôtellerie haut de gamme) et moi idem de mon coté le tout sous protection maximale. Pour moi, ses semaines d'absence seront principalement occupées par Emma, avec surement un peu d'André (mon banquier) et parfois de Xavier et Laure, cela sans compter bien sur les rencontres furtives possibles (aires de repos...).
Le soir même dans notre grand lit nous avons fait l'amour comme des perdus. Après m'être occupé de son corps des pieds à la tête, il m'a pris le cul comme lui seul sait le faire, me faisant monter très doucement jusqu'à la jouissance complète, celle qui fait oublier qui on est, où l'on est.
Ma langue a commencé par parcourir la surface de sa peau en commençant du gros orteil droit, remontant sur le tibia, la cuisse et hanche droite, le flanc, passage sur le téton, descente du bras, remontée sur l'épaule, le cou et l'oreille. Roulage de pelle puis descente à gauche. La stimulation de ses sens l'a fait bander et je peux m'attaquer à son sexe. Boule droite en bouche puis la gauche et enfin les deux ensemble me distendent les joues. Je les relâche pour lécher les 20cm de hampe dressés. Une fois ce cylindre brillant de ma salive je chapeaute le gland le prenant seul dans ma bouche. Il est brulant. Ma langue lèche toute sa surface, glisse sous la couronne. Marc laisse échapper un gémissement de plaisir. Je continu encore quelques instants avant de me pencher un peu plus et d'en prendre plus en bouche, jusqu'à ce que mes lèvres soient collées à son pubis (et donc son gland locataire de ma gorge). Je pompe cette bite un bon moment, déglutissant quand elle est dans ma gorge pour masser le gland, le recrachant en limite de ma capacité respiratoire. Quand je suis parti comme cela, je m'en étoufferais presque ! De temps à autre je récupère l'excédent de salive et en tartine mon anus. Ça plus mon excitation, ça devrait le faire. Après une bonne demi heure de pipe, je remonte lui rouler une pelle. Naturellement, mes genoux encadrent ses hanche et je sens son gland tapoter mes reins. Je relève le cul doucement pour que ce dernier se pose sur mon anneau. Et quand il y est, je m'assois d'un petit coup sec qui le fait entrer en moi. Un grognement d'approbation nait sous ma langue. je ne quitte pas sa bouche tout pendant que je descend sur sa queue. J'avais raison, ma salive plus l'excitation m'ont ouvert juste comme il fallait ! Vers la fin, je me redresse et enfonce le dernier cm dans mon cul, trop bon ! Marc me tient les hanches pour que je ne bouge pas tout de suite. Il se régale d'être au fond de moi. Quand il relâche la pression, je sais que je peux y aller et " trotter " sur sa bite. Je varie le rythme, mes mains en appui sur ses pecs, je monte et descend mon cul pour le limer sur son pieu. Par deux fois je dois me calmer sous peine de juter prématurément. Je me couche alors sur lui et nous nous roulon un patin. J'aime sa langue venir impérieusement occuper ma cavité buccale. Quand je sens que lui aussi est sur le point d'exploser, je passe au galop jusqu'à ce qu'il se cabre et soulève son bassin pour m'en mettre encore un peu plus si c'était possible et me tapisse le boyau de son jus. Ce n'est que qu'and il a expulsé sa dernière giclée comme nous retombons sur le lit qu'à mon tour de jute la pression envoyant mon sperme jusqu'à son visage. Le retour au calme se fait, comme couché sur lui je nettoie sa face à coups de langue et que son sexe glisse doucement hors de moi.
JARDINIER
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ecologieeteconomie · 9 months
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Bilan du quatrième match de préparation de la France pour la Coupe du Monde de Rugby à XV
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Ce dernier match de préparation a tenu toutes ses promesses, côté français, tout du moins. Les spectateurs français demandaient de l’audace et un petit grain de folie sur le terrain. Ils ont été servis.
La première mi-temps
À peine sept minutes de jeu et Jonathan Danti déchire la muraille australienne avec une course dévastatrice. Il bat deux défenseurs après avoir été parfaitement servi par Antoine Dupont. La première mi-temps est très équilibrée et accrochée. Les Français virent largement en tête à la fin du premier acte parce que l’ouvreur australien n’est pas en réussite.Il manque en effet une transformation et deux pénalités. Une transformation ? Mais alors l’Australie a marqué un essai. Oui effectivement, c'est Mark Nawaqanitawase qui le marque à la 13ème minute. Une fois de plus, la défense française a été très efficace et a annihilé un grand nombre d’offensives adverses. La possession de balles à la mi-temps étaient largement en faveur des Australiens avec un score de 65 %. Pourtant, au tableau d’affichage, le score était de 13 à 5 pour la France. 
La deuxième-mi-temps
Ce deuxième acte fut bien moins équilibré. Même si les Australiens ont réussi à marquer sept points avec un essai de Mc Reight que l’ouvreur Wallabies a enfin réussi à transformer. En toute fin de match, Vunivalu a pu également passer la ligne. La France a beaucoup plus maîtrisé le ballon et n’a plus vraiment été inquiétée par des Australiens trop étouffés par les défenseurs tricolores. Les bleus ont déroulé avec trois essais. Un doublé de Penaud et une réalisation de Gabin Villière. Coqs et Kangourous se quittent bons amis sur un score de 41 à 17.
Le bilan du match et de la préparation
Au-delà du résultat, c’est encore et toujours l’état d’esprit de ce XV de France qui impressionne et force l’admiration. On a assisté à une montée en puissance progressive du XV de France qui a démarré sa tournée d’été par une défaite étriquée en Ecosse puis qui a enchainé trois succès à domicile. A chaque fois, on a vu de nouvelles choses. Les quatre essais du jour sont particulièrement appréciables parce qu’ils sont l'oeuvre des 3/4. Le premier tout en force de Danti est issu d’une simple touche, rampe de lancement parfaite pour des attaques en première main. Le premier essai de Penaud conclut un splendide mouvement d’attaque au centre du terrain que Dupont décale d’une subtile passe au pied pour son ailier qui marque en coin. Antoine Dupont illumine le jeu du XV de France et délivre une troisième passe décisive et une deuxième passe au pied pour Villière, cette fois sur l’aile opposée. Le dernier essai, Penaud le doit à son jeu au pied et à sa pointe de vitesse. La deuxième période fut réellement un festival. 
Alors si vous voulez à continuer à en prendre plein les yeux, rendez-vous le 8 septembre pour le match France – All Blacks 
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askwhatsforlunch · 7 months
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The Rugby World Cup Table
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In France, there is something specific to Rugby we call "la troisième mi-temps" (third half-time), where both winning and losing teams and supporters gather after a game for a bite and a pint! In that spirit, as our home World Cup comes to a close tonight, I am celebrating all the teams that took part and played exciting, enthralling rugby (sometimes breaking our hearts!) all across France this past couple of months, sharing recipes from all the countries represented. I really enjoyed delving into national cuisines I did not know, and perhaps some future travels will be inspired by these delicious discoveries! In the meantime, I'll be happy eating, whether New Zealand or South Africa lifts their fourth Webb Ellis Trophy!
Pool A
Confit Duck (France)
Manuka Honey Glazed Ham (New Zealand)
Melanzane alla Parmigiana (Italy)
Pasta con Salsa Caruso (Uruguay)
Ombidi and Mielie Pap (Namibia)
Pool B
Beer Battered Sausages (Ireland)
Regte Braaibroodjie (South Africa)
Scots Apple Crumble (Scotland)
Ota Ika (Tonga)
Griș cu Lapte (Romania)
Pool C
Haddock Welsh Rarebit (Wales)
Vudi Vakasoso (Fiji)
Aussie Burgers (Australia)
Pastéis de Nata (Portugal)
Abkhazura (Georgia)
Pool D
Chicken Pot Pie (England)
Guiso Carrero (Argentina)
Salmon Chirashi (Japan)
Kopai (Samoa)
Chupe de Camarones (Chile)
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ernestinee · 2 years
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Alors alors, j'ai un peu de temps ce soir et du coup je me suis dit que j'allais voir l’évolution de mon level 10. Des infos sur le tag dans le fond. En gros, tu prends 10 domaines de ta vie, tu mets des points en essayant d'être réaliste, ni optimiste ni pessimiste, d'où l’intérêt de le faire dans un moment neutre, mais en même temps quand on ressent le besoin de le faire, c'est qu'on n'est pas tout à fait neutre. Bref, tu fais comme tu peux mais tu mets des points, et ensuite, tu choisis quelques domaines que tu as envie de faire évoluer, pas forcément tout, tu fais à ton rythme, tu réfléchis à tes priorités. Pour ces domaines, tu poses des objectifs concrets et des moyens de les atteindre. Un exemple tout à fait fictif: santé : 1/10, objectif arrêter de fumer, moyen : consulter/utiliser un tracking/etc. Quelques mois plus tard, tu regardes où tu en es.
Comme d'hab, billet chiant, uniquement là pour que je puisse le relire plus tard. Ne lis pas, c'est chiant, c'est moi moi moi ma vie moi moi et bon, rien de drôle.
Bon du coup, hop. Mon dernier date de mi-juin.
24/9/22 , troisième level 10 de l'année. J'avais fait le 1er en février, je vais noter les points de chaque fois comme ça je vois l'évolution. Ou la régression pour certains domaines.
A ça de faire un graphique.
couple - 6/10 en février, 5/10 en juin et aujourd'hui tadaaaam 3/10
Ca régresse. On ne se comprend plus pour l'instant. On est tous les deux dans une sorte de "no stress, c'est temporaire", on continue de faire des projets, en particulier les travaux dans la maison, parce qu'on déteste cet endroit et on essaie encore de se l'approprier, alors qu'on y est depuis 14 ans et demi. Ca n'aide pas à se sentir bien à deux. On a aussi des projets de vacances. On veut aller au Japon, on veut retaper un van. Les vacances en Italie se sont bien passées même s'il était temps qu'on rentre parce que j'allais en prendre un pour taper sur l'autre. Je crois qu'on ne se voit pas l'un sans l'autre mais pour l'instant la communication ne passe pas, ou passe mal. Je ne sais pas comment faire monter les points. On a eu une discussion jeudi parce qu'il m'a fait une réflexion que j'ai décidé de ne plus ignorer. J'ai passé la nuit à pleurer, et dans mes larmes je suis aller gueuler sur lui et lui dire qu'il fallait vraiment qu'il arrête avec ce genre de réflexions, parce que sinon ça se passerait très mal pour moi, et qu'il aurait l'air malin quand il devrait s'occuper seul de son fils. Je le pensais réellement. Bon du coup, on fait quoi pour que ça s'arrange. C'est compliqué parce que j'ai l'impression que ça doit venir de lui. Il a plus ou moins réagi à ce qu'il s'est passé jeudi soir et il essaie d'être sympa mais pour l'instant je suis encore en colère. J'avais précédemment mis comme objectifs de noter les expos, événements et activités qui pourraient nous plaire, puis j'avais annulé cet objectif en juin, parce que je n'avais pas du tout envie de faire des trucs avec lui et je voyais nos vacances d'un mauvais oeil. En juin, j'avais aussi décidé que j'arrêterais de donner autant d'importance à sa façon de me voir (pour rappel je n'ai jamais autant complexé que depuis que je suis avec lui, alors que je ne suis pas grosse du tout). J'avais prévu d'accepter les compliments. Et j'en ai eus, je les ai acceptés. Donc mission réussie haha. C'est peut-être pour ça que j'ai explosé jeudi quand il m'a encore fait cette réflexion sur mon apparence. C'est peut-être le contraste avec les compliments que je reçois en dehors de lui.
Bon, donc : continuer d'accepter les compliments et de refuser les réflexions humiliantes. et heuu pfff je sais pas. On verra pour le reste quand je serai moins fâchée.
2. Amitié/famille, 9/10 en février, 5/10 en juin et 9/10 maintenant je dirais.
Jolie remontée. J'ai peu de vrais amis mais ils ont une valeur inestimable. Il y a la précieuse, le précieux, et le moteur (une amie qui est également collègue). Chacun, chacune, présent.e à sa façon, avec ses mots. Jeudi, ce sont eux qui m'ont apportée l'affection dont j'avais besoin. Le précieux en début de soirée, le moteur ensuite, et la précieuse est restée presque toute la nuit. Sans le savoir, ils se sont relayés et chacun m'a apaisée. J'ai perdu des gens importants en février et mars dernier, je me suis posé beaucoup de questions et j'ai l'impression de ne pas avoir évolué d'un iota dans les réponses. Je garde cette peur perdre mes amis, proportionnelle à l'affection que j'ai pour eux. Énorme donc. Mais haha 9/10 t'as vu.
L'objectif était de les voir. On va garder ça et profiter pleinement des moments précieux.
Niveau famille: L'ado est ravi que je touche à son univers, il essaie de m'apprendre à jongler mais je suis une quiche. Lui, il jongle avec un bâton du diable depuis 7 ans, et cet été, il a décidé de se mettre aux balles. En deux semaines, il jonglait à 3 balles. Maintenant il fait des figures impressionnantes. Il s'entraine plusieurs fois par jour, il ne rage pas quand il n'y arrive pas, il recommence encore et encore. Je vois ses essais et ses victoires, je le vois faire des tests, imaginer le mouvement dans sa tête, noter des chiffres sur des feuilles, essayer encore... Je lui ai dit ce matin qu'il est inspirant, qu'il est un modèle de volonté pour moi. Ca aussi ça rentre dans le 9/10, même si notre relation était déjà très chouette avant.
3. Santé: 6/10 en février, 7/10 en juin, 8/10 maintenant.
Je n'ai toujours pas vu de gynéco, je n'ai pas non plus osé téléphoner à une sage-femme ni à une doula, je n'ai pas vu le cardio. Mais j'ai commencé le cirque et pris conscience de l'ampleur du chantier, c'est déjà pas mal. Du coup je fais des abdos régulièrement et des exercices de souplesse. Mon amie-moteur m'embarque marcher 5 à 10 km tous les jeudis aprems en fonction du temps qu'on a. J'ai vraiment envie de me laisser sculpter par le trapèze, le tissu et la corde lisse, de voir ce que ça va faire à mon corps (pour l'instant, des bleus et des courbatures). Je fais de l'équilibre sur un câble aussi, avec tout ce que ça implique comme mélange de lâcher-prise et concentration. C'est une association qui me plait. J'avais fait beaucoup de sport de 2016 à 2019, j'étais devenue athlétique et souple et je retrouve certaines sensations, avec en prime le côté ludique du cirque.
Autre truc indirectement relatif à la santé, et c'est un sujet bêtement tabou mais bon, comme personne n'aura lu jusqu'ici je m'en fous. J'ai décidé d'apprécier mes règles. D'ici 10/15 ans je suis ménopausées et mes règles ont toujours été un moment que je déteste, avec des migraines, un corps lourd et mou, des changements d'humeur, des maux de ventre incroyables. Comme objectif: J'ai décidé d'accepter ça comme on accepte que le soleil se lève et se couche tous les jours, parce que c'est comme ça c'est un rythme, et nous sommes des animaux finalement, vivant à l'intérieur de ces boucles. J'ai décidé d'arrêter les tampons parce que je ne suis pas à l'aise avec l'idée d'un choc sceptique qui ne serait pas diagnostiqué (parce que j'ai la phobie du milieu médical, je ne consulte qu'au bout du bout de la douleur), je vais mélanger les culottes menstruelles et le flux instinctif. J'estime assez bien connaître mon corps, je suis attentive aux sensations, je me sens capable de ça. Et surtout, je n'ai plus envie de perdre de temps à détester mon fonctionnement. Mes règles ne me feront probablement pas moins mal mais on accepte mieux les douleurs qui ont une signification et celle-là me permet d'accepter un certain côté animal, le fait d'être moi-même au milieu d'un cycle naturel.
L'autre objectif, ça va être de réussir à passer mes pieds entre mes bras et le trapèze sans aide parce que pour l'instant, il manque un chouia de souplesse et d'abdos. Ca implique les assouplissements et les abdos quotidiens. Et aussi faire le 5km en 40/45 minutes, pour bosser un peu le cardio.
4. Environnement : 7/10 en février, 8/10 en juin, toujours 8/10 maintenant
J'avais fait évoluer mes points en m'occupant de mon coin bureau, et j'avais prévu de gérer le jardin. Il a fait trop chaud, j'avais zéro énergie pour ça donc aucune évolution. En plus ce n'est pas vraiment mon jardin, c'est plutôt celui des voisins, vu comment leur con de chien n'arrête pas de nous aboyer dès qu'on sort un orteil.
Par contre, l'objectif est de taille parce que les projets de travaux dont je parlais plus haut sont relatifs à une utilisation plus consciente de l'énergie. On a mis des panneaux solaires, on va changer le chauffe-eau pour un autre qui consomme moins, et en 2023, on va mettre un poêle de masse, ça va nous permettre de nous chauffer toute l'année (fin d'automne et hiver, et début du printemps) avec 5 stères de bois de récupération de scieries. 100 euros de chauffage à l'année, approximativement ^^ On n'a jamais mis de chauffage électrique, ni mazout ni gaz ici, mais les bois durs ont déjà presque doublé de prix. Alors ce n'est pas uniquement pour le côté financier, ça joue mais il y a une réelle envie écologique. Autre projet, on va essayer d'être petit à petit autosuffisants en légumes, fruits et oeufs. Ca va demander du temps et un apprentissage mais j'aime bien ce défi. Première chose à faire, déblayer le jardin. Il est à l'abandon à cause du con de chien.
5. Don de soi, 8/10 depuis février et finalement je me demande si c'est nécessaire de "se donner". Vaut-il mieux augmenter ou diminuer les points? Je veux dire, dans une démarche qui veille à ce que je me sente bien, est ce que ce n'est pas suffisant et d'être à 8/10? Est ce que monter à 9 ou 10 ne serait pas un peu trop? Le risque de m'oublier? Je donne de moi en permanence quand je travaille, et on pourrait même prendre ça au sens littéral tellement j'ai de consultations que je fais bénévolement.
6. Loisirs : 1/10 en février (bouh!) 4/10 en juin, et 7/10 maintenant.
Le cirque me fait un bien fou, et agit sur mon activité de toute la semaine puisque je m'entraine. Ça me fait prendre du temps pour moi.
Pour l'instant, je ne prends pas de photos, et je ne me suis toujours pas remise à la broderie. Bon j'ai eu beaucoup de boulot, le début de l'année scolaire, c'est assez agité autour des stagiaires, autour des chaises musicales dans l'horaire pour coller aux activités extra-scolaires des patients, et autour des documents d'aménagements en classe pour mes dys.
Alors comme objectif... je pense que pour l'instant ça va. Ca me manque de lire mais il y a un point spécialement dédié à la lecture.
7. Job: 8/10 depuis février. Et 9/10 maintenant !
Mes stagiaires de cette année ont l'air top. Celle de l'unif est absolument géniale, je ne sais pas d'où elle sort toute cette attitude géniale mais je l'adore, son dynamisme, son enthousiasme, ohlala comme c'est frais et comme c'est agréable de transmettre mon plaisir du travail à une personne comme ça! J'ai rencontré celle du lundi et elle a l'air top aussi. L'année va être sympa. Petite cerise sur le gâteau, presque tous mes patients sont en ordre dans leur dossier à la mutuelle, du coup je vais pouvoir en facturer plus que d'habitude, ce qui avant les fêtes de fin d'année est plutôt pas mal. C'est pour ça que j'ai mis un point en plus, j'ai vachement moins procrastiné depuis quelques mois.
Objectif : continuer comme ça, ça va.
8. Finances: 7/10 en février, 6/10 en juin, et 7/10 maintenant
Le petit couac d'avril s'est résolu en août! Une mutuelle avait perdu mes attestations de soins et ne voulait pas me payer mes honoraires. Ca a été une longue apnée, parce que c'est cette mutuelle qui a la plus grande partie de mes patients, mais tout est rentré dans l'ordre après 5 mois. Maintenant je leur envoie tout ça en recommandé, c'est plus prudent.
9. Spiritualité. 5/10 en février, puis 0/10 en juin parce qu j'ai arrêté de me poser des questions aux réponses trop abstraites, et je suis tentée d'arrêter ce point. Peut-être au profit d'un point "philosophie" Hum. On verra.
10. Lecture 7/10 en février, 7/10 en juin et encore pareil maintenant.
Je garde le même rythme de lecture tout en ayant envie de lire davantage.
Si tu as tenu jusqu'ici, il y a des informations plus détaillées sur le plus ancien billet, en cliquant sur le tag
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lacharmante · 1 year
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Porsche 907 #031 usine, Allemagne, 1968. COLLECTION ERNST R. SCHUSTER
Voiture de compétition Sans titre de circulation Châssis n° 907-031 Moteur n° 907-022
- Palmarès majeur en Championnat du Monde (4éme 1000 Km du Nürburgring 1968, 3 participations aux 24 Heures du Mans 1970/1971/1972…) - Une des 907 les plus authentiques - Dans la Collection Ernst Schuster depuis près de 40 ans - Éligible aux plus belles épreuves historiques - Chaîne complète des propriétaires - Restauration de haut niveau par les meilleurs spécialistes
Nous sommes le 19 mai 1968, pour les 1000 Km du Nürburgring, sixième manche du Championnat du Monde des Marques. L'affrontement entre Ford et Porsche est à son comble : les Porsche 907 se sont imposées aux 24 Heures de Daytona et aux 12 Heures de Sebring devant les grosses GT40, qui ont rattrapé leur retard en s'adjugeant la victoire à Monza, Brands Hatch, Spa et Watkins Glen. A la Targa Florio, Porsche a repris le dessus avec la victoire de la 907 d'Elford-Maglioli. Pour en découdre au Nürburgring, l'usine Porsche aligne deux 907 (2 litres) et deux 908 (3 litres). Au départ, la Porsche 908 de Siffert-Elford prend rapidement le commandement, suivie par la Ford GT40 d'Ickx-Hawkins. Derrière, les Porsche 907 de Herrmann-Stommelen et Neerpasch-Buzzetta sont en embuscade. A la faveur de ravitaillements moins fréquents, la Ford de Ickx occupe brièvement la tête, mais Siffert reprend le dessus, immédiatement suivi de la 907 de Herrmann-Stommelen. Neerpasch (au volant 907-031, la voiture que nous présentons) perd du temps car, frisant la panne d'essence, il revient au stand au ralenti mais conserve sa quatrième place. Il s'est mis à pleuvoir : à bord de la Ford, l'Australien Paul Hawkins qui a remplacé Ickx est moins à l'aise que le pilote belge et l'équipage Neerpasch-Buzetta en profite pour remonter son retard. Pourra-t-il arracher la troisième place à la Ford ? John Wyer, patron de l'équipe Ford, sent le vent tourner et demande à Ickx de reprendre le volant pour défendre sa position. A l'arrivée, Porsche triomphe avec une 908 et une 907 aux deux premières places. La 907-031 de Neerpasch-Buzzetta est quatrième, devant plusieurs Alfa Romeo et la Ford GT40 de Hobbs-Redman. Terminant à moins de 5 mn derrière la Ford, peut-être serait-elle arrivée troisième sans son incident de panne d'essence... C'est cette même voiture que nous mettons en vente, châssis 907-031, et cette quatrième place lors d'une des épreuves les plus difficiles du monde en dit long sur ses qualités dynamiques et d'endurance : avec son moteur 2,2 litres elle a pu faire jeu égal avec une machine dotée d'un V8 de 5 litres. Cette Porsche 907-031, l'avant dernière 907 construite, est sortie des ateliers de Zuffenhausen un mois avant la course, les dernières mises au point étant effectuées en mai 1968,
Après le glorieux résultat du Nürburgring, la voiture est révisée et l'usine Porsche décide de s'en séparer. Un certificat daté du 10 janvier 1969 et portant la signature de Ferdinand Piëch indique la cession de la Porsche 907-031 à Alejandro Soler-Roig, à Barcelone. Né en 1932, celui-ci est un excellent pilote privé espagnol qui a commencé sa carrière en 1958 au volant d'une Porsche 356. En 1968, il a pris part aux 24 Heures du Mans avec une 907 longue queue (n°907-005) et, malgré un abandon sur panne de distribution, la voiture l'a convaincu puisqu'il en a acheté un exemplaire. Avec cette Porsche 907-031, il participe en 1969 à plusieurs épreuves du Championnat du Monde avec Rudi Lins, son coéquipier. Sous les couleurs de l'écurie Escuderia Nacional CS, la saison commence par un malheureux accrochage aux 24 Heures de Daytona où la Porsche, surprise par un nuage de fumée provoqué par l'explosion du moteur d'une Jaguar, est prise dans un carambolage impliquant plusieurs protagonistes. Mais, après avoir été renvoyée à l'usine pour réparation, l'équipage espagnol se reprend dès l'épreuve suivante, les 12 Heures de Sebring. Le plateau est prestigieux, plusieurs Porsche 908 côtoyant les Ferrari 312 P, Lola-Chevrolet, Alfa 33 et Ford GT40. La 907 est 16e aux essais mais, grâce à une course régulière et à la faveur des abandons, elle signe une magnifique quatrième place, premier équipage privé derrière les équipes usine ! Lors des 6 Heures de Brands Hatch, la voiture est contrainte à l'abandon mais au mois de juin, lors de l'épreuve de Jarama du Championnat d'Espagne, Alejandro Soler-Roig remporte la victoire devant une Ford GT40 et une autre Porsche 907.
Après avoir reçu une 908/3 en 1969 et commandé auprès de l'usine une Porsche 917 l'année suivante, Soler-Roig ne se sert plus de la Porsche 907-031. Elle est cédée en 1970 à l'écurie Wicky Racing Team. André Wicky est un pilote suisse qui a fait ses premières armes à la course de côte d'Ollon-Villars en 1956 au volant d'une Triumph TR3 et qui prendra 10 fois le départ des 24 Heures du Mans, entre 1960 et 1974. En 1966 et 1967, il s'est distingué à bord d'une Porsche 906 et, avec la 907-031 de Wicky Racing, il participe à une vingtaine de courses de la saison 1970 (en laissant parfois le volant à d'autres, comme Gérard Larrousse au Trophée Paul Ricard). Pour les saisons 1970, 1971 et 1972, Wicky Racing continue à faire courir la voiture entre les mains de différents pilotes, dont le plus régulier est Peter Mattli. #907-031 participe aux 24 Heures du Mans 1970 sous le numéro de course 61, pilotée par Wicky lui-même et Jean-Pierre Hanrioud où elle abandonnera à la 17e heure. A partir de 1971, avec l'achat de sa nouvelle 908/3, André Wicky ne pilotera plus personnellement la 907 mais la confiera à des pilotes expérimentés. Comme nous l'apprend une copie du carnet de pesage provenant des archives de l'ACO, c'est en 1971 que Wicky engage 907-031 aux 24 Heures du Mans avec les pilotes Brun et Mattli. Elle court dans la catégorie Proto. Elle ne dominait en cylindrée que la Lola T212 d'Enever-Stewards. La régularité était l'objectif de ces 24 Heures pour le Team Wicky. Et cela s'avèrera payant : 14e à mi-course, notre 907, équipé du moteur 6 cylindres (moteur n°907-030) cette fois, termine à la 7e place, juste à 381 mètres derrière la Porsche lauréate en GT ! Elle est couronnée de la 1ère place en Sport Prototype et 1ère de sa classe 1601 à 2000 cm3. En 1972, elle arrivera 18e aux 24 Heures du Mans sous le numéro de course 24 (Mattli/ Bayard/ Brun). En 1972 toujours, Mattli obtient une victoire de classe aux 1000 km de Monza sous une pluie battante et avec son coéquipier Hervé Bayard. Il est formidable de remarquer que, encore quatre ans après être sortie d'usine, cette voiture pouvait encore figurer avec brio. Après une longue carrière en course où elle aura couru aux Etats-Unis, en Afrique et en Europe, elle achèvera sa première vie au milieu de l'année 1973. Dans la deuxième moitié des années 1970, l'Ecurie Wicky Racing va vendre une partie de ses " veilles voitures " qui ne sont plus compétitives. Les deux 910 de l'écurie sont vendues à un collectionneur américain. C'est Albert Eggs, un collectionneur Suisse de la région du Valais, qui rachète 907-031 à André Wicky. Nous avons pu nous entretenir avec l'épouse de M. Eggs qui nous a confirmé que son mari avait aussi acheté juste après à Wicky sa 908/2 #10. Collectionneur passionné par les Porsche et les BMW de course, Albert Eggs fait restaurer la voiture avant de l'exposer dans un petit salon local à Sierre dans la région du Valais en mai 1979. La 907 étant équipée d'un six cylindres, Albert Eggs fait l'acquisition auprès de Wicky d'un type 771/1 flat-8 mais cette opération sera à l'origine d'un différend avec Wicky. C'est en 1983, qu'Albert Eggs met en vente la 907 via une annonce dans le magazine Auto Motor Sport n°17. C'est alors que la voiture sera vendue à son propriétaire actuel : Ernst Schuster.
Pilote amateur de haut vol, Ernst Schuster a notamment participé à la saison 1986 d'endurance à bord d'une Porsche 936 C, terminant sixième au classement général des 24 Heures du Mans. Collectionneur aussi bien d'horlogerie que d'automobile, il est particulièrement exigeant et sélectif sur la provenance et l'état des joyaux de sa collection à une époque où la plupart des collectionneurs étaient loin d'avoir des critères aussi rigoureux. Fasciné par l'histoire de l'épreuve mancelle, il décide de constituer une collection de GT et de prototype Porsche les plus emblématiques avec l'idée de pouvoir les utiliser. La 917 lui paraissant trop lourde et complexe il porte son choix sur les prototypes huit cylindre avec notamment 907-031. Avec la 907, il n'est plus question de compétition "moderne", mais de participer aux courses historiques et comme pour ses montres, il décide au milieu des années 1990 de confier la voiture aux meilleures spécialistes du modèle. Pour ce faire, l'ensemble châssis/carrosserie/trains roulants est confié à Butch Dennison, restaurateur américain de la région de Seattle connu pour ses travaux sur des machines de compétition de premier plan. La carrosserie en fibre de verre est restaurée par Robert Hatchman, de l'atelier Autocraft dans l'Oregon, spécialiste des prototypes Porsche ce cette époque. Quant au moteur, numéro 907-022, 8 cylindres, ce sont Gustav Nietsche et Valentin Scha?ffer qui s'en chargent. Ce dernier, surnommé "Turbo-Valentin", est un ancien ingénieur Porsche et le premier un ancien mécano de la marque. Les travaux s'étalent sur quatre ans, de 1991 à 1995, ce qui permet à la voiture de prendre part au Tour Auto Historique en avril 1995. C'est le début d'une deuxième carrière en historique, sur un rythme évidemment plus modéré, avec notamment une participation au Mans Classic.
Rappelons que la 907 a marqué chez Porsche un tournant important. Lancé pour les 24 Heures du Mans 1967, le modèle ne visait plus seulement les victoires de catégorie que ne comptaient plus les 906 et 910 (appelée 906/10 par l'usine), mais le classement général lors des épreuves du Championnat du Monde d'Endurance. Par exemple, pour se donner les meilleures chances, Ferdinand Piëch a décidé de faire passer le poste de pilotage à droite, position plus favorable sur les circuits. Les premières 907 étaient en configuration "longue queue" (LH, Langheck), avec un moteur 6-cylindres 2 litres, et le modèle était bien né puisqu'il a terminé cinquième aux 24 Heures du Mans 1967 à plus de 200 km/h de moyenne, derrière les Ford 7 litres et Ferrari 4 litres. L'année suivante, Porsche a profité du changement de règlement qui limitait à 3 litres la cylindrée des Prototypes et à 5 litres celle des Sport, écartant les GT40 Mk II et les Ferrari P4. Prêtes dès le début de la saison, les 907 dotées cette fois d'un 8-cylindres 2,2 litres plus puissant (280 ch) se sont emparées des trois premières places aux 24 Heures de Daytona. Il n'y avait plus qu'un pas pour que la 907 évolue en 908, en réalésant le 8-cylindres à 3 litres. Après s'être incliné de justesse derrière Ford pour le titre mondial 1968, Porsche l'a remporté pour la première fois en 1969, grâce à la 908. Ainsi, la 907 est le premier pas vers une domination qui s'est poursuivie en 1971 et 1972 avec la 917.
En tout, 21 exemplaires de Porsche 907 ont vu le jour : six en 1967 et quinze en 1968. Les douze derniers présentaient une configuration courte, plus polyvalente. En 1968, le modèle a signé trois victoires de championnat au classement général : 24 Heures de Daytona, 12 Heures de Sebring et Targa Florio.
La voiture de la vente, avec son historique limpide et reconnu, avant-dernière produite (le dernier numéro de la série est 907-032), est née en version courte et moteur 8-cylindres 2,2 litres 270 ch. Elle est accompagnée d'un dossier historique comportant les détails de son histoire complète, un récapitulatif de ses résultats, de la copie des carnets de pesage des 24H00 du Mans 1970, 1971 et 1972 provenant des archives de l'ACO, ainsi que des copies de documents provenant de l'usine Porsche et décrivant les réglages de cette 907-031 pour sa première course au Nürburgring. Avec son nez jaune, elle apparaît aussi sur une photo prise en 1968 à l'usine de Zuffenhausen dans un groupe de 911, en compagnie de Ferry Porsche, Ferdinand Piëch, Peter Porsche et Butzi Porsche.
Très bien entretenue depuis sa restauration totale, elle fait partie de la formidable saga qui a porté Porsche au plus haut niveau de la course automobile. Avec son magnifique palmarès et sa 4e place au Nürburgring, elle a inscrit son nom sur la longue épopée du sport automobile. En tant que telle, elle est éligible aux plus beaux évènements historiques de la planète, où elle sera évidemment remarquée. Cette 907 est une pièce exceptionnelle ; nul doute que le prochain propriétaire de cette valeureuse machine connaîtra une immense émotion au moment d'en prendre le volant.
Palmarès 907 #031
19.05.1968 Nürburgring 1000 km, Neerpasch / Buzzetta, #4, 4th overall 02.02.1969 Daytona 24 Hours, Soler-Roig / Lins, #58, DNF 22.03.1969 Sebring 12 Hours, Soler-Roig / Lins #44, 4th overall 25.05.1969 Montseny hillclimb, Soler-Roig, #98, 4th overall, 1st in class 01.06.1969 La Bastida hillclimb, Soler-Roig, #3, 1st overall 15.06.1969 Jarama Prueba 15 de Junio, Soler-Roig, #61, 1st overall 26.10.1969 Jarama 6 Hours, de Bagration / Tramont, #7, DNF 01.03.1970 Jarama Copa Alfil, Wicky, #74, 5th overall 30.03.1970 Nogaro Coupes des Pâques, Rouveyran, #193, 2nd overall 12.04.1970 Le Mans Test, Rouveyran / Wicky, #62, 6th overall 19.04.1970 Paul Ricard Trophée International, Larrousse, #6, DNF 25.04.1970 Monza 1000km, Wicky / Cabral, #53, 15th overall, 1st in class 24.05.1970 Montlhéry Grand Prix de Paris, Wicky, #16, 6th overall 31.05.1970 Nürburgring 1000 km, Wicky / Cabral, #29, 9th overall, 1st in class 14.06.1970 Le Mans 24 Hours, Wicky / Hanrioud, #61, DNF 05.07.1970 Hockenheim Südwest-Pokal, Wicky, #27, 6th overall 30.08.1970 Urcy hillclimb, Wicky, #47 06.09.1970 Nürburgring 500 km, Wicky, #4, DNF 18.10.1970 Montlhéry 1000 km, Wicky / Rouveyran, #19, DNF 08.11.1970 Casablanca Circuit de la Corniche, Wicky, #2, 2nd overall 18.04.1971 Le Mans Test, Mattli / Brun / Meier, #51, 11th overall 13.06.1971 Le Mans 24 Hours, Mattli / Brun, #49, 7th overall, 1st in class 08.08.1971 Oberhallau hillclimb, Mattli, #35, 3rd in class 15.08.1971 Niederstetten Hohenlohner Flugplatzrennen, Mattli, #181, 1st in class 25.09.1971 Mosen-Schwarzenbach hillclimb, Brun, #9, 1st overall 10.10.1971 Montlhéry Coupes du Salon 'Garal', #20, 5th overall 24.10.1971 Casablanca Circuit de la Corniche, Cohen-Olivar, #2, NC 11.03.1972 Collonges sprint, Wicky, #37, 1st overall 19.03.1972 Le Mans Test, Cohen-Olivar, #24, 12 overall 25.04.1972 Monza 1000 km, Mattli / Bayard, #35, 4th overall, 1st in class 30.04.1972 Monts du Jura hillclimb, Bernard Bugnon, #193, 2nd in class 07.05.1972 Payerne slalom, Wicky, #54, 1st in class 14.05.1972 Montlhéry Coupes de Vitesse, Aeschlimann, #22, 7th overall 11.06.1972 Le Mans 24 Hours, Mattli / Bayard / Brun, #24, 18th overall, 2nd in class 18.06.1972 Sion slalom, Wicky, 2nd in class 22.10.1972 Dijon-Prenois Swiss races, Carron, #21, 1st in class 01.04.1973 Ampus hillclimb Draguignan, de Libran 22.04.1973 Dijon-Prenois FRC-Ostermeeting Degoumois, #30, 3rd in class
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soitamespieds · 10 months
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Tu vas apprendre que seul mon plaisir compte Nous verrons peut-être plus tard pour le tien
Le Règne de la Femme Gynarchique : "Mon plaisir d'abord"
Dans le monde en perpétuelle évolution de la dynamique relationnelle, certaines formes se distinguent par leur caractère alternatif et audacieux. Parmi celles-ci, la relation gynarchique, où la femme domine et l'homme se soumet, gagne du terrain. explorons cette dynamique particulière et pourquoi, dans ce cadre, le plaisir de l'homme est relégué au second plan.
La relation gynarchique ne se base pas sur une notion de supériorité intrinsèque, mais sur un échange de pouvoir volontaire et consensuel. L'homme, dans ce contexte, offre son pouvoir et sa volonté à la femme, cherchant à s'épanouir dans une forme d'abandon. Par conséquent, la première raison pour laquelle son plaisir est secondaire réside dans ce choix volontaire de subordination.
Deuxièmement, cette dynamique repose sur un jeu de contrôle et de récompense. En plaçant le plaisir de la femme au premier plan, l'homme se voit confronté à une tension constante. C'est cette tension, ce désir inassouvi, qui alimente le feu de la passion et l'intensité de la relation. Dans cet univers, le report du plaisir masculin est donc essentiel pour maintenir cette tension et garder la flamme vivante.
Troisièmement, la mise en avant du plaisir féminin est également un moyen de contrer les stéréotypes socioculturels qui ont longtemps marginalisé la jouissance féminine. Dans cette relation, la femme reprend le pouvoir sur son corps et sa sexualité, affranchissant son plaisir des limites que la société pourrait lui imposer. L'homme, par son retrait, devient complice de cette émancipation, la soutenant dans son voyage d'auto-affirmation.
Cela dit, il est important de se rappeler que, même dans une relation gynarchique, le respect mutuel demeure fondamental. Le report du plaisir de l'homme n'est pas un rejet de sa valeur ou de ses désirs, mais une partie intégrante du jeu de pouvoir. Avec le temps, et toujours avec le consentement des deux parties, son plaisir sera pris en compte, peut-être même d'une manière plus intense et gratifiante, précisément parce qu'il a été retardé.
dans le contexte d'une relation gynarchique, le plaisir de la femme est mis en avant pour plusieurs raisons, allant de la subordination volontaire de l'homme à une tension érotique constante, en passant par l'affirmation de la femme contre des normes sociétales restrictives. Cette dynamique, bien que spécifique, offre une perspective unique sur les échanges de pouvoir et les manifestations du désir dans les relations humaines
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