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#cuisine de rue
lobakartdesign · 1 year
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(via Tablier « Graffiti de FoodieLand  » par lobak)
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thaibypow · 1 month
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Les Meilleures Boissons pour Accompagner votre plat Street Food
Lorsqu’on plonge dans l’univers coloré et vibrant de la street food thaïlandaise, chaque bouchée raconte une histoire de tradition, d’innovation et de passion culinaire. Mais au-delà des saveurs audacieuses et des arômes envoûtants des plats eux-mêmes, il existe un autre élément essentiel qui enrichit l’expérience gastronomique : les boissons. En Thaïlande, l’accompagnement liquide n’est pas…
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dandanjean · 8 months
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French tacos
French tacos… Un nom mexicain pour un sandwich aux allures moyen-orientales, mais dont les origines sont bien françaises. Ce taco, qui aurait été inventé à Lyon au début des années 2000, fait une arrivée remarquée en Amérique du Nord. Pourrait-il déclasser le fameux sandwich jambon-beurre? L’épicerie | Le taco français arrive en Amérique du Nord
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lounesdarbois · 1 month
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Le gage de solidité d'un positionnement, d'une marque, d'un produit, d'un business-model, est l'abondance de clientèle anglo-saxonne. Exemple dans la restauration à Paris : quel est l'indice infaillible qui marquait le potentiel du nouveau marché du bistro-cantine modèle "Bouillon" début 2000? C'était la soudaine abondance de clients anglo-australo-américains. Le référencement tardif de Chartier dans les guides de voyage anglo-saxons fit exploser l'affluence. Les premiers bouillons parisiens remontent à 1860. Chartier fondé en 1896 était la seule enseigne du genre encore existante début 2000, c'est-à-dire que cette cantine a mis 110 années pour percer vraiment la glace et voir la floraison en 15 ans des nouvelles cantines populaires: Chartier Montparnasse et Chartier Gare de l'Est, Bouillon Pigalle, Bouillon République, Brasserie des Prés, Brasserie Dubillot, Bellanger… Et leurs versions bistronomies plus pointues Le Baratin, L'Ami Jean, Le Comptoir, Quedubon, Le Verre volé, le Repaire de Cartouche, Racines et surtout Le bistro Paul Bert. Ce modèle va désormais s'exporter dans le monde entier. Au moment de la généralisation des pizzerias dans les années 80 si propice au "déjeuner de trente minutes chrono", la cuisine française a souffert de cette image statufiée Bocuse, Escoffier, Le Bec Fin. Nous n'avons jamais mangé de "canard à l'orange et au sang" et n'en voulons à aucun prix. C'est cette cuisine proudhonnienne populaire toute d'intelligence, de vitesse et de simplicité qui rendra justice au pays. Le Français met longtemps à comprendre qui il est par rapport aux autres, mais quand il le comprend et reste loyal il rencontre de beaux succès.
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philoursmars · 2 months
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Deuxième étape de mon périple dans l'Ouest pour retrouver des ami(e)s lointain(e)s , Brigitte et Sylviane à La Rochelle.
La Rochelle : le Café de la Paix, dans son ambiance 1900.
Puis, à deux pas de la Tour de la Chaîne, un merlu au chorizo !
Ensuite, 3 photos prises rue Delayant.
Enfin, la façade du musée d'Orbigny-Bernon.
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asiscazarin · 2 years
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famousinuniverse · 11 days
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Le Recrutement, Cafe, Paris France: Le Recrutement, Cafe is a Brasserie Parisienne known for Traditional French cuisine. It is located on Boulevard de la Tour Maubourg, Paris France in 7th arrondissement of Paris. The iconic Eiffel Tower and its Champs de Mars park lie in this genteel district. The area draws tourists to cultural landmarks that include the Musée d'Orsay and its Impressionist art collection, the Musée Rodin with its sculpture garden, and Les Invalides armoury museum, home to Napoleon's Tomb. Foodies flock to the vibrant cafes, restaurants and gourmet shops on Rue Cler and around Le Bon Marché department store.
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theoppositeofadults · 2 months
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dearest beloveds,
ça fait des siècles que je ne vous ai pas raconté ma vie de manière régulière donc!! petit update post!! (depuis début 2024)
j'ai changé de boulot en janvier!!! mon changement de boulot m'a valu une mention dans un gros journal et je ne suis plus à deux doigts d'un mental breakdown, ce qui me parait très positif, même si je m'ennuie beaucoup (et que je vais devoir recadrer un de mes collègues qui s'est attribué 2 fois cette semaine le mérite d'un travail que j'ai fait).
ma nouvelle manager est très encourageante/donne des opportunités/... donc c'est plutôt bien, même si on a des styles de travail très différent.
le reste de mes collègues.... bof, à part un ou deux des personnes très seniors que je connaissais avant - ce qui ne m'aide pas dans mon problème suivant : les gens pensent que je suis VIEILLE ! j'ai été engagée comme manager et je refuse de socialiser pendant mon temps libre avec les "jeunes" qui sont lame (et qui d'ailleurs m'excluent régulièrement!) donc les gens ne me placent presque plus dans la catégorie des jeunes. quelqu'un pensait que j'avais 30 (TRENTE) ans. j'en ai 24 !! je suis plus jeune que la moitié des stagiaires lol. problème à régler, merci de m'envoyer vos conseils pour avoir de nouveau l'air jeune et mims
parlant de collègues, je suis devenue excellente amie maintenant avec mon ancienne manager qui a été une grande partie de mon départ de mon ancien boulot. turns out, elle est très sympa quand je ne dois pas travailler avec elle !
j'ai : beaucoup de temps libre maintenant (parfois je rentre chez moi à 15h) ce qui me permet de vaquer à mes occupations principales : - - faire la sieste - cuisiner (au moins 1 fois par semaine dans ma casserole Le Creuset) - peindre, - aller au cinéma (au moins 3 fois par mois) et - faire du sport. je m'y suis enfin remise sérieusement - je fais du yoga, du pilates, des cours régulièrement, je nage,.... et je suis devenue une cycliste ! si vous voyez un vélo faire du 2km/h dans les rues de Bruxelles, c'est sûrement moi.
anyways. je vais mieux??? encore un peu dans ma "mélancolie era" mais tout le monde que je vois me dit à quel point j'ai l'air d'être en meilleure forme, ce qui me fait grandement plaisir
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homomenhommes · 20 days
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 144
Comme promis lors de notre première rencontre avec Alex et Johan (SD 130), notre nouvelle rencontre s'est déroulée chez eux. Comme le temps commence à rafraichir sérieusement et que le climat est incertain, nous y allons avec mon SLS. 5h de route à vitesse autorisée, nous n'en mettrons que 4 car j'ai été très raisonnable dans mes excès de vitesse ! Le GPS nous amène jusque devant le portail d'une grande propriété en bordure de ville. Sonnette, vidéo, le portail glisse et je monte, entre les arbres, une allée en S cachant la maison de la rue.
Grosse maison bourgeoise XIXème avec perron à escalier double qui met le niveau de réception à un demi-étage au dessus du sol. Pas de gens de service, c'est Johan qui descend nous accueillir et prendre nos bagages (petits). Bisous, c'est effarant comme nous nous ressemblons. D'ailleurs Marc lui a déjà mis la main au cul ! Alex nous attend et nous offre de nous rafraichir, passage aux toilettes du niveau. Comme il est l'heure, nous attaquons avec un apéritif. Puis un déjeuner ou je fais attention de ne pas trop manger en prévision du reste de la journée.
Après le café, Alex nous fait les honneurs de leur maison. La cuisine et une bibliothèque / salle de billard manquaient à notre connaissance de l'étage. Au dessus un premier niveau de chambre, seulement 4 mais immenses équipées de lits King size, avec chacune une salle de bain digne du meilleur palace. Au dessus l'étage des commodités, lingerie, et trois chambres plus petites (pour le service quand il y en avait) et une salle d'eau commune, WC. Alex avait gardé pour la fin le meilleur, le sous sol. A demi enterré, d'étroites fenêtres horizontales au ras des plafonds éclairent les pièces. Le quart de la surface de la maison est occupé par une cave et la chaufferie.
Le reste vient d'être équipée à neuf. Nous reconnaissons l'influence de notre salle de sport et de notre donjon dans son aménagement. Nous pénétrons d'abord dans une salle de sport un peu plus petite que la notre mais bien équipé avec au fond les sanitaires, WC séparés mais lavabos et douches communes. Un passage derrière la dernière des douches donne accès à leur donjon. Sous un éclairage plus chiche, nous voyons que bien que plus petit aussi, il doit être capable de recevoir au moins une bonne demi douzaine de mecs.
Excité Marc chope l'un de nous deux par le cou et c'est en lui roulant une pelle qu'il devine qui c'est, et ce n'est pas moi ! Alex me pousse contre un sling, ses mains pétrissant mes fesses. Je le laisse faire un peu. Je déboutonne rapidement mon jeans et il le pousse vers le bas, dégageant le shorty avec et dévoilant mon fessier. Les chaussures volent, le polo aussi et je me retrouve nu installé sur l'appareillage de suspension. Je jette un coup d'oeil vers mon mec. Il s'occupe de remplir de ses 22cm la bouche de mon sosie (et sa gorge par la même occasion). Je n'ai pas le temps d'en voir plus, ma vue est soudain bouchée par l'apparition des 23 x 6 d'Alex qui réclament un abri. ;J'ouvre grand la bouche et le gland d'Alex y progresse sans s'arrêter jusqu'aux couilles. Je maitrise ma respiration et l'envie que j'ai de vomir. Bien que j'ai fait attention au déjeuner, j'ai trop mangé !
Quelques détails triviaux (exécutés dans les toilettes) plus tard, je reprends le taf et supporte sans broncher le ramonage de ma gorge. Absorbé par ma pipe, c'est dans le lointain que j'entends Johan gémir sous les mains et la bite de Marc. ;La bite que je suçais quitte ma bouche et c'est maintenant une langue que je sens sur mon anus. Alex prend le temps de bien me détendre la rondelle. C'est un pro de l'anilingus. Marc c'est pas trop son truc, un peu mais c'est surtout avec ses doigts qu'il me prépare la rondelle. Je ferme les yeux et concentre toute mon attention sur mon oignon. C'est divin. Il fait tourner sa langue ni trop ni pas assez vite, la pointe dans mon trou et y fait entrer de la salive... Je suis tout à l'attente de sensations à venir qu'il va provoquer en moi que je suis surpris de sentir Johan se coucher sur moi en 69.
J'ouvre les yeux sur son sexe et louche sur ses couilles rasée. Il me suce, je ne peux que lui rendre la politesse. Je vois bientôt la queue de Marc, couverte de latex, approcher l'anus de mon alter égo. Je place une main sur chaque fesse et écarte ces dernières pour faciliter le travail. Je sens aussitôt la même chose m'arriver et le gland d'Alex se poser sur ma rondelle. Nos deux hommes se mettent d'accord et en même temps s'enfoncent dans le mec de l'autre. La poussée étant bien égale, le sling ne bouge pas et le coup de rein de Marc en phase terminale pousse le gland de Johan dans ma gorge. Je sens pareillement mon gland dépasser la glotte de Johan dans le même temps ou je sens les couilles d'Alex me caresser le sacrum. Nos deux hommes nous regardent ainsi emmanchés quelques instants avant de se mettre à nous limer.
Une bouche sur son sexe avec un sexe dans sa bouche et un autre dans le cul, difficile de faire mieux question bouchage de trous ! Sous mes yeux, je vois la rondelle de Johan s'ouvrir sous la poussée de Marc et se refermé quand il en sort. J'ai l'impression de pouvoir voir la mienne se faire déplisser par la queue d'Alex tant leur synchronisme est bon.
Johan et moi nous savourons nos positions de passifs pas inactifs pour autant. Je tète sa bite comme si ma vie en dépendait et je le sens qui m'aspire avec autant d'ardeur. Les coups de boutoirs qui défoncent nos cul commencent tout doucement à se désynchroniser et nous finissons secoués, le sling balançant entre nos deux mâles. Je sens ma rondelle s'ouvrir encore un peu plus avant qu'Alex ne me fixe contre ses cuisses et décharge au fond de mon cul (dans sa kpote). C'est à peu près ce qu'a du ressentir Johan au même moment. Nous avons juste le temps de recracher nos bites avant de juter entre nous, barbouillant de sperme nos pecs et abdos.
Deux " plops " plus tard, nous étions libérés de nos " broches ". Johan est resté sur moi le temps de récupérer un peu et je n'ai pas eu la force de le virer. Ce n'est que quand Alex a gueulé que les douches étaient libres que nous nous sommes décollés (le sperme ayant séché entre temps) puis relevés. Quand nous sommes arrivés aux sanitaires séparant le donjon d'avec la salle de gym, Alex et Marc en sortaient en peignoirs. Alex nous dit de les rejoindre au salon quand nous serons prêts.
Avec Johan, nous avons pris tout notre temps sous les douches. Chacun savonnant, massant l'autre, nous avons fini dans les bras l'un de l'autre à nous rouler un patin magistral, trop bon cette impression de " masturbation ;continuelle ". Je pense que c'est un peu ce que doivent ressentir les jumeaux Tic et Tac, faudra qu'on en discute. Comme le mélange de salive avait ravivé notre libido, ma bite est venue très naturellement boucher le cul de Johan, pour son plus grand plaisir. sous les douches, je l'ai enculé debout, lui ses mains sur le mur carrelé amortissaient mes assauts, alors que les miennes sur ses hanches dirigeaient l'action.
Je l'ai fait jouir sur le carrelage blanc puis je me retirais pour juter sur son dos.
Nouvelle douche, un séchage qui a duré presque autant de temps que notre passage sous l'eau et nous sommes remontés rejoindre nos mâles. Ils étaient en train de discuter d'Ammed et Samir nos deux hommes de services. Alex demandait à Marc où nous les avions trouvés, combien ils nous coutaient et autres détails. Johan peu intéressé par le sujet me demanda si je pouvais l'emmener tester le SLS. ;Dans le même état d'esprit, je prévenais Marc et Alex que nous partions faire un tour en voiture. Marc me recommanda d'être raisonnable (difficile avec un tel monstre) et Alex nous dit d'être sérieux, ses contacts à la police n'étant pas de permanence ce WE.
Le bip du portail dans la poche, nous les avons laissé. Sous la direction de Johan qui connaît bien le coin, nous sommes arrivés à l'autoroute. Début de WE, je préfère prendre le sens province pour faire le repérage de radar et revenir sur la direction de Paris moins susceptible d'abriter les bleus.
Bien m'en a pris, sur 50Km nous repérons deux radars dans ce sens mais rien en face. Sortie puis retour. Peu de véhicules, dès la sortie de la bretelle, j'enfonce l'accélérateur au plancher. Les vitesses automatiques passent à une vitesse folle et nous sommes à 250 Km/h le dos collé au baquet.les voitures que nous doublons sembles aspirées vers nous. Johan est ravi. A peine 1/4 heure plus tard, nous passions devant notre sortie. Johan me dit de continuer jusqu'à la prochaine aire d'autoroute, ça y drague un peu. Au ralenti (135 Km/h), nous arrivons et je me gare devant le bloc sanitaire, dans l'enfilade de l'entrée homme.
Nous restons quelques instants à mater. Quelques mecs entrent et sortent des WC. Ceux qui en sont sortis flânent autour du bâtiment. Avec Johan nous décidons d'aller les narguer. Quand nous entrons, il reste deux places sur les 6 urinoirs nous nous plaçons cote à cote. Je pisse, il pisse et nous bandons. Quelques coups de poignet et les 4 autres matent vers nous. Nos queues égouttées, nous nous les échangeons. J'approche mon visage du sien et nous nous roulons un patin.
Silence de mort. Quand nous nous décollons, les 4 autres mecs bandent et se branlent. Je suis trop chaud pour qu'on en reste là. Un coup d'oeil à Johan, nous sommes d'accord. On se réajuste un minimum et sortons pour occuper les WC pour handicapés. Un mec essaye de nous suivre mais nous l'éconduisons, trop moche (ça, ça peut passer) et trop petitement monté (c'est rédhibitoire).
Comme un imbécile, j'ai laissé le matériel dans la caisse. Nous nous contentons de nous piper mutuellement. Je le fais juter en premier puis c'est son tour de m'amener à exploser avec sa bouche. j'ai failli me faire surprendre et lui juter dans sa gorge, tellement mon gland se plaisait derrière son larynx. Quand nous sortons, nous sommes matés par une bonne demi douzaine de mecs. J'attrape Johan par le cou et j'en rajoute une couche par un nouveau baiser accompagné d'une main au paquet. Quand nous nous écartons j'ajoute tout haut, " merci mon amour " et nous partons à la voiture.
Les regards nous ont suivis jusqu'à ce que nous sortions de l'aire de repos. Une fois sur l'autoroute, nous avons éclaté de rire. Johan super excité, c'était la première fois qu'il faisait ce genre de plan. Retour à la maison. Johan raconte à Alex notre " aventure ". ;Marc nous dit que nous n'avons pas été très courageux. Je lui dis que c'était pas l'objet et qu'en plus, la population était loin d'être à nos goûts.
JARDINIER
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here is the restaurant I have chosen for my birthday which will take place in November. I started putting money in my envelope. As I told you, I decided to treat myself now after all my problems, it's time to treat myself.
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thaibypow · 2 months
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Les Incontournables de la Street Food Thaïlandaise
Introduction : Bienvenue dans l’univers coloré et savoureux de la street food thaïlandaise, un aspect central de la culture culinaire du pays qui séduit les palais du monde entier. En Thaïlande, les rues bourdonnent d’activité à toute heure, offrant une mosaïque de saveurs qui témoigne de la richesse gastronomique de cette nation. De Bangkok à Chiang Mai, en passant par les petites villes et les…
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philoursmars · 2 months
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Ca y est ! Je reviens de mon périple dans l'Ouest pour retrouver des ami(e)s lointain(e)s ! Première étape, Isabelle en Gironde, vers Libourne…
Nous passons une journée à Bordeaux.
La rue du Parlement, ex Rue Royale, ex rue ???. Puis avec Isa, on se régale au resto "Chez les Ploucs" avec des croustilles de porc (des travers)
Enfin, moins appétissante, la belle devanture décorée de rats, rue du Pas-Saint-Georges
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jloisse · 9 months
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🇺🇦 La police ukrainienne s'empare des marchandises vendues ds la rue par les Babouchkas: baies de jardin, herbes de cuisine, pousses de plantes
Les passants:
- Vous n'avez pas honte ? Elle a 80 ans, elle n'a pas de quoi acheter du pain !
- Salaud, va au front, au lieu de voler les babouchkas!
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les-portes-du-sud · 9 months
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Sieste
18.08.2023
Je me suis levé du lit par cette fraîche matinée d'automne et, dans un coupe-vent imperméable, je me suis dirigé vers le laboratoire à côté de la maison. Trois tubes de sang ont été prélevés sur moi et envoyés avec des instructions pour revenir pour les résultats dans quelques jours.
J'ai acheté du lait, fait des flocons d'avoine car avant cela je ne faisais que mijoter des préparations à chauffer au micro-ondes , j'ai même rangé l'appartement. Suit une lecture soporifique sur les passions dans les rues couvertes de smog de Londres au 19e siècle , je me suis évanouie pour une sieste l'après-midi, mais ce somme ne m'a pas apporté de force.
Et maintenant, imaginez ma surprise quand, après avoir lavé la vaisselle dans une cuisine remplie de lumière chaude jouant sur les murs confortables, j'ai levé les yeux et j'ai vu comment les nuages se dispersaient dans le ciel crépusculaire et dans leur cadre sombre, quelque chose semblait de plus en plus clair après deux jours de grisaille. Oui, je comprends que ce sont les conséquences du mouvement du front froid, la masse nuageuse qui nous couvrait samedi se déplace plus à l'Est. Mais miraculeusement, une apathie et une faiblesse étranges sont parties avec elle, laissant place à l'inspiration et au sentiment de sa force.
Il y a de telles soirées, surtout en automne, lorsque vous ressentez la nature du soir plus clairement et plus près. Des soirées d'été remplies de chaleur et de l'odeur des fleurs chauffées par le soleil brûlant, des rues d'hiver rougeoyantes d'un reflet froid avec des flocons de neige tourbillonnant à la lumière des lanternes, un ciel de printemps bleu clair transparent et froid avant le coucher du soleil sur des congères saturées d'humidité, cédant à la chaleur et la vie vivifiante, sont trop différentes des soirées automnales, lorsque le soleil couchant s'estompe, et que la nature, se préparant au sommeil, tend avec émotion et soin aux spectateurs involontaires son dernier crépuscule clair avant un hiver nuageux et froid, et la luminosité du jour se dissipe sur les parcs et les allées couvertes de feuilles d'or - comme une immersion douce dans l'obscurité de la salle de théâtre avant la représentation, et dans les rues sortent accidentellement d'une boîte lointaine, qui n'a vu la lumière qu'à cause de l'automne, parsemée de pluie, nettoyage, créatures mystérieuses d'Halloween. Et puis, l'hiver, la première neige, en attendant un miracle, le carillon, les fêtes de fin d'année, le goût et la couleur des feutres sont différents.
Les-portes-du-sud
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presentslointains · 16 days
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Antananarivo, la capitale de Madagascar, est bien plus qu'une simple ville. Nichée au cœur des hauts plateaux centraux de l'île, cette métropole dynamique est le poumon économique, culturel et politique du pays. Son nom signifie littéralement « la ville des mille », en référence aux nombreux collines qui parsèment son paysage. À travers son riche héritage historique, ses sites emblématiques, sa vie urbaine animée et sa diversité culturelle, Antananarivo offre une expérience inoubliable à ses visiteurs.Histoire et PatrimoineL'histoire d'Antananarivo remonte à plusieurs siècles, lorsque la ville fut fondée par le roi Merina Andrianjaka au 17ème siècle. Depuis lors, elle a été le centre du royaume Merina et a joué un rôle crucial dans le développement politique et culturel de Madagascar. Les vestiges de cette époque glorieuse sont encore visibles à travers les palais royaux, les temples traditionnels et les anciennes fortifications qui ponctuent la ville.Parmi les sites historiques les plus remarquables figurent le Palais de la Reine (Rova), une structure majestueuse perchée sur la colline d'Analakely, qui offre une vue panoramique sur la ville. Également, le Palais du Premier Ministre, le Palais de Justice et la Cathédrale d'Andohalo témoignent de l'histoire mouvementée et de l'influence coloniale française sur la ville.Culture et Vie UrbaineAntananarivo est un melting-pot vibrant de cultures malgaches, africaines, asiatiques et européennes. Ses rues animées regorgent de marchés colorés, de boutiques d'artisanat local et de restaurants proposant une cuisine délicieusement variée. Les quartiers comme Isoraka, Analakely et Ambohijatovo sont des centres névralgiques de l'activité urbaine, où les habitants se mêlent aux visiteurs dans une atmosphère chaleureuse et accueillante.La musique et la danse sont également au cœur de la vie culturelle d'Antananarivo. Des spectacles de musique traditionnelle, tels que le hira gasy, résonnent dans les ruelles tandis que des groupes de danseurs folkloriques animent les places publiques lors de festivals et de célébrations tout au long de l'année.Nature et PaysagesMalgré son caractère urbain animé, Antananarivo est entourée d'une nature luxuriante. Les collines verdoyantes qui entourent la ville offrent des points de vue spectaculaires sur les vallées en contrebas. Les jardins botaniques d'Antsahamanitra et les parcs urbains comme le Parc de Tsarasaotra offrent aux habitants et aux visiteurs un refuge tranquille au cœur de la ville.De plus, à proximité d'Antananarivo, se trouvent des sites naturels d'une beauté exceptionnelle, tels que les cascades de la région d'Ampefy, les lacs volcaniques d'Andraikiba et Tritriva, ainsi que les forêts tropicales de Mantadia et d'Andasibe, abritant une biodiversité unique au monde.Avenir et DéveloppementAntananarivo est confrontée à des défis de développement urbain, tels que la gestion de la croissance démographique, l'amélioration des infrastructures et la préservation de son patrimoine naturel et culturel. Cependant, la ville regorge également d'opportunités économiques, notamment dans les secteurs du tourisme, de l'agroalimentaire et des technologies de l'information.À travers une gouvernance efficace, une planification urbaine stratégique et un engagement envers le développement durable, Antananarivo peut consolider sa position en tant que plaque tournante régionale et mondiale, tout en préservant son caractère unique et son charme intemporel.ConclusionAntananarivo, la capitale envoûtante de Madagascar, est bien plus qu'une simple ville. C'est un témoignage vivant de l'histoire et de la culture riches de l'île, ainsi qu'un centre dynamique de vie urbaine, de créativité et de diversité. Que ce soit pour explorer ses sites historiques, savourer sa cuisine exotique ou découvrir ses trésors naturels, une visite à Antananarivo promet une expérience inoubliable et enrichissante.Antananarivo. La suite ici : https://presentslointains-madagascar.com/pages/tananarive
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swedesinstockholm · 10 months
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30 juin
l’autre jour on discutait de la fin de melancholia de lars von trier avec n. et elle me disait que ça l’avait fait réfléchir à son désir de créer quelque chose d’important, à quoi bon si c’est pour que tout disparaisse du jour au lendemain avec l’explosion de la terre percutée par une autre planète? et je lui ai dit que je le voyais pas du tout comme ça moi, que je voulais créer des choses pour pouvoir en jouir tout de suite, parce que le présent est plus important que le futur, je crée parce que je veux être aimée tout de suite, pour être vue et entendue et reconnue, pas pour laisser quelque chose derrière moi ou contribuer à je ne sais quel patrimoine matrimoine littéraire ou artistique. elle m’a demandé si je me contenterais de l’admiration de quelques personnes et j’ai dit que j’étais déjà euphorique quand une seule personne sur tumblr me disait qu’elle aimait me lire. et puis j’ai ajouté non mais si, j’ai très envie de devenir célèbre, évidemment. what’s the point of making great work if everything is going to disappear? the point is now! the point is the present. how very buddhist of me. il me manque plus qu’à tuer mon égo maintenant. à moins que r. s’en soit déjà chargé samedi soir. c’était tellement violent d’entendre sa voix dans mes écouteurs me dire d’un ton grave et ultra sérieux qu’il ressentait pas la même chose que moi. je sais pas pourquoi je m’inflige de l’écouter et le réécouter et le réréréécouter, c’est comme de regarder un accident de la route en passant à côté, je sais que ça va me traumatiser mais je peux pas m’en empêcher, j’aime remuer le couteau dans la plaie, j’aime souffrir. peut être que c’est une tentative de vraiment tuer mon égo. ou peut être que c’est parce que je m’aime pas assez, je sais pas. il dit qu’il s’était aperçu qu’y avait un truc à partir du moment où j’avais utilisé le mot date pour se voir, le moment où moi je me suis dit c’est bon j’en suis quasiment sûre maintenant, c’est bien un date. je crois que c’est bon là, y aura pas de troisième faux date, je ferme mon imagination, mon cerveau est désormais une zone fiction free.
mercredi je me suis promenée au viktoriapark et je me suis assise sur un rocher sous les arbres à la source de la cascade pour m’entraîner à chanter le nouveau couplet de ma chanson. j’ai changé “car tu ne me laisseras jamais sur vu puis disparu” à “car tu ne me diras jamais que tu ne m’aimes pas”. j’adore chanter dehors depuis cet hiver quand je m’entraînais à chanter all that jazz dans la rue en rentrant du théâtre le soir. j’ai acheté un short fleuri des années 90 qui me rappelait un imprimé de mon enfance et puis j’ai acheté le premier tome du journal de georgia nicholson dans un magasin de livres d’occasion pour l’offrir à n. je l’ai feuilleté et ça m’a rappelé à quel point ce livre avait influencé mon écriture à l’époque du blog, et à quel point il m’avait formée en tant qu’écrivaine en fait. avec le journal d’une princesse. je sais même pas si je tiendrais un journal comme je le tiens aujourd’hui sans ces livres. peut être que je me serais jamais mise à l’écriture du tout. je portais mon tshirt céline sciamma qui m’a valu un great shirt! d’une fille probablement lesbienne alors que je mangeais mon donut cream cheese à la fraise sur le trottoir, ainsi que plusieurs regards approbateurs dans les rues de neukölln. un peu déçue de pas avoir eu plus d’interactions avec des filles queer pendant mon séjour quand même, à part la coloc de n. qui me terrifiait un peu, celle qui m’a réveillée à sept heures le jour où j’ai dormi dans la cuisine et qui m’a proposé d’aller finir ma nuit dans la chambre de la fille qui était pas là. n. m’a dit qu’elle travaillait comme videuse au schwuz, le plus grand club queer de berlin, et ça lui allait comme un gant.
dans le bus le soir j’ai posté un appel à lancer des soirées diary slam avec moi après avoir découvert ça dans un bar de neukölln, c’est des soirées où tout le monde peut venir lire le journal de son enfance/adolescence et peut être que je pourrais essayer de lancer le concept à bruxelles et ainsi infiltrer le monde artistico-littéraire bruxellois et devenir une des reines de la scène littéraire locale comme perrine. c’était bien moins dramatique qu’à l’aller dans le bus, j’étais assise exactement à la même place mais j’étais bien moins triste. enfin j’étais surtout triste de quitter berlin, ce qui est une tristesse beaucoup plus supportable. j’ai écouté monument ordinaire en regardant le soleil se coucher derrière les éoliennes, puis je suis passée à avril lavigne en arrivant à leipzig vers minuit. en sortant de la ville je regardais les maisons de banlieue dans le noir et j’avais l’impression qu’on était en france. que leipzig avait glissé quelque part sous fontainebleau, vers là où habitent p. et s. vers une heure du matin j'ai mis sam smith période 2015 mais pas pour être triste, même celle où il dit i love you believe me but not in that way, j’ai pas pleuré. j’ai écouté l’album cinq ou six fois de suite, je sais pas pourquoi ça me faisait du bien.
6 juillet
j’ai enfin brisé la glace avec r. en lui envoyant un tiktok d’un oignon qui chante une chanson d’amour au type qui veut le couper pour le faire pleurer et j’ai dit disons que je viens de briser la glace? et il m’a dit oui tu viens de briser la ce-gla et il m’en a envoyé d’autres et puis on a discuté d’adrienne maree brown et de notre fascination commune pour le rapport extrême que les américains entretiennent avec la nourriture et il est plus du tout revenu sur mes messages qui répondaient à ses questionnements, alors qu’il avait dit qu’il avait des trucs à me répondre, mais peut être que je saurai jamais ce qu’il avait à me répondre parce que tout ce qu’il veut vraiment c’est continuer à pouvoir m’envoyer des trucs drôles et j’ai du mal à comprendre. quand je pensais qu’il avait un crush sur moi ça faisait sens, mais là, je comprends pas pourquoi il s’acharne. en fait je comprends tout simplement pas pourquoi il veut être mon ami. peut être que c’est encore une question de non amour de moi-même. mais moi, est-ce que je peux vraiment être son amie? est-ce que je me voile pas un peu la face? est-ce que je pourrai le revoir un jour sans me rouler par terre de douleur? je veux tellement pas le perdre que je suis prête à tout endurer. hier à la piscine quand je pensais à lui parfois ça me faisait nager comme une forcenée et puis parfois ça me stoppait net et je laissais tomber ma tête sous l’eau comme une morte.
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