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#le Repaire de Cartouche
lounesdarbois · 1 month
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Le gage de solidité d'un positionnement, d'une marque, d'un produit, d'un business-model, est l'abondance de clientèle anglo-saxonne. Exemple dans la restauration à Paris : quel est l'indice infaillible qui marquait le potentiel du nouveau marché du bistro-cantine modèle "Bouillon" début 2000? C'était la soudaine abondance de clients anglo-australo-américains. Le référencement tardif de Chartier dans les guides de voyage anglo-saxons fit exploser l'affluence. Les premiers bouillons parisiens remontent à 1860. Chartier fondé en 1896 était la seule enseigne du genre encore existante début 2000, c'est-à-dire que cette cantine a mis 110 années pour percer vraiment la glace et voir la floraison en 15 ans des nouvelles cantines populaires: Chartier Montparnasse et Chartier Gare de l'Est, Bouillon Pigalle, Bouillon République, Brasserie des Prés, Brasserie Dubillot, Bellanger… Et leurs versions bistronomies plus pointues Le Baratin, L'Ami Jean, Le Comptoir, Quedubon, Le Verre volé, le Repaire de Cartouche, Racines et surtout Le bistro Paul Bert. Ce modèle va désormais s'exporter dans le monde entier. Au moment de la généralisation des pizzerias dans les années 80 si propice au "déjeuner de trente minutes chrono", la cuisine française a souffert de cette image statufiée Bocuse, Escoffier, Le Bec Fin. Nous n'avons jamais mangé de "canard à l'orange et au sang" et n'en voulons à aucun prix. C'est cette cuisine proudhonnienne populaire toute d'intelligence, de vitesse et de simplicité qui rendra justice au pays. Le Français met longtemps à comprendre qui il est par rapport aux autres, mais quand il le comprend et reste loyal il rencontre de beaux succès.
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Cartouche atteint encore sa cible malgré le temps
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Petite remontée dans le temps avec ce film devenu un classique du cinéma français des années 1960 grâce aux performances scéniques de Jean-Paul Belmondo. Le film d’aventures Cartouche a été réalisé par Philippe de Broca et est sorti sur nos écrans le 7 mars 1962.
Librement inspiré du personnage de Louis Dominique Cartouche (ou Bourguignon) qui a sévi au début du XVIIIe siècle à Paris. Ce brigand, exécuté à l’age de 28 ans, a été un véritable chef de gang et a su créer un véritable réseau même parmi la noblesse. Il a su bénéficier d’une certaines doses de sympathie d’une frange de la population. Car sous la Régence, il a surtout détroussé les riches et les puissants et son pouvoir de séduction est devenu une véritable légende.
En haut de l’affiche on retrouve donc Jean-Paul Belmondo dans le rôle de Cartouche et Claudia Cardinal dans celui de sa compagne, Vénus.
Parmi les autres seconds rôles, on retrouve Jean Rochefort (la Taupe), Philippe Lemaire (lieutenant général Gaston de Ferrussac), Odile Versois (Isabelle de Ferrussac), Jess Hahn (La Douceur). La liste est longue…
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Synopsis : Révolté par la tyrannie de Malichot, le chef de la truanderie, un jeune et habile voleur nommé Dominique brave son autorité. Il sauve sa vie en s’engageant, sous le nom de Cartouche, dans l’armée, où il se lie d’amitié avec La Taupe et La Douceur. Mais les aléas de la gloire militaire conviennent mal au trio qui déserte après s’être emparé de la solde du régiment. Revenu au repaire de Malichot en compagnie d’une charmante bohémienne appelée Vénus, Dominique distribue son butin aux truands qui aussitôt l’acceptent comme chef…
Une certitude, les années passent mais visionner ce film d’aventure reste toujours un pur bonheur avec un jeune Belmondo déjà charismatique.
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tufotefoxu · 2 years
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Motorcycle repair pdf notice mode d'emploi
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fredpresquile · 3 years
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Je n’étais pas courageux
Je n’avais pas de destin
Les occurrences me portaient plus que la volonté
La persévérance me faisait défaut
Je saisissais chaque opportunité
De ricaner de « la belle ouvrage »
Toutes les échappatoires étaient séduisantes
L’à-peu-près lettre majuscule
De cette philosophie spontanée
D’amateurisme bon enfant
Je ne savais aller au bout
J’ai traversé non pas des métiers
Car le mot induit l’expertise
Mais des occupations plus ou moins reluisantes
Plus ou moins gratifiées
Par exemple j’abandonnai des études
De sociologie dès le commencement
Pour me consacrer à la rédaction
D’un roman dont je n’avais pas idée
Fût-ce l’ennui contagieux qu’il pouvait m’inspirer
Entre-temps je fus remercié
De ne pas avoir su télévendre du double vitrage
Puis j’entrais en apprentissage
Au sein d’une boutique du XVIIe
Réputée dans le négoce de pianos
J’allais faire semblant d’accorder
Des instruments de banlieues déprimantes
Puisque l’on me cédait un utilitaire
J’acceptai de la meilleure des grâces
La cape de complicité de l’escroc
Mais ça n’a pas tenu
J’ai renoncé le masque vaillant
Et signé l’autre contrat d’apprenti
Chez l’ébéniste de mon quartier
Où j’ai pu restaurer une horloge
Du gros œuvre à la finition
Dizaines d’heures à son chevet
Le vernis a fini par cloquer
Je suis parti fleur au fusil
Sévir au cirque du rock’n’roll
Sombrer tant il était agaçant
De répéter sans progresser
De répéter
Pas comme avec les enfants
Des centres de vacances d’été
Pour qui la versatilité
Égale l’inventivité
Tiens j’ai vendu deux ou trois jours
Dans le métro des fruits pourris
Stocks sacrifiés à Rungis
Pour un guignol aux abois
Du type loup dans Tex Avery
À l’automne j’enfourchais enfin le félin
Après un bref passage à l’infirmerie de l’armée
J’intérimai dans des locaux de coworking sans co
Où je me demande encore ce que j’étais censé déplacer
Du matériel informatique remisé sur des étagères
Et des gens excités qui remplissaient des cartons
J’ai rejoint les chaînes de l’usine d’en face
Étiqueter ton nouveau numéro du Chasseur français
Le filmer l’expédier au centre de tri vers chez toi
Connaître les départements et leurs numéros
C’est au Monoprix que j’ai regretté
L’aspect ludique et pédagogique
Quand à mi-route entre éveil et sommeil
Je chargeais les rayons du magasin clos
De tous les condiments de ce monde
De produits transformés
Un peu comme quand au volant d’un fourgon La Redoute
Je sillonnais les rues gris clair du XVe
Les poches débordantes de « soif »
Et tentait parfois sachant que c’était en vain
D’épuiser une cargaison triée de l’autre côté de Paris
Par mes mauvais soins au petit matin
Mais j’ai connu des temps plus tranquilles
Lorsque j’occupais un emploi fictif
Dans une association semi-subventionnée
La liberté contre un petit bakchich
Et plus grand-chose de Byzance
Mais pas tellement moins que lors de mon métier d’après
Un Tuc dans un jardin du Collège de France
Sans chef ni planning
D’où l’on pouvait s’échapper
Sans que quiconque l’eût jamais su
Le jardin c’était devenu mon truc
J’ai pu faire profiter de mes talents
Deux entreprises sises à Grasse
L’une tenue par un malade autoritaire
Qui ne conservait guère auprès de lui
Que les outils faute à l’agacement
Qui l’animait en toutes circonstances
L’autre par une silhouette furtive
Qui ne contrôlait rien ni personne
Et passait comme un souffle
Dans les corridors des villas de luxe
Loin des piscines où je finissais la journée
Et puisque la Côte d’azur
Exacerbe la fracture sociale
Et que les traits d’union façonnent nos récits
J’intégrai le chantier d’une magnifique bastide
Dans un vignoble bordant une oliveraie
En qualité de peintre de volets
Puis rapidement de maçon chez Michel
L’histoire mérite un roman
Tant par la densité du chapelet d’anecdotes
Que la richesse des personnages
Qui l’espace de quelques mois
Gravitèrent dans ce repaire
De mercenaires aux codes singuliers de travail
Je n’en dirai dans l’immédiat davantage
(Il faut conserver cartouches)
Mais j’ai continué quelques temps
À seconder Michel
À ne jamais bien finir
À ne jamais savoir aller au bout
Dans l’ombre du grand tilleul
De la maison des oiseaux
Malgré moi sans même effleurer l’idée
J’esquissai bientôt un dessin
Dont l’architecture cubique
Forme des pans modulables
À l’effigie du destin
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wikprod · 5 years
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Du Brouillon
La neige en dentelle, posée sur les branches maigres, dessinait les formes désarticulées de créatures hallucinées. Un paysan squelette avec son araire poursuivait une mante religieuse aux pattes dressées derrière un enfant au cerf-volant.
Patty pénétra dans titubante dans le petit parc isolé. L’arme fumante à la main, du sang s’écoulait de son bras. Une trainée incandescente brillait dans son sillage.
Tout autour se dressait l’écrin de la ville. Des étoiles d’argent punaisaient le ciel qu’auréolait un smog d’or. La voix de la cité gonflait dans le tumulte du soir. La métropole, comme une madone, se préparait à la nuit.
Trois vampires tombèrent des hauteurs. Patty projeta son bras et trois balles bénites les touchèrent, dans la tête, dans le cœur, dans le foie. Les cartouches explosèrent, l’eau bénite coula, les formes s’enflammèrent.
Il y avait, dans la ville, des fleuves de lumières qui dessinaient comme des glyphes. Le rond-point de Debrooke signifiait Sang, l’échangeur Rottam-Alberque voulait dire Lune, le bois d’Orente et le pont de York criaient Soif.
Les vampires suivaient toujours cet axe quand ils avaient faim. Ils étaient alors faciles à attraper. Comme des truites dans des goulots d’étranglement.
Trois autres surgirent dans le parc. Un d’une plaque d’égout, l’autre d’un bonhomme de neige, le troisième se manifestant dans une bourrasque de neige.
Pourquoi arrivaient-ils toujours par trois ? se demanda Patty en virevoltant dans la nuit.
« Au nom du Fils, du Père et du Saint Esprit » raisonna la voix du Père Miquel dans sa tête, « Bute ces enfoirés. »
Le bonhomme de neige fut décapité par la plaque d’égout, la bouche d’égout béante fut gavée de plombs, la bourrasque fut soufflée dans le canal longeant le parc.
Patty reprenait son souffle dans la neige lorsque les lumières rouges et bleues de la voiture de patrouille l’éblouirent, repeignant la nuit de couleurs chaudes et froides.
« Ca va ma p’tite dame ? demanda le premier agent.
- Bon sang mais…
- …qu’est
Sous le buisson aux baies dorées, Lionne se plaisait à rêver un paysage fantasmagorique.
Le grondement d’une cavalcade la tira de sa torpeur. Le roulement cyclique se rapprochait, sourd et chaotique. Le sol se mit à trembler, la neige des branches se décrocha des branches. Adieu paysan, mante et enfant, bonjour aux milles chevaux qui surgirent dans la plaine. Mille ? Peut-être moins… Cent, deux cents ? Difficile à dire dans la tempête de neige soulevée dans leur charge.
Des chevaliers des Royaumes Gris, constata Lionne en plissant les yeux. Broignes étincelantes, étendards claquants… Où chargeaient-ils ainsi, épuisants leurs montures sous le poids écrasant de leur armure ?
Ce n’est qu’après qu’elle vit la bête.
Le lézard, vert, géant, qui dans la vallée pourchassait les cavaliers.
Le saurien déboulait telle une tempête, une tornade de neige, d’arbres arrachés, de griffes, de crocs et de hurlements. Des fumerolles arc-en-ciel coulaient de ses naseaux. Le fracas du métal, le grondement de la terre, les cris des hommes, écrasés, déchiquetés et rondement avalés.
La cavalcade passa en contre-bas de la guerrière, dans l’ombre des épineux, elle regarda la bête poursuivre les chevaliers, et un à un les avaler. Le dragon était aussi grand qu’une montagne, les cimes se confondaient avec ses épines dorsales, des avalanches naissaient sur son passage et au-dessus d’elle Lionne entendit la montagne geindre. Elle se précipita à l’abri dans sa grotte, juste à temps pour éviter la pluie de pierres, de roches et de neige qui s’affaissa à l’entrée, bloquant la sortie et la lumière du soleil.
Plongée dans les ténèbres, la guerrière exotique de l’Eystereyn lointain n’entendait plus du dehors que les sons sourds du carnage.
Le vacarme déclina, disparut petit à petit, puis il n’y eut plus un bruit. La tornade était passée ; les yeux de Lionne s’habituèrent à l’obscurité. Elle risqua un bref coup d’œil par un jour dans l’amas pierreux, la vallée était déserte, bête et cavaliers étaient partis, ne restait plus que terre retournée et arbres arrachées.
- Impressionnante, hein ?
Lionne serra les poings et se retourna vers les ténèbres. Ses phalanges craquèrent alors qu’elle les levait vers un petit groupe de trois individus disparates, à l’affut dans les ténèbres. Un homme et une femme gracieux, aux oreilles longues et pointues, un petit homme au visage expressif à la moustache fourni. C’est ce dernier qui venait de parler.
- Qui…
- Benton et Calumet, cartographes et ethnologues, encyclopédistes et hommes de sciences. Je suis Benton, quant à Calumet… Et bien disons maintenant que notre association s’appelle désormais Benton et Benton !
  Coutelas se mit à vibrer alors qu’elle pointait vers la gorge d’un chevalier blessé assit contre la pierre. Du sang coulait de sa broigne. La moitié de son corps était brûlé, les chairs comme fondues, se mélangeaient à l’armure.
- Nous la traquions depuis des jours jusqu’à ce que nous trouvions finalement son repaire. Un mâle, jeune père, un dragon vert de trois cents ans, au moins. La femelle reste introuvable, dit le chevalier avec un sourire tordu. Tu ne parles pas, tu ne dis rien ? Tu ne comprends pas la langue ?
- Je ne parle ni aux meurtriers, ni aux chasseurs de dragons.
- Pourtant nous pourrions avoir besoin de toi, ces tatouages, tu viens d’Eystereyn, n’est-ce-pas ? On dit que là-bas, vous les géants chevaucher les dragons. Cet animal t’obéirait peut-être si tu lui parlais… Notre camp se trouve plus bas dans la vallée, sa vallée. Tu devras passer devant si tu veux quitter ces terres. Parle à Mérédite, dis-lui que Silford t’envoie…
- Je n’ai nulle envie de me joindre à votre bande d’assassins !
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