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#vente de voitures
kahucurac · 2 years
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les-belles-mecaniques · 4 months
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Talbot-Lago T150-C SS Pourtout Coupe (1938 - 1939)
Seulement 16 voitures ont été fabriquées
Intégralement fabriquée à la main en aluminium
Il n’existe que quatre voitures aujourd’hui.
Moteur : 6 cylindres en ligne de 4 litres
Puissance : 160ch
Boîte de vitesses manuelle à quatre rapports
Vitesse max : 185 km/h
La dernière vente aux enchères d’une des 4 à été adjugée à 3 360 000€
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drackarys · 8 months
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L'auto stoppeur
Lors d'un week end ou nous avions 3 heures de route, nous avons croisé un auto stoppeur sur le bord de la route.
Le pouce bien en l'air, 25 ans, le gros sac a dos, les cheveux aux vent, le short multi poches, la chemise ouverte, le débardeur blanc.
Nous le faisons monter a l'arrière, et commençons à discuter de tout, de rien.
Il nous dit partir rejoindre des amis et que nous sommes fort sympathiques de l'emmener.
Pour l'occasion de notre weekend, j'avais mis une jupe assez volante et un débardeur près du corps. Il faisait chaud.
Mon mari a fait dévier la conversation, en demandant à notre invité, s'il avait une petite amie, si cela faisait longtemps qu'il était parti, s'il avait été pris en auto stop par denombreuses personnes, si parfois cela avait dévié....
Nous avons vite compris que notre nouvel ami n'était pas contre un peu d'action.
Mon mari lui a donc demandé de glisser sur le siège derrière lui afin de pouvoir me regarder a sa guise.
Il m'a fait ouvrir mes cuisses et enlever mon string.
Tout en conduisant (vive les voitures automatiques), mon mari a commencé à me caresser la peau de mes cuisses.
Il faisait chaud, très chaud...
Il a alors demandé à notre invité de se mettre sur le siège derrière moi et lui a donné feu vert pour me peloter autant qu'il le souhaitait sans restriction....
J'ai vite senti ses mains se promener le long de mes seins, glissant sous mon débardeur afin de les soupeser, de les pincer, faisant rouler mes tétons entre ses doigts.
Elles ont continué leur chemin vers ma jupe, et il n'a pas fallut longtemps a ce jeune homme pour trouver l'entrée.
Il a senti mon excitation, l'humidité de mon antre et y a très vite glissé ses doigts.
Il se les aient léchés puis en a fait de même avec ma bouche.
Une main sur un sein, l'autre sur mon clitoris, il a commencé sa stimulation, tout cela sous le regard de mon mari qui faisait courir sa main sur ma cuisse.
Il n'a pas fallut longtemps pour que mes cris remplissent l'habitacle de la voiture.
Mon mari a arrêté la voiture sur le bas côté, m'a embrassé goulûment puis m'a dit de passer a l'arrière pour remercier notre auto stoppeur le temps de finir la route. Il ne restait que 15 minutes pour le faire venir avec ma bouche.
Au vue du niveau d'excitation, vous pouvez imaginer qu'il n'a pas fallut 15 minutes a notre ami pour venir entre ma bouche sur son sexe et mes mains sur ses boules...
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frenchcurious · 11 months
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Photographies amusantes de voitures Kodachrome, Années 1960 OK Ventes Automobiles Chevy . - source The Old Motor.
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nemosisworld · 7 months
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Apprends-moi à coller mon corps à tes blessures, apprends-moi à tenir ton cœur un peu dans ma main, à ouvrir mes jambes comme les fleurs s'ouvrent au vent pour elles-mêmes, pour la rosée de l'après-midi. Apprends-moi à danser, ce soir, je veux suivre le rythme, ouvrir les portes du toit, pleurer dans ta solitude alors que d'en haut nous regardons les voitures, les camions, les autoroutes pleines de policiers et de machines à feu.
Roberto Bolano
Ph. Colin Dodgson : Kiki Willems
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lesillusionsterrestres · 10 months
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Le vendeur de roses
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© Photographie de Steve McCurry
Il y a ce vendeur de roses qui traîne tout le temps dans le quartier, avec des fleurs plein les bras. Il arpente les terrasses de restaurant à la recherche d’amoureux transis dînant aux chandelles.
Mais Ravi – c’est son prénom, enfin, c’est celui que je lui ai inventé, en espérant qu’il le soit un jour parce qu’il fait tout le temps la tête. Comme si le flot d’amour qu’il tenait contre son corps à longueur de journée, manquait à sa vie. Est-ce qu’il offre des roses à sa femme, Ravi ? Est-ce qu’il a une femme, Ravi ? J’imagine que non, autrement, il aurait un peu plus de soleil sur le visage.
Mais il est fort, Ravi, parce qu’il arrive quand même à fabriquer une lumière artificielle lorsqu’il se poste devant des clients potentiels. « Rose, 2 euros. Rose, 2 euros. » Et souvent, sa lumière halogène fait illusion auprès des touristes – déjà éblouis par les lumières clinquantes d’un Paris qui n’aurait pour atouts que la Tour Eiffel et les Champs-Élysées.
Après avoir fait sa vente, Ravi s’éteint de nouveau. Son regard est sombre, et de toute évidence, si l’on criait « Âllo, y a quelqu’un ? », au fond de la cavité de son cœur, l’écho de notre voix nous reviendrait en plus triste, en plus désespérée.
Je me suis souvent demandé : « C’est quoi son histoire à Ravi ? » Mais Ravi ne parle pas français. Il maîtrise tout juste les quelques mots qui lui servent à présenter ses roses sur les terrasses. Je crois qu’il sait aussi baragouiner quelques mots en anglais. Mais comme c’est une langue que je ne sais moi-même pas baragouiner, c’est pas demain qu’on va pouvoir se parler. On peut pas aller bien loin avec Hello, Thank you et I love you, quoi que, on peut quand même aller quelque part : saluer, remercier, et dire l’amour. Tu m’diras, c’est un peu la base.
La base, mais pas assez pour raconter toute une vie. Alors, comme nous n’avions pas les mots pour nous parler, avec Ravi, je me suis mis à imaginer son histoire.
*
Ravi n’a pas toujours vendu des roses. Quand il avait 20 ans, dans son pays, au Pakistan, il vendait des oranges. Il était pauvre et vivait dans un bidonville avec ses parents et ses deux frères.
Dans une décharge, il avait dégoté une carcasse de voiture toute rouillée dont il ne restait quasiment rien, sinon le squelette décharné, simple et piteux. Mais c’était tout ce qu’il fallait à Ravi, qui avait accès à la beauté de cette épave, invisible aux yeux de tous. Avec son grand frère, ils ont ramené le trésor jusqu’à leur bidonville. Ravi savait déjà ce qu’il allait en faire. Il avait déjà tout imaginé et, dès le lendemain, il mettrait en place son projet. Il irait au grand marché acheter des oranges, négociées au meilleur prix. (Ravi était le plus grand négociateur de tous les temps : il négociait sans parler. Son sourire adoucissait tous les prix). Il viendrait ensuite revendre les oranges dans le quartier. La carcasse de voiture serait le meilleur des présentoirs.
C’est comme ça que le commerce florissant de Ravi a commencé, et qu’il a gagné en peu de temps le titre de : « Vendeur d’orange à la carcasse ».
Un jour, une jeune fille est venue près de son étal pour admirer ses oranges. Elle les regardait avec un émerveillement inconnu pour Ravi, comme s’ils étaient des petits soleils rangés dans un écrin d’obscurité. Alors, lui, regardait ses yeux à elle, et un nouvel émerveillement naissait encore. Il la trouvait belle comme le jour. Comme un jour prodigieux qui annonce le monde. Mystérieuse aussi, comme la nuit. Comme une nuit majestueuse qui promet l’infini.
Que faisait-elle là ? Qui était-elle ? Est-ce qu’elle venait lui murmurer un secret ? Qu’elle avait trouvé la clé du mystère des rêves ? Les mains de Ravi étaient moites tout à coup, sa gorge sèche, et son corps tremblant. Il ne comprenait pas grand-chose à ce qui était en train de lui arriver. Il ne savait pas comment s’appelait ce sentiment qu’il observait s’épanouir en lui. Il souriait. C’est ce qu’il savait faire de mieux, de toute façon. Et elle lui souriait en retour. Elle faisait ça encore mieux que lui, pensa-t-il. Et cela lui réchauffa le cœur. Elle a pris une orange. Il a refusé sa pièce.
Elle est revenue le lendemain, avec son mystère et ses yeux qui nourrissent toutes les misères. Il a osé lui demander son prénom. Elle a osé lui donner. Shala. Il était heureux de pouvoir la prononcer. Shala. Cette fois il aurait voulu la retenir, sauf que les mains moites, la gorge sèche et le corps tremblant. Il l’a regardée partir avec son orange. Il aurait voulu lui donner toutes les oranges du monde.
Ravi a sursauté de bonheur lorsqu’elle est revenue le troisième jour. Elle avait une question. Une de celle qui marque sans qu’on le remarque. Une de celle qu’on ne pose jamais à un inconnu, parce qu’à la fois trop banale et trop intime, trop légère et trop profonde, trop drôle et trop sérieuse. Une de celle qui fait mine de rien, mais qui a le pouvoir de faire jaillir de la poésie.
« Pourquoi vends-tu des oranges ? Et pas des fraises ou des bananes ? »
Et Ravi avait répondu, sans trop réfléchir : « Parce que l’orange de l’orange flatte ma carcasse, comme nul autre fruit. L’orange rend les choses belles et magiques. »
Shala avait aimé la réponse de Ravi, et elle était repartie avec son orange belle et magique. Ravi aurait voulu la retenir, encore, mais elle s’était éclipsée comme une lune trop pressée de rejoindre sa nuit.
Il a espéré qu’elle revienne le lendemain. Une quatrième fois. Et cette fois, « je la retiendrai » s’était dit Ravi, pour de bon. Je lui dirai combien elle est belle, je lui dirai que je veux la connaître, que je veux passer mes journées près d’elle, à admirer au fond de ses yeux, toutes les beautés cachées de ses ombres, qu’elle est un grand soleil, et surtout, il lui dirait, qu’il voudrait l’embrasser. Oui, il s’était dit que cette fois, il oserait lui dire qu’il rêve de l’embrasser. Qu’il se ficherait d’avoir les mains moites, la gorge serrée et le corps tremblant, qu’il arrêterait d’avoir peur et qu’il lui dirait tous les jolis mots qui lui sortent du cœur.
Mais Shala n’est pas revenue le lendemain, ni le jour d’après, ni les autres jours, ni aucun autre jour. Shala n’est jamais revenue. Et Ravi a arrêté de vendre des oranges. Le cœur n’y était plus.
Peut-être que Shala n’aimait pas les oranges, après tout. Peut-être qu’elle préférait les fraises ou les bananes. Oui, c’est ça qu’il aurait dû lui demander. Peut-être qu’elle préférait les fraises, qu’elle préférait les bananes. Peut-être qu’elle n’aimait pas les fruits ? Peut-être qu’elle rêvait de roses.
Alors, quand son grand frère lui a parlé du business de vente de roses à Paris, Ravi s’est tout de suite dit : « Mais oui, les roses ! Shala rêve de roses ! » Et peut-être qu’en vendant des roses à Paris, il la recroiserait de nouveau… et il pourrait enfin lui dire tous les jolis mots qu’il n’a pas su lui dire. Il lui offrirait des roses, par milliers. Et ils pourraient enfin s’embrasser. Ils pourraient enfin s’aimer.
*
Mais bien sûr, c’est pas du tout ça l’histoire de Ravi. Sa vraie histoire est moins jolie, moins tristement jolie. Plus dur. La carcasse, les oranges, Shala, et tout et tout, très loin de la réalité. La réalité c’est que Ravi est parti loin de sa famille, se fait exploiter parce qu’il n’a pas de papier, partage une minable chambre de bonne avec 8 autres colocataires dans la même situation que lui. La réalité, c’est que Ravi travaille comme un acharné pour un salaire de misère. C’est Sofiane qui m’a raconté tout ça un jour, et il m’a même donné le vrai prénom de Ravi. À une lettre prêt, j’y étais. Mais il faut croire qu’une lettre change tout. Avec une lettre, on passe du conte féerique à la réalité sordide.
Quoi qu’il en soit, je souhaite toujours qu’il soit ravi, le vendeur de roses, qui s’appelle Raki.
// Dédé ANYOH //
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iranondeaira · 5 months
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Et encore on va vers l’été …
Blague à part, bon vent et belle mer à tous, « longue vie et prospérité 🖖 » comme dirait l’autre et que que la force soit avec vous …
🎶 nous vivons une époque épique mais nous n’avons plus rien d’épique 🎶 disait l’autre , « tout ce que nous avons à décider, c’est ce que nous devons faire du temps qui nous est imparti » lancerai un vieil errant gris … l’horizon s’assombrit lance un vieux marin sur le môle, une tempête arrive … il va falloir la chevaucher lâche laconique un vieux guerrier aux yeux bleus ou apprendre à surfer balancerai un sale môme … « à nouvel an, nouvel élan » lui répondrait une optimiste … « Et comme ton bonheur dépend tout de tes voeux, songes-y bien avant que de les faire. » raconte un conteur … si au moins on pouvait "Apprendre d’hier, vivre pour aujourd’hui, espérer pour demain." pose au tableau un vieil homme qui tire la langue … "Je vous apporte mes vœux. - Merci, je tâcherai d'en faire quelque chose." glousse un renard …
"Un optimiste reste jusqu'à minuit pour voir le Nouvel An. Un pessimiste reste pour s'assurer que l'ancienne année disparaît."
"Que cette année vous soit heureuse ; que la paix, le repos et la santé vous tiennent lieu de fortune " dit Madame
"Je vous souhaite tout ce que vous souhaitiez qu'on vous souhaite ... mais en mieux ! "
Miaule un chat
"Venir ensemble est un commencement; rester ensemble est un progrès; travailler ensemble est un succès." Jette un constructeur de voiture ( 😅 si vous saviez Sir le bordel aujourd’hui )
"Les problèmes du monde ne peuvent être résolus par des sceptiques ou des cyniques dont les horizons se limitent aux réalités évidentes. Nous avons besoin d’hommes capables d’imaginer ce qui n’a jamais existé."
- un président mort dans sa voiture
"Je vous souhaite des rêves à n'en plus finir et l'envie furieuse d'en réaliser quelques uns."
- grand Jacques
"Pour comprendre l’esprit et le cœur de quelqu’un, ne vous demandez pas ce qu’il a accompli, mais ce à quoi il aspire."
- un vieux sage enturbanné ( quelle ironie 😅)
"Lorsqu’un seul homme rêve, ce n’est qu’un rêve. Mais si beaucoup d’hommes rêvent ensemble, c’est le début d’une nouvelle réalité." ( c’est sans doute un peu de ce qui explique du cela d’aujourd’hui )
Le monde progresse grâce aux choses impossibles qui ont été réalisées." ( y a de ces progrès 🙃 aujourd’hui 😅 )
"A l'an que ven ! Se sian pas mai, que siguen pas men. A l'an qui vient ! Si nous ne sommes pas plus, que nous ne soyons pas moins."
- de Provence
"Il vaut mieux suivre le bon chemin en boitant que le mauvais d’un pas ferme." Disait un Saint
“Tous les hommes font la même erreur, de s'imaginer que bonheur veut dire que tous les voeux se réalisent.” - un homme de Russie
“Un jour, on aura besoin d'un visa pour passer du 31 décembre au 1er janvier.” … ils ont essayé … ils ont déjà inventé le désespoir à vendre …
“Si les Dieux voulaient exaucer les voeux des mortels, il y a longtemps que la terre serait déserte, car les hommes demandent beaucoup de choses nuisibles au genre humain.”
“Le meilleur moyen de rester en bonne santé, c’est de manger ce que vous ne voulez pas manger, de boire ce que vous ne voulez pas boire, et de faire des choses que vous n’aimez pas faire.” - Marc T
En cette nouvelle année, on ne demande pas grand-chose : du travail et de la santé.
- Albert
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swedesinstockholm · 1 month
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5 avril
j'aimerais pouvoir instaurer un quota de temps de pensée quotidien consacré à un sujet. j'accorderais quinze minutes par jour au sujet r. par exemple, quinze minutes quotidiennes que j'aurais épuisées dès 8h15 du matin et hop je serais tranquille pour le reste de la journée. je lui ai parlé de pessoa et il m'a dit qu'en grand romantique il avait adoré le berger amoureux ou un truc comme ça, j'étais assise sur la marche devant la véranda au soleil et je me suis pris la tête dans les mains en gémissant. autre sujet: ce soir dans le train pour revenir de sète je parlais du sud avec maman, je disais que vivre ici était plus sain que vivre au luxembourg, et puis j'ai vu mon reflet dans la vitre avec ma casquette mes nouvelles lunettes de soleil et mon double denim et j'ai imaginé que c'était le reflet de mon moi d'ici. mon moi qui est là où elle est censée être.
6 avril
cet après-midi dans la voiture pour aller à pézenas je me disais que je devais rediriger mon énergie et remplacer r. par le sud de la france. ne plus tomber amoureuse que de territoires. me concentrer sur les arbres et les champs et les vignes qui défilent par la fenêtre ouverte de la voiture et le vent qui s'engouffre dedans et qui fait du bruit par dessus nostalgie et la colline de sète et celles d'agde et les bateaux qui rentrent dans l'hérault et ceux amarrés aux quais et sur le vocabulaire marin et le bruit des vagues sur la plage et l'odeur de marée et le pin du port de la pointe courte et les falaises du cap d'agde et les marais du bagnas et les flamants roses qui marchent avec la tête dans l'eau et les mouettes qui crient dans le ciel quand le soleil commence à se coucher. ne plus tomber amoureuse que de territoires et de littérature. j'ai trouvé la nouvelle édition décensurée de ravages dans une librairie à pézenas, le gros livre mauve qui trônait en exposition sur la table en ellipse de la librairie exc quand j'y avais lu géotropismes. maman me l'a acheté et je l'ai serré contre moi jusqu'à la voiture. autres cadeaux de la journée: une glace caramel beurre salé-chocolat à la mirondela, une vieille chemise de nuit à bords rouges que j'ai trouvée en triant des cartons chez mamie dans la pièce du fond, une bouteille de thé glacé rooibos-pastèque-menthe que h. avait déposée sur la table en bas parce que j'avais dit que j'adorais la bouteille rouge et rose quand on était chez elle.
ce matin j'étais encore en train de feuilleter le catalogue immobilier de sète et je me disais que quand je sortirais de ma non-vie, ce serait comme si je revenais de la mort. et quand on revient de la mort, tout est du bonus. quand on revient de la mort les choses sont moins graves et elles pèsent moins lourd, la gravité perd de son pouvoir, le centre de la terre n'a plus le même attrait. j'imagine. quand je reviendrai de la non-vie je veux faire les choses sans réfléchir. je sais pas quelle forme ça prendra de revenir de la non-vie, peut être que j'arriverai jamais à en sortir, mais dans ma tête ça va quand même finir par arriver.
8 avril
petit journal d'amour qui était caché dans ma banane toute la soirée d'hier dans les loges de la maison poème puis sur mes genoux pendant ma discussion intime interminable avec r. assis sur l'accoudoir du canapé puis sur la banquette du bar avec l., d. et c. et les autres et enfin sous la pluie de bruxelles pour rentrer chez m. en chantonnant don't go wasting your emotions lay all your love on me toute seule dans les rues de st. gilles. au bar l. m'a dit qu'elle adorait ma banane et je l'ai ouverte pour lui montrer sa meilleure qualité: mon journal rentre dedans! et elle a dit c'est de là que viennent tes poèmes! elle a fait une remarque sur le pendentif en perles et j'avais envie de lui raconter l'histoire de r. qu'y a derrière mais c'était pas trop le moment. ils se sont rencontrés hier soir. j'étais en train de discuter avec l. et d. quand je l'ai vu accoudé au bar en train de discuter avec la serveuse mais j'ai fait semblant de pas le voir, jusqu'à ce qu'il se retourne et me voie. je lui ai pas sauté dans les bras comme dans mes fantasmes, je l'ai pas serré fort contre moi, j'étais trop timide, et lui aussi était timide, c'était un peu bancal, et puis l. a dit mais tu connais des gens ici! et je me suis rapprochée de lui en disant c'est mon seul ami. elle a demandé comment on s'était rencontrés et j'ai dit ici à la maison poème et on aurait dit que je racontais une histoire de rencontre amoureuse très romantique.
j'ai passé la soirée à discuter avec lui au lieu de me joindre aux autres. il parlait beaucoup et parfois je m'ennuyais et je me disais est-ce que je suis vraiment amoureuse de lui au point de me priver de discussions avec mes pairs poètes? visiblement oui. il m'a confié plein de trucs intimes sur ses névroses et j'ai remis les deux pieds en plein dans la delulu. j'ai de nouveau réussi à me persuader qu'il était juste terrorisé de m'avouer et surtout de s'avouer à lui-même qu'il avait des sentiments amoureux pour moi. je veux pas en démordre. il m'a confié qu'il aimerait avoir une expérience homosexuelle et je me demandais s'il me disait ça parce qu'il me prend pour une lesbienne et que donc il a moins peur d'être jugé. il m'a dit que ça coinçait encore un peu parce qu'il craignait le regard des autres mais ok OK non mais j'y crois pas, est-ce que je suis vraiment en train de parler de la sexualité de r. alors que hier soir j'étais de retour sur les planches, derrière un micro, j'avais de nouveau les genoux qui tremblaient mais à part ça j'étais archi à l'aise, même avec les gens, quand j'étais pas prise en otage par les états d'âme de r. j'étais avec l. et d. et c. et j'étais normale et l. était un coeur avec moi, je me sentais même presque jolie, je portais mon double denim de sète et j'étais bronzée de la mer mon amour merci ma peau coopératrice. r. m'a écrit que j'avais l'air dans un méga mood en rentrant et je sais pas trop ce que ça veut dire mais j'ai dit ça c'est parce que je reviens de la mer lol. j'allais pas lui dire que c'était à cause de lui. ça c'est parce que t'étais là r. la vérité c'est que j'étais pompée à bloc parce que j'avais des interactions sociales avec des gens qui n'étaient ni des retraités ni des gens de ma famille, j'ai rencontré des nouveaux gens cool j'étais dans mon monde et les gens m'aimaient bien ET j'étais contente d'être avec r. c'était tout ça à la fois.
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dieuxcerf · 6 months
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alors la semaine dernière mon vélo s'est fait tapé par une voiture qui sortait d'un garage, je vois le gars il me dit je paierai la réparation ok
je vais à une asso qui répare des vélos, je leur montre et là, mon coeur se brise car ils me disent que le cadre est trop touché donc pas réparable sachant que c'était un cadeau d'anniv de la part de max donc mon vélo d'amour
je leur laisse le vélo en me disant ben ça leur sera plus utile à eux pour les pièces détachés
je rachète un vélo dans la panique et il est trop petit mais bon j'en trouve un autre absolument parfait grave stylé même si c'est pas mon vélo d'amour mais je me dis ok et je met le premier acheté dans la panique en vente
et là
c pas
je vois
mon vélo askiparait "irréparable"
sur le bon coin ?????????????????????????????????????????? tout révisé ???????????????? et c'est impossible que ce soit un autre car c'est une marque peu connu, les mêmes écailles de peinture, le garde boue avant décalé sur la roue et tout ??? c'est MON VELO quoi ???????????????????????
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liemhurle · 10 months
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Jour 1 : Après la fin du monde
Avant, il y avait le ciel, la terre, les ombres. Il y avait les champs, les lacs, les autoroutes. Les chats, les voitures, les peluches. Parfois, des nuages, et de temps en temps, de la pluie. Il y avait des odeurs : la tartine grillée, par exemple, ou le gazoil de la pompe à essence, l'herbe fraîchement coupée, le métro plein qui roule en brinquebalant. Il y avait plein de bruits différents : les chiens qui aboient, un verre qui tombe et se brise, le silence des rapaces nocturnes. Il y avait des sensations : la rugosité d'un sol en pierre, le confort d'un vieux plaid, le froid mordant d'un hiver prolongé. Il y avait les levers de soleil qui se reflètent sur l'immeuble d'en face, des panneaux publicitaires immenses et clignotants, un coeur maladroit dessiné sur le coin d'un cahier. Il y avait le rire d'un enfant ébahi, le regard étonné d'un inconnu, la moue d'un professeur désabusé.
Et puis plus rien.
Avant il y avait les gens, partout, tout le temps, et d'un coup d'un seul, plus personne, nulle part. Le brouhaha de la ville suivi du silence de l'immensité vide. Le vent s'est arrêté, les montagnes se sont effondrées, la lune s'est éteinte et, comme une télé débranchée, le monde s'est tu. Il s'est replié sur lui-même, dévoré de l'intérieur, et les richesses accumulées par les gens les plus riches et importants n'y ont rien pu changer : le monde est mort, la vie s'est finie, et l'histoire s'est terminée comme elle a commencé : en silence.
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Ce post est écrit sous 4,5g d'alcool dans le sang, je vous prierais donc d'être indulgents. Comme l'a si bien dit Dr X, "si on n'avait pas rencontré ce garagiste, on aurait perdu notre porte monnaie, mais on n'aurait pas chopé une cirrhose".
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Pourtant, la journée a bien commencé, avec notre premier petit dejeuner en liberté, au milieu des montagnes ...
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Bon, ça a demandé quelques ajustements : on a réussi à partir sans fermer le coffre, les tiroirs s'ouvrant donc à qui mieux mieux dans la montée. Fort heureusement, nos possessions ont évité de s'éparpiller aux quatre vents grâce à la puissance du saint esprit.
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De même, nous avions oublié de fermer les lanières de la tente de toit, qui nous ont suivi en mode cerf volant avant qu'on réalise qu'il y avait un problème. Bon, eh, c'est notre premier jour hein, il faut bien faire les erreurs une fois !
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Nous passons ensuite par une route en terre, Dr X conduisant avec une bonne humeur communicative, tellement communicative même que le tiroir du vide poche a passé toute la montée a essayer de danser avec mon genou en s'ouvrant de manière intempestive. Le petit coquin.
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Peu importe, nous arrivons bientôt en vue du magnifique lac de barrage de Yeso, notre objectif de la journée !
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On profite du paysage, flanant au grès de la vie, poursuivant de notre téléphone au zoom incroyable la faune locale, et rentrons à la voiture.
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Et là, le karma accumulé sur le début de journée nous rattrape... La voiture ne démarre pas. Nos phares sont restés allumés, et en une demie heure, la batterie s'est complètement vidée !!
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Nous voici donc tout penauds au milieu de nulle part, bien évidemment sans câble pour redémarrer notre batterie, à demander à toutes les âmes errantes s'ils seraient en possession de notre précieux sésame. Sans grand succès, jusqu'à arriver au propriétaire d'un minuscule boui-boui insalubre, qui nous sort une paire de ... Câbles. Mais au sens propre, deux câbles qu'on dénude au couteau.
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Un groupe de colombiens croisés à ce moment nous remonte en voiture, manque de s'électrocuter en n'éteignant pas le moteur avant de se brancher, et en bonus Dr Rathatton leur renverse une cannette de bière dans la voiture, ils doivent être heureux de nous avoir dépannés... Mais la batterie redémarre \o/
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On finit la journée en rentrant sur Santiago (où on achète une paire de câbles à mettre dans le coffre !), et on rejoint Daniel (notre garagiste de 60 ans qui fume comme un pompier) et sa compagne, qui nous invitent au restaurant. On les connait depuis deux jours, j'ai l'impression d'être des amis de toujours, c'est incroyable ce que ces gens sont généreux ! Ils nous libèrent même une chambre d'amis pour qu'on dorme au chaud ce soir ... Ce sont vraiment des gens supers 🥰
En attendant, pas de nouvelles de notre RUT, et l'agence nous a laissé un message "on a une solution, je vous appelle dans une heure !" à 14h ... Bien évidemment sans nous rappeler ou répondre à nos messages/coups de fil. Suspense pour demain, sera t on coincés ici tout le week end ?
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laurentdeglicourt · 9 months
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Normandie - Août 2023 - Série Coeur simple.
C'était comme un coup léger frappé sur sa nuque, comme une main qui lui saisissait fermement le bras. Il arrêtait alors la voiture, prenait son appareil et déclenchait. Il avait de cette campagne une connaissance organique, animale. Ces champs clos de haies et d'arbres, plantés pour protéger les fermes des vents marins, combien de fois les avait-il longés ? Combien de fois en avait-il scruté les taillis en quête d'un hérisson ou d'une fouine ? Leur apparition, au détour d'une route, éclairés par la lumière du soleil couchant comme par les feux d'une rampe, provoquait invariablement chez lui un étrange saisissement, un trouble ; cette émotion lancinante que le brusque retour de sensations enfouies, souvent, suscite ; ces arbres, ces buissons constituaient un site originel, une frontière ondoyante. Mais, aussitôt, des souvenirs d'enfant délaissé, toujours un peu vagabond, parfois perdu, refaisaient surface ; il n'observait plus seulement un paysage familier, offert par le hasard au retour de la baignade : il enlaçait son drame, il arpentait son minuscule chemin de croix. Et, en regagnant sa voiture, l'appareil en bandoulière, il comprenait à demi-mot que ce panorama bucolique, comme l'amour, lui causait autant de joie que de souffrance.
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Petit article animalier
Hola todos,
Nous sommes toujours à Lolol chez Gregorio, dans la vallée des artistes. Les pièces de la voiture devraient arriver demain et nous profitons donc de ce calme pour nous reposer et aider Gregorio et Patricia dans leurs tâches quotidiennes. On commence à avoir très envie de reprendre la route mais nous avons au moins la chance d'attendre dans un endroit paradisiaque.
De plus, le Chili connaît actuellement une énorme catastrophe avec les multiples incendies qui le ravagent, notamment vers Valparaiso et Viña del Mar. Beaucoup de morts sont à déplorer et nous lisons chaque jour les nouvelles avec un pincement au cœur. Les feux ont brûlé plus de 2000 hectares de terres près de chez nous. Heureusement, les vents chauds n'ont apporté que des cendres éteintes jusqu'à notre jardin. On reste quand même sur nos gardes, nos sacs sont prêts pour une évacuation potentielle. Au final, on est pas mal ici, loin des fumées incandescentes.
J'écris ce petit billet aujourd'hui pour nous consoler de ces tragédies et vous présenter ma nouvelle passion : LE PIDEN !
Répondant au doux nom scientifique de Pardirallus sanguinolentus, ce curieux oiseau ressemblant fortement à un kiwi se promène dans le jardin tous les jours. Il prend plaisir à se baigner dans la piscine le matin et en fin d'après-midi pour rafraîchir ses plumes chauffées par la chaleur.
Je suis tombée amoureuse de cet étrange animal qui me fascine et que j'observe depuis plusieurs jours dans le but de capturer son image.
Après plusieurs jours de contemplation, il a fini par s'habituer à ma présence et j'ai pu le prendre photo !
Voilà le résultat :
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Je l'adore !
Hier, en revenant des courses, nous avons également croisé la route d'une mygale très poilue. À la vue de cette Grammostola rosea, mon arachnophobie a fait frissonner tous les poils de mon corps, mais j'ai su me contenir et sortir du véhicule pour aller la voir.
Plus de peur que de mal, les mygales d'ici sont assez inoffensives et avancent très lentement ! Au final, j'ai même apprécié cette observation. Charles aussi, on l'entend d'ailleurs commenter la beauté de cette bestiole à huit pattes dans la vidéo ci-dessous.
J'espère que ce petit post animalier vous plaira.
Besitos
Luna
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gai2024 · 3 months
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Un été inoubliable
La beauté de la saison la plus chaude de l'année est incomparable, et cet été-là... oh, cet été était définitivement inoubliable. Tout a commencé avec l'anticipation des mois qui se terminaient, des valises faites et des rêves se réalisant sous le ciel bleu immaculé et le soleil qui reflétait la lueur dorée dans le cœur des aventuriers.
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Le voyage a commencé avec un kaléidoscope de paysages qui passait à travers la vitre de la vieille voiture qui, malgré ses bruits et ses caprices mécaniques, était la capsule temporelle qui nous transportait dans un univers parallèle où les soucis quotidiens n'existaient tout simplement pas. Les chansons jouées étaient la bande originale d'un film d'été, où chaque chanson mélodieuse portait en elle la promesse de moments éternels.
La destinée? Un petit village côtier accueillant, dont les plages étaient des franges de pure magie baignées par l'océan. Chaque grain de sable, chaque coquillage sur le rivage, chaque vague déferlant avec une force délicate sur la plage était une invitation à recommencer, à inspirer quelque chose de nouveau. C'était comme si le temps avait son propre rythme, une sorte de cadence paisible qui apaisait l'âme.
Et c’est là, dans la douceur des après-midi langoureux et des nuits étoilées, que les amitiés se sont renforcées. Les rires partagés à l'ombre des cocotiers, les jeux et défis improvisés que seul le détachement des routines permet, les saveurs tropicales qui se marient parfaitement avec la brise marine... Tout a contribué à construire la tapisserie d'expériences que l'on en viendrait à appeler " le meilleur été de notre vie."
L'amour donnait également un air de grâce, d'une manière aussi naturelle qu'un coucher de soleil qui teinte le ciel d'une palette incroyablement vibrante. Les amours estivales sont faites de différentes matières, tissées avec la lumière dorée du soleil et la liberté du vent qui ne connaît pas de frontières. Et même si toutes ne durent pas au-delà de la saison, leur saveur est ravivée à chaque vague qui embrasse la plage dans un éternel retour.
Il y a eu aussi des moments d'introspection : les promenades solitaires le long de la plage à l'aube, quand le soleil répète ses premiers accords à l'horizon et que la brise porte encore la fraîcheur de la nuit qui s'en va. Dans ces moments-là, des conversations silencieuses avec soi-même étaient possibles et la mer devenait la meilleure auditrice des confidences et des rêves.
Alors que le mois d'août touchait à sa fin, la nostalgie commençait déjà à projeter son ombre, mais c'était une ombre douce, car chaque souvenir était déjà enregistré dans des couleurs vives, prêtes à être consultées lorsque le froid des autres saisons soufflerait à travers les feuilles mortes du futur. jours. .
Cet été inoubliable nous a appris à vivre, à aimer, à être libres. Il a montré que le bonheur est fait d'instants et que la beauté de la vie réside souvent dans la simplicité : une baignade dans la mer, un sourire partagé, la chaleur du soleil sur la peau.
Lorsque les sacs ont été refaits et que la vieille voiture nous a ramenés à la maison, nous avons compris que quelque chose en nous avait changé. Nous étions chargés non seulement de souvenirs, mais aussi d'une expérience qui nous avait transformés. Ainsi, chaque été porterait ensuite un peu de cette magie, une flamme éternelle qui nous réchaufferait avec le souvenir de jours d'un été absolument inoubliable.
Suivre sur Instagram: @mylife.usa2024
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it-is-i-a-retard · 2 years
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Fluent Forever 625: French
For those of you who can’t be assed to get all the 625 words in French I’ve done it for you (I might do other languages as well)
-Repost from my old account
Animals: chien, chat, poisson, oiseau, vache, cochon, souris, cheval, aile, animal
Transport: train, avion, voiture, camion, vélo, bus, bateau, navire, pneu, essence, moteur, billet, transport
Lieux: Ville, maison, appartement, rue/route, aéroport, gare, pont, hôtel, restaurant, ferme, cour, école, bureau, chambre, commune, université, club, bar, parc, camp, boutique/magasin, théâtre, bibliothèque, hôpital, église, marché, pays, bâtiment, terre, espace, banque, lieu
Vêtements: chapeau, robe, combinaison, jupe, t-shirt, pantalon, chaussures, poche, manteau, tache, vêtements
Couleur: rouge, vert, bleu (clair, foncé), jaune, marron, rose, orange, noir, blanc, gris, couleur
Personnes: fils, fille, mère, père, parent, bébé, homme, femme, frère, sœur, famille, grand-père, grand-mère, mari, femme, roi, reine, président, voisin, garçon, fille, enfant, adulte, humain, ami, victime, joueur, amateur, foule, personne
Travails: professeur, étudiant, avocat, docteur, patient, serveur, secrétaire, prêtre, police, armée, soldat, artiste, auteur, directeur, journaliste, acteur, travail
Société: religion, paradis, enfer, décès, médicament, argent, dollar, facture, mariage, mariage, équipe, race, rapports sexuels, sexe, meurtre, prison, technologie, énergie, guerre, pais, attaque, élection, magazine, journal, poison, arme à feu, course, exercice, balle, jeu, prix, contrat, drogue, marque, sciences, dieu
Art: bande, chanson, instrument de musique, musique, film, art
Boissons: café, thé, vin, bière, jus, eau, lait, boisson
Nourriture: œuf, fromage, pain, soupe, gâteau, poule, porc, bœuf, pomme, banane, orange, citron, maïs, riz, huile, graine, couteau, cuillère, fourchette, assiette, tasse, petit déjeuner, déjeuner, dîner, sucre, sel, bouteille, nourriture
Maison: table, chaise, lit, rêver, fenêtre, porte, chambre à coucher, cuisine, salle de bains, crayon, stylo, photo, savon, livre, page, clé, peinture, lettre, note, mur, papier, plancher, plafond, piscine, verrou, téléphone, jardin, jardin, aiguille, sac, boîte, cadeau, carte, bague, outil
Électronique: horloge, lampe, ventilateur, téléphone portable, réseau Wi-Fi, ordinateur, programme d’ordinateur, laptop, écran, appareil photo, télévision, radio
Corps: tête, cou, visage, barbe, chevaux, œil, bouche, lèvre, nez, dent, oreille, larme, langue, dos, orteil, doigt, pied, main, jambe, bras, épaule, cœur, sang, cerveau, genou, sueur, maladie, os, voix, peau, corps
Nature: mer, océan, rivière, montagne, pluie, neige, arbre, soleil, lune, monde, terre, forêt, ciel, plant, vent, sol, fleur, vallée, racine, lac, étoile, gazon, feuille, air, sable, plage, vague, feu, glace, île, colline, chauffer, nature
Matériels: verre, métal, plastique, bois, pierre, diamant, argile, poussière, or, cuivre, matériel
Mathématiques/dimensions: mètre, centimètre, kilogramme, pouce, pied du roi, demi, cercle, carré, température, date, poids, bord, coin
Noms divers: carte, point, consonne, voyelle, lumière, son, oui, non, pièce, douleur, blessure, trou, image, modèle, nom, verbe, adjectif
Directions: haut, bas, côté, devant, derrière, à l’extérieur, à l’intérieur, en haut, vers le bas, gauche, droit, nord, sud, est, ouest, direction
Saisons: été, printemps, hiver, automne, saison
Nombres: zéro, un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf, dix, onze, douze, treize, quatorze, quinze, seize, dix-sept, dix-huit, dix-neuf, vingt, vingt et un, vingt deux, trente, trente et un, trente deux, quarante, quarante et un, quarante deux, cinquante, cinquante et un, cinquante deux, soixante, soixante et un, soixante deux, soixante-dix, soixante-onze, soixante-douze, quatre-vingt quatre-vingt-un, quatre-vingt-deux, quatre-vingt-dix, quatre-vingt-onze, quatre-vingt-douze, cent, cent un, cent deux, cent dix, cent onze, mille, mille un, dix mille, cent mille, million, milliard, première, deuxième, troisième, quatrième, cinquième, nombre
Moie: janvier, février, mars, avril, mai, juin, juillet, août, septembre, octobre, novembre, décembre
Jours de la semaine: lundi, mardi, mercredi, jeudi, vendredi, samedi, dimanche
Temps: année, mois, semaine, jour, heure, minute, second, matin, après-midi, soir, nuit, temps
Verbes: travailler, jouer, marcher, courir, conduire, voler, nager, aller, arrêter, suivre, penser, parler/dire, manger, boire, tuer, mourir, sourire, rire, pleurer, acheter, payer, vendre, tirer, apprendre, sauter, sentir, écouter, écouter, goûter, toucher, voir, regarder, donner un bisou, brûler, fondre, creuser, exploser, asseoir, supporter, adorer, passer à côté, couper, se battre, s’allonger, danser, dormir, se réveiller, chanter, compter, marier, prier, gagner, se perdre, mélanger, plier, laver, trouver, tomber, pousser, tirer, porter, casser, porter, pendre, secouer, signer, battre, soulever
Adjectives: long, court, grand, petit, large, étroit, grand, petit, lent, vite, chaud, froid, chaleureux, frais, nouveau, ancien, jeune, vieux, bon, mal, mouillé, sec, malade, sain, bruyant, tranquille, heureux, triste, belle, moche, sourd, aveugle, gentil, méchant, riche, pauvre, épais, mince, cher, pas cher, plat, courbé, mâle, femelle, serré, ample, haut, bas, doux, dur, plongé, peu profond, propre, sale, fort, faible, mort, vivant, lourd, léger, foncé, clair, nucléaire, célèbre
Pronoms: je, tu, il, elle, ce, nous, vous, ils/elles
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eddy-clio · 1 year
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Il y a quelques mois lors de la vente Bonhams au Grand Palais éphémère JAGUAR XJ220 #jaguarxj220 #car #supercar #rare #legend #classic #art #iconic #hypercar #voiture #carporn #perfect #amazing #fool #awesome #nicepicture #photo #photooftheday #art #sun #jaguar #xj220 https://www.instagram.com/p/Cl5Yb1PqgX6/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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