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#passais
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Quatre femmes et la halte de chemin de fer de Saint-Loup-du-Gast : portraits de Louise Modeste Brunet (1858-1908), Célina Modeste Victorine Boudesseul (1880-?), Marie Eugénie Valentine Pillier (1898-1983) et Marie Anne Elisa Boudesseul (1853-1914)
Tout commence avec la création de la ligne de chemin de fer Caen (Calvados) – Laval (Mayenne). Cette ligne, qui passait par Flers (Orne), permettait de connecter ces villes à Angers (Maine-et-Loire) grâce à la ligne Laval-Angers. Elle permettait ainsi de connecter par Normandie, Maine et Anjou par plusieurs tronçons de lignes successives. Cette ligne est inaugurée en 1874 et est en service…
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perduedansmatete · 3 months
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boualem ma star (le papa d’elyas)
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ross-nekochan · 10 months
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Un ragazzo indiano che abita nel mio stesso dormitorio si è accorto che lavoreremo per la stessa azienda.
Lui ha un po' di esperienza nel settore e ha alcuni conoscenti che già lavorano lì. Mi ha detto che praticamente non si fa un cazzo e che la gente si mette a vedere video invece di lavorare perché non c'è oggettivamente niente da fare.
Ha detto che assumono praticamente in blocco e (secondo me) è il motivo per cui hanno assunto pure me nel calderone. Anche perché (penso) prendono comunque in considerazione che del blocco qualcuno andrà vai. Lui infatti già sa che vuole tornare in India tra esattamente un anno.
Lunedì cominciamo questo mini corso di 8gg e poi sicuramente ne avrò altri perché questi vanno truann che mi piglio varie certificazioni informatiche. In pratica devo studiare, ma chissà se riesco a studiare cose che mi interessano solo superficialmente. Vorrei pure prendermi le certificazioni linguistiche, mo che sto qua checazz.
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elle-est-gabri-elle · 2 years
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Je travaille pour une entreprise éducative irlandaise, et ma ville est apparue dans l'examen irlandais !! La nostalgieeeee !
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calcitriolo · 11 months
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Comunque è incredibile come cambino i punti di vista quando conosci i Professori nella veste di colleghi.
Chiamo in Patologia Clinica perché c'è un paziente sotto immunosoppressori con una leucopenia molto più spinta rispetto ai prelievi precedenti e del quale non avevano refertato formula leucocitaria.
Risponde Professoressa ordinaria e titolare della cattedra con curriculum di quindici pagine doppia facciata nota per bocciare al minimo errore sulla formula del farnesil-pirofosfato (che poi amo', a che cazzo m'é servito saper scrivere la formula del farnesil-pirofosfato onesta dai) con: "non me la sento di refertare la formula".
SORE' E SE NON TE LA SENTI TU
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errakos · 1 year
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Des fois, il m'arrive de me souvenir d'un moment que j'ai vécu dans ma vie et de me demander ce que tel ou tel personne faisait à ce moment là pendent que je vivais cet instant.
Et surtout si elle a aussi le souvenir de ce moment
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alexar60 · 9 months
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La lumière sous la porte
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Les livres ont une grande place dans mon cœur. J’aime les lire, les toucher, les sentir. J’aime les exposer, voir leur couverture même si je ne les ai pas encore lus. J’aime les livres mais à trop en acheter, ils prennent de la place. J’en ai stocké dans des cartons, qui à leur tour, se sont imposés dans mon petit appartement. Je ne savais plus quoi en faire. Pas question de m’en débarrasser.
J’ai eu cette idée après avoir visité Amsterdam. A mon retour de voyage, j’ai réalisé qu’une pile de livres ressemblait beaucoup aux maisons hollandaises. Du coup, je me suis amusé à créer des rues, utilisant chaque bouquin pour faire une maison ou un petit immeuble de deux étages. Avec différents papiers, j’ai dessiné puis découpé des portes et des fenêtres. Je me suis appliqué à décorer de volets, des rideaux ainsi que des dormants et des impostes de portes. Je confectionnais des toits à l’aide de carton.
Chaque dos de livre devenait l’entrée d’une maison ou la devanture d’un vieux magasin Je me suis tellement appliqué que mes amis furent fascinés par mon travail. Ils parlaient d’œuvre d’art. Ils me proposèrent d’exposer car d’après eux, mon talent devrait être connu. Au début, trop méfiant et voulant éviter de participer à un diner de cons, je me contentais de donner une seconde vie à des livres que j’ai tant aimés lire. Cependant, j’eus un tel succès que je dus me résigner à accepter leur proposition. Dès lors, après avoir exposé dans une galerie, je me suis mis à vendre des piles de livres décorés et refaits en petites rues.
Je garde mes préférés dans une bibliothèque particulière. En effet, elle ne contient que des livres décorés. Chaque étagère représente une rue. J’ai même ajouté quelques petits pavés devant les livres pour donner un côté plus réaliste aux maisons. J’aime les observer le soir avant d’aller me coucher. Parce qu’elles ont une apparence féerique et j’imagine des habitants vivre dedans. Je les imagine en train de marcher, ouvrir les fenêtres ou les portes et vivre paisiblement ; une ménagère à la fenêtre étendant un drap, un homme rentrant du boulot.
Un jour, en les admirant de nouveau, je remarquais quelque-chose d’étrange. Sur le moment, je pensais à un reflet lié à la lumière de mon salon. Mais en approchant, je découvris de la lumière sous une porte. C’était une porte décorée et collée par mes soins, comment de la lumière pouvait apparaitre ? Je pris le livre, l’ouvris mais ne constatais rien de particulier entre les pages qui se dépliaient correctement. Dès lors, je replaçais le livre et retournais à mes occupations. En éteignant la lampe de la salle, je constatais un petit fil lumineux sous cette même porte. La lumière était réapparue !
Je ne savais son origine. Je pouvais prendre le bouquin, l’ouvrir, le secouer, tourner les pages. Rien n’y faisait, dès que je le rangeais, la lumière réapparaissait. Je cognais de l’index sur la porte ; bien entendu, personne ne répondit, personne n’ouvrit.
C’était étrange que de voir cette lumière sous cette porte fictive. Tous les soirs, je constatais qu’elle apparaissait pour disparaitre uniquement au lever du jour. Je passais les semaines suivantes à surveiller cette anomalie, d’autant qu’elle était la seule porte à laisser passer de la lumière. Même la fenêtre en plastique, collée au dos de ce livre ne montrait rien.
J’aurais pu me débarrasser du livre, le vendre ou simplement le donner. Néanmoins, ma curiosité insistait à surveiller ce phénomène. Je regardais donc ce livre, dont je ne me souvenais plus de l’histoire, laisser passer cet étrange trait de lumière. Et puis, je découvris de la lumière sous la porte d’un autre recueil. Hier soir, la lumière traversait la fenêtre, comme si quelqu’un habitait dans ce livre.
J’ai doucement frappé à la fenêtre et à la porte. Je n’ai vu personne, pas de petit bonhomme ou autre farfadet magique. Je suis resté bêtement à observer cette lumière qui scintillait dans le noir. Mais ce soir, je déposerai quelque-chose devant ce livre. Un petit morceau de pain ou, une demi-fraise, histoire de sympathiser. En espérant que la porte s’ouvre et qu’il y ait un habitant.
Alex@r60 – août 2023
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kika-ila · 9 months
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Cara Kika-Ila,
Volevo giusto approfittarne per complimentarmi con te per Total Drama Kids. Non posso dire di essere un grande fan di A Tutto Reality (solo l'Isola e Missione Cosmo Ridicola mi sono piaciute), ma il tuo fancomic... MAMMA MIA!!! Mi sono affezionato ai personaggi come mai avrei pensato di potermici affezionare (mai avrei pensato di arrivare a voler proteggere Scott!!!), e adoro il tuo stile. Leggerlo è stato un po' come tornare per primo ai tempi dell'asilo/prima scuola elementare, e a tutto quanto di bello e brutto portino con sè. A quattro anni e mezzo passai per primo quello che passa Trent (uno dei miei personaggi preferiti dell'Isola, e uno dei più deragliati in assoluto...), e mi sono rivisto tantissimo in quell'implicito senso di colpa ("Volevo vederlo, ma non l'ho fatto...")
Continua così, e in bocca al lupo per il futuro!
Grazie mille!!!
Ammetto che purtroppo quel fancomic non riesco più a finirlo, le serie successive hanno talmente tanto maltrattato i personaggi da affossarmi qualsiasi entusiasmo (e dire che gli devo tanto, è con quelle prime fanart che ho iniziato ad avere un po' di visibilità).
Però ci sono molto affezionata, sarà anche stato pieno di errori e ingenuità, ma ci ho messo tutto quello che avevo dentro e che stavo imparando a fare, passo passo, e sono sempre molto felice di vedere quanta gente ancora se lo ricorda (anche se mi vergono un pochino perché, insomma, è come leggere il mio diario del liceo ^^; )
Ti lascio un piccolo Trent:
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Portrait de mon arrière-grand-père, Martial Arsène Élie Dilis (1882-?) - Comment l’inconnu s’est révélé
En ce début d’année 2024, l’idéal aurait été de parler de mon sosa 2024. Malheureusement, je ne l’ai pas encore trouvé ! Je me contenterai donc de faire le portrait de mon sosa 24, mon arrière-grand-père maternel, Martial Arsène Élie Dilis (1882-?). Peu d’informations orales m’ont été transmises à son sujet par ma mère, qui l’a peu connu. Elle me l’a décrit comme alcoolique et rendant mon…
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mucillo · 24 days
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“Passai accanto a 200 persone e non riuscii a vedere un solo essere umano.”
Charles Bukowski
(Succede quando passi per il raduno della lega a Pontida).
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amespeciale · 8 months
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«Passai accanto a duecento persone
e non riuscii a vedere un solo essere umano».
Charles Bukowski
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sloubs · 8 months
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ça faisait un moment que j'avais pas rêvé d'aa, là cette nuit j'ai rêvé que je passais un grand examen sous forme de plusieurs épreuves (pour qui, pourquoi c'est un mystère) et genre aa était surveillant et président du jury ?? y avait une épreuve où on s'affrontait à un contre un et c'était une battle de danse avec objet imposé, du coup j'me suis retrouvée à danser avec une balle en mousse sur un remix de joyeux anniversaire et lui était en face totalement passible en train d'évaluer si oui ou non je méritais de gagner la battle (franchement pas pour me la péter mais j'ai dead ça)
et ensuite (oui parce que c'est pas fini mdr), la dernière épreuve c'était une épreuve d'écoute et de recueil d'informations sur une vidéo qu'on nous passait, J'AI RIEN COMPRIS au concept de l'évaluation ça avait aucun sens. en tout cas la vidéo c'était une enquête sur une meuf qu'on a retrouvé morte dans la forêt, et ils nous montraient un scan de sa tête où on voyait nettement une araignée près de son cerveau puis y a eu une reconstitution du moment où elle s'est fait bouffer par une araignée géante on aurait dit un film d'horreur le truc, et donc tout le monde a eu peur et moi j'ai raté mon exam.
après c'était la fin de l'évaluation, j'ai rendu mes copies à aa qui m'a trop mal regardé, je suis retournée chercher mes affaires sous des trombes d'eau puis j'me suis arrêtée récupérer un gratin que j'avais laissé dans le four thermostat 8, et la dernière chose dont je me souviens c'est aa qui se foutait de la gueule d'un mec au loin en disant "mais strauss-khan est pas mort espèce de con !" et voilà . je m'fais très peur
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perduedansmatete · 6 months
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en fait que je sorte ou pas que je sois avec des gens que j'aime ou toute seule dans mon lit que je me sente seule ou pas je finis toujours par chialer le week-end là ce soir je passais une super soirée puis vers quatre heure un gars qui m'a traumatisé l'année dernière est rentré là où j'étais ou il était là avant mais je l'avais pas vu je sais pas et j'ai eu envie de chialer instantanément ensuite il m'a parlé je sais même plus ce qu'il m'a dit j'ai automatiquement oublié en me rendant compte qu'il captait même pas qu'on s'était déjà rencontrés et à ce moment là j'étais toute seule j'envoie des messages pour dire ahah il y a le gars qui m'a traumatisé mais pas de réponse puis plus tard son pote vient me voir me dit nanana tu dégages quelque chose depuis tout à l'heure blablabla je sais pas quoi et j'étais incapable de répondre j'avais juste envie qu'il parte l'ami platonique entendait pas ce qu'il disait il m'a dit après t'aurais du me dire de le dégager quand il m'a dit en substance que j'étais une connasse de ne pas accepter ses compliments ou je sais pas quoi puis il m'a dit un peu comme son pote l'année dernière que j'étais jeune blablabla sous entendu que je suis une petite conne bref après ça l'ami platonique me réconfortait en me disant que j'étais pas toute seule que ça allait puis "on est là t'inquiète" et je le savais très bien ça mais j'ai plus réussi à ressortir la boule de mon ventre et à retenir les larmes de mes yeux donc je suis allée chialer plus sérieusement aux toilettes il m'a forcé à sortir en me disant que ça faisait au moins quinze minutes ce qui est faux je pense d'ailleurs au début il m'a demandé si je vomissais puis après il a essayé de me faire re rentrer dans la soirée mais j'arrivais plus il m'a pris un uber je voulais pas être dans une voiture avec un mec mais j'avais pas envie de lui dire et de l'emmerder donc je suis montée dedans et il était trop mimi il m'a demandé comme c'était ce club donc je lui ai fait la pub même si j'arrête pas de râler sur ses récents changements puis on a parlé de rap et de queen il était très gentil mais une fois sortie de la voiture et maintenant que je suis toute seule dans mon lit je continue de pleurer avec ma boule au ventre bref une belle fin de soirée
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logogreffe · 1 year
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If you are learning French, I urge you everytime you learn a new word, to check if French people use it orally, and if not, to note the other version and don't forget to note the verlan aswell !! It's annoying I know, but the gap between written and spoken French is enormous and you'll be lost if you don't know the shortened version of words or the verlan. Exemples : - Appartement, n.m : an apartment Common version (orally) : un appart - Merci, n.m : thanks Verlan form = Cimer But, do I really need to learn the shortened version of words ? Well, do you understand the following sentence ? -> Quand j'étais ado, je révisais mes exams dans la cour de récré, je passais des heures avec mon fluo à la main, à relire mes exos de maths. (When I was a teenager, I would study for my exams in the school yard, spending hours with my highlighter in hand, rereading my math exercises.) If not, you can go take a look at my posts on shortened versions of French words here : Part 0 , Part 1 , Part 2
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ernestinee · 9 months
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Finalement c'était une chouette journée !
Pour rappel, je conduisais ce matin l'ado à 1h30 de la maison, pour le reprendre ce soir et j'avais plusieurs options :
- m'ennuyer à l'attendre, la dernière fois il faisait mauvais, j'ai lu dans la voiture toute la journée et j'avais détesté le bouquin #vieuxchiant (j'avais fait un hashtag exprès pour l'auteur oui oui)
- rentrer à la maison et retourner le chercher au même endroit le soir, soit 6h de route en tout.
Alors finalement rien de tout ça, j'ai pris les appareils photo et j'ai roulé 50 km de plus pour retrouver les endroits où je passais les camps de vacances quand j'étais enfant, puis ado. Ça faisait une éternité que je n'y étais plus allée mais je n'avais rien oublié. Il faudra que je scanne les polaroid convenablement et ils iront dans ma série "places of my childhood". Le polaroid n'a pas été capricieux. J'ai vu les antennes de Lessive, le domaine des Masures, le Belvédère, la maison du pendu qui était à l'origine d'un tas d'histoires effrayantes, je suis descendue ensuite pour retrouver la source de la Lomme et cet endroit est mon endroit préféré du monde, je me souviens très clairement être enfant, dans la voiture vers le camp, et être impatiente d'y arriver, je me souvenais des racines enchevêtrées, des rochers qui dépassent, des endroits où être au plus près de l'eau, de la grotte où j'avais eu un cours de spéléo, puis je suis retournée à la voiture, j'ai trouvé un magasin pour acheter à manger et à boire, et alors que j'allais m'installer à l'ombre pour manger, j'ai vu un groupe de scouts qui faisaient du stop, je les ai amenés où ils voulaient être, c'était des scouts de Bruges hyper sympas et qui parlaient super bien l'anglais, j'ai pas vu le temps passer, on a fait 25 km dans les lacets de la région de Houyet en Ardenne. On a eu une chouette conversation à propos des vacances et celui qui était sur le siège passager m'a demandé ce qui m'avait le plus plu lors du road trip en van en Italie, et je n'y avais jamais réfléchi je crois. J'ai finalement dit que j'avais adoré ne pas savoir du matin où j'allais dormir le soir, j'avais adoré le fait de ne pas tout devoir planifier, le fait de rouler si envie, s'arrêter si envie, manger quand on a faim même si c'est pas l'heure. Il a dit que sa mère avait très envie d'un road trip mais leur famille est trop grande pour embarquer tout le monde et que ce serait génial si elle pouvait experimenter ce truc de ne pas devoir planifier tout le temps, parce qu'il voit qu'elle est très stressée à cause de toute la charge qu'elle a sur les épaules. J'ai fait un petit détour pour qu'ils gagnent leur concours du groupe qui fait le plus de km avec une voiture en stop, on a dépassé d'autres groupes et on leur a fait signe en rigolant.
Après il était presque l'heure de reprendre l'ado donc je suis allée sur place, j'ai (enfin) mangé et il m'a demandé de le reprendre plus tôt voilà voilà comment une journée qui était censée être pénible est devenue une chouette journée de vacances, j'ai été seule, j'ai fait ce que je voulais, j'ai bronzé et j'ai bien marché.
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amore-perso · 4 months
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Parte 2
"Speciale deriva da species, che significa spettacolo, scena vista, qualcosa che risalta agli occhi di chi sa guardare"- è quello che mi disse guardandomi negli occhi con quella luce soffusa che proveniva dalla luce del corridoio, lasciata accesa per la fretta di cogliere al balzo l'occasione di sdraiarsi accanto a me. "Immagino che tu sia colui che sa guardare" -dissi- "non è forse speciale anche la persona che riconosce chi altri lo sia?" -non perdeva mai l'occasione per esaltare le sue qualità, pure troppo, forse anche fino a risultare odioso a volte. Ma a quel punto cominciò a sfiorarmi il viso, io risultai sicuramente infastidita, perché mi girai meglio dalla parte opposta, in ogni caso gli facilitai la presa, in quella posizione poteva tenermi stretta, con una mano sulla guancia, toccandomela meglio, c'era più contatto. Il mio cuore iniziava a battere più veloce ma riuscivo a tenere la calma, forse facilitata dal sonno, che ancora la sua presenza non mi permetteva di prendere. Mantenni quella posizione per tanto, dopo qualche minuto mi iniziava a piacere la sensazione della sua mano calda posta quasi sulla mandibola, a sfiorare la parte del viso a metà tra guancia e collo, tra castità e desiderio. Cominciavo a rilassarmi e quasi ad addormentarmi, quando la sua mano cominciò a spostarsi, scese giù, nel tragitto per qualche secondo mi sfiorò il seno, scese ancora giù. Per un attimo ebbi paura o forse sperai, forse lo pensai perché in realtà lo volevo, che cominciasse a toccarmi meglio. La sua mano cercava qualcosa, disperatamente quasi, era la mia mano, la prese, incastrò le sue dita con le mie, ci giocò per qualche minuto e poi la portò al suo viso. Ovviamente la posizione iniziale, in cui lui mi stava abbracciando da dietro, così non era più comoda per me, dovetti girarmi.
Se la teneva stretta, come a dire "accarezzami, non togliere la mano", è quello che feci: iniziai a sfiorare la leggera ombra di barba che aveva col dorso della mano, i suoi occhi iniziarono ad addolcirsi, non erano come al solito e passai a delle carezze migliori. Ora mi trovavo lì, quasi a pancia in giù, per metà appoggiata al suo petto, con il braccio che mi faceva da cuscino e la mia mano che smetteva di accarezzargli il viso solo per passare qualche secondo sul suo petto. Lui vide nel mio sguardo la paura di caderci ancora, la paura di crederci, di stare davvero bene a causa della mancanza di fiducia nei suoi confronti. Non potevo fidarmi, ogni volta che ero stata bene lui spariva, né un messaggio, né una chiamata, come potevo credere al suo bisogno di ricevere il mio amore, le mie attenzioni... Mi conosceva, leggeva nel mio sguardo ognuna di queste domande e iniziò a parlarmi di quello che lo portava a essere in quel modo.
Da un ragazzo così cosa vi aspettereste? Nulla di specifico, non mi raccontò del perché lo faceva da sempre, né cosa successe nel particolare: si limitò a parlarmi della sua unica relazione, avuta qualche anno prima, quindi comunque dopo che aveva già l'abitudine di sparire. Aveva sofferto, tradito dal suo migliore amico, non aveva perso solo la sua ragazza, sentiva che tutto quello che aveva fatto per entrambi non era stato apprezzato, si sentiva perso e un po' abbandonato. Io ero lì ad accarezzarlo nel tentativo di calmare il suo sfogo, a guardare nei suoi occhi mentre mi raccontava la sua storia, quando mi colpì una frase specifica "per me tu sei un mondo". Vi spiego: non stava parlando di me, ma era uno di quelli che ci metteva anima in quello che faceva, anche io, per cui lo capivo benissimo, e il fatto di non essere apprezzato o che nulla gli veniva riconosciuto lo minava dall'interno, parlava di questa ragazza come un mondo conquistato dopo tanto e che lui aveva contribuito a costruire, un luogo dove trovare rifugio, benessere, qualcosa di enorme, che lo avvolgesse e in cui perdersi, con le sue piccole e uniche caratteristiche. Per lui ero così, con altre diverse piccole e uniche caratteristiche: realmente eravamo dei mondi, dei piccoli pianeti, ognuno differente dall'altro, compresi appieno ciò che voleva dire. Tuttavia, la frase mi colpì perché dolorosa, mi immaginai nella mente un piccolo astronauta, che pur avendo scoperto un pianeta bellissimo per lui, decise di scoprirne un altro e focalizzarsi su questo, considerando il primo solo quando aveva voglia. Pertanto, presa un attimo dall'impulsività, gli risposi "un pianeta che però hai frequentato a intermittenza", lo avevo beccato. Sembrava realmente dispiaciuto della scelta che aveva fatto ma il secondo mondo, a quanto disse, era per lui l'unico che all'epoca poteva frequentare. Effettivamente anche io ero spesso sfuggente, lato che alla lunga poteva dare fastidio, scambiandolo per volontà di non ricambiare i suoi sentimenti. Continuavo a guardarlo negli occhi, quella sera c'è stata un'intimità che in 10 anni non si era mai creata. Mi disse che avrebbe tanto voluto stare con me così da tempo e che non si era mai creata l'occasione, ma che se quell'attesa fosse stata necessaria per provare quello che provava in quel momento, ne valeva la pena. "Sto bene" -disse guardandomi negli occhi- "sto proprio bene, con te così, non ho mai guardato nei tuoi occhi così a lungo e tu non hai mai guardato così i miei, tutto questo mi rende colmo di benessere". Era vero, c'era una strana magia che rendeva diversi i nostri sguardi quella sera, io sentivo la sua gioia, la sua sincerità e il suo reale senso di benessere nello stare così.
Tutto ciò mi aveva inebriato: le sue parole, i suoi occhi, un suo sorriso sincero che non avevo mai visto prima, lo stare vicini, le carezze, il suo entusiasmo nel parlare dei suoi sentimenti verso me, tutto. Mi persi anche io nel suo entusiasmo, mi feci prendere, i miei pensieri legati ai suoi e non mi accorsi che era a un millimetro da me che cercava di baciarmi. Non me la sentivo di baciarlo, ma era lì e un po' di desiderio c'era, comunque realizzai quello che stava accadendo realmente solo quando le sue labbra erano già sulle mie e di colpo andai via. Quello che ne risultò fu un mezzo bacio a stampo, storto, con uno schiocco a vuoto, orribile, perché subito mi allontanai, mi tolsi il piumone di dosso e, messe le scarpe e il cappotto, corsi via, lasciandolo lì, solo nel letto.
Continua
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