Tumgik
#moins invasive
jolukiwede · 2 years
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Notice utilisateur galaxy dimension
onctionnalités du système 4 Présentation de la centrale d alarme 5 Mise en fonctionnement 6 1.
Seul le code installateur - après autorisation par un utilisateur (voir Section 6du manuel d'installation/programmation des centrales Galaxy DimensionIE8-0063)
Le système d'alarme Galaxy Dimension est contrôlé par microprocesseur et conçu à Le code PIN identifie l'utilisateur sur la centrale Galaxy et autorise.
Voir et télécharger Honeywell Galaxy Dimension GD-48 guide d'utilisation en ligne. Galaxy Dimension GD-48 panneaux de contrôle téléchargement de manuel pdf
Visitez honeywell.com/security/fr pour plus d'informations sur la gamme Galaxy Dimension. HSC-DIMCHART-07-FR(0715)PO-E. GD-48: C048-C-E5.
Page 56 Utilisation du clavier (suite) Manuel d'installation Galaxy Dimension Touche Échappement La touche esc annule toute modification apportée à l'option en
Manuel d'installation Galaxy Dimension. 3-16. Utilisation du système audio. Configuration programmable. Les canaux audio doivent être mappés à des groupes
</p><br>https://tukamopum.tumblr.com/post/694364596914520064/masque-argile-visage-mode-demploi, https://qetejuqet.tumblr.com/post/694363556911726592/sorbetiere-lagrange-framboise-mode-demploi, https://qetejuqet.tumblr.com/post/694364651950129152/schneider-cct15854-notice, https://tukamopum.tumblr.com/post/694363160805769216/e-smart-cigarette-mode-demploi-four, https://qetejuqet.tumblr.com/post/694364925317038080/emploi-montblanc-summit-download-link.
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hedgehog-moss · 10 months
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Bonjour, Mon rêve absolu est d'habiter à la campagne, dans un endroit très isolé et sans voisins. Mais j'ai la phobie des chasseurs, et je ne sais pas comment je vais faire pour les supporter. Je randonne beaucoup en campagne, et j'en croise énormément, ou bien je me retrouve au milieu de battues (je suis pourtant sur des circuits de rando). Je vois des amorces de cartouche près des maisons, aussi. Bref, je me demandais : comment fais-tu avec eux ? Merci pour ton blog, si beau et reposant ! <3<3
Salut :) Je compatis vraiment, la chasse est une plaie... Ils sont censés disposer des panneaux 'battue en cours' mais pareil je croise souvent des chasseurs & chiens en forêt sans avoir vu le moindre panneau. (Une fois j'ai vu un chasseur en train d'installer tranquillement son panneau à 100m de chez moi – j'ai été le voir en mode faudrait peut-être songer à pas se foutre du monde et il a dit qu'il ne s'était pas rendu compte qu'il était si près, alors qu'on voyait ma maison depuis l'endroit où il mettait le panneau...)
Ils aiment bien prétendre être l'ultime rempart entre l'honnête citoyen et une incontrôlable invasion de sangliers mais j'ai dû batailler pendant un an pour qu'ils arrêtent de poser des tonneaux pleins de maïs dans mes bois pour attirer les sangliers, donc bon. Arrêtez de les gaver déjà ? Ils élèvent aussi des faisans pour les mettre en liberté la veille d'une battue, les pauvres pitchouns n'ont aucun instinct de survie (se laissent approcher sans problème, errent au milieu des routes d'un air paumé...), ça doit être aussi gratifiant que de chasser des poulets de batterie. C'est vraiment le sketch des Inconnus où ils arrivent avec leur propre galinette et se mettent à quatre pour lui tirer dessus dès qu'elle sort de sa cage.
Bref je n'ai pas vraiment de solution, j'imagine que les options se résument à : 1. Parler de ta problématique aux maires des communes quand tu en seras à prospecter, pour savoir s'il y a des espaces protégés ou plus sûrs — sur les hauts plateaux derrière chez moi il doit y avoir peu de gibier par rapport aux coteaux boisés, je n'y vois jamais de chasseurs par ex 2. S'adapter comme les chevreuils pour devenir un animal nocturne et faire ses balades la nuit. Bon personnellement j'adore me balader la nuit, il y a plein d'animaux sauvages et de beaux ciels étoilés, mais c'est vrai qu'on ne profite pas trop des paysages ! 3. Ne se balader que chez soi de septembre à mars, si on possède un terrain avec quelques champs ou une parcelle de forêt, puisqu'on peut faire interdire la chasse dans les terrains privés (c'est pas foolproof mais à force de râler on y arrive...), et ne s'aventurer plus loin que hors saison :/ 4. j'allais ajouter : s'installer à proximité d'un parc naturel ou une forêt protégée, mais je viens de vérifier et apparemment la chasse est quand même autorisée dans la plupart de ces zones >< J'ai une forêt protégée près de chez moi où chasse & exploitation sont interdites, mais ça doit être au cas par cas pour savoir ce qui est autorisé ou pas dans une forêt donnée, et les autorisations peuvent changer (comme dans le parc naturel du Vercors je crois où ils avaient interdit puis ré-autorisé puis ré-interdit la chasse en l'espace de 3 ans...)
Pandolf a horreur des chiens de chasse et il entend les battues bien avant moi et ça le fait grommeler, donc avoir un chien peut aider, au moins pour être alertée de la présence de chasseurs à proximité, surtout les jours de mauvaise visibilité. Je me souviens d'une fois où il s'était mis à grogner sans que je sache pourquoi (on était chez nous), je vais voir au fond du pré et au bout d'un moment j'entends un coup de fusil au loin et c'était un jour de brouillard épais où on ne voyait pas à cinq mètres, faut vraiment être un branquignol pour chasser dans ces conditions... Mais même si on arrive à mettre la main sur un interlocuteur auprès de qui se plaindre on reçoit en gros le message "ah oui c'est pas très autorisé ça mais bon ma bonne dame faudra vous y faire, vous êtes à la campagne, y'a des chasseurs"
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simply-ivanka · 5 months
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Trump says he will mass deport migrants with 225-year-old law
TRUMP 2024
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selidren · 3 days
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Printemps 1920 - Champs-les-Sims
2/5
Pour changer de sujet (je pense que vous avez saisi que mon mari peut être compliqué sur de nombreux points), je n'ai pu m'empêcher de rire de la mésaventure de votre fils. Il devait se sentir penaud quand vous l'avez réprimandé, il n'est guère charitable de calomnier les souffreteux, ils ont bien d'autres choses dont se soucier sans qu'un jeune adolescent n'amène les torches et les fourches. Que voulez-vous ? C'est une jeune génération passionnée. Ces dames dont vous me parlez ont cependant l'air adorable. Si elles ont demandé à emprunter la photographie, cela ne m'étonnerait pas qu'elles aient perdu un fils à la guerre. J'imagine que cela suffit pour s'en rendre sévèrement malade.
J'ai fortement pensé à vous ces derniers temps. Selon Madame Eugénie, il fut un temps où Monsieur Auguste parlait à notre famille des anglais qui s'installent à Hylewood, et que les questions évoquant francophones et anglophones sont parfois tendus au Canada. Chez moi aussi, ces maudits anglais ont déclenché un incident diplomatique !
Il y a peu de temps, un jeune gallois (à ce qu'il semble, je ne peux me vanter de savoir différencier un gallois d'un anglais ou d'un écossais), s'est présenté chez une jeune veuve, Anne Barthélémy (ses relations font que nous la connaissons pas le biais de Jeanne, la soeur de Jules). La pauvre jeune femme a perdu son mari en 1916, et il se trouve que le nouveau venu, Monsieur Norton, dis n'avoir eu sa vie sauve que grâce à son mari. Il a mis un moment à la retrouver, et s'est mis à la disposition de la jeune femme, affirmant qu'il devait bien cela à l'homme qui avait donné sa vie pour sauver la sienne. Il est arrivé avec de nombreux cadeaux venus du Royaume-Uni et d'Amérique, et parmi tous ces cadeaux, il y avait des enregistrements magnétiques de chansons américaines pour télégraphones. Ces enregistrements ont fait le tour du village. Je ne sais pas Madame Barthélémy va laisser Monsieur Norton la courtiser encore longtemps, mais en tous cas, la musique l'a séduite. L'enregistrement est donc arrivé chez nous et a beaucoup plu aux filles. Un certain Monsieur Gershwin, à ce qu'il parait, qui commence à devenir très populaire aux Etats-Unis. Peut-être est-il déjà connu au Canada ?
Il a en revanche moins plu à Madame Eugénie qui se plaint d'une invasion de tuniques rouges dans son salon. Cela pourrait prêter à sourire si elle n'avait pas, par ce biais, ramené ses vieilles obsessions et perturbé encore une fois mes enfants.
Transcription :
Eugénie « Que faites-vous jeunes filles ? »
Sélène « Tante Juliette nous a appris la valse la dernière fois qu’elle est venue. »
Arsinoé « Nous nous sommes dit que ce serait intéressant de pratiquer un peu pour ne pas perdre le peu que nous avons assimilé. »
Eugénie « Ce n’est pas précisément une musique adaptée à la valse. Qu’est-ce d’ailleurs ? »
Sélène « De la musique américaine. Je ne me souviens plus du nom de l’artiste. Ils l’ont joué chez les Hurelle la semaine dernière, c’est un cadeau d’un anglais je crois. »
Eugénie « Mmh… Et de quoi ça parle ? »
Arsinoé « Pas la moindre idée. »
Eugénie « Jeunes filles, si vous souhaitez pratiquer la valse, il faut une musique adaptée. Changez immédiatement. »
Eugénie « Voilà qui est mieux. D’ailleurs, comment cette satanée musique s’est retrouvée en ta possession jeune fille ? »
Sélène « Et bien l’anglais l’a joué à Anne pour essayer de l’égayer un peu. »
Eugénie « Oh oui, pauvre enfant. »
Arsinoé « Puis La petite Léone l’a entendue. Elle en a parlé à Simon à l’école, qui a eu envie de l’écouter. Il l’a fait écouter à la mère et à sa grand-mère aussi. »
Eugénie « Jeanne a apprécié ? »
Sélène « Je ne sais pas. »
Eugénie « Ah… Sélène, tiens donc tes grandes jambes plus droites et suis le rythme ! »
Sélène « Mais c’est si lent ! »
Eugénie « C’est normal, il faut commencer lentement. Redresse toi donc un peu ! Seigneur, on dirait ton père quand il a commencé à marcher ! »
Arsinoé « Aïe ! »
Sélène « Oh mince, je suis désolée ! Tu as mal ? »
Eugénie « Que tu es maladroite ! »
Arsinoé « Non, ça va. C’est n’est pas si grave. »
Eugénie « Tu es encore bien trop maladroite pour danser avec ta sœur, Sélène. Je demanderai à tes cousins de te donner des leçons. En attendant, demande donc à Cléopâtre de venir, elle sera plus à même de danser. C’est une enfant qui, à défaut d’être convenable, a un indéniable sens de l’élégance. »
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lemondeabicyclette · 7 months
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Engin ingénieux : Deux jeunes hommes habillés à la mode se tiennent près d'un vélo en tandem remorquant un buggy de transport.
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Paris occupé par les nazis : des swastikas géants bordent les rues de la capitale française. Paris est tombé aux mains des Allemands quelques semaines seulement après que les nazis aient lancé une invasion en 1940.
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Loisirs : Une femme galbée penchée sur le pont est au centre de cette photographie. Zucca a eu accès au dernier - et extrêmement rare - film Agfacolor pour montrer Paris comme une grande ville amusante et pleine de gens heureux. Lorsque ses photos furent exposées à Paris en 2008, Bertrand Delanoë, alors maire de Paris, a ordonné un avis pour accompagner les images indiquant que les images évitaient la réalité de l'occupation et ses aspects tragiques.
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Une femme élégante quitte un vélo-taxi : le ministre nazi de la Propagande Joseph Goebbels voulait que Paris conserve son image d'avant-guerre, du moins en surface.
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Pas encore moderne : les vélos sont rejoints dans cette image par la vue même anachronique d'une voiture tirée par des chevaux. Lorsque ces photos furent exposées en 2008 - plus de 60 ans après avoir été prises - beaucoup ont appelé à la fermeture de l'exposition.
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Fat of the land : Un homme et une femme à l'air riche roulent dans un chariot tiré par deux Parisiens minces sur un vélo tandem. La richesse et la collaboration avec les nazis ont contribué à préserver la vie d'une certaine élite alors que des milliers de Juifs français étaient envoyés dans les camps de la mort.
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aisakalegacy · 5 months
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Été 1915, Saillant d’Ypres, Belgique (7/14)
Une autre chose qui pourra faire plaisir à mes cousins au front : il faut leur acheter pour 6 sous d’onguent gris et leur dire de se frictionner les endroits qui leur feront mal. À cause des mauvaises conditions d’hygiène, nous avons des invasions de poux, et je peux vous assurer qu’ils sauront apprécier un tel cadeau.
[Transcription] Zéphir Rumédier : sanglote Heather Delacroix : Ça va, Zéphir ? Odin Delacroix : Il a peur des obus. Il est comme ça à chaque fois qu’il y en a un qui tombe. Jules LeBris : Il arrêtera de pleurer le jour où un obus tombera directement sur nous. Heather Delacroix : Allez-vous en chez l’yâble. Vous êtes complètement fou de dire ça, Le Bris ! En quoi cela arrange vos affaires d’effrayer le pauvre garçon ? Jules LeBris : Je n’ai rien à fumer, rien à boire, j’ai bien le droit de râler un peu. Heather Delacroix : Mais pas celui de décourager tout le monde avec vos paroles morbides ! Gardez-les pour vous. Sacrament que vous me tapez sur les nerfs ! Odin Delacroix : Elle a raison, Le Bris. Gardez la tête et le moral hauts. Se plaindre ne sert à rien. Bert Simmon : Ostie de poux !! Je n’en peux plus de me gratter. Coupez-moi la jambe maintenant, au moins ce sera fait. Heather Delacroix : Vous n’allez pas vous y mettre aussi !
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lepartidelamort · 6 months
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L’État juif en France dispose d’une vaste structure para-étatique qui démultiplie sa capacité de contrôle de la société. Il y a ainsi 1,5 million d’associations subventionnées à hauteur de plus de 50 milliards d’euros par an.
Le domaine de la « culture » est enrégimenté par le ministère du même nom, lequel dispose d’un budget de 10 milliards d’euros pour corrompre ceux qui consentent à alimenter la propagande constante du régime, notamment à la télévision et au cinéma.
La presse quant à elle perçoit des milliards d’aides, faute de lecteurs.
Il y a aussi les syndicats, tous plus ou moins marxistes, pro-invasion et férocement enjuivés, qui perçoivent des montants inconnus, puisque l’État comme le CAC40 les arrosent de cash de manière discrétionnaire. La CGT a par exemple un château à Fontenay-lès-Briis dont vous assurez l’entretien avec vos impôts, bien entendu réservé à ses dirigeants.
À ces factions et cette machine de propagande s’ajoutent les structures de répression politique pure que sont la LICRA, l’UEJF SOS Racisme, le MRAP, la LDH, etc., appuyées à l’intérieur du ministère de la Justice par la maçonnerie ou les réseaux trotskistes du Syndicat de la Magistrature, en plus du gouvernement en tant que tel. Enfin, la DILCRAH coordonne la purge de l’internet, etc..
Tout ça vient en plus du lavage de cerveau obligatoire qui commence à l’école, sous la direction du ministère de « l’Éducation » du juif homosexuel Attal.
Ce vaste système n’a d’équivalent que dans les régimes communistes, quoique les régimes communistes n’ont pas besoin de dissimuler ce genre de contrôle sous un vernis para-étatique. D’autant qu’ils n’en ont généralement pas les moyens.
La France est effectivement un système communiste dirigé par des juifs, mais il ménage une part d’économie privée pour financer cet énorme appareil de contrôle et de surveillance des populations qui utilise la sous-traitance pour une plus grande efficacité. L’innovation de cette république, c’est de financer l’esclavage des goyim par leurs taxes.
Imaginez si demain l’État finançait à hauteur de 50 milliards d’euros des associations de droite et d’extrême-droite virulemment anti-républicaine, anti-démocratique, racistes et antisémites.
Imaginez une seconde.
Chaque semaine, nous aurions des conférences, des manifestations, des concerts, des foires, des projets sur des thèmes pro-blancs.
D’où le fait que la France soit un enfer marxiste, pourri de métèques, avec des crasseux de gauche absolument partout, payés à semer le chaos pour le compte de la juiverie. Dans un tel environnement, la police politique juive ne rencontre évidemment aucune opposition sérieuse.
Pourtant, le régime hurle constamment contre « l’ultra-droite » dans un pays où la chasse au Blanc est ouverte.
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kilfeur · 6 months
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Ce que je trouve intéressant avec Nolan c'est que justement il devient peu à peu humain. Dans la saison 1, Nolan voulait changer Mark pour qu'il voit les choses selon son point de vue. Qu'il agisse comme un viltrumite et non comme un être humain ! Mais à la fin de la saison 1, on sent qu'au final c'est pas Nolan qui a changé Mark mais l'inverse qui s'est produit. Surtout qu'il a erré dans la galaxie sans but parallèle avec sa femme, Debbie qui aussi erre sans but ! Et était prêt à mettre fin à ses jours montrant que oui les évènements de la saison 1 l'a marqué et ne l'a clairement pas laissé indifférent. Et je pense qu'il y avait de la manipulation quand il parle à Mark de sauver cette planète or je pense qu'il essayait d'être sincère malgré tout. Mark est content de le revoir car il lui a manqué malgré ce qui s'est passé entre eux. Et peut enfin dire ce qu'il ressentait envers lui depuis le début de la saison 2 à juste titre. On sent que le ressenti envers son père est plus compliqué que juste "Je te déteste !".
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Surtout que Nolan a refait une famille dans cette planète alors oui c'est extrêmement vache et cruel de faire ça devant son fils en plus ! Mais je sens que Nolan essaie de répliquer la vie qu'il avait sur Terre avant qu'il commence l'invasion ! Du moins c'est comme ça que je le vois. Et quand il voit les pertes dans sa planète, il ne comprend pas pourquoi il ressent ça justement pourquoi il a de la peine alors qu'il dit que les espérances de vie de ses insectes est courte ? Et justement dans cette scène son fils est là montrant que oui, par la présence de Mark, il devient petit à petit humain, quelque chose qu'il ne comprend pas ! Car les Viltrumites se fichent de ça, d'être humain, tout ce qu'ils veulent ce sont des soldats pour leurs plans d'invasions, pas d'êtres humains.
J'aime beaucoup ce début de développement pour Nolan donc curieuse de voir la suite ainsi que comment la relation avec son fils va évoluer
What I find interesting about Nolan is that he gradually becomes human. In season 1, Nolan wanted to change Mark so that he would see things from his own point of view. That he would act like a viltrumite and not a human being! But by the end of season 1, we feel that in the end it wasn't Nolan who changed Mark, but the opposite. Especially since he's been wandering the galaxy aimlessly in parallel with his wife, Debbie, who's also wandering aimlessly! And was ready to take his own life, showing that yes, the events of season 1 left their mark on him and clearly didn't leave him indifferent. And I think there was some manipulation when he talks to Mark about saving this planet, but I think he was trying to be sincere in spite of everything. Mark is happy to see him again because he missed him despite what happened between them. And he can finally say how he felt about him from the start of season 2, and rightfully so. We sense that his feelings towards his father are more complicated than just "I hate you!".
Especially since Nolan has rebuilt a family on this planet, so yes it's extremely bitchy and cruel to do this in front of his son on top of that! But I feel that Nolan is trying to replicate the life he had on Earth before he started the invasion! At least that's how I see it. And when he sees the losses on his planet, he doesn't understand why he feels this way. Why does he feel sorry when he says that the life span of his insects is short? And it's precisely in this scene that his son is there, showing that yes, through Mark's presence, he is gradually becoming human, something he doesn't understand! Because the Viltrumites don't care about that, about being human, all they want are soldiers for their invasion plans, not human beings.
I really like this early development for Nolan, so I'm curious to see what happens next, and how his relationship with his son develops.
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claudehenrion · 29 days
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''Le toboggan de l'enfer... ''
Cet excellent titre n'est, hélas, pas de moi, mais de Gaëtan de Capèle, que je n'ai pas l'honneur de connaître, mais qui me pardonnera, je l'espère, ce petit emprunt qui résume bien le déroulé de la ''course à la mort'' dans laquelle nos maîtres-à-penser-de-traviole nous ont lancés, sans raison et sans justification autre que de croire que leur inculture profonde les autorise à détruire tout ce qui a marché pendant des millénaires, jusqu'à eux : ces idiots se croient plus malins que tout ce qui les a précédés sur terre. Ces lumières éteintes se persuadent qu'il y aurait eu, comme aurait pu le chanter Dutronc... ''Trois cents générations de cons absolus... et (puis) moi, et moi, et moi...''
(Nb : En réalité, c'est infiniment plus : si on prend comme point de ''départ'' de l'homo sapiens un reste fossile vieux de 200 000 ans, et si on divise 200 000 par 30 (=''une génération''), on se découvre pas loin de 7000 générations d'ancêtres communs à tous les hommes. Pas mal, non ?).
Le rapport des forces, en cette période de grande tristesse et de drames potentiels illimités peut se décrire conne suit : d'un côté, les fondements solides, éprouvés et démontrés, qui sont la base de notre civilisation occidentale, dite aussi (ce qui n'est pas sans intérêt) judéo-chrétienne (NDLR : qu'on ne lise pas, ici, ce que je ne pense pas : elle est loin d'être parfaite –qu'est-ce qui est parfait, sur Terre ?--, mais elle n'a cessé d'être et de se laisser améliorer, depuis quelque 2000 ans –et c'est d'ailleurs ça, sa plus grande force !).
De l'autre côté, plutôt face à face que ''en face'', un fatras d'idées à peine ébauchées, à la fois pétries et polluées de faux bons sentiments, de vrais mensonges dégoulinants de sensiblerie victimaire et de superficialité larmoyante : les idées soi-disant ''à la mode'' disent vouloir tout changer mais n'arrivent qu'à tout détruire. Pourquoi une immense majorité de français croit-elle malin de tourner le dos à tout ce qui serait bon pour elle et pour eux, et de brandir, plus ou moins, les poisons d'un futur sans espoir ?
A ma droite, donc, un ''corpus doctrinarum'' cohérent, pensé, logique, rationnel, ''cogité'' si vous me permettez... et à ma gauche, un amoncellement indigeste d'idées glanées au gré des événements, réputées apparemment bonnes, mais n'ayant jamais dépassé un premier degré d'analyse (càd du niveau du ''ressenti immédiat', et pas du tout du ''réfléchi''), dont pas une seule n'a été testée ni essayée avant sa mise en œuvre et qui, plus grave encore, n'a jamais fonctionné nulle part –j'insiste : nulle part, jamais ! Le résultat est épouvantable : un groupuscule de gens qui ne sont remarquables que par leur inculture, leur inaptitude à être conseilleurs, leur nullité ''XXL'' tous azimuts et leur inconséquence encyclopédique... a ou ont décidé qu'il était plus facile de se laisser glisser sur le sentier de plus grande pente que de lutter dans l'espoir d'un résultat meilleur.
Pour reprendre une image ''limite lieu commun'', il est plus facile de se laisser entraîner par le courant facile du ''changement pour le changement'' que de nager à contre courant –sauf que, ce faisant, on est sûr de ne jamais arriver à l'endroit où on avait décidé d'aller. Cette manière de refuser toute intelligence ne peut conduire que vers le néant de ces mortelles ''lois sociétales'', dans un premier temps, et ouvrir ensuite la voie vers une catastrophe totale et définitive --et nous sommes en route vers cet enfer qui a nom : la non-prise en mains de la dette... le refus de voir l'immigration en cours pour ce qu'elle est –une invasion... la trouille de reconnaître la vérité sur les drames nés de l'effroyable gestion de la crise prétendue ''du covid''... ou les folies en cours dans le traitement infantile de la crise ukrainienne... Autant de bonnes raisons de paniquer.
La situation, qui a été prévue, annoncée et répétée par pratiquement toutes les sources possibles, se résume à une prise de conscience brutale : notre ''le plus jeune Président jamais élu'' (NDLR : comme on aurait aimé avoir un adulte mature à ce poste, au lieu d'un gamin inexpérimenté qui offre, par caprice, ses joujoux nucléaires à n'importe qui, sans contrepartie !) vient d'avoir comme une espèce de révélation : ''la France est au bord du gouffre''... et il a l'air d'être totalement surpris de cette découverte (NB : sur laquelle même Moscovici, pourtant nettement plus stupide que la moyenne, attirait régulièrement son attention : personne, parmi les Nuls qui nous gouvernent –ou nous embrouillent, plutôt-- ne pourra jamais dire ''Je ne savais pas'' !).
Sans la perversité militante de quelques petits juges endoctrinés, c'est dès 2007 que, si on avait pris quelques petites mesures salvifiques, on aurait évité ce grand plongeon vars l'Horreur majuscule : François Fillon, le seul qui avait la stature voulue à ce poste, a été interdit d'élection... comme n'importe quel colonel de n'importe quelle république bananière, supplanté par un autre colonel tout aussi nul... Il ne restait plus qu'à laisser s'enfiler toutes seules les perles puantes de la doxa progressiste, c'est-à-dire toutes les conneries perverses qu'on nous a imposées sans la moindre raison, sous couvert de covid... et ensuite les folies indescriptibles d'une ''gestion de crise par des amateurs immatures''. Aujourd'hui, on ne peut que constater et déplorer l'étendue des dégâts et l'immensité du gouffre qui nous aspire !
La Cour des Comptes chiffre à 50 milliards minimum le montant de l'impasse financière à ''boucher'', si on veut avoir une petite chance d'échapper aux sanctions à venir des agences réputées insensibles aux gadgets de ces ''communicants'' qui font la pluie et le mauvais temps à l'Elysée... Le vrai courage serait de tailler ''pour de vrai'' dans le maquis (sciemment rendu inextricable) des prestations sociales, des subventions perverses et des soins gratuits à toute l'Afrique, a interdire le remplacement d'un ''ponctionnaire'' sur deux --sauf postes ''régaliens'' sous certaines conditions-- au lieu d'en embaucher 60 000 par an (Sarko... Réveille-toi : ils sont devenus fous !)--, et à sabrer dans ces services faussement prétendus ''publics'' dont l'obésité chronique est un frein à tout. On a là la preuve que les limites du système ont été atteintes : demander à des fonctionnaires de diminuer... le nombre de fonctionnaires, c'est idiot !
Mais rien de tout ça n'est ''dans les tuyaux'' : le déficit budgétaire 2023 ne sera pas, mais pas du tout, dans les clous : il erre ! Au lieu des 4,9% du PIB annoncés, on est à 5,6 %. ''Ouch !'', commente l'excellent site TTSO qui précise qu'un dîner de crise à l’Elysée a soi-disant brainstormé sur les moyens éventuels de colmater la brèche. Nos ''lumières éteintes'' n'ont trouvé que les imbécillités habituelles (habituelles, mais... mortelles !) chères à ''la Gauche la plus bête du monde'' : taxer les milliardaires... ou les superprofits... ou les retraités ! Ou plutôt –et ça sera la décision finale, dès le lendemain des ''européennes'' : les trois !
Pour le moment, la position officielle reste ''Non, pas d'impôts nouveaux'', ce qui est un mensonge de plus : personne, en France, n'a le moindre doute sur la manifestation permanente mais cachée des dangereux ''créatifs'' des Finances et sur la valeur morale de cette posture électoraliste ! Matraquage, gros mensonges, et les habituels arguments puant la ''moraline'' que la gauche aime tant, sont les nouvelles mamelles de l'ex-France, absorbée depuis par l'Europe... sans le moindre bénéfice pour personne. On était le peuple le plus lourdement taxé au monde ? Eh ! bien... qu'à cela ne tienne : un peu plus ou un peu moins, n'est-ce pas, vu de Bercy, ce cauchemar permanent, c'est bonnet blanc--blanc bonnet... ce qui est faux, bien sûr, comme tout le reste !
H-Cl.
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atthedas · 1 month
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Découvrir Thédas
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Crédits images : Places (BioWare, Dragon Age Inquistion) - The Bloody Chamber (Amanda Sartor) - Trevelyan Mage (BioWare, Dragon Age Inquisition)
Un peu d'histoire...
« Ferdinand Genitivi. Frère ordonné par feu sa Très Sainte Faustine II. Quatre-vingt-huit ans après le début de l’Ère des Bontés. À tous ceux qui la présente chronologie liront, salut – puisse-t-elle vous enrichir des humbles informations compilées par un simple disciple du Créateur un peu trop amateur de livres moisis et de poussières antiques. En conclusion de ses sermons, Sœur Gisèle répétait toujours : « savoir d’où l’on vient, c’est comprendre où l’on va ; la lumière du Créateur ne se révèle qu’à celui qui a les yeux bien ouverts ». Mise à part sa plume très simpliste, je dois lui reconnaître une sagesse populaire, de celles qui dictent des phrases évidentes mais que l’on ne récite jamais assez : preuve en est puisqu’aucun érudit n’a eu l’idée de compiler une véritable chronologie de l’histoire de notre continent en un seul volume, accessible à tous Ses plus fidèles sujets – ou simplement ceux en désir de connaissances. Alors, avant que je ne commence mes pérégrinations et mes voyages à la découverte du monde, je prends le temps de pallier cette erreur – comme ça, si je venais à m’éteindre au fond d’une crevasse sans que personne ne le remarque, je ne resterais pas totalement oublié. »
... à Starkhaven.
Lorsque j’ai présenté mes premiers brouillons à Val-Royeaux, ayant rassemblé dans un texte clair, fondé sur des sources solides, une chronique des événements des débuts de la Cinquième Ère ; alors que j’étais fier de mes écrits, une question ne cessait de franchir les lèvres des universitaires : pourquoi cette emphase sur Starkhaven ? Mais pour quelle raison ces érudits sédentaires et empâtés se sentent toujours le devoir de débattre des détails, ignorant totalement l’essentiel et la démonstration ! Je vais leur dire, moi, pourquoi Starkhaven ! Je me demande si les Planacènes ont longtemps hésité sur pourquoi Starkhaven, tiens, le jour où ils ont découvert la haute colline au confluent de l’Aguera et de la Minantre, si riche de ses bancs de poissons mais aussi de ses champs rendus fertiles par les alluvions ! Ou encore les Tévintides, lorsqu’ils y érigèrent leur forteresse pour se protéger des invasions et des Enclins. Ou enfin le Roi Fyruss, à la tête d’une cité grandissante et prospère, qui tenta de constituer son propre empire et s’en trouva trahi par l’Impérium : il se cassa les dents à l’est et s’en trouva ridiculisé pour l’Histoire. A tel point qu’au cours de la Cinquième Ère, si je me permettais de blasphémer à l’égard des Marches Libres, je comparerais Starkhaven à leur capitale. Je me demande si, au fil des constructions et de ses élargissements, les Princes se sont abaissés à se demander pourquoi Starkhaven, tiens ! Car la cité aux deux anneaux s’impose, ainsi enclavée dans les falaises avec ses murailles hautes et solides, ses larges douves à l’eau tumultueuse, son long pont de pierre, unique accès : on a voulu rendre Starkhaven impossible à conquérir. Continuez à vous poser cette question, tiens, quand vous découvrez sa petite ville annexe, nommée Cairnayr, avec son port actif et son industrie foisonnante, avec ce thaig sécurisé et bien moins vide qu’on ne l’aurait souhaité… à moins que vous ne préfériez cette forêt giboyeuse, repos du héros Corin, accueillant alors l’intrigant clan dalatien Tanassavir ? Parce que vraiment, je me demande si ses habitants ont perdu leur temps à se demander pourquoi Starkhaven, tiens ! Alors que certains profitaient d’être à un carrefour des cultures pour établir des contacts qu’on s’imaginait définitivement coupés, d’autres jouaient dans les ombres pour échanger des services exotiques et recherchés… Mais la plupart, effectivement, ne vivaient là que parce qu’ils y étaient nés, ou parce que leurs pas leur avaient permis d’y trouver refuge et prospérité ! En ce début de la Cinquième Ère, il y avait tant à fêter dans la cité : la disparition des sociétés criminelles, l’achèvement de la belle Cathédrale ou, même, l’organisation du Grand Tournoi ! Car ils furent sans conteste le point de départ des événements excitants que je vous rapporterai. Alors, permettez-moi de vous retourner la question : à votre avis, pourquoi Starkhaven ?
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lounesdarbois · 11 months
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Oh certainement que "tout le monde déteste la racaille"! Nous sommes bien d'accord. Mais pour autant est-ce que l'on va oublier ce que la police a fait en France depuis 30 ans? En pleine invasion n'importe quelle bourgeoise pouvait recourir à la police pour le "propos raciste" d'un brave type prolétarisé poussé à bout qui lâche un mot de travers. Cela est arrivé des milliers de fois, et les colonisés ont vécu dans la terreur du jugement d'autrui devenu son geôlier dans une taule fermée de l'intérieur. La police a sécurisé l'invasion. Tout ce que l'on voit aujourd'hui et qui va se répandre sur l'Europe jusqu'au fond de la Pologne à été protégé, sécurisé, surveillé par la police. Voilà pourquoi il ne faut pas se mêler de ce merdier et ne pas prendre parti, même pas en pensée.
La police et ses commissaires tous franc-maçons, les juges, les avocats, les procureurs, tout ce monde en basket blanches sous la robe d'hermine (authentique), toute cette classe qui ne sait plus si elle tient davantage à son prestige classique où à se la jouer canaille pour souffler un peu, tout ce monde a dépassé la mesure depuis très longtemps. Quand on connaît les mœurs de nombre de ces gens-là en privé, alors qu'ils n'existent socialement que par la terreur qu'ils inspirent, on mesure le fossé, le bluff par quoi sont tenus les braves gens. L'Elysée, le Parquet et l'Intérieur viennent de lâcher la police en rase campagne et de s'en désolidariser pour calmer la meute au moment où la police avait le plus besoin de leur soutien, voilà ce que ça rapporte donc, de se salir les mains pour le pouvoir.
2 tués aux émeutes de 2005: Jean-Claude Irvoas et Jean-Jacques le Chenadec. C'étaient des Français, personne n'a bougé. Cette année même si 10 Français étaient tués au couteau il n'y aurait rien non plus. Si 1 non-Blanc était abattu ce serait très différent. Si 1 policier était abattu idem. Mais le mode "salope" chez la masse reviendrait très vite, mode gouverné en sous-main comme toutes les salopes par la Trouille Physique, par l'empressement à se vendre physiquement, à aller du côté du plus méchant à l'instant T, du plus "respecté". Ainsi des bourges, des mi-cuits, des tiédasses et des étudiants, des bouches inutiles, des PàB, des managers, des "chefs", et des influenceurs. Toutes ces catégories de la foule dont le goût profond est la bestialité, le Surmoi le Primitif et la phobie la solitude. Ils sont prêts à tout pour être entourés dans le dépeuplement mondial, pour croire que la vie existe encore.
Les Primitifs de ces deux derniers jours sont plus violents que les Gilets Jaunes certes on peut le leur concéder, ils ne se laissent pas embringuer vers des "cortèges" certes, ils ont scié quelques caméras, ils sont moins alcooliques en manif que les Gilets Jaunes certes mais il n'en reste pas moins qu'ils sont tout aussi cons. Ces émeutiers dilettantes ne vont jamais s'en prendre aux vrais lieux du vrai pouvoir : locaux de banque, locaux de cabinets de conseil, domiciles de gens du pouvoir, rue Cadet, mairies, rues du 6e, 7e, 16e, Publicis, bas de Champs-Elysées, ils ne savent même pas ce que c'est. Encore quelques jours et ils retourneront en bas des blocs roter leur Monster, cuver leur shit étouffés de tartines de nutella, il ne faut pas rêver ce sont  en majorité des bourgeois qui ont du bide dès 20 ans.
"Y a plus qu'des salopes"
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whencyclopedfr · 2 months
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Invasions Japonaises de la Corée entre 1592 et 1598
Les deux invasions japonaises de la Corée entre 1592 et 1598, également connues sous le nom de "guerre d'Imjin", virent Toyotomi Hideyoshi (1537-1598), le chef militaire japonais, concrétiser son projet de longue date d'envahir la Chine en passant par la Corée. Cette campagne ambitieuse démarra brillamment avec la prise de villes comme Pyongyang et Séoul, mais les opérations combinées de la marine coréenne dirigée par l'amiral Yi Sun-sin, d'une importante armée terrestre de la Chine des Ming et de rebelles locaux bien organisés firent échouer la première invasion en 1593. Après des pourparlers de paix prolongés et infructueux, Hideyoshi lança une seconde invasion, beaucoup moins réussie, en 1597. À la mort du seigneur de guerre l'année suivante, les forces japonaises se retirèrent de la péninsule. Ce conflit, l'une des plus grandes opérations militaires jamais entreprises en Asie de l'Est avant le XXe siècle, non seulement eut des conséquences dévastatrices pour toutes les parties concernées, mais envenima durablement les relations entre le Japon et la Corée.
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minashiro-mcl-etc · 2 years
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Amour sucré (Halloween 2022) - solution
Évènement: Vendredi 21/10 à 11h - Lundi 31/10 23h59 = 11 jours
Mini jeu
But: reproduire de tête le kit de secours Nombre de parties: 3 par jour Coût d’une partie non gratuite (sans attendre): 50 PA Nombre de Kit au TOTAL: 35 Gain: 5 items de tenue + Perruque
Dialogues
Débute: une fois le mini jeu terminé Nombre de dialogues: 3 par jour Coût pour un dialogue non gratuit (sans attendre): 50 PA Coût pour changer de Crush: 70 PA Gain: 5 items de tenue + Perruque + 5 illustrations
Tenue The Scavenger
Obtention: MINI-JEU Veste 65G, Top 40G, Pantalon 45G, Bottes 15G, Machette 60G + Perruque 70G Coût en boutique: 295G
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Tenue The Infected
Obtention: Dialogues CRUSH Chaussures 16G, Peau 66G, Collants 40G, Pantalon 50G, Top 33G + Perruque 65G  Coût en boutique: 270 G
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Item BONUS: Sirius
Obtention: Jauge commune 100%
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Tenue PAYANTE: The Scientist
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Solution des dialogues
NATHANIEL
Nathaniel n°1
Je te promets de nous sauver... et de battre mon record!
A. Ça va les chevilles? En cas de véritable invasion, tu ferais moins le malin. B. Hé, je me suis plutôt bien débrouillée, je te ferais dire! C. Tu as quand même pris quelques risques inutiles... 
Nathaniel n°2
A. Je pense que je ferais tout pour fuir sans faire de mal au zombie concerné. Ce serait trop douloureux. B. Je crois que je préfèrerais me laisser mordre que de devoir m’en prendre à un proche, même zombifié. C. Mais dans ces cas-là, quel autre choix a-t-on que de se défendre? Ce n’est plus vraiment la personne qu’on a connu.
Nathaniel n°3
Dans ces cas-là, l’essentiel, c’est de se tenir au plan...
A. Je pense qu’il faudrait aller nous barricader au Cosy Bear. Il y a de la nourriture!  B. Il faudrait aller au commissariat pour s’armer, non? C. Je pense que ma priorité serait de se regrouper avec nos amis. On est plus fort à plusieurs.
Nathaniel n°4
A. Mais je suis sûre qu’avec un peu d’entraînement je pourrais te dépasser! B. Mais je défendrais le fort pendant que tu tenteras de récupérer un moyen de transport. C. Il faudrait en tenir compte dans notre stratégie.
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CASTIEL
Castiel n°1
On se serait cru dans Matrix! Roulade et  bim! Un chargeur dans la tête! Points de style infinis...
A. Personnellement, ce que je trouve stylé, c’est d’avoir réussi à survivre. B. Oui mais c’est facile quand on passe sa vie à se déhancher sur scène! C. Tu crois vraiment que tes roulades nous sauveraient en cas de véritable invasion zombie?
Castiel n°2
A. Moi je crois que je n’arriverais pas à lui faire du mal, même sous cette forme. B. En ce qui me concerne, je crois que je me défendrai coûte que coûte, peu importe les conséquences.  C Personnellement je pense que j’essaierai de m’enfuir pour ne pas avoir à choisir.
Castiel n°3
A. On court retrouver Nath au commissariat. Il y a des armes, là-bas! B. On file à la maison et on se barricade!  C. On fuit la ville au plus vite pour augmenter nos chances de survie!
Castiel n°4
Je crois que la seul question qui reste, c’est qui y passera en premier de nous deux?
A. J’ai bien peur que ce soit moi. Il faudrait bien que la plus douée de nous deux tente une sortie, à un moment.  B Toi. Définitivement toi. Tu veux qu'on reparle de nos scores respectifs au jeu VR? C. On y passerait ensemble, comme un vrai couple.
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HYUN
Hyun n°1
Je comprendrais si tu m’abandonnais pour sauver ta peau. Je serais un vrai boulet, j’en ai peur.
A. Si vraiment l’éventualité d’une invasion zombie te taraude à ce point, on peut refaire une partie pour s’entrainer... B. Pas question! Je préfère succomber à tes côtés que survivre seule!  C. Mais non! Je suis sûre que personne n’assaisonnerait les dernières conserves comme tu saurais le faire!
Hyun n°2
A. Le plus urgent serait de nous rassembler avec nos proches pour survivre ensemble, non? On est plus fort à plusieurs. B. À mon avis, le plus important, c’est de se trouver un abri.  C. Je pense que la priorité serait de fuir la ville, tu ne crois pas?
Hyun n°3
À ton avis, quel serait le meilleur endroit où faire notre nid pour affronter l’invasion?
A. Hum... le commissariat, peut-être? Il y a des armes, là-bas, on pourrait se défendre. B. Je ne sais pas... Pourquoi pas au Cosy Bear? Il y a des vivres, la trousse de premiers secours...  C. Il faudrait aller chez Rosa, maintenant que j’y pense. C’est excentré, et on pourrait pêcher pour survivre.
Hyun n°4
Force est de constater que mes chances de survie ne sont pas colossales au beau milieu d’une marée de zombies.
A. Je suis sûre que s’il s’agissait de me protéger d’une véritable invasion, tu révèlerais tes qualités cachées. B. Mais je te défendrai, moi! C. Tu pourrais cuisiner de bons petits plats que nous troquerions aux aventuriers plus expérimentés contre des services. 
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PRIYA
Priya n°1
Tu imagines, en cas de véritable apocalypse zombie? Je serais un poids mort pour nous, mon amour.
A. Mais non, tu n’étais pas totalement dedans, ça arrive. Tu veux refaire un partie? B. Je ne pense pas. Je suis même certaine que si ça arriverait pour de vrai, c’est toi qui nous sauverais.  C. Ne t’en fais pas, si ça arrive, je serai de nouveau là pour te sauver, c’est promis!
Priya n°2
Pour moi la vrai question, c’est: “Qu’est-ce que tu fais si tu tombes sur un de tes proches qui est devenu un zombie?”
A. Je crains que n’aies pas le choix. Il faut te défendre à tout prix, même si ça signifie...  B. Je crois que je n’arriverais pas à faire quoi que ce soit. Je préfèrerais me laisser mordre que de devoir “faire le nécessaire”. C. Je pense que je tenterais de fuir à tout prix pour ne pas avoir à tuer d’autre proche, même zombifié. 
Priya n°3
A. Je pense qu’il faudrait se barricader au Cosy Bear. Il y a de la nourriture... et des couteaux de cuisine. B. Je crois que la priorité serait de trouver d’autres survivants et de se regrouper pour être plus forts ensemble. C. À mon avis, la première chose à faire serait de mettre un maximum de distance entre Amoris et nous. 
Priya n°4
A. Mais... tu sais monter à cheval, toi? Parce que moi pas.  B. Mais où est-ce qu’on trouverait des chevaux? C. Mais tu n’as pas peur que le cheval soit pris de panique au milieu de toute cette agitation? 
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RAYAN
Rayan n°1
Alors que ça pose tellement de questions. En faite on est pas très loin de la théorie cartésienne du rex cogito...
A. Je te promets qu’en cas de véritable invasion zombie, je protègerai ce magnifique cerveau de mon mieux!  B. N’essaye pas de détourner la conversation! Je me demande ce que Descartes aurait dit de ta performances comparée à la mienne... C. Descartes parlait d’un univers virtuel à la Matrix, non? Là, c’est encore autre chose. Avec les combinaisons haptiques, les sensations sont réelles.
Rayan n°2
A. Mais ça me paraît évident que je chercherais à fuir. B. Mais si la guérison n’est qu’une hypothèse, pour moi, c’est clair: il faut te défendre tant que tu fais encore partie bien portants. C. Honnêtement, je serais totalement tétanisée par l’idée de tirer sur une de mes meilleurs amies que je finirais probablement par me faire infecter... 
Rayan n°3
Si j’en crois tout ce que j’ai vu et lu, les premières heures sont capitales si tu veux faire partie des héros de l’histoire et pas des zombies.
A. Je pense que la priorité, c’est de se regrouper entre non-infectés, non? B. J’imagines qu’il faut fuir les villes au plus vite pour réduire les risques de se faire mordre.  C. Personnellement, je courrais me barricader à la maison avec toi.
Rayan n°4
Et on croiserait tout de même quelques nids d’infectés, en chemin...
A. Moi, en tout cas, je préfère mourir à tes côté que te survivre! B. Ne t’en fais pas. Je te l’ai dit, je te protègerai! C. Il y a différentes façons de lutter contre les zombies. Un cerveau hautement fonctionnel peut s’avérer plus important que des gros muscles! 
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Si l'on s'intéresse aux causes lointaines, la guerre d'Indochine n'a pas commencé en 1945, mais trois siècles plus tôt, en 1625, quand débarque au Vietnam un jésuite français, le R.P. Alexandre de Rhodes. À sa façon, cet homme remarquable est un conquérant, comme ses confrères qui entreprennent à la même époque une tâche analogue au Japon et en Chine. S'emparer des esprits n'est pas la moindre des conquêtes. Ces missionnaires s'inscrivent dans le grand mouvement d'expansion occidentale qui a commencé au siècle précédent. La propagation d'une religion radicalement étrangère à la tradition d'un pays de très ancienne civilisation, provoquera au fil du temps des réactions de défense immunitaire. Elles seront d'autant plus vives que, dans le sillage des missionnaires, accostent des commerçants aux dents longues, des marins et des soldats. En dehors d'exceptions, les colonisateurs sont aussi universalistes dans leurs desseins que les Américains d'aujourd'hui, convaincus qu'ils sont d'apporter “la civilisation et le progrès” pour le bien de tous. Ainsi débute l'histoire équivoque de la colonisation qui, pour l'Indochine, ne devient effective qu'à partir de 1858.
Après coup, quand viendra l'énorme lame de fond du reflux européen, il sera facile de juger le passé avec sévérité et de se livrer aux délices de l'auto-culpabilisation. L'anticolonialisme dressera le tableau le plus noir du passé, provoquant des ripostes qui flatteront les réussites en masquant les ombres. Polémiques stériles. En Indochine et ailleurs, l'aventure coloniale de la France n'avait été qu'un moment particulier du grand mouvement d'expansion qui jeta les Européens sur toutes les routes du monde, véritable mouvement tellurique, au même titre que les grandes invasions, les changements climatiques ou les effets des révolutions techniques. La faiblesse attire la force comme le vide attire le plein, et personne n'y peut rien.
Au XIXe siècle, face à l'envahissante supériorité technique et matérielle de l'Europe et des États-Unis, si elles voulaient survivre sans être dominées, les autres nations, notamment en Asie, étaient contraintes de s'occidentaliser, donc de se renier. Défi gigantesque et souvent mortel auquel le Japon a été le seul à répondre par ses propres moyens. Ce fut une formidable révolution que celle de l'ère Meiji, conduite par la caste militaire des samouraïs, mais révolution réussie puisqu'elle est parvenue à préserver une part réelle de la tradition japonaise au sein de la modernité. L'Inde constitue un cas à part dans la mesure où la colonisation britannique, n'ayant pas eu un effet de “table rase”, a laissé subsister une part notable de la tradition hindoue enracinée dans le système des castes. Pour la Chine et le Vietnam, il n'en fut pas de même. La modernité leur fut imposée de l'extérieur, par l'adoption de systèmes spirituels étrangers, destructeurs de leur tradition spécifique. En Chine, ce fut le rôle du communisme, système mental et social issu des pathologies européennes. Quant au Vietnam, il subit d'abord l'acculturation de la colonisation française, et fut laminé ensuite, comme la Chine, par le communisme qui sut exploiter à son profit un puissant éveil nationaliste.
Après 1945, le reflux fut plus ou moins intelligemment conduit. Les Britanniques, dont l'empire était beaucoup plus vaste que celui de la France, ont su réaliser leur retrait le moins mal possible pour eux-mêmes. On ne peut en dire autant des Français. Au Vietnam, l'aveuglement de tous les gouvernements, depuis 1945, a conduit à une guerre cruelle que le pouvoir politique refusait d'assumer tout en s'y soumettant. Ne furent grands que les combattants. Alors que la société politique de l'époque n'inspire que mépris et dégoût, les soldats furent souvent admirables. C'est en eux que se maintenait l'âme d'un pays veule et assoupi.
Dans les derniers jours de la bataille de Dien Bien Phu, alors que tout était perdu, 1.520 volontaires dont 680 non parachutistes se présentèrent pour sauter dans la fournaise. Parmi eux, des plantons et des secrétaires. Pourquoi ont-ils fait cela ? Pour les copains, par enthousiasme sacrificiel, par une sorte d'espérance tragique. Dans les heures noires comme dans les autres, souvenez-vous de ceux-là. Ils incitent à se tenir debout.
Dominique Venner
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elleferrocerium · 5 months
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En 2023
Je re-rencontre un homme aux yeux si malicieux. Sous les cheveux blancs, le crâne est rose comme une crevette.
Je regarde l’homme qui danse-vole en ailes de pardessus, devant le cercueil de son amour assassiné. Mon cœur s’est remis en marche.
Mon cœur repart en chamade. Attention.
Attention à celui qui a les yeux aux rides jolies.
C’est une folle envolée. C’est une pointe d’amour.
Au final, point d’amour, en 3 jours. Je ris. J’ai pleuré puis je ris. De m’observer être si nulle en ça. Je ne m'y entends pas en rétention d'homme.
A tout âge, on apprend. En 2023 je rencontre un goujat.
En 2023, Dominique A, Bertrand Belin, Inspector Cluzo, Arthur H, et aussi des plus et aussi des moins au Bateau Ivre.
Je fais un pogo à Aucard. J'adore Aucard comme tous les ans.
Je ne dors pas pendant une semaine. J'arrive avec mes valises à la librairie. Il y a foule et je sors les rames et ma honte.
Orelsan à Terres du Son. J'ai supporté Terres du Son comme il y a 15 ans.
En 2023, c'est l'été. J’attire la curiosité de deux petits alpagas. Je mange des larves d'insectes. Goût de chips. Je mangé des grillons. Goût d'amande. Je fais du pédalo, du VTT cross, du paddle, du canoë. J'ai le mal de mer en rêve tous les soirs au bord du lac.
Je suis claustrophobe quand je ferme le gilet de sauvetage. Ma fille rit.
En 2023 je rencontre Galaad le facho de 18 ans. Son espoir en la vie est de buter une racaille. Il a le bac, il reçoit un mail, il est admis dans un truc militaire pour devenir instructeur en arme à feu. Son papa chéri conduit un Duster avec un très gros autocollant " Support our troups". Il fait du jogging avec un sac à dos rempli de pierres.
Le chien vomit à l'avant de leur canoë kayak.
Je visite des trucs qui se visitent. Je pense aux trucs qui se pensent.
J'écris au calme et au cagnard au bord du Cher chez E et A.
En 2023, je fais l'amour deux fois pour la dernière fois avec l'homme de ma vie qui ne m'aime plus depuis 3 ans. On ne peut pas faire l'amour à deux, seule.
En 2023, je veux acheter un bidon d'eau.
Je serre fort Fanie ma belette dans les bras deux fois par semaine car la tendresse se partage.
Je récupère des bidons d'eau dans la rue.
Je perds beaucoup de kilos. Je cours des kilomètres en portant mes parpaings.
En 2023 j'entends bien creuser une cave ou un abri antinucléaire au milieu de mon jardin. Creuser la nuit.
En 2023 j’ai peur de manquer d’eau
En 2023 je fais l'amour quelques fois avec un homme qui se demande encore après 50 ans si elle est assez grosse.
Je veux me couper les cheveux en juillet.
En 2023, S tombe dans les bras d'un camion de pompiers.
Je prends M dans mes bras parce qu'elle tremble de peur. Je serre S dans mes bras car elle tombe d’effroi. Je prends J dans mes bras parce qu'elle est trop fière. Pour le faire. Je prends B dans mes bras parce qu'elle, son amour est mort à 47 ans. Je pleure longuement.
Je me coupe les cheveux en août et ils se rebiquent en biquelettes.
En 2023 je parle et pense espagnol, beaucoup. Je pense breton beaucoup à l'intérieur de moi.
Jane B. est morte et je pleure une avalanche
Je me souviens d'Agnès Varda. De Gainsbourg. Je pense à Charlotte. Tous ils sont mes intimes. Je ne suis pas la leur. J'ai écouté tous les podcasts. J'ai pleuré pour tous ceux qui étaient tristes.
En 2023, je me fonds toujours, en grâce, avec elle et eux: la Nature. Je suis devenue longuement une biche.
Je discute avec un rouge gorge très gourmand.
J'entends une invasion de geais.
En 2023 les deux canards en planeur sont empêchés par un grand bouclier de vent de traverser l’autoroute.
Le cormoran se prend les pieds dans les glouglous tourbillonnants du Cher.
Je parle des écrevisses de Californie, qui marchent des heures pour disperser leurs gènes.
En 2023, je m'inquiète pour Miossec. Je discute avec ma collègue MC. Pour qu'elle sauve sa voix. Elle dit que c’est du carton maintenant.
En 2023 j'ai dû faire un choix de merde. J’ai dit adieu à la libido. Le choix de vivre.
Je me suis enfin lancée pour expliquer aux miens comme Noël m’est un odieux moment. Je me sens libérée de Noël.
Je pense beaucoup trop à F et son amoureux décevant.
J’écrase une souris écrasée. Je la remets sur ses pattes. Plate.
Je compte 23 oiseaux. Mangés par mon chat.
Je mange une tarte au fenouil et au saint nectaire. Les Studio, un lieu safe, une deuxième maison, une tanière.
J’aime encore plus mon vélo d'amour, ma ville-cité, les cinés Studio, mes chats.
J’ai de nouveaux voisins. Ils sont gentils et silencieux.
Je fusionne avec ma fille enchantée.
Je glisse sur l'asphalte. Fais du roller à toute bombe
En 2023 je suis correspondante fière des Studio, je vais voir un match de Roller Derby.
Mes lunettes me vont bien.
En 2023, au Bateau Ivre j’ai porté à bout de bras une drag queen magnifique et terrifiante de désespoir.
Je compte 31 oiseaux.
Tu fais chier Paprika - c'est le chat.
J'aime encore plus fort Piment- c'est le chat.
En 2023, j’affine la légende de moi. Comment les autres nous voient. Est-ce soi ? Est-ce un bazar de soi ?
Je m’interloque.
Je réponds à la journaliste.
J’ai mon comportement-ben-ouais.
J’en fais trop mais avec conviction.
J’écoute les autres.
En 2023 je rencontre un plaintif,
Ça me fait chier.
Ma fille prépare une cape jaune fluo en crochet pour le chat.
J'aime mettre des chaussettes colorées. C'est du soleil aux chevilles dès le matin, et la fierté.
Je crois que j'ai fait une grosse boulette au boulot. Il y a 15 ans, j’ai couché avec le mari d'une collègue avant qu'il soit son mari, avant qu'elle soit ma collègue. Il y a des trucs à ne pas raconter mais aussi bon, je ne pouvais pas deviner hein. La reine des boulettes mais c'était drôle.
Je m’interpelle.
J’ai failli pleurer. Le film était si réussi. Ce n’est pas un film. Little Girl Blue. Et la tendresse en ce jour.
La boutique Emmaüs s’est rapprochée de la maison tendrement. Ma fille et moi déposons quelques euros pour des tas de vêtements à mettre en tous sens. C’est chaud et coloré, c’est vivant et plein de cœur de plein de gens.
Je parle beaucoup avec l’homme aux yeux malicieux. Il est tendre froid, il aime et n’aime pas, il est seul et entouré. Il aimerait, mais abandonne. Il aime, mais pas trop longtemps. Il ne sait pas, il est perdu au milieu de sa vie
On met les vêtements au congélateur pour ôter les phobies de punaises.
En 2023, j’ai envie de donner une vie entière et mon royaume pour la santé de mon fils.
Je fusionne tendrement avec mon amie I au poignet qui se tord de rire, mon amie A qui fuit à l'intérieur, mon amie A à l'épaule qui tressaute d'envie, mon amie B au bras qui s'enfuit déjà. Oublier le temps.
Je mange une galette FCPE. Ecoute attentivement ma copine D, chargée de comm'. On ne croirait pas comme cela, mais elle aussi a besoin des autres.
En 2023 je marche sur le fil des émotions de mon fils. Je me sens éléphant dans son magasin de porcelaine.
Je ne peux plus pleurer.
C'est l'hiver. J’écris au calme et encheminée chez E et A. J’y rencontre Totoro le vrai.
En 2023 je pense encore avec tendresse au goujat plaintif.
J’aime tant serrer dans mes bras celui aux yeux si malicieux et perdus.
Je fais arrêter les voitures pour la traversée lente du brocard. Il me sourit.
Le douanier Bolo, lui, ne laisse rien passer, son képi lui va comme un gant.
En 2023, je fais un doggy bag avec les macarons au fois gras du séminaire.
Dans le train du retour, j'ouvre mon doggy bag devant le gros monsieur qui fait semblant de lire le dernier F.O.G. Il regarde par-dessus, un peu en biais comme tous, les fesses rouges serrées de la belle lurette entrée après moi dans le wagon. On ne regarde plus mes fesses comme une belle belette.
J'emmène ma fille au spectacle encore. Elle parle au micro.
Mon fils est dans le dur.
En 2023 l’homme de ma vie qui ne m’aime plus depuis trois ans envoie en sms en décembre. Qu’en faire.
Quand.
Paprika ramène un 32ème oiseau.
Avec la cape jaune fluo en crochet, sa saison 2024 sera une saison maigre.
On ne peut pas laisser ce chat gourmet liquider tous mes efforts pour la biodiversité de ces jardins urbains.
Il n’y aura plus un seul hérisson dans deux ans, dit l’article.
Le 31 je marche seule dans les rues qui se donnent et j’m’en fous de ces chaines qui pendent à nos cous. J’apprends ce qu’est un Rashômon. Je reste jusqu’au bout du bout du film, je sors la toute toute dernière de la salle de la toute toute dernière séance. Je rentre à pied. Je verse des petites étoiles dorées dans les boîtes à lettres des gens de mon quartier.
Je monte une toute dernière fois en 2023 sur mon tabouret magique pour mieux y voir ce qui est tout petit, de haut.
Un petit tour de 2023.
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aisakalegacy · 3 months
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Automne 1917, Hylewood, Canada (8/9)
Depuis le début de la guerre, la scène politique en Ontario est profondément influencée par les orangistes, qui sont fidèles à la monarchie et à l'Empire britannique. Les grands journaux de Toronto critiquent les Canadiens français pour ne pas contribuer à l'effort de guerre, et on nous impose depuis juillet le service militaire obligatoire… Quand on voit les efforts déployés par le R22eR, je trouve cela honteux.
A cause de sa politique francophobe, Ontario est la risée du Québec. Ils nous appellent « nos Boches à nous » et nous surnomment "Huntario", en référence aux invasions de peuples nomades au Moyen Âge… Quand on voit comment les Anglophones nous traitent, on comprend que nous soyons presque unanimement opposés à ce service et qu'il existe un si faible sentiment de loyauté des francophones pour le Canada.
Sur l’île, si on enlève ceux qui sont déjà en service, cette loi concernerait cinq hommes : mon beau-frère (alors qu’il a trois enfants, pensez-vous !), le mari de ma nièce Winie, le frère du jeune Zéphir (dont les malheureux parents font toujours le deuil), le Révérend de l’île (un homme d’église !), et un neveu de mon beau-frère. Cette loi n’est pas encore appliquée. Des élections fédérales vont avoir lieu en décembre, et nous en sauront davantage après cela.
[Transcription] Marie Le Bris : Sincèrement, Agathon, es-tu obligé de te montrer ainsi en spectacle ? On dirait que tu t’es coiffé avec un balais brosse. Si j’avais des cheveux comme les tiens, j’aurais au moins la décence de mettre une casquette. Winifred Bernard : Irène, chérie, ne court pas trop loin ! Jules Le Bris : Tout va bien, ma nièce ? Winifred Bernard : Bonsoir, mon oncle. J’aimerais profiter de ma soirée, mais mon aînée m’échappe comme une anguille. Eugénie Le Bris : Ah, les enfants, à cet âge là. Winifred Bernard : A qui le dites-vous ! Elle court partout, et je n’ai pas une minute de répit. Mais je ne peux pas la laisser sans surveillance. Jules Le Bris : Marie, toi qui te plaignais de t’ennuyer, ne veux-tu pas aller jouer avec ta cousine ? Marie Le Bris : C’est que je commence à m’habituer à l’ennui, et je tombe de sommeil, regardez comme mes yeux sont lourds. Non, je suis mieux ici. Eugénie Le Bris : Agathon, va jouer avec Irène. Vous avez pratiquement le même âge. Winifred Bernard : Laissez, Eugénie, Marie a raison, il se fait tard et la petite est fatiguée. C’est probablement pour cela qu’elle est si excitée. Je devrais rentrer la coucher. Quel dommage, je m’amusais beaucoup…
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