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#je reviens te chercher
hibiscusbabyboy · 2 months
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karmhantra · 10 months
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zerouqsstuff · 1 year
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Je reviens te chercher. Guillaume Musso
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irinakrcky1994 · 4 months
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I thought some of you might like it:
Lies of P Soundtrack „Fascination“ Lyrics 🦋 translated from French to English
French:
Je t’ai rencontrée simplement
Et tu n’as rien fait pour chercher à me plaire
Je t’aime pourtant
D’un amour ardent
Dont rien, je le sens, ne pourra me défaire
Tu seras toujours mon amant
Et je crois à toi comme au bonheur suprême
Je te fuis parfois, mais je reviens quand même
C’est plus fort que moi, je t’aime!
English:
I just simply met you
And you didn't do anything to try to please me
I love you though
Of an ardent love
Of which nothing, I feel, will be able to get rid of it
You will always be my lover
And I believe in you as in supreme happiness
I run away from you sometimes, but I'll come back anyway
It's stronger than me, I love you!
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monjardin22damour · 3 months
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Anne Sila - Je reviens te chercher (Contenu Officiel)
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🌻
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tyrianludaship · 6 months
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(Unlike the Medic playlist, there's no Content Warning. We good)
Note: The Spy Playlist has a lot of French songs but I did try to make sure that the songs made sense for him
(I just realized most of the songs in the playlist are love songs lol)
Song List
(Emmenez-moi by Charles Aznavour) (La bohème by Charles Aznavour) (Amsterdam by Jacques Brel) (Il est cinq heures, Paris s'éveille by Jacques Dutronc) (Venecia sin ti by Charles Aznavour) (Mon amour Mon ami by Marie Laforêt) (Le temps de l'amour by Françoise Hardy) (Le sud by Nino Ferrer) (Retiens la nuit by Johnny Hallyday) (La Foule by Edith Piaf) (Love in Portofino by Dalida) (Parce que tu crois by Charles Aznavour) (Il faut savoir by Charles Aznavour) (Vesoul by Jacques Brel) (Le Pénitencier by Johnny Hallyday) (Comme ils disent by Charles Aznavour) (Je reviens te chercher by Gilbert Bécaud) (La valse à mille temps by Jacques Brel) (Love Me, Please Love Me by Michael Polnareff) (L'amour l'amour l'amour by Monloudji)
Proships DNI
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schumi-nadal · 6 months
Note
Qu'est-ce que tu peux me dire sur "Je Reviens Te Chercher”? :-)
Well, it’s about a strange dream I had some days ago and that I started writing about thanks to @cocosfruitsalad 😂
The (omegaverse) story takes place during WWII in a French town, where Louis, a 17 years old boy, lives with his family. He’s engaged to Thomas, a 20 years old soldier, who was forced to go to war. And the peaceful and quiet village would soon become an ill-fated place…
There you go, my brain is totally a mess 😂 btw I noticed that the Louis from my dream looked like Louis Hofmann. 😂
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xbraveheartx · 8 months
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Image credit to this youtube video of the song itself
Je t'ai rencontrée simplement | I met you simply Et tu n'as rien fait pour chercher à me plaire | And you did nothing to try and please me Je t'aime pourtant | Yet I love you D'un amour ardent | With an ardent love Dont rien, je le sens, ne pourra me défaire | Of which nothing, I feel, will be able to undo me Tu seras toujours mon amante | You will always be my lover Et je crois à toi comme au bonheur suprême | And I believe in you as in supreme happiness Je te fuis parfois, mais je reviens quand même | I run away from you sometimes, but I return all the same C'est plus fort que moi, Je t'aime | It's stronger than me, I love you
Interesting how this has been made to be the ending theme for the game, and in turn, the overarching theme woven through.
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homomenhommes · 8 months
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Story: MON BON REBEU -02
Je reviens vers vous pour vous compter d'autres aventures avec Adam, mon bon rebeu.
Je l'avais revus de nombreuses fois depuis ce soir dans les bois. Il me défonçait toujours avec autant de brutalité, et à chaque fois, j'avais l'impression que mon anus n'arrivait pas à se refermer.
Une fois, alors que j'assistais à un match sur Bordeaux, il m'envoya un message "dispo ?". N'étant pas disponible, et comme je rentrerai tard, je n'avais pas pris la peine de répondre.
Moins d'une heure après, il revenait à la charge, avec un message qui me fit mouiller en un rien de temps :
"Tu te prend pour qui ? Quand je te parles tu repond, tu n'es qu'une salope, un trou a bite. T'as intérêt à répondre sinon je vais m'énerver ! J'ai qu'une envie c'est de prendre ta pauvre tete de pute et de te déboîter la mâchoire avec mon zboub. Tu me rejoins quand ?"
La fin de son message ne me laissé pas la possibilité de répondre, je n'avais pas le choix. Apres lui avoir expliqué la situation, il me demanda de le rejoindre une fois que je serais de retour à Poitiers.
Sur le chemin, il m'envoyait des SMS toutes les dix minutes pour s'assurer que je sois bientôt la, et sûrement pour m'exciter. "Sale chienne tu va manger""t'as intérêt à être à la hauteur""tu va repartir en boitant".
J'étais à peine arrivé chez moi qu'il m'appelait pour me dire de me dépêcher. Je pris un paquet de cigarette, m'affréta un peu, et partis rapidement vers le lieu de RDV.
C'était un vieux parking d'usine, cache derrière un centre commercial. L'endroit était éclaire, et j'avais la crainte que quelqu'un puisse nous voir. Comme il n'était pas la, j'en profita pour m'allumer une cigarette.
Il arriva avant que je n'ai eut le temps de la finir. Il me salua rapidement d'une bise, et on parla un peu. Il portait un jogging Adidas bleu, un petit pull gris et des AirMax.
"Passe moi en une" m'ordonna t'il. J'alla chercher mon paquet dans la voiture et retourna derrière celle ci.
Il se l'alluma, et me regarda droit dans les yeux, avec un regard féroce, un regard noir qui en disait long sur ses envies.
"À genoux salope"
Je m'exécuta, et cola ma tête à son paquet bien épais, mais pas encore dur. Il me caressait les cheveux, faisait quelques mouvements de bassins, puis m'agrippa ma tignasse brune en relevant ma tête. Il me souffla sa fumée.
Il m'explosa le visage sur la carrosserie, et me donna un Grand coup de pieds dans le ventre. Il n'avait jamais été aussi violent, et commença à me faire peur.
"La prochaine tu repond immédiatement t'as compris salope ?"
J'acquiesçais, puis retourna à ma place, c'est à dire à ses couilles. Je m'amusais avec son penis pendant qu'il terminait sa cigarette. Je m'appliquais à faire de long mouvement, ma main tenait fermement sa base, et ma langue passait partout. De temps en temps, je m'enfonçais complètement et restais un peu.
Il gémissait, et fumait tranquillement. Il était calme, sachant que je lui étais totalement dévoué.
Il remonta son jogging, remontant ainsi ses boules, jeta son mégot et commença à faire des mouvements de bassins. Il m'attrapa par les oreilles, et me tira complètement vers sa verge. Il me maintenait comme ça pendant un moment, je m'étouffais de plus en plus. Je m'agrippais à ses cuisses musclé, le textile de son pantalon était si doux. Puis, il entrepris de large mouvements, sortant complètement et s'enfonçant jusqu'à toucher ma gorge. Mon visage était rouge.
Il me tira par les cheveux, me plaquant sur la voiture, et enfila une capote. J'étais cambre, le cul à l'air. Son gland titillait mon petit trou, qui dans quelques secondes finirait explosé.
Il passa son bras sous mon ventre, et s'enfonça d'un coup ce qui me fit échapper un cris de douleur.
"Ferme ta gueule sale chienne" me dit il accompagné d'une grosse baffe.
Il faisait des mouvements lents. "Tu kiffes hein ? Ma bite t'avais manqué". Je ne disais rien, tellement absorbé par ce plaisir.
Il me pris par le cou, m'étranglant et me dit "répond moi petite pute". Il s'enfonça d'un coup, maintenant cette position. Je hurlais un oui de plaisir.
Ses mouvements se faisaient de plus en plus vite, ses boules tapaient sur mon gros cul, et son survêtement venait caresser mes cuisses.
Il me défonçait de plus en plus brutalement quand il amena ma tête vers la sienne, il m'embrassa avant de me cracher un gros molard sur le visage. J'étais au paradis.
Puis, ses mouvements se firent plus lent. Ses mains agrippèrent et brassèrent mes fesses, avant qu'une pluie de coups arrivent. Je hurlais, de surprise et de bonheur. Il redevenait bestial, mon corps se balançait au fil des aller retours.
Il me gifla avant de me demander de me mettre à genoux. Il se branla un peu, me tenant la tête par le menton et ouvrant ma bouche avec ses doigts. Il m'éjacula sur le visage, de nombreux jets bien crémeux.
Pour faire encore plus salope, je sortis ma langue pour en récupérer un peu, et aussi en recevoir. Il sourit face à cette initiative. Puis il passa ses mains dernière ma tete, qu'il enfonça une nouvelle fois sur son penis.
Je sentis un liquide chaud et doux se versait dans ma bouche. C'était agréable, et piur éviter de tacher mes vêtements, j'avalais au fur et à mesure.
"Nettoie ma teub"
Alors que je m'afferais à le rendre propre, il prit deux cigarettes. Il m'en tenda une, et nous commencions à discuter.
J'appris qu'il aimait dominer, être un peu violent, qu'il avait une copine, et qu'il n'aimait pas les plans trop blabla ou les mecs prisent de tete. Il m'avoua qu'il avait kiffer se moment, et qu'il avait peur d'y être aller un peu trop fort. Son regard c'était adoucis.
J'espère que cette suite vous a plut, n'hésitait pas à m'envoyer des retours.
SLUT
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tournevole · 1 year
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Viens, et qu’en toi soient rachetées toutes les morts, consolées toutes les pertes. Donne-nous l’espérance. Et si la vie est trop basse pour toi, envole-toi, échappe-toi de ces contrées. Promets-nous un autre au-delà que la poussière. Mais ne renais pas sous quelque forme que j’ignore. Ne me condamne pas à te chercher dans le réseau, l’orbe, le mufle,le bec et l’épi, à sonder l’œil blond des bêtes ou celui obtus des hommes, ne te dissimule pas dans quelque enfant que je n’aurai pas le temps de connaître femme. Reviens-moi en Eurydice, fille des feuilles, sœur de la nymphe et du cerf. Tous t’aimaient, ton père comme le surgeon d’une espèce nouvelle, aussi coriace que le soleil, tes frères comme la fin de la chasse, la senteur tourbeuse des clairières après l’averse, la fatigue bénéfique d’avoir couru longtemps sur des sabots minces et francs, tes sœurs comme une part d’elles-mêmes, parcelle de l’âme unique qui se tisse sans césure entre toutes les nymphes, qu’elles émanent des grottes, des bois, des rivières ou des mers, et même des marais fangeux et soufreux du Tartare, de la neige éternelle au sommet de l’Olympe ou de la pluie errante et des vents voyageurs, une seule âme impalpable de l’un à l’autre corps où ta mort ouvre le trou par où tout se défait et toutes meurent. Si ce n’est pour mon amour, trop récent pour durer, trop neuf pour t’y fier, reviens pour le leur, qui t’a toujours accompagnée. Tiens la promesse de ta naissance. Ils y ont cru.
Sonnets à Orphée de Rilke
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grand-mechant-loup · 1 year
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Maintenant c’est moi qui vais te baiser !
Cela fait plusieurs minutes maintenant que tu me suces avec cette force et cette profondeur qui me rendent dingue. Parfois tu ressors furtivement mon gland de ta bouche pour faire tourner ta langue autour et brusquement tu fonds sur ma queue avec avidité et c’est au contact de ta gorge que je sais à quel point tu vas loin. Pourtant tu ne sembles pas trouver cela suffisant et tu forces encore, par à–coups, faisant progresser mon gland plus loin au fond de toi, millimètres par millimètres. La sensation est d’une puissance incroyable. Le plaisir dans mon gland irradie jusqu’à mes couilles et même plus loin. Je sens mon cul qui palpite à un rythme que je ne maîtrise pas. Plusieurs fois je t’ai senti presser l’entrée de mon trou pendant que ta bouche allait et venait le long de mon sexe. Parfois même c’est ta langue qui est venue me lécher. Tu as réveillé une envie profonde. L’envie de me sentir pris… rempli…
- J’ai envie que tu me mettes le plug. - D’accord.
Tu souris. Tu vas chercher le plug et le tube de lubrifiant. Tu reviens ensuite t’agenouiller entre mes jambes écartées. De mon côté, je suis sur le dos et je trouve une position confortable. Je suis prêt à t’accueillir, impatient.
Tu fais couler du lubrifiant sur tes doigts et tu viens te pencher vers moi, en appui sur une main tandis que ton autre main descend entre mes cuisses, puis entre mes fesses.
Je sens le gel froid à l’entrée de mon cul. Tu le masses doucement, la sensation est délicieuse. Mais je veux plus et toi aussi. Ton doigt s’enfonce alors en moi d’un mouvement que tu veux lent, continu et profond.
Je soupire. Le plaisir est immédiat.
Je te sens alors bouger ton doigt. Je ne sais pas bien ce que tu fais mais tu sembles avoir trouvé ma prostate sur laquelle vient buter ton doigt à répétition. La sensation est intense et vive. J’ai l’impression que je pourrais éjaculer à tout moment mais le ressenti est inhabituel car le plaisir vient de l'intérieur de mon ventre.
Avant que je puisse seulement essayer de comprendre ce que tu me fais, tu enfonces un deuxième doigt en moi. Tu fais alors jouer tes doigts pour me dilater et de fait mon cul s’écarte peu à peu.
Quand tu ressors enfin tes doigts, je sais ce qui m’attend. Je te regarde recouvrir le plug en verre d’un peu de lubrifiant puis le glisser entre mes fesses. Tu me regardes dans les yeux avec ce sourire…
Je te sens pousser le plug dans mon cul. Cette fois la progression se fait par petites poussées progressives. Mon cul s’écarte un peu plus à chaque fois. Je sais ce qui va se passer : quand le plug arrivera à la partie la plus large, mon cul se refermera sur lui dans un spasme. Ça va faire mal mais je veux ressentir cette douleur. Je ne tiens plus.
- Vas-y… vas-y…
Tu fais durer encore peu, jouant avec ma frustration quand brutalement, tu fais rentrer le plug en entier. Mon cul se contracte. La douleur est vive mais elle laisse rapidement place à un plaisir incroyable. Ma tête tourne et je me sens soudain rempli d’une incommensurable reconnaissance à ton égard. Reconnaissance pour le plaisir que tu me donnes et pour la compréhension que tu as de ce plaisir.
Je prends ton visage entre mes mains et je t’embrasse. Je voudrais que tu comprennes et que tu saches à quel point c’est bon. Mes mains viennent alors se poser sur ton cul. Je presse tes fesses entre mes doigts puis je descends encore mes mains sur tes cuisses et je t’invite à les écarter de manière à ce que tu ne sois plus entre mes jambes mais que tu me chevauches. Une fois tes jambes de part et d’autre des miennes, je te prends par la taille et je te pénètre. Ta chatte est trempée et je m’y glisse avec facilité. Je m’y glisse loin. Nous commençons alors nos mouvements de va et vient. Chacun de ces mouvements fait bouger le plug en moi. Il atteint ma prostate, il me remplit, il m’écarte. Combiné au plaisir que je ressens à te pénétrer… mes pensées s’affolent. Toi tu gémis, tu donnes des coups de bassin qui font entrer ma queue à chaque fois un peu plus loin dans ta chatte qui coule sur mon ventre.
Nous  roulons sur le lit. Je te demande de te mettre à plat ventre et je viens derrière toi. Ma queue tendue retrouve immédiatement le chemin de ta chatte ouverte. Je m’enfonce en toi profondément. A Chaque coup de reins je presse un peu plus mon corps contre tes fesses, à chaque fois ma queue va plus en toi. Je te baise fort et tu sembles apprécier.
Ce jeu dure de longues minutes jusqu’à ce que le rythme s'apaise et laisse place à des caresses d’une tendresse infinie.
Puis tu me regardes dans les yeux. Tu parais pleine d’envie.
- Maintenant c’est moi qui vais te baiser ! - Ah bon ? - Oui ! Je veux t’enculer fort.
Ces mots me font frémir de désir.
- D’accord.
J’ôte le plug tandis que tu vas chercher le strap-on-me. Je te regarde le sortir doucement de son sachet en tissu puis tu passes une main entre tes cuisses et tu écartes les lèvres de ta chatte. De ton autre main, tu guides le bulbe dans ton vagin. Tu l’avales entièrement et te voilà désormais équipée d’une belle bite, large et recourbée vers le haut. Son gland est assez impressionnant mais je sais qu’il passera sans trop de problèmes après le plug et que tes mouvements seront rendus plus simples mais aussi plus profonds.
Tu as dit que tu voulais m’enculer fort et tout ce que je veux c’est rendre cela possible et que ce soit le plus simple pour toi. Alors je me dresse sur mes genoux, je te tourne le dos (et plus précisément le cul), je pose mes mains écartées contre le mur, je creuse mes reins et j’écarte les jambes. Dans cette position mon cul est ouvert. Il t’est offert. Tu peux à ce moment-là faire ce que tu veux de moi. Et cette idée de t’appartenir, que ce moment te donne tous les droits, tout cela m’excite au plus haut point et me fait espérer que tu abuses de moi.
Et tu commences par des claques lourdes et répétées. Je sens mon cul chauffer, j’ai envie que tu continues. Par moment tu arrêtes les coups et tu passes une main entre mes jambes, tu prends mes couilles dans ta main, tu les presses, tu me branles un peu puis tu recommences à me claquer le cul.
Quand cette douce torture cesse, je te sens te rapprocher de moi, je sens aussi ton gland pointer contre mon cul. Tu pousses par petites pressions, comme pour sentir à quel moment tu es bien positionnée. Quand tu as trouvé le chemin tu me force alors le cul sans ménagement. Le gland puis toute la bite factice s’enfoncent en moi. Je gémis sans retenue. Je te sens au plus profond de mon ventre et tu te mets à aller et venir dans une série de mouvements amples. Je me sens secoué, disponible pour ton plaisir mais récoltant le mien au passage. Tes coups de reins sont puissants et répétés. Un liquide clair et épais s’échappe de ma queue. Tu me tiens par les hanches et tu m’attires vers toi pour me baiser plus loin.
Pendant de longues minutes tu me baises quasiment avec violence. Le plaisir qui naît dans mon ventre est d’une puissance à me faire tourner la tête et comme tu sens peut-être que je m’affaiblis, tes mains quittent mes hanches et tu viens enrouler tes bras autour de mon corps. Et bien que la tendresse et la douceur soient de mise, cette position te rapproche encore de moi, permettant à notre jouet de continuer à me pénétrer toujours aussi loin.
Tu as désormais pris ma queue dans ta main et alors que tu me pénètres doucement, tu as entrepris de me faire jouir en me branlant.
La sensation est trop forte et je ne résiste pas longtemps à l’orgasme qui me submerge.
A chaque spasme dû au plaisir, mon cul enserre un peu plus le gode, le maintenant fermement ancré en moi et l’incitant même à aller plus avant.
Quand tu quittes enfin mon cul, la sensation de libération est jouissive et j’en garde des spasmes dans mon ventre de nombreuses minutes encore.
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marie-swriting · 6 months
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Te Choisir, Toi - Eddie Munson
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Stranger Things Masterlist
Speak Now Masterlist
Résumé : Tu reviens à Hawkins et tombes sur Eddie Munson, le garçon que tu aimais.
Warnings : angst, fin douce-amère, mention de pression de la part des parents à cause de l'école, faux ami.e.s, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
NdA : Désolée pour le retard ! J'espèrais vraiment le poster plus tôt mais la fac est insupportable en ce moment... Enfin bref, voici le one shot de la semaine dernière. J'espère qu'il vous plaira.
Nombre de mots : 4k
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : Back To December (Taylor's Version) par Taylor Swift
Une cassette de Blondie dans les mains, tu regardes les autres musiques proposées par la boutique. Tu n’as pas un artiste en tête, tu veux juste enrichir ta collection et la petite boutique d’Hawkins t’avait manqué. 
Tu continues de chercher jusqu’à ce que tes yeux se posent sur une cassette d’Iron Maiden. Un sourire nostalgique prend place sur ton visage pendant que tu tends la main pour la saisir quand une autre main se cogne contre la tienne. Tu commences à t’excuser quand tu remarques les bagues de la personne. En relevant les yeux, tu découvres Eddie. Vous ne vous êtes pas vu depuis ton déménagement en janvier dernier. Eddie ouvre grands les yeux en te voyant avant de reprendre une expression neutre. Il est sur ses gardes et tu sais malheureusement pourquoi. 
-Qu’est-ce que tu fais là ? Je croyais que tu étais partie, questionne Eddie, sous le choc.
-C’est le cas. On est revenus pour quelques semaines afin de rendre visite à la famille.
-Oh, je vois. C’est logique, dit-il, gêné avant de faire un signe vers le rayon en face de vous : Tu peux prendre la cassette si tu veux.
-Non, vas-y. Je voulais juste la regarder. 
-D’accord. 
Eddie prend la cassette, regarde rapidement le prix avant de commencer à partir. 
-Comment ça va ? demandes-tu soudainement, l’arrêtant dans son élan.
-Je vais bien, t’informe Eddie en se retournant vers toi.
-Et Wayne ? Je ne l’ai pas vu depuis longtemps. 
-Il va bien aussi.
Tu détailles Eddie du regard et tu remarques qu’il est braqué. Il répond par des phrases courtes et ne te pose pas de questions, sûrement pour finir la conversation plus rapidement. Tu n’es pas étonnée en le réalisant. Tu devais t’y attendre. Cependant, en revenant à Hawkins, tu voulais absolument lui parler et tu as ta chance, tu ne dois pas la laisser passer. 
-Tu joues toujours au Hideout ?
-Oui, chaque mardi. On arrive enfin à attirer un peu d’attention. On va essayer de trouver un deuxième lieu.
-C’est super. Je suis contente pour toi, avoues-tu, sincèrement. 
-Merci. Je dois y aller. Je dois aller payer, informe Eddie en te montrant la cassette et une nouvelle corde de guitare. 
-Eddie, attends ! le retiens-tu une nouvelle fois. Je… Je voulais savoir si je pouvais venir te voir jouer au Hideout.
-On est dans un pays libre. Fais comme tu veux.
-Et j’espérais aussi pouvoir, peut-être, parler avec toi après le concert, commences-tu, en jouant avec tes doigts. Ce n’est pas grave si tu refuses, je le comprendrais. Je veux juste te parler, tu n’aurais même pas besoin de me répondre, juste de m’écouter. Si ça te va. 
-Euh… pourquoi pas. Rejoins-moi derrière le bar quand j’ai fini.
-J’y serai. Merci, Eddie.
Eddie pince ses lèvres et hoche légèrement la tête avant de te laisser. Vous n’avez jamais eu une conversation aussi gênante. Vous marchez sur des œufs, c’est comme si vous étiez redevenus des étrangers et d’une certaine façon, c’est le cas. Tu as un pincement au cœur à cette réalisation. Parler avec Eddie est embarrassant alors qu’avant, c’était simple.
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Vous vous étiez devenus amis vers la fin de l’année scolaire par hasard. En effet, vous ne fréquentiez pas les mêmes groupes. Eddie faisait partie des exclus alors que tu étais un membre à part entière des populaires. Toutefois, grâce à une heure de colle placée au même moment, vous vous étiez rencontrés. Le professeur qui était censé vous surveiller vous avait laissés seuls, vous permettant de discuter. Directement, vous aviez accroché et d’ici le début des vacances, vous étiez en couple. 
Un jour d’été, vous étiez dans son van alors que tu lui expliquais qu’il allait pouvoir jouer au Hideout d’ici quelques semaines. Au début, Eddie ne t’avait pas cru puis en voyant ton air sérieux, il avait pris conscience de la réalité.
-Mais qu’est-ce que t’as pu faire pour qu’un bar accepte qu’on joue ? avait demandé Eddie.
-Je ne vais pas te révéler mes secrets.
-Allez, dis-moi ! Je suis curieux.
-Disons que j’ai appris deux, trois trucs sur les sacrifices. Tu sais, mon petit ami vénère Satan donc c’était facile. Je ne sais pas si tu le connais, avais-tu blagué.
-Manson, c’est ça ? J’ai entendu dire qu'il gérait une culte. Tu es sûre qu’il est bien pour toi ? Il ne m’a pas l’air fréquentable
-C’est plus l’âge, le problème. Il est trop vieux pour moi, j’hésite à le plaquer.
-Hé ! J’ai juste un an de plus, s’était-il offusqué.
-Ça change rien au fait que tu es plus vieux. C’était comment la vie quand vous n’aviez pas encore l’électricité ?
Eddie t’avait lancé un regard inexpressif pour te montrer son agacement, mais il avait fini par éclater de rire. Depuis le siège passager, tu l’avais regardé rigoler, appréciant le son de son rire et la façon dont son visage s’était illuminé. Tu aurais pu l’admirer ainsi toute ta vie. 
Avec Eddie, c’était toujours simple de parler avec lui, tu n’avais jamais à te prendre la tête. Vous ne vous preniez jamais au sérieux et avant de le rencontrer, tu n’avais pas remarqué à quel point tu en avais besoin. Tu n’étais jamais sentie aussi à l’aise avec quelqu’un avant lui. 
En plus, d’être simple, parler avec lui était réconfortant. Tu as toujours eu du mal à t’ouvrir aux autres, mais avec Eddie, tu avais réussi. Il t’avait fallu quelques mois avant d’être vulnérable avec lui. Toutefois, après l’avoir fait une première fois, tu avais réalisé qu’Eddie n’était réellement pas comme les autres et qu’il ne t’aurait jamais jugé.
Un soir de septembre, tu t’étais rendue au parc à caravanes, les yeux rougis. Tu avais frappé à la porte de la caravane d’Eddie avec vivacité. Tu te tenais avec tes bras, cherchant un brin de réconfort. En ouvrant la porte, Eddie avait d’abord été content de te voir avant de remarquer ton visage. 
-Y/N, tout va bien ?
-Désolée, je… j’aurais dû appeler. Je…, avais-tu bégayé avant de prendre peur, je n’aurais pas dû venir. Je vais te laisser, avais-tu dit en te tournant.
-Attends, dis-moi ce qui ne va pas, avait répliqué Eddie en prenant ta main.
-Ce n’est rien.
-Tu as pleuré, ce n’est pas rien. Viens, on sera plus à l’aise à l’intérieur, t’avait invité Eddie avec un doux sourire. 
Tu étais rentrée sans dire une réponse. L’inquiétude s’était faite plus forte dans le corps d’Eddie, il t’avait toujours vu souriante, prête à parler de n’importe quoi pendant des heures. Il n’était pas habitué à te voir ainsi silencieuse et vide de l’intérieur. En te regardant, il s’était dit que tu aurais pu t’effondrer à n’importe quelle seconde. Et peut-être que c’était le cas. Il n’avait pas parlé tout de suite, te laissant le temps de rassembler tes pensées pendant tu étais mutique, les yeux posés sur tes pieds. 
-Qu’est-ce qui s’est passé ? avait-il fini par te demander après quelques minutes. 
-C’est ridicule. Je t’ai dit que ce n’est rien de grave, avais-tu affirmé en balayant l’air de la main. 
-Vu l’état dans lequel tu es, je ne suis pas de ton avis. 
-Je ne vais pas te déranger avec mes problèmes insignifiants.
En t’ayant entendu utiliser le mot “insignifiant”, Eddie était devenu agacé. Il tenait beaucoup à toi, mais il avait vite fini par réaliser que tu avais toujours à penser que tes problèmes étaient moins importants que ceux des autres. Certes, vous n’aviez pas les mêmes problèmes, rien que sur le plan économique - ta famille est aisée contrairement à la sienne, mais ça ne voulait pas dire que tu ne souffrais pas. Eddie admirait ton altruisme, mais il le détestait quand ça t’empêchait de te mettre en priorité. 
-Parle-moi, je suis là pour ça, avait insisté Eddie.
-Je me suis disputée avec mes parents. Ce n’est pas la première fois, mais cette fois, c’est allé loin, avais-tu avoué en soupirant. Ça a commencé à cause de la note en histoire et puis, mes parents ont continué à me faire des reproches sur tout et n’importe quoi. Ils n’ont pas arrêté de me rabaisser, de me dire que je ne suis qu’une bonne à rien. Ils m’ont dit que ce n’est pas avec ces notes que je pourrai aller en école de médecine et je leur ai dit que je voulais être professeur des écoles et là, c’était le début de la fin. Ils m’ont clairement dit que je n’y arriverais jamais et que je pouvais faire mieux. Puis, ils ont fini par critiquer tout ce qu’ils pouvaient sur moi, avais-tu confessé avant de prendre une profonde inspiration. Tu sais, je suis habituée à toutes ces phrases, je ne devrais plus y réagir, pourtant ça m’a fait toujours aussi mal, Eddie. J’ai l’impression d’être une ratée à cause d’eux et peut-être que je le suis. En tout cas, je ne suis pas assez bien, ça c’est sûr.
À ta dernière phrase, tu avais fondu en larmes. Eddie n’avait pas perdu une seconde avant de te prendre dans tes bras. 
-Tu es assez bien, même plus. Et tu n’es pas une ratée non plus. Tu es intelligente et je sais que tu y arriveras dans la vie. Ne les écoute pas.
Eddie t’avait répété ces phrases afin de te calmer. Tu avais pleuré jusqu’à la dernière larme en te tenant à lui comme à une bouée de sauvetage. 
Quand tu avais enfin réussi à reprendre un souffle normal, tu avais senti un mal de tête pointer le bout de son nez puis, tu t’étais séparée de l'étreinte d’Eddie, le regard toujours fuyant. Tu te sentais honteuse d’avoir pleuré de cette façon. Jamais tu n’avais laissé quelqu’un voir cette facette de toi. Tu t’étais toujours occupée de tes émotions par toi-même. Pour toi, personne ne devait savoir quand, intérieurement, tu te sentais aussi mal. 
-Je suis désolée. 
-Pourquoi tu t’excuses ? t’avait-il demandé, les sourcils froncés.
-Je suis venue sans prévenir et j’ai déversé tous mes problèmes sur toi. Tu aurais très bien pu être occupé ou autre et je n’ai pensé qu’à moi. 
-Ne t’excuse surtout pas pour ça. Je suis ton petit ami, non ? Je ne suis pas là que pour les moments où tu es heureuse, je suis aussi là pour les jours où tu ne vas pas bien. C’est mon job d’être là pour toi, t’avait affirmé Eddie en te caressant la joue. 
-Certes, mais je voulais être la copine parfaite pour toi, toujours souriante, je ne voulais pas que tu penses que je suis moins bien et…
-Tu n’as pas à être parfaite, t’avait interrompu Eddie. On est humains, on est pas censés être parfait, encore moins quand on a notre âge alors, ne t’en fais pas. Mon opinion sur toi n’a pas changé. 
-Merci, Eddie, avais-tu commencé avec un léger sourire. Ça compte beaucoup ce que tu viens de dire. Je t’aime, avais-tu lâché sans t’en rendre compte avant d’ouvrir grand les yeux. Oh, mon Dieu, désolée, je…
-Je t’aime aussi. 
Après la phrase d’Eddie, vous vous étiez regardés avec amour avant de partager un baiser court et rempli d’amour. Tu avais repris Eddie dans tes bras, ayant besoin de le sentir contre toi à nouveau. 
Après avoir apprécié votre étreinte pendant un moment, vous étiez allés dans sa chambre pour vous reposer, tu étais émotionnellement épuisée. Eddie t’avait donné un médicament pour ton mal de tête puis, tu t’étais endormie en quelques secondes, les bras réconfortants d’Eddie autour de toi.
À partir de ce jour-là, tu avais appris à être un peu plus vulnérable avec Eddie, à t’ouvrir à lui, le laissant t’aider quand tu en avais besoin. Votre relation avait évolué, devenant un peu plus forte. Tu sentais au fond de toi qu’Eddie était quelqu’un de bien pour toi et tu étais heureuse avec lui. 
Malheureusement, tes efforts n’avaient pas été suffisants. 
Le mois de décembre venait de commencer et chaque lycéen d’Hawkins en était content. Les vacances d'hiver étaient bientôt là tout comme le célèbre bal d'hiver. Chaque jour, il y avait des demandes. Généralement, on pouvait voir des scènes mignonnes, parfois, c’était des refus assez durs. 
Eddie et toi aviez parlé du bal sans vraiment vous étaler. Il l’avait mentionné, voulant savoir si c’était un évènement que tu attendais avec impatience. Eddie s’en fichait comme de sa dernière chemise, mais il pensait que ça ne serait peut-être pas ton cas. Tu lui avais dit que tu aimerais y aller sans pour autant compter chaque jour jusqu’au bal. D’autre part, tu avais aussi la tête dans les cartons à cause de ton déménagement en janvier - ton père avait une opportunité de travail - donc aller au bal n’était pas dans tes priorités. 
En plus du bal, vous aviez également pensé à rendre votre relation moins discrète. En effet, presque personne n’était au courant pour vous deux alors que vous étiez ensemble depuis sept mois. Eddie ne voulait pas que tu deviennes le sujet de moqueries et de ton côté, tu appréciais avoir une relation rien qu’à toi. Toute ta vie, tu t’étais conformée à l’attente de tes parents et de tes amis. Toutefois, avec Eddie, c’était différent et tu voulais protéger cette partie de ta vie. 
Et c’est ainsi qu’Eddie s’était retrouvé avec un petit bouquet de roses en main à t’attendre en fin de la journée de cours sur le parking du lycée. Il essayait de se convaincre que les roses n’étaient pas de trop. Généralement, les filles aiment les roses, pas vrai ? Il espérait que tu n’étais pas l’exception à la règle. Et puis, c’était une demande pour le bal, il fallait que ça soit romantique. Certes, ce n’était pas le genre d’Eddie et il savait que tu n’étais pas très fleur bleue, mais il savait aussi qu’une fois de temps en temps, tu appréciais un geste romantique un peu cliché. 
Eddie avait séché toute la journée afin de préparer ce qu’il allait dire. Malgré son côté extraverti et sa capacité à improviser des discours, il voulait que ça soit parfait et n’étant pas du genre grand romantique, il avait peur de dire quelque chose de travers. 
Quand Eddie t’avait vu sortir du lycée avec quelques-uns de tes amis, il avait pris une profonde inspiration avant de se rapprocher de toi. En le voyant, tu avais froncé les sourcils. Après tout, il était censé avoir séché la journée de cours, tu ne t’attendais pas à le voir là. Tu avais aussi remarqué sa nervosité, chose qui n’est pas commun chez Eddie. 
-Est-ce que le Taré tient vraiment un bouquet de fleurs ? s’était étonnée ton amie Juliet.
-Il est en train de se diriger vers nous ? avait questionné ton autre amie Sarah. 
-Mon Dieu, j’espère pas !
En entendant les remarques de tes amis, tu t’étais rappelée que tu n’étais pas seule. Elles ne savaient toujours pas que tu étais avec Eddie et leurs commentaires en étaient la raison. Tu n’avais pas prévu qu’Eddie vienne te voir alors que tu étais avec elle. Certes, vous aviez parlé d’être moins secret, mais tu n'avais pas pensé le faire maintenant. Tu avais senti ton estomac se tordre, craignant ce qui allait se passer. 
-Y/N, est-ce que je peux te parler ? avait demandé Eddie avec un sourire nerveux.
-Elle ira nulle part avec toi. Parle-lui ici, avait ordonné Juliet avant que tu puisses répondre. 
-Très bien, avait-il accepté en se sentant plus gêné. Je sais qu’on a pas vraiment parlé d’aller au bal ensemble, surtout que ce n’est pas du tout le genre de soirée que j’apprécie, mais je sais que ça te plairait alors, et si tu le veux bien, je serais ravi d’être ton cavalier. Oh, je t’ai aussi pris des fleurs, avait dit Eddie nerveusement, en te tendant le bouquet, mais tu n’avais pas bougé. C’est trop, c’est ça ? Je savais que c’était cliché et…
-Le Taré vous embête ? avait questionné Jason Carver en venant vers vous avec d’autres membres de l’équipe de basket.
-Il a invité Y/N au bal, avait informé Sarah, faisant rire tes amis.
-Sérieusement ? T’es bête à ce point-là ? 
-C’est pas tes affaires, Carver, avait rétorqué Eddie en serrant les dents. 
-Qu’est-ce qui te fait croire qu’elle voudrait sortir avec un gars comme toi ?
-Parce qu’être avec un gars comme toi serait juste une déception. Et puis, je sais qu’elle veut sortir avec un gars de mon genre.
-Qu’est-ce qui te rend si sûr ?
-Je ne vais pas continuer à te parler. Alors, Y/N, qu’est-ce que t’en dis ?
-Tu n’as pas à répondre, l’avait interrompu Jason.
-On va au bal ensemble ? avait quand même continué Eddie.
En entendant la question d’Eddie, tous tes amis s’étaient mis à rigoler un peu plus fort. Eddie prenait sur lui pour ne pas réagir, restant concentré sur toi. Il n’avait beau ne pas comprendre pourquoi tu restais avec eux, il ne voulait pas créer une bagarre par respect pour toi. De plus, ce moment était censé être romantique, ça ne pouvait pas mal se finir.
De ton côté, ton cerveau avait cessé de fonctionner. Tu ne savais plus quoi faire et les rires et remarques de tes amis n’aidaient en rien. Tu voyais bien qu’Eddie attendait ta réponse positive, mais la pression extérieure t’empêchait de lui sauter dans les bras en acceptant sa demande et en prenant son bouquet. Tu avais ouvert et fermé la bouche à plusieurs reprises, ignorant quoi dire. Tu avais entendu une de tes amis les plus proches faire une remarque sur votre “potentiel” couple et comment il était ridicule en plus d’être voué à l’échec et avant que tu puisses réagir, tu avais rétorqué : 
-Eddie, tu as l’air d’être quelqu’un de gentil, mais on ne se connait pas donc non. Ne le prends pas mal, je ne voulais pas aller au bal de toute façon. Mais, je suis touchée que tu aies pensé à moi.
-Tu as raison, on se connait vraiment pas, avait-il répondu en cachant la douleur dans ses yeux. J’ai été de con de penser que tu serais différente des autres.
Et sur ces mots, Eddie avait violemment jeté le bouquet de roses à tes pieds puis il s’était éloigné. Tu l’avais regardé partir avec les larmes aux yeux et en t’insultant alors que tes amis s’amusaient de son humiliation. 
Tu étais restée figée pendant quelques minutes, n’arrivant pas à croire que tu avais pu lui faire ça. Après tout ce qu’Eddie avait fait pour toi, tu l’avais rabaissé. Après tout l’amour qu’Eddie t’avait apporté, tu l’avais laissé tomber pour des amis qui n’avaient jamais fait attention à toi.
Ce soir-là, tu avais pleuré toutes les larmes de ton corps. La douleur dans ta poitrine était insupportable, mais tu te disais que tu la méritais. Eddie devait sûrement être dans un pire état. Tu avais brisé sa confiance. Il t’en voudrait toute sa vie, c’était une certitude. 
Tu n’avais pas osé l’appeler, trop honteuse pour lui faire face. De plus, avec ton déménagement qui approchait, tu essayais de te rassurer en disant que, dans tous les cas, votre relation allait se finir. Cette pensée ne pouvait te réconforter que pendant une seconde avant que la culpabilité revienne. Tu avais fini par quitter Hawkins sans jamais pouvoir t’excuser alors que tu souhaitais plus que tout arranger la situation. 
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Mais maintenant, c’était ta chance. Tu peux enfin réparer tes erreurs. Tu dois le faire, même s’il y a risque qu’Eddie s’énerve contre toi. Tu es prête à recevoir ses foudres tant que tu t’excuses. Il mérite tes excuses. 
Le mardi soir, tu arrives au Hideout alors que le concert de Corroded Coffin a commencé depuis quelques minutes. Tu te fais discrète, restant dans un coin du bar. En jetant un coup d'œil aux alentours, tu remarques que peu de personnes les écoutent, ce qui t’agace. Tu n’aimes pas voir que le groupe d’Eddie n’est pas apprécié à leur juste valeur. 
En écoutant Corroded Coffin, tu réalises qu’ils se sont énormément améliorés. De plus, à présent, ils jouent plus de chansons originales que de reprises. Pendant ton écoute, tes yeux sont posés sur Eddie. Tu le vois heureux de jouer même si c’est un public composé de quelques ivrognes et de toi. Il s’amuse avec ses amis, son sourire est sincère. Son sourire te manque. Il avait toujours un effet thérapeutique sur toi. Tu aimerais pouvoir encore être la cause de son sourire. 
Tu écoutes chacune des chansons avec attention. La dernière te marque particulièrement. Tu n’as pas besoin d’écouter jusqu’au refrain pour savoir que le sujet est votre rupture. En écoutant sa douleur en musique, ton cœur se brise à nouveau. Tu vois dans les yeux d’Eddie qu’il ressent les émotions en même temps qu’il chante, comme si tu avais arraché son cœur la veille. À ce moment-là, tu souhaiterais que tout soit différent. Tu aurais aimé être l’inspiration d’une chanson qui le rende heureux sur scène, pas une où il est sur le point de s'effondrer à chaque mot.
Quand Corroded Coffin ont fini de jouer, tu les applaudis, suivi de quelques personnes qui le font par politesse. Eddie part à l’arrière du bar et tu finis par le suivre quelques minutes plus tard.
Dehors, Eddie allume une cigarette alors que tu te rapproches de lui, embarrassée et les bras croisés sur ta poitrine.
-Vous avez super bien joué, le complimentes-tu, attirant son attention.
-Merci. Bon, tu voulais me parler, non ? demande-t-il en apportant sa cigarette à ses lèvres. Je t’écoute.
-Oh, oui… Je… Je voulais te présenter mes excuses, bégayes-tu en évitant son regard pendant une seconde. Tu es quelqu’un de bien, Eddie et tu ne méritais pas que je te traite de cette façon. Je suis désolée de t’avoir brisé le cœur et je suis surtout désolée pour cette fameuse nuit. Je n’aurais pas dû t’humilier de cette façon en disant que je ne te connaissais pas, c’était méchant de ma part. J’aimerais pouvoir dire que j’ai agi de cette façon à cause de la pression de mes anciens amis, mais ils ne m’ont pas forcé à te dire non. J’avais le choix entre assumer mes sentiments pour toi devant tout le monde ou t’abandonner et j’ai choisi la mauvaise option. J’aurais dû te choisir, toi. Je te jure que si je le pouvais, je remonterai le temps jusqu’en décembre et je changerais tout. Je m’assurerais de ne pas prendre mes jambes à mon cou et t’aimer comme toi tu m’as aimé. Je retournerais dans le passé pour le changer, mais je ne peux pas, je le sais. Je vivrai toujours avec le regret de t’avoir perdu à cause de ma stupidité. Tu étais le meilleur petit ami que j’aie jamais eu et que j’aurai, continues-tu, ta voix pleine d’émotion. Tu étais parfait et j’aurais aimé le réaliser quand on était encore ensemble. Alors, je te demande pardon pour tout ce que je t’ai fait. Et si, par je ne sais quel miracle, tu acceptais de me reparler, de me donner une nouvelle chance, je te jure que je saurais t’aimer comme il faut. Pas forcément de manière romantique, mais je m’assurerai de ne pas tout ruiner une nouvelle fois. Je sais que ce je dis n’enlève rien à la douleur que je t’ai causée et tu n’as pas à répondre à tout ce que je viens de te dire, mais tu méritais de l’entendre, finis-tu avant d’éclaircir ta gorge. Je vais te laisser tranquille maintenant, ajoutes-tu avant de tourner les talons. 
-Y/N, attends ! te retient Eddie et tu te retournes vers lui. Merci pour ce que tu viens de dire. J’apprécie. Je ne sais pas si un jour j’arriverai à oublier ce que tu m’as fait, mais j’apprécie tes excuses.
-Tu m’as tellement donné, c’est le moins que je pouvais faire. J’espère que la prochaine personne que tu aimeras saura t’aimer comme j’aurais dû. 
Tu lui fais un dernier sourire avant de partir. Tu te sens plus légère maintenant que tes excuses sont faites, mais tu sais que ta culpabilité ne te lâchera jamais. Peut-être que dans un autre univers, tu n’as pas fait l’erreur de le repousser ? En tout cas, cette idée te réconforte.
Stranger Things Masterlist
Speak Now Masterlist
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stillsweetandwild · 1 year
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#homesweethomewithyou #Iloveyou ❤ @drstrange0064
Je t'ai rencontré, simplement
Et tu n'as rien fait, pour chercher à me plaire
Je t'aime pourtant d'un amour ardent
Dont rien je le sens, ne pourra me défaire
Tu seras toujours, mon amant
Et je crois à toi, comme au bonheur suprême
Je te fuis parfois mais je reviens, quand même
C'est plus fort que moi
Je t'aime
Lorsque je souffre, il me faut tes yeux
Profonds et joyeux
Afin que j'y meure
Et j'ai besoin pour revivre, amour
De t'avoir un jour
Rien qu'un jour, une heure
De me bercer un peu dans, tes bras
Quand mon coeur est las
Quand parfois je pleure
Ah! crois-le, bien, mon chéri, mon aimé, mon roi
Je n'ai de bonheur qu'avec toi
Tu seras toujours, mon amant
Et je crois à toi, comme au bonheur suprême
Je te fuis parfois mais je reviens, quand même
C'est plus fort que moi
Je t'aime
🍂🍁💐🍂🔶🔶🔶🔶🔸🔸🔸🔶🔶🔶🔶🍂💐🍁🍂
--Diane Dufresne--
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uniqueivresse · 2 years
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Tu es tout le temps là, avec moi, à côté de moi, en dehors de moi.
Tu reviens sans cesse avec tous ces tourments, cette noirceur et cette habilité à manipuler qui tu le souhaites.
Pourtant je t'ai quitté il y a maintenant 6 ans et tu es toujours là dans mon cœur.
Parceque la vérité est que tu es et seras à jamais mon seul amour, en qui j'ai donné en perdant toute vie.
Tu es le seul et le dernier.
Tu me manques. Des fois. Souvent. Quotidiennement.
Que dois je faire depuis ces 6 années passées à te chercher sans vouloir vraiment te trouver pour me protéger.
Seul ces écrits sont la preuve de mon amour. Un amour impossible, qui a cessé depuis longtemps.
Pourtant, tu es toujours là, cher toi, cher fantôme à côté de moi.
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christophe76460 · 2 months
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Un jeune homme sollicita un poste dans une grande entreprise. Après l’entretien d’embauche de sélection, le directeur adjoint l’envoya vers le directeur général pour une dernière entrevue. Le directeur a bien regardé son CV : il était tout simplement excellent (de grandes écoles, de beaux stages…). Aussi, le DG lui a demandé : « As-tu reçu une bourse d’étude pendant ton cursus scolaire ? » Le jeune diplômé lui a répondu tout simplement « non ».
« Est-ce ton père qui a payé tes études ? »
« Oui » répondit le jeune.
« Où travaille ton père ? »
« Mon père fait des travaux de forge. »
Le directeur a demandé au jeune de lui montrer ses mains. Le jeune lui a montré une paire de mains lisses et parfaites.
« As-tu jamais aidé ton père dans son travail, ne serait-ce qu’une seule fois ? »
« Mon père a toujours voulu que j’étudie davantage. En outre, il peut mieux faire ces tâches que moi.»
Le directeur a dit :
« J’ai une demande à te faire : quand tu iras à la maison aujourd’hui, observe et lave les mains de ton père puis reviens me voir demain matin. »
Ni une, ni deux, le jeune s’empresse de prendre congé pour aller vite répondre à la requête du DG.
Quand il rentra à la maison, il se mit à chercher son père et lui demanda la permission de laver ses mains.
Son père se sentit heureux de la subite attention de son fils et les lui présenta avec bienveillance. Après un temps d’arrêt, le jeune homme entreprit de laver doucement les mains paternelles. Pour la première fois, il se rendit compte de l’état des mains de son père : elles étaient ridées et avaient tant de cicatrices qu’il pouvait à peine toutes les compter. Certaines d’entre elles étaient encore à vif et quand il avait le malheur d’y toucher, son père tressaillait de douleur.
Pour le jeune homme, ce fut comme un seau d’eau glacée lancé en plein visage ! Il se rendit peu à peu compte du sacrifice de son père. Car chacune de ces cicatrices représentait le prix à payer pour SON éducation, SES activités de l’école et SON futur.
Après avoir fini de nettoyer les mains de son père, le jeune commença à mettre de l’ordre dans l’atelier. Cette nuit-là fut un magnifique moment ‘père et fils’ durant lequel ils parlèrent très longtemps.
Au matin suivant et comme prévu, le jeune est retourné voir le directeur.
Ce dernier s’est vite rendu compte des larmes dans les yeux du jeune homme. Aussi lui-a-t-il demandé : « Peux-tu me dire ce qui te fait pleurer et ce que tu as appris hier en rentrant chez toi ? »
Le jeune a répondu : « j’ai nettoyé les mains de mon père puis j’ai fini par ranger son atelier… mais ce n’est pas le plus important. Je sais maintenant reconnaître ce qui mérite d’être apprécié. Sans mon père, je ne serais pas celui que je suis aujourd’hui. En aidant mon père, je me suis rendu compte de la dureté de son labeur et de mon arrogante indifférence. Aujourd’hui, j’apprécie son sacrifice à sa juste valeur et le trésor qu’est l’aide familiale.
Le directeur a dit : « Voilà ce que je cherche chez mon personnel. Je veux engager des personnes pouvant apprécier l’effort fourni par les autres, des personnes qui ont conscience de la souffrance d’autrui, des personnes qui ne mettent pas l’argent comme seul objectif dans la vie… Tu es embauché ».
Un enfant trop protégé à qui les parents donnent tout ce qu’il veut, développe « une mentalité de droit » et ignore les sacrifices qu’il a fallu faire pour en arriver là! Si vous vous reconnaissez dans ce type de parents protecteurs, pensez-vous agir pour le bien de vos enfants ou au contraire, les guider sur le mauvais chemin?
Vous pouvez donner à vos enfants ce qu’ils souhaitent le plus au monde : une maison chaleureuse, un bon repas, une grande école, un téléphone portable dernier cri… Quand vous devez faire le ménage ou peindre une chambre, pensez tout simplement à les mettre à contribution. Après avoir mangé, qu’ils lavent et rangent la vaisselle entre frères et sœurs pour apprendre la vraie valeur de l’entraide et les qualités nécessaires pour mener une belle vie. Un jour, quand vous aurez les cheveux bien blancs, vous serez heureux de voir vos enfants épanouis, suivre votre exemple et apprendre à leurs propres enfants l’expérience de la difficulté et l’importance du travail en groupe!
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schumi-nadal · 6 months
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Thanks for tagging me @shambolicchaos (it’s rare to see you play tag games btw and I really want to read your WIPs 😂) 🩵
Rules: Post the names of all the files in your WIP folder, regardless of how non-descriptive or ridiculous. Let people send you an ask with the title that most intrigues them, and then post a little snipped or tell them something about it! And then tag as many people as you have WIPs.
1. Ce Que La Vie Nous Prends/ What Life Takes From Us
2. Not Just A Game
3. And Baby Makes Three
4. A Beautiful Day
5. Let Me Take Care of You, Mi Amor
6. Je Reviens Te Chercher
I’m tagging @a-swiss-and-a-spaniard @rafasbiscuits and whoever wants to do it (because I’m pretty sure all the writers I follow have been tagged already 😂) feel free to do it or not obv 🥰
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