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#bonnes sœurs
fidjiefidjie · 1 month
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Bonjour, bonne journée ☕️ 🌥
Les deux bonnes sœurs🗼Paris
Photo de Kees Scherer 1950s
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sorciedevent · 1 month
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lemondeabicyclette · 3 months
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L'incompétent patron de l'OMS qui veut tous les pouvoirs, se plaint !
Il dit que les signatures de son accord sur les "pandémies" sont retardées à cause des vilaines théories complotistes !
Et oui mec, nous on fait le job, et on fera l'impossible pour que tu ne prennes jamais le pouvoir.
Rappelons que l'OMS est en partie financée par Big Pharma et Bill Gates.
Rappelons que l'OMS a été accusée d'incompétence pour la Grippe A
Rappelons que l'OMS a interdit des traitements contre le Covid19.
Rappelons que l'OMS a menti sur les vaccins.
Rappelons que l'OMS a validé les stupides confinements qui ont ruinés les pays.
Rappelons que l'OMS a promu les masques qui ne servent à rien et pollué la planète de leurs déchets.
Rappelons que l'OMS a validé les Pass Vaccinaux qui étaient basées sur un mensonge.
Et le gars veut tous les pouvoirs !
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ayadarkraicute · 1 month
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Malleus fait sa promenade nocturne en passant par le dortoir de Ramshackle qu'il croyait inhabitable mais il a remarqué qu'il y a des lumières sur les fenêtres, en face du grillage de ce dortoir il y a une jeune fille regardant vers le ciel. Par curiosité Malleus avance de plus près et pour la première fois qu'il a vu une humaine avec des cheveux bruns, yeux bleus, deux cicatrices une sur la joue et sur le coup et uniforme bleu.
??? : Que c'est joli cette lumière verte. On dirait des feux feu follet ! *Se retourner* Hum ? Oh bon soir !
Malleus : Oh bon soir, je t'ai jamais vu ici ?
??? : Oh parce que ma grande sœur et moi on est apparue il y a quelques jours et on cherche un moyen pour rentrer dans notre monde !
Malleus : Dans votre mode ?
??? : C'est un peu compliqué, ma sœur et moi même on est téléporté dans ce monde, ma sœur Zafira croyait que le directeur de ce collège nous a kidnappés. Hé hé ^w^'
Malleus : Je vois... Et comment t'appelles-tu ?
??? : Je... je m'appelle Yuri ! Et toi comment tu t'appelles ?
Malleus : Moi je suis... non attend je préfère que tu restes sur l'ignorance !
Yuri : Hein pourquoi ?
Malleus : C'est pour ton bien je t'assure, à la place je te donne la permission de me donner par le nom ce que tu désires !
Yuri : Oh d'accord je vais réfléchir un peu... bon sens bon soir ça va être compliqué...
Zafira : Yuri ! Rentre il est tard !
Yuri : Ah désolé on se verra peut-être demain ou pendant les cours.
Malleus : Alors je te dire à très bientôt l'enfant l'homme.*se téléporté*
Yuri : *Pense : l'enfant l'homme ?* Oui bonne nuit.
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perduedansmatete · 5 months
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en vrai j'ai pas besoin de mec dans ma vie j'ai déjà celui de ma sœur qui me fait plein de compliments à chaque fois qu'on se voit, et là en partant ce soir quand on s'est fait un câlin il m'a dit "bonne nuit très belle-sœur" mdr j'adore je veux qu'il ne s'arrête jamais
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a-room-of-my-own · 21 days
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Et un autre gamin mort. Cette fois-ci crime d’honneur, « il avait parlé à leur sœur », et tout le monde qui garde les yeux bien fermés et qui s’échine à parler de manque de moyens.
J’en peux plus.
Rien à voir avec le manque de moyens.
A la limite mettons l’islamisme de côté, il reste quand même l’idéologie de l’EN et au-delà de toutes les structures d’éducation et d’animation. Combien d’amis j’ai qui se sont fait martyriser au collège et au lycée dans l’indifférence totale de l’administration de leur établissement ? Une bonne poignée qui comprend mon frère.
Et c’était avant TPMP (dont le spectateur moyen a 50 piges pour info), avant internet, avant les téléphones et les réseaux sociaux. Si je faisais la somme de tout ce que j’ai vu et entendu j’en aurais pour un certain temps et je ne suis même pas maman. Ce qui m’a le plus frappée en termes idéologiques c’est la mentalité de l’encadrement du centre aéré dans lequel j’avais travaillé qui était dans la victimisation permanente des enfants. Et c’était en 2006.
Victimisation permanente quand il s’agissait de ne leur demander aucun effort (on leur organise un spectacle ? C’est pas grave s’ils n’apprennent pas leur texte. On fait une activité ? C’est pas grave s’il ne s’appliquent pas. Ils ne sont pas polis ? C’est pas grave et les bonnes manières c’est réac) mais grosse trouille quand il s’agissait de punir des comportements harcelants (comme une exclusion par exemple) ou de signaler des maltraitances sur l’enfant lui-même.
Pourquoi ? Parce qu’être hypocrite et refuser d’éduquer ne coûte rien. En revanche, faire face à un parent et lui expliquer que son enfant ne sera plus reçu parce qu’il tabasse les autres, trop compliqué. Signaler des faits de maltraitance ? Trouille de ne pas avoir assez de preuves.
Parlons-en des parents d’ailleurs. Souvent ils ont eu leurs enfants jeunes et ont été « élevés » par les mêmes structures qui les ont victimisés et déresponsabilisés toute leur vie. Ça donne quoi? Tout leur est dû. Rien n’est de leur faute. Même quand les enfants sont visiblement négligés, mal soignés, mal aimés, pas élevés ou élevés dans la violence, c’est toujours la faute de l’extérieur, de la maîtresse, de l’animateur.
Ces enfants qui avaient 6-11 ans en 2006 sont adultes maintenant et je me demande souvent ce qu’ils sont devenus.
Quand j’étais pionne en lycée/prépa, un jeune boursier de banlieue avait été admis. À son attitude avec les profs et les élèves, on voyait tout de suite qu’il avait été élevé dans ce bain là. Mais le bahut était plutôt vieille France et il a été extrêmement surpris quand personne ne lui passait son absentéisme et son manque de respect. Il a fini exclu parce qu’il séchait tous les vendredis. Sa mère a appelé la vie scolaire pour hurler, comme une mère de centre aéré qui était venue me hurler dessus parce que j’avais mis son fils au coin après qu’il ait tabassé un autre enfant. Hurler pour dire quoi ? « Mon fils il est fatigué avec tous ces cours ».
Bah oui ? De quel droit lui demandait-on de travailler ? Et surtout comment pouvait-on l’exclure ? Oui il y avait eu des avertissements mais il fait ce qu’il veut non ?
Multipliez ça par le nombre de bahuts, de centres aérés, de structures gérées par des éducateurs et vous avez le résultat de 40 ans de victimisation et de maltraitance croisée. On pourrait aussi parler pendant des heures de l’ASE qui est capable de victimiser les parents maltraitants à outrance, tout négligeant complètement les enfants placés (mais dans la même hypocrisie) jusqu’à les jeter au rebut dans des hôtels formule 1.
Bref je pars dans tous les sens mais ça me démonte.
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iranondeaira · 9 months
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Le câlin qui a sauvé une vie En 1995, les jumelles, Kyrie et Brielle Jackson, sont nées 12 semaines avant terme, chacune ne pesant qu'environ 2 livres. Ils ont été placés dans des incubateurs séparés. Un jumeau ne devait pas survivre. Elle est entrée dans un état critique. Son rythme cardiaque augmentait alors que son niveau d'oxygène diminuait considérablement. Ils étaient sur le point de la perdre. C'est alors qu'une infirmière, Gale Kasparian, est allée à l'encontre des règles de l'hôpital et de la procédure standard, plaçant la jumelle en bonne santé à côté de sa sœur en difficulté dans le même incubateur. Cette décision s'est avérée salvatrice. Une fois que les jumelles étaient proches l'une de l'autre, la sœur en difficulté (Brielle) s'est blottie contre la sœur en bonne santé (Kyrie) qui a mis ses bras autour de Brielle. Presque immédiatement après, les signes vitaux de Brielle ont commencé à se stabiliser. Son rythme cardiaque et son taux d'oxygène se sont normalisés. Les deux sœurs jumelles ont finalement survécu et sont devenues de jeunes femmes fortes. L'image ci-dessous est devenue connue sous le nom de câlin salvateur et allait changer une partie de notre compréhension de la médecine.
Il est prouvé que les câlins qui viennent du cœur ont des effets calmants et curatifs. Peut-être y a-t-il quelqu'un dans votre vie qui peut utiliser un câlin chaleureux et sincère en ce moment.
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aisakalegacy · 1 month
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Printemps 1918, Al Simhara, Égypte (2/20)
L’heureux élu était Earnest Simmon, un neveu de Françoise. C’est précisément grâce à ma sœur que Louise a obtenu une invitation à une de leurs soirées, étant donné qu’elle désespère autant que nous de voir sa nièce toujours célibataire, à un âge où ses propres filles étaient déjà mariées. L’opportunité était belle, car il faut savoir que les Simmon sont la nouvelle grosse fortune de l’île, cela fait même quelques décennies qu’ils ont supplanté les Rumédier. Ce rapprochement fut inattendu, car il était de notoriété publique sur l’île que Simmon fréquentait Marie Rumédier, une fille d’une branche désavouée de la famille Rumédier, et tout le monde s’attendait à ce qu’il lui fasse sa demande.
[Transcription] Earnest Simmon : Tout va bien, Miss ? Louise Le Bris : Ah ! Oui, désolée, j’allais revenir au salon. C’est qu’il y a beaucoup de monde, et j’avais juste besoin d’un peu de calme. Earnest Simmon : Donc… c’est vous, la demoiselle dont tout le monde parle car elle est toujours célibataire à vingt-cinq ans ? Excusez ma franchise. Louise Le Bris : … Oui. C’est moi. Earnest Simmon : Je vois. Je suppose que vous n’appréciez pas ce qu’il se dit de votre situation ? Louise Le Bris : Pas vraiment, non. Je trouve très impoli de supposer le pire à propos de quelqu'un que l’on connaît à peine. Peut-être ai-je une raison tragique de rester célibataire ! Louise Le Bris : Peut-être ai-je un fiancé dont la famille est l'ennemi juré de la mienne ? Ou peut-être que je suis secrètement fiancée à quelqu'un de célèbre, qui ne veut pas faire d'histoires et attend que le mariage ait lieu pour faire des annonces publiques. Peut-être que ma mère est en train de mourir de tuberculose et que je dois prendre soin d'elle. Louise Le Bris : En réalité, il pourrait y avoir de nombreuses raisons qui rendraient ces commérages incroyablement insensibles ! Earnest Simmon : Et si vous me permettez, quelle en est la vraie raison ? Louise Le Bris : … Je n’ai pas encore rencontré la bonne personne. Earnest Simmon : Est-ce uniquement cela ? Cela ne vous effraie pas de n’être toujours pas mariée à votre âge ? Ne craignez-vous pas d’être un poids pour vos parents ? N’est-ce pas ce qui est attendu d’une jeune fille ? Louise Le Bris : Si mon bienêtre vous intéresse autant, alors peut-être que vous pouvez me trouver un prétendant vous-même. Excusez-moi, je retourne au salon. Earnest Simmon : Attendez… Peut-être que je pourrais être votre prétendant. Louise Le Bris : Pardon ? Earnest Simmon : Je pourrais être votre prétendant. Je pourrais commencer à vous faire la cour, et cela mettrai fin aux commérages. Earnest Simmon : Je cherche moi-même à m’extraire d’une situation inconfortable. Cela aurait donc un avantage pour vous, comme pour moi. Louise Le Bris : Oui… Oui, cela pourrait marcher !
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alexar60 · 9 months
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Monstres
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Il n’était jamais bon de se promener seul dans une forêt. Après quelques kilomètres, Johannes regretta d’avoir refusé une assistance. Il regarda les arbres à l’apparence humaine pendant que son chariot avançait. En bon marchand colporteur, il ne transportait pas de réelle valeur si ce n’est quelques dentelles ou tissus venu de France. Toutefois, il craignit une attaque de bandits, malandrins ou voleurs de grand-chemin qui n’auraient aucune pitié pour sa vie.
Mais son inquiétude allait surtout sur les légendes que la forêt, celle qu’il traversait actuellement, regorgeait. En effet, nombreux furent ceux qui prétendaient avoir rencontré un monstre, une bête au regard noir et à la forme d’un loup. D’autres parlèrent de farfadets, trolls malveillants qui s’amuseraient avec les visiteurs perdus. Et puis, il y avait les histoires concernant des disparus. Chaque village autours du bois comptait au moins une personne qui n’est jamais revenu de la forêt.
Il aurait pu faire le tour. Seulement, afin de gagner deux bonnes journées,  le marchand voulu traverser cet endroit maudit. Son cheval avança avec une certaine nervosité. Un léger brouillard imposait une ambiance glaciale pendant que quelques oiseaux criaient. Un coucou par-ci, quelques corbeaux par-là. Le vent balançait les cimes des arbres provoquant un sifflement inquiétant. Parfois, Johannes tournait la tête au craquement d’une branche ou au bruissement d’un buisson provoqué par un animal sauvage.
Le cheval n’avait qu’à suivre la route tracée. Cependant, après quelques heures, il s’arrêta brusquement. Son hennissement alerta le commerçant. Dès lors, il se leva sans quitter le chariot, il serra un bâton long et attendit. La peur faisait gargouiller son ventre. Ses tympans battaient son cœur dans un désagréable fracas.
Avance, mon ami, avance, je t’en prie, murmura-t-il afin de ne pas réveiller de monstre.
Mais il n’obtint du cheval qu’un énième hennissement. Il demeura debout, les jambes tremblantes. Il réalisa qu’il n’entendait aucun autre son en dehors de sa respiration, et de celle de son cheval. Il tourna la tête, cherchant à voir à travers la brume. En fait, il espérait la venue de quelque-chose qui puisse le rassurer, même un monstre. Car le silence absolu était la pire des angoisses.
Soudain, un hurlement surgit des profondeurs de la forêt. Le cheval se cabra avant de galoper comme un forcené, provoquant en même temps, la chute de Johannes hors du chariot. Lorsqu’il se releva, il ne put que constater son bien déjà trop loin pour le rattraper. Mais sans attendre, il se mit à courir espérant retrouver son cheval le plus tôt possible.
Il courut au milieu des branches. Un bruit fort et rapide sembla approcher comme un monstre en train de pourchasser sa proie. Il continua de courir sans se retourner. Le froid de la brume giflait ses joues contrastant avec son sang qui bouillait en lui. Il courut pour finalement arriver dans une clairière.
Essoufflé, fatigué, il se pencha pour reprendre une respiration normale. En entendant des rires, il leva la tête et découvrit un lac peu profond et pas très grand. Au bord, sept jeunes femmes s’amusaient de sa présence tout en lavant du linge blanc. Elles se ressemblaient comme des sœurs, la peau blanche comme le lait.  Leur longue chevelure rousse flamboyait telle une torche allumée. Johannes se sentit gêné de se retrouver avec d’aussi belles femmes, dont les robes blanches trempées ne cachaient rien de leur corps désirables.
Qui es-tu, jeune imprudent ? demanda celle qui semblait être la plus vieille.
Je me nomme Johannes Tischler. Je suis un marchand perdu en ces lieux. N’auriez-vous pas vu passer mon cheval tirant un chariot, par hasard ?
Non, répondit-elle. Mais il ne doit pas être bien loin. Si tu veux nous t’aiderons à le chercher plus tard. Mais en attendant, tu pourrais nous aider à frapper ce linge.
Le marchand hésita un instant. « Si monstre il y a, il ne peut attaquer quand nous sommes plusieurs » pensa-t-il. Dès lors, il retira ses bottes et entra dans une eau froide. Une des jeunes femmes tendit un battoir qu’il attrapa. Deux autres s’écartèrent pour lui laisser une place. Il prit un drap et commença à le frapper sous les sourires des lavandières.
Parfois, elles discutaient, murmuraient entre elles tout en regardant Johannes. Il avait l’impression qu’elles n’avaient jamais vue d’homme avant lui. Il battait le linge avec difficulté. Et une fois terminé, une laveuse l’aidait à plier correctement les draps pour les faire sécher. Il avait du mal à empêcher ses yeux d’admirer les formes généreuses de ses coéquipières du moment. Le téton de leurs seins ressortant de sous la robe trempé, Les pubis collant au tissu. Il détourna le regard, dès que l’une d’elle se penchait trop, lorsqu’elle était à genoux, galbant ainsi ses fesses rosies par les reflets du soleil. Il ne s’était pas rendu compte que la brume ne recouvrât pas la mare.
Enfin lorsque le linge fut propre, il retourna au bord pour remettre ses chausses et attendit qu’elles sortissent à leur tour. Le soleil commença à décliner. La plus ancienne s’approcha. Il remarqua ses jolis yeux noirs et son nez fin. Il baissa rapidement les yeux, admirant au passage qu’elle avait plus de poitrine que les autres.
Il se fait tard, je te propose l’hospitalité pour te remercier de ton aide, annonça-t-elle.
Soulagé de ne pas à traverser la forêt en pleine nuit, Johannes accepta. Dès lors, il suivit les sept jeunes femmes sur un sentier qui l’éloignait de la route principale. Sur leur passage, les oiseaux ne chantaient pas, le brouillard se dispersait et un silence immense régnait.
Elles marchèrent sans prononcer une seule parole. Par moment, elles regardaient Johannes, lui conseillant de faire attention à une racine au sol ou aux ronces sur le côté. Elles marchèrent tout en portant leurs paniers de linge. Les arbres étaient si proches les uns des autres que Johannes n’imaginait pas une chaumière dans un endroit pareil. Il suivit les femmes et vit enfin une cabane.
Elle parut grande, cependant il fut surpris qu’elles continuassent de marcher, se dirigeant vers une caverne. Le colporteur aurait voulu demander si la maison en bois était leur domicile. Mais invité par deux des rouquines, il se contenta de les accompagner. Il sentit leurs mains presser ses bras et ses hanches. Décidément, il faisait un grand effet auprès d’elles. Il pénétra dans la grotte. Elle était immense, éclairée par une multitude de bougies. Toutefois, une odeur nauséabonde empoisonnait l’atmosphère.
Viens, nous avons retrouvé ton cheval, annonça une des femmes.
Etonné, Johannes s’enfonça dans la grotte. Comment son cheval pouvait être ici ? Et comment pouvait-elle le savoir alors qu’il ne les a jamais quittées ? Il marcha toujours encadré par deux jeunes femmes. Leurs doigts devenaient de plus en plus entreprenants, et déjà, il sentit leurs caresses de plus en plus sensuelles. La forte odeur putride se fit de plus en plus forte.
Tout-à-coup, le marchand fut saisi d’effroi. C’était une vision d’horreur que de voir un monceau de cadavres. Il y avait des animaux en grande quantité, à moitié putréfiés, des parties dévorées et décharnées, des squelettes attendant de blanchir. Il y avait des chiens, des loups, des chats, des renards, des chevreuils et des cerfs, des lapins, et par-dessus, les restes d’un cheval noir copie exacte du sien, s’il était encore entier. L’animal avait la gorge arraché et exhibait ses côtés encore ensanglantées.
Johannes n’eut pas le temps de crier quand il sentit des pointes enfoncer son ventre. Les doigts de ses hôtesses venaient de se transformer en griffes acérées. Leurs visages n’avaient plus rien d’humain. Elles hurlèrent tout en se jetant sur le pauvre homme. Elles le dépecèrent, arrachant sa viande avec une telle monstruosité. Le sang coula le long de leur menton pendant qu’elles mangeaient sa chair. Et dès que les dames de la forêt se sentirent rassasiées, elles jetèrent les restes parmi le tas de cadavres d’animaux, avant de s’endormir repues et comblées.
Ales@r60 – août 2023
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ladyniniane · 5 months
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Omnia Vincit Amor 1/4
Rating: M
Fandom : Fire Emblem Three Houses
❧ Dedue Molinaro/Original Female Character
Additional tags: #Post-Verdant Wind, #Trauma, #Survivor Guilt, #Grief/Mourning, #Angst With a Happy Ending, #Romance, #Healing, #Fluff, #Learning to Live, #Friendship, #Family Bonding, #Canon-Typical Violence, #Sexual Content, #Duscur
Résumé/Summary:
Des fleurs abandonnées. Un luth muet. La guerre est terminée, restent désormais les remords et le vide laissé par les morts. Dedue et la musicienne Maeve se sont rencontrés dans l'armée du Royaume mais le conflit les a séparés. Il a perdu son suzerain, elle ses amies. Tous deux peinent à trouver leur place. Leurs chemins se croisent de nouveau à Garreg Mach. Saisiront-ils cette chance de guérir et d'apprendre à vivre de nouveau ?
Abandoned flowers. A mute lute. The war is over, what remains is remorse and the void left by the dead. Dedue and the musician Maeve met in the Kingdom's army, but the conflict tore them apart. He lost his liege, she lost her friends. Both are struggling to find their place. Their paths cross again at Garreg Mach. Will they seize this chance to heal and learn to live again?
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Maeve se faufila dans les couloirs du monastère. Ses habits de deuil faisaient d’elle une ombre aux yeux des habitants. Certains avaient à son égard une déférence protocolaire car elle était la belle-sœur de l’archevêque. D’autres reculaient devant la muraille de glace qui l’entourait. La magicienne n’avait pas l’énergie d’y remédier, vivre mobilisait déjà toutes ses ressources.
Le bureau de Seteth était, comme à l’habitude, parfaitement ordonné. Elle aurait pu s’y retrouver les yeux fermés, entre les armes entreposées sur leur râtelier, la peinture de dragon, les livres… Sa famille voulait la garder à portée de main. Enid avait refusé de la laisser rejoindre ses troupes. Maeve croyait n’être plus bonne qu’à se battre, rien ne pouvait plus laver ses mains, le danger ne l’effrayait plus. La paix était un mirage, se réadapter à la vie civile était une tâche sisyphéenne. Enid avait cependant vu clair dans son jeu.
AO3
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fidjiefidjie · 2 months
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Bonjour, bonne journée ☕️ 🌥
Montmartre, passage des Abbesses🗼Paris
Photo de ©Rodolphe Sebbah
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sorciedevent · 1 month
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Femme à deux têtes.
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quemajoiedemeure · 4 months
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Demain je vais chez mes parents pour l'anniversaire de ma sœur, en ce moment j'arrête pas de penser à quand mon père nous disait bonne nuit en montant l'escalier c'est horrible d'avoir moins de gens pour nous souhaiter bonne nuit
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jezatalks · 3 months
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Vent post sur la parentalité
Pour rester dans le thème.
Ça fait des semaines, voir des mois que j'y réfléchis.
Je ne pense toujours pas vouloir d'enfants. Et c'est toujours la crainte que ça puisse casser notre couple d'ici quelques années (mon compagnon n'y pense pas du tout pour le moment et ne sait pas s'il en veut)
Pour moi ça serait vraiment briser ma vie. Déjà que j'arrive pas à me "gérer" au quotidien (+ le fait que j'ai encore du mal à accepter que c'est aussi car je suis handicapée et que c'est une des raisons pour lesquelles que faire les tâches ménagères c'est compliquer).
Le manque d'intimité, avoir la tête prise 365j/24h par un être qui est totalement dépendant. Très probable que ce soit un point négatif pour mon bien être mental et crises d'hypersensibilité.
Je n'arrive pas à m'imaginer me faire appeler "maman" ni d'avoir le rôle de mère. Je pense que je DETESTERAI la partie grossesse/accouchement = je veux pas voir mon corps changer. C'est encore un parcours pour l'accepter. Et la dysphorie que je risque d'avoir ???
Je sais que mon compagnon serait un parent formidable. Je pense que sur le plan pratique/matériel je serais irréprochable, faire attention à sa sécurité/santé/bien être. Mais tout ce qui touche au plan émotionnel je n'arrive pas à m'imaginer avoir un lien avec, un affect, ou un rapport "classique" d'amour avec un enfant.
Déjà que j'arrive pas me dire que "j'aime" ma famille. Je sais que mes parents sont cools, je m'entend relativement bien avec ma sœur. Mais sans plus. Mes cousins/oncles et tantes sont drôles et sympas. Mais pareil, je ne sais pas si j'arrive à me dire que j'ai un affect avec. Si on n'avait pas été de la même famille, probable que jamais je n'aurais essayer de tisser des liens avec.
Je l'ai vu avec ma nièce. Je réagis, j'essaye de "jouer" mais comparer à tous ceux qui jouent avec elle, je suis le moins tactile possible, je garde mes distances, je force pas les bisous et n'en donne pas (pareil pour les câlins). Je sens que je ne sais pas comment me comporter.
Je l'ai aussi dit à mon compagnon. Si jamais on en vient au point d'accord d'avoir un enfant (naturellement). Je veux être le parent qui sort en premier du congé parentalité pour amener l'argent du foyer et "fuir" ma responsabilité. Et aussi que j'ai envie de m'investir un "minimum".
C'est hyper égoïste (ptdr l'argument qu'on donne aux personnes qui n'en veulent pas et qui en veulent aussi) mais vraiment le seul truc qui me motive à avoir un enfant, c'est que je sais que moi et mon compagnon, on lui inculquerait des bonnes valeurs et qu'il sera le mieux entourer pour son éducation (au sens large).
Donc je pense que je ne serais pas un bon parents d'un point de vue interne au bordel car je m'imagine pas être capable d'être impliquée émotionnellement, que cet enfant sera le malheur de mon futur mal être personnel. Mais que de l'extérieur, personne captera car je serais un minimum impliquée.
Les seuls points positif que je vois = au bout de quelques mois de grossesse le ventre sera un support PARFAIT pour reposer mes poignets quand je jouerais aux jeux vidéo. J'espère que j'aurais le vagin plus lâche/détendu. Ce qui me permettra de pas me sentir irritée après chaque rapport (pourtant j'utilise des lub hydratants, et j'ai même fait une cure pour améliorer ma flore. Ça n'a quasi rien fait). Et apparemment, le bordel hormonal fera que j'aurais peut être moins de troubles de l'humeur liés aux hormones car vraiment, c'est de plus en plus insupportable avec les années.
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perduedansmatete · 8 months
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ahhhhh j'ai peut-être un entretien demain pour être surveillante dans un collège de ma ville à cause d'un message inattendu de ma sœur puisque sa meilleure amie est cpe et qu'ils ont besoin de surveillants à 70% je sais que j'ai mes chances car elle me connait et que j'ai bossé avec des gosses l'année dernière mais c'est trop soudain j'ai dit que je voulais bosser car j'ai pas beaucoup de cours cette année MAIS j'ai peur de 1) les collégiens de 2) pas avoir le temps de bosser mon mémoire de 3) pas supporter spécifiquement ces collégiens car je sais que c'est des petits monstres je connais ma ville et de 4) détester l'expérience tout simplement mais c'est quand même une bonne idée c'est à vingt minutes de chez moi à pied en mode petite balade matinale à 7h30 du matin ahah... j'ai les week-ends et les vacances scolaires pour bosser à fond le mémoire et avoir une vie sociale puis j'ai pas à chercher de taff ce que je n'ai toujours pas commencé à faire et tout le monde me dit que c'est une bonne idée mais j'ai peur et ça me tue de rire que quelqu'un de traumatisée du collège puisse faire surveillante mdr enfin bon il faut déjà que je dise oui et qu'on me dise oui en retour bref affaire à suivre (sous le signe de la peur)
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a-room-of-my-own · 10 months
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Ruben Rabinovitch, psychologue et psychanalyste, a reçu dans son cabinet des jeunes qui allaient passer en jugement ou qui sortaient de prison (pour braquage, violence, viol…). Il tente de percer à jour, avec les outils de la psychologie, les ressorts de la violence.
Le manteau de destructions et de pillages qui a recouvert la France ces dernières semaines a produit un effet de sidération sur la société et l’a laissée en état de choc. Le choc est un état provoqué par la surprise, mais à combien de reprises peut-on être successivement surpris par le même phénomène ? Le traumatisme actuel réside plutôt dans l’impossibilité de continuer à ignorer ce que l’on savait déjà.
Chacun cherche alors des explications comme naguère les sourciers l’eau souterraine à l’aide de leur baguette : la précarité, le manque d’autorité, le racisme, l’absence des pères, les violences policières, l’échec de l’intégration, le capitalisme, le gauchisme, etc. De bonnes causes bien grasses et bien empaquetées qui doivent permettre de prolonger le déni encore un peu.
DEUX YEUX : UN D’AMOUR ET UN DE HAINE
« Pour voir une chose entièrement, écrivait Nietzsche dans Humain, trop humain, il faut avoir deux yeux : un d’amour et un de haine. » La jouissance de détruire n’a pas de cause, mais des occasions dont elle profite. Les êtres humains sont tous frères, certes. Mais ils ne le sont pas moins par la fraternité que par le fratricide.
Ce que j’ai pu apprendre du fonctionnement psychique de ces meutes ultra-violentes, de leurs caves et de leurs clans, de leur jouissance et sa destructivité, de leur organisation familiale et de leurs fantasmes inconscients, je le dois à ma rencontre avec ces individus eux-mêmes, à leurs enfants, aux mères de leurs enfants, et à certaines de leurs sœurs qui les ont fuis comme elles l’ont pu, quand elles l’ont pu, dès qu’elles l’ont pu.
Durant mes premières années d’exercice, je recevais à mon cabinet de psychanalyste des jeunes gens qui allaient passer en jugement ou qui sortaient de prison (braqueurs, tabasseurs, violeurs). Ils ne venaient pas faire une analyse, ils n’en avaient ni l’envie ni les capacités psychiques. Ils venaient récupérer un courrier tamponné de ma main attestant de leur suivi psychologique exigé par le juge comme preuve de leur bonne volonté à se réinsérer. Contre ce précieux sésame, il leur fallait bien me parler un peu. J’ai également reçu, cette fois à leur propre initiative, des réchappées, exclusivement des femmes. Elles avaient grandi auprès d’eux et malgré eux, s’étaient débrouillées pour obtenir les diplômes qu’elles pouvaient et, dès leurs premiers salaires, avaient cessé d’espérer et quitté les « quartiers » pour pouvoir commencer à vivre.
L'ABSENCE DES PÈRES ?
J’ai reçu enfin, adressés par un généraliste d’Aubervilliers, des enfants, des femmes et des ex-femmes des membres de ces groupes ultra-violents. Le premier petit garçon que j’ai reçu devait avoir sept ans. La mère avait amené son fils parce qu’au retour d’un moment avec son père, l’enfant s’était mis à flamber d’hallucinations plus terribles encore qu’à l’habitude. Il faut dire que le père, parti des années auparavant et qui n’en continuait pas moins à terroriser la mère, avait emmené son fils le week-end précédent chez un imam de cave d’immeuble qui avait pratiqué sur l’enfant un effrayant rituel d’exorcisme. Car au risque de gâcher l’enthousiasme actuel, l’absence des pères dans les « quartiers » est souvent moins délétère que leur présence.
Voici, en vrac, quelques constatations que j’ai pu faire depuis le poste d’observation qui est le mien.
La première chose que je puis dire c’est que penser que la pauvreté engendre la violence est une considération de bourgeois. La bourgeoisie se flatte en supposant chez ceux qui ne bénéficient pas des mêmes conditions matérielles qu’elle une détresse qui pousserait légitimement à tous les crimes. La pauvreté aggrave bien des situations, à n’en pas douter, mais elle n’en est pas à l’origine, jamais. Les enjeux de la violence sont plus complexes, plus profonds, plus inquiétants aussi. Rappelons au passage ce que Baldassare Castiglione, écrivain et diplomate italien de la Renaissance, avait consigné dans son Livre du courtisan : « En pardonnant trop à qui a failli, on fait injustice à qui n’a pas failli. »
VIOLENCE
La seconde chose est que les enfants que j’ai pu voir n’étaient pas nécessairement tous battus mais que tous étaient des enfants qui avaient vu leur mère prendre des coups. La violence envers les femmes est pour ainsi dire consubstantielle à la mentalité de ces meutes ultra-violentes. C’est même une condition d’appartenance et de reconnaissance entre pairs. Précisons tout de même que par violence, on ne désigne pas ici celle des « stéréotypes de genre » mais bien celle des insultes, des menaces et des coups. Des menaces qui en restent rarement au stade de la menace et des coups qui sont parfois mortels.
Les pères ensuite, venons-y donc. Ils ne sont pas si absents qu’on veut bien le dire. Les enjeux sont autres. Les pères n’ont souvent pas souhaité l'être. Ils voulaient des relations sexuelles et refusaient de mettre des préservatifs parce que leur plaisir doit toujours l’emporter sur toute autre conséquence. Il leur arrive certes d’être absents, mais il leur arrive plus souvent encore de faire de leurs enfants les complices de leurs activités illégales. Un certain nombre ne s’identifie pas psychiquement comme des pères pour leur fils mais perversement comme les grands frères caïds de leurs petits frères apprentis caïds. Je me souviens d’un autre petit garçon dont le père avait volé devant lui à d’autres enfants leurs jouets pour les lui offrir. Le petit garçon lui avait répondu interdit : « Mais c’est à mon copain ? » En l’insultant, le père lui avait répondu que ce n’était plus à son copain puisqu’il venait de le lui prendre et avait cassé le jouet devant son fils pour ne pas avoir pris immédiatement part à son association de malfaiteurs.
Le petit garçon avait bien reçu le message : à l’avenir, il aurait le choix entre être le complice ou la victime de son père. Les pères ne désirent pas que leurs fils s’en sortent et dévient du chemin de la brutalité et du gangstérisme qui est le leur. À l’inverse, toute émancipation de leur progéniture serait vécue comme un désaveu personnel et une offense faite au groupe auquel ils appartiennent. Ce n’est pas que « l’ascenseur républicain » soit « en panne » mais que l’école, méprisée et haïe, n’est pas un lieu par lequel leurs enfants pourraient s’émanciper, mais l’enclave insupportable d’un clan rival sur leur territoire : le clan de l’État. L’organisation familiale de ceux dont l’impulsivité n’a aucune barrière est montée psychiquement sur le modèle du clan et non sur celui de la famille nucléaire (papa, maman et les bambins). Ne pas prendre la mesure de la différence entre ces univers mentaux serait jeter la discipline anthropologique et le legs de Maurice Godelier aux ordures.
LE GHETTO ET LE CLAN
Ces meutes ne sont pas composées de communautés rassemblant des individus mais de clans dont les membres forment un même corps, un même organisme. Le clan est travaillé par des fantasmes de fusion. Dès lors, comme l’a lumineusement décrit le psychiatre Maurice Berger, ceux qui en font partie ne sont pas libres de s’éloigner physiquement, géographiquement ou intellectuellement. Toute séparation serait vécue pour le membre comme pour le clan lui-même comme une amputation intolérable et une trahison insupportable. J’ai entendu une patiente raconter comment, dans « sa » cité, un jeune homme avait été laissé pour mort par un gang d’une autre cité parce qu’il entretenait une liaison avec une fille de chez eux, une fille à eux. De cela, il faut bien en déduire qu’il ne s’agit pas de « ghettoïsation », mais de séquestration. Dans un ghetto, on est enfermé de l’extérieur. Dans un clan, on est séquestré de l’intérieur.
Cela permet de rendre un peu plus lisible les phénomènes auxquels nous avons récemment assisté. Tout détruire et nuire aveuglément à ceux qui n’ont pas commis de crime ne peut être considéré comme une faute morale que si chaque individu est tenu pour l’unique responsable de ses actes. Puisqu’il n’y a pas d’individus dans la mentalité de ces meutes, ce qui est fait au membre d’un clan est fait à l’ensemble du clan. Réciproquement, ce qui est fait par le membre d’un autre clan (gang rival d’une autre cité, forces de l’ordre, État) l’autre clan en est tout entier responsable, sans discrimination. La haine de la police est une haine a priori et non une haine a posteriori. Ajoutons à cela que la perte d’un de leurs membres n’est pas vécu sous la modalité du deuil, du chagrin et de la tristesse mais sous la modalité de la haine, de la colère et de la vengeance. Ces clans ne sont pas structurés autour de la culpabilité, mais autour de l’honneur et de l’humiliation.
On dit de ces destructions et de ces pillages qu’ils ne sont pas politiques, parce qu’on n’y voit pas de banderoles peinturlurées de revendications sociales. Ces émeutes sont pourtant éminemment politiques. Les gangs ultra-violents savent très bien ce qu’est la République, son modèle d’organisation sociale, son projet et sa substance. Sans doute même mieux que le camp républicain lui-même, empêtré dans sa tétanie, sa lâcheté et son hébétude. Ils ont d’ailleurs très bien su identifier tous les symboles et les postes avancés de la République puisqu’ils ont brûlé ceux qui se trouvaient sur leur territoire à eux. L’école, le commissariat, le centre des impôts, la mairie, les policiers et la famille du maire : tout cela est ou appartient au clan d’en face qui a tué un des leurs.
Les « solutions », comme on dit, sont aussi simples qu’irreprésentables actuellement. Car ces gangs ne sont pas forts, ils sont seulement ultra-violents. Ils n’ont de puissance que celle qui leur est concédée et de pouvoir de nuisance que celui que la République jouit d’essuyer. Ces gangs ne sont pas la cause mais le symptôme de la désintégration républicaine. Pourtant, le pessimisme est un luxe que nous ne pouvons pas nous offrir. Le philosophe russe Nicolas Berdiaev écrivait dans un article paru en 1936 : « La liberté n’est pas un droit, c’est un devoir. »
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