Tumgik
#Sommeil récupérateur
omagazineparis · 11 days
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4 réflexes pour prendre soin de son audition
Tous ceux qui ont l’habitude d’écouter régulièrement de la musique, des podcasts, des livres audio ou de regarder un film, une série ou des vidéos avec un casque audio sur les oreilles ou des écouteurs intra-auriculaires sont susceptibles de fragiliser leur système auditif prématurément. Pour éviter ça et être capable d’entendre parfaitement pendant très longtemps, mieux vaut bien avoir conscience de ces risques et appliquer les conseils qui suivent au quotidien. Faire un test auditif La première chose à faire est de passer un Test auditif dès le moindre soupçon d’une perte auditive. Si vous avez l’impression que vous entendez moins bien ou que vous avez du mal à distinguer les paroles des personnes qui vous entourent, vous souffrez vraisemblablement d’une perte auditive ponctuelle (cela peut être le cas après un concert ou un moment passé dans un endroit trop bruyant) ou définitive. Faire un test auditif sans attendre vous permettra de faire le point rapidement pour connaître précisément votre état et de pouvoir ainsi agir au plus vite pour prendre les précautions nécessaires. Limiter le volume d’écoute C’est LE conseil à suivre toute votre vie et ce dès le plus jeune âge : veillez à toujours limiter le volume d’écoute en respectant le seuil maximal recommandé pour ne pas risquer de fragiliser votre audition. Même si vous avez envie d’écouter votre playlist préférée très fort ou de pousser le volume à fond dans votre voiture, sachez que tout volume élevé engendre une perte définitive de votre capital auditif. Il est donc indispensable d’apprendre à écouter la musique, un film, une série ou une vidéo à un volume intermédiaire et de se ménager régulièrement des pauses dans le silence. Profiter du calme autant que possible En plus de permettre de se ressourcer et de s’apaiser, le silence a un immense avantage : il préserve l’audition et nous aide à retrouver notre concentration, sans se laisser distraire ou perturber par un son répétitif, assourdissant ou nuisible. Même lorsqu’on écoute de la musique qu’on aime et qu’on choisit, le bruit finit tôt ou tard par représenter une fatigue auditive qui peut être épuisante à la longue, perturber les capacités cognitives et même atteindre notre capital auditif. Vous pouvez tout à fait écouter de la musique, des podcasts ou des sons de relaxation tous les jours pour vous apaiser ou vous mettre de bonne humeur, mais pensez aussi à vous ménager des plages de silence si possible chaque jour pour vous vider la tête, vous apaiser et retrouver plus de calme intérieur au passage. Bien dormir On ne s’en doute pas toujours mais un sommeil suffisant et récupérateur est indispensable pour permettre le bon fonctionnement de l’organisme et favoriser des capacités cognitives optimales. De la même façon qu’on a du mal à se concentrer intensément et à réfléchir rapidement quand on est très fatigué et qu’on a fait une nuit blanche la veille, on aura également du mal à avoir des capacités auditives optimales en cas de fatigue. Si vous êtes épuisé, que vous avez une grosse dette de sommeil et que vous enchaînez les petites nuits depuis plusieurs jours, ne soyez pas étonné d’avoir des capacités cognitives diminuées ou qui fonctionnent au ralenti, y compris en ce qui concerne votre audition. Cela n’est pas nécessairement inquiétant, surtout si vous manquez vraiment de sommeil. Essayez simplement de vous coucher plus tôt, de faire des siestes récupératrices (même si ce ne sont que des micro-siestes de 5 à 20 minutes, ce sera également efficace pour vous aider à rattraper votre manque de sommeil) et évitez de faire des nuits blanches qui épuisent l’organisme et ont des conséquences sur le bien-être à moyen et long terme. En veillant à avoir un sommeil récupérateur et en dormant suffisamment chaque nuit, vous verrez que vos capacités cognitives s’amélioreront considérablement de jour en jour et vous devriez moins souffrir de fatigue auditive en fin de journée. Si cette fatigue auditive persiste malgré un sommeil suffisant, veillez en revanche à ne pas tarder pour faire un test auditif et prendre les mesures nécessaires. Prendre soin de son audition est assez facile à condition de bien appliquer les conseils ci-dessus au quotidien. De manière générale, avoir une bonne hygiène de vie et notamment un sommeil suffisamment récupérateur est indispensable pour favoriser un bon fonctionnement de l’organisme et être bien certain de ne pas souffrir de fatigue auditive. Limiter le volume d’écoute et profiter aussi souvent que possible du calme est également très important pour ne pas détériorer son capital auditif prématurément. Pensez enfin à faire un test auditif au plus vite dès que vous avez l’impression que vous n’entendez plus aussi bien qu’avant pour prendre les mesures nécessaires et ne pas attendre que la situation se détériore encore plus avant d’agir. Read the full article
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DORMIR profondement - RELAXATION, Calme et bien-etre
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nuit-pourpre · 3 years
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Perséphone [ch.01]
[Soft-SF]
*
Les gouttes de pluie tombaient comme des fientes. La tôle récitait sa prière.
Du dôme, un souffle humide transpirait sur les toitures avec fracas. La Bulle semblait un poumon à l’agonie.
On voyait de grandes travées métalliques se courber sur plus d’un kilomètre, du sol jusqu’à la clé de voûte. Un épais et sombre bulbe de polymères les reliait entre elles.
L’intérieur de la Bulle était bardé de projecteurs qui diffusaient un langoureux tamis de lumière bleue en contrebas, dans toutes les ruelles et sur toutes les petites placettes de ce quartier de plaisance.
Un très jeune gosse ouvrit la bouche, la tête en l’air, pour capter un peu d’eau potable sous l’averse du dôme. Il fut tiré par un gamin plus âgé, qui fuyait un robot patrouilleur après avoir volé une brochette sur un grill. La viande fumante entre les dents, il avait déjà englouti la tête du lézard et se léchait les doigts, courant mesurément parmi la foule. Le lent et pesant synthétique, sur ses trois roues oxydées, mit rapidement un terme à la poursuite et s’en retourna au poste, dans un grincement d’essieu désabusé. Il faillit bousculer une femme qui s’affairait à installer l’auvent de son seuil, sous l’averse, et qui rentra ensuite dans sa cabane où des pleurs de bébés retentissaient.
Sous un porche putride, le sifflement d’une petite turbine se faisait entendre, provoquant la posture affolée d’un chien errant qui se mit à japper avant de détaler dans le caniveau.
C’était l’agitation banale de Coramine. La cité voisine, Ranfaris, était protégée par un dôme cinq fois plus étendu, et était vingt fois plus peuplée. Là bas, c’était vraiment une fourmilière.
L’armurier fit une grimace à son client. Il dégagea le cran de son arme de poing et visa juste derrière lui, à côté de la porte de la remise. La boutique fut traversée d’un tonnerre sec et strident qui fit frémir ou sursauter quelques passants. Rien de plus. Les gens du coin étaient habitués.
Il tira un coup, puis trois autres. Chacun se détendait avec un sifflement d’ultrasons, pour charger le tir suivant. Les impacts firent éclater le sac de sable gris au fond de la boutique. Il porta à sa vieille oreille le pistolet vibrant, que les tirs avaient épousseté.
Nan, grommela-t-il en secouant la tête. Ce genre de modèle n’a rien à foutre dans le désert où tu l’as trimballé… Mais si je pousse l’attaque du percuteur, ça sera encore pire, la seringue est trop fragile pour refroidir à cette vitesse. J’entends déjà le noyau m’insulter en binaire à cause de la surchauffe !
Besp grogna sous sa moustache. Le mercenaire connaissait mal ces nouvelles armes de contrebande. Les receleurs en avaient toujours à vendre mais le travail pour en ôter les balises de sûreté endommageait souvent les pièces.
Tu la tiens d’où, cette arme, Besp ? demanda le vendeur soucieux.
Offerte. Le fabricant est mon sponsor.
Très drôle… Plus sérieusement, Besp, c’est pas fait pour ton métier, ces machines.
Pour quoi c’est fait, alors ?
Il avait soupiré cette dernière phrase en ôtant sa veste, lourde et crasseuse. Il passa un doigt dans la doublure de son dos, découvrant le tatouage atrocement délavé qu’il portait à l’avant-bras. Il sortit de la poche secrète un rouleau plastifié.
C’était une monnaie qu’utilisaient encore les lunes de la ceinture intérieure. Celles trop éloignées de Séléné. Hors de portée du Rêve et de ses satellites. Ici, sur la 23, le Rêve ne parvenait qu’une infime partie de l’année, pendant dix jours environ, lorsque son orbite la faisait passer dans l’aura de la 7. C’était trop peu de temps pour qu’une escouade ait le temps d’atterrir et d’assembler un relais. Alors, la 23, comme presque toutes les autres lunes intérieures, restait libre du Rêve et de son emprise. Tout le commerce se faisait en orbite.
Alors donne-moi un vieux flingue, fit Besp en jetant le rouleau sur le comptoir.
L’armurier usé et squelettique arrondit ses yeux livides et le dévisagea.
Tu veux dire un modèle plus ancien ? J’en ai un de l’an 214 qui supporte mieux les poussières atmosphériques.
Je veux dire un flingue normal. Qu’il faut approvisionner. Pas une foutue imprimante 3D qui lâche dès que le ciel se couvre… 
T’es sûr ? La dernière fois tu t’es retrouvé à court de munitions. Tu préfères pas plutôt apprendre à tirer autrement ? Une fois qu’on a pris le coup…
La thune te suffit pas, vieil homme ?
On n’entendit plus que la symphonie de la pluie grasse sur les toits. Il émit un claquement de langue de désapprobation et fourra le rouleau dans la poche de son tablier, en tournant les talons. Il revient bientôt de l’arrière-boutique en claudiquant sur une canne faite à partir d’un tuyau. Et le contenu de ses doigts frêles retentit lourdement sous les yeux de l’homme de main.
Le barillet était splendide. Malgré la rouille apparente, il se dégageait de l’arme une fiabilité éprouvée, une densité qui fit vibrer les os de Besp avec une anticipation grisante.
Besp. Un jouet pareil, ça vaut quatre fois ce que tu m’as donné.
Je te laisse l’ancien. Il te tiendra compagnie. Moi j’en peux plus de l’entendre geindre… 
Je le compte déjà, quand je dis que ça vaut le quart.
Oui, j’en suis désolé… 
Le vieux ne bougea pas, regardant simplement Besp glisser l’arme dans sa gaine et jeter sur son épaule le lourd sac de munitions qu’il venait de lui donner, en faisant de grandes mimiques contrariées. Le mercenaire et piètre comédien fouilla ensuite ses poches, l’air penaud, à la recherche d’autres objets de valeur, promettant de le payer plus tard, minaudant pour un énième crédit… Puis il remarqua l’œil que lui lançait le vieux, et sa sérénité statique, il demanda :
Tu as un travail pour moi, c’est ça ?
L’armurier acquiesça.
**
La grotte exhalait une odeur rance.
On aurait dit un poison volatile et discret, comme celui qu’utilisait la pègre de Ranfaris dans les cellules des cloaques, quand elle voulait se débarrasser de quelqu’un. Mais l’odeur était vaguement plus… méridionale, fruitée, champêtre. Il ne savait pas d’où ce mot lui était venu. C’était absurde.
À l’extérieur, le désert se mortifiait sous la demi-nuit, comme une moisissure dans la pénombre d’une couveuse.
Il avait sillonné les pistes et les routes pendant trois jours depuis Coramine. Plein nord. Loin des marécages équatoriaux. Ce pays-là était sec.
Les bordures ocrées de l’horizon flambaient les fondations d’un ciel rougeâtre. Sous cette latitude, l’atmosphère particulière qui l’entourait donnait à la Lune 23 cette obscurité sanguine, artérielle pendant quatorze heures. Mais ça n’avait rien à voir avec l’uniformité orange et crépusculaire des seize heures de jour. Ce n’était pas non plus les trois heures de lever ou les trois heures de coucher, où l’on voyait la voûte transpercée de flammes d’or, comme des dragons spectraux qui dansaient avec des spasmes inquiétants. De toute façon, pendant ces heures-là, il n’était pas recommandé de sortir, en dehors des rites de passage des Orateurs de l’Oubli. Et ceux qui revenaient de ces rites, le faisaient rarement indemnes de corps et d’esprit.
L’obscurité de la demi-nuit, décidément, c’était son moment préféré. Il avait laissé sa vieille vadrouilleuse sous un piton de roche, avec le side-car rempli de matériel de levage. Il avait pulvérisé les roues au butanoate d’éthyle. Les hommes-cactus ne viendraient pas renifler. Il ne savait pas pourquoi, mais ça marchait.
Il craqua sa barre fluorescente et la jeta devant lui après avoir fait quelques pas dans la grotte. Le vieux tenait d’un fournisseur de passage que des fusées de détresse s’en étaient élevées quelques jours auparavant. En général, dans ces coins, c’était le signe qu’une expédition de récupérateurs avait été refroidie par des hommes-cactus, une tempête de sable ou des arkab-yodeï. Le fournisseur avait voulu attendre la fin du carnage pour cueillir le butin. Il fallait le doubler.
Il vit la torche chimique dissiper les ombres. La lueur d’azur heurta le bord d’un puits à trente mètres devant, et bascula dans les ténèbres. Au plafond, dans l’obscurité revenue, des yeux rouges s’allumèrent. Six yeux, diablement rapprochés. Ses muscles se tendirent et il dégaina. Le barillet était plein. Il mit en joue et attendit.
Mais les yeux restaient ouverts, immobiles, sans que nul mouvement n’émane de la bête que la torche avait frappée dans son sommeil. En fait d’yeux, on aurait dit des diodes. Il tendit l’oreille.
Dans le noir presque complet, il entendit un grésillement. Ce n’était pas un animal. C’était une Stèle sonique. Un module défensif capable d’identifier la nature d’une intrusion et de diffuser un son précis dans une direction ciblée. Il se couvrit bêtement les oreilles. Ces fréquences pouvaient tuer, lorsque la machine était bien calibrée. Après quelques secondes à détaler en direction de la sortie, il trébucha. Il entendit alors le grésillement, qui persistait. Trop haut, ou trop bas, ou trop usé… La Stèle ne lui ferait aucun mal. Il rengaina et s’approcha du module. Soit les capteurs l’avaient pris pour un fennec - et c’était quand même assez vexant - soit le temps avait passé depuis l’abandon des lieux. Beaucoup de temps. Et il était impossible de prédire quoi, ou qui, pouvait bien occuper ces cavernes désormais.
Les six diodes formaient le clavier de la Stèle. Besp l’ignora, glissa sous elle pour accéder au puits et descendit avec son câble jusqu’aux lueurs bleutées qu’il percevait à quelques dizaines de mètres en-dessous. Prochain investissement, se dit-il : des implants pour la vue. Avec le quart du butin collecté ici, que le vieux lui avait promis, il aurait sûrement de quoi payer l’opération. Il rêvassa, dans le bruit lancinant du fil de rappel qui frottait sa hanche, mètre après mètre. Les toubibs de la 23 étaient les pires charlatans. Avec les moyens suffisants, il irait plutôt trouver la prochaine navette pour Perséphone. Là-bas, il y avait une vraie clinique, et des chirurgiens compétents. Mais le permis pour y sortir de la quarantaine était exorbitant… À moins de trouver ici une montagne d’or, cette voie royale le forçait à différer. Et il détestait différer des trucs.
Ses bottes clapotèrent dans une flaque, au fond du puits. Il lui restait moins d’un mètre de câble. Il détacha l’enrouleur de sa ceinture et vit le bâton bleu que la chute avait expédié. Il brillait au milieu d’un champ de stalagmites. L’air était glacé. Les oreilles accusaient la pression. Les stalactites, à deux mètres à peine au-dessus de leurs compagnes, faisaient l’effet d’une mâchoire minérale. Il se sentit comme un insecte prisonnier d’une plante carnivore. Certaines se rejoignaient, bardées de cristaux de sel. Il chercha les poulies et les caisses mentionnées par le trafiquant. Elles apparurent dans une alcôve artificielle, creusée à un mètre du sol, à l’embout de l’immense salle précaire où il déambulait depuis quelques minutes. Il soupira, sortit de la menace pesante de cet enfer dentelé pour se plaquer sous une paroi plus lisse, et récompensa son effort d’une poignée de baies fermentées.
Aucune trace d’un corps, ni d’aucun matériel d’expédition, dans cette cache. Mais ce qu’il vit dans les caissons était trop beau pour la facilité qu’il avait eue à les trouver. Les cinq contenants pesaient chacun le poids d’un buffloïde mort. Ils étaient remplis de gravats qui étaient en fait les fragments d’une superbe roche taillée, dans un granit dont il n’avait jamais vu composition plus parfaite. Il alluma brièvement une petite diode blanche qu’il gardait dans sa poche de survie. Les cristaux de ces pièces étaient littéralement de toutes les couleurs. Et la roche qui les cimentait avait un gris argenté presque aussi impeccable que du mercure. Elle émanait, même dans le froid mordant des profondeurs, une moiteur tiède qui faisait transpirer ses doigts à leur contact.
Chose plus étonnante encore, ces pierres semblaient marquées de reliefs sombres, très légers, comme si on les avait tatouées, par fusion de surface.
Les motifs formaient ce que Besp interpréta comme des glyphes.
Il dispersa les fragments sur le sol de la cavité et s’accroupit avec enthousiasme, examinant à la lampe bleue comment les fragments pouvaient bien s’imbriquer. Ils semblaient avoir été arrachés brutalement à une paroi, au marteau-piqueur ou pire, à la dynamite ! Mais certains de ces “glyphes” avaient carrément l’air de fonctionner ensemble. Il réfléchit. Il était à l’abri, ici. La valse aux dragons d’or ne tarderait pas à agiter le désert, tout là-haut… Il avait bien trois heures devant lui pour retourner à sa vadrouilleuse et commencer à sortir les sacs, quand le jour serait levé. Il mit une bonne heure à trouver le premier assemblage du puzzle.
L’idée semblait meilleure sur le papier. À l’instant où, les mains poisseuses, il réunit les deux pierres, son crâne vrilla comme si on l’agrafait de l’intérieur.
Il n’eut même pas la force de hurler.
***
Les ténèbres étaient complètes. Il n’aurait pas su dire combien de temps avait passé, mais sa bouche n’était si sèche, ni pâteuse.
Ses muscles, eux, n’étaient que vaguement engourdis, comme  après une sieste. Pourtant, lorsqu’il toucha du doigt sa lampe, elle était plus inepte qu’un bâton. Même après une vingtaine d’heures, en temps normal, ces torches continuaient d’irradier un faible spectre lumineux.
Il crut être devenu aveugle. Il repensa, paniqué, à ses projets d’implants oculaires. Puis il craqua la seconde lampe qu’il avait emportée dans ses sangles. La lumière revint. Celle-ci était jaune. Elle fut si vive qu’elle l’aveugla presque, pendant un temps.
Il se vit affalé au pied de l’alcôve, les fragments luisants éparpillés autour de lui. Mais un autre détail le glaça : ils formaient une piste qui se perdait dans l’ombre, le long de la paroi, comme si quelqu’un les avait alignés.
Il n’avait pas tout exploré. Il se leva, vérifia que son arme était toujours en gaine, et suivit fébrilement ce qui commençait à lui rappeler un conte de son enfance.
À la fin du conte, le petit robot qui avait suivi la piste des fioles de carburant, tombait sur un culte de mécanophiles de l’espace qui le dépeçaient sans anesthésie avant de réassembler ses pièces en un mixeur de cuisine.
C’était sûr. C’était lui, le petit robot. Mais lui était bien en chair, il avait de l’expérience, et un gros flingue entre les mains.
Aussitôt la piste commencée, il vit des lueurs s’agiter dans son dos, et qui ne venaient clairement pas de sa lampe.
Il fit volte face et vit que les pierres qu’il avait dépassées n’étaient plus là.
Il tenta d’avancer en les gardant en vue. Derrière son passage, les fragments de roche se fluidifiaient en rayonnant, comme de petites coulées de lave, puis s’enfuyaient comme de grosses chenilles, à la vitesse de l’éclair, pour aller s’éteindre dans le noir.
La tête lui tourna. Son rire éclata.
Il attendit quelques instants avant de poursuivre sa route, dans un étroit tunnel. Il ne prêta bientôt plus attention aux métamorphoses rutilantes qui fuyaient la galerie sous ses pas. Même le plus audacieux des cocktails de drogues dures qu’il avait jamais engloutis pendant une soirée en orbite, ne l’avait pas rendu aussi perplexe. Il se raccrocha à la pensée qu’il était en plein travail.
Les lanternes folles s’éteignirent pour de bon lorsqu’il atteignit une autre pièce. La piste s’arrêtait là.
Cet espace s’élevait dans des dimensions colossales. On aurait dit la Bulle de Coramine, version ville-fantôme… L'exiguïté du tunnel qu’il venait d’emprunter la rendait vertigineuse.
Une obscurité de fin du monde enveloppait ce qu’il crut être une bâtisse de pierre posée au milieu de la grotte. D’un coup de vis, il amplifia le rayonnement de son bâton et le jeta devant lui.
La structure était improbable, cyclopéenne… Elle formait en travers d’un hectare entier, une arche couleur d’émeraude dont la torche jaunâtre magnifiait le vert.
Besp déglutit. Il n’osa pas se poser la moindre question. Comme si une menace alien se pressait aux portes de sa conscience, attendant le moindre signe d’intelligence de sa part, pour vampiriser son esprit. Il avait le sentiment puissant que ces ruines ne donneraient pas moins de fil à retordre à l’individu le plus savant de toutes les lunes réunies… Le Rêve lui-même, en savait-il quoi que ce soit ?
Il avança prudemment, dans le silence opaque. Il s’en alla ramasser le bâton aveuglant, sous ce vestige d’une race de titans qui avaient dû peupler ce monde… avant ? Bien avant. L’impossible évidence que cet alliage, cette arche, soit plus ancienne que l’univers lui-même, surgit en lui.
Il fit un pas en avant et un rais de lumière le frappa. De l’intérieur. Comme une grosse migraine.
****
Les lieux changèrent. Il ne parvint plus à appréhender son corps.
Ses jambes et ses bras étaient devenus des concepts.
Et les concepts, Besp, ça ne l’avait jamais branché.
Il eut l’impression d’être un simple moniteur, flottant dans une marée d’émotions, de paroles en des langues inconnues et d’informations cryptées, dont le remous avait - il s’en rappela ensuite - de vagues teintes violacées.
Mais plus que tout, dominait la sensation d’un grand vide autour de lui, un vide si absolu que son esprit n’avait même jamais imaginé qu’il fût possible de l’imaginer.
Il vit avec un soulagement infini se dessiner les deux piliers de l’arche, de chaque côté, montant comme des falaises sombres. Il reconnut la taille étrange et biseautée de cette pierre et la structure lui semblait désormais si familière, en comparaison de ce … vide. Il reconnut sur la pierre devenue ténébreuse, les glyphes imprimés des fragments brisés par les récupérateurs.
Il se sentit rendu à lui-même. Mais dans le “noir” flottait toujours, omniprésente, la marée cosmique qui étourdissait sa certitude d’exister.
Tu t’appelles Besp.
Une voix retentit dans la caverne. Elle parut émaner d’un être ancien mais furieux. Une rage momifiée, une ardeur plurimillénaire s’y répercutait jusqu’à ses oreilles.
Tu n’es pas le premier à venir ici.
Il s’effondra à genoux. Ses jambes n’avaient plus la moindre consistance. Un tremblement secouait sa colonne et ses yeux gelaient comme face au vent, des larmes acides coulèrent entre les frisottis de sa moustache.
Mais tu es le premier à survivre à mon message. Soit tu es le plus clairvoyant de ton espèce, soit tu es trop simple d’esprit pour devenir fou. Tu as entrevu ce qui nous sépare, tu l’as senti dans tes os, et tu l’as traversé sans t’en émouvoir, comme on trébuche maladroitement dans les ténèbres.
Il ne sut pas quoi répondre. Il ne sut pas s’il devait se vexer. Il ne sut pas s’il était vraiment utile de parler à une entité visiblement au courant de tout… 
Je suis le programme simplifié de mon intelligence d’antan. Les cellules qui alimentent cette copie de ma conscience faiblissent d’année en année. Je suis proche de ma fin. L’avidité de tes pairs a pressé mon obsolescence, en faisant fuir mes fidèles assistants métaorganiques. Des gens me cherchent pour m’anéantir. Et je suis heureuse que tu me trouves avant eux.
Il resta la gorge nouée. L’acuité lui revenait.
Il était à la fois dans le monde réel, dans cette caverne de roche et de stalactites bien sédimentées, et dans les limbes d’un passé obscur. Il était à la fois prisonnier de son vertige millénaire, et livré à lui-même dans un présent hostile. Une familiarité troublante le liait à cette voix, qui le traversait comme si l’espace et le temps n’avaient pas la moindre importance.
Dans le même temps, du fond de son hésitation, il entendit les galeries trembler. D’infimes vibrations trahissaient la présence de formes de vie, et il crut entendre des voix.
Il en était convaincu. D’autres humains, bien en chair, empruntaient le puits où son câble de rappel pendait toujours. Il crut sentir leurs combinaisons spatiales et leurs bottes, éraflant les parois du conduit. De là où il était, séparé des intrus par plusieurs dizaines de mètres de pierre et un labyrinthe de voies basses, il savait que des torches lézardaient les ténèbres, inspectant avec une brutalité militaire les reliefs salins des stalactites, loin là-haut, dans la deuxième salle. Leurs particules gênaient sa peau. Son système nerveux ne faisait plus qu’un avec la grotte.
Ils sont là. Touche l’un des piliers de ma structure, Besp. Fais vite.
La voix se précisait. S’humanisait. Elle était vaguement féminine, et inquiète. Elle le pressa à nouveau, mais il se levait déjà, quêtant dans son dos la galerie obscure où retentissaient des échos de radio.
Touche le pilier, Besp. Ce sont eux. Ces gens que tu appelles “le Rêve”. Ils sont là pour me voler la séquence. La séquence est la clé de leur destruction ou de leur suprématie. Touche le pilier, retiens la séquence, et échappe-leur. Si tu échoues, ils vous auront tous. Toutes les Lunes. Je détruirai la séquence pour qu’ils ne la retrouvent pas. Mais tu dois la conserver. Tu dois t’en servir. C’est votre seul espoir.
Notre ? balbutia-t-il en armant la détente de son arme.
Ceux qui veulent vivre libres.
Il entendit un grésillement entre les murs, comme si on calibrait un gros instrument. Loin, au sommet du conduit, là où son câble était arrimé, il comprit que la voix disait vrai. Les agents du Rêve étaient ici. Leur navette avait dû profiter du confinement crépusculaire pour atterrir près de Coramine.
Il pointa le pistolet vers la sortie, et de son autre main, effleura l'obsidienne verdâtre de la colonne. L’arche cyclopéenne lui imprimait une peur qu’il n’avait jamais connue.
Mais un flux brutal de données marqua ensuite son cerveau. Une suite vertigineuse de chiffres se fit une place dans ses souvenirs.
En moins d’une seconde, il apprit par coeur des pages entières de nombres, comme s’il avait consacré des années à les mémoriser. Il lâcha le pilier. Son équilibre le trahit.
La caverne redevint nette. Sa lampe chimique rayonnait toujours d’un jaune sale.
L’arche d’émeraude était splendide, mais le tissu de la réalité redevenait compact, comme à son arrivée dans le sanctuaire.
Ses sensations mêmes s’étaient réduites.
Il se sentit humain à nouveau. Sourd, aveugle, limité. Il brandit la torche et l’expédia vers la galerie. Le silence était presque complet.
Peu importe ce qu’avait dit la voix. Elle avait disparu. Mais si un commando du Rêve était ici, ils ne lui proposeraient sûrement pas de prendre le thé.
Pendant un moment il pensa avoir été victime d’un délire.
Mais il n’était pas seul. Des voix glissèrent en sourdine, dans le fond des boyaux. Il n’y avait pas d’autre issue à cette cavité. Il était fait comme un rat.
Il courut vers la lanterne. Il remonta la galerie. Il vit une torche pâle se braquer sur un virage, juste devant lui. Le canon d’une arme d’épaule apparut, et une silhouette robotique juste derrière. Deux balles firent chanceler le visiteur. Une troisième eut raison de lui. Le revolver fumait comme un vieux poêle. Les tympans de Besp sifflèrent, mais une onde rauque la chassa bientôt. Il fut pris de nausée.
On lui avait décrit ce bruit. Une sentinelle orbitale en permission, qui avait déjà échappé à une attaque radio par une station du Rêve…
Sa dernière pensée avant de s’évanouir fut de réaliser que ces enflures avaient - enfin - réussi à mettre au point des relais portatifs. Il suffisait désormais d’une petite heure à un commando furtif pour endoctriner toute résistance potentielle aux alentours.
Dans l’univers, plus rien ne s’opposerait à l’unité du Rêve. La donne avait changé.
*****
Alors c’était ça, le Rêve ?
On aurait dit une cybercourse. Une réalité virtuelle. Il put déplacer sa conscience à volonté dans la caverne. Il se jouait de la pierre, des reliefs, des obstacles.
Il était sûrement en train de baver, à la renverse, en attendant que les machines du Rêve viennent le dépecer, ou le mettre en cryostase, dans un noyau IA, ou n’importe où…
Mais dans ce… Rêve, il contrôlait tout. Il croyait avoir le système nerveux branché sur la console des lois physiques elles-mêmes.
Il se déplaça jusqu’à la sortie de la grotte. Il vit les arborescences ambrées de l’aurore chatouiller le désert. Il vit jusqu’au seuil des ruines, une dizaine de patrouilleurs venus de loin, très, très loin. Il n’avait jamais vu ce type de combinaisons. Elles étaient d’un blanc parfait. Elles semblaient légères comme de la soie, souples comme du latex, impénétrables comme du diamant. Les visières des casques étaient noires. Il n’aurait pas su dire si ces gens étaient une forme améliorée et absolue d’êtres humains, ou l’achèvement ultime des créations androïdes. Mais une sorte de tétraèdre argenté attendait non loin, bardé de propulseurs et de cylindres étranges. Il avait bien la sobriété effroyable des technologies du Rêve…
Il glissa comme un fantôme sur le couvercle de la Stèle sonique usée qui marquait l’entrée des profondeurs. Il pénétra ses circuits et les bidouilla. Il ne sut pas lui-même d’où lui venait cette expertise.
Il s’éveilla avec un sentiment de toute-puissance. Il sentit dans sa tête l’écho destructeur d’une fréquence suraiguë. La caverne venait d’en être balayée.
La Stèle avait fonctionné.
Quelque chose l’avait réactivée. Ce quelque chose avait été lui, pendant un temps. Le sanctuaire, la voix peut-être ? On l’avait protégé. On avait répliqué, purifié l’endroit de ces indésirables venus d’ailleurs. Par-dessus tout, on l’avait épargné, lui.
Il remercia … l’Oubli. Ou peu importe ce qui avait veillé sur lui. Il remercia cette chose, comme un novice, les yeux fermés, le souffle court. Il ne l’avait jamais fait auparavant. Il était moins religieux que la prostate d’un trafiquant d’esclaves.
Mais il se dit qu’il y avait un début à tout.
Il se servit du mur pour se relever, enjamba le commando qu’il venait d’abattre et poursuivit sa fuite à la lueur de son bâton. Il réapprovisionna son barillet antique.
Il trouva dans la première salle une poussière épaisse, toujours en suspension. Les saillances de la roche s’étaient effondrées. Les radios de plusieurs corps étendus-là, en combinaisons d’ivoire, grésillaient par intermittences. Elles étaient aussi grillées que la cervelle de ces spationautes. Des corps bougeaient.
L’un s’était même relevé.
Il entendit l’armet d’un fusil ultramoderne cliqueter dans l’ombre, se retourna, évita une rafale en roulant derrière un autre corps.
L’armure le protégea. Il retint son souffle et visa la silhouette qui reculait en le criblant de balles, affolée.
Au sixième tir, il abattit le rescapé.
Rien ne valait ces vieux flingues à cartouches, décidément.
Le silence revint. Il remonta le câble. Il cracha ses poumons dans l’enfer fumant. Par chance, le puits n’avait pas été bouché après l’impulsion.
Il vit s’élever dans le désert la navette fuselée. Le tétraèdre disparut dans la pointe naissante du jour, qui ressemblait à un tsunami de lumière sanguine débordant à l’horizon. Un grand cratère de sables vitrifiés s’étendait à l’entrée des ruines, entouré de carcasses humanoïdes encore fumantes. Le Rêve était toujours aussi lâche.
Il se tint, halluciné, dans le spectacle de l’aube. Il ne restait de sa vieille vadrouilleuse que la structure du side-car. Le reste avait été démantelé, ou pulvérisé… Y compris sa réserve d’eau potable.
Il regarda le désert de ses yeux piqués de sueur. Quatre, peut-être cinq heures de marche, jusqu’à l’oasis la plus proche.
Il lui restait sa lampe fluo, son flingue, un piolet, un calepin avec un stylo, et un câble de rappel. Pratique pour s’étrangler avant de mourir de soif.
Que raconterait-il, une fois là-bas ?
Y avait-il seulement la moindre chance qu’on ne l’interne pas dans un hospice des Orateurs avec les autres fous, dès qu’il ouvrirait la bouche ?
Mais il se souvenait de la séquence.
828492-842674-370756-245906-164432-545571-010586-547110-032418…
Et ça continuait comme ça, sur 197 suites de 6 chiffres.
Il prit le temps de les écrire.
Puis il se mit en marche. Il erra dans le désert. Il pensa à toutes les choses les plus triviales qu’il était capable d’imaginer. Quand ses tripes asséchées commencèrent à le tuer lentement, il se courba sous la douleur pendant un long moment, en plein soleil, et les écrivit à nouveau sur le verso du calepin. Il prit un autre long moment pour les comparer. Il ne délirait pas. La suite de chiffres était identique. Besp se laissa tomber sur le dos en soupirant, au bord de l’évanouissement :
Allez, là c’est le moment où je me réveille sur un matelas, la tête sur une bouteille vide, sous un ventilo qui me chatouille les poils, et entouré de toxicos complètement raides. S’il vous plaît.
Il entendit avant de sombrer la soupape d’une vadrouilleuse qui caquetait au loin.
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candlegh · 2 years
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L’effet Des Bougies Parfumées Sur L’humeur
Vous comptez déjà les jours jusqu’au printemps? Pensez-vous déjà à vos prochaines vacances dans des régions qui vous sont encore inconnues? Alors vous succombez peut-être au blues hivernal qui affecte même les plus braves d’entre nous. Mais heureusement pour vous, les odeurs agissent sur notre cerveau pour nous donner des sentiments et des émotions positives. Mais comment les odeurs influencent-elles nos humeurs? Quelques senteurs parfumées suffisent-elles pour dire adieu à la mélancolie ? Découvrez la puissance d’une bougie parfumée et comment ces parfums agissent sur nos comportements.
« Le parfum est un remède pour soigner la mauvaise humeur »
Hippocrate l’affirmait déjà après avoir compris le pouvoir bienfaisant du parfum sur la santé. Et ce n’est pas une nouveauté : déjà dans l’Antiquité, les plantes aromatiques étaient utilisées pour leurs effets curatifs et leurs bienfaits sur l’esprit. La myrrhe était utilisée par les Egyptiens pour combattre l’anxiété, tandis que le safran apaisait la tension et stimulait le sommeil pour les Grecs.
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Un parfum, selon ses ingrédients et substances, provoque en effet des messages olfactifs directement interprétés par notre cerveau. Les senteurs subtiles dégagées par votre odeur préférée stimulent le système limbique. Il s’agit de la partie du cerveau qui influence directement le psychisme. Une odeur peut par exemple évoquer notre enfance, ainsi un parfum iodé peut vous rappeler vos vacances à la plage. Un parfum de cèdre ou de musc est lui susceptible de vous évoquer les balades de votre enfance en forêt. Autant dire que notre cerveau régule en quelque sorte notre état d’esprit et notre humeur en fonction de ce que les récepteurs olfactifs lui  transmettent.
Les huiles essentielles sont utilisées en aromachologie, qui est la science des phénomènes liés aux odeurs, plus particulièrement l'influence des odeurs sur le comportement. Les japonais sont très friands de ces pratiques vieilles du temps des Samouraïs. Ces derniers avaient pour habitude de se baigner dans des volutes de fumée de parfums à brûler pour se donner de la force avant d’aller combattre. Respirer certaines fragrances peut en effet donner une sensation de bien-être et de satisfaction immédiate.
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Si vous souhaitez retrouver votre vitalité, favorisez alors l'orange douce, le citron, la menthe poivrée, le pin sylvestre, le basilic exotique, la verveine; si vous êtes plutôt à la recherche d’apaisement et de calme tournez-vous alors vers des parfums de lavande, de néroli, d'ylang-ylang; enfin, si vous souffrez d’insomnies et souhaitez renouer avec un sommeil récupérateur, vous pourrez essayer des parfums de bergamote, de camomille, ou encore de gomphrena !
Chez Great Host nous utilisons des huiles essentielles parfumées écologiques afin de rendre chacune de nos bougies respectueuses de ses utilisateurs et de l’environnement. Une grande variété de choix est disponible sur notre boutique en ligne https://candlegh.com/, il ne reste plus qu’à choisir la bougie qui vous correspond le mieux. N’hésitez pas à consulter nos autres articles afin d’en apprendre encore plus sur les bougies.
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mamantestfr-blog · 6 years
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[MAMAN TEST! #80] - L'oreiller mémoire de forme de chez @sofi_softsleep • 🌸 Bonjour à toutes et à tous ! • 😴 Il y a quelques semaines maintenant, je vous annonçais que je recevais cet oreiller un peu spécial pour sa forme et également dans sa mission, puisqu'il vend le mérite de retrouver un sommeil au top, adapté à notre position de sommeil ! • 💪 Voici donc l'oreiller ergonomique adapté au couchage sur le côté (je dors dans 15000 positions, mais peut-être un peu plus sur le côté...) : ✔ La housse Aloe Vera prend soin de la peau, elle permet de l'hydrater et a un effet revitalisant pendant le sommeil. ✔ Oreiller idéal pour les personnes qui dorment à moitié sur le ventre et à moitié sur le côté grâce à son design spécial papillon offre de l'espace pour pour l'épaule et pour respirer. (je confirme) ✔ Notre mousse viscoélastique à mémoire de forme spéciale offre un soutien optimal et moelleux pour le cou et la colonne cervicale. ✔ Les canaux de ventilation facilitent la circulation d'air frais et réduisent la transpiration. ✔ Tous les oreillers de sofi sont hypoallergéniques et fabriqués avec des matériaux naturels selon le standard OEKO-TEX. Housse lavable à 40°C. • 👍 Vraiment un produit de qualité ! • 🤔 Cependant, vous le savez, je vous ai livré un peu de moi le 12 mai dernier, et trouver un oreiller pour un sommeil récupérateur cela relève de la mission impossible... Et malheureusement, ce n'est toujours pas le cas me concernant. J'ai des cervicalgies depuis 9 ans maintenant, et cet oreiller ne m'a pas convenu malgré son aspect ergonomique et mémoire de forme. Le matin je me relevais avec des maux de têtes et les cervicales bloquées... Je l'ai donc passé à mon conjoint pour qu'il essaye, lui qui n'a pas de soucis particulier à ce niveau là, et il adore ! • 😅 Comme quoi, d'une personne à une autre, un produit tel que celui ci doit s'expérimenter pour avoir un avis objectif. • 🎁 🇨🇵 Passez une belle journée (de belles nuits aussi !), n'oubliez pas le concours jusqu'au 13/07, et surtout à 16h : ALLEZ LES BLEUS ! • #sommeil #dodo #nuit #night #sleep #papa #maman #sofi #sofisoftsleep #fibromyalgie #cervicale #test #coussin #testproduit #aloevera #memoire
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Expression anglaise N°2 : Sleep like a log
Expression anglaise N°2 : Sleep like a log
Voici mon expression anglaise préférée : sleep like a log ! Sans doute parce que j’aime beaucoup l’idée de dormir profondément et d’avoir un sommeil récupérateur ! 😴
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Sleep like a log Sleep like a log : définition anglaise
Sleep very well, without being woken by any noises.
Dictionnaire de Cambridge “Bien dormir sans être réveillé par aucun bruit”
J’ai employé cette expression la…
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viedifsi · 6 years
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Plus que deux jours de stage... Il est temps, le sommeil n'est plus du tout récupérateur
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benlefrank · 4 years
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Méditation / Santé Light & Breathe - Lumière & Respiration En soirée, purifier un lieu à l'encens et méditer à la fois apaise, détend et prépare au sommeil récupérateur. Tout en se reposant, le corps peut alors se régénérer par une respiration pleine... Ainsi, la lumière se diffuse à l'intérieur de nous, comme dans nos habitations. Intégré au mode vie, c'est tout un environnement qui en bénéficie. J'en profite d'ailleurs pour vous préciser que vu la situation des forêts, c'est mon dernier morceau de palo santo. Mes prochaines fumigations seront à la sauge ou résine de storax. À tout bientôt pour des news de mon recueil "De L'Un à l'Humain-Vertus Libres & Vices Versa", disponible en pré-commande dédicacé avec marque pages. Je vous souhaite une merveilleuse & douce nuit, mes âmes mies. . . . #calmeinterieur #méditation #respiration #relaxationtime #environnementdevie #santé #detentetime #airpurification #encens #palosantosticks #sommeilprofond #récupération #régénération #sereposer #apaiser #corpssain #fumigation #unité #humanité #benlefrank #recueil #essai #poésie #nouvelles #verslibre #vertus #viceversa #developpementhumain #newbook #autoedition https://www.instagram.com/p/B7rig7bCir_/?igshid=c2z32d1ssx18
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sabrinafarrugia · 4 years
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#CONFERENCE #SPORT Quelle meilleure résolution pour cette nouvelle année que celle de vous réaliser, de devenir la meilleure version de vous-même ? Etes-vous prêt(e) ?💪 Venez participer à notre première conférence 2020 ! J'ai la joie de vous présenter 👉 "Les 7 clés de l'hygiène vitale optimale, #naturelle et intelligente du sportif" !  Sabrina FARRUGIA, #Coach & #Naturopathe, #Conférencière, spécialisée dans le sport, #Crossfiteuse, et dirigeante de l'entreprise OPTIMENSOI, je vous propose, en partenariat avec la box @crossfitternay, un évènement dynamique, ludique et intéractif FAIT POUR VOUS si vous êtes sensible aux thématiques suivantes :  - l'#alimentation pour augmenter vos #performances, atteindre votre #objectif de silhouette et prévenir vos blessures  - l'hydratation avant/après entrainement et lors des #compétitions - la qualité du #sommeil récupérateur et la gestion du #stress (physique et mental) - la sérénité du corps et de l'#esprit, une question d'équilibre vital - votre objectif, #motivation et passage à l'action : développer votre #intelligence motivationnelle grâce aux #neurosciences - la respiration profonde et les bénéfices pour le sportif - les déchets corporels et pollution.  https://www.weezevent.com/les-7-cles-de-l-hygiene-vitale-optimale-naturelle-et-intelligente-du-sportif #Sportif, futur sportif ou intéressé(e) par l'environnement du sport, je vous invite à vous inscrire DES A PRESENT pour réserver votre place !   Le meilleur moment pour progresser, c'est maintenant !  Au plaisir de partager un max avec vous... #WOD AT THE TOP ;-) https://www.instagram.com/p/B7KyVHmCDZ9/?igshid=n10ojt4r6fqf
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experienceatmosfeel · 7 years
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Feeling #28 « Derrière les panneaux il y a des hommes »
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« Derrière les panneaux il y a des hommes » de Joseph Incardona / aux éditions Pocket
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Noir. Très noir. Autant dans l’outre-noir du peintre Pierre Soulages, la lumière s’invite, autant ici la noirceur de ce roman est opaque et épaisse.
Presque un seul champ d’action, de bataille : l’autoroute et ses quelques aires qui n’offrent pas souvent la possibilité de respirer. « Le tout dans un périmètre de 200 kilomètres. Série, sériel, séquentiel. »
Le week-end du 15 août : soleil de plomb et chassé croisé vacancier propices à exacerber les tensions. « La canicule est devenue une seconde peau ».
Un fait divers sordide : enlèvement de Marie, une adolescente de 12 ans ; et le rappel du même drame, six mois plus tôt, dans les mêmes environs sans plus aucune trace de la jeune fille, Lucie. « Le plan « Alerte enlèvement » fonctionne parfaitement. »
Pierre – le père de Lucie – erre dans cet environnement depuis, et avec ce nouvel acte, il se dit que cette fois c’est la bonne, qu’il ne peut que coincer le prédateur.
Une course contre la montre car « il reste seulement 26% de chances de retrouver Marie vivante dans les deux heures qui suivront. »
Les courts chapitres s’enchainent. Chacun met en avant, éclaire, un, deux ou trois personnages et surtout leur point de vue, leur rôle dans ce récit. Ils vont être amenés à se croiser, se rencontrer, se confronter souvent, s’écouter parfois.
Il y a Ingrid, la femme de Pierre, devenue fantôme, se confondant au canapé qu’elle ne quitte plus. Les parents de Marie, distants, puis sous le choc et aux réactions diamétralement opposées. « Marc et Sylvie se situent dans une zone floue, juste au bord du précipice. »
Il y a le capitaine de gendarmerie et son bras droit chargés de l’enquête « Julie Martinez claque des talons, salue et sort. Imitée par Thierry Gaspard. » ; Tía Sonora, ex prostituée aujourd’hui diseuse de bonne (?) aventure ; Lucino, le patron des restaurants d’autoroute… Tous trimballant angoisses, regrets, colères ; certains résignés, d’autres essayant encore de se débattre, quitte à oublier ou blesser l’autre.
Il y a un monde fou, un monde noir, un monde insoupçonné aussi ; des automobilistes, des employés, des riverains alentour, des animaux… Et lui, celui que l’on ne voudrait pas côtoyer : le kidnappeur, Pascal. « Il a dormi – il dort encore – un vrai sommeil récupérateur. »
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L’écriture est solide, crue, elle va droit au but ; pragmatique avec peu de métaphore. Les phrases sont courtes. Parfois un mot laissé seul, reflet de cette solitude ressenti par la plupart des personnages qui gravitent autour de cette scène.
« Busards et milans noirs à l’affût d’un mulot.
Tournent dans le ciel et la poussière.
Charognards.
Désolation. »
L ‘humour qui perce parfois est noir lui aussi ; décalé, ironique.
Le lecteur, étrange témoin de ces tranches de vies, est basculé, bousculé d’un chapitre à l’autre, d’un regard à l’autre, d’une pensée à l’autre. Lecteur qui peut très régulièrement se demander l’heure qu’il est, car l’espoir s’amenuise avec le temps…
Un très grand roman bâti au plomb : dense, lourd et noir.
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Photos © AtmosFeel
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omagazineparis · 11 days
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4 réflexes pour prendre soin de son audition
Tous ceux qui ont l’habitude d’écouter régulièrement de la musique, des podcasts, des livres audio ou de regarder un film, une série ou des vidéos avec un casque audio sur les oreilles ou des écouteurs intra-auriculaires sont susceptibles de fragiliser leur système auditif prématurément. Pour éviter ça et être capable d’entendre parfaitement pendant très longtemps, mieux vaut bien avoir conscience de ces risques et appliquer les conseils qui suivent au quotidien. Faire un test auditif La première chose à faire est de passer un Test auditif dès le moindre soupçon d’une perte auditive. Si vous avez l’impression que vous entendez moins bien ou que vous avez du mal à distinguer les paroles des personnes qui vous entourent, vous souffrez vraisemblablement d’une perte auditive ponctuelle (cela peut être le cas après un concert ou un moment passé dans un endroit trop bruyant) ou définitive. Faire un test auditif sans attendre vous permettra de faire le point rapidement pour connaître précisément votre état et de pouvoir ainsi agir au plus vite pour prendre les précautions nécessaires. Limiter le volume d’écoute C’est LE conseil à suivre toute votre vie et ce dès le plus jeune âge : veillez à toujours limiter le volume d’écoute en respectant le seuil maximal recommandé pour ne pas risquer de fragiliser votre audition. Même si vous avez envie d’écouter votre playlist préférée très fort ou de pousser le volume à fond dans votre voiture, sachez que tout volume élevé engendre une perte définitive de votre capital auditif. Il est donc indispensable d’apprendre à écouter la musique, un film, une série ou une vidéo à un volume intermédiaire et de se ménager régulièrement des pauses dans le silence. Profiter du calme autant que possible En plus de permettre de se ressourcer et de s’apaiser, le silence a un immense avantage : il préserve l’audition et nous aide à retrouver notre concentration, sans se laisser distraire ou perturber par un son répétitif, assourdissant ou nuisible. Même lorsqu’on écoute de la musique qu’on aime et qu’on choisit, le bruit finit tôt ou tard par représenter une fatigue auditive qui peut être épuisante à la longue, perturber les capacités cognitives et même atteindre notre capital auditif. Vous pouvez tout à fait écouter de la musique, des podcasts ou des sons de relaxation tous les jours pour vous apaiser ou vous mettre de bonne humeur, mais pensez aussi à vous ménager des plages de silence si possible chaque jour pour vous vider la tête, vous apaiser et retrouver plus de calme intérieur au passage. Bien dormir On ne s’en doute pas toujours mais un sommeil suffisant et récupérateur est indispensable pour permettre le bon fonctionnement de l’organisme et favoriser des capacités cognitives optimales. De la même façon qu’on a du mal à se concentrer intensément et à réfléchir rapidement quand on est très fatigué et qu’on a fait une nuit blanche la veille, on aura également du mal à avoir des capacités auditives optimales en cas de fatigue. Si vous êtes épuisé, que vous avez une grosse dette de sommeil et que vous enchaînez les petites nuits depuis plusieurs jours, ne soyez pas étonné d’avoir des capacités cognitives diminuées ou qui fonctionnent au ralenti, y compris en ce qui concerne votre audition. Cela n’est pas nécessairement inquiétant, surtout si vous manquez vraiment de sommeil. Essayez simplement de vous coucher plus tôt, de faire des siestes récupératrices (même si ce ne sont que des micro-siestes de 5 à 20 minutes, ce sera également efficace pour vous aider à rattraper votre manque de sommeil) et évitez de faire des nuits blanches qui épuisent l’organisme et ont des conséquences sur le bien-être à moyen et long terme. En veillant à avoir un sommeil récupérateur et en dormant suffisamment chaque nuit, vous verrez que vos capacités cognitives s’amélioreront considérablement de jour en jour et vous devriez moins souffrir de fatigue auditive en fin de journée. Si cette fatigue auditive persiste malgré un sommeil suffisant, veillez en revanche à ne pas tarder pour faire un test auditif et prendre les mesures nécessaires. Prendre soin de son audition est assez facile à condition de bien appliquer les conseils ci-dessus au quotidien. De manière générale, avoir une bonne hygiène de vie et notamment un sommeil suffisamment récupérateur est indispensable pour favoriser un bon fonctionnement de l’organisme et être bien certain de ne pas souffrir de fatigue auditive. Limiter le volume d’écoute et profiter aussi souvent que possible du calme est également très important pour ne pas détériorer son capital auditif prématurément. Pensez enfin à faire un test auditif au plus vite dès que vous avez l’impression que vous n’entendez plus aussi bien qu’avant pour prendre les mesures nécessaires et ne pas attendre que la situation se détériore encore plus avant d’agir. Read the full article
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bienvenuechezvero · 5 years
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Infusion du soir bonsoir .Le week-end se termine doucement. .Alors je me pose tranquillou avec ma petite infusion bio du soir "douce nuit" au chanvre 🌿 de la marque Hello Joya .Le chanvre est un super aliment riche en nutriments qui peut être utilisé de plusieurs manières. . Ici dans cette infusion vous retrouvez une synergie de plantes, des feuilles et fleurs de chanvre qui va vous permettre de reposer votre corps et votre esprit. Mais aussi de profiter d'un sommeil récupérateur tout naturellement. Soirée détente au programme. .Vous avez déjà utilisé du chanvre ? .Quoi de beau au programme ce soir ? . . . . . . . . . . . . #yum #instafood #amazing #instadrink #cookniche #hotdrink #tea #drink #daily #cooking #sharefood #foodstyle #foodforlife #tasty #foodblogger #chanvre #superaliment #hellojoya #plante #ancestral #healthy #healthytea #proteinevegetale (à Lorraine, France) https://www.instagram.com/p/BslpjXCARPl/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=1dpe9k20r58k7
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à celle que j’aime et sait à quel point son amour fatigue
Comme chaque jour, après seulement une heure de sommeil, 20h de travail, une soirée arrosée, je me réveille facilement, je prend ma voiture je sors avec toutes la charge du monde mon carnet d'adresse et l'agenda de mes Rendez vous, mon job de la journée et surtout ce que je pourrais pas faire.. ce que je ne pourrais pas faire c'est de voir les gens que j’aime.. Connaitre la femme de ma vie.. Plein de travail et pas de vie.. mes jours et nuits passent en ayant l’impression d’être un chien de traîneaux devant l’obligation de courir assez vite que possible sans cesse sans murmures, sans arrêt et sans pose de guerriers, sans sommeil récupérateur, c’était un jour comme les autres avec un temps de mistral ressemblant à celui du lac de Lausanne le ciel bleu dégagé avec un froid glacial du moins chez nous à Tunis parlant d’un 1er Novembre.. un novembre pas comme les autres qui me rappelle du film sweet november toujours vu et jamais égalé il faisait beau je téléphonais à ma manager qui est une fille en couple qui a certainement eu une soirée arrosée et elle ne risque pas de décrocher sur mes appels matinaux de 08H je prend une pose de chaque matin dans ma voiture j’écris un texte sur spotted une application branché pour parler de ma journée en anonymat être seul célèbre photographe professionnel qui ne manque rien de tout sauf une femme qu’il peut aimer celle qui peut l’accompagner durant ses balades solitaires avec son chien adoré celle que j’attendais depuis mon jeune âge depuis mes 10 ans.. 
Je faisais un peu de retard par rapport à mon heure du départ j’ai fini mon post sur spotted, j’ai mis la première vitesse et je prenais ma route; 30 minutes en voiture c’étais le temps que je prenais pour arriver au boulot à temps et vu le retard j’étais obligé de dépasser la vitesse permise sur la route de mon boulot en roulant en toutes vitesse il y’avait une seule voiture qui me semblait de loin courait de la même vitesse que la mienne une C3 noir elle doublait les voitures une après l’autre je faisais de même en suivant le même rythme on était tout deux en retard à ce qu’il parait.. en s’approchant petit à petit tout en essayant de la dépasser j’étais incapable vu les conditions routières mais cette approche m’a permis de voir de plus près la réflexion sur les rétroviseurs un visage qui ne peut être que d’un fée ! retrouver un tel visage sur ma route vers le boulot c’étais comme avoir trouvé un ange dans l’enfer! je me suis rapproché mes pulsations cardiaques ne font que hausser ma décharge d’adrénaline commence à faire l’affaire et enfin on s’est retrouvé au stop , j’ n’avais aucune chance de la rattraper et je faisais pour une fois le délinquant j’ai touché sa voiture dans l’espoir de pouvoir lui parler et signer un constat à l’amiable! hélas elle était pressé au point de n’avoir fait aucune réaction elle continue sa route tout en me regardant à travers son rétroviseur central, je continue encore mon chemin juste derrière elle qui n’avait l’intention ni de vérifier les dégâts ni de s’arrêter pour inspecter sa voiture.. et soudain on s’est arrêté au feu l’un près de l’autre j’ai ouvert mes vitres et je lui ai parlé: Mademoiselle! tu m’as touché la voiture! elle tourne sa tête envers moi et elle me répond calmement: je suis désolée; un visage jamais vu; la peau saine qui reflète la lumière soft du jour ! des yeux colorés comme les couleurs des plages des îles paradisiaques de Papouasie nouvelle guinée ou les vagues des mers de l’ile kurimajima; des cheveux bruns raides et sauvages! une chemise jeans sur un pull que je pouvais pas apercevoir elle m’a séduit elle m’a terrifié par ce que je ressentais elle m’a bouleversé puis  elle mettait les gaz et elle s’en allait.. c’était la première et la dernière fois que je l’ai vu car je devais virer à droite pour aller là où je devrais aller.. je prenais mon téléphone je notais l’immatriculation de sa voiture et je me suis fait arrêté par un policier pour infraction et utilisation de portable en conduisant et avec ca en parlant au policier je pouvais pas m’empêcher de lui laisser attendre jusqu’à ce que je note l’immatriculation sur un bout de papier blanc (le reste d’une ordonnance de mon ancien patient.. ) et pour la même occasion je tape sur mon portable je poste un statut de recherche de cette femme sur spotted puisque cette application sert à trouver la personne que vous avez croisé et que vous cherchez l’indentité: ‘’ tu viens de me toucher la voiture au feu des jardin d’elmanzah vers citée Ennaser tu étais dans une C3 Noir ou Bleu nuit  matricule 8635 Tunis 140 c’est la première fois qu’on me touche la voiture tout en me sentant content de ça j’étais l’homme portant la tenue de bloc en bleu dans une Ford fiesta Titanium série 175 Bleue location pour société je t’ai parlé et que je t’ai dis que tu m’as touché au Stop je suis fou de ton charme si tu es là manifeste toi”…
Depuis ce moment je n’arrêtais plus d’en penser, je me suis allé au service je suis entré la cervelle prise, perdu dans la beauté du paysage que je viens d’admirer, le regard triste de cette femme joint avec sa beauté indescriptible; je n’ai pas pu l’enlever de mes pensées, certes c’est le coup de foudre dont j’ai toujours entendu parler, j’attendais ma rentrée et en étant sur la route de mon retour je téléphonais à un ami mes cette fois je me suis garé pour éviter l’infraction je lui ai demandé pour une fois un service et il était bien sur content de me le rendre.. il travaille à la centrale de la police de circulation et il pouvait me trouver l’identité de cette femme mais il m’a demandé de temporiser car le fait de passe la plaque de police la femme en question devrait être arrêté si elle a été mise à la recherche pour infraction ou amende je lui demandé d’oublier l’histoire je suis rentré chez moi tout en pensant à ses yeux; pour une fois dans ma vie j’ai fait ca pour une femme inconnu une femme qui m’a surpris une femme qui m’a comblé le regard et l’esprit durant 3 secondes du temps.. 
j’ai repris mon PC et j’ai mis l’immatricule sur le site gratuit de flash radar tunisie j’ai essayé de trouver un nom; une pièce d’identité ou une adresse mais c’était impossible de trouver ses traces.. j’ai fermé l’ordinateur et je n’ai pu toucher aucune photo à retoucher de mes derniers shooting, j’ai éteint le PC et je me suis porté au salon de thé de mon quartier là où je retrouve mes amis chaque jour en étant sur la route je téléphonais à mes amis cherchant quelqu’un qui connait cette fameuse C3 ! personne ne sait si cette voiture existe dans ma citée.. j’ai descendu de ma voiture et je n’ai parlé avec personne après mon salut; j’étais perdu dans mes souvenirs de 3 secondes mon ami me demanda ce que je cherche je lui ai raconté l’histoire et il m’a demandé si je suis un fou qui veut trouver une femme inconnu qui a aperçu sur la route et que je n’ai vu que pendant 3 secondes tout en me réconciliant en me rappelant que dieu pourrait tout faire pour moi si le Maktoub voudrait bien qu’on se rencontre de nouveau je lui ai répondu: “oui tu as raison” tout en étant sûr que je la verrai plus surtout quand on m’a assuré que cette voiture n’existe pas dans mon quartier.. je suis resté un laps du temps avec eux et la terre commence à me sembler étouffante trop serrée et très invivable, je me suis levé et je suis rentré chez moi tout en espérant la revoir un jour même pour quelque secondes car j’ai eu le sentiment que c’était la femme que dieu garda pour moi durant mes 30 ans de vie.. et ceci c’étais ma première nuit sans elle.. la nuit d’un 1er novembre.. j’ai repris mon ordinateur j’ai tapé ‘’The lucky one” de Zac Efron et j’ai regardé le film pour le 6ème fois et je me suis endormis sur l’espoir de l’oublier en commençant une nouvelle journée et c’est ce qui s’est pas passé le 2 novembre en me réveillant de mon sommeil non récupérateur en ouvrant mes yeux je me suis rappelé d’elle et je trouvais que je me suis réveillé avec un retard de 20 minutes de mon heure d ‘hier quand je l’ai croisé; je saute de mon lit  je mets n’importe quels habits et je me met mon casaque bleu je file sans me doucher ; sur la route j’étais pressé pour gagner mon travail à temps ce qui n’était pas possible car même si avec ce décalage de temps j’ai vu sa voiture brusquement roulant au sens contraire que moi vers 08H50 du matin sur la même route qu’hier j’ai freiné comme un fou j’ai dévié en bas de côté j’ai fait le tour et j’ai suivie la C3 ! au fond de moi je me suis dit ce que je fais est grâve je ne suis ni pervers ni délinquant qui doit s’entretenir comme ca ! mais j’ai tout fait pour mes actions soient le plus discrets que possible; la route mené était de 30km en totalité j’ai pas voulu l’arrêter sur la route parce que c’est mal vu chez nous j’ai décidé de ne m’arrêter que dans un seul cas recevoir un appel de mon chef de service ou bien aboutir à connaitre la maison où habite la femme qui a pris mon coeur! après 30km de parcours et de poursuite la voiture s’est arrêté devant une grand maison entourée de verdure dans un endroit très calme un ensemble de ferme dans une zone rurale plein de fleurs d’oiseau et de verdure même en automne. J’ai descendu de ma voiture et je me suis dirigé vers elle et j’ai trouvé que c’était une autre femme quinquagénaire au volant; j’ai pas hésité de lui dire: - ‘’Bonjour Madame’’ ,quinquagénaire 
- Elle m’a répondu: Bonjour mon fils comment allez vous 
- je vais bien madame merci mais j’ai un petit soucis je vous ai suivi depuis 30km pour en parler 
- Elle: j’espère que tout va bien avez vous besoin de moi? soucieuse! 
- Non rien de grave madame c’est juste que cette voiture était conduite hier par une fille si je ne me trompe pas et cette fille a touché ma voiture et elle est partie 
- Elle: ôh mon dieu c’est ma fille et elle m’a pas parlé de ca mais est ce que vous voulez qu’on signe un constat? 
- Non Madame en fait je vous ai poursuit afin de vous parler de ça mais pour vous informer que j’ai vraiment besoin de connaitre votre fille qui m’a bouleversé et à qui je n’arrête pas de penser depuis hier.
- Elle souris avec un visage plus décontracter elle me répond et c’était pour ça que tu t’es tapé toutes cette route et que tu vas être en retard pour ton travail?
- Oui Madame tout ne souriant répond-je
- j’aurais aimé pouvoir t’aider jeune homme mais je crois quand même que ma fille n’a pas vraiment la tête pour ca elle étudie encore et elle est encore jeune.
- ne me dites pas qu’Elle est encore lycéenne? demande-je 
- Non elle a 23 ans elle va finir cette année elle fait des études en pilotage et elle étudie au Menzah9 et c’est sa route de chaque jour là où vous être croisé 
- je vous jure madame que c’était la première fois que je l’apercois et je vous garantie que si j’ l’avais vu avant j’aurais été venu chez vous depuis longtemps, on dit chez nous qu’un homme pourra montrer sa bonne intention quand il vient de la porte non pas de la fenêtre et moi je suis venu parler avec la maman et plus courageux que ca pour montrer ma bonne foi on meurt. Pouvez vous Madame me filer son  numéro son nom ou son compte facebook?
- Elle s’excuse en me disant que sa fille avait quelqu’un dans sa vie ! et c’était comme si j’ai eu un coup de marteau sur ma tête elle m’a secoué et une vague de sueurs m’a remplis le corps.. et je lui ai dit je sais très bien que je n’ai jamais été chanceux et avec ça je n’ai jamais appris à baisser les bras dès le premier obstacle: mais est elle mariée madame? en l’interrogeant elle se souriait tout en m’affirmant non elle n’est ni fiancé ni mariée
- Donc pour moi j’aurais toujours l’espoir jusqu’à la veille de son voyage de noce si elle pense vraiment se marier.. répond-je ; mais est ce que vous allez me laisser reprendre ma route sans même me donner son prénom? 
- Je suis vraiment désolé mon fils mais tu sais très bien maintenant où la trouver et quand.. 
- Je vous remercie madame et je suis content d’avoir rencontré la mère de la fille qui m’a fait rêvé.. pourquoi vous avez donné naissance à cet ange pour qu’elle finisse de me rendre fou! disais je en rigolant 
- Bonne chance mon fils et merci pour l’effort que tu as fait pour la retrouver. mais tu m’as pas dit quel âge as tu et tu travailles en quoi
- j’ai 29 ans et bientôt 30 madame et je suis anesthésiste et physiothérapeute et photographe professionnel à la fois. 
- ravis mon fils bon courage et bonne continuation. 
j’ai repris ma route tout en étant content , je m’arrête et je tourne ma tête toutes les secondes en conduisant à 10km/h pour pouvoir remplir mes yeux de sa maison en imaginant comment elle a vécu là bas, comment elle a passé son enfance, où elle jouait avec sa poupée et où se trouve vraiment sa chambre ou sa fenêtre. je suis arrivé en retard d’une heure quinze minutes au travail et la surveillante de mon service voulait des explications j’avais pas le choix j’étais obligé de lui raconté n’importe quel histoire et elle été convaincue puisque tout le monde sait que j’ai de l’assiduité et que je suis très impliqué au service. jusqu’à ce moment je ne connais rien sur elle sauf son lieu de résidence ni son prénom ni son numéro ni le prénom de sa maman elle aussi elle ne sait rien sur moi.. et c’est ce qui entrave mon pronostic.. je prend mon téléphone et j’appelle ma manager je lui demande de me chercher si elle trouve un de ses contacts étudiant à l’airline flight academy elle s’excuse elle ne connait aucun pilote de ligne, je reprend mon smartphone et j’appelle mon beau frère puisqu’il habitait là bas dans son quartier quand il était jeune il me confirme qu’il connait la maison puisqu’il faisait du sport là bas et la marche en pleine nature mais il n’a aucune idée sur la famille ni la fille en question mais il me promet de se renseigner tout en me donnant un ultimatum de deux jours ; entre autre je n’arrête pas de fouiller sur les page de pilotage en Tunisie dans l’espoir de retrouver son profil un commentaire un like ou autre de sa part mais négatif.. la fille semble asocial ou qui n’a peut être pas un compte facebook ni instagram; je m’arrête pour un instant et je me suis dis qu’est ce que t’es en train de faire pourquoi ne pas poster ce qui s’est passé sur spotted peut être qu’elle peut savoir qu’il s’agit de moi cette fois! je prend mon téléphone et je publie un statut tout en mentionnant ce qui s’est passé avec sa mère en racontant tout les détails, je reçois plus que 17 messages de femmes qui me félicitaient de mon courage il y’avait celles qui m’ont encouragé il y’avait celles qui attendaient des nouvelles de ma recherche depuis la veille, il y’avait celles qui m’ont conseillé de m’éloigner si elle a quelqu’un, j’ai reçu des messages de partout sauf d’elle de la fille en question .. je commence à perdre l'espoir mais au fond de moi je connais déjà la maison en cas de désespoir je reviendrai chez elle avec tout le courage qu'un coup de foudre peut créer.. je prépare mon matériel je téléphone à ma manager pour qu'elle appelle mes assistants pour s'organiser et sortir faire un shooting de couple,.. pour une fois de ma vie j'ai imaginé une femme à la place de la cliente que je prend en photo j'ai imaginé que je shoote la fille en question, je me suis demandé quel est le type de sa voix? Quel genre de vêtement porte-t-elle quel type de caractère a-t-elle? Je fini le shooting mélancolique et je rentre plus tard super fatigué ayant les douleurs habituels au dos et pieds.. , je prend mon ordinateur et je tape tous les prénoms féminins tunisiens présent dans ma mémoire je tape et je vérifie si jamais je tombe par hasard sur son visage et son nom, mais en vain.. je m'endors ayant l'ordinateur en main.. et je me réveille en pleine forme après seulement deux heures de sommeil.. je me prépare je me change et je prend ma route.. je croise une troisième fois sa mère sur mon chemin mais cette fois il y’a pas pourquoi lui parler tout compte réglés de son côté la seule responsable c’est sa fille; je rentre à temps au boulot cette fois ci je prend en charge mes patients et je prend mon tél durant ma pose café je téléphone à mon beau frère Ahmat! il me répond et il m’informe qu’il a des choses à me raconter à mon retour ces heures d’attentes que je devrais attendre sont les plus longues de ma vie entière, j’arrive enfin chez moi je trouve Ahmet devant la maison dit-il: ‘’ Mais tu es fou! sais tu à quelle famille es tu allé! sais tu la gravité de ce que tu viens de faire! tu es allé seul à la maison de Nabil! le père de la fille que tu cherches et que tu penses aimer! mais tu as pris un risque d’être plié sur 3, son père et ses oncles sont très conservateurs et ils ne peuvent pas être ouverts à ce genre de gaminerie ! ‘’ ; “ mes amis sont resté stupéfiais devant ton courage si on l’appelle pas folie d’un homme qui a 30 ans et qui se la joue encore adolescent ‘’ 
“ je trouve que je n’ai rien fait de grâve Ahmet ce que j’ai voulu faire c’est de suivre mon destin et trouver la femme que je pense avoir aimé depuis la première seconde de notre rencontre !” répond-je
“ je ne suis pas contre ce que tu as fait mais je voudrais que tu sache que personne n’oserait le faire de son quartier !” ajoute-il 
‘‘ Ahmet tout ca ne compte pas pour moi la fille ne semble pas être enfermée ou conservatrice elle est belle elle porte une chemise branchée elle mettait du makeup et elle se faisait belle et sa mère non plus’‘ 
‘‘ Oui mon gars certainement que sa mère savait que t’étais un idiot et que tu faisais ca sans penser aux conséquences ‘‘
‘‘ j’étais moi même Ahmet c toute l’histoire et maintenant dis moi comment elle s’appelle ‘‘ 
‘‘ je n’ai  pas encore eu son prénom Béchir d’ailleurs personne de mes contacts ne le sait tandis que j’ai pu avoir les prénoms de sa meilleures amie et les identités de ses oncles  tu pourras chercher sur les réseaux sociaux et suivre les listes d’amis et j’espère qu’on pourra trouver une passerelle’‘ 
“ Merci Ahmet je n’oublierai jamais tes efforts , tu viens de m’offrir un aide précieux je te cache pas que cette femme m’a bouleversé , elle m’a rendu fou de son visage, je n’arrête plus d’en penser je m’embrouille et elle est devenu du jour au lendemain ma passion..’‘ 
‘‘ t’inquiète pas je suis passé d’une période pareille avant d’épouser ta soeur Sarah et je sais très bien ce que veut dire l’amour et le coup de foudre, sois sur que je crois en toi et je crois à tes sentiments je ne t’ai jamais vu autant content et ca se voit que tu es passionné par cette femme. 
Il prend son téléphone il ouvre la barre de recherche et il tape Salma et il s’avère que c’est le profil de la meilleurs amie de mon amour inconnue mais malheureusement après une heure de recherche on trouve qu’elle met un niveau haut de confidentialité qui nous laisse pas fouiller sans sa liste d’amies ni de voir le contenu de son ‘’mur’’ facebook; on passe à la recherche des noms des ses oncles et le résultat est aussi négatif , son père ne semble pas aussi avoir un compte facebook; je commence à reperdre espoir et mes yeux virent vers la tristesse quand je les regardent sur le retroviseur de ma voiture, je m’arrête une seconde et je demande à Ahmet d’arrêter la recherche jusqu’à ce que je ramène mon ordinateur puisque les outils de recherche sont plus développés.; il refuse et il m’informe qu’il a oublié le prénom de son oncle le plus jeune et qu’il doit téléphoner à son frère Chokri pour s’informer il l’appelle il lui répond son prénom est Makrem; il tape le nom il trouve son profil entre autres je pris dieu et je croise les doigts pour qu’on puisse trouve sa liste d’ami accessible et c’était le cas on ouvre la liste malgrés que l’écran du smartphone était trop petit on fouille et soudain mon coeur commence à accelerer son rythme je vois son profil celui en 4ème rangé dis-je Ahmet c’est elle s’il te plait clic sur sa photo ! et je la vois ! je la vois la femme qui a touché ma voiture et mon fond la femme qui m’a déstabilisé dans un laps de temps l’inconnue est là ! elle s’appelle Haifa!... son prénom en arabe signifie la belle femme ayant la taille mince comme celles des top modèles ! elle est plus belle que j’ai cru ! ses yeux ressemblent aux vagues de la plage de Zanzibar colorés en bleu/vert/gris ils son visage reflète une lumière du jamais vu elle expulse de Energie positive de son sourire discret sur sa photo de profil ; des cheveux chatins ni raides ni flous ressemblant à la couleur du champs de blé au avant le coucher du soleil; une chemise jeans branchée la même du premier novembre, avec tes sourcils dessinés volumineux et chatins aussi; un grain de beauté sous ses lèvres et en dessus du menton; sa peau nette brute et saine très proche de la couleur de l’eau de roche tellement elle est clair; elle simple et magnifique à la fois pas trop sophistiqué charmante 
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dusudaunord · 4 years
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Vaincre le stress en 3 séances et retrouver sa joie de vivre !
Je m’appelle Caroline, j’ai 41 ans et je suis maman de trois enfants. La plus jeune vient d’avoir 3 ans et lorsque j’ai repris le travail, tout a déraillé. Je vais vous expliquer ce qui arrive à bon nombre d’entre nous, victimes du stress, au bord du burnout. Puis, comment je m’en suis sortie grâce à une médecine ancestrale, qui peut vous guérir, vous aussi. Voici mon histoire.
  Maman débordée : que faire ?
Mardi 22 octobre 2019 : je ne me sens vraiment pas en forme depuis plusieurs jours. Je me réveille plusieurs fois la nuit, parfois je ne parviens pas à me rendormir, je suis sans cesse fatiguée. Et puis, j’ai également des douleurs lombaires et j’ai une mauvaise digestion, je me sens ballonnée constamment. Alors, j’ai pris rendez-vous avec mon médecin généraliste. Ain d’établir un bilan de santé, placer des mots sur ce que j’ai. Car je veux retrouver plus d’énergie et me sentir plus légère, moins lourde. Je n’ai pas le choix, il faut que j’aille bien, mais je n’ai pas la solution. J’ai bien essayé la vitamine C, les compléments alimentaires, mais la sensation de mieux-être est chaque fois éphémère, je ressens que le mal est profond et bien installé.
Stress et médecine générale
Arrivée chez mon médecin de famille, celui-ci procède aux examens habituels. Il me prend la tension, me pèse, m’ausculte. Après cela, nous entamons une discussion afin d’approfondir la cause de ce mal profond. Il déclare : « Écoutez, je veux bien procéder à une prise de sang, si cela peut vous rassurer. Néanmoins, je ne note rien d’anormal. Votre dernière prise de sang est récente et tout semblait correct. Au niveau de ce que j’ai pu observer lors de l’auscultation, puis au niveau de votre tension et dans l’ensemble, il n’y a rien de significatif. En revanche, là où je ne vous donne pas tort, c’est au niveau de votre tension musculaire. Vos épaules sont très tendues et douloureuses à la palpation. Votre ventre est congestionné, ce qui pourrait dénoter une perturbation du système digestif. Par conséquent, si vous le souhaitez, je peux vous prescrire un traitement pour améliorer votre digestion. Concernant votre sommeil, je peux vous préparer une ordonnance que vous pourrez utiliser d’ici quelques jours, si vous n’arrivez toujours pas à retrouver un cycle normal dans votre sommeil. »
Les limites de la médecine générale
Puis, de nouveau face à lui, assise devant son bureau, tandis qu’il me rédige une ordonnance en vue d’améliorer mon transit intestinal et probablement mon sommeil, je me surprends à insister : « Tout de même, Docteur, je ne me sens vraiment pas bien et vous le savez, ce n’est pas du tout dans mon habitude d’être dans cet état-là ! » Sur quoi, il me répond, impérial : « Vous êtes probablement un peu stressée en ce moment… » J’acquiesce : il est vrai que la reprise au travail avec l’énorme pile de dossiers à traiter, les enfants perturbés avec ce nouveau rythme, le fait que je me retrouve sans cesse à courir et tout accomplir à la hâte, sans aucun répit… Tout cela s’avère un peu plus compliqué que je ne l’imaginais, et le résultat vraiment pas à la hauteur de mes espérances ! Sur quoi, mon médecin interrompt mes pensées, se voulant rassurant : « Vous voyez, c’est probablement cela, tout va tranquillement rentrer dans l’ordre au bout de quelque temps, une fois que vous aurez pris le rythme. »
Comment combattre le stress ?
En quittant son cabinet, je n’ai qu’un seul mot en tête : « le stress, le stress, le stress… » Il est vrai que j’entends parler de ce maudit mot partout : à mon bureau mes collègues de travail me parlent de stress, à l’école les mamans que je côtoie en déposant les enfants me parlent également de stress, à la télévision, à la radio, partout ! À croire que le stress s’est infiltré partout, comme un mal sourd et omniprésent, que tout le monde fréquente, mais dont personne ne comprend réellement la signification. En définitive, je m’aperçois que je ne sais moi-même pas grand-chose à propos du stress, et ma visite chez le médecin ne m’en a pas plus appris. Cependant, les douleurs dont je souffre sont bien réelles. Je ne me sens pas bien et j’ai l’impression que mon corps entier se verrouille et ma tête aussi.
Rechercher les solutions pour lutter contre le stress
Je décide alors de prendre le taureau par les cornes. Je fais appel à mon réseau afin d’explorer les solutions par moi-même en vue d’aller mieux. Je veux me sentir plus dynamique, m’alléger de ce poids lancinant sur l’estomac, ne plus sentir cette tension dans les épaules, les trapèzes, les cervicales, qui m’empêchent même de pratiquer librement le sport que j’aime.
J’en parle à des amis, sur les réseaux sociaux, je fais des recherches sur Google, j’appelle au secours ! Je voudrais tellement reprendre une vie normale, je sens bien que plus les jours passent, plus mon mental est affecté. Cela impacte de ce fait ma relation avec mon mari, mes enfants, mes amis, à cause de ces tensions permanentes qui m’affligent.
Un remède naturel contre l’anxiété : la réflexologie
C’est Françoise, une collègue de travail, qui me parle en premier de la réflexologie. Elle m’explique qu’elle s’est retrouvée dans le même cas que moi il y a quelques années. Elle est de ce fait allée consulter une réflexologue, qui a commencé à travailler sur ses pieds durant une heure en les massant, en pressant certains points. Certaines zones étaient d’ailleurs douloureuses, voire très douloureuses. Elle m’exprime à quel point cela lui a fait du bien : parce qu’elle a retrouvé le sommeil, parce qu’elle a atteint le calme intérieur profond, puis son système digestif s’est totalement débloqué et fonctionne aujourd’hui parfaitement normalement. Je suis surprise lorsqu’elle m’annonce qu’il ne lui a fallu que trois séances, assez rapprochées, pour atteindre ce résultat. Cela lui a suffi, mais surtout, pendant ces séances, elle me précise que la réflexologue lui a parlé du stress et lui a expliqué toute la chaîne que le stress opère sur le corps, depuis le physique jusqu’au mental, ainsi que toutes les connexions qui les relient entre eux. En communicant en permanence, en situation de stress, les douleurs dont je souffre apparaissent. Le corps, petit à petit, si on ne fait rien, se cristallise, comme s’il se paralysait peu à peu, sous l’influence de ce stress.
Réflexologie plantaire contre le stress
Alors, je décide de prendre rendez-vous chez la réflexologue qu’elle me recommande. Je désire mieux comprendre ce qu’il se passe dans mon corps en état de stress. Parce que je me rends bien compte qu’au fond, ce terme est totalement banalisé, mais bien réel. Je le sens véritablement me cristalliser, me paralyser et me nouer totalement…
Il ne m’aura – en effet – fallu que trois séances de réflexologie pour que je retrouve un sommeil récupérateur. Un vrai sommeil avec de vraies nuits, sans me réveiller ! Et cela a tout changé… Je me réveille le matin bien plus en forme, de bien meilleure humeur, et ma famille peut ainsi en profiter.
Quant aux tensions physiques, elles étaient tellement ancrées qu’il m’a fallu attendre la sixième séance pour me dénouer pleinement. Il a fallu surtout que je prenne conscience de toute la chaîne du stress ainsi que les possibilités que je possède en moi-même. La réflexologue m’a donné des outils qui me permettent dorénavant d’agir moi-même sur mes tensions lorsque je les sens arriver. Cela me permet d’agir directement sur mes émotions, de manière à les maintenir à distance et de ne plus me laisser cristalliser par ces émotions négatives.
Conclusion : la réflexologie pour vous guérir, de manière naturelle
Si vous aussi, vous vous reconnaissez dans les symptômes que j’ai évoqués, n’attendez pas plus longtemps ! Appelez la – ou le – réflexologue à côté de chez vous, afin de programmer votre première séance. Pour que vous aussi, vous puissiez reprendre – comme moi – une vie normale !
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Clinique Chiropratique Sillery / Chiro à Ste-Foy, Québec - Sommeil : 15 astuces naturelles pour l’optimiser
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Sommeil : 15 astuces naturelles pour l’optimiser
Découvrez dans cet article les conséquences d’un mauvais sommeil et nos meilleurs astuces naturelles pour l’améliorer.
Dormez-vous moins de 6 heures de suite par nuit? Vous sentez-vous exténué au réveil? Votre sommeil est-il agité? Avez-vous des baisses d’énergie au cours de la journée? Tombez-vous comme une bûche devant la télévision le soir venu? Si vous répondez oui à l’une ou plusieurs de ces questions, il y a de fortes chances que vous ayez un déficit de sommeil.
Le manque de sommeil est monnaie courante et ses impacts sur la santé sont souvent sous-estimés.
Qu’elle soit causée par de l’insomnie, des cauchemars, de mauvaises habitudes de vie ou de sommeil, un déséquilibre hormonal, des douleurs ou encore par un conjoint ronfleur, la privation chronique de sommeil perturbe l’équilibre physique, chimique et psychologique et entraîne des conséquences néfastes sur la santé globale.
Fatigue et manque d’énergie
Diminution de la concentration
Système immunitaire affaibli (infections plus fréquentes)
Brouillard et léthargie mentale
Baisse de motivation
Troubles de l’humeur pouvant mener à un état dépressif
Prise de poids
Augmentation des risques de développer des maladies telles que le diabète de type 2, l’hypertension artérielle, certains cancers, les maladies cardio-vasculaires, etc.
Le sommeil n’est pas une perte de temps
Bien au contraire! Le sommeil est essentiel à de nombreux processus :
Équilibre hormonal
Développement de l’immunité
Nettoyage des déchets du cerveau et des tissus
Équilibre de l’humeur
Apprentissage et mémorisation
Maturation du cerveau chez l’enfant et l’adolescent
Reconstruction cellulaire
En réduisant votre quantité de sommeil, vous n’accomplirez pas plus de tâches. Tout en constatant une détérioration soutenue de votre santé, vous aurez de la difficulté à être productif.
Vous pourriez avoir recours de façon abusive à des stimulants (comme la caféine), ce qui aura pour effet d’augmenter encore plus votre fatigue à long terme. Certaines personnes développent des troubles d’endormissement ou ont un sommeil agité lorsqu’ils consomment trop de stimulants.
Quantité ne veut pas toujours dire qualité
Pour que le sommeil puisse permettre au corps de réaliser ses différentes tâches, il doit être certes suffisant en quantité, mais il est aussi important qu’il soit de qualité.
Le sommeil comporte différentes phases :
Endormissement
Sommeil lent léger
Sommeil lent profond
Sommeil paradoxal
Phase intermédiaire
Au cours d’une nuit, nous traversons ces phases en 90 minutes, de 4 à 6 fois. Toutes les phases sont importantes, mais le sommeil lent profond et le sommeil paradoxal ont des fonctions primordiales comme la sécrétion hormonale (dont l’hormone de croissance chez l’enfant), le renforcement des défenses immunitaires, le processus de mémorisation et la maturation du système nerveux.
Le danger des somnifères
Lorsqu’une insomnie chronique se pointe le bout du nez, il peut être tentant d’avoir recours à des somnifères pour allonger son temps de sommeil, mais les somnifères ne devraient pas être la première solution.
En plus de créer une accoutumance (besoin de doses de plus en plus fortes pour le même effet et sevrage difficile), les somnifères favorisent un sommeil lent léger au détriment du sommeil lent profond. Le sommeil qui en découle, quoique suffisant en quantité, est non récupérateur, ce qui entraîne souvent de la fatigue et de la somnolence au cours de la journée.
Les somnifères ont aussi beaucoup d’effets secondaires indésirables et une étude de l’Inserm de 2014 a même démontré que les personnes prenant des benzodiazépines à demi-vie longue (un type de somnifère) ont un risque de démence augmenté de 60 %.
Nous avons sélectionné les meilleures astuces pour optimiser le sommeil naturellement, en durée et en qualité.
Adoptez une alimentation saine et variée en évitant les produits transformés, les sucres raffinés, les gras trans et les stimulants comme la caféine. Privilégiez les légumes et les fruits frais. Les bananes, les œufs, les amandes et les noix de cajou sont de bonnes sources de tryptophane, un acide aminé précurseur de la mélatonine (l’hormone du sommeil). Ne mangez pas 2 heures avant d’aller au lit et évitez les repas copieux.
Faites 20 à 30 minutes d’exercice physique chaque jour. Les personnes actives ont un meilleur sommeil en général et les gens qui travaillent dans la position assise ont davantage de troubles liés au sommeil. Ne vous entraînez pas 2 heures avant de vous coucher.
Bénéficiez d’un ajustement chiropratique régulièrement. Entendons-nous, l’ajustement chiropratique NE TRAITE PAS l’insomnie, mais optimise les fonctions du système nerveux. Une fonction nerveuse optimale permet une meilleure gestion des cycles circadiens (éveil-sommeil), de la sécrétion hormonale, de l’élimination des débris et surtout du stress quotidien. De plus, le chiropraticien agit sur la cause des problèmes neuro-musculo-squelettiques qui entraînent souvent des douleurs et interfèrent avec le sommeil.
Profitez des bienfaits des huiles essentielles. De nombreuses huiles essentielles ont des propriétés calmantes et sédatives. La lavande, la plus connue d’entre elles, procure une sensation de bien-être et favorise la détente et le sommeil. Le vétiver est une autre huile essentielle incontournable pour les personnes dont le stress les empêche de bien dormir. Vous pouvez diffuser ces huiles (seules ou mélangées) dans votre chambre à coucher à l’aide d’un diffuseur ultrasonique. Ce modèle vous permet de choisir le nombre de gouttes à diffuser et ne chauffe pas les huiles. La plupart possèdent un minuteur ou s’éteignent automatiquement lorsqu’il n’y a plus d’eau. Vous pouvez aussi choisir d’appliquer les huiles sur la peau. Diluez quelques gouttes dans une huile végétale (amande, jojoba, olive…), appliquez avant de vous coucher sous les pieds, dans le cou et aux poignets. Vaporisez un mélange d’alcool, d’eau et d’huiles essentielles sur votre oreiller et dans votre lit.
Choisissez bien votre oreiller et votre matelas. Votre matelas doit d’abord être confortable. Une fermeté moyenne est idéale. Un oreiller doit être choisi en fonction de votre position de sommeil. Consultez notre blogue sur le choix d’un oreiller pour en savoir plus.
Réduisez votre exposition aux champs électromagnétiques. Programmez un minuteur pour éteindre votre routeur Wi-Fi durant la nuit. Retirez tous les appareils électriques de votre chambre à coucher. Utilisez un réveille-matin mécanique. Si vous désirez conserver votre téléphone intelligent à vos côtés, mettez-le en mode avion. En plus de perturber la sécrétion de mélatonine (en raison de la lumière émise), les appareils mobiles augmentent l’exposition aux champs électromagnétiques qui aurait un rôle à jouer dans la suppression du système immunitaire, dans l’atteinte du système nerveux central ainsi que dans le développement de cancer chez certaines personnes.
Optimisez l’air ambiant. Ne dormez pas dans une pièce fermée. Laissez l’air circuler librement ou ouvrez une fenêtre. Ajoutez une plante dans la pièce pour assainir l’air.
Privilégiez la noirceur totale. Même les yeux fermés, votre cerveau détecte les sources de lumière et réagit en conséquence. Toute source lumineuse (cadran numérique, veilleuse, lampadaire de la rue…) peut réduire la sécrétion de mélatonine et induire le processus d’éveil. Procurez-vous des rideaux opaques, éteignez les sources de lumière artificielle.
Bannissez les écrans au moins 1 heure avant de vous coucher. La lumière bleue diffusée par les écrans des téléphones, tablettes, ordinateurs et télévisions empêche la sécrétion de mélatonine et peut retarder l’endormissement.
N’utilisez votre chambre que pour le sommeil et l’intimité. De cette façon, votre corps associera la chambre à coucher au repos. Évitez de lire et surtout de regarder la télévision au lit. L’ambiance de votre chambre doit être propice au sommeil : couleurs calmes, décor épuré, portes des placards fermées, etc
Exposez-vous à la lumière du jour. Privilégiez l’exercice extérieur, travaillez près d’une fenêtre si possible. Sortez prendre l’air sur l’heure du lunch.
Instaurez une routine. Couchez-vous et levez-vous à la même heure chaque jour, même le week-end; vous aiderez ainsi votre horloge interne à suivre un rythme établi. Respectez autant que possible votre rythme personnel : si vous êtes du matin ou du soir, l’horaire optimal pourrait varier.
Pratiquez une technique de relaxation : méthode de Jacobson (relaxation des muscles), méditation, cohérence cardiaque (contrôle de la respiration), etc.
Accordez-vous des pauses au cours de la journée. La productivité étant de toute façon limitée à 90 minutes consécutives, une pause permettra de délaisser les tensions, d’évacuer le stress et de déconnecter quelques instants. Cela peut être aussi simple que de vous étendre sur un tapis et respirer calmement. Mettez une minuterie, une sieste entre 6 et 20 minutes est idéale, même si vous ne dormez pas.
Prenez une douche fraîche (et non chaude, contrairement à ce que l’on pourrait croire) avant de vous coucher. Sinon, réduisez la température entre 15 et 19 °C.
Adoptez un ou deux conseils à la fois
Peut-être que toute cette information embrouille encore plus vos cartes? Loin de nous l’idée d’accentuer votre niveau de stress.
Choisissez un ou deux conseils qui vous semblent faciles pour entamer votre démarche. Gardez cette liste tout près et adoptez un nouveau conseil à intervalles réguliers.
N’oubliez pas que la qualité et la quantité de sommeil ont un impact majeur sur votre santé. Afin de retrouver toute votre énergie, d’augmenter votre productivité, de garder un équilibre mental et d’éloigner les maladies dégénératives, faites du sommeil une priorité.
  Références (consultées le 4 mars 2019) https://www.sommeil.org https://presse.inserm.fr/la-consommation-de-benzodiazepines-est-associee-a-un-risque-de-survenue-de-demences/21661/ https://fondationsommeil.com https://www.science-et-vie.com/corps-et-sante/les-somniferes-tout-ce-qu-il-faut-savoir-en-5-questions-8428
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sevyso · 5 years
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En cette période de l’année, certains de nous se sentent à bout de force.
Epuisé(e)s, déprimé(e)s, débordé(e)s, autour de nous on rencontre très facilement des personnes irritables depuis que l’automne s’est installée. Cet état touche toute génération :  bébé, enfant, adolescent, adulte, senior.
On est pressé par le temps, des nuits trop courtes, un réveil qui sonne trop tôt. On aimerait rester encore quelques minutes au lit avant d’aller travailler. On attend avec hâte les jours de repos pour récupérer. Et l’on se sent oppressé car finalement fatigué(e)s, le temps nous manque pour effectuer nos tâches quotidiennes. On tombe alors dans la proscratinisation, et on remet tout au lendemain.
Nous sommes nombreux à vivre cette situation en cette période de l’année, et ce n’est pas un hasard.
Une raison à cet état  …
Les nuits s’allongent, les jours raccourcissent. La fatigue se ressent dans la journée et le sommeil n’est pas récupérateur. C’est le manque de lumière naturelle dans la journée qui impacte notre humeur. La lumière du jour, nous donne de l’énergie, de la vitalité et de la joie. Et surtout cette exposition nous permet de ne pas produire l’hormone qui facilite le sommeil : la mélatonine.
Des solutions pour pallier au manque de soleil ?
S’exposer au maximum à la lumière du jour, très tôt dans la journée est une solution idéale. Effectuer des promenades permet de s’aérer l’esprit et redonne du dynamisme.
Faire des séances de luminothérapie, le Centre SevySo vous propose un système multi sensoriel unique en BRETAGNE, qui n’impose pas de faire les séances au réveil ou au coucher, mais à n’importe quel moment de la journée. Vous êtes allongé(e)s sans effort dans un fauteuil doté d’effets kinesthésique, face à vous un cercle de lumière colorée danse en harmonie avec l’ambiance musicale. Nous sommes ouverts sur rendez-vous à partir de 7h jusqu’à 20h du lundi au samedi et le dimanche de 7h à 13h. Des sessions de 10 minutes sont suffisantes pour activer la concentration et se sentir plus vigoureux, avec une fréquence d’une séance par semaine. Les séances sont proposées à toutes et à tous : bébé, enfant, adolescent, adulte, senior.
En prévention la luminothérapie est un allié efficace contre la dépression saisonnière.
Si fatigué(e)s, pourquoi ? En cette période de l'année, certains de nous se sentent à bout de force. Epuisé(e)s, déprimé(e)s, débordé(e)s, autour de nous on rencontre très facilement des personnes irritables depuis que l'automne s'est installée.
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