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#Boite Noire
spiderliliez · 2 years
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Lou de Laâge (as Noémie) Pierre Niney (as Mathieu) From the mystery-thriller, BOÎTE NOIRE (2021) [+] ..more on LOU 📷 [+] ..more French Cinema 🎬
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nerbtn · 2 months
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payryde · 6 months
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egnidres · 1 year
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Happy birthday to my little baby ꒰♡ˊ͈ ु꒳ ूˋ͈꒱.⑅*♡
It's a bit short, but there's no angst, miracle. One day I'll publish some stuff about him ♪♪(o*゜∇゜)o~♪♪
Aim and Post Dark Cream belong to @zu-is-here
⊰✧⊱
Les deux enfants rentrèrent dans la boulangerie, accompagnés de Killer et saluant le vendeur, une tortue plutôt âgé. Ils se dirigèrent vers les vitrines, regardant les nombreuses tapisseries et viennoiseries disposés : des forêt noires, des gâteaux fruités remplis de crème, des milles-feuilles, des chou à la crème, des tartes au citron meringuée, des macarons, des éclairs au chocolat et au café, des pains au chocolat et des croissants.
— Ça a l'air trop bon, s'extasia Aim devant la vitrine, les étoiles dans les yeux.
Après avoir choisi deux gâteaux, une forêt noire et un gâteau au fruit, Killer demanda le plus naturellement du monde :
— Lequel vous voulez ?
— Mais Papa a dit que on devait juste chercher deux gâteaux, et qu'on devait pas prendre autre chose au sinon on allait pas finir de manger.
Nuisance avait dit ça en regardant le plus grand, comme s'il essayait de déceler si cela était un simple test ou oubli de sa part. En voyant son sourire confiant, il comprit qu'il n'avait pas oublier ça ou quoi que se soit d'autre, il n'avait juste pas envi d'écouter cet ordre qui lui avait initialement été donné.
— Night sais bien que quand on rentre dans une boulangerie avec des enfants il faut aussi prendre une petite pâtisserie pour le gouter. Et si on les mange sur le chemin du retour, il n'en saura rien. Alors, vous voulez quoi ?
— Celui au chocolat là-bas, répondit rapidement le plus petit.
— On appelle ça un éclair au chocolat... Mais j'aurais pensé que tu aurais pris le chou à la crème.
Tout en disant cela, il désigna la fameuse pâtisserie, sachant que Aim ne pouvait pas lire les petites pancartes devant la nourriture.
— C'est vrai que ça a l'air bon, mais il n'y a pas de chocolat.
Le plus grand sourit avant de demander la fameuse pâtisserie, ainsi qu'un mille-feuille au vendeur. Pendant que ce dernier commencer à prendre la nourriture pour les mettre dans une des petites boites en carton fins, il redemanda la même question à l'enfant aux yeux vairons, ne voulant pas qu'il soit le seul à ne rien avoir. Ce dernier regarda de nouveau le plus grand dans les yeux, avant de retourner son attention sur son cousin qui lui souriait comme pour l'encourager à prendre quelque chose. Finalement il bredouilla d'une petite voix :
— Des macarons.
Le squelette à l'âme bicolore lui frotta la tête, pas surpris le moins du monde par ce choix. Puis lorsqu'ils partirent de la boulangerie, remerciant la tortue, il donna les petits gâteaux aux deux enfants, qui s'empressèrent d'en prendre un morceau. Nuisance tendit un macaron marron à Aim avant de rajouter :
— C'est au chocolat si tu veux gouter... Kills, Papa va être en colère contre nous s'il découvre qu'on lui a désobéit.
— Ne t'inquiète pas, il ne saura pas. Et puis, s'il le découvre, ce ne sera pas contre vous qu'il sera en colère, mais contre moi.
⊰✧⊱
The two children entered the bakery, accompanied by Killer and greeting the shop assistant, a rather elderly turtle. They walked towards the shop windows, looking at the many tapestries and pastries on display: black forest, fruity cakes filled with cream, mille-feuilles, cream puffs, lemon meringue tarts, macaroons, chocolate and coffee eclairs, pains au chocolat and croissants.
"It looks so good", Aim exclaimed in front of the window with stars in his eyes.
After choosing two cakes, a black forest and a fruit cake, Killer asked most naturally:
"Which one do you want?"
"But Papa said we should just get two cakes, and that we shouldn't get anything else or we wouldn't finish eating."
Nuisance had said this while looking at the taller boy, as if trying to detect whether this was a simple test or an oversight on his part. Seeing his confident smile, he knew he hadn't forgotten that or anything else, he just didn't feel like listening to the order that had originally been given to him.
"Night knows that when you go into a bakery with children you have to take a little pastry for a snack. And if you eat them on the way home, he won't know. So what do you want?"
"The chocolate one over there," the little one answered quickly.
"It's called a chocolate eclair... But I would have thought you would have taken the cream puff."
As he said this, he pointed to the famous pastry, knowing that Aim couldn't read the little signs in front of the food.
"It does look good, but there's no chocolate."
The taller boy smiled before asking the vendor for the famous pastry and a mille-feuille. As the latter started to take the food and put it in one of the small thin cardboard boxes, he asked the same question to the child with the minnow eyes, not wanting him to be the only one without anything. The latter looked the taller boy in the eye again, before returning his attention to his cousin who was smiling at him as if to encourage him to take something. Finally he stammered in a small voice:
"Macaroons."
The skeleton with the two-tone soul rubbed his head, not surprised in the least by this choice. Then as they left the bakery, thanking the turtle, he gave the little cakes to the two children, who hurried to take a piece. Nuisance handed Aim a brown macaroon before adding:
"It's chocolate if you want a taste... Kills, Dad will be angry with us if he finds out we disobeyed him."
"Don't worry, he won't find out. Besides, if he does find out, he won't be mad at you, he'll be mad at me."
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QUELQUES TRUCS BIEN. JANVIER 2024
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode. 
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d’optimisme. 
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Espérer pour mon amie P. qu’elle puisse acheter cet appartement où elle serait bien avec vue dégagée sur le parc et les commodités pour assurer son activité professionnelle 
Reprendre le boulot avec entrain puisque la convalescence a assez duré 
Profiter d’être alitée pour rattraper le temps de lecture
Sortir de convalescence en prenant plaisir aux tâches domestiques : vider la poubelle (de mouchoirs) 
Apprécier le silence du monde dont je me trouve en retrait par nécessité et maladie. Prendre mon mal en patience 
Entrer au cinéma et sortir en empathie pour le règne animal 
Être invitée pour manger la galette. Savourer et se nourrir d’amitié 
Discuter avec maman de sa grand-mère et des traces que laissent les disparus 
Aller au cinéma pour voir la dernière palme d’or 
Éviter les conflits malgré le clivage. Garder en tête l’intérêt des enfants. Garder le silence et le sourire 
Accueillir une nouvelle collègue de travail en passant outre les mesquineries actuelles de l’équipe. Espérer le meilleur à venir 
Me confier à mon collègue psychologue sur le sentiment de déception quant à l’échec des projets thérapeutiques de groupe.  Accepter l’impossibilité du travail dynamique et collaboratif en situation d’activité collective. Comprendre qu’il faut m’en tenir à faire des séances individuelles et des écrits 
Manger du chocolat noir offert avec le cœur et le sourire. En reprendre encore un peu 
Savourer la caresse de la petite main de mon petit M. pendant qu’il boit son biberon dans mes bras 
Appeler une amie dans la détresse et l’inquiétude par rapport à la santé de son frère. Ressentir de la compassion 
Projeter de voir les meilleurs films de l’année dernière au cinéma 
Vider mon sac en réunion de soignants et passer outre les mesquineries 
Recevoir une amie à l’improviste pour un apéro 
M’attendrir pour la première dent de mon petit M. qui grandit déjà 
Entrer dans la nouvelle année en bonne compagnie. Être au spectacle des feux d’artifices et des faux airs de fête 
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homomenhommes · 2 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 129
Marc et moi avons été très excité de notre virée de l'autre soir (aire de repos). Ça nous a rappelé les premiers temps de notre rencontre ou nous étions beaucoup plus audacieux.
Il est vrai que ces derniers temps, à part nos vacances à La Palmyre, nous ronronnons avec le groupe d'amis que nous nous sommes fait.
C'est décidé, samedi soir il me remmènera à la boite de nuit de nos débuts.
Dès le mercredi soir, je vérifie que je peux toujours fermer le collier de chien à piques qu'il m'avait offert dans nos débuts. C'est juste, il ne reste qu'un trou de plus ! C'est là que je m'aperçois que j'ai pris musculairement. Quand je reprend mes premiers jeans taillés en shorts spéciaux, c'est pareil, à la taille ça va. Par contre coté cul, je suis serré, mes fesses se sont arrondies façon black (c'est à dire que du muscle). ;Le tissu est hyper tendu et dans la glace, je vois bien que la couture des fesses est décousue et que les bords s'écartent quand je marche. Ça fait encore plus salope ! Je teste aussi les plugs pour savoir lequel s'harmonise le mieux avec le reste de ma tenue. Je pense que le noir moyen fera l'affaire. Quand je me penche, sa base apparaît entre mes fesses dans l'écartement du jeans.
Quand Marc rentre je suis dans cet accoutrement. Il me prend dans ses bras dès l'entrée et alors qu'on se roule un patin, je sens ses doigts écarter le jeans et buter contre le plug. Sans que sa langue quitte ma bouche, il tire sur la base et fait coulisser le plug sur le cm de son étranglement, puis me le sort sur sa partie renflée et le rentre à nouveau.
Il se recule pour admirer l'ensemble. Pour voir il me demande de passer mes chaps en cuir par dessus. Ça va faire un bail que je ne les ai mis. A la ceinture c'est bon, par contre si les mollets passent bien, ce n'est pas le cas de mes cuisses qui ont forcies. Les zip fermés, je suis moulé et la bande de chair entre le cuir et le bas du short en jeans a un effet très sex. Pour les chaps il va falloir que je les détende, juste un cm de plus de diamètre suffirait. En attendant Marc me dit d'enfiler une paire de Cat et mon vieux blouson cuir (celui qui à une attache qui me passe entre les fesses et fait un Y devant pour encadre mon paquet). Pas la peine de gâcher ma préparation. Nous prenons nos casques et allons chercher nos motos. La traversée de la cour me donne un aperçu des effets que je vais ressentir. L'attache du blouson appuyant fortement sur la base du plug ! Je le suis ne sachant pas ce qu'il veut faire. Il nous fait prendre des petites routes histoire que je ressente bien les irrégularités du goudron au fond de mon trou transmissent par le plug, puis autoroute. Je devine que nous allons rejoindre l'aire de repos que je connais. Autres jour de la semaine, autres camions de garés. Nous garons nos motos en pleine lumière devant le block sanitaire. Nous nous approchons et je reste dans la partie éclairée, devant l'entrée, blouson ouvert sur mon torse glabre, lanière du blouson qu'à demi détachée devant. Je me penche pour me laver les mains au robinet extérieur, laissant deviner le plug qui me rempli. S'il n'y avait pas de chauffeurs à pisser, 2mn plus tard, je suis entouré de 3 mecs. Le premier visuellement 25 ans, 1,80m musclé juste recouvert d'un short nylon flottant tendu par un sexe en phase de raidissement. Le second la trentaine boule à zéro et boucle d'oreille, dans le même équipement mais sa bite bandée le long de sa cuisse laisse dépasser du short un gland pas mal gros. Le troisième a dépassé les 50ans, bedonnant en short et chemisette ouverte (beurk pas mon style !).
Marc sort des WC où il avait vérifié la présence de clients potentiels et l'absence de gendarmerie. Il éconduit gentiment le vieux et me vend aux deux autres. L'annonce du tarif refroidi un peu les deux mecs. Négociations, pour emporter le morceau, je me penche et leur fait admirer ma rondelle couverte par la base du plug. Ils acceptent et un des chauffeur propose de faire ça à l'arrière de son camion, il n'est pas chargé à fond et cela laisse une place suffisante. Entrée par la petite porte de coté. Il éclaire la remorque et un halogène nous aveugle jusqu'à ce qu'il pose une caisse devant pour en atténuer la violence. Marc s'installe dans un coin et me laisse entre leurs mains. Le plus jeune se colle à moi et tire sur la lanière qui passe entre mes cuisses. Le plug me rentre dans le cul et je me lève sur la pointe des pieds. Il laisse retomber. Le deuxième est derrière moi et lève mon blouson. Je le quitte. Devant, le mec me masse la bite, je bande sans pouvoir développer normalement, bloqué par le jeans. Il n'a pas l'air de vouloir me libérer de cette pression. Mes mains ne sont pas restées inactive et je lui ai descendu le short sous ses fesses, libérant sa bite. En main, je l'estime à 20/22cm par un bon 5 cm de diamètre, circoncise. Ses boules imberbes se rétractent sous mes caresses et viennent se coller à sa tige. Le second presse son paquet contre mon cul et je sens entre mes fesses coulisser un sexe de bonne taille. J'ai faim !! Je prend un préso et l'enfile au mec devant moi. Cela fait je me penche en avant et commence une pipe de bonne salope. La tête en arrière, je me l'enfourne jusqu'aux boules. Il n'en revient pas et me bloque en position " étouffement ". Je m'agite, il relâche la pression et je lui dis que s'il me laisse faire je recommencerai ça. Comme je me suis penché, le jeans s'est ouvert et la base noire du plug est apparu sous le nez du second client. J'ai bientôt senti ses doigts tirer dessus. Il admire ma rondelle s'écarter alors qu'il retire le plug. Puis il le relâche et ce dernier rentre brutalement. Je sursaute mais c'est excitant ! Il finit par me l'arracher totalement. Ses doigts (au moins trois) viennent combler le trou avant qu'il ne se referme. J'entend une pochette de kpote se déchirer et après quelques instants, je sens la pression du gland sur ma rondelle. Heureusement que j'étais bien graissé d'avance car le mec ne se préoccupe pas de savoir comment ça va glisser et pousse durement. Mon anneau se déplisse et je laisse son sexe m'envahir. Bon, très bon ! il me tient aux hanches et me bourrine le cul. Chaque buttée de ses couilles contre les miennes m'envoi prendre le gland de son collègue dans la gorge. Il ne faut pas longtemps avant que le mec se tire de ma bouche, gueulant que si ça continu il va juter avant de m'avoir enculé. Il presse son pote d'en finir pour m'enculer à son tour. Chose faite 5 mn plus tard. L'échange de place n'a pas laissé le temps à mon trou de se refermer qu'il subissait de nouveau un assaut. Pas le même genre. Comme le type était déjà passablement excité, il y est allé doucement pour pas juter dès le début. J'ai apprécié le fait qu'il tourne son bassin pendant la pénétration, qu'il se suffise à jouer à entrer et sortir son gland uniquement, puis sur 5cm seulement, puis 10/12 cm avant de me faire prendre sa bite sur la longueur totale. Cette façon de faire m'a emmené très près de ma propre jouissance et c'aurait été chose faite, si Marc ne m'avait pas dit que la soirée ne faisait que commencer.
Une fois mes deux premiers clients purgés, le plug remis en place, ;je suis ressorti faire le " trottoir ", Marc à 10 m derrière moi. Le casque à la main, j'ai déambulé sur la bordure passant devant toutes les cabines des camions. Beaucoup avait les rideaux tirés mais je me suis pris des réflexions de chauffeurs prenant le frais, assis sur les marches pieds. Plusieurs m'ont demandé " combien la pipe ?". Je me suis arrêté dans un groupe de 4 mecs en train de se passer une bouteille. Ils étaient plus jeunes que les autres chauffeurs et leurs physiques m'allaient bien. Un m'a filé la bouteille et une lampée m'a fait prendre conscience que c'était loin d'être de l'eau. Je la rendais en toussant ce qui m'a valu le commentaire que c'était une boisson d'Homme. Je répliquais d'un " c'est pas la boisson qui fait l'Homme mais le poids de sa queue ". Ça les a excité et j'ai vu sortir des jeans et shorts 4 paquets, plus qu'au repos même si pas encore bandés à fond. Je sortais le mien qui n'avait pas débandé depuis le premier assaut de mon cul. Quatre sifflements on accompagné mon exhibition. Faut dire que mes 20cm sont sortis comme poussés par un ressort. Les mecs ont bandé ferme de suite. Concours de longueur et de diamètre. J'étais dans la moyenne. Deux bites plus courtes mais plus larges et deux plus longues même largeur que moi. Pour m'en assurer, je les avais toutes prise en mains l'une après l'autre, sans provoquer de recul. Les boules, elles étaient plus ou moins poilues mais aucunes rasées, dommage ! Un des mecs à queue plus courte était " sévèrement burné ", deux très grosses boules pendaient sous sa queue. Marc s'est alors approché et leur a mis le marché en main. Leur disant qu'il était prêt à faire un tarif groupe. Les types qui dans un premier temps s'étaient méfié de son approche, ont négocier dur et je me suis trouvé vendu pour 160€ (les chauffeurs routiers ne roulent pas sur l'or !). Le premier qui m'a mis la main au cul a été surpris de le trouvé plein de mon plug. Il a rameuté les autres pour qu'ils viennent voir. J'ai lâché les bites que je branlais et je me suis plié. Mes fesses se sont écartés pour laisser voir le rond noir de la base du plug. Commentaires : " qu"elle salope, il en veut de la bite, j'vais te mettre du vrai ce sera meilleurs..." Marc a veillé à la distribution de kpotes au déplaisir de certains mais à ma grande sécurité !! Rapidement je me suis trouvé la bouche prise par une bite envahissante, le cul ramoné consciencieusement et les mains pleines des deux autres participants. J'ai subit une vraie tournante. Dans le sens des aiguilles d'une montre, il ont échangé leurs places. Bien que cachés entre deux de leurs camions, nous avons attirés quelques spectateurs. Marc a laissé faire, essayant de repéré dans le lot mes prochains clients. Au deuxième tours, ils ont tous déchargés au fond de mon cul leurs spermes bloqués par le latex. Il a fallu que je pense à des trucs moches pour ne pas juter.
Alors que les choses étant finies et que l'attroupement se dispersait, un beau viking a abordé Marc avec un billet de 100€. Occupé à replacer mon plug, je n'ai pas suivi l'arrangement. Marc m'a juste dit de le suivre dans sa cabine. Nous montons, les rideaux sont tirés et l'espace ainsi protégé est conséquent. Quand mon viking tombe le short, je vois apparaître un sexe blanc juste surplombé d'une ligne de poils taillés. Encore mou, il doit faire déjà dans les 12cm par 3. je me penche et le prend en main pour le faire bander et le kpoter. Il se développe, encore et encore pour finalement avancer un sexe hors norme de 24/25 cm de long par plus de 6 de large à la base. Je Kpote et commence ma pipe. Marc s'est calé contre une portière et nous laisse faire. Je suce donc à m'écraser les cordes vocales, son gros gland rose envahissant régulièrement ma gorge. D'ailleurs, à chaque fois que ses couilles tapaient mon menton, il gémissait de plaisir. Ce traitement devait avoir trop d'effet car il m'a repoussé et tourné. Plié sur le siège passager, la tête sur sa couchette, il m'a écarter les cuisses et à joué quelques minutes avec le plug. Je laissais coulisser facile puis serrant mon anneau j'ai bloqué tout mouvement, je ne voulais pas qu'il croit que mon cul était une chatte molle. Il a grommelé un " yeh, good ass ". Comme il s'apprêtait à m'enfiler ses 25 sans précautions particulières, Marc m'a rapidement fait sniffer du poppers. J'ai pris du coup la totalité du mec dès le premier coup de rein ! Son limage profond et puissant m'a emmené rapidement aux portes de la jouissance. Il faut dire qu'il venait après tous les autres qui m'avaient bien chauffé. Il m'a tourné la tête vers la portière et à baissé la glace pour mettre ma tête dehors. Je l'ai senti s'immobiliser quelques instants au fond de mon trou puis reprendre ses va et vient. Je l'ai senti après la pause, plus rapide et encore plus gros dans mon cul. De plus lui qui m'avait jusque là sauté sans un mot, geignait à chaque fois qu'il reculait. (j'ai su plus tard que Marc à ce moment là l'enculait sévèrement, à sa demande). J'ai eu aussi du mal à ne pas geindre aussi et nos bruits ont alerté le camion d'à coté. Nous avons eu un spectateur qui n'a pas tardé à se branler devant notre prestation. J'ai senti simultanément : le viking s'enfoncer à fond et remplir sa kpote, une morsure du même individu sur mon trapèze droit et vu le jus de notre voyeur s'écraser sur notre portière juste sous mon menton. Quelques secondes plus tard, de nouvelles secousses dans mon cul me transmettaient l'éjaculation de Marc dans le cul du viking.
J'ai remis le plug pour le retour histoire de pas saloper la selle, les limages successifs m'ayant bien ouvert le trou (demain exercices de contraction d'anus !!).
Nous sommes rentrés à 3 h du matin moi, sur les rotules, et Marc ravi de mon comportement. J'aime être à sa botte, lui peut tout me demander, il le sait et n'en abuse pas. Je finis la nuit blotti au creux de ses bras.
JARDINIER
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titi-olgado · 2 days
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J' veux monsieur stark ou Iron man la audi RS8 ok ... pour mon ingenieurs conseil [IAS&S*] de l' annee... INGENIERY ADVICE SYSTEM & SECURITY I.A.S.S. a la tour neptune 3 flowers pour eux... j' lui change son audi S8 ... 240km/h
Je m' adresse au kart jacket de qui avait voler la S6 boite automatic a 27.000 € descendu a 24.000 € la rentrer au commissariat du XX av. Gambeta pour Laurent Nunes (z) prefet de police qu' il sache que c' etait moi les Clefs du 10 ... median a l' av. Gambeta pour une surveillance de la part des stups... la bac aussi roubler par moi "c' etait un noir aux dred- locks " figurez vous que c' etait la derniere fois au parc de la porte de montreuil blouson rouge et bande blanche ils m' ont laisser la merchandise pour ne (+) revenir chopper dans le XXth district de paris... amiral Einsanowher (c' est ainsi que captain malossi s' en va sans Soucis sur les routes degarnie... )??
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alexar60 · 9 months
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Un oeil fermé
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Quand Mattéo entra dans la bibliothèque, je me demandais s’il déconnait. Je regardais son air ahuri. Il paraissait complètement perdu comme s’il était choqué.
Il y a une dame dans la cours, dit-il.
Et ? réagis-je.
C’était normal de voir des gens se promener dans la cours. Le campus n’était pas fermé et il n’était que 20h. De plus, en hiver, la nuit tombe toujours tôt. Mattéo m’observait encore  avec un regard perdu. Il ne savait pas comment expliquer. Il cherchait les bons mots. Certainement pour ne pas nous choquer ou, pour qu’on interagisse au plus vite.
Elle a un œil qui pisse le sang et l’autre est fermé. Elle marche dans la cours. Je crois qu’elle a besoin d’aide.
Aussitôt, Sophie, ma collègue se précipita vers la porte d’entrée. Elle regarda à gauche puis à droite. Mais elle ne remarqua pas cette étrange femme. Dès lors, elle rentra en fronçant les sourcils.
Es-tu certain d’avoir bien vu ? questionna-t-elle.
Le jeune homme soupira. Il répondit qu’effectivement, il s’était surement trompé. Toutefois, son visage montrait une certaine inquiétude. Il retourna à sa place mais eut du mal à se remettre à étudier. Les autres étudiants ne s’intéressèrent pas à lui. Ils lisaient, prenaient des notes…Bref, ils préparaient leur examen partiel.
Je restais derrière mon bureau et enregistrais les livres rendus. Puis je les rangeais dans des casiers en fonction de leur classification. En même temps, je m’amusais à connaitre quelle catégorie avait le plus de succès dans la journée. Je me souviens que c’était l’histoire de l’art. Curieux, car il n’y avait pas de section histoire de l’art dans l’université.
Tout-à-coup, un cri retentit dans la salle. Je courus voir de quoi il s’agissait. J’entendais des ‘chuts’ des étudiants les plus proches de la porte. Seulement, tout le monde, c’est-à-dire, la vingtaine d’élèves restèrent muets en découvrant la femme dressée derrière la baie vitrée.
Elle portait un chignon. Sa taille longiligne et tordu déformait son corps. On aurait cru un mannequin fabriqué avec un grand cintre. Elle portait un bouquet de fleurs. Mais surtout, le plus horrible : du sang coulait de son œil gauche, tandis que le droit restait fermé. Le sang se mêlait à sa robe noire, son décolleté brunissait atrocement. Elle ne semblait pas avoir mal. Peut-être était–elle juste droguée ? Pendant que les étudiants la regardaient avec inquiétude, Sophie retourna vers la porte après m’avoir demandé d’aller chercher la trousse à pharmacie, et d’appeler des secours.
Je courus récupérer une boite contenant le minimum médical lorsque j’entendis hurler :
Elle n’a pas d’œil !
En effet, la jeune femme venait d’ouvrir sa paupière droite, dévoilant un trou béant. Les jeunes se sentirent mal, quelques filles hurlèrent. Et soudain, un énorme fracas provint en même temps qu’un hurlement glacial. J’entendais les bruits de verre rebondir sur le carrelage de la grande salle. Je restais dans la pièce utilisée comme salle de repos à me demander quoi faire.
La porte demeurait entre-ouverte. Cependant, je ne pouvais rien voir de ce qui se passait. J’entendais simplement quelques pas résonner dans la bibliothèque. Mais ce qui me choqua fut le silence long, pénible, angoissant. Un silence anormal car ils étaient encore nombreux à étudier dans cette salle. J’avais soudainement froid. Et plus je tendis l’oreille, plus j’entendis une voix douce, une voix de femme triste :
Et un…et deux.
Elle se tut tout en claquant ses talons sur le carrelage, puis elle recommença :
Et un…et deux.
Personne ne réagissait, personne ne parlait. Je n’osais pas signaler ma présence. Il y avait quelque-chose d’horrible dans sa façon de marcher. De même, il y avait de la terreur dans sa façon de parler et de toujours répéter :
Et un…et deux…Et un…et deux…Et un… et deux.
Sans faire de bruit, j’approchai de la porte. Je voulais voir. Je voulais comprendre. Et je l’ai vue. La dame marchait entre les étudiants. Sa figure rayonnait de grâce malgré son atroce blessure à l’œil. Elle gardait toujours le droit fermé. Cependant elle savait où elle avançait, évitant de marcher sur les corps étendus.
Je regardais les étudiants. Ils ne bougeaient plus. Ils ne remuaient pas. Je n’arrivais pas à voir s’ils respiraient, si leur poitrine gonflaient et dégonflaient. La dame se positionna devant une jeune fille. Elle sortit une des fleurs de son bouquet avant de l’enfoncer dans l’œil gauche.
Et un…
Puis, elle se pencha, et à l’aide de ses doigts longs et pointus, elle arracha le second œil en disant :
Et deux…
Elle marcha vers une nouvelle victime. Et elle recommença son manège :
Et un…et deux.
Je ne pouvais rester. Cette chose à l’apparence humaine avait réussi à tuer les étudiants d’un seul cri terrifiant. Je ne me voyais pas intervenir pour la combattre. Je fermais la porte le plus doucement possible afin de l’empêcher de grincer. Malheureusement, il n’y avait pas de fenêtre. Alors, je me cachais bêtement sous la table dans le noir complet. C’était le seul endroit possible. J’espérais qu’elle n’entrerait pas, qu’elle ne remarquerait pas ma présence. Et toujours cette douce voix pourtant horrible :
Et un…et deux…et un…et deux…
Plus j’écoutais, plus je réalisais qu’elle approchait. Je sentais mon cœur battre à cent à l’heure. Je sentais sa présence derrière la porte. Hélas, je ne voyais rien, si ce n’est une silhouette sous la porte, à cause de la lumière du hall. La poignée bougea…la porte s’ouvrit dans un silence absolu. Une lumière apparut rapidement cachée par une longue forme noire. Je me sentais paralysé par sa présence dans la pièce.
Le spectre marcha en claquant ses talons. Il s’arrêta brusquement devant la table. Je restais assis, les jambes recroquevillées pour protéger mon visage. Je ne voulais pas lever la tête. Je fermais les yeux, je retenais ma respiration et attendis. Mon sang se glaçait soudainement. Elle demeurait immobile telle une statue de glace. Puis elle sortit en fermant la porte.
Je restais toute la nuit, sans dormir dans le noir complet, et dans cette position fœtale. J’avais peur de l’entendre revenir ou de la revoir. J’avais peur qu’elle me crève les yeux. Le silence dura jusqu’au matin.
Il y eut d’abord des cris. Puis, il y eut des sirènes. Il y eut des voix, de nombreuses voix. Et la porte s’ouvrit, la lumière s’alluma. Un homme vêtu d’un uniforme de policier me regarda avant de m’adresser la parole. Je n’ai pas répondu à sa question. Je suis resté muet, le visage blême, les yeux remplis de fatigue et de peur. Avec un de ses collègues, il m’aidèrent à me relever. Puis, des pompiers m’ont assisté et installé sur un brancard
J’ai juste eu le temps de voir, les yeux posés sur la table. Tous les yeux arrachés me regardaient, ils me dévisageaient comme s’ils cherchaient à me culpabiliser d’être le seul survivant. Et lorsque je sortis de la bibliothèque j’entendis un policier dire à son collègue :
Il est bon pour l’hôpital psychiatrique. Mais comment et pourquoi a-t-il fait tout ce carnage ?
J'ai mis longtemps avant de fermer l'oeil et d'arrêter de répéter: 'et un...et deux'.
Alex@r60 – août 2023
Histoire très légèrement inspirée d’une légende urbaine coréenne appelé : one two, one two.
Artwork par Josephine Cardin
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leparfumdesreves · 3 months
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LA PEINE ESSENTIELLE DES NON-ESSENTIELS...
LE LIBRAIRE
Il a toujours aimé lire mais il n'y arrive plus trop en ce moment. Trop d'angoisse. Les charges qui tombent, le propriétaire qui réclame les deux mois de loyer en retard, le conseiller bancaire qui est un peu plus sec. "Désolé mais je ne peux pas donner des crédits à la terre entière. Faites du click and collect." Son neveu lui a bricolé à toute vitesse un site Internet mais il paraît qu'il n'est pas bien référencé. C'est un métier de vendre sur Internet et ça n'est pas le sien. Lui, il aime faire des petites fiches manuscrites sur les livres et conseiller ses clients.
Il a mis son unique employée en chômage partiel, il a installé une table pour bloquer la porte de la librairie et faire comme un guichet. Parfois les visages s'éclairent : "Oh mais vous êtes ouvert." "C'est pour le click and collect", il répond. Puis, en baissant la voix : "Dites-moi ce que vous voulez et on va faire comme si vous l'aviez commandé." On lui dit "bon courage" en baissant la voix comme s'il avait une maladie grave.
Derrière son guichet toute la journée, il attend que le téléphone sonne puis va sur le site vérifier s'il n'y a pas de commandes.
Le quincaillier lui a pris quelques livres en dépôt. Avant tout ça, ils allaient parfois boire des bières le soir dans le petit café d'à côté. L'autre jour, le quincaillier a vendu un livre de Marcel Proust à quelqu'un qui venait acheter des clous. Il était tellement fier que le libraire a souri derrière son masque, il y a juste cette boule dans la gorge qui ne s'en va pas.
LA FLEURISTE
Comme la nuit elle ne dort plus, la journée elle ne tient pas debout, alors elle boit café sur café. Ses enfants ont dû s'apercevoir de quelque chose, quand ils rentrent de l'école ils jouent en silence et elle n'a même plus besoin de crier pour qu'ils rangent leurs affaires. Elle a déposé des bouquets à 17 euros à la boulangerie d'à côté. La boulangère vend cinq, six bouquets par jour, c'est déjà ça, mais ce n'est pas comme ça qu'elle va arriver à payer les charges. Les fleurs, c'est pour les fêtes, les anniversaires et les amoureux ; en ce moment il y a surtout des enterrements. Parfois, la fleuriste a des idées noires puis elle regarde ses enfants et elle se dit qu'elle doit tenir le coup.
L'INTERMITTENT
On lui a tellement répété qu'il était un privilégié qu'il a fini par le croire. C'est vrai qu'il fait un métier sympa avec des horaires sympas et des gens sympas. Pendant le premier confinement, il faisait des vidéos sur Internet, là il se demande comment il va payer son loyer. Parfois il a l'impression qu'il ne sert à rien.
LE RESTAURATEUR
Ça faisait longtemps qu'il rêvait d'avoir son restaurant. Depuis ses années d'apprentissage, quand il se levait à 4 heures du matin pour accompagner son patron à Rungis. Il a ouvert en janvier 2020 et tout de suite ça a cartonné. Au premier confinement, il apportait des repas dans les hôpitaux et disait en rigolant : "On pourra dire que j'ai bien choisi mon année." Là, il s'est inscrit sur Deliveroo, prépare des salades César en barquettes plastique à 9 euros et du chirashi saumon au quinoa à 11 euros : les gens dans les bureaux ne mangent que ça à Paris. Le ministre de l'Economie a annoncé qu'il y avait des aides, mais il y a plein de trucs à remplir en ligne. Le restaurateur a du mal, il manque toujours un papier. Il a dû aller aux impôts, la dame derrière le guichet a dit : "Eh ben, vous avez bien choisi votre année pour démarrer", et le restaurateur s'est mis à pleurer.
NE LES OUBLIEZ-PAS ! LEUR VIE NE TIENT QU'À UN FIL...
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New pic (March 23, 2023), Malibu.
" Que le beau gosse de 62 ans soit désormais un chanteur rock folk et un écrivain à succès nous avait complètement échappé. Pourtant, il a déjà sorti trois albums. En tapant ces lignes, on écoute le classique et efficace Hell or Highwater, qui nous plonge dans une sorte d’Amérique masculine éternelle"
" Surtout, il est devenu écrivain, avec cinq romans en huit ans qui figurent sur la liste des best-sellers du New York Times."
"Tandis que la pluie tape sur nos fenêtres parisiennes, David Duchovny nous accueille par écrans interposés dans ce qui semble être sa cabane au fond du jardin. Il porte un hoodie vert, la barbe du matin, et boit un liquide non spécifié dans un mug. Il est 9 heures à Malibu, en Californie, la maison s’éveille . "
"On entend une sonnette, puis quelques rires, il s’excuse un instant, il doit aller ouvrir à la photographe. Après notre discussion, il pose sur son patio, devant sa maison moderne aux grandes baies vitrées et aux matériaux naturels foncés, entre des coquelicots orange et un wagon de train remis à neuf et peint en noir."
"On lui demande si ses enfants le traitent de boomer, ça le fait rire. «Ma fille a 24 ans, mon fils 20 et ils ont été éduqués et ont grandi en plein dans ce changement culturel majeur des dernières années. On a des discussions très intéressantes et parfois on a des points de vue différents, mais c’est sain.»"
". Il paraît apaisé. Il s’intéresse toujours au cinéma, adapte un de ses livres, Bucky F*cking Dent où il tient le rôle principal. Et il persiste dans l’écriture. Avec modestie : il sait qu’il ne publiera pas Ulysse de Joyce ou le grand roman américain de demain, mais il aime ses histoires, s’isoler entouré de sa documentation, griffonner à l’aube dès 5 heures du matin, quand tout le monde dort. On y devine une forme de soulagement, une manière de tromper la mélancolie qui semble pointer parfois derrière son regard "
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sebchevalier · 11 months
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Les histoires qui commencent ainsi: (M. Stepanovna)
J’aime beaucoup les livres, les films, les histoires qui commencent ainsi: un homme arrive, par exemple, dans une modeste maison de la province  française profonde, il ouvre les fenêtres, sort sur le balcon, déplace les meubles pour les agencer à son goût. Il déballe ses livres crapahute sous la table pour brancher son ordinateur, étudie le contenu du buffet et choisit la tasse qu’il utilisera. Il emprunte pour la première fois un sentier forestier qui le mène au village, achète du fromage et des tomates, s’installe à une table de l’unique café du lieu, boit du vin ou un petit noir, plisse les yeux au soleil, rentre chez lui. Il regarde la télévision, admire le paysage par la fenêtre, jette un coup d’oeil dans un livre, admire le plafond. S’il est écrivain, il se met au travail dès le matin. Son dimanche sera gâché parce que la guerre éclatera.
En mémoire de la mémoire, p.290.
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etoilementeuse · 9 days
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diabolik lovers : haunted dark bridal — ayato ; dark prologue [traduction française]
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—— La scène débute dans une salle de classe.
Yui : Haa, tout le monde est parti.
(Ce n’est pas si étonnant… Ça fait un moment que les cours sont terminés.)
(Mais… C’est un peu difficile de devoir retourner dans ce manoir…)
(Je n’aurais jamais pu me douter que l’endroit qui devait être la maison d’un parent éloigné se trouve être rempli de vampires…)
(En plus de ça, ils veulent boire mon sang.)
Haa…
Je me demande ce qu’il adviendra de moi, maintenant ?
En plus, c’est un peu étrange d’être à l’école de nuit.
—— Flashback, au manoir Sakamaki.
Yui : V-Vous m’avez transférée dans une école de nuit !?
Reiji : En effet.
Yui : Pourquoi… aller à l’école la nuit ?
Reiji : Puisque tu vis ici désormais, ton rythme de vie doit s’adapter au nôtre.
Bien que cela semble évident pour les humains, tu deviendrais une nuisance sonore pour nous si tu étais active durant la journée.
Yui : Q-Qu’entends-tu par là ?
Reiji : … Ce que tu peux être inconsciente. Dois-je véritablement t’expliquer chaque chose dans le moindre détail ?
Yui : Même si tu dis ça…
Reiji : En tant que vampires, nous sommes principalement actifs durant la nuit et nous reposons pendant la journée.
Je te demande de prendre le même rythme de vie.
Yui : Alors, pour l’école, comment…
Reiji : Je me suis occupé de remplir les papiers pour te transférer dans la même école que nous.
Yui : V-Vous ne pouvez pas faire ça…!
Reiji : Si cela ne te convient pas, tu es libre de partir quand bon te semble.
Yui : Ugh…
—— Fin du flashback.
Yui : (Je n’ai nulle part où aller… Je n’ai pas eu d’autre choix que d’obéir.)
Haa.
(Je pensais que c’était une école spécialement adaptée pour les vampires, mais… Elle est remplie de personnes normales.)
(Je crois que je peux m’accrocher… Est-ce que je peux ? Oui, allez.)
(Il le faut !)
—— La salle de classe est soudainement plongée dans le noir.
Yui : Hein…!? Q-Qu’est-ce qu’il se passe !?
(Une coupure de courant !? Une coupure de courant dans une école de nuit…)
(Qu’est-ce que je devrais faire ? Je ne sais pas où se trouve le compteur électrique… Pour le moment, je vais aller à la salle des professeurs…)
—— Ayato apparaît.
Ayato : … Eh.
Yui : Kyaah !!
Ayato : Tsk ! Arrête de crier comme ça.
Yui : A-Ayato-kun ! D-Désolée. Tu m’as surprise en apparaissant de nulle part, dans le noir…
Ayato : Tu croyais que c’était un monstre ?
Yui : E-Euh…
(En vérité, c’est un peu comme si c’était le cas…)
Ayato : Allez. Le grand Ayato¹ est venu te chercher. Bouge-toi un peu et rentrons à la maison.
Yui : Hein…? Tu es venu me chercher ?
Ayato : Qu’est-ce que tu fais ici aussi tard, de toute manière ?
Yui : Hein !? Euh…
Comme je viens d’être transférée ici, je visitais un peu pour essayer de m’accomoder à l’endroit…
Ayato : Hmm ?
J’étais persuadé que tu t’étais enfuie.
Yui : !
Ayato : Ha, à en juger par ta réaction, tu dois au moins y avoir pensé…
Est-ce que tu comprends la position dans laquelle tu te trouves ?
—— Yui recule, heurtant une chaise avec son dos.
Yui : M-Ma position…?
Ayato : Tu m’as choisi, non ?
Désormais, tu es ma proie.
Yui : Q-Que…
—— Ayato se rapproche, coinçant Yui.
Ayato : Aah— , je suis affamé. C’est parce que tu as pris trop de temps à revenir !
Yui : Kyaah !?
—— Ayato défait le nœud de l’uniforme de Yui.
Yui : Non !
(Cette force… Ce n’est pas celle d’un humain normal…!)
(Alors Ayato-kun est bel et bien un…)
Ayato : Hehe, une si jolie peau… Encore vierge de toute morsure.
Yui : … … !
Ayato : Je suis donc ton premier.
Haa, je peux pas attendre d’être rentré. Je vais manger ici.
Yui : M-Manger…?
Ayato : C’est évident, non ?
Comme ça… … Nn… …
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Yui : Non…! J’ai mal, s-stop…!
Ayato : [bruits de succion]
Yui : (L’endroit où ses crocs sont plantés est… brûlant. Ayato-kun boit vraiment mon sang…)
Ayato : … Haa, délicieux… Comment ça peut l’être autant… [bruits de succion]
Yui : L-Lâche-moi…!
Ayato : Ugh… doucement.
Yui : T-Tu me fais mal…!
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Ayato : [bruits de succion]
T’es idiote ou quoi ? Si tu gigotes, évidemment que tu auras encore plus mal.
Yui : (Un liquide rouge s’écoule des lèvres d’Ayato-kun… C’est… mon sang…?)
Ayato : … Haha, quoi, tu pleures ?
Ton visage en pleurs, ton visage tordu de douleur, c’est fascinant.
En plus de ça… ton sang est plutôt bon. Non… il est délicieux.
Plus sucré que n’importe quel autre que j’ai pu goûter.
Haha, j’ai hâte de nos prochaines pauses repas ensemble.
Yui : Non, stop…
Ayato : Comme si j’allais t’écouter. [bruits de succion]
Yui : Aah…! N-Non…
Ayato : Haa… C’est pas si mal, tout ça.
Prépare-toi à ne jamais pouvoir m’échapper.
Monologue Il est comme un enfant venant de recevoir un nouveau jouet. Son sourire ne s'estompe jamais. Alors qu’il boit mon sang sans jamais s’arrêter, toute résistance m’est impossible, ma conscience s’estompant peu à peu. —— J’ai l’impression vague d’apercevoir le sombre futur qui m’attend.
¹Pour ceux qui n'auraient pas accès aux dialogues du jeu, Ayato se réfère souvent à lui-même comme “Ayato-sama”. Le suffixe -sama est utilisé lorsque l'on s'adresse à quelqu'un que l'on respecte énormément. On l'utilise notamment pour s'adresser à des divinités, ou à l'Empereur du Japon et sa famille. Il est difficile de traduire en français toutes les subtilités de ses dialogues, mais sa manière de s'exprimer est très arrogante et supérieure.
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ㅤ ←[sélection]ㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤ[dark 01]→ 
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smartfox · 7 months
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Beerbird Records Newsletter
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ecrisettaistoi · 2 months
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Tout et rien
.
.
.
Tout vendre
tout mettre en boite,
toute la vie, toute entière,
tout mettre en pause
le temps d'aller voir ailleurs
si on pourrait y être,
ici
ou très loin là-bas,
ne garder
que le cercle rapproché,
le sang, serré
et relancer la machine
sur une nouvelle route, destin
jusqu'au FIN sur l'écran noir
et la finale mise en boite
de toute la vie, toute entière.
.
.
.
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homomenhommes · 3 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 121
Au retour, je n'en peu plus. J'ai les couilles pleines et elle me font mal tellement il y'a du jus dedans ! J'attrape Jimmy qui est à coté de moi par le cou et lui plaque le visage sur mon paquet. Il a compris et avec difficulté défait mon jeans. Ma queue sort comme un diablotin de sa boite. Elle lui frappe le visage avant qu'il ne happe le gland dans sa bouche. c'est tellement bon que je fais un écart sur la route à faire peur à une mémé qui venait en face !
La tension se relâche un peu avec la chaleur de la bouche qui enveloppe mon sexe. Ed s'est avancé entre les deux sièges pour mater. Jimmy me mange tout ce qu'il peut.
Quelques camionneurs que je croise me font appel de phare et klaxonnent quand ils nous dépassent. Du haut de leurs cabines, ils voient bien que je me fait sucer. Je ralenti, inutile de prendre des risque en roulant comme un fou. Je n'ai pas fait attention mais je roule si lentement que je me fais doubler par un camion. Il prend son temps et reste quelques instant à ma hauteur. Je jette un oeil et voit le visage hilare d'un jeune mec. Il finit de me doubler et par clignotant m'indique qu'il prend l'aire de repos. Je le suit. Pas grand monde, il se gare à l'écart et je me place à coté.
Le chauffeur est déjà à ma portière que je relève seulement la tête de Jimmy. Une fois ma bite derrière le jeans, je sors. On se salut, il a environ 35 ans assez costaud et son accompagnateur plutôt 20 ans ou un peu moins, beaucoup plus fin.
Il me dit s'être douté que c'était un mec qui me suçait. Je lui demande ce qu'il veut sachant que j'ai les couilles pleines depuis un moment et que j'aspire à les vider rapidement. Il me dit que lui c'est pareil car avant qu'il ne nous repère il se faisait faire la même " gâterie " par son passager. Nous rions de la similitude de nos situations. Il me propose un échange je lui dis que c'est inégal, il n'a qu'un mec et moi j'en ai deux ! en plus les miens sont deux putes particulièrement expérimentées. Il me vante son jeune acolyte, la profondeur de sa bouche et la douceur de son cul.
Pour décrocher l'affaire, il me dit que je pourrais disposer de son propre anus. Son jeune accompagnateur en est interloqué. On est d'accord. Alors que je cherche un lieu du regard, il me dit que l'avant de sa remorque est vide. Je prend kpotes et gel, ferme la voiture et nous montons à sa suite par une porte de coté.
Il fait noir mais aussitôt il allume un spot qui éclaire la scène de ses 500 Watts. Avec son collègue, il tire quelques caisses de l'empilement pour nous faire des supports. Son jeune me colle et défait les quelques boutons de mon jeans. Ma queue en sort toujours raide. De son coté Jimmy attaque le pantalon du routier. Ma queue ne reste pas à l'air libre très longtemps et se trouve chapeauté, puis engouffré par la bouche très efficace de son accompagnateur.
Pour simplifier le routier = " R " son ptit mec = " A " comme accompagnateur. " A " me bouffe la tige jusqu'à l'os. Je comprend mieux sa facilité quand je vois la grosse bite de " R ", dans les 21/22 par 6 disparaître dans la gorge de mon Jimmy. Ed se place à ses cotés et à deux font une fellation à " R " qui gémis de plaisir. De mon coté j'ai pas à me plaindre, son ptit mec me tète le dard très correctement. Coinçant sa tête entre mes mains, je m'enfonce avec délice dans les profondeurs de sa gorge. Il encaisse bien et même en redemande ! il utilise sa langue avec une grande inventivité, m'amenant plusieurs fois au bord de l'éjaculation ! (faut dire que ça fait un moment que je suis excité !).
" R " semble pressé tout d'un coup. Il se kpote et défonce Jimmy direct. Heureusement que c'est Jimmy et non Ed, ça passe plus facilement. Je considère alors que je n'ai pas plus de précautions à prendre avec " A ". Kpoté, je plaque son torse sur une caisse. Ce salaud relève son cul en attente. Ça ne dure pas et sans le lubrifier, je pose mon gland sur son anus et l'encule sans m'arrêter à fond. Ok, il encaisse aussi bien que mon Jimmy. " R " demande à Ed de lui bouffer les couilles pendant qu'il encule Jimmy. Après un peu d''acrobaties c'est choses faites et je vois la tête d'Ed secouée à chaque va et vient. Je me retire d' " A " et change de Kpote. je pousse sur le dos de " R " qui du coup écrase un peu Jimmy. Je dois lui rappeler notre accord. Il grogne un peu mais me laisse accéder à son trou. Je suis gentil ! j'utilise un max de gel pour le préparer. Malgré cela je sens que ça va pas être facile. Heureusement que je suis raide comme un piquet ! Effectivement je dois forcer pour l'enculer. Son ptit " A " n'en revient pas. il me dit qu'il l'a toujours vu actif, aussi bien avec lui qu'avec des mecs de passage.
Je lui dis de bien regarder alors. "R " souffle, peste mais je le tiens bien aux hanches et continu la pression jusqu'à être totalement en lui.
" A ", désoeuvré, lèche notre interface trou/bite. quand je suis totalement en " R ", il s'occupe à me bouffer les couilles. Ed, s'installe entre les cuisses d' " A " et suce son manche somme toute fort honorable (un bon 18cm sûr). Malgré la douleur de la sodo, " R " continu à enculer Jimmy, preuve qu'il n'a pas débandé et qu'il apprécie la chose ! " A " et Ed nous quittent pour s'installer sur une autre caisse. Je vois " A " se kpoter et enculer Ed qui ne demandais que cela. R est étonné, il ne s'était jamais servi de " A " que comme vide couilles. Je ne sais pas si " A " est souvent actif mais Ed n'a pas l'air de se plaindre du traitement qui lui est infligé. Il me regarde et me dit que c'est bon ! Je suis trop excité et je jute au bout d'1/4 heure de limage de cul de " R ". il faut dire à ma décharge (lol) que cela faisait longtemps que je n'avait été autant serré dans un cul... le dépucelage d'Ed je crois.
Quand je sors, il s' ;excite sur Jimmy et à son tour rempli sa kpote. Jimmy, bien éduqué jute quand " R " se retire. Tous les trois nous regardons Ed et " A " s'achever. " A " se penche sur Ed et lui roule un patin brûlant, ce qui n'arrête pas son bassin de basculer pour continuer à l'enculer. Nous entendons Ed gémir plus fort bien que le son soit étouffé par la langue d'A. quand " A " se redresse, il découvre des abdos plein de sperme. " A " accélère et tout d'un coup se bloque au fond d'Ed, agité de quelques soubresauts indicatif de décharge.
" R " nous tend un sac pour y jeter les kpotes pleines et passe des kleenex pour ceux qui on juté sauvagement !
Nous reprenons nos souffles en discutant un peu.
" R " est artisan routier et son ptit " A ", il se l'ai déniché pour l'avoir pris en stop il y à déjà plus d'un an. Depuis ils sont ensemble et " A " ne va pas tarder à passer son permis Poids Lourd pour l'aider.
Je lui demande si il n'a pas trop mal au cul ? il me dit que cela va. " A " vérifie en lui mettant la main au cul et d'après la réaction de " R " lui met un doigt.
" A " nous certifie que le cul de " R " est maintenant souple (il le connaissait très serré quand il le léchait). Et que c'est 2 doigts qu'il lui met. Il regarde " R " et lui dit :
- J'pourrais aussi t'enculer de temps en temps ? c'est trop bon.
Je lui demande et il me confirme qu'il était puceau quand " R " qui l'avait pris en stop l'avait dépucelé. Et qu'il n'avait jamais eu qu'un rôle de passif depuis. Mais depuis le cul d'Ed, il savait qu'il aimait aussi enculer. " R " a grogné pour le principe mais je crois qu'à l'avenir il se laissera parfois faire !, il a bien aimé ma chevauchée.
On se rhabille, moites, et nous nous quittons plus légers de quelques 100aines de grammes.
Le retour se fait calmement. Je dépose Ed en premier. Son ptit frère vient à la voiture plein de question ! C'est quoi cette caisse ? je croyais que t'était motard ? c'est qui ? (en montrant Jimmy).... Je lui dis de se calmer. Il passe la tête par la fenêtre de ma portière et me claque un bisous sur la bouche. je le repousse et lance un au revoir avant de démarrer.
Jimmy qui a vu le coup se faire me dit que j'ai encore fait une victime. Je le regarde, il me dit - ben oui ! il a l'air amoureux le gamin !
Je lui répond que c'est hors de question, puis me ravisant ajoute, pas avant quelques années.
JARDINIER
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nouveau-blog · 3 months
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la magie de la science et de la nature
Ces derniers temps, l’environnement est mis en avant à cause du réchauffement climatique. C’est pour cela que des artistes comme Marylou ou encore Karine Bonneval, on voulut mélanger cette nature avec leurs arts et ainsi impacter les gens. Toutefois cet art technologique mêlé à la nature à ses avantages tout comme ses inconvénients. 
Tout d’abord, nous pouvons aborder l’exposition à Corbeil-Essonnes « les bestioles électroniques » de Marylou qui consiste à faire écouter des chants d’oiseaux synthétisés. Ces chants s’activent si on s’approche devant des capteurs de présence, des tensiomètres ou encore d’autres capteurs. Dans cette « boite noire, » il y a des fils qui parcourent tout cet espace, dont certains colorés. Cependant à cause de tous ces technologies étant donné qu’elle est très fragile, il est possible de tout détruire. On peut donc faire une analogie entre son innovation et la réalité, c’est-à-dire qu’il est facile de détruire un écosystème rien que par notre présence. Pour autant, la technologie est un des nombreux facteurs de ce réchauffement climatique notamment avec les Datacenter implanté dans les pays nordistes. 
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photo personnelle
Selon moi, c’est une très belle exposition avec des chants d’oiseaux très variés, mais malheureusement, ces oiseaux vont un jour disparaître et peut-être, on sera obligé d’écouté des chants synthétisé et non ces vrais chants qui peuvent nous égailler une journée très fatigante. 
On peut utiliser la technologie pour défendre l’environnement, mais pourquoi ne pas utiliser directement la nature pour montrer ses vertus ? 
C’est ce qu’a fait Karine Bonneval dans son exposition à Chamarande « se planter » qui consiste à faire des œuvres d’art grâce aux plantes. Elle réalise des œuvres avec des plantes comme le bouleau, les graines de tournesol ou encore des plantes carnivores. Elle a collaboré avec des scientifiques (bioacoustiques par exemple) pour montrer la puissance de la nature ainsi que l’importance de veiller aux bien-être des plantes. Par exemple, elle a réalisé un tapis, avec l’aide d’un scientifique, relier à une plante. Dans ce tapis, il y a des trous qui ressemblent à des troncs d’arbre et lorsqu’on y met les pieds, on peut ressentir les vibrations de la plante, si l’on touche des feuilles, ces vibrations deviennent plus fortes.
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photo personelle
Il y a aussi une autre œuvre qui représente des plantes carnivore fait en sucre enfermé dans un bocal. On peut faire l’analogie entre le bocal et un cabinet des curiosités, mais aussi une plante carnivore faite en sucre qui signifie un peu la nouveauté à l’époque de la canne à sucre qui a rendu des pays pauvres en pays riche, mais aussi la plante carnivore enfermé dans une boite de transport pour pouvoir l’exposé partout. 
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photo personnelle
J’ai beaucoup aimé cette exposition, car cela nous fait voir d’une autre manière la beauté des plantes et aussi qu’elle a besoin d’être présente pour nous. 
En conclusion avec ces expositions qui sont un mélange entre l’art et la nature par le biais de la technologie, car grâce à cela, elle nous permet de montrer un nouveau visage de cette nature qui est peu connu, mais aussi sur le point de disparaître à cause du réchauffement climatique. 
Rose-Marie
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