Tumgik
#thème bleu
jeruharomi · 2 years
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Gilet transformable mode d'emploi lave
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homomenhommes · 6 months
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ORIENT QUEER : L'ANDALOUSIE
Extraits d'articles :
L’homosexualité était pratiquée dans la société andalouse au XI ème siècle, en dépit des prises de positions extrêmement ferme de l’islam qui condamne sévèrement la sodomie, cette inversion sexuelle était connue et pratiquée en Espagne, comme dans beaucoup d’autres contrées.
L'amour homsexuel (مذكرات mudhakkarat) comme thème littéraire se développe dans le milieu de la poésie dans tout le monde arabe; le juriste et écrivain persan Muhammad ibn Dawud (868 - 909) écrit, à 16 ans, le Libro de la flor, une anthologie des stéréoptypes de la lyrique amoureuse qui donne une large part aux vers homoérotiques.
Ibn Hazm raconte qu’un certain Ahmed b. Kulayb poète et grammairien cordouan, mourut de chagrin, en 426 /1035, parce que le jeune homme dont il était éperdument amoureux restait insensible à ses avances.
Très fréquemment, des andalous musulmans s’éprenaient de jeunes gens, chrétiens ou juifs, qui étaient d’autant plus appréciés que souvent, ils étaient blonds aux yeux bleus. Recherchant parfois des plaisirs interdits par la loi islamique.
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DE L'AMOUR DES ROIS
La poésie homoérotique hispano-arabe est la partie du corpus poétique hispano-arabe à caractère homoérotique. La littérature érotique, du moins de la plus grande qualité, s’épanouit au sein de la culture islamique à une époque où l’homosexualité, présentée comme raffinement culturel dans le califat omeyyade, inspire un grand nombre d’écrits, principalement dans la poésie.
La pratique de l’homosexualité est plutôt courante entre les rois andalous et de jeunes hommes. Abd al-Rahman III, Al-Hakam II (qui a une descendance pour la première fois à l’âge de 46 ans avec une esclave basque chrétienne qui se travestit, à la manière de Bagdad, comme si c’était un éphèbe), Abdallah ben Bologhin de la Taïfa de Grenade, le Nasride Mohammed VI al-Ahmar; entre eux, l’Abbadide Al Mutamid ibn Abbad de la taïfa de Séville et Yusuf III du royaume de Grenade écrivent de la poésie homoérotique. Abd al-Rahman III, Al-Hakam II, Hicham II et Al Mutamid entretiennent ouvertement des harems masculins. Les hispano-arabes préfèrent comme compagnons sexuels les esclaves chrétiens et chrétiennes aux femmes et éphèbes de leur propre race, ce qui provoque l’hostilité des royaumes chrétiens. Le martyre du jeune Pélage qui résiste aux désirs d’Abd al-Rahman III, premier calife Califat omeyyade de Cordoue, est reconnu dans sa canonisation.
Dans la communauté juive d’Al-Andalus, l’homosexualité est également courante chez les aristocrates. La culture courtisane et aristocratique y prend la forme d’un individualisme romantique explorant toutes les formes de la sexualité libératrice :
hétérosexualité, bisexualité, homosexualité.
Non seulement le plaisir homosexuel est fréquent, mais il est considéré comme davantage raffiné chez les personnes à l’aise et cultivées. Les prostitués sévillans du début du xiie siècle auraient par ailleurs touché davantage de revenus que leurs camarades féminines et auraient pratiqué auprès d’une classe plus aisée.
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Sources :
Before Homosexuality in the Arab‐Islamic World, 1500–1800 is a 2005 book by Khaled El-Rouayheb, published by the University of Chicago Press.
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fashionbooksmilano · 1 year
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Sous l’Empire des crinolines   Musée Galliera
Catherine Join-Diéterle,  Françoise Tétart-Vittu
Paris Musées, Paris 2008, 212 pages, Relié, 180 ill.couleurs, 17,5 x 24,5 cm, ISBN : 978-2-7596-0069-4
euro 80,00
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Catalogue publié à l'occasion de l'exposition "Sous l'empire des crinolines" présentée au Palais Galliera du 26 novembre 2008 au 26 avril 2009, Editeur Paris Musées. Symbole du Second Empire, la crinoline apparaît dès 1830 avec l’utilisation de jupons en crin qui font gonfler les jupes. Ils seront remplacés en 1856 par la fameuse cage à fanons de baleine, puis substitués par une armature métallique. Le succès de cette dernière sera immédiat : en France, 5 millions sont confectionnés en 1860. Sa forme évolue également. D’abord ronde, elle est ensuite plate devant et se projette loin vers l’arrière. Puis, à partir de 1867, une «demi crinoline», plus étroite, s’impose. Souvent comparée aux coupoles en métal et en verre la crinoline témoigne de la passion de l’époque pour le volume. Cependant, ce qui frappe surtout c’est l’exubérance de la silhouette, l’emploi récurrent des volants, l’accumulation des étoffes et des ornements, l’éclectisme des décors où se mêlent historicisme et orientalisme, où le bleu vif côtoie le rose pastel. Mais au delà du port de la crinoline, de la rapidité des transformations de la silhouette, de la diversité des sources d’inspiration, la mode du Second Empire reflète les changements survenus en France depuis le début du siècle. Cet ouvrage richement illustré, témoigne de cette période très particulière dans l’histoire de la mode française. Conçu autour de trois grands thèmes (la fête à la ville et à la cour ; la modernisation ; la commercialisation) il aborde l’ensemble des aspects propres à la crinoline et à son époque. Mais il nous montre également à quel point elle fascine encore les créateurs. Regardons pour cela comment Jean-Paul Gaultier ou John Galliano (pour Dior) l’interprètent dans leurs collections automnes-hivers 2008-2009.
12/05/23
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luma-az · 9 months
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L'aquarium
Défi d’écriture 30 jours pour écrire, 3 août 
Thème : Bleu lagon/le cheval doré
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Les humains s’agglutinent de l’autre coté de la vitre. Les reflets bleus de la lumière traversant l’eau dansent sur leurs visages. Ils sont presque tous silencieux, ou discrets – les voix se réverbèrent dans cette grande salle comme dans une cathédrale, et ceux qui parlent chuchotent, pour ne pas briser la magie du moment. Ils sont là pour voir, et ils n’en perdent pas une miette.
Il faut dire que le spectacle est à la hauteur.
La vie sous-marine d’un récif de corail se déroule sous leurs yeux émerveillés, dans un lent et superbe ballet mille fois rejoué. Devant un mur bleu lagon qui apporte ses teintes à toute la pièce, toutes les créatures se mettent en scène avec une gracieuse indifférence envers leurs admirateurs, occupés à fouiller, nager, explorer les coins et les recoins de ce minuscule bout de mer qui est devenu leur maison. Beaucoup n’en ont jamais connu d’autre. Ils ignorent ce qui se passe de l’autre coté de la paroi de verre, chez ces créatures qu’ils peuvent encercler, mais jamais toucher. Ça ne les concerne pas vraiment.
Sauf un petit hippocampe jaune, qui vient de tomber nez à nez avec un petit cheval doré. Jamais, de mémoire d’hippocampe, il n’avait vu de congénère aussi intriguant, aussi attirant. Il se colle contre la vitre. Pour la première fois de sa courte vie, il voudrait tellement passer de l’autre coté…
Le cheval est dans la main d’un enfant qui regarde, émerveillé, l’hippocampe suivre le moindre de ses gestes. Et la petite tête dorée semble réagir à la cour effrénée que lui fait l’hippocampe, bougeant d’avant en arrière, en haut et en bas… Le cheval des mers redouble d’efforts, ses congénères remarquent le manège et se mêlent à la danse, et pendant quelques instants hors du temps, un petit humain mène de la main le ballet sous-marin.
Les adultes remarquent. Des vidéos sont filmées. Des flash crépitent. Les hippocampes renoncent. Le moment est passé.
N’en reste plus qu’un jouet, dans la main d’un enfant qu’on emmène dans la salle suivante, un petit cheval doré et ses incroyables pouvoirs.
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equipe · 1 year
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Notes de mise à jour
🌟 Nouveautés
Sur le Web, les Coches arc-en-ciel sont à présent visibles dans l'en-tête des pages de blogs, en complément de leur présence dans les billets eux-mêmes.
Sur le Web, la mention "0 note" est dorénavant affichée dans le bas d'un billet ne comportant aucune réaction. Ce libellé cliquable était auparavant masqué dans cette configuration.
Lors de l'utilisation de l'option de partage "Copier le lien", les adresses at.tumblr.com ne sont désormais plus utilisées pour créer des liens au format court.
Sur le Web mobile, se rendre sur l'URL d'un billet en particulier montre maintenant le contenu de ce dernier tout en masquant l'en-tête du blog dans la partie haute.
En réponse à une requête formulée ici, nous avons ajouté le lien vers l'image de l'avatar dans les éléments du format NPF fournis par notre API. Cette fonctionnalité est particulièrement utile pour les personnes qui souhaitent utiliser NPF / JSON dans leurs thèmes de blog.
Certains utilisateurs expérimentent en ce moment des libellés exempts d'emojis dans les onglets du tableau de bord.
🛠️ Correctifs
Sur le Web mobile, le contour bleu qui apparaissait brièvement à l'ouverture d'une image dans un billet n'est à présent plus visible.
Sur le Web mobile toujours, le bouton de fermeture d'une image affichée en mode lightbox est à présent bien proposé.
Sur le Web mobile toujours et encore, appuyer sur "Partager" dans le pop-up de célébration surgissant lors de la publication d'un billet pouvait afficher la fenêtre de partage en dessous du pop-up et la rendait ainsi inutilisable.
Le nouvel éditeur de billets sur le Web comptait les balises HTML lors du calcul de la taille d'une citation. Le nombre affiché à présent reflète davantage la réalité.
Sur le Web, enregistrer la modification d'un billet depuis le tableau de bord ne provoque plus le rechargement de la page.
Dans le formulaire destiné au Support, il est à présent nécessaire de compléter le test reCAPTCHA pour que le bouton "Suivant" soit activé.
Correction d'un bug dans la fonction Recherche qui pouvait ne donner aucun résultat lorsque le chiffre "0" était utilisé dans une requête.
Correction d'un problème sur le Web qui pouvait désolidariser le média rattaché normalement sur le côté lors du clic sur l'espace vierge du bord droit d'une page.
Correction sur le Web d'une anomalie connexe : un média rattaché sur le côté d'une page de blog pouvait chevaucher la barre de défilement de ce dernier.
Correction sur le Web d'un problème qui pouvait faire disparaître le paramètre d'affichage des coches lorsqu'il était désactivé.
Lors de la consultation d'un onglet spécifique sur le Web, ce dernier est maintenant centré dans la barre d'onglets plutôt que de se retrouver potentiellement masqué dans la liste déroulante.
Correction d'une anomalie qui avait provoqué le retour des coches bleues en lieu et places de coches arc-en-ciel.
Correction d'un bug qui rendait invisibles tous les nouveaux commentaires ajoutés à des billets.
🚧 En cours
Un bug pouvait se produire dans le fil Abonnements de l'application iOS et provoquer le passage automatique d'un lot de billets à un autre lors de la navigation, ce qui en perturbait la fluidité. Le bug est à présent corrigé et la mise à jour devrait être disponible très prochainement.
🌱 Prochainement
L'application Android permettra bientôt de glisser/déplacer les tags afin de les réorganiser dans un billet.
Nos équipes travaillent à l'ajout de fonctions permettant de faire pivoter ou de rogner les images dans l'éditeur d'images de l'application !
Nos équipes sont informées d'un problème dans l'application Android qui provoque un chargement infini de l'onglet "Pour vous". Fermer et relancer l'application permet de contourner ce problème, mais un correctif en bonne et due forme est en cours.
Nous avons également remarqué que l'option permettant d'indiquer qui peut activer Blaze sur vos billets est visible dans l'application iOS, sans pour autant être encore opérationnelle. Cette fonctionnalité est en cours de finalisation, nous vous en dirons plus prochainement !
👻🧀🍪🐴
Vous rencontrez un problème ? Écrivez-nous (en anglais) et nous reviendrons vers vous aussi vite que possible !
Vous souhaitez nous faire part de vos commentaires ? Rendez-nous visite sur le blog Work in Progress et participez aux discussions de la Communauté !
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arypurple · 10 months
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Shuu Sakamaki
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Nom: Sakamaki.
Prénom: Shuu.
Parents: Karlheinz et Beatrix.
Âge: 19 ans (physiquement)
Race: Vampire.
Taille: 1m80
Date de naissance: 18 octobre.
Signe astrologique: Balance.
Nourriture favorite: Steak saignant.
Hobbies(s): Écouter de la musique et jouer du violon.
Physique: Shuu est un jeune homme aux cheveux blonds légèrement bouclés, et aux yeux bleu océan dont il a hérité de sa mère. Il a des clous noirs aux deux oreilles. Shuu est toujours vu avec son mp3 attaché à un fil qui est enroulé autour de son cou et avec les écouteurs toujours aux oreilles.
Caractère: Shuu est un vrai dormeur et est vu en général en train de dormir dans le salon ou dans la salle de musique de l'école. Il sèche souvent les cours et a été retenu une fois en tant que senior du lycée. Selon d'autres étudiants, il est le propriétaire de la salle de musique. Apathique et paresseux, Shuu n'aime rien d'autre que la musique. Il écoute toujours de la musique, même dans son bain, aimant la musique classique allant du violon au piano. Il manque de motivation et est assez paresseux pour ne presque rien faire, s'ennuyant de la vie à cause de tous les événements de son enfance traumatisante. Bien que Shuu soit le fils aîné, il ne prend pas la responsabilité de s'occuper de ses cinq frères ou de la maison, poussant principalement le travail à Reiji. Shuu est également un peu pervers. En raison de son passé avec Edgar, il est pyrophobe.
Histoire: Shuu se sent étouffé par l'attention, les restrictions et les responsabilités qui lui ont été imposées, le conduisant à fuir sa maison. Il a ensuite rencontré Edgar, un garçon humain d'un village éloigné dans le monde des humains. Shuu l'atteignit à travers les passages souterrains qui reliaient les mondes démon et humain. Ils sont vite devenus les meilleurs amis. Parce que Shuu a pris l'habitude de s'enfuir pour jouer avec Edgar, Reiji a détruit le village dans un incendie dans une tentative malavisée d'impressionner et d'aider sa mère qui souffrait à chaque fugue de la part de son fils, et d'enlever le bonheur de Shuu par jalousie. Voulant sauver ses parents malgré les protestations de Shuu, Edgar alla dans le feu et "mourut". En raison de la "mort" d'Edgar, Shuu s'est blâmé et a développé un traumatisme grave de l'incident. Avec les propres caprices de Reiji que Shuu était inutile et ne pouvait rien faire de lui-même, mais surtout à cause de la pression de Beatrix, Shuu se retira et perdit tout intérêt à faire quoi que ce soit, sauf si Reiji le provoquait. Comme punition d'avoir échoué à son examen et devoir répéter une année scolaire, Karlheinz l'a envoyé en exil dans le pôle Nord. Il devait faire attention à ne pas tomber dans l'océan et devait combattre les ours polaires. Il a même été griffé quand il est revenu à la maison.
Bonus:
Il redouble la troisième année de lycée.
Il est gaucher.
Il déteste la nourriture trop sucrée.
Sa taille de pied est de 27,5cm.
Shuu a peur du feu depuis l'enfance, car il a supposé que son meilleur ami Edgar soit mort dans un incendie.
Shuu aime la musique classique.
Il joue le violon et le piano.
Il avait un chien.
Il déteste les vers.
Son père lui a donné un violon, mais Shuu l'a perdu et on soupçonne que Reiji l'ait cassé. Ensuite, dans Dark Fate, il a été révélé que Cordelia a cassé ce violon avec l'aide de Richter.
Il est révélé dans Dark Fate de Yuma Mukami que le vrai nom de Shuu est Ririe.
Shuu a déjà travaillé comme caissier.
Une fois il a dormi sur Shin sous sa forme de loup.
Il a déjà proposé à Kou de devenir son frère cadet, bien que ce dernier ait rejeté cette offre.
Quand ils étaient enfants. Laito a mangé tous les bonbons dans le réfrigérateur, mais caché les emballages de bonbons dans les poches de pantalon de Shuu donc Reiji a fini par gronder Shuu au lieu de Laito... Shuu dit qu'il est toujours en colère contre Laito à ce sujet.
Son endroit préféré où sucer le sang est la poitrine.
Chanson thème: 🎵
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histocarte · 1 year
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Les rives de la Baltique (cyanotype)
Le thème du 18e jour du 30DayMapChallenge est bleu. J’ai eu l’idée de m’inspirer des cyanotypes, qui signifie littéralement impresssion bleue. Ce procédé particulier permet de produire des images monochromes en bleu. Il a été notamment très utilisé pour les « bleus » d’architecte. Ici, l’idée est de s’inspirer des cartes du tournant des XIXe et XXe siècles, dont certaines étaient imprimées…
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laurartcreations · 3 months
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La combinaison du bleu et du blanc en décoration
Chaque combinaison de couleurs permet de créer une atmosphère unique dans une pièce.
En combinant des nuances de bleus au blanc, cela apporte une touche de fraîcheur dans une pièce tout en permettant d'agrandir visuellement l'espace. Selon la philosophie Feng Shui, le bleu est une couleur yin qui symbolise la sérénité et la relaxation. Le blanc quant à lui, en tant que couleur yang, incarne la pureté et l'harmonie. En alliant ces deux tons, cela permet une complémentarité qui aère l'espace tout en procurant un sentiment de tranquillité et d'apaisement.
Notons qu'en associant le bleu au blanc, nous pouvons élaborer diverses ambiances et différents styles selon les éléments incorporés à la décoration. En effet, la combinaison de ces deux couleurs peut convenir pour créer des pièces au style moderne, naturel, à l'esprit bord de mer ou à la décoration minimaliste.
Style naturel :
Si vous souhaitez créer une ambiance naturelle en associant le bleu au blanc, optez pour un bleu naturel (ex. : bleu canard, bleu minéral, bleu paon, bleu ciel, ...). Vous pouvez peindre un pan de mur de façon unie ou combiner deux tons de bleu avec du blanc (libre à vous de choisir la forme, qu'elle soit circulaire, abstraite, droite, ...). Accompagnez ce revêtement mural avec des meubles aux tons beiges et en matière naturelle (bois, osier, ...). De plus, vous pouvez parfaire cette ambiance en ajoutant des plantes ainsi que des éléments de décoration en osier, en rotin ou en jonc par exemple, tels que des paniers, un tapis, des décorations murales, ...
Style bord de mer :
Pour créer un esprit bord de mer dans une pièce, la combinaison du bleu et du blanc est parfaite. Optez pour un bleu marine ou un bleu Santorin qui, associé au blanc, rafraîchira la pièce. En ce qui concerne le mobilier, le bois est inévitable pour renforcer l'esprit bord de mer que vous souhaitez donner à votre pièce. Si vous voulez être à 100% dans le thème, le bois flotté est parfait. Sinon, le bois vieillit ou le bois brut peuvent également convenir à cette atmosphère. En ce qui concerne la décoration, laissez libre cours à votre imagination. Pour rester à fond dans le thème, vous pouvez optez pour des éléments de décoration en corde, des coquillages, des bibelots rappelant l'océan (ancres, poissons, bouteille à la mer, bouée de sauvetage, bateaux, ...).
Style moderne :
Pour décorer une pièce moderne, vous pouvez peindre un pan de mur en bleu nuit ou en bleu roi et laisser les autres murs en blanc. Optez pour des meubles assortis combinant ces deux tons, et ajoutez des éléments de décoration graphiques, sobres et homogènes selon vos goûts et le cachet que vous désirez apporter à votre pièce. Si vous souhaitez atténuer le contraste entre le bleu et le blanc, le gris clair est une bonne alternative. Notez que le jaune s'accorde parfaitement avec les nuances de bleus sombres en donnant un coup de peps à la pièce.
Style minimaliste :
Basé sur la continuité des lignes et l'homogénéité des couleurs, le blanc et le beige sont les couleurs phares de la tendance minimaliste, mais ce style peut parfaitement être mis en lumière en combinant du bleu au blanc. Pour se faire, optez pour une nuance de bleu sobre (ex. : bleu nuit, bleu guède, bleu gris, ...), évitez les tons bleus plus "criards". Restez dans une concordance des tons pour homogénéiser la pièce. Si vous souhaitez que le blanc soit la couleur dominante, vous pouvez optez pour quelques éléments de décoration bleus épurés (ex. : lampe graphique, tableaux minimalistes, vase en céramique, ...). Le plus de l'ambiance minimaliste est de mettre en avant l'espace, en offrant une pièce aérée et épurée.
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carnet-du-capitaine · 6 months
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Les étoiles de mer se déhanchaient sur le dance-floor. 
Amélia ne savait pas ce qui l’énervait le plus : qu’elle trouve le concept d’une soirée déguisée autour de la faune aquatique ridicule, ou bien qu’elle n’ait pas pu trouver une idée de costume à temps. Résultat, elle faisait tâche. Gina, la reine du lycée, était éclatante dans sa robe bleue nuit aux paillettes scintillantes. Ses manches se transformaient en vaguelettes de tissus avec des dégradés de couleurs oscillant du bleu turquoise au doré. Jamais Amélia n’aurait pu penser qu’une méduse soit aussi sexy. Elle se mordit la lèvre. C’était la fatigue, ça ne pouvait être que ça. Gina l’avait toujours exaspérée. Mademoiselle la star était toujours là, à se mettre en avant, à rire de son rire cristallin en rejetant la tête en arrière, faisant voler ses boucles blondes. Elle était énervante, toujours trop, toujours là. Amélia ne pouvait passer une seconde de sa vie paisible de lycéenne sans que Gina ne vienne l’éblouir dans sa vision périphérique. Et cette année, elles avaient le malheur d’être dans la même classe de première. Ça lui tapait sur le système, elle ne pouvait pas lui échapper. Et ce soir, c’était le soir de trop. 
Amélia avança jusqu’à la première table du buffet pour essayer de se changer les idées. Des cookies en étoile, des muffins avec des coquillages en sucre. Rien que du sucré, évidemment. Avec un thème autour de la mer, personne n’avait pensé à mettre à disposition un peu de salé ? Elle soupira, vaincue et se servit un verre de jus de raisin avant de se mettre en route vers le fond de la salle, à l’abri des regards plein de jugement de ses camarades. Alors qu’elle se demandait quelle mouche l’avait piquée de venir à cette fête et avant d’avoir pu regretter sa décision, elle percuta un danseur habillé en homard qui, visiblement, ne regardait pas où il mettait les pieds. 
L’intégralité du contenu de son verre venait d’être dispersé sur le haut de sa petite robe blanche. Sa seule robe potable, qui avait déjà de la peine à la convaincre. Ruinée. Le homard, très embêté, n’eut même pas le temps de balbutier des excuses qu’elle s’élançait hors de la salle de sport reconvertie en dance-floor. Amélia couru dans les vestiaires des filles et se rua dans les toilettes, ne prenant même pas la peine de fermer le verrou de son cabinet. 
Elle s’écroula par terre et se lâcha enfin.
Sa soirée était foutue, ruinée, pourrie. Elle était misérable, immonde. Elle n’avait même pas pu trouver quoi que ce soit qui lui allait et qui était dans ce stupide thème marin. Elle n’avait pas la classe de Gina. Elle n’était rien. Elle était juste une pauvre fille pathétique qui n’arrivait même pas à contenir ses larmes et maintenant elle allait être défigurée par les pleurs et la morve. Merde.
Amélia ne savait pas depuis combien de temps elle s’était abandonnée à ses sanglots, mais elle commençait à avoir mal à la tête. Elle s’arrêta pour reprendre son souffle et déglutir quand un timide Toc Toc se fit entendre à la porte des toilettes où elle s’était réfugiée.
“Amélia ? C’est toi ? Je t’ai vue partir de la salle et je te cherchais… Est ce que tout va bien ?” Gina, c’était Gina. Si Amélia avait pensé que la soirée ne pouvait pas être pire, elle s’était trompée. Qu’est ce qu’elle venait faire là ? La jeune femme avait toujours fait attention à ne jamais engager la conversation avec celle qu’elle redoutait. Pourquoi elle, pourquoi maintenant ? “L…laisse moi tranquille” hésita–t-elle en reniflant. “Non.” Amélia n’eut même pas le temps de répondre que Gina avait franchi la porte des WC et s’était agenouillée près d’elle. Beaucoup trop près. Amélia recula sa tête et baissa le regard, gênée. 
“Si tu voulais être seule, il fallait fermer la porte, ou pleurer moins fort. Maintenant, qu’est ce qu’il se passe ? Tu es blessée, le garçon qui t’a percutée t’as dit quelque chose ? Tu veux que j’aille lui faire un croche patte ?” Amélia resta abasourdie. Elle s’était toujours imaginé que Gina n’attendait qu’une faute, un faux pas, pour se payer sa tête, l’humilier. C’était ce genre de fille… enfin du moins, Amélia le croyait. Elle ne sut pas quoi répondre et se contenta de secouer la tête. Gina souffla, rassurée et arracha plusieurs feuilles de papier toilette pour essuyer le visage d’Amélia. Cette dernière, rougissant, lui prit doucement des mains. “Je… je peux le faire moi même, t’embête pas”. Gina la regardait sans rien dire, un petit sourire gêné aux lèvres. Amélia tenta de se moucher discrètement pour dégager son nez mais c’était peine perdue. En entendant le bruit digne d’un éléphant, Gina laissa échapper un petit rire mélodieux. “C…C’est bon, te moque pas” lâcha Amélia, dépitée, mais Gina l’arrêta “Je ne me moque pas ! Tu devrais m’entendre quand je me mouche, c’est bien pire !”. Le nez rouge et les yeux humides, Amélia ne savait plus où se mettre, embêtée de ses réactions et de sa propre personne. 
“Déso…” commença-t-elle avant de s’interrompre. Gina venait de prendre ses mains dans les siennes. Elle la regarda droit dans les yeux, et lui demanda avec douceur : “Qu’est ce qu’il se passe Amélia, dis moi tout...”.
Elle connaissait son nom. Amélia eut l’impression que son cœur s’était trompé dans son rythme. Elle était déjà rouge d’avoir pleuré, mais là elle devait battre des records de couleur. En tremblant, elle éloigna les mains de sa poitrine pour révéler à Gina l’ampleur des dégâts du jus de raisin sur le haut de sa robe. “Oh” lacha Gina “Quel dommage, elle t’allait vraiment bien.”Qu’est ce qu’elle était censée répondre à ça ?
- “Non…non, elle n’était même pas dans le thème de toute manière, j’ai cherché les embrouilles…
- Comment ça ? On s’en fiche du thème ! Tu t’habilles comme tu veux ! C’était si important que ça pour toi ?
- Je voulais pas faire tâche...”
Amélia s’arrêta. Gina baissa les yeux vers la grande tâche de jus de raisin sur son torse, puis releva la tête, contenant à peine un sourire malicieux. “Et bien, c’est raté on dirait.” Les deux jeunes filles éclatèrent de rire en même temps. Gina n’avait pas lâché ses mains. Sa peau était douce et réconfortante. “Tu ne vas pas rester éternellement ici, à hanter les toilettes, non ?” lui demanda-t-elle, pensive. “Si tu regrettes de ne pas être rentrée dans le thème alors… j’ai une idée !” Gina retira ses mains de celles d’Amélia et lui effleura le visage pour ramener une mèche de cheveux sauvage derrière ses oreilles. La jeune femme se releva d’un bond et épousseta sa magnifique robe bleue, puis tendit la main à Amélia pour l’aider à se relever, avant de la tirer hors des toilettes vers le miroir commun du vestiaire. 
“Reste là et recoiffe toi un peu, je reviens tout de suite !” Lui annonça-t-elle d’une voix chantante en sortant en courant. 
Amélia restait seule dans le vestiaire. Sans la présence de Gina, tout lui semblait vide, silencieux. Son cœur battait la chamade dans sa poitrine et elle avait chaud aux joues. Mais plus à cause des pleurs. 
Alors qu’elle tentait de retrouver son flegme habituel, elle entendit Gina revenir en courant dans les vestiaires. La reine de la promo avait ramené son sac, qu’elle lança sur l’évier sans perdre une seconde. La jeune femme s’affaira en sortant une brosse à cheveux, un kit de maquillage et plusieurs écharpes de tissus chatoyant, aux reflets dorés. 
-“Mais c’est… on dirait le tissu de tes manches.
- C’est le même genre ! J’en avais fait trop ! J’allais pas accrocher tout ça à mes manches alors je ne savais pas quoi en faire, je l’ai ramené avec moi ! Je me suis dit que ça pourrait servir et … ça va servir, allez viens par là !”
Entraînée par l'enthousiasme de Gina, Amélia la laissa faire et la regarda accrocher avec des épingles à nourrice les bras de méduse brillants aux manches de sa robe. 
-”Il faut encore masquer les tâches… hmm. Ah ! Je sais, attends deux secondes !”
Gina s’écarta et souleva sa robe. Amélia détourna le regard, gênée, tout en se demandant ce qu’elle faisait. 
-”J’ai un jupon jaune d’or, avec des paillettes ! Mais il ne sert à rien, il est caché sous la robe et les musiques ne sont pas assez… rythmées pour que je saute partout ! Il est un peu bouffant… alors si je le coupe ici… et que je l’attache là…
- N…n’abime pas tes vêtements pour moi !
- Ah, ne t’en fais pas, j’adore retoucher et bidouiller les fringues ! Je change toujours ce que je couds selon mes envies. Et j’aime le challenge !
- Je ne savais pas que tu cousais des vêtements…
- Oui, c’est une de mes passions, mais je n’ose pas forcément porter mes créations au lycée, elles sont parfois un peu fantaisistes !
- Tu as fait ta robe toi-même ?
- Hm hm !
- Je la trouve magnifique…” Souffla Amélia, en admiration devant l'œuvre et sa créatrice, pendant que Gina était entièrement concentrée sur la reconstruction de son jupon. 
“Et… voilà ! Enfile ça par-dessus ta robe ! Et je l’attache en dessous des bras… parfait !”
Amélia était incrédule, en deux temps trois mouvements, Gina avait créé un haut de secours qui masquait le haut de sa robe blanche, et ajouté des pans de tissus pour l’habiller et lui donner du volume. Le tout était adorné de petites étoiles de mer en pins décoratifs, qui venaient habiller et soutenir sa tenue.
Elle aussi était devenue une méduse, tout en jaune d’or et paillettes.
Après avoir apposé la touche finale sur le visage d’Amélia avec du maquillage brillant doré et bleuté, Gina jubila :  
-“On est accordées ! C’est génial ! Allez viens ! Avec un style pareil, tu as intérêt à venir danser avec moi !
- Je… je.. merci beaucoup, je ne sais pas comment te repayer ça je…
- Non, nonononon ! Tu ne me dois rien, c’était un plaisir de te rendre service et puis… ça fait longtemps que j’ai envie de te parler et de faire ta connaissance alors… C’est le homard que je dois remercier !
- C’est vrai ? Je suis désolée je ne pensais pas que…tu aurais envie de me connaître.” rougit Amélia.
-”Ah bon ? Pourquoi donc ! Tu avais vraiment l’air cool, je n’avais juste jamais trouvé la bonne occasion de t’aborder.
- Je n’ai pas été la plus accessible alors…désolée.
- Stop ! Arrête de t’excuser ! Tout le plaisir est pour moi ! Et puis… si tu veux vraiment me repayer… j’ai une idée ! Si tu aimes tant que ça mes créations vestimentaires… tu pourrais m’aider, j’ai justement besoin d’un modèle et …. tu… tu es une super source d’inspiration !” lui avoue Gina, en la regardant droit dans les yeux, un peu gênée. 
-”C’est vrai ?” Amélia avait l’impression d’être légère comme une plume. Elle n’en revenait pas. Ce soir, toutes ses impressions sur Gina avaient éclaté en morceau, dispersées par le caractère enjoué et le magnifique sourire de la jeune fille. 
-”Oui ! Allez viens danser, je cherche une méduse partenaire de danse, et vous êtes la plus jolie méduse de ces eaux !” Plaisanta la reine du lycée.
Elle attrapa sa main et l'entraîna dans la salle de danse, à son contact doux et chaud, Amélia espéra qu’elle ne la lâcherait plus jamais. 
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raimeiha · 10 months
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Muramatsu Yua
22 ans || 13 février Mesure 1 mètre 60
Samouraï
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En dépit de son sexe et des discriminations possibles, Yua est une samouraï qui vit à la même période que le Shinsengumi. Nomade, elle passe son temps à voyager et ne reste que très peu de temps au même endroit, à moins que les conditions météorologiques ou qu'un travail soudain ne l'y oblige.
Dès sa plus tendre enfance, la demoiselle a démontré un intérêt pour les armes blanches, plutôt que pour les tâches ménagères et les métiers supposés seoir à la gente féminine de l'époque. Rejetée par ses parents qui ne voulaient pas d'une enfant "ratée" car elle avait déjà établi qu'elle ne deviendrait jamais mère, elle quitta son foyer familial très tôt et dut se débrouiller. Heureusement pour elle, elle fut recueillie par un maître de dojo qui accepta de tout lui apprendre.
Yua est très réservée et taciturne. Elle n'est pas très sociable et préfère faire route seule. Elle est aussi très polie et respectueuse, même avec ses adversaires. Elle a un sens de la justice propre à elle et est ouverte à toute proposition pour rejoindre une organisation, surtout si cela peut lui permettre d'atteindre son but.
La jeune femme a de longs cheveux ébènes qu'elle a l'habitude d'attacher en queue-de-cheval haute, avec une frange séparé en deux qui s'arrête en-dessous des lobes de ses oreilles. Ses yeux sont couleur noisette. Elle mesure un mètre soixante. Elle a pour habitude de revêtir un kimono bleu nuit adapté avec des tabis et un grand chapeau de paille qui couvre le haut de son visage. Elle porte aussi deux boucles d'oreilles, cadeaux de son père adoptif.
En raison de son statut de samouraï, elle a toujours deux katanas accrochés à sa hanche. Son maître et père adoptif lui a déjà raconté les prouesses de Tomoe Gozen, faisant de cette femme mythique son modèle. Elle est d'ailleurs à la recherche d'une lance pour parfaire son style de combat avec cette arme. De temps en temps, elle opte pour le combat à double katanas.
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• Comme explicité dans sa présentation, Yua ne peut être jouée qu'à l'époque du Shinsengumi, soit dans le Japon des années 1860. • Les RP avec elle présenteront toujours de la violence et aborderont aussi le thème de la guerre. • Je ne suis pas historienne, mais je tente de rester fidèle à l'histoire de cette période en faisant quelques recherches pour faire intervenir des événements importants. • De petites adaptations peuvent être apportées après discussion.
• Recherches :
- Un membre d’une organisation reconnue par le shogun (Shinsengumi ou autre) → Une première rencontre lors d'une course poursuite. Yua est une rônin qu'il faut capturer à tout prix. Une impasse qui la stoppe dans sa fuite, un soupir, des bras levés, une capitulation. Une capture de la demoiselle recherchée, un premier dialogue tenté sur la route, un second lors de l'interrogatoire qui scellerait son sort. → Une arrivée dans les quartiers généraux de l'organisation très remarquée. Une femme qui se prosterne devant les supérieurs et demande à être acceptée, à être reconnue. Un souhait de se présenter, plus tard, comme une membre de ladite organisation face à ses détracteurs. Un échange de regards, un soupir. Une décision qui retombe sur vos épaules et celles de vos collègues présents.
- un partenaire de route qui pourra la suivre dans ses décisions → Une première rencontre surprenante et marquant les esprits. Une mort échappée de peu par le sauvetage de Yua ou une aide apportée lors d'un combat contre des rônins. Un voyage entamé à deux qui fait naître une complicité. → Une première rencontre très gênante dans une auberge. Une erreur du gérant qui mène à se retrouver dans la chambre de Yua alors qu'elle est en train de se changer pour dormir. Une colère et une honte incontrôlées, une menace, un fou rire. C'est une belle relation qui promet de naître.
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claudehenrion · 6 months
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Alleluya ! Je m'étais trompé...
Il y a 48 heures, j'avais ''piqué'' une belle colère contre le Figaro, pourtant un des seuls journaux encore lisibles –avec Valeurs Actuelles--, même si j'en consulte beaucoup d'autres chaque jour, par honnêteté de ''blogueur'' (NB : ... et un certain courage, parfois, lorsque j'aborde ''Libé'' ou ''l'Obs'' : le parti-pris mensonger suinte de chaque mot !). Or cette même honnêteté me force à reconnaître que, dès le lendemain de cette ''rabia'', le même quotidien était rempli de nouvelles qui, si elles n'avaient pas été si mauvaises, auraient été bonnes... comme si son rédacteur-en-chef avait lu mon blog (ce qu'à Dieu ne plaise ! On m'a assez traité de ''complotiste'' pour que je rêve d'anonymat !).
Parcourons-le ensemble, si vous le voulez bien. Dès la première page... '' Macron pris dans ses contradictions''... '''Macron sans boussole'''... et ''La construction des logements neuf s'enfonce dans la crise'' (on lit plus loin : à cause des mesures totalement imbéciles prises au nom d'une ''transition climatique'' inventée de toutes pièces pour ''justifier (?)'' le vol du peu que l'Etat-Léviathan nous laisse encore...)... Ces thèmes font partie intégrante de nos explications quotidiennes. C'est rassurant sur la santé morale des ''plumes'' de ce grand quotidien du matin, mais c'est épouvantable pour la France. Cette lucidité explique sans doute pourquoi que son tirage caracole en tête de la Presse française.
Mais il y a mieux... c'est-à-dire bien pire, pour la santé et le futur de notre pays : c'est dès la page 2 que commence le chapelet des doléances justifiées. ''Empêtré, Macron cherche toujours un cap'' –ce qui, après plus de 6 ans d'exercice du pouvoir suprême est rien moins qu'angoissant ! Est-ce pour ce piètre résultat que vous aviez voté (parce que moi, côté ''vote pour Macron'', personne ne peut m'accuser de la plus petite erreur de doctrine ou de pratique !) ? D'ailleurs, en page 3, on lit ''Quand l'ombre d'un doute plane sur l'action du Président''...ce qui laisse le lecteur libre de se demander s'il s'agit d'un certain doute... ou d'un doute certain !
Les pages 4 et 5 sont plus directement orientées ''Presse et communication'', mais pas moins inquiétantes pour autant. La dernière idée géniale des ''communicants'' (NB : Vous devriez en changer, M. le Président : ils sont franchement mauvais !),  ''Saint Denis... (n'est qu') un ''coup de comm', selon les français, à qui ''on ne la fait plus'' : ils ont été piégés (''avec un grand ''B'', aurait dit Coluche !) à chaque fois, et ils n'en peuvent plus ! On trouve aussi, là, et c'est infiniment plus grave : ''L'Elysée suscite la polémique en recevant l'humoriste controversé Yassine Bélatar''. Le mot ''humoriste'' est certainement très exagéré, mais  les mots ''polémique'' et ''controversé'', sont vraiment très timides . Enfin... subventions obligent, n'est-ce pas  !
Après deux pages consacrées à la description du monde extérieur (ce n'est pas plus joyeux, mais c'est ''hors sujet'', ici)... on retrouve nos petits : ''Nord Stram 2 : la piste ukrainienne se précise''... titre qui ressemble étrangement à ce que nous répétons depuis le 27 septembre 2022 : tout n'est pas aussi ''blanc-bleu'', dans le royaume de Zélensky, que ce que veulent nous faire avaler nos faux ''experts'' des JT des chaînes du Sévice public et de LFI... Mais après quelques pages sur la médecine et l'étranger, on retrouve nos soucis justifiés : la page 14 ouvre sur une divine surprise : la gauche française, la vraie, celle de ''sa'' belle époque à elle (en gros, 1932–1939, Front Populaire inclus) était farouchement opposée à toute immigration, Blum et Salengro tombant d'accord sur le fait que : ''pour rester fidèle à tous les principes humanitaires et (…) faire honneur aux traditions d'hospitalité (de la France), le gouvernement ne saurait tolérer que des étrangers abusent de l'asile qui leur est offert en intervenant dans des conflits politiques et sociaux''. Comme nous sommes tombés bas...
En page 15, un autre joli cadeau, la constatation de notre absence totale de politique moyen-orientale et les errements de notre pseudo-diplomatie (qui est ''et en même temps'') : ''Entre guerre et paix, le raisonnement à contre-temps de la France''. Je ne résiste pas à recopier Laure de Mondeville : ''En appelant à un cessez-le-feu alors que Tsahal est au milieu d'une opération militaire aux enjeux essentiels, la France reflète une tendance européenne à fuir le rapport de force et à enjamber le temps de la guerre comme s'il pouvait être enjambé''. Le talent et le style en plus, c'est exactement ce que nous répétons ici depuis le 9 octobre... La journaliste ajoute : ''La préservation des droits des civils palestiniens est légitime, mais ne saurait se substituer à la politique ni (aux nécessités) de la guerre''. (NB : Nous reparlerons très vite de ce terrible dilemme, apparemment sans solution).
Si vous n'avez pas perdu patience, ''encore cinq minutes, Monsieur le lecteur'', s'il vous plaît : la page 17 est à la fois la dernière, succulente... et divinatoire. Je recopie le gros titre :  ''Emmanuel Macron fait semblant d'organiser un référendum sur l'immigration''... dont l'abandon total (c'est-à-dire définitif et en même temps temporaire !) sera confirmée triomphalement, 48 heures plus tard, par LFI et les cocos, réunis pour le pire et le pire... et pour leurs méchantes élucubrations : non seulement nous n'avons pas la moindre politique sur l'immigration, sujet de toute première importance pour notre présent, notre futur et notre survie... mais les quelques initiatives désordonnées qui sortent de nos palais nationaux sont toutes mauvaises... quand elles ne sont pas ''encore pires que ça'' !
En résumé et en conclusion : (1)- je présente mes excuses à la Rédaction du Figaro : ils s'écartent parfois de la vérité la plus élémentaire, mais... ''leur fond n'est pas mauvais !''. Et (2)- on en revient toujours aux fondamentaux : pour la Gauche la plus irresponsable du monde (voilà une vérité que Guy Mollet avait ratée !), un référendum n'est bon que s'il est en ligne avec les ''petits livres rouges'' de la pensée clonée. Décidément, ce qui est de trop, en démocratie macronique (?), c'est, le peuple, qu'il est grand temps d'envisager de supprimer.... Et d'ailleurs, il en est de plus en plus question : il n'est pas impossible que ce refus injustifiable de référendum signe le début de sa fin, par submersion, déplacement, découragement, suppression, ou (grand) remplacement. Qui vivra, verra... En attendant, reconnaissons que rien, dans les nouvelles, jour après jour, n'a de quoi donner envie de danser...
H-Cl.
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Salut mon nom est Ébène Tén’èbres Démence Corbeau Voie et j’ai des longs cheveux noir ébène (c’est pour ça que j’ai ce nom) avec des mèches violettes et des points rouges qui me vont jusqu’au milieu du dos et des yeux bleu glace comme des larmes et beaucoup de gens me disent que je ressemble à Amy Lee (NA: si vous savez pas qui c’est cassez-vous d’ici!). Je ne suis pas de la famille de Gérard Voie mais j’aimerais bien parce qu’il est trop bien gaulé. Je suis une vampire mais mes dents sont droites et blanches. J’ai la peau blanche et pâle. Je suis aussi une sorcière, et je vais à une école de magie appelée Poudlard en Angleterre où je suis dans la septième année (j’ai dix-sept ans). Je suis gothique (au cas où vous n’auriez pas remarqué) et je porte surtout du noir. J’adore Thèmes Brûlants et j’y achète tous mes vêtements. Par exemple aujourd’hui je portais un corset noir avec de la dentelle assortie et une minijupe noire en cuir, des bas résille roses et des rangers noires. Je portais du rouge à lèvres noir, du fond de teint blanc, de l’eye-liner noir et du fard à paupière rouge. Je marchais à l’extérieur de Poudlard. Il neigeait et pleuvait donc il n’y avait pas de soleil, ce qui me rendait très heureuse. Beaucoup d’élèves normaux me fixaient. Je leur fis un doigt d’honneur.
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unbulletjournalbanal · 10 months
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Je vous présente la couverture du mois d’août sur le thème des coquillages. 🐚
J’ai décidé d’utiliser du bleu pour ce mois-ci parce que je me suis rendue compte que je n’en avais pas utilisé dans mon bullet journal. J’espère que ce thème vous plaît ! 😊
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luma-az · 9 months
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Le vortex
Défi d’écriture 30 jours pour écrire, 13 août 
Thème : tourbillons/la lumière sous la porte
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Le mage récite l’incantation, lentement, avec le soin extrême que sa profession réserve aux mots de pouvoir. Et ça marche. Un tourbillon commence à se former devant lui, d’un bleu lumineux qui semble tout sauf naturel, et qui s’agrandit à chaque mot – rapidement rejoint par un autre tourbillon, à l’intérieur, tournant en sens contraire, d’une lumière plus verte. Viennent ensuite deux tourbillons perpendiculaires aux deux premiers et de couleurs différentes, donnant une forme de sphère au sort, puis d’autres, de plus en plus, dans tous les sens, de toutes les couleurs, qui s’entourent et s’entremêlent sans jamais se couper la route. Le spectacle est à la fois à couper le souffle et à donner mal au coeur. Ça tangue fort, mais sans bouger.
Pendant que le paladin se détourne pour vomir son déjeuner – la barbare se moque de lui, évidemment – le mage termine son incantation. Reprennant sa voix normale, il dit d’un ton beaucoup trop joyeux :
« Parfait ! Il a l’air stable, on peut y aller !
— Attend, demande la barde qui le connaît bien. Comment ça, il y a « l’air » stable ? Il est stable ou il est pas stable ?
— Il est stable, ne t’en fais pas.
— Tu es sûr ? Comment tu peux voir ça ?
— Ecoute, c’est comme quand tu vois de la lumière sous la porte et que tu en déduis que de l’autre coté de la porte, la pièce est éclairée. Les tourbillons tourbillonnent impeccablement, donc il est forcément stable. Sinon ils se rentreraient dedans.
— Mais tu ne veux pas le tester d’abord ? On pourrait invoquer un petit animal et voir ce que ça donne.
— On n’a pas le temps ! Ce vortex ne va pas rester ouvert mille ans, et j’ai mis des plombes pour mettre la main sur cette formule ! Allez, viens !
La barde regarde rapidement le reste de l’équipe. Ils sont prêts, leur équipement à la main, et ne se posent pas plus de questions que ça.
— Bon, ok, ok…
Le mage lui fait un grand sourire de victoire, aussi elle ajoute :
— Mais tu passes en premier. »
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idril-la-wiccan · 1 year
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Mermay 2023 - 4ème semaine et trois derniers jours
Jour 22 - Zodiaque
Bon, avec un thème pareil, c'était un peu facile choisir le Verseau pour Mermay. Mais bon... J'ai un attachement particulier pour ce signe astrologique.
Jour 23 - Tradition
Et re-voici "Mahu", le poulpe dumbo du jour 21 ! Je l'avais vaguement évoqué, mais "Mahu" ne sera pas son nom, même si je l'avais prévu tel quel au départ. Je vais expliquer pourquoi.
Vous l'aurez remarqué, toutes les sirènes que j'ai faites en lien avec Out of the Abyss sont fortement inspirées des cultures polynésiennes, les plus évidentes étant Hawaïenne et Maori. Et "Mahu" est en soit un concept de la culture Hawaïenne : un troisième genre dont le nom se traduit littéralement par "Au millieu". Les Mahu avaient un rôle important dans la société Hawaïenne, ils enseignaient les traditions spirituelles et sociales, ce qui incluait entre autre l'enseignement du hula.
Et donc, pour que j'ai l'idée de le nommé "Mahu" pour commencer, vous vous doutez bien que c'est ce qu'ille est traditionnellement parlant. Mais je me suis dit que le nommer par ce qu'ille est reviendrait à nommer un chat, eh bien, "Chat". C'est un peu bête.
Bref, j'ai envie de lui donner un nouveau nom. Je garderai certainement un nom en deux syllabes histoire de garder les choses simple.
Hmm... Peut-être que je pourrai lui trouver un nom en lien avec les traditions, justement ?
Jour 24 - Zaddy
J'ai fait ce personnage sur le tas car j'étais pas inspirer par le thème. Mais je crois que je m'en suis bien sortit avec malgré tout.
(Au passage, Zaddy désignes les hommes, tout particulièrement ceux d'âge mure ou plus, qui sont attirant, charismatique, et ont un bon sens de la mode.)
Jour 25 - Nourriture
Qu'importe sa forme, Humphrey sera toujours un éternel glouton. (même si, heureusement, il n'a pas la même voracité que quand il était une vraie baleine.)
Jour 26 - Joyau
"Brillant... Pour moi... ?"
Jour 27 - Halle Bailey
Bon, je vais pas m'étendre sur le sujet des remakes Disney, tout le monde sais et tout le monde est globalement d'accord sur ce point.
Non, là, le sujet est Miss Bailey. Personne ne pourra le nier, sa voix est magnifique. Et quelque soit l'état du film, si elle a pris plaisir à jouer le rôle d'Ariel, alors je suis ravie pour elle. Je lui souhaite également une bonne continuation dans sa carrière.
Jour 28 - Matelot
D'accord, je triche peut-être un peu avec ce thème là, mais c'est une idée qui me tournait dans la tête depuis un long moment et j'ai enfin eu une excuse pour la plancher sur papier.
Je ne sais pas si je suis là seule à avoir eu cette idée, mais je n'ai vu personne imaginer le Capitaine Caviar se retrouvant avec une forme de triton car Perle Noire l'a maudit.
Pourtant, j'en ai vu des gens qui l'ont dessiné en triton, alors ça me surprend de ne pas avoir déjà vu l'idée rôder ailleurs...
Jour 29 - Barbie
J’adorais les films Barbie quand j'étais petite, surtout la série des Fairytopia. J'ai ici dessiné Elina, personnage principale de cette série de films, qui prends une forme de sirène pour une bonne partie du film Mermaidia.
Jour 30 - Bleu
Je l'ai mentionné lors du jour 21, mais je vais devoir le réitérer pour ce thème. Léviathan est un triton-baleine bleu.
C'est d'ailleurs pour cette même raison qu'il est le plus grand parmi tout ses congénères : les baleines bleu sont les plus grand mammifères connus au monde. Même Humphrey, un petit triton-baleine à bosse en comparaison, ne fait littéralement pas la taille.
Enfin, peut-être que sous sa forme d'origine, Humphrey aurait-pu surpasser Léviathan.
Jour 31 - Bonne nuit
Je n'aurais jamais deviné que j'avais besoin dans ma vie de voir Dino-sour être une figure paternelle pour un bébé cookie à moitié dinosaure.
Oui, la phrase précédente ne fait aucun sens hors contexte.
Je ne joue plus à Ovenbreak depuis... même avant ce qu'il c'est passé avec Yogurca (le moins on en parle, le mieux c'est), mais j'essaie tout de même de suivre les histoires sur YouTube. Et honnêtement, je trouve que Pond-Dino est la meilleur chose qui soit arrivé à la mise à jour "Rise of the Blue Dragon". Je comprends que son design gène certains (il est assez surcharger, il faut l'admettre), mais... Juste...
Bébé... <3
Bébé qui dort comme une loutre. <3
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*~ Troisième semaine ||
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Achetez-moi un petit Ko-fi ?
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audrey-cuny-22-23 · 1 year
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Audrey CUNY - Carte de TAROT
note d'intention :
Pour ma carte de tarot, j’ai décidé de redesigner la carte I, le magicien. J’ai voulu donné un côté chaleureux à mon dessin, d’où l’usage de couleurs chaude, la présence de coussin et une guirlande.
La magicienne tient une sphère contenant une partie de l’univers, à la base, j’avais voulu y mettre des constellations, mais je me suis dis que ça serait beaucoup trop chargé donc j’ai abandonné l’idée.
J’ai voulu créée un personnage en rapport avec les étoiles et l’espace, en ayant aussi un côté fantastique, d’où l’idée de la magicienne. Son rapport à l’espace est la boule qu’elle tient dans ses bras ainsi que les étoiles et le croissant de lune présent sur son chapeau. J’ai choisis l’espace comme thème parce que c’est un mélange de couleurs que j’aime énormément (bleu et violet).
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