Tumgik
#saute ma ville
homomenhommes · 2 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 127
Coup de fil du garage Mercedes d'Emma, je dois leur apporter le Z8.
Je leur laisse un matin et part avec le SLK qu'ils me prêtent trainer en ville. De retour quelques heures après, le jeune commercial me tend mes clefs. Je ne fais pas attention et sort sur le parking reprendre ma voiture. Comme je ne le trouve pas, je rentre à la concession pour demander où elle est. Le jeune mec me dit de regarder mes clefs. Je m'aperçois que se ne sont pas les miennes et lui en fait la remarque. Il me dit que c'est ma nouvelle voiture. Je sors avec lui et il m'amène à une SLS AMG gris mat toute neuve. La portière aile de mouette s'ouvre, il prend les papiers dans la boite à gants et me montre la carte grise à mon nom. Une lettre y est accolée. Il me laisse et je l'ouvre. Un mot d'Emma avec un proscriptum de son ami (celui de Kev) dans lequel ils me remercient de mes services et m'offrent ce véhicule, sachant le plaisir que j'ai des voitures d'exceptions. Dans l'emplacement prévu un I-phone de dernière génération. ;Avant de démarrer, je revois le commercial pour les explications minimum sur les spécificités de cette voiture. Une fois les infos fournies et avec les félicitations du jeune mec, je démarre. Quelle musique ! Je fais chauffer le moteur doucement avant de rouler. Direction la maison d'Emma. Au porte-clefs, le bip du portail a été remis. Dans sa cour je saute hors de la voiture et sous le nez de son chauffeur, je déboule dans le salon d'Emma et ne voyant qu'elle je la prends dans mes bras pour lui rouler le patin du siècle. Quand elle arrive à me repousser, je m'aperçois qu'elle n'était pas seule. Son ami et Kev étaient dans un des canapés. Calmé, je les salue et remercie les deux complices pour leurs cadeaux. Kev pas au courant m'interroge. Je lui dis d'aller à la fenêtre et là, il comprend.
Je les traite de fous pour la voiture et le téléphone. J'ai l'impression qu'Emma attend autre chose. Elle me demande si j'ai trouvé l'écrin. Quel écrin ?? Je file à la voiture et le trouve, dedans un pendentif en rubis. Quand je les rejoins, elle me dit que c'est pour changer avec le diamant de mon oreille. Moi qui comptait faire modifier les bijoux de feue ma mère pour cela, j'aurais un caillou différent pour chaque jour de la semaine ! Kev me regarde changer la pierre de mon oreille. Je tourne sur moi pour le faire admirer. Emma et le boss de Kev rient de ma spontanéité.
Ils se barrent et je peux enfin lui exprimer ma reconnaissance. Je la porte jusque dans sa chambre. D'un coup de pied je ferme la porte et la jette sur le lit avant de lui sauter dessus. Je suis bestial ! Arrachage du chemisier et de la jupe, idem pour la petite culotte. Nue, j'attaque à la langue ses seins jusqu'à ce que ses tétons soient raides. Puis je descends à sa chatte m'occuper de son clitoris. Elle est brûlante, faut dire que depuis trois semaines c'était ceinture. Elle me pardonne car elle sait pour mes parents. Du coup elle grimpe à toute vitesse et je lui arrache rapidement une première jouissance. Elle glisse sous moi et m'embouche le sexe. Trop chaude sa bouche ! Je ne peux m'empêcher de bouger le bassin pour la lui limer. Elle me chauffe trop. Je la remonte et me kpote pour m'enfoncer dans sa chatte. Nous soupirons de plaisir ensemble à la fin de ma pénétration. Je lui laboure le sexe un bon moment avant de passer à la porte arrière. Changement d'angle et je l'encule. Son anus s'ouvre sous ma poussée et j'envahi le vestibule arrière. C'est trop bon ça aussi. Un cul c'est quand même plus serré, plus nerveux qu'un vagin même bien musclé comme celui d'Emma. Nous baisons comme des malades. Elle chauffe, me chauffe et je finis par jouir. Comme j'avais des doigts dans sa chatte, je sens son vagin serrer et elle crie que c'est bon. Nous nous décollons et je dékpote avant de la prendre dans mes bras et m'endormir comme un rustre. Je me réveille. Elle est toujours dans mes bras et j'ai dormi 1/2 heure. Je lui présente mes excuses, ce n'est pas trop mon habitude d'être aussi mal élevé. Elle me dit que niveau émotion, j'avais mon compte en ce moment et me dit qu'elle me parlera d'un projet me concernant plus tard. Je la cuisine mais rien ! J'ai beau la chatouiller, l'exciter, la lécher partout, je n'arrive qu'à obtenir un nouvel orgasme mais rien d'autre. Ce coup ci j'accompagne sa reprise de contact avec la réalité. Je continue les caresses, tétant un sein tout en maintenant deux doigts dans son vagin. Du coup je relance la machine ! Et j'obtiens un nouvel orgasme dans la foulée.
Elle me chasse de sa maison. Retour en SLS. Quelle voiture, l'automatisme des vitesses est phénoménal et ultra rapide. Je prends un plaisir fou à la conduire. J'ai bien du mal à respecter les limitations de vitesse et prend l'autoroute uniquement pour pouvoir monter les 3 premières vitesses en quelques secondes. Il va falloir que je trouve un circuit pas trop loin pour pouvoir me faire plaisir, sinon de sera de fréquents voyage en Allemagne (il parait que coté sexe nos voisins sont assez hard, ce serait l'occasion de le vérifier !).
Quand je rentre Jimmy m'attendait. Il me dit que nous avons sommes en retard pour son rendez vous d'une bonne heure. Quand il voit ma nouvelle voiture il comprend. J'appelle le client et nous excuse en lui demandant s'il est encore libre maintenant, je ferai un geste commercial pour le retard.
Il accepte et Jimmy saute dans la voiture. 20mn plus tard il est à pied d'oeuvre. Il fait le job comme un pro. Pipage du boa qui sert de bite à ce mec, présentation d'un cul parfaitement préparé, plug en place. Après son arrachage (le plug), il s'assoit sur le client et prend sa bite entière du premier coup. C'est devenu sa spécialité et il est apprécié pour cela. Tout comme Ed est apprécié lui pour sa " fraîcheur " (vu qu'il se reprend en plusieurs fois pour le même résultat). Après que Jimmy ait " essoré " le client, et alors qu'il se douche, je propose un 1/2 tarif. Mon client souri et me dit que le service étant par ailleurs parfait, il passe l'éponge. A la fenêtre je lui montre la raison et lui dit que c'était sa livraison qui m'a retardé.
Il comprend alors tout à fait et ajoute un gros billet en me disant " pour l'entretien ". De nouveau je me confonds en remerciement et nous regagnons la maison. Marc est arrivé entre temps. Après avoir laissé Jimmy à l'appart, j'avance ma voiture au pied des marches d'entrée et klaxonne. Marc sort et m'aperçoit. Pas de réactions particulières. Il me demande si la journée s'est bien passée et m'engage à ranger ce bolide dans le garage. ;J'entre dans la maison. Il m'attend au salon apéro en main. Comme il ne me questionne pas, je ne peux m'empêcher de lui expliquer. Il écoute, me félicite et me dit que le diner sera prêt dans 5 mn.
Ce ne sera que dans notre lit que je retrouverais mon vrai Marc, dominateur, exigent, celui qui me fait kiffer plus que tous les autres réunis ensemble. Il bande, je descends le prendre en bouche. Il me bloque la tête et me défonce la gorge à moi de me débrouiller pour respirer quand je peux. Il jute une première fois maintenant sa queue au fond et j'avale miam quel dessert ! Comme il ne débande pas, je lui présente mon cul. Il crache dessus et le perfore de ses 22cm. En levrette, ses mains sur mes hanches pour maitriser mes sursauts, il m'encule grave. Des deux mains, j'écarte mes fesses pour en prendre un maximum. Il me traite de salope, de pute sans cesser pour autant de me limer l'oignon. Il me retourne pour que je lui fasse face. Sur le dos, je relève mes jambes sur ses épaules et il me saute écrasant mes couilles de ses abdos. Je ne dis rien, quand il est comme cela, faut pas en rajouter ! Je tends juste un bras pour amener sa tête contre la mienne et lui rouler un patin. Quelques minutes de roulage de pelle le calme et s'il continu à me labourer les entrailles c'est avec plus de délicatesse.
Finalement j'aimais autant quand il était plus brutal ! Je serre mon anus à le bloquer à mi pénétration. Il ne s'y attendait pas. Comme je ne le laissai pas recommencer ses va et vient, il finit par me taper dessus (pas trop violemment mais je sens bien ses jointures sous mes cotes). Ça l'a remis furieux et il m'encule de nouveau plus hard. Il sort brusquement de moi, se lève et m'ordonne de le suivre. Bien chef ! Il m'entraine jusqu'au donjon. Là il m'ordonne de m'assoir sur la selle à gode. Cette dernière ayant servi à Ric dernièrement, elle est encore équipé de notre plus gros gode, le 28 x 7 !! Graisse sur la rondelle et les pieds dans les étriers, je descends doucement dessus. Les trois quarts, Ok vu les passages répétés de la bite de Marc précédemment. Le reste est toujours plus délicat Marc derrière moi appui sur mes épaules et je m'assois toujours plus, jusqu'à sentir le cuir de la selle sur mes fesses. Il me demande si comme cela c'est meilleur ? Si je n'ai pas besoin de plus gros que lui pour jouir ?
Je n'ai pas le droit de bouger. Mon cul se fait aux 7cm de diamètre et je n'ai bientôt plus mal. Il me fait alors me relever et me dit de me mettre sur le tatami les épaules au sol et le cul relevé. Il attend un moment que mon anus se referme. Dans ma tête je cherche quelle va être l'étape suivante. Je suis encore à chercher que je me prends une fessée magistrale suivie d'une autre sur l'autre fesse. Je suis surpris nous n'avions jamais encore expérimenté ce genre de plan. Je serre les dents et encaisse. A la fin, quelques cris m'échappent quand même ! Je me rends compte que la nouvelle voiture et accessoires, lui reste en travers de la gorge ! Pourtant il sait bien qu'il est mon seul et unique mec !!
Je le laisse se défouler. Je sens quand même mes fesses rougir et me chauffer. Soudain il s'arrête. Je l'entends s'éloigner mais ne bouge pas sans ordre. Il revient vers moi, étale sur mes fesses de la graisse à gode ça soulage. Je n'ai pas le temps d'en profiter qu'il m'enfile un gode taille moyenne. Il rentre tout seul malgré que mon anus se soit refermé. Il me le cale, fausses couilles contre les miennes. D'après mon expérience ce doit être la bête de 24 x 5. Quand je vois ses pieds de chaque coté de moi, je sais ce qui m'attend, double sodo ! Il place son gland contre la fausse bite en plastique et pousse. De mon coté aussi je pousse. Son gland s'aplatit et entre. Je souffle car même avec le souvenir des 28x7, je dois me dilater plus encore. J'écarte mes fesses des deux mains pour faciliter la pénétration ce qui me vaut de me faire traiter de nouveau de salope, trou à bite et pute !
Il me jette un flacon de poppers. Je sniff comme si c'était de l'oxygène. Merci ! La tête me chauffe maintenant autant que mes fesses et je me dilate juste ce qu'il faut pour qu'il m'encule totalement. Il me ravage le cul, répétant que ce dernier lui appartient, qu'il en fait ce qu'il veut, qu'il va me mettre à l'abattage puisque je n'aspirais qu'à être une pute. Et me dit qu'il fera appel aux mâles nécessaires à ma condition de chienne !! Dans le brouillard du poppers, j'ai soudain peur de comprendre, chienne = chien. Il veut me faire saillir par des clebs ???? Question ;1 : ont-ils de grosses bites ? Question 2 : et les griffes ???
Je suis à la masse ! Il ne va pas le faire ! C'est juste qu'il est très en colère de mon comportement vénal...J'espère !
Il se vide en moi. Je ressens bien six fois son sperme juter hors de sa bite. Il décule et se couche à mes cotés. Je m'aplatis. J'expulse le gode et me couche sur son torse et lui fait un bisou dans le cou. Il serre les bras autour de moi je tourne mon visage vers lui et lui dis un " je t'aime " qui me vaut d'être encore plus serré contre lui. Il baisse les yeux et nous nous regardons fixement. Il me dit un " je t'aime aussi " (rarissime !!). Je me détends, rassuré sur mon sort, peut être échapperais-je aux clebs ! Je m'endors vaincu par la fatigue et le stress. Je me réveille seul avec juste une couverture de survie métallisée sur le corps. J'ouvre un oeil et j'aperçois une paire de chaussures. Je relève la tête et je vois Samir un plateau de petit déjeuner en main.
Je m'assois enroulé dans la couverture comme s'il ne m'avait jamais vu nu ! Il pose le plateau devant moi et me demande si cela va bien. Je m'étonne de sa question. Il me dit alors que hier soir ils ont entendu pas mal de bruits venant du donjon, au point que Jimmy était venu dormir entre eux deux. Je ne me rappelais pas avoir crié sous les coups de Marc. Il va falloir surtout que j'isole mieux leur appartement.
J'avale mon petit déj et passe sous la douche. Dans les grandes glaces, je vois mes fesses qui ont encore le souvenir des mains de Marc. Samir aussi les voit. Il m'accompagne et c'est lui qui me lave. Il est d'une délicatesse extrême. Je lui demande s'il a déjà subit ce genre de pratique. Réponse positive. Il me sèche avec autant d'attentions et appel Ammed pour qu'il me fasse un massage. Couché de nouveau sur le tatami, je me laisse faire entre leurs mains expertes. J'en ressors les muscles détendu, déstressé, prêt à attaque la journée. Je les remercie. Je dois travailler un peu, Olivier attend depuis déjà une semaine les plans définitifs du parc d'une villa qu'il fait construire !
JARDINIER
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les-portes-du-sud · 9 months
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Le corps
15.08.2023
La torche éclairait le battement des secondes sur l'horloge, le jour se pointe, mon saut du lit est sans enthousiasme, un peu cassé. Le corps physique reflète probablement la déception émotionnelle... Je suis allé à 2 entretiens. Et c'est un fiasco. Dans le premier, on s'est fortement foutu de moi. Dans mon CV, il est indiqué ce que je veux, le détail du salaire dans leur offre manquait, mais la réponse au téléphone, disait pas moins que le vôtre. C'est une entreprise assez connue et je rêvais déjà que la rémunération y soit encore plus élevée. Néanmoins , je suis allée à l'autre bout de la ville. Nous avons parlé pendant une demi-heure et ils n'ont toujours pas abordé la question financière. Quand j'ai posé la question vers la fin de la discussion, il s'est avéré que le salaire était deux fois inférieur à celui porté sur mon CV. Dans ce studio de tournage, j'entendis le réalisateur vociférant : - "oh, on a tellement de boulot, des volumes de scènes à préparer Et nous ne gagnons que des centimes pour cela ... Je m'interrogeais : quelle est leur logique, je ne comprends pas? Dois-je être motivé par cela ? Ne sont-ils même pas intéressés par les avantages du demandeur, même en théorie ? ...Mais la deuxième interview a été épique. Le début est bon, après une conversation avec une autre fille, j'ai été emmenée en stage. Ils ont commencé à nous expliquer l'essentiel du travail, tout était clair et j'ai même pensé que je pourrais travailler ici, car les conditions semblaient me convenir, même si c'était un peu loin pour le trajet Mais, après un certain temps, une personne entre et, au milieu d'une phrase, interrompant le professeur, nous crie - partez ! On ne comprenait pas du tout ce qui se passait?? Mais on nous a fait sortir de la salle sans explication. Eh bien, vous n'êtes pas des salopes ?
Mais, le paradoxe est que le scénario "tu ne peux pas rester les bras croisés", a néanmoins été fixé - et puis j'ai beaucoup travaillé dans ma vie. Mais c'est pratiquement inutile. Car je n'ai toujours pas réussi à me retrouver dans le plan professionnel. Et je me cache derrière le fait que - je ne veux pas de travail au fond de moi-même, mais je dois travailler, et par conséquent, je peux faire presque n'importe quel travail jusqu'à ce que je sois déprimé. .... J'envie les artistes qui vendent leur travail... ou les chanteurs qui vendent leur voix.. Même si, ici, en plus du talent, il faut fouiller un peu plus dans les ventes et améliorer le "personal branding" pour se démarquer et vendre , et plus encore, vendre régulièrement. Mais ce n'est quand même pas la même chose que quand on n'a rien à vendre..... J'envie les belles personnes qui gagnent grâce à leur apparence... C'est à dire. tout vient d'une abondance fondamentale de quelque chose simplement accordé par la nature. Par exemple, une personne mince et plastique, engagée dans la danse, n'investit que son temps et sa force physique. Tandis qu'une personne sujette à la plénitude, inflexible, mais qui veut être danseuse, va investir toute sa vie, sa force, ses ressources, le rejet de tout autre plaisir, afin d'être au moins approximativement au niveau de ce premier. Autrement dit, leurs coûts pour le même niveau seront disproportionnellement différents. ....Quelqu'un dira qu'un talent ne suffit pas et qu'il faut des compétences supplémentaires. Eh bien, c'est compréhensible, seule une personne talentueuse, ayant des atouts physiques a une avance de cent pas sur celle qui a besoin de construire ce talent à partir de zéro. .... Et maintenant je cherche ces avantages en moi... mais bon sang, je ne les trouve pas. .... Cela signifie que la gamme de mes travaux est pratiquement quelconque, mais ils m'intéressent peu et sont très gourmands en ressources pour moi. ...Mais alors..?
Les-portes-du-sud
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gfxced · 10 months
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White Night #1
Première sortie dans la nuit, commencée juste après le coucher du soleil à 22:30. Un petit Battery Juiced et le choix de rester debout jusqu'au lever du soleil. Au programme, pas loin de 5 heures d'heure bleue et quelques endroits déjà connus et des vadrouilles pour en trouver d'autres.
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0:30 on est au plus sombre mais il fait assez clair pour marcher facilement dans des petits bois non éclairés aux abords de la ville. Je mets l'appareil à l'épreuve. Des longues poses avec mes deux objectifs de course. J'ai passé ce lendemain de veille à regarder les fichiers et en juger la qualité. J'ai des édits préliminaires mais le travail de précision attendra le retour.
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Le ciel devient progressivement orange à l'horizon de 2:00 jusqu'à 5h00, moment ou le soleil apparaît. A cette hauteur dans le pays on a déjà perdu en temps d'ensoleillement mais pas spécialement en luminosité. A ce moment de l'année, le soleil se déplace surtout horizontalement sous l'horizon mais dans même pas quinze jours, ce sera déjà bien différent.
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Je fais un dernier saut en haut d'une colline dans le village où l'on reste, point de vue sur le Fjord en direction du lever du soleil. Je l'y attends de 4h00 à 5h00. Il se fait attendre, ma batterie est sur ses derniers moments, je suis obligé d'éteindre, rallumer et j'ai le temps de prendre une photo et de recommencer l'opération. Après quelques clichés le soleil monte encore et disparaît derrière une couche de nuages. Je rentre faire une sièste de 2h30 avant d'être tiré du lit par une mission lange malodorant. Je suis fort content de ma décision car aujourd'hui il pleut et le ciel est d'un gris uniforme.
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On January 23rd, the @criterioncollection will release a 3 blu-ray box-set with films from Chantal Akerman - with ”Jeanne Dielman, 23, quai du Commerce, 1080 Bruxelles” being one of the included films - that was voted best film ever in the latest Sight&Sound poll! The set will have following extras:
THREE-BLU-RAY SPECIAL EDITION FEATURES
New 4K digital restoration of Les rendez-vous d’Anna and 2K digital restorations of Saute ma ville; L’enfant aimé, ou Je joue à être une femme mariée; La chambre; Hotel Monterey; Le 15/8; Je tu il elle; Jeanne Dielman, 23, quai du Commerce, 1080 Bruxelles; and News from Home, with uncompressed monaural soundtracks
Hanging Out Yonkers, an unfinished film from 1973 by Chantal Akerman
Film-school tests
New program on Akerman featuring critic B. Ruby Rich
New visual essay on Akerman featuring archival interviews with the director
Autour de “Jeanne Dielman,” a documentary made during the filming of Jeanne Dielman, 23, quai du Commerce, 1080 Bruxelles, shot by actor Sami Frey and edited by Agnès Ravez and Akerman
Interviews with Akerman, cinematographer Babette Mangolte, actors Aurore Clément and Delphine Seyrig, and Akerman’s mother, Natalia
Appreciation by filmmaker Ira Sachs
PLUS: An essay and notes on the films by critic Beatrice Loayza
New cover by Century
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alexisgeorge24 · 5 months
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19 décembre :
Hélas la fin de mon séjour au Brésil arrive déjà. Avant de rentrer en Argentine je visite le barrage d'Itaipu situé sur le fleuve Paraná qui sépare le Brésil du Paraguay. Mais je devrais plutôt écrire "qui unit", puisqu'il s'agit d'un site "binacional" où l'on se situe à la fois au Brésil et au Paraguay en même temps. Cette centrale énergétique est tout autant une prouesse technique que diplomatique; chaque pays détenant 50% de l'énergie produite et toute l'administration étant divisée entre les deux pays (2 PDG). 2e plus gros barrage au monde après celui des trois gorges en Chine, les installations sont impressionnantes; j'ai même visité une turbine en fonctionnement dont on ne voyait "que" l'arbre qui reliait la turbine à l'alternateur (!!!). De retoure à Puerto Iguazu en Argentine j'enchaîne avec un bus de 4h jusqu'à San Ignacio. Arrivé en fin de soirée je me couche direct.
20 décembre:
Si je suis dans ce village c'est parce qu'il se situe dans la région où les Jésuites se sont implantés à partir du XVIe siècle. De véritable cités monastiques en autarcie exclusives aux guaranis se sont ainsi développées pendant à peu près 2 siècles avant que l'ordre ne se fasse expulser par les couronnes espagnol et portugaise. Puis les guerres entre les nouveaux pays formés de nouveau monde on finit d'achever ce qui restait des missions. Du coup il ne reste que des ruines qui sont aujourd'hui plus nettoyées que restaurées et classées patrimoine mondiale Unesco. BREF, j'ai visité celle de San Ignacio, j'étais tout seul, et ça m'a fait pensé un peu à Angkor Wat, des ruines dans la jungle qui sortent d'un temps perdu et mystiques. On a envie de se téléporter dans le temps et faire revivre cette société "communiste" (mais aussi esclavagiste, rien n'est parfait finalement avec cette doctrine). Puisque je suis dans la jungle autant profiter de cet enfers vert. Je loue donc un vélo (tout aussi pourri que la VW que j'avais loué) pour me rendre au parc Teyucuaré et admirer des points de vue sur le Paraná. Il fait trop chaud; 38° et 1000000% d'humidité. J'ai mon 1er accident de drone quand je le fais décoller direct sur un arbre... il se casse la gueule devant moi (une torture à regarder) mais j'arrive à le faire revoler malgré un bras disloqué que je n'arrive plus à replier. Il s'en sort... l'après midi je prends un bus de 1h pour Posada, la grande ville de la région.
21 décembre :
Je continue donc ma visite des missions Jésuites à partir de Posada, à la frontière Paraguayenne, que je franchi pour visiter Trinidad. Tout autant en ruine que San Ignacio, je prends autant de plaisir à m'y balader. Je passerai 4h à faire l'AR depuis Posadas pour 40min de visite mais j'ai mon tampon du Paraguay sur mon passeport, et ça, ça n'a pas de prix. Puis je refais le grand saut du retour vers Córdoba avec un bus de 18h. Mention spéciale à Yuri, un Paraguayen que j'aurai croisé 2 fois et qui m'expliquera comment il est poursuivi par les mafias, comment Dieu exterminera ses ennemis avec des éclairs, et comment il a le droit d'user de la forces d'ici là. Aucune idée comment je me suis retrouvé à papoter avec lui mais j'ai vite pris mes distance avec ce fou furieu.
22 décembre :
Arrivé à 9h à Córdoba que je connais déjà, je m'occupe comme je peux jusqu'à prendre mon bus de 23h30 pour Mendoza. Je fais entre autre un musée d'art moderne puis un musée d'art contemporain dont je ne comprends absolument rien. Vivement retrouver les Andes, ça fait 2 nuits de suite que je rêve (littéralement) de randonnée.
23 décembre :
Arrivé à 09h00 à la capitale viticole d'Amerique du sud, je découvre la ville surtout pendant mon trajet à pied de la gare routière à mon hostel. La ville a été détruite pendant un tremblement de terre et il n'y a pas vraiment d'attraction touristique. Par contre elle a été reconstruite avec de larges trottoirs sous de gros arbres abritant les piétons du soleil; c'est très agréable. Journée logistique : lessive, achat camping gaz, transfert vidéos sur le cloud, courses en prévisions de mes prochains bivouacs, apero (je respecte le région et ça sera du vin cette fois).
24 décembre :
Sans émotions de m'éloigner de la civilation en ces jours où les relations sociales sont de coutume, je pars m'isoler dans la montagne. Que Mendoza soit réputée pour son vin, c'est comme l'eau sur les plumes d'un canard, ca glisse (ballec), qu'elle soit située au pied de l'Aconcagua (6990m !!!), sommet des Amériques, le canard s'est pris un obus dans la gueule. Du coup, bus jusqu'au lieu dit "las cuevas" juste avant le tunnel qui mène au Chilie (officiellement je suis d'ailleurs ni en Argentine ni au Chilie, étant entre les 2 postes frontière). Puis, ENFIN, je randonne jusqu'à un lac gelé situé dans une vallée aux couleurs incroyables, ça ressemble un peu aux Alpes mais en plus austère, toujours ces touches rougeâtres qui doivent être du à l'immersion de cette chaîne de montagne gigantesque dans l'océan, et qui doit être à l'origine de tous ces matériaux donnant des couleurs originales. Je voulais camper au lac mais c'est assez exposé au vent et je ne n'avais pas prévu qu'il soit gelé, je risque de passer une sale nuit dans le froid (pourtant je ne suis "que" à 3700m). Je plante ma tente plus bas à 3500m, ce qui ne m'empêchera pas d'avoir un peu froid. J'ai une vue panoramique sur la vallée, je suis complètement seul, la "presque" pleine lune prend le relais au soleil donnant un spectacle de lumière.
Bilan: 10km, 600m d+
25 décembre :
Grosse journée au programme. Je reviens sur la ruta 7, qui relie Buenos Aires à Santiago, pendant le réveil du soleil. Puis je monte au Pico del Cristo Redentor, marquant la frontière avec le Chili. Belle vue mais pas aussi impressionnante que décrit par le routard. Puis stop jusqu'au sentier qui mène à la Laguna Horcones, dans le parc provincial Aconcagua, et que je dois donc payé (3eur). Belle vue sur l'Aconcagua. Parenthèse ouverte sur ce parc: ça aurait été un pure bonheur que d'essayer (restons humble) de monter au sommet de l'Aconcagua. Il n'est pas du tout technique (moins que le Huyana Potosi en Bolivie) et le "seul" challenge, c'est l'altitude. Sachant que j'ai fait un sommet à 6300m sans ressentir aucun effet d'altitude, j'avais très envie de tester mes limites. MAIS, s'y aventurer coûte 5000e, rien que le permis pour y accéder c'est 1000e. On est loin des 40eur que j'ai payé pour le Parinacota (6300m). Donc j'y fais l'impasse et je me ballade hors de ce parc. L'accès à la nature doit être un bien publique et je refuse de participer à sa commercialisation. Parenthèse fermée. Puis stop jusqu'à la puente del Inca ou je fait le début de la randonnée menant au Cerro Penitentes. La nuit je sors ma tête de la tente et je vois que toute la vallée est éclairée par la pleine lune. J'en suis émus tellement c'est merveilleux.
Bilan: 23km, 1100m d+
26 décembre :
C'est parti pour finir le (gros du) travail entamée la veille. Day pack et je grimpe 1400m d+, traverse 4 gués dechaussé, pour arrivé à 4400m d'altitude sur un plateau aux falaises verticales et qui domine mon bivouac. Le paysage me fait toujours penser aux Alpes, mais en tellement plus impressionnant... pour commencer j'ai une vue directe et dégagée sur le mythique Aconcagua, et tout autour sur 360°, plein de monts blanc (oui au pluriel), des vallées, un lac turquoise, des cours d'eau (c'est le debut de l'été et la montagne perd toute ses eaux). J'ai l'impression d'être au sommet du monde, noyé dans un univers qui, littéralement, me dépasse. Je redescends, reprend mon gros sac au bivouac, et reviens sur la ruta 7. L'autostop sera infructueux et je médite sur comment l'humain peut être naturellement bon lorsque le contact est direct, et naturellement un gros connard lorsqu'une barrière nous sépare; ici un pare-brise. Donc je marche jusqu'à un bled et attends 1h le bus qui m'amène au village d'Uspallata où je dormirai au camping.
Bilan: 22km, 1500m d+
27 décembre :
Ah j'oubliais: Feliz Navidad! Sans festivité, je prends le bus du retour pour Mendoza où je me repose jusqu'à l'heure de l'apero mais surtout du dîner. Mendoza étant réputé pour sa gastronomie je me fais un bon resto. Et bien les argentins n'ont obsolument rien à envier à nos vins, ils sont excellents et surtout très bon marché. Un (gros) verre ne coûte que 1,5eur. La viande est sans surprise dionisiaque, fondante dans la bouche, et le rhum Barceló Gran Anejo (République dominicaine) d'une douceur qui manque je trouve aux rhums Martiniquais (ma seul référence).
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genevieveetguy · 2 years
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Blow Up My Town (Saute ma ville), Chantal Akerman (1971)
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moon-girls-stories · 9 months
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SCREAM - Billy Loomis X Reader.
Résumé : Maddie est originaire de la petite ville tranquille de Woodsboro. Ayant déménagé pour le travail de son père il y a plusieurs années, elle revient en ville pour ses dernières années d'école. Elle qui pensait retrouver ses amis d'enfance et pouvoir s'éloigner des drames familiaux...
¤  ¤  ¤
Mawen saute à peine de la voiture de son aîné qu'il court déjà en direction de ses amis d'enfance avec qui il avait réussi à reprendre contact quelques mois plus tôt. En revanche Maddie n'avait pas prit autant d'avance, Sydney et Tatum sont bien les deux seules à avoir entretenue le contact avec elle et cela malgré ses longs moments d'absences. 
-Allez Mags, tout tes amis doivent t'attendre. 
Elle tourne ses yeux vert d'eau vers son grand frère, effrayée de poser ne serait-ce qu'un seul pied en dehors de la voiture. Javen l'observe droit dans les yeux, impuissant face à la mine déconfite de sa petite soeur. Elle qui avait pourtant réussi à prendre confiance en elle après de longues années, quelques semaines ont suffit à détruire tout leur travail.
-Peut-être puis-je rester un jour de plus à la maison ?
-Je ne pense pas que cela soit possible. ricane-t-il alors qu'ils lui montrent quelque chose se passant derrière elle. 
Mawen revenant fièrement avec Stu, son meilleur ami de toujours depuis au moins la maternelle. Les deux garçons sont déjà accroché l'un à l'autre, Stu arbore un sourire illuminant tut autant que son frère jumeau. Maddie se tourne alors directement vers Javen avec un regard suppliant, presque les larmes aux yeux.
-S'il te plaît ramène à la maison, je t'en prie... Javen, je ferais tout ce que tu veux, promis.
-Je crains qu'il soit trop tard petite chose. Les affreux sont là, allez dehors. Maintenant.
Maddie n'a pas le temps de riposter que sa portière s'ouvre lui faisant pousser un petit cri de surprise alors que des grandes mains la kidnappe de la voiture de son frère. Elle pousse de toute ses forces pour que son "kidnappeur" la lâche enfin, ce qu'il finit par faire bien qu'il garde toujours ce sourire de cinglé sur son visage.
-Salut Maddie ! 
-Salut.
-Eh beh dit donc, où est passé notre jolie fille souriante ?
-Où est Tatum ?
La brune cherche quelques secondes son amie d'enfance, voulant désespérément quitter l'entrée de l'école et se cacher dans les toilettes.
-Pas là aujourd'hui. Sydney non plus d'ailleurs. Aujourd'hui tu restes avec nous ! ricane Stu avec une joie communicative -du moins avec Mawen-.
-Stu, je te confie ma petite sœur, je te fais confiance mec. parle Javen à travers la vitre à présent ouverte.
Stu se baisse pour saluer l'aîné de la fratrie. Il lui adresse un signe de main avec un grand sourire, visiblement heureux de le revoir lui aussi.
-Tout va rouler comme sur des roulettes mon pote !
-Bonne journée les gamins, à ce soir.
-A ce soir frangin. Salut Mawen avec un sourire alors que Maddie lui adresse un faible signe de main, manifestement bien moins enjouée à l'idée de passer ce premier jours de cours avec son frère et son meilleur ami fou.
Alors que Javen quitte le devant du lycée un autre jeune arrive au même moment. Stu saute sur le trottoir avant de passer un bras autour du jeune homme, l'attirant comme un bourru vers les jumeaux.
-Mon pote, je te présente Mawen, mon meilleur ami depuis que je suis tout petit. Et sa jumelle, Maddie. Mignonne hein ?
-Parle un peu mieux de ma sœur, grand charmeur. parle Mawen malgré son sourire malicieux.
Maddie roule des yeux, réajustant son sac sur son épaule alors qu'elle passe à côté des garçons, préférant finalement rester seuls plutôt qu'avec ces deux cinglés du ciboulot. Elle se souvient parfaitement de duo abominable que forme son jumeau et Stu, deux diablotins inarrêtable. Et maintenant qu'ils sont grands ? Elle n'ose imaginée. 
-Eh, tu vas où comme ça ? demande Mawen, sa voix soudainement plus ferme.
Maddie se tourne vers son frère, les sourcils froncés. Dieu qu'elle peut paraître timide mais face à son frère ? Une autre personne est là.
-Ca va, il n'y a rien à craindre ici. Tranquille Max.
-Rien ? Un malade habillé en fantôme tue des gens, tu ferais bien de rester près des garçons et moi.
-Genre tu penses qu'un tueur peut s'intéresser à moi ? On vient d'arriver Max...
-Il n'a pas tord. tente Stu avec un fin sourire sur les lèvres.
Maddie le toise plusieurs secondes, le faisant d'autant plus sourire. Il la retrouve bien là dans ce regard, son fort caractère bien cachée derrière sa façade de mouton sans défense.
-Les tueurs ne tuent pas au hasard, Mawen.
Elle remarque directement les yeux du nouvel ami de Stu se braquer sur elle, lui donnant des frissons désagréable. Elle tient son regard quelques secondes avant de le détourner, une sensation bizarre fait rage dans tout son corps.
-Tu parles comme si tu connaissais le sujet. finit par lâcher le garçon châtain.
-Je... Pardon. bafouille-t-elle rapidement en prenant ses jambes à son cou. 
Enfin s'était sans compter sur Stu qui la rejoint à grande enjambée, passant son long bras autour de ses frêles épaules. La différence de taille entre les deux adolescent en est presque comique. 
Mawen les observes quelques longues secondes avec un fin sourire sur les lèvres. Puis il dirige ses yeux bleu-vert vers Billy. A la différence de sa sœur, lui connaît déjà le jeune homme. Stu les avait déjà présenté via un appel vidéo sur l'ordinateur. C'est alors qu'il sourit presque de la même manière exagérer de Stu. Billy le remarque et le regarde en retour, son visage exprimant toute sa confusion face à l'aire surexcité du garçon à côté de lui.
-Maddie veut devenir criminologue. 
-Elle est fan des tueurs en série ?
-Pas fan, fasciné je dirai. C'est... son petit côté sombre à elle. sourit-il en finissant sa phrase.
Il n'attend pas que Billy ne lui réponde, il court déjà dans la direction où sont partis son meilleur ami et sa sœur jumelle. C'est pour cela qu'il ne capte pas le regard sombre dans les yeux de Billy, ni son sourire énigmatique.
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avant-hier, j’avais ma fête de noël du travail qui avait été très bien organisée la vieille d’une immense journée de travail, je suis actuellement une LARVE
après être allée me coucher à 1h du matin, j’ai du me réveiller à 6h10 car il fallait que je saute dans la douche, que je me lave les cheveux, maquille,.... avant d’aller à l’autre bout de la ville pour retrouver la direction de ma boîte 
les métros ne marchaient pas, mon taxi n’arrivait pas assez vite, j’avais une gueule de bois pas possible, j’ai fini en devant marcher 20 minutes en talons, et à 8h pile j’étais dans une chambre d’hôtel avec un ministre et son staff pour écouter mon patron jusqu’à ce qu’à un moment mon patron annonce que “Sophie here can present the technical aspects of the project right now.” ah! 
après une présentation réussie qui m’a valu un clin d’oeil, je passais ensuite la journée à être l’“entourage” de la PDG d’une multinationale avec qui on travaille. j’ai paniqué et je lui ai fait un café alors qu’elle n’en boit pas et je l’ai perdu pendant ma pause toilette 
puis le midi, pendant le lunch, j’ai continué ma tournée gouvernementale et c’est le secrétaire d’État d’un autre pays qui est venu à ma table et !! il m’a reconnu d’une réunion qu’on avait eu!!! il voulait me demander si mon organisation avait un rapport que je connais à peine, je lui ai répondu “of course, I will send you around next week.” ce rapport n’existe pas, mais j’ai maintenant une semaine pour l’écrire. 
après avoir résolu une crise pour le taxi de ma protégée du jour qui devait repartir à l’aéroport, je suis rentrée à mon bureau où un collègue m’a trainé à un restaurant de ramen où on est resté pendant 3h 
je ne rêve maintenant que de dormir pendant les 3 prochains jours
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dreamsunwound · 2 years
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Chantal Akerman movie illustrations
Saute ma ville (1968)
Je tu il elle (1974)
Jeanne Dielman 23, Quai du Commerce 1080 Bruxelles (1975)
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0nalia · 1 year
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Liberté {Eustass Kidd x Reader} Parti 1
Je me réveille comme chaque matin, avec une lourde fatigue sur les épaules. tout dans ma vie allez de travers depuis la mort de ma mère il y a 2mois. les papier empilé, le courrier laisser au bas de la porte, un désordre complet dans un petit appartement de grande ville.
en prime de tout cela, ma relation ces brisée il y a 1 semaine, l'excuse de cette imbécile était ma dépression, mais les odeur qu'il porté sur lui chaque soir au retour de son bureau ne trompé pas. les autres femme aimée lui laisser leur odeur sur son colle de cravate.
quelque jours passé, avec ma routine habituel, remonté la pente était ma principale préoccupation. je suis une petite geek j'aime jouer au MMORPG de Pirate, mais je pratique aussi de la dance (pole dance, hot dance) cela reste un sport très physique et entretien à merveilles un corp. de plus offre du plaisir à dansé sur nos musique préféré.
la sonnette retentie dans l'appartement, je ne m'attendez pas a se qu'un notaire soit debout, face a ma porte.
Bonjour Mlle {Nom de famille} ?
Heu, Oui ? vous êtes ?
Je suis le notaire de vôtre Mère {Nom, Prénom}. je viens clore sont dossier et vous donné ces dernier bien laisser.
Dernier bien ? pardon mais... il me semble que j'ai déjà reçus mon héritage. faire un signe de sou avec les doigts.
Et bien actuellement nous parlons de bien, Matériel. il semblerais que vôtre mère possédé une grande parcelle de terrain de plus de 10 hectare, comptent a l'intérieur une maison de campagne, et un lac au milieu de ces bois.
heu.. entrée ! parlon a l'interieur. invitant le notaire a s'installé dans la cuisine.
après avoir signée les document restant, avec quelque explication et des renseignement sur ces lieu hérité. ma première réaction était de faire mes carton et de partir enfin de cette ville immense et pollué. remplis de personne indésirable..
Respirant grandement devant la porte de cette appartement maintenant vide, les clef a la mains et un petit sourire au lèvre, les souvenir revenant quelque instant, mais les balayant d'un geste de la mains.
Nouveau départ pour toi {Y/N} !
glisser la clef sous la porte de l'appartement suivant les consignes du propriétaire, même pas la décence de venir lui-même les récupéré. cliquant sur ma langue avant de descendre les escalier, ignorant les porte voisine, le rythme de mes pas s'accélérant vers l'excitation de découvrir cette héritage en personne. seul les photo était dans le dossier du notaire, donnant l'eau a la bouche de toute cette vue a couper le souffle, ces foret de pin a perte de vue, trônant en son centre le lac du nom de "Le lac Crystal". un nom curieux mais merveilleux.
s'éloignant de la grande ville, avec le camion de déménagement suivant la voiture de près, presque 12 heure de route était devant nous. cela allez être un long voyage, mais cela en vaudra la peine !
arrivant a 9 heure de route passé, les foret se fondé entre les champs, de plus en plus épais jusqu'à ne voir que des arbre de pin.
Donc la maison et au lieu de la foret ..? intéressant, je savais que tu avait toujours des gout particulier maman.. mais j'aime ton idée..
nous avons toujours eu des gout extravagant dans ma famille, surtout du coter des femmes, ma mère était attiré par se qui et mythologie, mystère et magie. j'ai hérité tout sa d'elle, mais j'ai aussi des penchant particulier pour se qui et du gore.. les films d'horreur des moment de torture mon toujours émoustillé, imaginé pouvoir faire se genre de torture au personne que l'on déteste m'intéresser. mais personne ne le sais.
Petit saut dans le temps. arrivé a la maison, le souffle coupé a la vue de la bâtisse dévoré par les plante grimpantes et le gazon qui avait poussé depuis son décès. le sourire grandissais sur mon visage et la motivation de pouvoir dompté mère nature m'as poussé a vite installée mes affaire, remerciant les déménageur de leur grande aides.
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akraphe · 1 year
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Devenir avion de chasse
Quand j’étais petite j’avais un rêve récurrent : je lévitais. Au palier des escaliers ou à l’entrée de la cour de récréation, soudain, pendant deux ou trois secondes, je flotillais quelques centimètres au-dessus du sol. Ce n’était pas un saut ; nul mouvement des jambes ni recroquevillement subite ; sans explication, comme soulevée par un étrange magnétisme, je volais, je rêvais. Des regards incrédules me suivaient à travers les airs, et moi-même je restai émerveillée en voyant mon nouveau petit pouvoir et mes camarades qui, pour la première fois, venaient me parler.
Un peu plus tard, vers la fin du primaire et le début du collège, le rêve revint. J’étais plus grande et mes envols aussi : si je prenais de l’élan, je montais un ou deux étages, assez pour apercevoir, à travers une fenêtre, le sourire de la fille qui me plaisait. Je crois qu’une partie de moi saisissait déjà le plaisir de scruter les toits blancs et d’observer les enfants sur la cour comme des minuscules points noirs. J’aimais déjà, secrètement, la liberté absolue.
Décoller c’était facile mais je n’avais aucune maîtrise du reste, la direction ou la chute. Alors je m’entraînai. Utilisant toujours le carré de la cour comme piste, année après année mon pouvoir s’affirmait, chaque fois un peu plus haut et un peu plus loin. Au collège je dépassai les bâtiments de quatre, cinq, six étages. Il vint un jour où, décidée à tout, je pris position à l’endroit le plus reculé du patio et je courus de toutes mes forces jusqu’à ce que je fis mon premier vrai décollage et je dépassai rapidement tous les toits de mon collège et je vis bientôt ceux de la ville en traçant au-dessus des voitures et des platanes et même des parcs et des rivières touchant le ciel extatique jusqu’à redescendre et devoir atterrir dans une autre cour où, manœuvrant brusquement, je me posai pas trop mal parmi les petits qui se ruaient déjà vers moi à bras ouverts. C’était une fierté intime : je pouvais dire enfin que j’avais v o l é . À un moment où les violences intrafamiliales battaient de plein fouet, après pleurer dans mon lit, quelle joie de me sentir puissante et libre dans les airs.
Cela continua jusqu’au lycée, qui ne fut qu’un entraînement acharné pour dépasser mes limites. Le jour j’apprenais des mots compliqués en plusieurs langues et accumulais les connaissances sur la guerre, les salaires, les quanta ; la nuit, rêve à rêve, l’envol atteignait les nuages, une à une les différentes strates de l’atmosphère. Élancée comme Superwoman, en quelques secondes je survolais les gratte-ciels et les champs, et sans comprendre comment, je posais les pieds sur un autre continent aussi légèrement qu’un avion de papier. Finalement j’arrivai au bord de l’espace ; atteindre cette limite ultime n’était pour moi qu’une confirmation de ma puissance.
Après le bac je quittai la maison familiale et la cour de récréation, et déménageai dans une grande ville. Enfin véritablement, commença alors une longue traînée de fantôme. Le rêve disparut ou presque ; seules quelques rares fois, la nuit, je me retrouvais dans les airs à errer à entre les bâtiments par un rythme lent d’élèvements et de dépressions. Toujours aucun contrôle ; pire encore, parfois je descendais vers le sommet d'une tour ; en m’élevant je me retrouvais dans un parking souterrain. J’aimais toujours voler, mais si par malheur j’essayais de battre les bras comme un oiseau pour rester à flot, je me faisais infiniment ridiculiser par mes camarades hyper-compétitifs de classe préparatoire.
La terre continua de tourner. Je découvris certains endroits et abandonnai d’autres ; pareil avec les gens. Les choses faisaient semblant de s’améliorer mais le rêve restait le même, toujours à traîner sans but parmi des lignes et des lignes de bâtiments, de maisons, de fenêtres, en essayant vainement de me maîtriser. Je me rendis à peine compte quand il disparut. Rien de surprenant ; ce n’était pas un de ces rêves par lesquels une vie se fait diriger, mais un de ceux qui l'accompagnent comme un miracle secret. Aussi, je n’arrivais plus à me souvenir de ce qui se passait en moi la nuit. Le sommeil était devenu aussi futile et désespérant qu’une page blanche.
Et là, je transitionne, je me sens revivre tout à coup. Sous l’effet des hormones mes mains s’adoucissent et arrive le jour où elles écrivent le prénom qui m’attendait. En devenant la femme que j’étais destinée à être, aussi magiquement que le premier flotillement, le rêve revient. Soudain, je comprends soulagée que je peux contrôler mon vol, partir et atterrir quand et où je veux, avec toutes les péripéties du monde ou droit au but ; comme si tout était là depuis le début.
Maintenant la nuit je pleure, cette fois-ci parce que je suis enfin femme, et enfin avion de chasse.
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homomenhommes · 3 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 101
Samedi matin.
Je suis le premier à ouvrir les yeux. Jimmy dans la nuit est venu coller son dos contre mon ventre, en cuillère. Ma bite raide du matin tape contre la base du plug. Avec une main, je tire doucement dessus. Le plug coulisse bien je le sors totalement, ce qui fait frissonner Jimmy. Je ne laisse pas le trou se refermer et enfile ma queue raide à la place. Elle entre toute seule profitant du reste de la graisse du plug. Je ne bouge pas. Il ne se réveille pas. Très lentement je fais quelques aller et retour avant qu'il ne se réveille. Il tourne la tête vers moi et ouvre un oeil. Je lui prends les lèvres et nous nous roulons un patin.
Nos mouvements s'amplifiants, nous finissons par réveiller Marc qui nous mate jusqu'à ce que je me vide au fond du cul. Je me retire bascule Jimmy pour qu'il présente son cul à la vigueur de Marc. Mon homme le prend alors dans la même position que moi, couché sur le coté. Jimmy tire ses jambes sur son torse pour améliorer l'accès à son trou. Je mate à mon tour. Après mon limage, il se prend sans soucis les 22cm de Marc. Il gémit doucement que c'est trop bon de se réveiller pareillement. Marc accélère et finit par se déverser en lui. Alors seulement, Jimmy porte une main à sa bite pour recueillir les quelques millilitres de sperme qui en sortent. Comme il ne voit rien pour essuyer sa main, il la lèche pour la sécher.
Quand nous descendons, une bonne odeur de café sort de la cuisine. Samir et Ammed sont déjà debout, en uniforme (shorty cuir moulant). Le café est prêt et des viennoiseries fraîches sont sur un plateau. Jimmy saute au cou de Samir et je l'entends lui glisser à l'oreille un -merci tonton, c'est trop bon de se faire enculer.
Nous les remercions et Marc prend un pot à biscuits vide et place de l'argent dedans pour les besoins de la cuisine et divers. Il avise nos nouveaux employés que c'est à leur disposition pour ce genre d'initiative.
Je pars donner mon cours de gym / muscu suivit de l'enculage en règle de mon boss, pressé de rentrer à la maison retrouver Marc et Jimmy.
Après le déjeuner, avec Jimmy collé à mon coté, je commande sur internet une bonne 20aine de slips, jocks et shortys à sa taille. Puis nous allons " à la ville " l'équiper pour maintenant. Passage chez Slipissimo ou nous trouvons de quoi couvrir ses fesses avec quelques Calvin Klein et deux maillots de bain, au magasin d'équipement de sport, je lui prends deux jocks et nous terminons notre tour chez mon concessionnaire moto pour lui trouver un casque à la taille de sa petite tête. Après bien des essayages c'est chez Shoei avec un XR 1100 Conquista qu'il trouve son bonheur. Quand il voit le prix, il veut refuser mais je lui faits remarquer que sans casque pas de moto et comme le printemps arrive les transports seront plus souvent moto qu'auto. Je me laisse tenter et pour changer de mon propre Shoei, je m'achète la nouvelle version du mien soit un X Spirit II Martyr.
Nous rentrons avec nos achats. Il court les montrer à son " tonton ". J'entends ce dernier lui dire qu'il faut mériter toutes ces attentions et bien obéir à Marc et Sasha. Jimmy lui promet qu'il fera tout ce que nous lui demanderons. ; Merci Samir !
Avec l'accord de Marc j'appelle Eric pour qu'il vienne nous aider à formater Jimmy. Il me répond qu'il passera en soirée après ses cours de conduite moto.
En attendant, nous passons l'après midi dans l'eau. Il adore ça Jimmy. Son maillot mouillé le colle comme une deuxième peau et on peut carrément voir tout les détails de son anatomie. Nous chahutons ensemble et j'en profite pour lui passer la main sue son sexe. Il bande continuellement. Bientôt, il me demande quand est ce qu'on va l'enculer de nouveau, il aime trop ça ! Je l'attrape, le colle contre moi et je passe une main dans son maillot, poussant mes doigts jusque sur sa rosette. Elle est là palpitante de désir.
Je me décide à le préparer pour Eric. Je crie à marc que nous allons au donjon. Il me répond qu'il nous rejoindra avec Eric.
Jimmy est intrigué et se demande ce que cache ce mot. Nous traversons s la cour et je le pousse dans les tentures pour entrer. Il fait encore noir. A tâtons je trouve les interrupteurs et déclenche quelques spots. Jimmy est bloqué. Il regarde partout essayant de deviner ce qu'il y a dans les parties obscures de la salle. Je le pousse jusqu'aux sanitaires pour lui faire un lavage interne. Un peu de gel sur la canule et je l'enfonce dans son cul. Remplissage, vidange, remplissage, vidange, jusqu'à ce que sorte une eau aussi claire qu'elle est entrée.
Je lui dis de me suivre et l'installe dans un des slings. Je règle les menottes pour ses poignets et fait de même avec ses chevilles. Je descends l'ensemble pour que sa tête soit à la hauteur de ma bite et le cul beaucoup plus haut. Je m'approche et il aspire ma queue dès que mon gland touche ses lèvres. Je me penche un peu et j'ai accès direct et à la bonne hauteur à son trou. Quelques crachats dessus et je lui enfonce mes deux majeurs. Je fais des va et vient, rajoute de la salive. Bientôt son anus se détend et quand j'écarte les mains, son trou s'ouvre et je crache direct dedans. De son coté, il me tête comme si sa vie en dépendait. J'accompagne sa bonne volonté de coups de rein pour l'aider à me prendre en entier.
Il m'excite grave et je dois sortir de sa bouche pour éviter de juter. Je calme le jeu. Je tire su les chaines de suspension et remet le sling à l'horizontal. Avant de l'élargir pour Eric, je veux me le faire. Autant j'aime me faire enculer par les mecs plus âgés que moi, autant j'adore enculer une jeune salope.
Je me graisse la bite et pose mon gland sur son oignon. Je résiste quelques instants à le pénétrer mais je ne tiens plus et m'enfonce dans son intimité. Les sensations son trop bonnes. J'ai juste mis ce qu'il fallait pour glisser mais pas plus. Je me concentre sur mon sexe et je ressens ma pénétration comme jamais. Son boyau colle à ma bite. Je pose mes mains sur ses épaules et d'un coup plus sec, l'empale jusqu'aux couilles. Il gémis de plaisir tout au long de ma progression. Comme mon torse est arrivé un peu près de lui, il tend la tête et attrape un téton avec sa bouche. Ça lui vaut quelques millimètres de plus dans le cul ! Je me redresse et les mains sur ses cuisses, je balance le sling pour limer son trou.
Il aime ça ! Son visage montre le plaisir qu'il prend à la chose. Merci Samir pour cette bonne salope ! Je le lime jusqu'à ne plus pouvoir me retenir et lui envoi tout dedans. Je me couche sur lui, les jambes momentanément coupées. Il en profite pour m'embrasser le front, les joues, les yeux et pour finir il me roule un patin à croire qu'il a fait ça toute sa jeune vie.
Je me redresse et sort de lui. Il serre els fesse et garde tout. Je lui dis que ce soir un ami à nous va venir le tester et que nous devons se préparer. Je lui détache les membres mais lui dis de rester sur le sling. J'approche un tabouret et prend un pot de graisse chauffante. Assis, les yeux à hauteur de son trou, je peux commencer le travail de dilatation. Après mon enculage, les deux indexes et majeurs de chaque main entrent facilement. La graisse chauffante qui les enduit commence à faire son effet et le petit trou rougit bien. Il se tortille sous mes doigts et je remplace les 4 doigts par trois de ma seule main droite. Je les fais tourner tout en faisant un mouvement de va et vient pour faire entrer la graisse. A ce stade je passe au gode. Direct celui de 22cm, après tout e vient de lui enfiler mes 20. Il prend vaillamment le morceau de plastic. J'augmente progressivement la taille du jouet que j'enfonce dans son cul. Pas un mot de refus, pas un cri, mon ptit beur accepte la domination avec un naturel qui force mon admiration. Je soumets son corps une progression rapide de dilatation mais il accepte sans rechigner.
Je m'arrête au gode de 23 x 5,5. Il faut bien qu'Eric ai encore un peu de travail à faire et je sais surtout qu'il aime les anneaux qui le serrent encore.
Je n'ai pas vu le temps passer et c'est la main de Marc sur mon épaule qui me prévient qu'ils sont là.
Je m'écarte et ils peuvent admirer Jimmy. Pendant qu'ils se mettent nus, je rattache les poignets et les chevilles en haut des suspentes et retire le gode pour que son anus se referme un peu.
Marc le premier s'enfonce dans son cul. Il le trouve un peu large, normal ! il cède la place à Eric après que ce dernier se soit kpoté. Je demande à Jimmy d'être forte et de se laisser faire (comme si il pouvait s'échapper !). Eric place son gros gland contre son anus et commence à pousser. Vite, je fais passer le flacon de poppers sous le nez de Jimmy. Sans douleurs, il se laisse empaler sur la bite noire de 26cm. Pour prendre les derniers cm (les plus larges), je lui repasse un peu de poppers. Il en profite pour me dire -merci c'est trop bon.
Marc veut lui faire la gorge. Je règle les hauteurs et fait descendre sa tête.il la rejette en arrière et Marc s'enfile en lui.
Le spectacle est superbe. Ce petit corps imberbe soumis à deux mecs virils. Je le caresse sans toucher à sa petite queue. Ma main sur ses abdos, je sens la bite d'Eric aller et venir. Il faut dire qu'elle ne doit être qu'à 1 ou 2cm sous la peau. A son oreille je lui chuchote qu'il est superbe, qu'il me rend fier de lui, qu'il sera une bonne pute à l'avenir.
Après un limage en règle d'une bonne demi-heure, Eric se lâche dans sa kpote alors que Marc qui s'est retiré de sa gorge lui jute sur le visage. Jimmy ouvre grand la bouche pour en avaler le plus possible. Excité moi aussi, quelques coups de poignet et j'ajoute ma crème à celle de Marc. Jimmy avale le tout. D'un doigt de pousse le sperme déposé sur ses joues jusqu'à sa bouche, il me le suce avec avidité !
Eric sort bite. Il se tourne vers moi et me félicite pour ma nouvelle pute. Ça faisait longtemps qu'il ne s'était fait un trou pareil. Quand je le charrie en disant que parmi ses élèves de scooter ou de moto il devait avoir le choix, il me répond qu'effectivement il ne manque pas de jeune mec à mettre sr sa bite mais que Jimmy est une pute née. Il a senti pendant tout l'enculage son anneau palpiter et le serrer régulièrement. Ses élèves ne lui ont jamais fait ça avec autant de naturel et sans qu'il le demande. Je caresse la joue de Jimmy et lui dis qu'il m'a fait honneur. Il rougit et me dit merci.
Je crois que Samir m'a trouvé la perle rare. De plus à son âge, sa croissance est terminée et il devrait garder cet aspect juvénile un bon nombre d "années.
Nous rentrons à la maison où nous attend un diner préparé par nos beurs de service.
(Pour éviter un élargissement trop constant, je le plugge avec l'engin d'exercice et lui dit de serrer son anus dessus. Ça m'a bien réussit, y'a pas de raison que ça fasse autrement avec lui).
JARDINIER
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aisakalegacy · 2 years
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Automne 1884, Hylewood, Canada  (1/6)
Chère Lucrèce,
J’ai déjà écrit à ma fille pour la féliciter, mais entre nous, ces noces ne me réjouissent guère. Je vois bien vos efforts pour défendre et réhabiliter ce Joseph Béate, mais entre nous, ma fille mérite bien mieux qu’un hurluberlu pratiquement aussi âgé que moi… Je vois d’un mauvais œil ces hommes qui, approchant le début de la vieillesse et après avoir mené une vie volage, décident de se marier et se rabattent sur des jeunes femmes. Bien sûr, jamais je ne me serais opposé à la décision de ma fille. Sa mère ne me l’aurait probablement jamais pardonné de toute façon. J’ai exposé à Jeanne tous mes arguments quant à pourquoi je trouvais que ce mariage était une très mauvais idée, mais puisqu’elle semblait décidée et que mon gendre - cela me brûle que de l’appeler ainsi - est même allé jusqu’à m’écrire, je me suis senti obligé de le conforter, non pas pour lui, mais pour apporter à ma fille une tranquillité de l’esprit. Aussi, ne lui transmettez rien de mes pensées : je vous le dis à vous, mais je compte sur votre discrétion. Je n’aime pas son mari, mais il m’importe que ma fille soit heureuse, et si croire que j’approuve son union contribue à son bonheur, qu’il en soit ainsi. Je ne suis pas ingrat, et je reconnais tous les efforts déployés par Madame Le Bris pour assurer à ma fille avenir et confort. Je vous prie de la remercier bien ardemment en mon nom.
Je vous écris soucieux, très soucieux même, concernant mes deux fils, Virgile et Jules. Je dois tout d’abord vous parler de mon benjamin. J’ai tu cette affaire lors de ma lettre du printemps dernier : avec les fiançailles de ma fille qui se profilaient, je ne voulais pas l’inquiéter. Elle est présentement informée, aussi pourrez-vous aborder la question avec elle, l’occasion dût-elle se présenter. Ces dernières années, Jules présentait des comportements inquiétants. C’est un petit garçon extrêmement actif, très prompt à des sautes d’humeurs et des colères intenses qui m’ont conduites à être convoqué plusieurs fois par son instituteur, à causes des nombreuses bagarres dans lesquelles il se retrouvait impliqué. Il a toujours aimé se promener et explorer l’île, même lorsque l’on lui ordonnait expressément de rester à la maison. Ma femme et moi-même mettions cela sur le compte du fait que les petits garçons ont souvent besoin de se dépenser et de battre la campagne. Mais depuis qu’il a eu dix ans, ses escapades ont pris un tournant inquiétant et incontrôlable - tant qu’on pourrait même les qualifier de fugues.
Il est arrivé de nombreuses fois que Jules, au lieu de se présenter à l’école, décide de voler une barque pour aller écumer la ville… Et un soir, il n’est pas rentré. On l’a retrouvé six jours plus tard, inconscient et intoxiqué dans une fumerie d’opium à Kingston - en vie bien heureusement. Il a été hospitalisé immédiatement, et les médecins nous ont recommandé de l’interner quelques mois pour la prise en charge d’une maladie qu’ils appellent « états-limites », et qui expliquerait ses comportements déviants et impulsifs. Ma femme et moi avons laissé les enfants sous la garde de Françoise, et nous sommes partis plusieurs mois chez ma sœur à Kingston, pour être au plus près de notre Jules pendant son rétablissement. L’opium est le traitement que les médecins préconisent pour soigner les états-limites, et ils pensent que les comportements de Jules s’expliquent par une attraction naturelle à ce que son corps comprend comme étant un médicament qui le soulagerait, mais que, ne sachant pas comment l’utiliser, il prenait de façon dangereuse. Il fut convenu qu’il continuerait une cure à base d’une résine turque qui s’appelle le hachisch, et que si le traitement ne faisait pas effet, l’on passerait à des traitements chimiques plus récents et plus expérimentaux. 
J’ai la joie de vous annoncer que cela n’a pas été nécessaire et que mon fils va mieux. Après cinq mois d’hospitalisation, Jules est enfin de retour à la maison. Grâce à son traitement, il est désormais bien plus stable, et surtout, il est captivé par quelque chose. Nous avions pris l’habitude de lui amener un livre chaque fois que nous le visitions : étant donné son goût pour l’exploration, je pensais que les romans d’aventures lui plairaient, et je ne m’étais pas trompé. Il s’est régalé en lisant Jules Vernes, Robinson Crusoé, Moby-Dick et L’Île au trésor ; si bien que son imaginaire est désormais rempli d’orientalismes et qu’il veut devenir explorateur. Jacqueline et moi lui avons fait comprendre que la réalisation de ce rêve dépendrait de sa réussite scolaire, puisqu’il faudra qu’il excelle en géographie et qu’il étudie les sciences, probablement la linguistique. Ce rêve est pour lui une motivation, et il s’investit désormais autant que possible dans ses études. Tout cet épisode a  donc eu certaines conséquences heureuses, puisqu’il a contribué à donner un rêve à mon fils, et que la terreur commune de perdre de notre fils nous a réconcilié, ma femme et moi.
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p-ads · 2 years
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El ascenso del chachani
Le 3 septembre 2022
1h30 du matin ⏰
Le réveil sonne! Je saute du lit et j'enfile la tenue du jour c'est à dire: une brassière, un tee shirt de sport, un haut thermique, un pull en laine et un manteau coup vent. Pour le bas ce sera des chaussettes de montagne, un bas thermique, un legging, un pantalon de trek. Je n'oublie surtout pas le tour cou, le bonnet et les gants. Puis direction la cuisine, je range mes 3 litres d'eau, mes fruits secs et mes pommes dans mon sac et en route pour ......
le CHACHANI !
Pour cette excursion nous sommes 5, quatre français et un péruviens. Deux français ne sont autres que mes collègues/ colocs et le péruvien c'est Abel! Le responsable de la salle d'escalade. Bref on se connait tous, ou presque, le 4 ème français est ici pour les vacances, c'est un ami d'Abel.
2 heures du matin, nous sommes en route direction la merveille qui surplombe Arequipa et qui nous fait de l'oeil depuis qu'on est arrivés. Bien sûr qu'on allait te grimper petit volcan, comment résister à ta beauté !
La route, enfin si on peut la prénommer comme cela, ne fut pas la plus agréable. Notre chauffeur était doté d'un bon 4x4 et heureusement ! Pendant 2h nous roulons sur un chemin de terre semé de trou.
4h45, arrivée au point de départ. Nous abandonnons la voiture et commençons l'excursion à la lampe frontale.
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A oui je ne vous ai pas dit, nous sommes montés jusqu'à 5100 mètres avec notre bolide. Je vous laisse imaginer à combien d'altitude nous serons à notre arrivée!
6h du matin, le soleil montre ses premiers rayons de soleil. Il est l'heure pour nous de faire notre première pause et d'avaler quelques fruits avant de commencer la véritable et interminable montée.
Le souffle, le corps, la lourdeur des pas, le mental.... tout doit s'habituer à cette altitude.
Alors j'ai adopté une démarche assez rigolote mais plutôt efficace : la marche du pingouin. "El pingüino" comme ils aimaient m'appeler. Des petits pas qui m'ont permis d'économiser la force de mes jambes.
Les minis pauses régulières m'ont également aidé à tenir le rythme et surtout à arriver jusqu'en haut.
Nous étions 5 et chacun avait ses propres besoins. Ma coloc par exemple, se sentait obliger de faire des micros siestes régulièrement.
Notre corps n'est pas forcément ami avec l'altitude. Sur les 5, seulement 2 n'ont pas supporté cette hauteur. Mal de ventre, mal de tête était de leur partie. Mais ils ont tenu bon jusqu'au sommet, force à eux!
Personnellement, je n'ai eu qu'un mal de tête, assez léger mais présent. Particulièrement après les longs arrêts, le temps que le corps rallume la mécanique et retrouve son rythme.
Arrivés à 5600m une sieste de 40 minutes s'impose pour tous. C'est la première randonnée que je fais, où je dors presque autant que je marche ( bon j'exagère peut être un peu, mais le sommeil était de la partie)
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La reprise était motivante! Plus que 400 mètres de dénivelé et on y était. Ça voulait dire encore 3 heures! Nous avions fait la moitié !! Le paysage durant toute l'ascension n'était pas très diversifié, mais donnait sur le volcan voisin qui était plutôt agréable à regarder. Mais nous pouvions également contempler la cordillère d'Arequipa.
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A 5900 mètres , nous surplombons la ville blanche. Nous pouvons également apercevoir la neige et la toucher! El pingüino avait retrouvé sa banquise!!
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Lors des 100 derniers mètres, notre ami Jean nous a laissé continuer, son mal de ventre a eu raison de lui, et les derniers efforts lui étaient insurmontables. Nous passons à côté du cratère du volcan qui nous a accueilli durant cette formidable journée. Puis nous arrivons, enfin, au sommet du sommet.
La joie, la fatigue, la fierté, le bonheur, la satisfaction, le plaisir.... toutes ces émotions se confondent à ce moment : 6057 mètres d'altitude bb, ON L' A FAIT!!!!!
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Nous avons le privilège de contempler son voisin le Misti et Arequipa. Sur la terrasse de mon toit je peux contempler le Chachani. A ce moment là, sur le sommet de Chachani je peux contempler la ville blanche. C'est une sensation incroyable et indescriptible.
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Il est l'heure pour nous de redescendre. Cette dernière est assez atypique. Descendre une montagne comme un skieur mais sans les skis et sans la neige, vous avez déjà fait ? Lors des premiers mètres c'est plutôt amusant. Mais ça l'est un peu moins quand je compris qu'il me restait encore 900 mètres de dénivelé à snowboarder sur des cailloux avec des chaussures de randonnées. Mais cela reste une expérience unique en son genre.
15h, Nous voilà enfin en bas du Chachani. L'excursion touche à sa fin. Nous retournons dans notre 4x4 direction notre demeure et surtout notre lit: des cailloux plein les chaussures, un mal de crâne plein la tête mais surtout des étoiles plein les yeux! ✨
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lesbiancolumbo · 1 year
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1968
story of a three-day pass, melvin van peebles (on my top films of 2022 list fyi)
the swimmer, frank perry
saute ma ville, chantal akerman
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alexisgeorge24 · 5 months
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14 décembre :
Après ce gros saut vers le Sud, le plan était d'enchaîner avec un bus pour le village de Villa Unión pour que je passe 2 jours dans les parcs nationaux du coin. D'après le Routard il y a des bus dès 06h00 (il est 04h30 quand j'arrive), sauf que le seul indiqué est à 18h45. Après hésitations et agacement je décide de supprimer cette région de mon programme (trop chaud, entrée chère, visite en tour guidé obligatoire, accessibilité très compliqué suite au constat des horaires des bus, très en écart avec ceux annoncés dans le Routard...). Ca sera finalement direction Córdoba. Bus à 14h00, ce qui me laisse le temps de me faire un peu chier dans cette ville sans charme. J'arrive tout de même dans la 2e ville d'Argentine pour 21h00, heure de l'apéro. Je trouve une ville qui me rappel beaucoup Athènes (ou de manière général une métropole mediterrerannéene) par son climat, sa vie nocturne et son urbanisme.
15 décembre :
Journée culture à visiter cette ville des Jésuites dont il reste quelques bâtiments du XVIe siècle. Rien d'éblouissant mais ça fait du bien de retrouver des repères occidentaux... ça me rappel l'Europe et j'ai des coups de nostalgies du quotidien en France, surtout quand je traverse de rue remplies de bars... faut vite que je retrouve la montagne et chasser ces envie de retour.
16 décembre :
Petite excursion à Alta Gracia, à 1h de Córdoba, où je visite la Estancia Jesuitica puis le musée de Che Guevara. Le premier site est un ancien "ranch" / "monastère" des Jésuites et le 2e la maison, où a séjourné le petit Ernesto pendant 10 ans pour calmer ses crises d'asthme, reconvertit en musée (un peu trop élogieux à mon gout) retraçant sa vie "hasta la victoria siempre". Puis de retour à Córdoba, je décide sur un coup de folie (c'est la beauté du long backpacking sans trop de contrainte financière), d'aller à Iguazu voir les fameuses chutes. "Coup de folie" parce que c'est tout de même 22h de bus et 75e (l'aller) pour une région qui n'a rien d'autre à offrir (j'en profiterai tout de même pour faire d'autres visites). Départ en bus donc à 16h00 après avoir téléchargé plein de séries.
17 décembre :
Arrivé à 14h à Puerto Iguazu, village à la triple frontière avec le Brésil et le Paraguay. J'enchaîne direct avec les chutes qui ne sont qu'à 10km en navette. Bon, avant de décrire le paysage, plusieurs points un peu décevants (mais prévisibles). Le prix d'entrée (24 000 pesos soit 24 blue euro. Le smic est à 50 000 pour info.), 5000 pour un casier, le monde, la moitié qui est fermée sans alerte à l'achat du billet, une partie détruite par le fleuve et qui donc traîne dans la nature (béton et ferasse), l'hypocrisie des pancartes indiquant que le soucis de l'environnement est une priorité, bref... je m'y attendais un peu. MAIS, aucun regret d'être venu !!! Paysages sortis tout droit d'un film de James Cameron avec des personnages bleus (dont Jessica), c'est incroyable ce que la nature sait faire. Des cascades formant un énorme U sur plusieurs étages, et entre les étages des plateformes avec petits et gros rochers recouverts de mousses et d'arbres, la foret tropicale à perte de vue tout autour, la rivières qui forme un énorme delta à travers les arbres en amont des chutes, des condors en bonus, c'est sublime. Le soir c'est une bonne ambiance au village mais avec des prix quasi européens.
18 décembre :
Visite express au Brésil, pays où j'ai beaucoup de souvenirs mais à 4000km de ma localisation. Je connaissais l'extrémité nord du pays, je vais apercevoir l'extrémité sud. Je réalise que j'ai oublié tout mon portugais et je suis comme un gros touriste qui cherche comment aller aux points de vue des chutes côte brésilien. J'y arrive et les constats sont les mêmes que hier (les positifs, pour les négatifs il n'y en pas excepté la foule). J'arrive même à faire voler mon drone, alors que c'est strictement interdit et rappelé de partout (ce qui est tout à fait normal). Mais les règles ne s'appliquent à moi puisque je ne me compare pas autres touristes. Je trouve donc un fossé près d'une cascade (qui camoufle le bruit des helices) et me fait un kiff. Je visite ensuite le "parque de aves", un zoo d'oiseau. J'avais vu sur internet que les volières sont très grandes et donc respectueuses de leur besoins naturels. Elles ne me semblaient pourtant pas énormes et je regrette un peu d'avoir mis mon argent la dedans. Faudra que je vérifie avec chatgpt si j'ai de quoi me sentir coupable. L'après midi je me fait un énorme buffet à volonté dans une churrascaria; je n'ai pas mangé depuis la veille au soir, les serveurs sont surpris de me voir me reservir autant de fois. Sinon mon corps qui s'était habitué au froid, à l'altitude et au climat sec, souffre dans cette chaleur étouffante. Je suis en compétition avec les chutes d'Iguazu en terme de débit d'eau. Le soir c'est caipirinha et nuitée à Foz do Iguazu au Brésil.
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