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#libertaire
jesuissurecoute-blog · 4 months
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Imposture Artificielle / Artificial Deception
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Un des premiers films fait avec des vidéos générées par Intelligence Artificielle en téléchargement gratuit ici http://horsnorme.org/666999/ (il y a aussi une nouvelle de fiction psychotique qui l'accompagne) Maybe the first feature film made with videos generated by Artificial Intelligence, surely the first release free here http://horsnorme.org/999666/ (and there is also a short novel)
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ontemanipule-blog · 1 year
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Envie de prendre le maquis ? Rejoins l’une des 42 ZAD ! Histoire de montrer à tous les darmaniacs que leur violence n’empêchera pas nos mondes d’exister. Samedi 25 Mars à Sainte-Soline la république a une fois encore montré son vrai visage. Non à l’état terroriste ! Plus de liens utiles ici https://youtu.be/7MxODI4IGV0
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droitsdesfemmes · 4 months
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Alice Neel photographiée par Lynn Gilbert, New York, 1976.
Alice Neel (1900-1984) était une peintre américaine renommée pour ses portraits réalistes. Née à Merion Square, Pennsylvanie, elle a grandi dans une famille de la classe moyenne. Elle a commencé à s'intéresser à l'art dès son jeune âge et a poursuivi ses études à la School of Industrial Art à Philadelphie.
En 1921, elle s'est inscrite à la Philadelphia School of Design for Women (maintenant connue sous le nom de Moore College of Art and Design), où elle a développé une approche unique du portrait. Ses premières œuvres reflétaient l'influence du réalisme et de l'expressionnisme.
Dans les années 1930, elle a déménagé à New York, où elle a vécu dans divers quartiers, y compris Greenwich Village et Spanish Harlem. Cette période a été marquée par des défis personnels, y compris la perte de sa première fille et des difficultés financières. Malgré ces obstacles, elle a continué à peindre, se concentrant souvent sur les gens de son entourage.
Les portraits d'Alice Neel sont connus pour leur représentation psychologique profonde et leur honnêteté brute. Elle a peint une variété de sujets, y compris des amis, des voisins, des activistes, des artistes et des personnalités publiques. Ses œuvres offrent un aperçu des différentes couches sociales et culturelles de New York, notamment durant les époques de la Grande Dépression et des mouvements des droits civiques. Elle est célèbre pour avoir capturé l'essence des individus souvent invisibles aux yeux de la société américaine. Son œuvre, profondément ancrée dans une démarche de représentation des marginaux, des exclus, des malades mentaux, ainsi que des communautés portoricaines en proie à la pauvreté, offre un visage humain et poignant à ces groupes négligés.
Alice, qui se déclarait elle-même fascinée par les « perdants » tant dans la sphère politique que dans les tréfonds de la vie quotidienne, a produit des portraits intenses et dénués de tout artifice. Son travail se distingue nettement des mouvements d'avant-garde contemporains, souvent empreints d'abstraction, par sa crudité et son réalisme sans concession. Se considérant comme une « collectionneuse d'âmes », son art explore non seulement l'apparence extérieure de ses sujets, mais plonge également dans les méandres de la psyché humaine.
Dans son style unique, brut et authentique, elle a également abordé des sujets difficiles tels que la nudité, souvent représentée de manière crue et sans embellissement, et des thèmes sociaux poignants, y compris les femmes enceintes ou victimes de violences domestiques. Par ces représentations, elle a remis en question les conventions traditionnelles de la représentation féminine dans l'art.
Dans les années 1960 et 1970, la reconnaissance d'Alice Neel a augmenté, notamment avec une exposition individuelle à la Whitney Museum of American Art en 1974. Ses œuvres ont été saluées pour leur approche non conventionnelle et leur commentaire social poignant.
Alice Neel est décédée en 1984, mais son héritage persiste. Elle est considérée comme l'une des portraitistes les plus importantes du 20e siècle, ayant influencé de nombreux artistes contemporains. Reconnue pour son indépendance et son caractère affirmé, elle fut pionnière dans la liaison des luttes de sexes, de classes et des questions d'origine à travers ses œuvres. Aujourd'hui, elle est célébrée comme une icône du féminisme et un modèle d'engagement, continuant d'inspirer les nouvelles générations d'artistes féminines. Son travail continue d'être exposé dans des musées et des galeries du monde entier.
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jaimelire-france · 2 months
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La Société mourante et l’Anarchie est un ouvrage majeur de Jean Grave (1854 — 1939), figure importante du mouvement anarchiste français.
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information-2-0 · 7 months
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marcosernestomarsal · 9 months
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La radio por la cual entendimos la onda nuestra, y esperemos que continue siendo asi
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chlcavalier · 4 months
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Deux photos des marchés de Noël à la Fabrique Pola (09-10 décembre) avec @learabeau et à l'Athénée Libertaire (17 décembre), merci aux gens qui sont venus, nous on acheté des petites choses ! Merci à @sarah-ayadi pour les photos ♥
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philosophie-21 · 19 days
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NIA - Fais ton choix : une chanson libertaire pleine de vie
Partagez cette vidéo avec tous ceux qui ont besoin d'un peu de joie et de liberté dans leur vie !
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La trame du film Après la mort de Franco, le régime espagnol va maintenir un appareil policier et militaire semblable à celui du régime franquiste. Au cours de la « transition démocratique » espagnole et la signature des pactes de la Moncloa en 1977 par les partis politiques, mais refusée par la CNT (Confédération National du Travail), va ouvrir la voie à une violente répression à l’encontre du mouvement anarchiste et libertaire. En février 1978, 12 libertaires sont arrêtés lors d'une rafle sur le territoire espagnol. C’est au cour d'opérations militantes que, notamment, Victor et Bernard seront appréhendés. Bernard Pensiot sera arrêté à Barcelone le 3février 1978, Victor, lui, a été cerné à la frontière espagnole avec 3 autres compagnons le 4 février 1978. Avant d’être incarcérés à La Modelo ils seront durement torturés pendant 72 heures lors des «interrogatoires» de la Guardia civil.
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vincentreproches · 2 years
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dixvinsblog · 1 month
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Histoire et civilisation - Pierre Kropotkine(1842-1921) un révolutionnaire libertaire -
Pierre Kropotkine (1842-1921) Le prince Pierre Kropotkine, l’une des principales figures du mouvement anarchiste, rêvait d’un monde sans violence, ni autorité du gouvernement. Il voyait la société comme la coopération volontaire de gens libres. Aujourd’hui, ses idées continuent d’animer nombre de personnes. Pierre Kropotkine, également connu sous le nom de Piotr Alekseïevitch Kropotkine, est né…
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dailyanarchistposts · 15 days
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A.1.3 Why is anarchism also called libertarian socialism?
Many anarchists, seeing the negative nature of the definition of “anarchism,” have used other terms to emphasise the inherently positive and constructive aspect of their ideas. The most common terms used are “free socialism,” “free communism,” “libertarian socialism,” and “libertarian communism.” For anarchists, libertarian socialism, libertarian communism, and anarchism are virtually interchangeable. As Vanzetti put it:
“After all we are socialists as the social-democrats, the socialists, the communists, and the I.W.W. are all Socialists. The difference — the fundamental one — between us and all the other is that they are authoritarian while we are libertarian; they believe in a State or Government of their own; we believe in no State or Government.” [Nicola Sacco and Bartolomeo Vanzetti, The Letters of Sacco and Vanzetti, p. 274]
But is this correct? Considering definitions from the American Heritage Dictionary, we find:
LIBERTARIAN: one who believes in freedom of action and thought; one who believes in free will. SOCIALISM: a social system in which the producers possess both political power and the means of producing and distributing goods.
Just taking those two first definitions and fusing them yields:
LIBERTARIAN SOCIALISM: a social system which believes in freedom of action and thought and free will, in which the producers possess both political power and the means of producing and distributing goods.
(Although we must add that our usual comments on the lack of political sophistication of dictionaries still holds. We only use these definitions to show that “libertarian” does not imply “free market” capitalism nor “socialism” state ownership. Other dictionaries, obviously, will have different definitions — particularly for socialism. Those wanting to debate dictionary definitions are free to pursue this unending and politically useless hobby but we will not).
However, due to the creation of the Libertarian Party in the USA, many people now consider the idea of “libertarian socialism” to be a contradiction in terms. Indeed, many “Libertarians” think anarchists are just attempting to associate the “anti-libertarian” ideas of “socialism” (as Libertarians conceive it) with Libertarian ideology in order to make those “socialist” ideas more “acceptable” — in other words, trying to steal the “libertarian” label from its rightful possessors.
Nothing could be further from the truth. Anarchists have been using the term “libertarian” to describe themselves and their ideas since the 1850’s. According to anarchist historian Max Nettlau, the revolutionary anarchist Joseph Dejacque published Le Libertaire, Journal du Mouvement Social in New York between 1858 and 1861 while the use of the term “libertarian communism” dates from November, 1880 when a French anarchist congress adopted it. [Max Nettlau, A Short History of Anarchism, p. 75 and p. 145] The use of the term “Libertarian” by anarchists became more popular from the 1890s onward after it was used in France in an attempt to get round anti-anarchist laws and to avoid the negative associations of the word “anarchy” in the popular mind (Sebastien Faure and Louise Michel published the paper Le Libertaire — The Libertarian — in France in 1895, for example). Since then, particularly outside America, it has always been associated with anarchist ideas and movements. Taking a more recent example, in the USA, anarchists organised “The Libertarian League” in July 1954, which had staunch anarcho-syndicalist principles and lasted until 1965. The US-based “Libertarian” Party, on the other hand has only existed since the early 1970’s, well over 100 years after anarchists first used the term to describe their political ideas (and 90 years after the expression “libertarian communism” was first adopted). It is that party, not the anarchists, who have “stolen” the word. Later, in Section B, we will discuss why the idea of a “libertarian” capitalism (as desired by the Libertarian Party) is a contradiction in terms.
As we will also explain in Section I, only a libertarian-socialist system of ownership can maximise individual freedom. Needless to say, state ownership — what is commonly called “socialism” — is, for anarchists, not socialism at all. In fact, as we will elaborate in Section H, state “socialism” is just a form of capitalism, with no socialist content whatever. As Rudolf Rocker noted, for anarchists, socialism is “not a simple question of a full belly, but a question of culture that would have to enlist the sense of personality and the free initiative of the individual; without freedom it would lead only to a dismal state capitalism which would sacrifice all individual thought and feeling to a fictitious collective interest.” [quoted by Colin Ward, “Introduction”, Rudolf Rocker, The London Years, p. 1]
Given the anarchist pedigree of the word “libertarian,” few anarchists are happy to see it stolen by an ideology which shares little with our ideas. In the United States, as Murray Bookchin noted, the “term ‘libertarian’ itself, to be sure, raises a problem, notably, the specious identification of an anti-authoritarian ideology with a straggling movement for ‘pure capitalism’ and ‘free trade.’ This movement never created the word: it appropriated it from the anarchist movement of the [nineteenth] century. And it should be recovered by those anti-authoritarians … who try to speak for dominated people as a whole, not for personal egotists who identify freedom with entrepreneurship and profit.” Thus anarchists in America should “restore in practice a tradition that has been denatured by” the free-market right. [The Modern Crisis, pp. 154–5] And as we do that, we will continue to call our ideas libertarian socialism.
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ontemanipule-blog · 1 year
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Dès le 7 Mars 2023, contre le travail  jusqu’à la mort, je montre l’exemple :  Jusqu’au retrait de la réforme, je ne poste plus rien. A part éventuellement des infos liées à la lutte, comme la liste des caisses de soutien. https://paris-luttes.info/caisses-de-greve-contre-la-reforme-16708  N’hésite pas à faire de même. Ensemble le monde change.
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Seule une critique de l’idéologie pourrait permettre au sujet de s’extraire de l’impasse discursive dans laquelle se sont enfoncées les "démocraties occidentales", en prise aux puissants Denkverbot (interdit de penser) que sont:
-L’innovationnisme technologique
-L’écologisme-climatisme
-Le lgbtisme-féminisme
-L’antiracisme…
qui par le surmoi social (Kultur-Überich) qu’ils font peser sur le sujet du discours courant, ouvrent la porte à un fascisme numérique supranational plus toxique, régressif et dévastateur que tout ce que l’humanité a connu jusque là…
L'illustration la plus courante de l'idéologie est probablement celle de Marx, le célèbre "cela, ils ne le savent pas, mais ils le font".
On attribue donc à l'idéologie une certaine naïveté constitutive: l'idéologie méconnaît ses conditions, ses présuppositions effectives, son concept même implique un écart entre ce qu'on fait effectivement, et la "conscience fausse" qu'on en a.
Le but de l'analyse critique-idéologique est donc de détecter, derrière l'universalité apparente, la particularité d'un intérêt qui fait ressortir la fausseté de l'universalité en question: l'universel est en vérité pris dans le particulier, déterminé par une constellation historique concrète…
Mais aujourd’hui, sous la pression persistante du wokisme, qui dans le déni du réel où il se fonde, est à considérer comme la religion païenne sans transcendance des postmodernes qui couvre les Denkverboten cités plus haut, l’argumentation rationnelle n’a plus droit de cité, le discours courant ne dépasse plus le niveau de l’opinion, et toute pensée, tout argument, tout raisonnement sont automatiquement ravalés à une opposition binaire: pro- ou anti–, pour ou contre, -phile ou -phobe. Voilà donc le formidable exploit d’essorage et d’aplatissement des consciences opéré en un peu plus de cinquante ans par l’idéologie libérale-libertaire dont se soutiennent les technologies dites "numériques", le sacro-saint mythe progressiste identifié aux seules performances machiniques du calcul: 0 ou 1.
À l’opposé de cet obscurantisme new-age, pour ceux qui ont appris à compter jusqu’à trois, il y a la découverte freudienne de l’inconscient dont les conséquences restent encore largement ignorées plus d’un siècle après…
La psychanalyse n’est pas à réduire au rang d’une technique destinée à "thérapier le psychique", à son niveau le plus fondamental, l’analyse offre l’expérience de ce qu’il en est — en vérité et dans le Réel — de l’impossible et donc des possibilités de l’ex-sistence humaine la plus radicale, à savoir la sienne.
Que «la société» procède du refoulement et pas l’inverse, voilà la véritable subversion freudienne, voilà le dire de Freud qui est encore loin d’avoir fait son chemin, notamment chez l’immense majorité de ceux-là même qui se réclament de la psychanalyse.
Ce n’est pas "moi" qui m’inscris dans la société mais bien l’Autre qui est toujours déjà là, en moi, non pas sur un mode identificatoire, mais par césure. Je ne suis pas étranger à la société, il y a toujours déjà un étranger qui vit en moi.
Nous sommes disjoints de nous-mêmes, décentrés, déjetés, dégénérés, c'est le sens de ce qui, en psychanalyse, a pris le nom de "castration symbolique", qui est un pléonasme car c’est le symbolique, le langage, qui nous a toujours déjà coupé de nous-mêmes en colonisant notre corps jusqu’à la dernière de nos cellules.
Si nous communiquons avec d’autres, c’est parce que nous ne pouvons pas directement communiquer avec nous-mêmes, nous avons toujours besoin de la médiation de l’Autre.
L’Autre c’est le lieu du langage, le trésor des signifiants.
Pour le sujet humain, ce qui se passe ce sont des mots, c’est le désir en tant que désinence du dire qui fait la loi au sujet, et c’est le langage qui fait la loi du désir.
Le vrai malaise dans la civilisation aujourd’hui, c’est de ne plus apprendre à parler…
La caste des médiocrates au pouvoir, des politiciens professionnels de gauche ou de droite a consolidé son empire par l'emploi d'une langue simplifiée, binaire, proche du modèle informatique.
L'emploi de cette novlangue, hégémonique dans les médias, rend incapable l'accès à la dialectique et donc à la pensée.
Nous ne savons plus parler, nos lèvres sont sèches et les mots sont déjà morts avant de passer la barrière de nos dents.
Apprendre à parler présuppose toujours d'apprendre à lire, puis écrire, et aussi dessiner, composer comme on aiguise une lame, comme on répète des enchaînements pieds-poings, apprendre à parler c'est apprendre à se battre.
Le combat n’est pas un moyen, le combat est une fin.
Comme disait Platon «seuls les morts auront vu la fin du combat.»
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icariebzh · 2 months
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 "Mieux vaut se suicider à domicile que se tuer au travail." Blaise Lesire  lCorection effectuée sur les saints conseils du Marquis de l'Orée, ici-même
"Barbituriques, anxiolytiques, insuline, morphine, chloroquine, alcuronium. Selon leurs dosages, cette liste de médicaments n’est pas pensée pour soigner, pour guérir. Au contraire, ils sont faits pour tuer. Pour se tuer plus exactement. Ces prescriptions précises constituent l’essentiel du dernier chapitre d’un livre intitulé Suicide, mode d’emploi. Histoire, technique, actualité, publié en 1982. Claude Guillon et Yves Le Bonniec, les auteurs de cet ouvrage, sont deux intellectuels anarchistes et libertaires qui revendiquent le droit à mourir. Et qui placent cette question au cœur de la lutte des classes. Ainsi, Guillon et Le Bonniec militent pour que le droit à mourir puisse être exercé par tous sans douleur, sans violence. Autrement dit, que le suicide médicamenteux, pensé comme le moins douloureux, ne soit pas réservée aux médecins, aux pharmaciens, aux bourgeois. Que les ouvriers, les prolétaires, ne soient pas condamnés à choisir entre le fusil, la pendaison ou la défenestration. Qu’ils puissent eux aussi exercer leur droit au suicide dans les mêmes conditions, avec les mêmes “options”, que les autres. Mais ces informations sont dangereuses. Les Hommes, fragiles, et la mort, politique. Quinze ans après sa publication, des dizaines de procès et une loi plus tard, le livre et sa liste de médicaments mortels seront censurés et condamnés à disparaître. Un récit documentaire de Juliette Prouteau" Source: France-Inter Suicide mode d'emploi, le livre interdit 
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"Ce qui est gênant dans la morale, c'est que c'est toujours la morale des autres." Léo Ferré
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aurevoirmonty · 4 months
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« Cette société civile est le triomphe de la stratégie capitaliste. En douce, en dénonçant le dictatorial, le répressif, l’autorité, elle a pu imposer le système des dictatures molles, celles qui devraient permettre la réalisation de son projet initial : le pourrissement de l’histoire. »
Michel Clouscard, Les Dégâts de la pratique libérale libertaire (1987)
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