love having a b2-c1 niveau en francais i can just decide to rewatch dead poet's society mais cette fois en francais and then go ahead and do it woaggggg learning langagues macht viel spaß!
Fan du Cercle des Poètes disparus. S'il y a bien un seul film à voir avant de mourir, c'est bien celui-là. Des frissons courent encore sur mon échine à l'évocation de quelques répliques cultes et les scènes se jouent toujours devant moi. Les élèves debout sur les tables. Ô capitaine mon capitaine !
C'est le doux écho d'un professeur, voire de plusieurs pédagogues de génie, leur passion pour les belles lettres humaines résonnent dans ma tête, bulles de BD imaginaires qui réapparaissent de façon opportune. Je ne serais pas là sans eux. L'admiration béate en assistant à leurs enseignements. Mes modèles. Ils ont sculpté mes connaissances. Je ne serais certainement pas la personne que je suis devenue aujourd'hui, je leur rends cet hommage spirituel.
Ma plume se contient, une certaine réserve à leur égard. L'amour y est. Un déversement incalculable. Fantin, Wolff, Baur, Jeanpert, Ciccarello, Doumazane, Adam, Michel, Chevalier, Spica...Des noms que je réentends pour le plaisir nostalgique des bancs scolaires. Boire leurs paroles comme des infusions corsées, dont le goût plein de saveur restera de manière immarcescible dans mes souvenirs d'écolière, d'étudiante. J'espère reproduire un jour l'effet qu'ils m'ont procuré.
Rules: spell out either your name or username using only books or only movies that have your vibe, and tag some people.
ça fait un bail que je veux changer mon pseudo qui me soûle un peu je vais prendre mon prénom, et les lettres à trouver sont plus rigolotes.
H - Hôtel du Nord (Marcel Carné) haha j'ai trouvé pour le H
E - Esthétique (Hegel) livre que je n'ai pas commencé
L - Le cercle des poètes disparus (N.H. Kleinbaum)
E - Enid, le premier tome des Quatre Soeurs de Malika Ferdjoukh
N - Naissance des pieuvres (Céline Sciamma) Pas encore vu mais c'est prévu avant fin août)
E - Esther de Jean Racine ( pas lu non plus mais ca fait genre 15 ans que je veux le lire à cause des Colombes du roi soleil du coup ça fait un peu partie de mes vibes à savoir la procrastination)
C’était chaud pour les E, mine de rien. Et oui la moitié des lettres c'est des trucs que je n'ai pas vu/lu mais ça devrait se faire dans le mois (sauf peut-être pour Esther).
Déso si il y a des fautes, je tape sur mon clavier dans le noir.
Je tague au hasard (si ça vous fait envie et que je vous mentionne pas allez y) @skip-chiantos @par-merlin @pourquoicommentparceque @idereahellyeah @wonderbandersnatch @xxx-wounded-angel-xxx @jezatalks et @larosezen !
La version acceptable professionnellement : je m'adapte aux classes auxquelles j'enseigne. À leurs besoins, à leurs points forts et leur faiblesse. Il y a de ça, bien entendu.
La version personnelle : je m'ennuie, sinon. Et oui, je ne le dirais jamais ainsi, mais j'ai besoin que les élèves m'intéressent. Pas qu'ils réinventent la littérature, ou qu'ils me fassent un remake du Cercle des Poètes disparu à chaque cours, bien entendu. Mais j'ai besoin de les voir réagir. Que ce soit pour s'horrifier devant une règle de grammaire particulièrement tordue "Mais monsieur, c'est impossiiiiiible !" ou s'extasier devant un texte "Et ensuite il va se passer quoi ?"
Leur indifférence est ma kryptonite ; elle me rend impatient et désagréable. Il y a souvent ce débat qui ressort sur les réseaux sociaux : les profs doivent-ils être intéressants pour leurs élèves.
Je n'en sais rien. Je sais qu'il faut réussir à créer un effort commun : leur donner le carburant nécessaire pour se lancer. Et eux, faire preuve d'endurance et de persévérance pour aller plus loin. Intégrer en eux, vraiment en eux, le récit de La Belle et la Bête, proposer leurs lumières sur les ténèbres de Lovecraft, ouvrir le loquet des propositions subordonnées. Je ne supporte pas de les voir assister.
C'est mon secret. Mais c'est aussi une sacrée motivation.
La version acceptable professionnellement : je m'adapte aux classes auxquelles j'enseigne. À leurs besoins, à leurs points forts et leur faiblesse. Il y a de ça, bien entendu.
La version personnelle : je m'ennuie, sinon. Et oui, je ne le dirais jamais ainsi, mais j'ai besoin que les élèves m'intéressent. Pas qu'ils réinventent la littérature, ou qu'ils me fassent un remake du Cercle des Poètes disparu à chaque cours, bien entendu. Mais j'ai besoin de les voir réagir. Que ce soit pour s'horrifier devant une règle de grammaire particulièrement tordue "Mais monsieur, c'est impossiiiiiible !" ou s'extasier devant un texte "Et ensuite il va se passer quoi ?"
Leur indifférence est ma kryptonite ; elle me rend impatient et désagréable. Il y a souvent ce débat qui ressort sur les réseaux sociaux : les profs doivent-ils être intéressants pour leurs élèves.
Je n'en sais rien. Je sais qu'il faut réussir à créer un effort commun : leur donner le carburant nécessaire pour se lancer. Et eux, faire preuve d'endurance et de persévérance pour aller plus loin. Intégrer en eux, vraiment en eux, le récit de La Belle et la Bête, proposer leurs lumières sur les ténèbres de Lovecraft, ouvrir le loquet des propositions subordonnées. Je ne supporte pas de les voir assister.
C'est mon secret. Mais c'est aussi une sacrée motivation.
Le but de ce blog étant juste de voler les devoir de @lucie-dezaux-22-23 (oui oui vous lisez bien !), je vais donc vous citer une petite liste non exhaustive et pas piqué des Hanneton de mes films favoris.
(Les films ne sont pas rangés dans l'ordre et ♡ signifie ce qui me sont le plus chers à mon cœur ; bonne lecture !)
CINÉ CINÉMA #cineserie #cinécinéma #PHILO Merlí SYNOPSIS La série suivant la vie d'un professeur de philosophie nommé Merlí Bergeron qui tente d'enseigner à ses élèves de lycée de manière non conventionnelle. Chaque épisode de la série a pour thème et porte le nom d'un philosophe connu, le premier épisode étant par exception nommé pour les péripatéticiens. BANDE ANNONCE https://youtu.be/hQj3gBgLihA DÉTAILS Depuis 2015 / 50 min / Drame Titre original : Merlí Créée par Héctor Lozano Avec Francesc Orella, David Solans, Pere Ponce Nationalité Espagne CRITIQUE Dans la série catalane Merlí , un professeur aux méthodes atypiques vient en aide aux élèves grâce à la philosophie. Comme dans La Faute à Rousseau, qui en est l’adaptation française. C’est quoi, Merlí ? Merlí Bergeron (Francesc Orella) arrive en tant que professeur de philosophie remplaçant dans un lycée de Barcelone. Divorcé, contraint d’habiter chez sa mère, il se retrouve à enseigner dans la classe de son fils Bruno (David Solans) avec qui il est en froid. Et Merlí a des méthodes d’enseignement atypiques qui ne laissent personne indifférent : ses collègues et sa hiérarchie lui sont hostiles et les parents sont perplexes, mais ses élèves l’adorent. Au lieu des cours classiques, il les pousse à développer leur esprit critique et à travers la pensée des grands philosophes, il les aide à surmonter leurs problèmes personnels. Au lieu de suivre le programme ou les directives pédagogiques, Merlí est un enseignant passionné et provocateur qui se la joue Cercle des poètes disparus : à partir de concepts philosophiques, il discute avec les lycéens qu’il surnomme les péripatéticiens (en référence aux élèves d’Aristote), les incite à penser par eux-mêmes, à tout remettre en question y compris l’autorité, et il les pousse à appliquer les grands courants de pensée à la vie réelle pour résoudre leurs problèmes personnels. L’une des particularités de Merlí vient du titre des épisodes, portant tous le nom d’un philosophe (Platon, Machiavel, Schopenhauer, Foucault, Hannah Arendt, Guy Debord) dont la pensée sert d’épine dorsale à l’intrigue principale. Un concept comme la mort de Dieu, le libre-arbitre ou la dialect https://www.instagram.com/p/CiPdYzms2Aj/?igshid=NGJjMDIxMWI=