Tumgik
#french litterature
anais-s-world · 5 months
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✨️Si vous voulez mon avis, je l'aime beaucoup trop XD
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ameretat · 8 months
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Bonjour à tous,
J’ai hérité d’une partie de la bibliothèque de mon arrière grand-père ! Grand germanophile et passionné d’Histoire. Il avait pour habitude d’offrir un de ses livres à chaque arrière petit-enfant pour Noël. Alors, pour perpétuer cette tradition à ma façon, voilà les livres que je ne lirai pas et que je peux vous donner s’il y en a qui vous intéresse !
Vous pouvez m’envoyer un message privé. N’hésitez pas à partager ce post et à en parler autour de vous ✨
Ps : quand il n’y en a plus, il y en a encore !
Je donne également :
Lettres et Propos sur l'Art, Nicolas Poussin
La tentation de l'Occident, André Malraux
Le Ciel et l'Arcadie, Maurice Denis
Face au drapeau, Jules Verne
Les vieux souvenirs, Prince de Joinville
Vielles Maisons - Vieux papiers, G. Lenotre
Le mystère français, Emmanuel Todd et Hervé Le Bras
Discours sur l'Histoire universelle, Bossuet
l'Histoire du sentiment religieux en France + La poésie pure, Henri Bremond
Histoire de France + Histoire de deux peuples, Jacques Bainville
Histoire contemporaine : philosophie mathématiques
Le XVIIème siècle, Lagarde et Michard
Récits du temps Mérovingien, Augustin Thierry
Histoire d'Allemagne, Charles Bonnefon
L'Allemagne, Edmond Vermeil
L'Allemand, Jacque Rivières
Français et Allemands, Louis Reynaud
La guerre sous les mers, Edmond Dellage
Précis de droit maritime, Georges Ripert
Chronique des Pasquiers, Georges Duhamel
Les coulisse de l'Histoire, Octave Homberg
Splendeurs et misère de M. de Chateaubriand
Des livres sur Charles de Gaulle ainsi que sur sa femme, des oeuvres d'André Maurois, Emmanuel Mounier, et Katherine Mansfield. Une grande collection de l'oeuvre de Jules Romain. Certains volumes de la collection Semaines sociales de France, ainsi que de l'A.E.S.
Et si vous parlez allemand, il y a toute une collection de livres allemands !
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fleurdusoir · 11 months
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Elle était si belle Que tu n’aurais pas osé l’aimer
Guillaume Apollinaire, 1909
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tareksouissi · 1 year
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Ce n'est pas parce que la vie n'est pas élégante qu'il faut se conduire comme elle.
Françoise Sagan.
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phileolemon · 6 months
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Song of Autumn
I love the greenish light of your long eyes, Sweet beauty, but today all to me is bitter ; Nothing, neither your love, your boudoir, nor your hearth Is worth as much as the sunlight on the sea. Yet, love me, tender heart ! be a mother, Even to an ingrate, even to a scapegrace ; Mistress or sister, be the fleeting sweetness Of a gorgeous autumn or of a setting sun. Short task ! The tomb awaits ; it is avid ! Ah ! let me, with my head bowed on your knees, Taste the sweet, yellow rays of the end of autumn, While I mourn for the white, torrid summer ! – From the French of Baudelaire in 1857, William Aggeler, 1954
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bleedingvuitton · 10 months
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sandradulierauteur · 3 months
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I think we, as a website, need to talk about Arthur Rimbaud, his life and psychology, more
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le-reseda · 1 year
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ogingerx · 1 year
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Très vite dans ma vie il a été trop tard.
L’Amant de Marguerite Duras
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galliaestomnis · 1 year
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Après trois ans
Ayant poussé la porte étroite qui chancelle, Je me suis promené dans le petit jardin Qu’éclairait doucement le soleil du matin, Pailletant chaque fleur d’une humide étincelle.
Rien n’a changé. J’ai tout revu : l’humble tonnelle De vigne folle avec les chaises de rotin… Le jet d’eau fait toujours son murmure argentin Et le vieux tremble sa plainte sempiternelle.
Les roses comme avant palpitent ; comme avant, Les grands lys orgueilleux se balancent au vent, Chaque alouette qui va et vient m’est connue.
Même j’ai retrouvé debout la Velléda, Dont le plâtre s’écaille au bout de l’avenue, – Grêle, parmi l’odeur fade du réséda.
Paul Verlaine, Poèmes saturniens
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classyflyingsamurai · 2 years
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Seul face à ces sons qui percent ma cervelle.
Les cieux ce soir ont décidé de s'exprimer et, semblables à mon esprit fissuré par mes pensées, se sont scindés en des sons étincelants et fracassants. Jusqu'à ce que sonne le glas de ces incessantes aberrations, ces absurdités qui saccadent en excès l'atmosphère affolée, jusqu'à ce que cesse cet orchestre glaçant mes sens et m'assaillant de sons acerbes et acérés, ces sommités blanches brusques et colossales, je ne saurais trouver la consolation du néant, la berceuse du silence qui sait adoucir mes songes.
Et pourtant, singulièrement passionné par ces immondes insanités, ces immondices du ciel fatigué, je ne peux souhaiter que passe la sottise de cette inconscience et que disparaissent ces souffrances. Je me complais tristement dans ce vacarme assourdissant, comme si la répression était une nécessité, comme si la sanction des cieux sur ce sol esseulé était une récompense, comme si la détresse remplaçant la rationalité était un fait admissible, comme si la destruction était acceptable.
Il faut certes assumer que ces actions sont nécessaires, que celles-ci doivent passer, que celles-ci sont des affres enracinés de circonstances capricieuses ; il faut certes assumer qu'elles sont la source du fossé qui s'est affaissé sous le poids de la pression d'un passé saccagé, d'une relation échaudée brisée par les percussions d'une puissante force assassine. Mais je suis lassé de tout cela, le temps s’étend et me laisse las.
Je sais que je ne dois me laisser posséder par ce spectacle, que rien ne sert de fantasmer une existence quand sont imposées les notions d'un destin qui ne saurait s'éluder, que ce spleen se devra de s'évaporer. Je sais que tout doit s'arrêter, que tout cela cessera bientôt -ou que cela le devrait. Et pourtant, je ne peux évincer cette tendance personnelle, je ne peux progresser sans me laisser séduire par ces afflictions qui transpercent un ciel déjà sombre. Je n'arrive pas à avancer, je suis seul, paralysé, stupéfié, devant ces anéantissements ensorcelants, et je suis passif, subissant le sort et le suppliant de m'aspirer dans sa passion destructrice. Je dois avancer, laisser la frénésie glisser au-dessus de ma tête.
Mais je n'y parviendrai pas, tout est terminé, tout est mérité. Et je suis fatigué.
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secundus-rabies · 1 year
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Camus, D. et moi
L’Homme Révolté est un pacte de non-suicide passé entre deux amis, et on a juste l’infinie chance d’avoir été dans la confidence. 
Camus, c’était déjà l’amour d’un style que je ne comprenais pas. Au lycée, avec D., je ne voyais que la simplicité et le découragement, l’absurde n’était qu’une vague idée proche du nihilisme, Meursault un personnage aussi détestable que les racistes post-Charlie Hebdo, nous confondions tout, le terrorisme se mêlait à l’islamophobie, le lycée avec la vie. Et on a adapté l’Etranger en court-métrage. Comme l’effort de style, pourquoi est-ce que deux ados plein de dégoût ont-ils fait un effort sur la mise-en-scène, ont-ils eu l’urgence de rassembler pour rendre un objet duquel nous serions, même des années après, fiers ?
C’est pour D. que j’ai lu l’Homme Révolté, un an après le bac. Camus me manquait car en réalité, lui me manquait. Nous n’étions peut-être pas si amis que ça, pour des lycéens. Jamais aux soirées l’un de l’autre, jamais assis ensemble, nous passions les récréations séparés. Pourtant il m’a touchée en plein cœur et en pleine tête. J’étais féministe, il m’a poussée vers le marxisme ; j’étais idéaliste, il m’a rappelée à la terre ; j’étais mondaine, il m’a montré à quel point j’étais seule. Je ne comprenais pas tout chez lui ; son désespoir n’était pas le même que le mien, parce que chaque fois que j’étais à ses côtés, j’apprenais tant de choses que j’aurais pu en pleurer d’émotion. Face au puits je n’étais qu’un seau tout vide. Il pouvait exister sans moi, je survivais à force de descendre et remonter toute cette eau vers mon foyer. 
Je suis devenue un puits un an après, et j’avais usé toute l’eau que je lui avais volé. 
Camus me manquait, alors j’ai ouvert l’Homme Révolté. 
J’avais lu Marx bien sûr, 2016 l’Agitée avait eu le temps de me le mettre entre les mains. Il ne m’a apporté que la possibilité de décrypter le monde avec autre chose que mon cœur, et décrypter le monde me le brisait chaque jour un peu plus fort. J’étais seule en manifestation, je ne chantais pas, je voulais simplement “y être”. Camus m’a demandé pourquoi, alors que je voulais me donner la mort. Je n’ai pas su répondre. 
Comme j’aurais aimé envoyer un message à D., lui dire que nous nous étions trompés, qu’il fallait se tordre entre le nihilisme qu’on nous avait assigné et sa négation rayonnante. 
“L’obsession de la moisson et l’indifférence à l’histoire, écrit admirablement René Char, sont les deux extrémités de mon arc”. Si le temps de l’histoire n’est pas fait du temps de la moisson, l’histoire n’est en effet qu’une ombre fugace et cruelle où l’homme n’a plus sa part. Qui se donne à cette histoire ne se donne à rien et à son tour n’est rien. Mais qui se donne au temps de sa vie, à la maison qu’il défend, à la dignité des vivants, celui-là se donne à la terre et en reçoit la moisson qui ensemence et nourrit à nouveau. Pour finir, ceux-là font avancer l’histoire qui savent , au moment voulu, se révolter contre elle aussi. Cela suppose une interminable tension et la sérénité crispée dont parle le même poète. Mais la vraie vie est présente au cœur de ce déchirement. Elle est ce déchirement lui-même, l’esprit qui plane sur des volcans de lumière, la folie de l’équité, l’intransigeance exténuante de la mesure. Ce qui retentit pour nous aux confins de cette longue aventure révoltée, ce ne sont pas des formules d’optimisme, dont nous n’avons que faire dans l’extrémité de notre malheur, mais des paroles de courage et d’intelligence qui, près de la mer, sont même vertu. "Au-delà du nihilisme” p. 377-378. 
En 2016, je lisais l’Homme Révolté après t’avoir hélas enfin compris. 
En 2017, je m’engageais au NPA, qui un mandat après implosera lentement, me laissant de nouveau seule avec une volonté d’annihilation de moi-même et des autres. 
J’écris de l’hôpital où je veux de nouveau mourir. 
Je relis Camus, et en même temps je nous relis, nous, et notre volonté désespérée de le faire ce film. Et de le faire bien. 
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tareksouissi · 2 years
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C'est la beauté qui commence de plaire, mais la douceur achève de charmer.
Molière
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anolis3 · 2 months
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"Biotanistes", by Anne-Sophie Devriese.
"La fin de ce monde, et plus encore les mondes dont elle accouchera, dépendront étroitement des liens que nous parviendrons à tisser et de l'imaginaire que nous réussirons à inventer dans le futur le plus proche", from Un autre fin du monde est possible - Vivre l'effondrement (et pas seulement y survivre), by Pablo Servigne, Raphaël Stevens and Gauthier Chapelle.
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histoires-incroyables · 5 months
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Histoires Incroyables / Incredible stories / goes live !
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