Tumgik
#chez chaos
clatterbane · 5 months
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Going very British tonight: putting together some quick chicken tikka masala with Patak's curry paste!
Never been as wild about that one, but it was the curry paste variety that I spotted in a supermarket here. Better variety in the cooking sauces, but I prefer to use the paste actual BIR takeaway style. They usually buy the Patak's pastes by the bucket.
Tonight, the sauce is getting the ever-popular "half a thing of whatever tomato product is open in the fridge", passata this time. Mr. C also bought light cream (here, matlagningsgrädde or "cooking cream") because I forgot to specify. It's all good. ¯\_(ツ)_/¯
On more of a hillbilly fusion note, though, I'm also planning to make some half-assed take on a dry cabbage curry in the Instant Pot, to go with it. We had half a big head of cabbage in the fridge. This is basically just going to be a pressure cooker version of my usual fried cabbage, but with different seasoning. Which is true enough of a lot of actual South Asian versions, probably including the pressure cooking sometimes to speed up the braising part. People there usually have access to a better assortment of spices than I do right at the moment, though thankfully that should be partly remedied after we get the latest Drakfrukt order.
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deathbyoctopi · 2 years
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this scene here is hilarious
Never again do we see Wen Chao so ill at ease. Mind you, not nervous while haunted by ghosts, not scared with a turtle-snake trying to eat him, not intimidated like with his father, nor bored as in the indoctrination time...  
Just... there. Waiting for the audience. The SECOND SON of the most powerful family, next to a hooligan who doesn’t respect him one bit, and Wen Chao probably knows from experience he’d better not expect or demand that respect from Xue Yang (who will laugh at his poor attempts at bootlicking Clan leader Wen))
Anyways, this is the only scene they share together and it speaks volumes of either’s personality and the strange special status Xue Yang holds in Nevernight
thank you, I want more
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ariel-gremlinzkeep · 1 year
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DNI: 🚫🐢t©️est🚫
🄾🅈🄰🄹🄸 🅁🄾🄽🄸🄽'🅂 🄲🅁🄾🅂🅂 🄳🄸🄼🄴🄽🅂🄸🄾🄽🄰🄻 🄰🄽🅃🄸🄲🅂
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🄸🄽🄳🄸🄴 🄵🄰🄽 🄰🅁🅃
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Micheal, Master of Chez (& Nail Studded Bats)
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Coin Toss ☆ Micheal ☆ @gemini-forest
Uprising : Dystopia ☆ Don & Shadowtello ☆ @alexthenerdbird
ToaF ☆ Oyaji Ronin ☆ mine
Chaos thanks to @tmntaucompetition
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mielpetite · 4 months
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Night Bright as Day, Vol 2- 6
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He would NEVER, Crowley how dare you imply such a thing! 😂 The best part of a pear is looking at it!
Sorry I need to catch up in posting here- things have been chaos in chez Miel!
If you are enjoying this comic though, and want to see advance pages, uncensored content and more, consider joining my Patreon. It’s the most fun you can have for $2 a month!*
Previous - Beginning - Next
*this claim has not been tested on humans.
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hiyoung8 · 2 months
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Derby Harrington headcanons
SALUT JE SUIS DE RETOUR !!
First of all, I wanted to apologize for my absence. My studies take up a lot of my time so I can't be very active right now. Also I'm still on the writing of Part V regarding the age of the students at Bullworth Academy, give me some more time.
To make up for this absence, I offer you a series of headcanons on Derby. Bonne lecture!
When he doesn't have school, Derby does photoshoots as a model for Aquaberry as can be seen on posters in the store
The girls hate him, except for Pinky perhaps, but he's ranked as one of the most handsome guys in school
He knows this and brags about it
He learns French as you can hear him pronouncing French words in one of his lines of dialogue ("accoutrement" ouais ouais c'est de chez moi ça mdrr)
In the evening, he sits in an armchair, a glass of wine filled in his hand and listens to jazz
After boxing, Derby plays a lot of tennis
It has its own land and equipment
The only course in which he gets good grades without paying for them is English because he loves the language and everything around him (literature, etc)
He doesn't know that Tad is plotting against him
When he's drunk, he can say anything (like telling Justin he considers him his best friend lol)
Her perfume is One Million by Paco Rabane
there was a time when Derby was the tallest of the group but now Bif is a head taller than him and maybe Parker a few inches taller and he's disgusted lmao
His love language is to give compliments here and there. Saying "I love you" directly is too difficult for him
After Bif, the one he's met and is close to too is Bryce (that's why we see him with him in the hole and the chaos at school)
He's a real poker cheat
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lounesdarbois · 9 months
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La croissance du nombre d'inscrits au pèlerinage de Chartres s'explique par une ouverture libérale au monde et se paiera par une dégradation liturgique et par une baisse du nombre des naissances. Les standards de la culture traditionnelle baissent, transformant l'ascèse d'un peuple en lutte pour sa vie en kermesse de la CGT pour Versaillais qui écoutent du rap. "Sept mille inscrits de plus au pèlerinage cette année! C'est le grand retour de la Chrétienté!" exultent ensemble les lecteurs de statistiques sur écran et déplaceurs de pions sur carte d'état-major. Non pas. C'est la prise de pouvoir du modernisme sur une micro-Chrétienté déjà mal en point, très attaquée de l'extérieur par le monde, très affadie de l'intérieur par les clercs. Croissance donc expansion ? Dilution donc affadissement. Un pélérinage traditionnel? Les JMJ.
Il suffit d'examiner ce que l'on voit. Le concret, la forme, le corps, ne mentent jamais. Par exemple la crétinisation de l'école se mesure beaucoup plus sûrement à l'effondrement vestimentaire et physique des professeurs que dans les statistiques de résultats scolaires. Quand on décore du nom de professeur une dame extravertie en surpoids habillée n'importe comment c'est que tout est fichu et que plus rien ne signifie rien. En matière de pèlerinage de Chartres, la Forme, avec le temps, depuis le temps (40 ans!) devrait se diriger vers davantage de Tradition chaque année, davantage de savoir-faire, davantage d'affermissement sur ses bases... mais elle va vers moins de Tradition, moins d'énergie, moins de noblesse. Inutile de farfouiller les points de doctrine. Il suffit de rapporter exactement ce que l'on voit. Qu'est-ce que l'on voit? Eh bien, un concerto de souffleurs de cornemuse pour vacancières en combishort Coachella qui vont au pélé "chez mémé" occuper leur place numérotée, répandre des ordures que les vieux messieurs ramasseront. Des veaux de 18 ans grandis sous cloche et sous mère intrusive, inconscients de l'heure qu'il  est. Un peuple inmariable.
La Tradition va régresser dans sa forme vestimentaire, langagière, en somme dans sa Culture, au niveau d'un club de caté charismatique des années 1990. Il lui restera la liturgie mais elle n'ira plus à l'église.
Chers rêveurs vous vivez selon des usages valables en temps de paix alors que nous sommes en temps d'invasion aggravée, de colonisation, de crise, de persécution, d'extermination. Assez d'analyse dépassionnée "avec du recul", et de cette intelligence de resquilleur "plus intelligent que cela", de ce vocabulaire de statisticien de l'OCDE. En matière de tradition, les standards de la vie pratique sont le vrai "sens du sacré", la seule véritable Culture, mesurable, vérifiable: le parler, le vêtement, la posture, le manger, la syntaxe, le débit, la non-mixité, la musique, l'usage, la hiérarchie, sont tous les affleurements d'une Forme aux soubassements plus profonds, invisibles, et sacrés. Abaissez vos standards culturels: vous profanez votre Religion. La Culture est la preuve de la conscience de soi, et celui qui renonce à sa Culture fuit dans l'abstrait comme un déserteur et perd sans le savoir mémoire, tradition, bientôt religion, ses défenses spirituelles qui sont les dernières frontières qui le protègent de l'égalité avec les barbares dans un monde sans frontières.
"Chacun fait ce qu'il veut" signifie chacun pour soi signifie tous contre tous. Que chacun fasse ce qu'il veut est un slogan de gauche produit par l'oligarchie de l'extrême-droite financière anti-Blanc, une paraphrase habile des deux vraies devises jamais proclamées, elles: "Diviser pour régner" et "L'ordre par le chaos".
Qu'est ce qui a perdu les Arabes? Le sucre. Qu'est-ce qui a perdu les Blancs? Le fun.
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Ce pèlerinage qui devait être le cœur battant impénétrable d'une micro-Chrétienté s'étendant par cliquet sur le monde athée sans enfant est devenu le réceptacle "très ouvert et détendu" de tous les dégazages de fonds de cuve du monde, nous voici en plein dans la mécanique mise à jour par Abel Bonnard dans Les Modérés.
L'Eglise est une Hiératique c'est à dire un Ordre vertical légiféré de manière transcendante pour ordonner une société respirable, avec des places pour chacun, des rôles, des grades, des habitudes forgées par l'expérience c'est à dire des usages qui remplissent nos vies dans ses aspects cardinaux, naissance, mariage, mort, et jusqu'aux plus reculés recoins, jusque dans le manger, le vêtir, le parler. Pourquoi faire? Pour que chacun connaisse exactement sa place et celle de l'autre sans recourir à des petits chefs pour la lui rappeler.
"La Paix c'est la tranquillité de l'ordre" et qui méprise cette antique maxime se condamne lui-même au bordel,  au dérisoire, au "fun", à la graisse, et à toutes les ponctions cocufiantes illustrées en "Nicolas, 30 ans".
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L'Eglise est une armée spirituelle qui dit aux soldats des deux sexes ce qu'ils doivent manger, comment ils doivent s'habiller, comment ils doivent prier, comment ils doivent vivre. Cette armée n'enrôle personne de force, elle accueille seulement les volontaires civils qui se présentent à sa porte décumane. Puisque l'Eglise ne nous poursuit pas de ses oukazes, puisque nous sommes entrés de plein gré et qu'elle est patiente et compréhensive pour nous, puisque nous mesurons par comparaison avec nos voisins embringués sous d'autres bannières à quelles rétorsions la religion chrétienne nous a donné d'échapper, alors rendons le bien pour le bien.
Parler peu et bien, porter le voile à l'église, la jupe longue en société, ne pas baffrer, ne pas comérer, ne pas exiger... sont le strict minimum auquel peut souscrire celle qui se dit chrétienne en période d'invasion aggravée et d'apologie de toutes les déviations. La modestie chrétienne du vêtement surtout, est la marque distinctive de la Vraie Foi dans un monde idolâtre du cul, elle est le signe vérifiable d'une "mise hors-monde" de la Chrétienne, sa configuration à Marie vérifiée par les actes, son avertissement aux démarcheurs, le cassage par avance de dents aux vils prédateurs, pour se prémunir soi-même et pour propager l'influence du vêtement modeste sur les autres jeunes filles dans un monde binaire qui les somme de montrer ou leur voile ou leur cul.
La maladie dont nous crevons c'est la stérilité et le métissage, connues sous les termes faibles de dénatalité et d'immigration. Le point nodal de tous les remèdes c'est la génération endogame séparée du monde c'est-à-dire la sainteté, étymologiquement la "séparation",  considérée comme moyen de survie dans ce monde et de vie dans l'autre. Cela signifie des sociétés fermées au plan organique, compétentes au plan professionnel, ascétiques au plan du mode de vie. C'est ainsi que vivaient les terroirs français. C'est ainsi que vivaient encore les Ligueurs, les Quakers, les Mormons, les Amish, les Pères Pèlerins, les Boers, les Irlandais envahis, les Italo-américains, et tant d'autres Formes éprouvées de furtivité sociale en territoire hostile. Ces gens avaient compris que l'on protège son peuple non par des sermons mais par une ingénierie sociale c'est-à-dire par une technique de la vie pratique, un parti-pris d'existence grégaire, par une Forme de vie quotidienne gardée par des standards pointilleux et par un Esprit de cette Forme qui sécurise la conservation de la substance raciale dans le temps pour assurer sa continuité cohésive transgénérationnelle (Laurent Ozon). Ainsi vivent aujourd'hui un millier de Blancs d'Orania en Afrique du Sud, rescapés des tortures et des massacres organisés par les pires barbares néolithiques imaginables, auprès desquels nos racailles font figure de plaisantins.
Dans l'enquête qui nous concerne, cette ingénierie, cette technique, cette école, cette ascèse, est la religion catholique bien comprise, relue à la lumière du temps d'invasion-propagande-prédation actuel, temps de persécution. "Il y a beaucoup de maisons dans la maison de mon père". Il y a assez de place dans l'Eglise pour une maison française, européenne, strictement organique (donc sans moi, qui m'arrête à son seuil tel Moïse devant la Terre Promise), selon des principes très bien décrits par Julien Langella dans "Catholique identitaire", et qui s'appuient sur l'exégèse biblique et l'apologétique. Et pour tout avouer bien nettement, non seulement la Religion est le seul moyen de peuplement bio qu'ont les Blancs hors du fascisme, mais la stérilité et le métissage ne sont même pas des punitions, ils sont de stricts résultats, comme dans une équation, de l'irréligion. En cas de doute on pourra relire avec profit les prédictions curieuses du chapitre 28 du Deutéronome, le testament de Louis XVI, ou encore employer pour une fois la statistique à bon escient comme l'a fait Patrick Buisson depuis 10 ans, constatant que partout et toujours la baisse des naissances chez les vrais Francais était précédée d'apostasies, alors que la prodigalité ne s'est observée que dans les temps et les régions d'enthousiasme et d'assiduité populaire pour la pratique religieuse familiale.
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Dans un monde binaire "la pute ou la voilée", la Troisième Voie se mérite par une ascèse c'est à dire par un combat spirituel exercé sur les aspects pratiques de notre vie. Veste longue et chaussures cirées miroir pour les hommes, voile et jupe sous le genou pour les dames, voilà le vrai test minimal, le vrai "respect de la Messe", le sens pratique du sacré, le prélude à la vraie dévotion intérieure. Un moine tout à sa Nepsis, tout à sa paix d'hèsychaste, l'imagine t-on en pantalon et tee-shirt ? Ou oisif ? Ou obèse ? La Religion est un hiératisme qui ordonne les aspects matériels de notre être social. Le vêtement. Le travail. Le jeûne. Le rangement. L'entraide. Ce sont là les bases de la Chrétienté, et pas du tout les cathédrales, qui en sont les fleurs.
Il n'y a pas de "catholicisme traditionnel" possible en sweat capuche ni combishort, nulle part, jamais. Car s'il en va ainsi des tratras, qu'en sera-t-il des modernos ? Et des protestants? Et des athées ? Et des LGBT? Voilà comment advient le règne du singe-robot de science-fiction, par la "transition", par la décontraction graduelle des hommes à chaque génération. Loi de Volkoff: "Le vêtement négligé d’une génération devient le vêtement chic de la génération suivante, avant d’être déchu à son tour comme prétentieux et ringard". L'abaissement des standards culturels (vêtement, nourriture, langage, fréquentations, esthétique), ce recul par escarmouches est le prélude aux capitulations sans condition en rase campagne. À la fin on signe la charte parité, la charte climat, la charte LGBT, et pour garder la face on obéit jusqu'au bout à sa scélératesse personnelle en se retournant contre ses derniers frères qui ont tenu bon. "Eux sont trop extrêmes, mais moi j'ai su rester mesuré, voyez".
Idem des théories sur la Civilisation. La seule Civilisation immédiatement identifiable c'est une rue heureuse, familiale, proprette. Expliquer autre chose c'est signer du charabia d'intellectuel payé au nombre de signes. La vérité la plus crue sur la cléricature à été écrite par Rebatet dans son livre Les Décombres, chapitre "La religion chrétienne". À savoir qu'en dehors de la stricte administration des sacrements et des rappels de doctrine les intellectuels clercs ou laïcs sont en matière politique, physique, sociologique, des "imbéciles pyramidaux" et cela se vérifie toutes les fois qu'on laisse à cette engeance la plus petite responsabilité concrète ne serait-ce qu'à l'échelle d'un village, même d'une assemblée de quatre individus. Eux sont les premiers à s'indigner et à raison, des divorces, de l'anarchie dans les familles, des enfants-rois, des pères éteints et des mères hurleuses, très bien. Mais toutes les fois où éprouvés par le hasard ils ont dû arbitrer un conflit c'est à dire à rendre Justice, ils ont systématiquement donné 1 partout balle au centre pour départager la dame fût-elle la plus exorbitante hystéro-concierge et le bonhomme fût-il le plus discret arrangeant ponctuel bosseur. Leur vrai Surmoi c'est le qu'en dira-t-on du Monde.
Le pèlerinage sert à convertir notre mode de vie, à se délivrer, se dépouiller, se décharger des fardeaux de culpabilité indue que le monde fait porter notamment aux jeunes Blancs, à embrasser un nouveau mode de vie, à jeter loin de soi sans un regard tous les surplus, surpoids, faux systèmes tenus pour vrais où la société entend nous embringuer tantôt par la récompense, tantôt par l'intimidation. On ne discute pas avec cette putain.
Le pèlerinage c'est la vraie pratique religieuse beaucoup plus que la Retraite, que la Messe, c'est le vrai test religieux à qui l'on ne peut mentir. D'abord les gloutons, les poltrons, ne tiennent pas 10 kilomètres sur les 100 du parcours ; le pèlerinage fait d'entrée le tri des vicieux selon leurs vices. Exit les bouches inutiles, les dondons, les "dames très gentilles". Les vieux minces eux marchent très bien et sans une plainte. Dans le pèlerinage les âges et les classes sont mêlés, on y côtoie avec un certain soulagement des hommes de 50 ans non-alcooliques qui ressemblent encore à quelque chose, qui donnent aux jeunes l'idée qu'une vie est encore possible après 30 ans, et que la vraie virilité se mesure sur le long-terme.
À ces jeunes je parlerais ainsi. Tu peux marcher? Tu ne veux pas marcher? Ne parle plus religion. (Tu parles politique ? Tu n'as pas lu 3 fois BPM? Ne parle plus politique). Mais je leur dirais aussi de se méfier des chefs catholiques, des "lanceurs", des officiers, des dames patronesses et des sermons abstraits. Ils ne trouveront pas plus féministe, pas plus africain que ces bourgeois libéraux attiédis déguisés en gardiens de la tradition. Entraînés par la propagande maçonnique, ces discoureurs ont trouvé "exagérée" la pudeur islamique féminine alors que c'est le seul domaine où la Mosquée est plus conséquente que l'Eglise, justement exactement le seul. La doctrine non-sue de tous ces anti-libéraux est le chacun-fait-skiveu.
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La gentille égalité homme-femme européenne évoluée, la galanterie gauloise, l'amour courtois, toutes ces joues tendues à des chiens qui nous ont fait tant de mal... n'ont plus cours en période d'invasion migratoire aiguillée par la double pompe aspirante de la thune blanche "redistribuée" et de la fesse blanche pornographique. En période d'invasion la "charia blanche" est le plus petit acte de légitime défense d'un peuple colonisé, et le premier article de cette loi est la modestie du vêtement, en somme l'uniforme obligatoire. S'entendre dire comment s'habiller irrite énormément notre mentalité profondément libérale surtout en France pays du quant-à-soi. Mais le quant-à-soi avait une condition: la crainte commune de Dieu, ceci tranquillement, comme l'on craint un père, sans transport mystique. Le mépris de Dieu à donné oppression athée qui a donné invasion qui a donné prédation sur les jeunes filles selon la race et le vêtement. Ceux qui ne comprennent pas cela, ceux qui n'en n'ont pas fait l'amère expérience n'ont aucune légitimité à diriger les Blancs: ils ne les aiment pas assez, ils n'ont pas assez peur pour eux, ne se creusent pas assez là tête pour eux. Ces faux chefs ont 40 années de retard à l'allumage. "Sacrebleu on voudrait nous empêcher en France de laisser nos filles sortir vêtues en miel à mouches? De qui se moque-t-on?". Le lendemain matin Françaises violées, Français tués, Peuple métissé, stérilisé, garçons français privés de leurs alter-égales (c'est la liberté!). Ils ne comprennent pas ces désastreux types la notion de réduction de voilure, qu'ils doivent au contraire ordonner une diète de peau visible pour affamer les sangsues qui ne vivent que dessus, qu'en ces temps d'hypertrophie du désir la satiété, le dodu, le facile, le "super-salope", le loisir, le vantardisme, sont des malencontreux focs oubliés qui font prise au vent dans une tempête, des monnaies qui n'ont plus cours cause de dette que nul ne peut rembourser. Ce sont ces jetons de casino qui ont excité l'appât du gain chez les vils prédateurs qui sont là aujourd'hui, qui ne veulent plus partir, le fameux "on est là, on vous baise" de l'homme du ressentiment qui, privé de capacité productive par ses facultés intellectuelles rudimentaires n'a que sa capacité de nuisance à exercer sur le pays sans défense, lui le sicaire qui s'ignore choyé par la pire bourgeoisie anti-Blanc jamais parue en Civilisation (cf Céline) qui lui a toujours enseigné la haine de la France, la prédation sur les Blancs, le faux roman national ("on est venu reconstruire bla bla bla, tirailleurs chair à canon bla bla bla, occident riche du pillage etc"), roman exactement inverse de la vérité historique des faits. Face à ces 2 fronts quel recours avons-nous ? Nos chefs cathos école De Villiers?
Puisque leurs enfants, jeunes redeudeux, aiment le rap tant que cela peut-être voudront-ils méditer cet extrait du refrain de Pour Ceux, daté de 2003, "Pour nos sœurs qui seront les mères de demain". Cent fois plus de pertinence, de compréhension des enjeux, de sens de l'Etre Collectif gît dans les hurlements de ces aborigènes (notion de sagesse des primitifs qui "rase de plus près la lisière de l'idéal" selon Baudelaire) que dans n'importe quelle conférence de théologien de pastorale catéchétique. "Pour nos sœurs qui seront les mères de demain" est le véritable fourteen words, complet en neuf mots cette fois. Il exprime la juste jalousie qui devrait animer le Blanc envahi envers ses alter-égales, il traduit le vrai sens de l'Etre Collectif, le sens de la Génération, le sens de l'honneur, le sens de la famille, le sens de la clôture et de la séparation d'avec d'éventuels actes de prédation, il recèle enfin une prévention et un avertissement aux "consentantes" putes qui entendent se vendre aux prédateurs, et une prévention et un avertissement aux violeurs.
Vous êtes un vrai Français? Vous ne pouvez pas vous habiller comme des primitifs, vous ne pouvez pas parler comme des primitifs, vous ne pouvez pas descendre vers des primitifs même temporairement d'un seul millimètre, sans quoi c'est la descente entièrement au Primitif ontologique pour n'en plus jamais remonter. En temps d'invasion vous ne pouvez pas "faire la fête", on ne fait pas la fête quand on est assiégé. Vous ne pouvez pas paraître ivres en public comme les hilotes devant les Spartiates, consommer du loisir, prendre du poids, descendre le courant avec les branches mortes. Les époques de vaches maigres sont des temps virils de réforme, de débarras, de concentration. Après le Carême viennent les délices du banquet de Pâques, encore faut-il les mériter par les purgations du jeûne sans quoi on ne fait plus que bouffer pour se récompenser d'avoir bouffé, toute l'année, toute la vie, et le salaire de toutes ces gaudrioles stupides c'est la honte, le déclassement, la mort, l'oubli.
Le suicide des adolescents harcelés à l'école, la persécution à travers le pays des jeunes Blancs sur les terrains de minifoot qui ont défiguré l'équipe de "France" en cette chose honteuse qu'elle est devenue, l'invasion et tous les déshonneurs ordinaires apportés par un désastreux rapport au féminin, sont des plaies qui cautérisent très vite à condition d'une hausse drastique des standards culturels.
Intégrisme absolu en matière de Culture c'est savoir qui nous sommes et ce que nous faisons. Vive le courage d'engueuler les plus lâches que soi, d'engueuler tous ces chefs de palabre, montreuses de cul, prélats grotesques, ces infectieuses Karen dames pachydermes. Aucune pitié pour se mettre tous contre eux: plus ils seront évincés vite plus la jeunesse chrétienne sera saine et sainte, la jeunesse blanche immaculée et surtout immaculable.
Les brebis perdues ce sont en France les jeunes Blancs actuels qui n'ont d'horizon que la déglingue, le rap, la drogue et l'alcool, le porno, le paiement de rançon au colonisateur, le chômage, la philosophie de l'absurde, la Magalax, le "French Dream". Evidemment qu'ils se demandent pourquoi ils sont venus au monde! Messieurs les clercs expédiez votre messe en 1 heure tôt le matin puis consacrez votre temps aux brebis perdues. Vous devez regonfler, convertir tous ces Blancs, c'est cela votre mission, ce sont eux les brebis perdues qui ont priorité sur les autres et certainement pas vos chronophages bigotes et autres quémandeurs plaintifs. Ce sont les mariages futurs et eux seuls qui devraient accaparer toute votre énergie dans une crise où cent mille heures d'explication ramènent toujours au point de départ: dénatalité, dénatalité, dénatalité.
Vous vous perdez en "dîme de la menthe" dans de menus détails logistiques qui ne rapportent rien au renouvellement de l'Etre Collectif. La seule chose profitable qui régénère, la seule chose que vous avez à faire, le seul lieu qui doit concentrer vos tirs de barrage, le seul point où doit s'exercer votre zèle c'est de marier le Français jeune et pauvre avec la Française jeune et pauvre, là, c'est tout. Le reste est absolument accessoire. Par surjons de micro-Chrétienté, faire grandir une survivance du déluge des années 60 qui s'étende en familles nombreuses, très nombreuses, en réseaux d'entraide, par cliquets sur le monde stérilisé de l'athéisme stupide. Et combien d'entre vous se font encore plus stupides que les athées ! Perdant leurs journées comme Maurras jadis avec ses grosses douairières, ils se repassent des histoires d'anciennes prélatures entre mandarins érudits démusclés, ils se roulent dans la basse énergie, dans les médias "par truchement de", leurs organigrammes sont vérolés d'impotentes en surpoids "fée du logis" qui commandent à des adolescents, voilà leurs œuvres prises sur le fait et ils croient faire des hommes de ces enfants qui leur sont confiés? Mais s'ils ne comprennent pas la juste hiérarchie de la Tradition qu'ils prêchent et l'énormité très libérale de leurs gaffes alors pourquoi veulent-ils commander un peuple qui se meurt d'anarchie "libérale"?
Un désastreux sens Esthétique donne d'avance toutes les réponses. Foyers hideux, carrelages lugubres, locaux noirâtres, vêtements mal coupés, nourriture constipante, méconnaissance des plus élémentaire notions d'ergonomie... sont des crimes quand on est responsable public et ces fautes crient vers le ciel contre leurs auteurs, elles repoussent les possibles conversions soudain refroidies de ce que ces apôtres représentent à leur insu: des putains d'épouvantails repoussants. Pour tous ces rabâcheurs d'abstraction les choses concrètes sont vulgaires, l'esthétique est secondaire, mais le baratin casuistique passe en premier lieu. Tout faux! Enfin un idéal féminin désastreux ne l'oublions pas. D'où ces gâchis, ces potentiels sous cloche, ces jeunes filles tournées vieilles filles, ces sempiternelles attitudes apeurées de poules contrariées. D'où cette méconnaissance entretenue d'une féminité réconciliée, une féminité Troisième Voie ni vulgaire ni coincée, école de sous-expression modeste et intelligente, de fraîche et fonctionnelle toilette, savoir-faire qui culmine chez la catholique américaine. Mais je ne puis regarder sans honte les filles de chez moi. Le style "aprêté"? Le frêle, l'engoncé de l'assistance des mariages, où la toilette des jeunes femmes acquiert la distinction d'une londonienne de Croydon du samedi soir. Mais telles mères, telles filles...
Le sens Esthétique, le sens de l'ingénierie sociale, le sens de l'honneur, le sens de la virilité, le tact, la Conscience de Soi, tout cela c'est tout un comme l'unicité de Dieu, or vous n'avez aucun d'entre ces prémices. Désastreux déshonorant gaspilleurs butés qui chauffez une maison les fenêtres ouvertes, au milieu d'une crise qui comme prévu jette enfin dans vos bras la jeunesse athée du pays qui veut vivre que faites vous ? Vous desserrez exactement maintenant la ceinture, au plus crucial moment, vous lâchez toutes les brides de la contention, vous dévissez les sangles précisément lorsque les ouvriers remontent le filet à bout de bras. Vous lâchez tout, vous effondrez en deux secondes la prise qui repart liquide dans le monde. Le pélérinage de Chartres devenu presque un char de techno-parade. Ce que vous êtes cons, ce que vous foutez la rage! Quel gâchis, quel putain de sabordage de sales cons, quand on pense au potentiel de conversion massive à partir d'un seul converti, de repeuplement à partir d'un seul couple bien marié, tôt marié. Cela devrait obséder vos jours et vos nuits: "Comment avec mon réseau contribuer à peupler mon pays puisque j'ai toutes les cartes en main pour aiguiller dix, vingt, peut-être cinquante jeunes personnes et que j'ai tout mon temps pour cela".
Chers camarades vous vivez sous persécution comme il est permis de vivre après une victoire : satiété, fêtes, loisirs, distraction, bas standards... grand bien vous fasse. Ces expansions de l'être donnent prise aux toxiques, elles excitent les prédateurs qui se voient alors vos égaux, allument l'envie pendant que vos instincts détrempés se relâchent. Sous une tempête les marins resserrent la voilure au plus strict nécessaire nous l'avons vu. Quand on est envahi, occupé, menacé, on se resserre: sobriété, gravité, discrétion, redoublement de Charité interne envers ses frères, redoublement de l'euphémistique vertu de Prudence envers les étrangers. D'où le soin à apporter dans le rangement, la netteté,  la première impression, le vêtement, dans ces choses nous entourent à tout moment au point que nous les oublions.
Tant de lâches à engueuler, tant de dictature à secouer... Dictature des bourgeois-bordel sur une Eglise armée mexicaine quand il faudrait des ouvriers et techniciens, un prolétariat français blanc chrétien qui maîtrise les métiers d'indépendant productif, sur le modèle école de la Martinerie. Le prolétaire, étymologiquement, c'est l'homme dont la seule richesse sont ses enfants. Qu'est-ce qui a perdu le Liban? La Syrie chrétienne ? C'est la vie bourgeoise, le mesquin principe du "pas trop d'enfants", la radinerie du "pas de premier enfant avant 30 ans". En pleine Syrie 2013, en plein merdier, une petite effrontée de l'ultra minoritaire communauté chrétienne restante, propriétaire d'un restaurant payé par sa famille articulait ceci à un camarade. "Quoi? Tu n'as pas cinq cent mille euros sur ton compte en banque ? Tu te marieras jamais". Le principe de toutes les libanisations par guerre des berceaux tient peut-être en cette phrase. Stérilité par embourgeoisement. Tous les parents de familles françaises nombreuses se sont mariés jeunes et pauvres, ont commencé par souffrir et non par jouir, se sont enrichis, sont allés de mieux en mieux. Chez eux c'est rangé, ils prient, ils chantent, ils lisent, ils s'entraînent, ils s'entraident. Tout le contraire des couples catastrophes qui eux commencent par le plus agréable: la bagatelle, le restaurant, le voyage: en un an ils ont déjà tout ratissé et aux premiers nuages qui s'amoncellent ils ouvrent chacun un parapluie différent au lieu d'en prendre un pour deux et de se serrer ensemble dessous.
Un autre problème : la catastrophique éducation scolaire chrétienne, y compris la soi-disant école privée hors-contrat (comme si cela garantissait quoi que ce soit) tenue par importantes dondons hurleuses et petits précieux efféminés, entièrement débilitante, républicaine, africaine, gaffeuse, inoffensive. Autoritaire mais par procédé, sans le tact que confère un vécu sensible (chose que les enfants même jeunes perçoivent très bien chez les adultes qui leur parlent). Bienveillante, mais maternante et castratrice et toujours nimbée de la lâche crainte du jugement des mères, seules véritables directrices (par proxy) des écoles tratras, les désastreuses mères quadras démusclées à tennis violettes en plastique étouffant des soupirs de porteur d'eau même pour monter dans la voiture. L'éducation chrétienne actuelle même très-très-tratra est une manière de se raconter des histoires entre administrateurs "membres du haut conseil" chevaliers de la dînette complètement cocufiés et féminisés. Ils ont trop lu, trop ressassé le moyen-âge, trop visité de monastères détruits en s'extasiant sur le plan alors que la guide devant eux a des faux-cils, des faux ongles, des faux seins. Ils ne voient jamais ces faux-culs le concret des choses.
Voulez-vous éduquer les adolescents ?  "L'éducation des jeunes européens en milieu multiculturel violent" de Laurent Ozon, tout est dedans, en quatre pages. À l'opposé, les désolantes dondons éducatives avec leur furie de vengeance inassouvie, avec leur stupéfiante muflerie de poissonnière hurleuse n'ont pas leur pareil pour démolir à vie les jeunes filles et les jeunes garçons de bonne race qui leur sont confiés. Quelques années scolaires de leur régime et vous obtenez ces petits adolescents procéduriers trouillards qui ne savent ni qui ils sont ni ce qu'ils doivent faire dans leur propre pays où ils sont ultra-minoritaires, ces maussades jeunes filles gâtées qui apostasieront à la première contrariété. Ils et elles n'auront connu de l'éducation religieuse qu'une mise en conformité toute scolaire avec une série d'exigences sous la pression de "maîtresses" catastrophiques. L'éducation religieuse, la vraie, dure toute la vie, elle stipule entre autres choses que les dames ne sont pas qualifiées pour l'enseigner et que nul ne doit se faire appeler "maître", l'Evangile le rappelle en toutes lettres, c'est dire combien sont légitimes les configurations actuelles.
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Quel être physique reste-t-il dans un enfant après formation religieuse par animatrice pastorale ? Quelle force, quel rapport au monde, quel nécessaire fanatisme, quelle énergie, quelle estime de soi, quelle certitude métaphysique peut-il rester à un garçon après s'être fait inculqué la déférence envers une dame dont la place sociale est en elle-même une usurpation? La réponse arrive 10 ans plus tard lors des premières confrontations physiques avec la racaille et avec la gent féminine amatrice de racaille. Ce jour-là il n'y a plus l'animatrice pastorale "dame respectée" pour rendre des comptes sur les résultats de sa formation. Mais "elle était très gentille madame Lebrouneux hein?"
Nous avons grandi sous propagande contre les pères, désignés comme alcooliques, abusifs, frappeurs à coup de ceinture. Nous n'avons jamais rien vu de tel dans les faits nulle part en 18 ans de salle d'attente de l'âge adulte. Nous n'avons vu partout et toujours dans les familles françaises que la mère abusive, la mère mauvaise, la mère indigne, la mère déshonorante, la mère hurleuse, la mère dégueulasse de manœuvres, la mère cinglée profiteuse destructrice effroyable et qui se fout absolument des conséquences de ses actes, entièrement protégée par les tribunaux et célébrée par les médias.
Mais les choses les plus sérieuses en matière d'éducation commencent exactement lorsque l'éducation scolaire vient de finir et que l'enfant doit faire sa place dans un monde qui lui est soit indifférent soit hostile. Toutes ces écoles à la con soi-disant tratra forment des intellectuels sur le modèle franc-maçon vieux de 150 ans le plus inepte imaginable, quand la seule voie porteuse, tracée par Thomas Arnold, consiste à forger le caractère dans une stricte séparation garçons/filles, loin des désastreuses mères surtout, dans une ascèse de Grec ancien, dans une apologie absolue de la Providence, de la génération de famille nombreuse, de la xénélasie et de l'excellence, dans le chant, le sport, le discernement professionnel dès 13 ans, dans la mise à l'épreuve par "devoirs" comme dans la scène du Starbucks dans Fight Club. Forger le caractère consiste à faire coïncider le tempérament  personnel de l'enfant avec la Tradition: la Nature lui a donné de naître et de vivre, la Tradition lui donnera de bien vivre. En l'état actuel des choses qu'iront faire ces pauvres gamins une fois leur éducation finie, une fois au pied du mur pour "choisir des études" après des années de crétinisation sous maîtresses et chapons? À votre avis quelle est l'espérance de vie de l'âme d'un garçon de 18 ans logé en résidence étudiante d'une ville lointaine pour y "faire une école de commerce"? Et d'une fille?
L'école privée tratra c'est comme le pèlerinage de Chartres : ça s'aligne sur les exigences des nouveaux entrants qui veulent profiter d'une Tradition toute prête pour eux. Ainsi en est-il des paysans envahis par les néo-ruraux, de la France par les squatteurs, des Civilisés par les barbares. Le pèlerinage de Chartres est une mini-société sauvée des années 60 noyées sous le Déluge et qui est en train de recommencer les catastrophes des années 60.
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Nous sommes tellement pétris par Mammon que nous en avons oublié comme la Providence prend soin de nous. N'est-ce pas une chose très angoissante que de voir des jeunes de bonne race mais sans gravité, sans religion, chercher la voie la plus propice à leur faire vite "engranger du fric" ?  Les aventures du cadre Berthier dans le film Une Époque Formidable disait déjà tout. L'immense triche de "faire carrière",  de "viser les hauts salaires" lorsqu'elle est répétée par toute une classe d'âge va forcément démultiplier l'immigration de bas salaires. La muflerie ESC de prétendre au titre de "cadre" pour encadrer, pour superviser ceux qui travaillent et jamais faire soi-même le travail porte en germe la colonisation par importation massive de profiteurs qui vont bâcler le travail, écœurer les travailleurs du sol par bas salaire et bas travail. Un peuple? Un troupeau de cadres. Universités remplies "d'étudiants étrangers" aspirants cadres. Tous d'accord pour cette attitude quasi métaphysique : faire faire le travail par d'autres et s'enorgueillir de cela.
Le travailleur à son compte, autonome, ostréiculteur, plombier, carreleur, sont les vrais créateurs de richesse, les apporteurs utiles de valeur ajoutée. Et quelle misère leur font la police, les normes, le stationnement, le fisc...
Le juste châtiment pour avoir prétendu par des études encadrer les autres c'est de devenir soi-même un précaire du tertiaire surdiplomé incapable, n'encadrant personne, et doublé dans la méchante compétition sociale par des ouvriers qualifiés bien payés dès leurs 25 ans.
Après le pèlerinage la marche s'arrête, on rentre chez soi et le culte devient statique. Bien. À peine aurez-vous fait un mouvement dans le sens de l'idéal chrétien que vous prendrez dans la gueule non pas les prédateurs extérieurs connus et déclarés de la Religion (eux se contentent de regarder et de ricaner) mais le phénomène interne très incongru des grosses dames tartuffes de paroisse, les aide-curé qui ont le doigt en l'air, les mères furieuses en surpoids et leurs maris chapons empressés, les cantinières à deux quintaux très fière du rata de midi, les empotées de la rue d'Ulm qui disent "maman" pour parler de leur mère alors que leur mère n'est pas dans la pièce. C'est l'énorme aberrant problème ecclésial de féminisation et la pire de toutes, une féminisation graisseuse, palabreuse, bordéleuse, impotente mais cramponnée à tous les aspects-clés : mise en relation, mondanités religieuses, éducation religieuse, carnets d'adresses, recommandation, validation, placement de table. Dans chacun de ces domaines c'est toujours quelque échappée de cure thermale qui commande, cela dans une jouissance des commérages, des rapports et des "mises au point" d'une bassesse, d'une mesquinerie inimaginables.
Le relâchement des standards produit la mère intrusive, la mère intrusive produit des efféminés passifs et des virils retirés du jeu. Défaillance fatale dans un monde tout tourné vers "celui qui sait s'affirmer", arrêt de mort de la génération. Ce que l'on a pu nous tourmenter par le concept d'homme du ressentiment ! Comme quoi nous serions "dans la haine", que le sous-homme s'agiterait peut-être en nous. Fabuleux cadenas de fermeture de gueule pour esclave à basse estime de soi inhibé par philosophie du soupçon.
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Si ces esclaves veulent respirer à nouveau je leur dirais d'être impitoyables envers la dame du ressentiment. Ces corps débilisés assurés de leur place dans un bureau pour leur débilité même et tyrans absolus, ces impotentes en surpoids mais qui rebouffent encore, ces enfoncées dans le mur qui refusent de se réformer, ces difformités exemptées de sport par "dispense très exceptionnelle"... n'ont pas à souiller même une seule seconde la vie de la jeunesse chrétienne.
Nulle religion, nulle tradition n'est possible, n'est imaginable qui ne commence par châtier sans pitié tous ces quinquagénaires gynecées crasseux graisseux grotesques, qui ne commence par chasser loin très loin ces dangereux Majin-Bou à ventouse chercheuse, à bien rosser, à bien fouetter les prétentions de ces limaces métaphysiques rampant sur nos mansuétudes en période de chômage aggravé, à bien rabattre le sale caquet preneur de confiance de ces très coûteuses hurleuses bouches inutiles dévoreuses de fric, rumineuses de seume recraché en discordes inextinguibles sur braves gens qui ne remontent jamais la chronologie des événements. Pour retrouver la vie religieuse joviale et simple quel strigile sera assez précis pour racler les suints huileux exsudés des pores de ces oisives batraciennes sudoripares épuisées d'agiter leur éventail? Quel grattoir, quel papier de verre, quelle paille de fer sera assez rêche pour poncer jusqu'à l'arasement les dépôts moussus de ces personnifications de marécage putréfié en crue? Quelle juste proportion de vinaigre et de soude produira la réaction chimique assez effervescente pour détartrer cet ignoble enduit, pour lisser ce crépi de studio marseillais hérissé sur des fresques de Giotto ? Pour quelle granulométrie de quelle pierre ponce râpeuse, pour quel degré de rugosité abrasive faudra-t-il opter lors du grand décapage qui nettoiera une fois pour toutes l'épandage solidifié des lisiers de porcherie projetés par ces truies hurleuses bonnes qu'à saccager, qu'à baffrer, qu'à digérer des passe-droits exceptionnels, vautrées dans leurs purin de certitudes? Quel rinçage final, quelle purgation, quelle cure de lavement par eau de Vichy multipliée par Sainte-Yorre chasseresse d'impuretés saura déboucher l'occlusion, détacher ces mollusques fossilisés sur parois hospitalières, histoire que l'on chie ces corps étrangers pêle-mêle aux ordures pour de bon, que l'on tire enfin la chasse, que l'on se relève finalement soulagés d'une tonne, leur tonne, et que l'on passe à autre chose?
Quand il cherchent les coupables, les dignitaires de la très compétente hiérarchie catholique remonte toujours à Adam jamais à Eve, ils voient Borgia jamais Syna. Puis quand ils comprennent tout de même que c'est de ce côté là que le mal est entré dans le monde ils se rétractent apeurés: "Tout compte fait ne cherchons point de coupable! Le mal est fait? Tant pis! Désormais il nous faut aller de l'avant!", entendez en avant vers l'Afrique, le gynécée et le wesh Versaillais.
"C'est la fièvre de la jeunesse qui maintient le reste du monde à la température normale. Quand la jeunesse se refroidit, le reste du monde claque des dents." (Bernanos)
Le monde claque des dents? S'il y a beaucoup plus de trans***** dans le monde c'est à cause du mélange des garçons et des filles dans les églises chrétiennes. Et des reprotoxiques ! Mais la mixité est un reprotoxique social, un perturbateur, un inhibiteur, un empoisonneur autant redoutable que le plastique alimentaire. Le monde claque des dents? Le monde est irrespirable à proportion des baissages de froc de tous ces sels de la terre affadis.
Quelques remarques supplémentaires...
Il y a un péché de connerie et d'accumulation de menues conneries, un péché d'acceptation non sue d'états de fait vendus pour indépassables et achetés comme tels. Comme on meurt d'asphyxie indolore au monoxide de carbone on peut périr de brol, de graisse, de bavardage, de bibelots, de saccade, de heurts, de concession.
Et toujours se rappeler de se méfier énormément des "importantes". Plus elles vous voient mince et rapide plus vous détestent. Vous êtes sans vous en douter outrecuidant pour ces sacs à ressentiment. Elles ne peuvent avaler le reproche que vous leur faîtes à votre insu, ni le digérer, ni rien digérer d'ailleurs d'où leurs rumination de coups bas, leurs commérages gastro-oeusophagiens par renvois acides, et leurs excédents inévacués qui les contraignent à se porter elle-même deux fois en soufflant comme des vaches méthanières.
Aller à la messe nous est souvent pénible, nous n'aimons pas cela, nous y allons par devoir, pour "rendre nos respects" au Maître de nos vies chaque semaine. Ces statues sont désespérantes, ce carrelage noirâtre est désespérant, ce marron mobilier 19e siècle est désespérant, ce sont là des choses acquises, très bien. Complaisance dans la médiocrité, dictature des gougnafiers sur les esthètes, chants démusclés dans les aiguës, accompagnements bâclés, neurasthénie flottante, tout cela est connu, très bien. Pourtant il faut accepter cet agenda, cet ordo, et il portera des fruits.
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Mais en des temps de dénatalité publique la seule grande épreuve en matière religieuse, et tous les débats "République contre islam" l'ont assez montré depuis les années Dantec chez Ardisson, c'est la place de la femme, la tenue de la femme, les droits de la femme. Tous nos divorcés, ruinés, cocufiés, porteurs de matrones, réceptacles à hurlements, encaisseurs d'affronts, épongeurs de dettes... ne savent se cabrer vraiment que sur un point (eux si doués pour transiger), ne savent récriminer contre Ismaël que sur un point, et c'est? C'est la place de la femme, ah ah! Le Tradi est accroché à l'ominipotence de sa cantinière "chrétienne" de 500 kilos en legging pérorant ses exigences, il y tient comme à la Messe, beaucoup plus qu'à la Messe, pour lui la société chrétienne ne peut être qu'un gynecée de bavasseuses dans un décor d'anges en bibelots et de fleurs en plastique, grignotant des biscuits sucrés avec le chauffage à fond et la buée sur les vitres parce que Madame Lebrouneux a froid vous comprenez, il ne conçoit pas de manifestation plus aboutie de la Chrétienté triomphante.
Mais que veulent au juste tous ces pachydermes à prier Marie? Qu'y a-t-il entre elles et elle? Puisqu'elle était mince, et pudique, et taiseuse, pourquoi invoquent-elles Dieu par son intercession ? Si elle est leur modèle que ne modèlent-elles pas leur silhouette, vêtement, langage, sur l'exemple sont elles se réclament?
Pour rappel voici comment le Christ notre modèle à imiter s'adresse aux dames lorsque celles-ci prétendent s'impatroner dans sa vie: "Qu'y a-t-il entre toi et moi?", "Va-t-en et ne pêche plus", "Ne me touche pas". 
Vous transigez sur la primauté des hommes en Religion, vous transigerez sur tout par répercussion, par dominos psychologiques. Toutes les réalités visibles sont appuyées les unes sur les autres dans un monde invisible. Tout le monde comprend très bien les avertissements des légendes: Hélène de Sparte, les Sabines. Mais très peu assument d'agir en conséquence d'où certains ennuis hélas connus.
Il est très normal que la question cruciale soit "la femme" en des temps d'apostasie et de stérilité massive puisque la religion est une ingénierie sociale de perpétuation d'un peuple et la femme la garante de la prodigalité du peuple, de l'honneur du peuple, de la stabilité du peuple. Est-ce vraiment trop espérer pour nos jeunes: la jeune fille européenne à marier, chrétienne, bien élevée, bien habillée, et c'est tout.
Dès lors qu'une religion admet que la femme religieuse puisse jacasser tête découverte en public, c'est que tout est fini. Quels que soient les prétendus "chiffres encourageants", ce sera une croissance par la honte. Une telle faute à un tel endroit en une telle époque, après tous les vivants avertissements reçus depuis mille ans, après tous les traités de sagesse connus qui ont tant insisté sur ce point... est une transgression qui engage l'intégrité même des souches raciales du peuple emmené dans le ravin par mauvais bergers.
La femme religieuse de 25 ans qui s'interroge sur sa foi avec des mots de vidéo tiktok pour exprimer sa "connection", comment "se rebooster sa foi"... n'a rien compris, n'a rien à faire dans un pèlerinage religieux traditionnel et ceux qui l'y tolèrent vendent à crédit ce pèlerinage au Monde avant de se faire racheter à bas prix et fiche dehors à leur tour.
Qu'est-ce donc que vos Tradies, si l'on enlève l'écriteau sous le tableau d'art abstrait, que reste-t-il comme résidu à sec après évaporation des mots d'explication? Probablement le pèlerinage 2023. Comment alors "répondre de l'espérance qui est en nous" face aux Mormons, aux Amish, aux témoins de Jéhovah, et même aux religions non-chrétiennes qui en matière de vêtement se tiennent cent fois mieux que nous? Tout ce chemin tradi pour se conformer finalement au degré d'élégance d'une présentatrice quinquagénaire de KTOtv, avec pour doctrine deux paragraphes de féminisme La Croix. Les dondons de paroisse, ces excellents épouvantails placés devant les baptistères pour en interdire l'accès aux convertis sérieux, si elles sont laissées en paix, égareront par leur seule présence les derniers désirs de conversion.
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Le combat spirituel consiste à se réformer soi-même chaque jour toute la vie.
Jamais ni l'orthodoxie, ni la synagogue ni la mosquée n'auraient toléré une minute d'un tel relâchement. La honte... la honte. J'ai honte. Quel spectacle à vous faire rentrer sous terre de honte que la sans-gêne dame graisseuse et sa version jeune la "tradi en short" donnée en pâture au monde. Si telle est la tradie que sera la moyenne? C'est déshonnorer la Vraie Foi, c'est se déshonnorer soi-même, c'est déshonnorer les hommes religieux à qui elles imposent leur présence. Zéro conscience de soi, zéro sens du groupe et ça prétend au titre de chrétienne. Cette honte absolue : lorsque les moines tonsurés du Barroux, ces saints hommes, sont forcés de côtoyer 3 jours durant cette pouillerie de gynecée en sueur beuglant des chansons de colo, et personne pour oser formuler une objection.
Personne ne vous oblige à venir dans un pèlerinage religieux traditionnel. Ceux qui vous y admettent sont les vrais salopards de l'affaire il est vrai. S'ils avaient un tout petit peu de courage face au monde ils se restreindraient sur un pèlerinage de 5000 personnes propres plutôt que de faire le trottoir pour un bordéleux cortège de 15000, et d'y trouver un motif de vantardise. C'est toujours le nombre et "l'ouverture" aux bas standards qui perd les causes nobles. Voulez-vous retrouver le fameux sens du sacré ? C'est simple. Parlez comme à l'entrée d'une église orthodoxe. "Pas de voile? Pas de jupe? Tu n'entres pas ici, c'est tout". Elles peuvent aller repeupler les Communauté Saint-Martin, Emmanuel, les diocèses qui en ont grand besoin autant qu'elles le veulent. Leur seule tenue démontre qu'elles n'ont rien à faire dans la Tradition.
Ces "chefs" tout remplis de textes sont les vrais salopards de l'affaire car ils laissent se propager la merde qu'ils promettent combattre alors qu'ils savent très bien comment la merde s'est propagée dans les années 60. Et eux les rescapés du déluge recommencent les années 60 par le menu! Tous admettent la notion théorique de "modestie du vêtement". Très peu sont capables de spécifier les critères concrets du vêtement modeste. Résultat, aucun n'est capable de faire respecter le port de cet habit même pour 60 minutes dans l'enceinte sacrée d'une église lors de l'office le plus saint de la semaine. Et ces gens-là seraient les dirigeants légitimes de milliers de jeunes chrétiens ?
Notre idéal esthétique ? Des corps minces, des visages graves, très au courant du tragique de la vie et de la condition de l'homme français en France, des personnes frugales sur lesquelles une hyène ne trouvera rien à manger, des vies sobres toutes de rusticité avec l'extérieur, toute de douceur avec l'intérieur.
Tout ce  trop connu foutoir de bourgeois-bordel "pas fixé sur le matériel" stérile et désastreux doit être démantelé intégralement avec ses pourvoyeurs.
Le voile, au moins à l'église, vous l'avez abandonné à "libre appréciation individuelle". Même séparer les hommes des femmes à l'église, ce tout petit signe vérifiable de respect du sacré qui permet à un adolescent de voir l'autel devant lui quand il prie et non le cul d'une dinde, cela aussi vous l’avez laissé gâcher dans le pêle-mêle foutoir "évolué" de vos goûts invertis.
Invertis et divertis où sont vos convertis ? "Allez d'abord aux brebis perdues de la maison" vous a-t-on dit, mais y êtes-vous allés? Celles-ci sont les Français de souche, athées, retournés, dégoûtés. Ce sont vers eux d'abord que doivent aller nos prières, nos mains tendues, nos efforts, et parmi eux-mêmes priorité aux gens de bonne volonté, aux hommes sains, aux femmes saines : beauté physique, vitalité, horreur de la vulgarité, compétence, ce sont ces fruits du bon sens qui nous peuvent rendre le Bien Commun par mariages, familles, enfants.
Le laisser-aller de la Forme traditionnelle prépare le laisser-entrer de l'informe. Voyez la mousse expansive comme elle opère : c'est cela l'image du laisser-aller, c'est une dilatation, un relâchement de la Forme dans l'espace et le temps. Maintenant imaginez qu'un champignon vienne véroler cette matière levée propice aux infections, qu'il l'investisse dedans, dehors, la rende spongieuse, liquéfiée, la fermente et s'en nourrisse jusqu'à la consommer entièrement. Vous avez le processus complet relâchement-invasion. La nature nous avertit assez en la personne des jeunes filles: ravissantes à dix-huit ans, combien sont méconnaissables dès leurs vingt-cinq ans passés ?
Tout ce qui est frugalité diététique, soin et restriction du langage, voile, modestie du vêtement, ascèse de l'emploi du temps sont des standards d'intelligence de la vie quotidienne, des techniques de contention de la Forme pour la maintenir, la muscler, la former à subsister beaucoup avec peu d'apport. La rusticité révulse nos tendances naturelles au plaisir. Moyens de supporter la rusticité? D'abord l'état d'esprit: zèle religieux, conscience de l'invasion, fanatisme pour un idéal de Beauté. Puis investir ou dépenser l'argent mais ne pas le thésauriser, le chant, la danse, la création, l'action concrète sur les choses, le sport, la baignade, le massage, le parfum, l'ameublement, le travail, les victoires. Petites récréations...
Si vous transigez sur la Forme peut-être garderez vous dans certains cas la Foi en vous-mêmes mais au-dehors de vous, l'exemple vivant que vous rendez portera témoignage contre votre Foi, abaissée à proportion de l'abaissement de vos standards. "Fi du regard des gens!" direz vous... Pardon ce n'est pas vous qui serez souillé mais l'honneur de la Foi que vous croyez représenter correctement. L'exemple catastrophique des matrones de paroisse et autres déjetés a six décennies d'éloquence derrière lui: ce ne sont pas eux-même qu'ils minent mais l'Etre Collectif et le rayonnement extérieur de l'Etre Collectif. Ils n'ont qu'à paraître pour repousser les indécis, fatiguer les candidats, inhiber les convertis, écœurer les braves gens, confirmer les infidèles, rassurer les athées, et comble de la catastrophe retourner les jeunes qui pourraient faire de belles familles chrétiennes pour les pousser dans la stérilité eux aussi, dans l'inversion, dans l'apologétique adverse etc.
La Forme sans ascèse se dégrade ; qui ne se réforme pas en permanence se déforme.
Dès lors l'Eglise se dépeuple, la démographie française baisse, l'invasion se répand. L'ascèse et la rusticité, le voile et le clanisme bref l'esprit de clôture sont les seuls rapports  au monde fructueux en temps d'invasion. Ceux qui ne comprennent pas cela se condamnent à dispersion, à dilatation de mousse expansive : après l'illusion de l'ivresse vient la dépression du réveil et de la casse à rembourser, des embrouilles à régler.
Sous le joug d'un pouvoir qui a confisqué exprès vos frontières c'est à vous de protéger votre clôture sociale: charité absolue en interne, prudence absolue en externe. Plus de frontières ? Clôture. En période de frontière sûre point besoin de clôture. Or les 20 millions de vrais Français qui restent dans le pays vivent dans leur majorité encore comme s'ils étaient protégés par une frontière, d'où leurs ennuis hélas : filles menacées ou "consentantes" (pire), pères déshonorés, garçons isolés, personnes âgées recluses, enfants maternés etc.
En matière de gestion de ses filles du sol avant mariage un pays envahi dispose de deux options: le couvent ou le bar à putes. La majorité des envahis trouve la seconde option plus conforme à leur sens de l'honneur, nous pas.
Il est tout à fait normal entre Blancs civilisés en France que les garçons et les filles du pays, enfants de la même race, physiquement frères et sœurs, se côtoient en temps de paix habillés selon la décence commune, et en toute sécurité se courtisent, se marient. Il en va tout autrement dès l'intrusion ne serait-ce que de dix éléments étrangers mus par la convoitise qui constatent avec étonnement leur impunité chez 20 millions de Français inoffensifs. C'est ici très précisément que la fameuse "pompe aspirante" entame ses premiers hoquets de succion. Elle va bientôt tourner à plein régime jusqu'à donner la tristement célèbre "invasion massive". Qui dit intrusion une fois dit intrusion mille fois par rameutage des frères, par répercussion en d'autres intrusions jusqu'à l'invasion massive avec prédation sur l'habitant. C'est pourquoi dès l'invasion commencée la technique de l'uniforme obligatoire est le minimal sursaut vitaliste.
Voilà le moment où les formes traditionnelles du mode de vie européen ont l'occasion de se muer en Intelligence Politique. La Forme de la vie quotidienne est un diaphragme qui peut s'ouvrir ou se rétracter. Quand la frontière tombe c'est la peau qui devient la frontière. D'où les meurtres, le métissage et les viols qui sont des formes d'invasion outrepassant la frontière de la peau. Or en cas d'invasion un patriote, un gardien de ses frères, l'esprit grégaire d'entraide, la Charité elle-même, commandent une rétractation, une prudence de la peau comme un factionnaire monte la garde d'une denrée chassée. Le voile n'est pas la tradition européenne (encore que!) mais refiler ses filles en pâture à des fils de pute n'est pas la tradition européenne non plus. Les européens libres devraient réévaluer où se place le sens de l'honneur en période d'invasion, pensée dialectique dont la plupart de nos identitaires n'ont pas la moindre idée or la France est de tous les pays civilisés celui qui subit chaque jour la plus vorace, la plus ravageuse, massive invasion. On ne vit pas envahi comme on vit souverain, cela tient de la plus élémentaire prudence. On ne s'habille pas pareil, on ne se déplace pas pareil.
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1660 l'Europe catholique sombre dans le bibelot, l'angelot, le mobilier contre-réforme pendant que l'Amérique, sobre et vêtue de noir commence son essor. Que nous reste-t-il dans l'Eglise? La tonsure des moines du Barroux. Les Beaux chants dans les graves (Credo III, Gloria IX, Lauda Sion, Veni Sancte), la liturgie, l'étiquette, un restant d'ordre. Et pour l'avenir ? Le vêtement hiératique dont le scoutisme de notre jeunesse à fourni les standards intemporels nous aide à concevoir un vêtement laïc régi par les critères d'un uniforme.
Que notre vie soit un foutoir est un fait qui peut se réformer si nous nous appuyons sur une tradition stable, un ordonnancement harmonieux, la Crainte, la pureté génétique d'un peuple saint. Toutes choses dures et divines.
L'ismaëlisme est l'impression en creux des vices blancs: fanatisme contre neurasthénie, honneur par les femmes contre soumission par les femmes, cocufieur contre cocufié, prolifération contre stérilité, tranquillité contre anxiété, famille contre individu etc. L'ismaëlisme est un signe que personne ne veut lire. La réaction d'orgueil athée à l'ismaëlisme accentue les vices des Blancs : Eux pas d'alcool? Eh bah nous, alcoolisme, ah ah! Eux pas de porc? Eh bah nous, charcuterie industrielle nitritée, ah ah! Eux pas d'érotisme? Eh bah nous, filles ouvertes et pornographie, ah ah! Eux familles nombreuses? Eh bah nous stérilité, etc...
Revenons à nos chefs tratras. Ont-ils obtenu sur le plan de la diplomatie cléricale interne une seule victoire en 40 ans sur les modernos? Où sont les miracles promis? Où en est la "lame de fond", la reprise en main promise par les nouveaux contingents de "prêtres pour l'Eglise" des paroisses dépeuplées? Les pires saccageurs archéo-maçons ont tout détruit devant vous jour après jour et vous n'avez rien fait. Pas une seule fois vous n'avez organisé de rendez-vous surprise avec un "évêque" attendu en bas de son local ou seulement sa confrontation physique avec les fidèles écœurés, pour qu'il assume en pleine lumière. Toujours c'étaient ces "textes", ces "documents produits en réponse à", le détroussage par le prestige du baratin et des "procédures prévues" quand la conduite des brebis est une chose physique très concrète dans laquelle les points de droit canon ne servent qu'à occuper l'adversaire courbé sur des paperasses pendant qu'il se fait rafler tout le terrain, là devant lui, autour de lui. Le tratra docteur en droit canon était je m'en souviens tout enorgueilli d'être invité par l'histoire à se prononcer sur la validité de tel sous-synode, sur la teneur, sur la valeur hors-cathèdre de tel clin d'œil... Il était gras, et lent, il allait de plus en plus vers le gras et le lent, champion des bonnes manières à table, aux solennels dîners de très sérieux manieurs de dînette, il étonnait les convives grosses dames par sa vertu de patience, d'obéissance, il devait l'emporter c'était certain, au nom de l'avenir de l'intelligence, lui le très savant, très lent, très tratra prélat.
Ce tratra directeur d'école par exemple "ne voyait pas le problème" d'affubler son établissement d'une équipe pastorale entièrement africaine. En apparence Monsieur le Directeur restaurait hardiment l'enseignement chrétien exigeant, viril. En réalité la jeunesse européenne sous sa responsabilité apprenait donc en toute confiance à s'agenouiller devant des Noirs et à ouvrir la bouche, et monsieur le directeur n'y voyait nulle faute, ceci malgré 50 ans d'invasion, agression, colonisation, après 40 de métissage industriel sous propagande de guerre, après 30 ans de pornographie ciblée, après 30 ans de hagra sur les babtous, ceci en pleine affaire BLM, mais non aucun outrage ne pouvait éveiller de sursaut vitaliste chez ce membre sec de la confrérie des bûches.
Les jeunes filles se précipitent sur le voile à cause du néant catastrophique du "vêtement chretien". N'avez-vous pas compris, ne frequentez-vous donc jamais de filles pour déceler comme leur être est en demande inverse de ce que prescrit la propagande, en demande d'appartenance exclusive, de signes d'appartenance, d'un très simple code du vêtement, code de conduite du "savoir où aller" et que le libéral "fais comme tu veux" les précipite dans d'autres signes, d'autres appartenances? Négligences catastrophiques en période d'invasion, d'une massive invasion elle absolument conservatrice, fanatique, hiératique.
Ces bataillons qui ont gobé par consommation d'écran toutes les couleuvres vont venir affadir ce qui restait de pureté dans ce petit pèlerinage et brailler "chantent les sardines" sur des zones d'étalement urbain, entre les turbines à vent et les antennes. Il y a seulement 15 ans ces lieux étaient encore les "océans de blé qu'a décrit Charles Péguy, une Beauce pour laquelle ces ouvriers de la 25e heure n'ont aucune sensibilité. Ils ne savent pas, ils peuvent pas.
Le respect du culte mais le mépris du sacré. Habillés "venez comme vous êtes".
Le sens du combat c'est la continuité du peuple Français de souche. Il suppose l'honneur du peuple par la vertu des jeunes filles ; la catastrophe a commencé lorsque les FDS ont rejeté ces protections de leur identité par esprit de répulsion envers une pudeur traditionnelle soudain vendue comme expression d'arriération orientale.
La putification tranquille n'est pas européenne mais anti-européenne et mise en place comme telle, c'est du miel attracteur de mouches, excitateur d'agressions, pour le pillage d'un peuple qui ne comprend rien parce qu'il persiste à vivre envahi aussi libéralement que lorsqu'il vivait libre.
Nous aimons regarder les filles mais entre hommes civilisés, de la même race que les filles regardées, et sur un territoire libre.
Il y a davantage que l'honneur de la jeune fille dans sa pudeur vestimentaire c'est l'honneur de son nom de famille, et au-dessus encore se trouve l'honneur du Peuple c'est-à-dire la continuité incorrompue des générations du Peuple dans le temps.
"La paix c'est la tranquillité de l'ordre". La première condition de la minceur c'est la diète. La première condition de la paix c'est la juste hiérarchie. Dans la vraie tradition seuls quelques hommes ont la personnalité juridique, en général par mandat impératif sanctionné d'exil en cas de défaillance.
"La guerre spirituelle"! Propice trouvaille de nos comtesses de l'impossible qui ne tiennent pas la faim deux journées de suite. Et ce serait devant d'aussi grossiers mensonges vivants qu'il faudrait s'écraser ? Mais n'importe quelle Didia Clara, fille de patricien, vestale "païenne" vivait avec cent fois plus de vertu, de pudeur, de sens de l'honneur communautaire, de conscience de sa race que toutes les solennelles dondons de paroisse de France et d'Europe réunies.
Les jeunes Français chrétiens idéalistes, privés de leur alter-égale, se jettent dans le séminaire alors qu'il est beaucoup plus noble et sacrificiel par les temps qui courent de devenir père de famille de 12 enfants.
Et nous n'aimons pas la manière cléricale actuelle. Ce n'est pas la religiosité pépère du mythique abbé de Torcy, le réconfortant "ça va aller" du curé de campagne aguerri et taiseux très au courant de la condition humaine et notamment de la masculine. C'est l''estomac inquiet d'Ambricourt qui ne conçoit de pureté que par souffrance "rédemptrice" pendant que l'invasion décontractée se goberge sur ses scrupules, c'est le pathos efféminé, émotionnel des talas cocufiés, contractés, heurtés, remplis de bibelots. Insensibles aux notions de circulation fluide des ondes ils sont des aliénés de la Beauté, des étrangers aux choses de l'intuition. Ils font des sermons quand il faut faire des enfants.
Leurs prises de parole inopportunes tombent mal à propos, gaffes non sues de l'incongru faiblard "chef" qui ne sait pas gérer, qui veut gérer, qui veut être "respecté", l'homme efféminé. Amenuisé il a joué de sa faiblesse comme d'une dispense "à titre très exceptionnel" pour monter dans les grades puis une fois parvenu se conduit en tyran. Cela très analogue avec le modus operandi de certains envahisseurs, qui ne sont aujourd'hui forts que de notre pitié d'hier et se croient arrivés par eux-même. Ainsi du Trocadéro. Ainsi des terrains de foot.
Dernières choses. "Les Américains ceci, les Américains cela" disent-ils... l'Amérique ils n'y sont jamais allé. D'abord une seule paroisse américaine recèle dix fois plus de saints inconnus que tous nos crasseux palabreurs ceinture noire de casuistique. Et puis d'une manière éclatante, irréfutable, les catholiques américains sont les plus conséquents, les mieux éduqués, les mieux habillés, ils engendrent les familles les plus jolies, les plus proprettes, les plus capables de l'Eglise universelle. Cherchez-vous un modèle de société, une théologie du vêtement, une ingénierie sociale catholique qui ait connu quelques succès, une éducation du caractère qui sache former des Chrétiens forts et des Chrétiennes gracieuses ? Cherchez en Amérique, lieu des erreurs à éviter certes, mais aussi des exemples régénérants.
La religion est le véhicule d'un peuple à travers le temps. Un peuple a donc un intérêt à garder sa religion. Les vertus sont invisibles, les formes sont visibles, ensemble elles garantissent la solidité du véhicule à travers le temps. La religion relie la créature à son créateur et propose d'atteindre un idéal céleste par un idéal terrestre.
Les hommes peuvent bien se faire autant qu'ils le veulent des prédicateurs érudits, des exégètes, des docteurs, des "hommes de science", des savants, des frères prêcheurs... Les hommes peuvent s'agiter autant qu'ils le veulent, s'ils sont célibataires le véhicule n'avance pas. Seule l'union avec une femme permet au véhicule de traverser le temps, par la naissance des enfants. C'est cela qui a aiguillé certains théologiens vers une comparaison de la rencontre de l'homme et de Dieu avec la rencontre de la femme et de  l'homme: en somme l'Alliance c'est le mariage monogame et monothéiste, la femme lorsqu'elle est la bonne c'est Dieu puisqu'elle vous choisit, vous sauve, qu'elle connaît vos secrets, que vous travaillez pour elle, qu'elle vous juge, et que par la maternité elle vous ressuscite. 
Mais trêve d'hypothèses romantiques. En société multiculturelle, la "guerre des berceaux" est le vrai nom de la société, guerre dont l'issue repose sur l'ingénierie sociale que développe telle ou telle religion et l'on sait depuis les années 60 libanaises que la religion chrétienne entretient dans ce domaine une légèreté catastrophique : chasteté des hommes et liberté des femmes, indifférence dévorée par l'athéisme et le sunnisme, manipulée par le talmudisme, massacrée par la loge, la fécondité chrétienne parvenait bientôt à peine au renouvellement des générations. L'accès à la bourgeoisie qui suppose une prééminence de la carrière sur la famille achevait de tout détruire. 
Les enfants appartiennent aux seuls pères. Ils sont portés par les mères, confiés aux mères, parfois élevés en partie par elles mais n'appartiennent ni à l'Etat ni à la mère, ni aux tribunaux, ni aux franc-maçons, ils appartiennent aux pères seuls jusqu'à leur majorité.
Nous aimons au suprême la beauté physique, l'excellence de la créature comme indice de l'excellence du créateur, nous savons la reconnaître certes, certes. Mais cette beauté physique est pour nous c'est à dire que monsieur Durand épouse mademoiselle Dupuis, qu'il n'y a pas de "marché ouvert" au tout-venant, pas de rencontre laissée au hasard de prédations externes et de libéral haussement d'épaules alors que c'est le point le plus capital d'une vie dans la chaîne des vies dans le temps. Et pour que monsieur Durand épouse à 18 ans mademoiselle Dupuis et lui fasse 20 enfants nous ne reculons devant aucun moyen mais les prenons tous, surtout ceux qui font sursauter nos "cathos" tranquilles : zéro écran, vêture de mormon pour les filles et régime de spartiate pour les garçons, habitat modèle Orania et enseignement modèle Martinerie multiplié par internat de Sarlat 1920. Garde absolue du langage, cours de dialectique, de langues étrangères, de lutte et de boxe, d'athlétisme, de bricolage et d'esthétique fonctionnelle. Les enfants aiment énormément l'éducation exigeante mais pour cela il faut les débarrasser de leurs catastrophiques mères. Nos plus beaux souvenirs de vacances enfant? Le scoutisme loin de tout sur les routes et par les champs, en France.
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PS: Autre immense lacune de la cléricature en temps d'invasion: qu'est-ce que la race? Qu'est-ce que la race blanche surtout, et d'où vient-elle ? Le caractère récessif des gènes clairs est-il une théophanie des dogmes du péché originel et de l'immaculée conception? Quels sont les droits particuliers des Blancs notamment français au sein d'une Église qu'ils ont plus que largement contribué à bâtir ?
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ruins-rising-rpg · 8 months
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Septième version
Un petit passage rapide par ici pour parler de notre dernière mise à jour qui est arrivée le weekend dernier ✨
Cette septième version est entièrement signée enfant sauvage, qui s'est inspirée de nos nouveaux events pour créer un sublime design et qui a agencé le codage pour un résultat tout en douceur avec quelques vibes automnales. Merci à @cavalierfou pour la colo de ouf 😇
tw: maladie, décès
L'été a été tranquille sur le forum, mais a quand même inclus un peu de mouvement pour la Cour de l'Hiver qui a enterré son Suprême suite à de longs mois de maladie. Un sujet commun entourant les obsèques d'Einar Asgeir se finalise et inclus quelques rebondissements de la part de sa progéniture qui est mécontente de ses dernières décisions.
Nous profitons de cette mise à jour pour lancer plusieurs sujets communs incluant :
Le tournoi annuel de la famille Monteserre au cours duquel celleux qui s'inscrivent pourront se mesurer à des adversaires dans des duels rythmés par des lancers de dés.
La fermeture de la saison sociale incluant un bal pour la haute noblesse et un festival pour le petit peuple. Ces sujets se veulent smooth et permettront à nos membres de faire un peu de ping pong en attendant l'annonce de l'identité de la prochaine cour régente le 30 septembre prochain.
Une mission organisée par l'une de nos guildes militant pour les droits des minorités et visant à voler l'une des reliques de la Mère pour causer un peu de chaos chez l'ennemi.
Nos membres sont déchaînés en rp depuis le début septembre et attendent encore beaucoup de liens 😈 Nous accueillons toujours les nouveaux membres avec beaucoup de joie ! N'hésitez pas à passer nous voir ! https://agameofpower.forumactif.com/
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fieriframes · 1 year
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[Do you speak with my voice? Do I speak with yours? We create the world where darkness once stood.]
III - Le Corbeau Albinos
Je l'ai interrompue et j'ai demandé avec terreur “où avez-vous obtenu ce jeu de cartes?” Le ton de ma voix et l’absurdité de la question l'ont clairement découragée, car elle a répondu sèchement qu’il lui avait été offert par un ami proche il y a des décennies, puis elle a immédiatement repris la séance.
Je ne me souviens vraiment pas d'un seul mot de ce qu'elle dit après ça. Je n'arrêtais pas de compter les doigts du magicien, atteignant parfois cinq, parfois six, incapable de me concentrer, de respirer normalement ou de revenir à la réalité. Finalement, j'ai réussi à la remercier, à payer, à partir et à rentrer chez moi.
Je me suis demandé comment cette situation allait dégénérer. La prochaine carte apparaîtra-t-elle dans ma poche ? Sous mon oreiller ? Comme un tatouage sur mon bras ? À ce stade, pourquoi pas ? La personne qui était responsable de ces événements avait déjà mon adresse et ce n'était pas particulièrement réconfortant. Pendant des semaines, j'ai regardé par-dessus mon épaule. Me méfiant de tout et de tous. En attendant la prochaine étape de ce jeu étrange.
Ça n'est jamais arrivé. Un mois a passé. Ensuite un autre. Plus de rencontres fortuites. Plus de coïncidences. Plus de cartes. La vie était revenue à la normale. Quel que soit le message que les cartes avaient pour moi, ça avait clairement été reçu.
Finalement, ma curiosité grandissante, j'étais prêt à essayer de comprendre tout ça.
Vraiment, quelles étaient les chances que le médium utilise les cartes de Leonora Carrington ? Je ne savais pas. La seule chose dont j'étais sûr était ce que j'avais vu de mes propres yeux. J'ai décidé de me plonger dans les tarots qui avaient croisé ma route.
L'Amoureux; une carte d’harmonie et d’amour. Avant d’être en harmonie avec l’autre, il s’agit d’être en harmonie avec soi-même.
La Papesse, une carte de spiritualité et de sagesse. Le lien avec le divin et toutes les choses au-delà de la raison. Un rappel pour vous connecter avec votre voix intérieure et votre intuition et pour faire confiance à votre puissance supérieure. Ces deux cartes sont apparues deux fois. Pourquoi, je ne sais pas.
Puis, l'Empereur, qui reflète un système lié par des règles et des règlements. Créez le calme à partir du chaos en décomposant tous problèmes, puis planifiez les actions nécessaires pour les résoudre.
Le Chariot, représentant le dépassement des obstacles grâce à la détermination, la concentration et la volonté.
Les trois cartes suivantes, celles révélées par Amélia, m'avaient le plus marqué. L'Impératrice, le Pape et, pour finir, le Bateleur. Le dernier est souvent représenté avec une main pointant vers le ciel et l'autre pointant vers la terre, ce qui est largement interprété comme une référence aux domaines spirituel et physique. Quod est superius est sicut quod inferius, et quod inferius est sicut quod est superius. Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas. Entre deux mondes.
Tout semblait étrangement logique. Les cartes me parlaient clairement de spiritualité, de paradis et de terre, d'un voyage difficile. Mais s'il y avait un message concret ici, je ne pourrais pas l’entendre/comprendre. Chacune de ces cartes avait sa propre signification. Alors j’ai continué à y penser en boucle pendant des mois. L'ordre. Les significations. J’essayais de faire des connexions là où il n’y en avait pas.
Les jours passèrent.
Un soir après le travail, avec Nocturne n° 5 en fa dièse majeur de Chopin jouant en fond sonore, j'ai pris le jeu de cartes que j'ai récemment acheté et les mets sur la table. J'ai remarqué, pour la première fois, qu'ils étaient tous numérotés. L'Amoureux avec un numéro 6 dans le coin. La Papesse: 2. L'Empereur, 4. Le Chariot: 7. L'Impératrice: 3. Le Pape: 5. Le Bateleur: 1.
En raison de mes terribles compétences en maths, la seule chose à laquelle je pouvais penser était d'additionner les nombres. Le résultat était 28. 2 + 8 = 10. Le nombre d'achèvement. Ça signifiait-il quelque chose ? Si j'inclus les occurrences répétées, L'Amoureux et la Papesse, j'ai eu 36. 3 + 6 = 9. 9 qui représente une fin qui n'est pas définitive. L'accomplissement d'un cycle, d'un voyage, pour préparer le suivant.
28, 36, 10, 9… Tout semblait important, mais complètement inutile. Insérer du sens dans le non-sens.
J'ai essayé autre chose. J'ai mis les sept cartes les unes à côté des autres. 6 2 4 7 3 5 1. J'ai regardé fixement les cartes pendant une éternité. Rien du tout. Puis, j'ai déplacé quelques cartes pour qu'elles soient regroupées. 62 47 35 1. Plusieurs chiffres avant tout élément significatif. Sur une feuille de papier, j'ai inclus les cartes répétées. 62 62 47 35 1. Encore à un chiffre de tout ce qui a du sens, comme un numéro de téléphone.
Juste au moment où la musique s'est arrêtée, j'ai entendu le son d'un papier glissant sur le parquet. J'ai couru vers la porte, l'ai ouverte et je n'ai rien rencontré de l'autre côté. Mais à mes pieds se trouvait une enveloppe. Je le pris avec hésitation et retournai vers le canapé.
Les mains tremblantes, j'ouvris l'enveloppe. Une seule feuille de papier. Un poème.
Grand corbeau albinos Buvez toutes les ténèbres du ciel.
Les buses sombres, sombres Chantent pour le masque Qui appartenait autrefois à la vie.
Grand corbeau albinos Tu es l'antidote.
Le Pendu Verse des images Dans des yeux saturés.
Deux espions d'encre.
De l'autre côté de la note se trouvait un dessin.
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Le Mat de Leonora. Carte numéro zéro.
Le Mat indique de nouveaux commencements, comme le début d'un voyage. Bien que ce voyage ne soit pas sans obstacles, c'en est un pour lequel vous êtes plus que prêt et qui vous mènera à de plus grandes choses. Il ne sait pas où ce processus de découverte de soi le mène, mais il est heureux d'y aller. Dans les interprétations plus ésotériques des cartes de tarot, le Mat est connu comme le protagoniste de l'histoire, et les Arcanes Majeurs sont le chemin que le Mat emprunte à travers les grands mystères de la vie.
J'étais assis là à regarder les deux morceaux de papier posés sur la table; le dessin et les chiffres que j'avais notés plus tôt. 62 62 47 35 1. Presque dans un état de transe, j'ai pris le stylo et j'ai complété la séquence avec le numéro du Mat. 62 62 47 35 10.
Puis, j'ai retenu mon souffle, pris le téléphone et composé le numéro.
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clatterbane · 1 year
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Tonight's Swedabilly comfort food delight!
We had an open package of falukorv* in the fridge that needed used up, and also a big bag of the ever-popular grated Swedish Mystery Cheese.
So, I decided to split the difference and turn out some baked macaroni and cheese with fried sausage on the side, rather than the more local classic combo with milk-stewed macaroni. ¯\_(ツ)_/¯ (Which also makes an awesome easy macaroni and cheese base, btw!) Plus some microwaved frozen veggies with plenty of butter.
Not a bad meal at all, even if it did sort of remind me thematically of school cafeteria macaroni and cheese day. 😅 Not quite on par with the bizarre pizza and corn pairing, but for whatever reason they inevitably served us this sweaty warmed-up half slice of school cafeteria grade sandwich bologna with the macaroni and cheese. Presumably to fill out the protein requirements.
Freshly browned slices of falukorv make for a much more appealing accompaniment, that's for sure! This batch of macaroni turned out drier than I was going for again, but it was still not bad.
______
* A.k.a. "ring bologna" in the Upper Midwest--what a surprise! 😁
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catchthylove · 11 months
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where: Chez Wiz sports bar with: open to anyone
"Thought the day would never end." Greta sighed while wiping the the corner of the bar before throwing the towel on the other side with the rest of them were. Such a busy, busy day at her bar, The Chez Wiz, where a lot of her costumers were sitting around to watch the next big sporting event. Everyone was either very excited from the game and atmosphere of the sports bar, or complaining about their team losing and debating with their peers about game moves.
Finally, the bar had wind down where only a few stragglers remained before Greta had to close up for the night. She was mainly speaking to herself after the chaos, and even though sales were up from the nights events, she couldn't help but feel the exhaustion settling in after such a rush.
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ekman · 6 months
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Finalement, c’est une opération très réussie pour les enfants d’Abraham. Certes, il y a eu ce triste et terrible carnage qui fut la fin et le début de cette épopée. Qui pourrait-il réjouir, hormis une partie de ses auteurs, leurs commanditaires sans doute, et quelques dizaines de milliers d’exilés, spoliés, chassés, séparés, oubliés ? Non, pas oubliés. Pas oubliés de l’islam en armes qui a trouvé en eux un formidable véhicule à la détestation de tout et de tous. Les enturbanés fanatiques ont reçu en cadeau de leurs ennemis jurés un peuple martyr prêt à verser dans le fossé de la haine absolue, totale, sans retour. Bravo les gars. Belle opération, à la hauteur de vos multiples créations... Les gangs d’assassins islamo-prohétiques, payés, armés, formés et motivés par vos soins, via les habituels sous-traitants – appelés “proxys” ces derniers temps.
Bien utiles, ces désespérés qui n’ont plus rien, et moins encore grâce à la corruption de leurs édiles laïcs et modérés, baratineurs et pourris jusqu’à la moelle. À eux les villas somptueuses, à vous la poussière des désespérés. Au final, qui vous donne du pain, fait l’école coranique à vos enfants, forme vos garçons au maniement des cailloux et vous promet une parfaite vengeance ? Les élus de Dieu sur la voie de cet islam qui vous apporte l’espérance d’une Palestine libre et reconquise, en plus d’un toit, d’une gazinière et d’un coran. Il suffit juste de laisser votre aîné de quinze ans devenir un martyr du djihad.
De l’autre côté, une question sans réponse sensée s’impose. Comment l’Occident ose-t-il signer un blanc-seing à un gouvernement qui prétend défendre des valeurs éventées en déclarant à la face du monde qu’il engage “une guerre de la Lumière sur les Ténèbres” ? Que son but ultime est d’éradiquer le Mal ? Empêtré dans ses réf��rences bibliques à la con, l’exécutif israélien entame une course effreinée vers le chaos absolu, assumant enfin le costume du bourreau dans une sorte de Shoah à l’envers, “parce que Dieu nous a choisis et que nous sommes les seuls”, persifflent les rabins les plus abrutis.
De fait, hélas, le monde ne peut se gérer que par le chaos parce qu’il est lui-même le fruit du chaos, son expression la plus aboutie. Rien de pérenne dans le monde humain. Nul sentiment noble, aucun concept lumineux, aucune intelligence rationnelle ne survivront jamais au rêve prométhéen d’un homme qui se ressent l’égal de Dieu. Sur les chemins éclaboussés de lumière noire, le voilà qui baigne sa pauvre vie dans les ruisseaux répugnants, vomit son narcissisme sur les statues sacrées, engendre sa bestialité en forçant le ventre des femmes effacées.
Le Dieu des Juifs et des Chrétiens est descendu sur Terre pour y semer un désordre inouï, jurant qu’il était ici chez lui. Quelque part au firmament, loin derrière l’horizon, les Dieux qui savaient si bien parler aux hommes, les élever et se jouer d’eux, les frotter aux vents, les griser de parfums puis les abandonner à leurs vaines passions, rient tristement à l’écho de ce disgrâcieux capharnaüm.
J.-M. M.
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ascle · 2 months
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Le diable est dans les détails
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L’église catholique a longtemps eu droit de regard sur la vie des Québécois. Elle contrôlait le gouvernement, éduquait les enfants, soignait les malades et s’immisçait même dans les chambres à coucher d’un regard sévère et accusateur.
Ce n’est pas sans raison que le blasphème, les sacres, ce sont vite répandus afin de soulager un excès émotif.
Mais loin de se limiter au « caliss » et au « tabarnak », la langue québécoise regorge d’expressions au vocabulaire religieux. En plus du « rare comme de la marde de pape » que nous avons déjà abordé, voici quelques autres exemples:
Ambitionner su’l’pain béni
Abuser d’une situation avantageuse
Avoir du monde à la messe
Une foule, beaucoup de personnes
L’habit de fait pas le moine
Il ne faut pas se fier aux apparences
S’en aller chez le diable
Tomber en ruine, se détériorer, se diriger vers un échec.
(Ne pas confondre avec…)
Va donc chez le diable!
Va te faire foutre!
Se pogner le moine
Ne rien faire, perdre son temps
Accouche qu’on baptise
Dis tout de suite ce que tu as à dire
Pas le diable
(prononcé « pas l’yable »)
Pas beaucoup, presque rien.
Sentir le diable
Puer
Ça parle au diable!
C’est incroyable!
Le diable est aux vaches
(D’origine française, cette expression, désuète en France, est encore très utilisée au Québec.)
Plus rien ne va, c’est le bordel, le chaos
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albad · 9 months
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FUSILS À POMPE SUR UN ADOLESCENT : UN GROUPE PRO-POLICE EN FAIT UN ÉCUSSON
Des unités anti-terroristes qui mettent en joue des adolescents au sol avec des armes longues pour les arrêter. Ce sont les images prises à Lille, jeudi 29 juin. Pascal Bonnière, le photographe de La Voix Du Nord, avait raconté cette scène extrêmement choquante. «C’est la panique. Ils mettent en joue. Les gamins sont au sol, ventre à terre, une arme pointée sur eux. C’est d’une violence inouïe, dans une situation qui était très calme. C’est terrifiant !» Quatre jeunes avaient été embarqués par les agents.
Tout le monde, en-dehors des personnes déjà mûres pour une dictature fasciste, avaient été effaré devant cette image d'unités militarisées contre des adolescents : pour la première fois, l’anti-terrorisme était déployé contre la population civile, contre des enfants de 14 ans.
Tout le monde, sauf les lobbies pro-police, qui ont trouvé ça génial. Le groupe «Thin blue line France» a transformé cette photo en écusson, pour permettre aux policiers d'en faire une fierté et de pouvoir l'arborer sur leurs uniformes.
Qu'est-ce que «Thin Blue Line» ? Le journaliste Ricardo Parreira explique que l'idée vient du monde anglo-saxon, et signifie «fine ligne bleue». C'est une image : cette fine ligne de la couleur des uniformes, c'est la police. La ligne bleue symbolise la séparation entre le bien et le mal, elle sépare l'ordre et le chaos, elle délimite la société des hordes de barbares qui la menacent. Sous-entendu : sans la ligne bleue, la société s'effondre.
C'est un discours régulièrement entendu dans la bouche de syndicalistes policiers : «sans nous, la République serait tombée», ou «nous sommes la première ligne». Eric Zemmour, invité par le syndicat Alliance, avait aussi déclaré : «Les policiers sont en première ligne des attaques de terroristes et de caïd», aux «premières loges d’un combat de civilisation». Le candidat pétainiste avait même osé : «Je veux que vous redeveniez les chasseurs, pas les gibiers». C'était durant la campagne présidentielle. Nous y sommes, Macron a appliqué ces idées.
La «Thin Blue Line» a d'abord été populaire au Royaume-Uni, aux États-Unis, puis au Canada, en Belgique et en Suisse au sein de l'extrême droite et de la police. Aux USA, la ligne bleue était présente dans les rassemblements d'extrême droite, ou chez les opposants au mouvement Black Lives Matter. La ligne est aussi utilisée pour commémorer un policier mort en service.
Ce symbole de ralliement est désormais utilisé par des forces de police françaises. Sur Instagram, un compte «Thin Blue Line France» cumule près de 28.000 abonné-es, souvent policiers. Le compte a évidemment relayé la cagnotte de soutien au tueur de Nahel et applaudi la répression des banlieues et des mouvements sociaux.
Le site vend des écussons : ACAB (All Cops Are Brothers), la tête-de-mort Punisher, le casque spartiate, la fleur de lys… Tout un imaginaire, parfois arboré directement sur les uniformes et mis en ligne.
Avec ce nouveau «patch», c'est la glorification de la violence armée sur des enfants, au lendemain de l'exécution du jeune Nahel, qui pourra être portée fièrement, demain, par les policiers et leurs soutiens.
Contre Attaque
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raisongardee · 2 months
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"On peut aussi choisir des amis néfastes pour d’autres raisons. Parfois pour les secourir. C’est plus courant avec les jeunes, même si cette volonté continue à exister chez des personnes plus âgées trop gentilles, crédules ou qui ferment obstinément les yeux. On pourrait m’objecter : "Il est tout naturel de voir le bon côté des gens. Le désir d’aider son prochain est la plus grande des vertus." Mais ce n’est pas parce qu’on a échoué qu’on est une victime. Et ce n’est pas parce qu’on a touché le fond qu’on a envie de remonter, même si c’est le cas de beaucoup d’entre eux et qu’une grande partie y parviennent. Néanmoins, on accepte souvent sa souffrance, et il arrive même qu’on l’amplifie. Ainsi que celle des autres, s’il est possible de la brandir comme la preuve de l’injustice du monde. Les oppresseurs ne manquent pas parmi les opprimés, même si, compte tenu de leur modeste position, nombre d’entre eux ne sont que des aspirants tyrans."
Jordan B. Peterson, 12 règles pour une vie. Un antidote au chaos, trad. Sébastien Baert, 2019.
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rewindthetimee · 11 months
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À LA CROISÉE DES CHEMINS—Chaos chapitre 5
Saison : Printemps, il y a un an
Lieu : Centre-ville
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Kuro: Ouaip’, ouaip’. D’acc, tu vas manger chez ta pote aujourd’hui.
… T’es sûre que c’est “une” pote, et pas “un” pote, hein ?
Tu veux que je vienne te chercher quand vous aurez fini ? Pas besoin ? Ah ouais ? Ils te ramèneront à la maison… Ok, ça marche.
Enfin, j’suppose que ton amie prendrait peur si elle voyait un mec comme moi débarquer pour te récupérer. Appelle-moi si t’as besoin de quoi que ce soit, d’acc ?
À toute, fais en sorte de rentrer avant qu’il fasse nuit.
(Mhh… Ma soeurette est assez distante en ce moment. C’est donc ça, la phase rebelle ?)
(Au moins, elle arrive déjà mieux à s’exprimer que quand maman est morte.)
(Elle a sa propre vie désormais, faudrait pas que je m’y immisce de trop.)
(Haha. “Pourquoi tu vas pas t’amuser avec tes amis, Aniki ?” qu’elle m’a dit. Mais y’a personne avec qui je suis assez proche pour appeler comme ça, sans prévenir.)
(Si y’a bien quelqu’un que je considère comme un ami, c’est Morisawa. Mais si des gens nous voyaient ensemble, ça lui causerait un tas de problèmes.)
(Bordel. Je commence sérieusement à me demander si c’était vraiment une bonne idée d’intégrer cette école. J’ai beau être en deuxième année, j’arrive toujours pas à m’intégrer.)
(Bien sûr, ça reste toujours mieux que le collège, dans le temps où je traînais avec des mecs dangereux et que je me retrouvais embarqué dans des affaires pas nettes…)
(Enfin, si ça me permet de faire de mal à personne, c’est pas si mal d’être tout seul.)
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Kaoru: Hééé, Kiryuu-kun !♪
Woah, woah, qu’est-ce que tu fais ici ? T’as pas l’air dans ton assiette~ Tu t’es fait rejeter par une fille ou quoi ?
Kuro: … Hakaze. T’as pas tout à fait tort.
Kaoru: Je vois, mon pauvre~ Si t’étais pas un mec super baraqué, je me serais fait une joie de te réconforter, Kiryuu-kun.♪
Kuro: J’en veux pas de ton réconfort. M’adresse pas la parole, allez ouste !
Kaoru: Ouah ?! Je me fais chasser comme un vulgaire chien errant… Je pensais pas que tu me détestais à ce point~ Perso, je préférerais être en bons termes avec toi, tu sais.
Si t’étais mon garde du corps, je pourrais me balader à l’école en toute sécurité.
Kuro: Demande à quelqu’un d’autre. Je compte pas être le bouche-trou de qui que ce soit.
Kaoru: C’est justement parce que t’es un homme, un vrai, que c’est toi que je veux et personne d’autre. Mais peu importe, c’est pas comme si j’avais envie de me retrouver impliqué dans ce qu’il se passe à Yumenosaki de toute façon.
Mais avant tout, est-ce que t’es libre là maintenant, Kiryuu-kun ? Une de mes connaissances tient une représentation à la salle de concert, alors je me demandais si tu voulais qu’on y fasse un tour ensemble.
Allez, c’est moi qui paie ! Estime-toi heureux, c’est rare que je fasse une fleur pour un homme, tu sais~♪
Kuro: Mmh… C’est pas comme si j’avais quoi que ce soit de mieux à faire, alors j’veux bien passer un peu d’temps avec toi.
J’entends une voix assez énergique venant de l’intérieur. Hé, ce serait pas Morisawa ?
Kaoru: Morisa-qui ?
Enfin bref, si t’es d’accord, alors suis-moi.
Contrairement au cursus d’idoles de Yumenosaki, les hommes et les femmes sont les bienvenus dans cette salle de concert~ Peut-être ferons-nous une rencontre intéressante.♪
Lieu : Salle de concert souterraine
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Kaoru: Mon Dieu… C’est encore plus bruyant que ce que j’imaginais.
(Qu’est-ce que ça signifie ? La foule est si dense que c’en est presque impossible de bouger…)
(Si je me retrouvais accidentellement collé à une fille ça me gênerait pas du tout, mais jusque là j’ai vu quasiment que des mecs. C’est donc ça, l’Enfer.)
(Mh ? Y a une odeur agréable qui flotte dans l’air…)
Kuro: H-hé, Hakaze ? Tu vas où, comme ça ?
Kaoru: (Sniff, sniff… C’est le genre d’odeur qu’on ne peut avoir qu’en prenant particulièrement bien soin de ses cheveux avec une dizaine de produits de beauté. Je suis persuadé qu’elle appartient à une magnifique beauté japonaise bien propre sur elle. ♪)
Souma: …? Puis-je vous estre utile ?
Kaoru: Hein, c’est un meeec...? Mon odorat me ferait-il défaut ?
Souma: P-pourquoi semblez-vous si desconforté [1]? Estes-vous souffrant ? Votre visage est livide…
Est-ce parce que la populace est dense ; estes-vous cacochyme ?
Si vous le souhaidiez [2], je puis vous raccompagner jusqu’à la sortie.♪
Kaoru: Ah~ Désolé, mais tu pourrais ne plus m’adresser la parole ?
C’est vrai, je ne me sens pas très bien, mais c’est parce que je m’attendais à faire une merveilleuse rencontre, donc je me sens un peu trahi, tu vois~?
Souma: Je vous demande pardon ? Veuillez articuler de sorte à ce que je vous comprenne !
Mon comportement est-il source de vos malheurs ?
Kaoru: Mais pourquoi est-ce que tu continues de t’approcher…
Les hommes, c’est niet, ça m’intéresse pas ! Tu pourras revenir quand tu te seras réincarné en une belle jeune femme. Bye-bye~♪
Souma: C’est vous qui m’avez approché ! Espèce de fripouille mal élevée !
… Ouah ?
Kuro: Ah, désolé. Je t’ai bousculé sans faire gaffe. … J’t’ai pas fait mal au moins ?
Souma: Ah, vous estes le gentilhomme que j’ai rencontré auparavant…
Écartez-vous, je me dois d’abattre mon jugement sur cet homme impudent. Je ne déshonorerais point le clan Kanzaki en fuyant après avoir été insulté de la sorte !
Kuro: J’comprends pas trop ce qu’il se passe, mais tu ferais mieux de te calmer. C’est déjà suffisamment chaotique là-dedans, en plus d’être bondé de monde.
Si quelqu’un se met à agir violemment, y’aura forcément des blessés.
Attends, mais comment on en est arrivés là, déjà ?
Souma: Hélas… J’ignore moi-mesme la raison. Dès que ce gentilhomme est monté sur la scène, un creuset des plus furieux s’est formé.
J’ai l’impression d’avoir été avalé par un tsunami.
Kuro: Un gentilhomme, tu dis… Tiens donc, si c’est pas Sakuma.
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Rei: ♪~♪~♪
Kuro: (Va savoir pourquoi, il est en train de chanter comme s’il vivait sa meilleure vie. Qu’est-ce que la superstar de l’école fait à s’amuser dans un district aussi délabré…?)
Traduction FR : Yunaël
Correction FR : Rewind
Traduction anglaise : Soph
Ancien Français pour dire “découragé”.
Ancien Français pour dire “souhaiter”.
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hylaversicolor · 1 year
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ok so if i were to write an essay on the blues brothers
it would be about how we get all those aerial shots at the beginning of the city and the smog and for the first few minutes of film it all feels very grim and gritty, and then we see more shots from above of people inside the walls of joliet prison working out in a grid, or marching in very strict straight lines. the shots are very brutal, focusing on geometry, especially rectangles and squares, almost monochrome. then we see jake and the guards walking in time with each other, something about how maybe the world has a natural rhythm but it can be exploited by The State, when you are incarcerated your natural rhythm is stolen / appropriated. what purer form of exploitation is there than giving your body, your time, in “service of the state,” as jake calls it when they’re at chez paul? only when jake gets out of prison do we get “katy,” non diegetic, the characters are not experiencing the music themselves yet, but it is There for us; the film is self aware. there is a push and pull in the blues brothers between organization and chaos, and what that means for jazz, which had once dominated popular music and culture, but what is by the early 1980s a declining art form.
tbb came out in 1980 but i don’t consider it an 80s film because the 80s hadn’t happened yet. tbb takes american cultural landmarks of the 1970s like howard johnsons, holiday inn, and trailways and characterizes them with a kind of dark humor (hojo’s getting blown up with the flamethrower, “welcome exterminators” at the holiday inn, murph and the magic tones are laughed at for their “candy ass monkey suits” at the armada room), as (despite imo these locations reaching iconic status nowadays) by the early 1980s they are grim and modern and represent the pervasion of disco (again, imo an iconic art form, but by the late 1970s disco had fallen in popularity and was criticized as being consumerist and mindless. i’m talking disco in the context of the blues brothers specifically.) even outside the context of the film itself, we have cab calloway initially wary of performing a classic 1930s version of minnie the moocher, instead wanting to do a more modernized version of it, before finally being convinced to go with the original (i think john landis convinced him? don’t know off the top of my head.) basically in tbb, disco=the american establishment=the death of free will.
jazz and blues in this movie represent the antithesis of that mindlessness, but jazz is also in danger of dying out. maurie reports that the clubs that the band used to play at before jake went to prison (a mere 3 years ago) have all become discos now, so the blues brothers band coming back together after being forcefully separated as a result of the prison system is a radical act. we see the culmination of The Blues Itself (here straddling the line between “repetitive; easy for newcomers to grasp” and “repetitive; limitless grounds for improvisation and self expression”) vs The State (mindlessly following orders; going along to the rhythm not out of an innate desire to do so but because it is mandated by the times, and the men in charge) during the final chase scene and especially when (who??? i guess some unknown faceless entity, side note the illiniois nazis are connected to the police in this film) summons swat teams, helicopters, tanks, basically every manifestation of good old american “unnecessary force” closing in on the brothers. compare this to the opening scene in the prison with its aerial shots of uniformed men moving in unison.
and then jake, elwood, and the rest of the band all end up back in jail at the end of the film, but this time they bring the music in with them. they have become the collective. using jake’s metaphor: they are the “backbone, the nerve centre of a great rhythm and blues band.” jazz is essentially characterized as a living entity in this film; it represents the collective, and by extension the good that comes of organizing together, recognizing yourself in other people and other people in yourself. imo the thesis of the film is stated outright during “everybody needs somebody to love” by elwood himself: “no matter who you are and what you do to live, thrive, and survive, there’s still some things that make us all the same.” by the end of “jailhouse rock” the entire prison is alight with the rhythm of the song. compare this to the opening scene where the prisoners are moving in rhythm, but not in a joyful way that reflects their own humanity. basically i think the blues brothers represents a nicely optimistic view of humanity through music.
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