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#bêtise du jour
fidjiefidjie · 1 month
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😁 Bêtise du jour 🤣
Il arrive ! ...... Le lapin de Pâques 🐇 🐰
Source: Romewv
👋 Bel après-midi
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jeanchrisosme · 2 months
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Je souhaite que vous alliez bien à tous ! Je vous souhaite de doux et beaux moments, de petits et grands bonheurs, de rencontres d'âmes, de mots de réconfort dans les moments de détresse, que vous ayez des amis qui vous font sourire pour des bêtises, qui vous racontent des blagues bêtes, qu'ils ne manquent pas d'espoir et beaucoup dans leurs rêves, que chaque nouveau jour soit reçu comme un beau cadeau emballé dans des nœuds ruban bleu ou sur du papier soie rose aussi doux qu'un nuage, par une belle journée d'été. Je souhaite aussi que vous ayez beaucoup de patience et de sagesse pour faire face à ce que vous ne comprenez pas ou ne jugez pas injuste, et pourtant que votre façon de regarder les autres s'accompagne de douceur et de compassion, et que les autres les voient de la même façon. Je souhaite du fond de mon cœur que vous voyez qu'il y a de la beauté et une énorme portion d'amour dans chaque acte de bonté, aussi petit soit-il ! Et n'oubliez jamais que la poésie de la vie, c'est pouvoir faire et souhaiter aux autres ce que l'on désire, et faire pour soi-même ! De toute façon, mon souhait pour vous est que : le chemin que vous devez parcourir, dans ce voyage appelé vie, soit abondamment illuminé et guidé par ce qu'il y a de mieux dans vos cœurs, et ne manquez jamais de courage pour faire de chaque jour une opportunité unique d'être aussi heureux que possible !! Tout ça c'est parce que je les aime tellement !
Nubia Lima
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homomenhommes · 2 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 120
Comme prévu, j'organise pour mon nouveau client policier (en fait c'est un mec des anciennement RG) son plan arrestation de racailles. Jimmy est en jogging Adidas et sketts et Ed en ptit bourge, jeans, polo et mocassins.
Pendant le trajet en voiture (j'ai emprunté celle de Marc, la Z8 n'a que deux places !), j'explique à Ed les détails du plan. Jimmy le rassure en lui disant que ce plan l'avait fait kiffer grave. J'ai emporté un dictaphone pour enregistrer les propos échangés. Il ne me restera qu'a me souvenir des éléments visuels.
Nous arrivons chez lui, je sonne. Il nous ouvre, me glisse mon enveloppe et aussitôt attrape mes deux demi-portions (à coté de lui !), les plaque contre le mur, jambes écartées et les menotte direct dans le dos.
Dans le texte : Lui - alors mes petites salopes, je vous tiens ! Toi le beur, tu aimes tellement ma bite que tu recommence tes conneries ? C'est qui le ptit mec qui est avec toi ? Jimmy (avec un air effrayé) - Non, non msieur, c'est juste un potes. Lui - c'est ça, tu vas finir par me dire que c'est ton cousin ! Jimmy - non, c'est juste un copain. Lui (se tournant vers Ed) - ha ! toi aussi tu l'encules ? Lui (vers Jimmy) - en plus de dealer tu fais la pute ?
Et de les emmener direct vers le sous sol et sa salle de commissariat. Je les suit et prend un fauteuil dans un coin de la pièce. Il attache Jimmy au radiateur ce qui le force à s'asseoir par terre. Et il place Ed sur la chaise devant son bureau. Là il se place devant lui les fesses sur le bord du plateau mettant bien en évidence son paquet moulé par le jeans.
Lui - alors comment tu t'appelles ? Ed (à qui j'avais fait la leçon) - Marc Antoine. Lui (vers Jimmy) - et tu vas me dire que tu fréquentes la haute !
L'interrogatoire continu et il arrive bien à mettre Ed mal à l'aise. Jimmy de son coté s'est bien mis dans le jeu et prend son rôle de dealer de shit et de son cul avec naturel. Il finit au bout d'une demi heure à arracher à mes deux jeunes recrues que oui il est un dealer (pour Jimmy) et que oui il est bien un client régulier (pour Ed).
Couplet moralisateur comme quoi la drogue c'est pas bien, ça fait des dégâts et peut faire faire des bêtises... Et il achève par un - par contre le sexe, si tu te protège bien, ça t'apporte autant de plaisir sans déchéance physique. Je vais vous montrer.
Là, il les met debout et les déshabille. Jimmy bande déjà à moitié ce qui lui vaut une réflexion de notre client. Ed, lui, n'en mène pas large. De temps en temps il me glisse un regard interrogateur auquel je répond par un hochement de tête qui le fait continuer.
Lui (vers Ed) - comme c'est lui qui bande en premier (en montrant le sexe de Jimmy) c'est toi qui va le sucer.
Réticence d'Ed - je ne suis pas un homo.
Lui - tu n'as pas le choix, je te fais ta première séance de désintox. C'est ça ou la tôle. Et la bas, ton ptit cul il sera à la fête tous les jours et même plusieurs fois par jour !
Ed capitule et s'agenouille pour sucer Jimmy dont la bite à pris toute son ampleur. Au bout de 5 à 10 mn, le client déboutonne son jeans avec difficulté et sort sa grosse bite et ses couilles. Il les présente à Ed et lui dit
comme tu as l'air d'aimer ça finalement, tu peux bien t'essayer sur celle là.
Ed joue bien le jeu, il dit qu'elle est trop grosse, qu'il ne peut pas...
Le mec le prend par le cou (comme il est à genoux par terre, il n'a pas grande liberté de s'échapper) et lui enfonce d'autorité sa bite direct dans la gorge. Ed s'étrangle avec conviction (je crois que ce n'est même pas joué ce moment là !).
Lui - tu vois que tu aimes ça !
Jimmy ne veut pas rester de coté, il gueule et le mec le détache du radiateur tout en le re menottant dans le dos. Il le met à coté d'Ed et Jimmy se penche pour bouffer les boules qui vont avec la teub qui défonce la gorge de son copain de galère.
Lui - tu vois ton pote il aime ça. Une vraie salope, j'avais déjà remarqué la dernière fois ou je l'avais arrêté !
Là, il continue un bon moment sur ce type de conversation. Bientôt il se met à piner une bouche après l'autre, un coup dans la gorge d'Ed, un autre dans celle de Jimmy. Commentaires :
- regarde ptit bourge comment il prend bien la queue ton dealer. !
et de plonger trois ou quatre fois sa bite dans la gorge de l'intéressé sans qu'il ne tousse. Ed fait de son mieux quand son tour arrive mais j'entend quand même que c'est moins " naturel " que pour Jimmy !
La séance de pipe dure bien 3/4 d'heure.
Il se met à poil devant deux paires yeux intéressés. Il est assez beau mec dans le genre brute ! Puis il lace un cockring autour de sa queue, derrière les boules. Sa bite déjà fort respectable prend encore bien 1 bon cm aussi bien de long et un do demi de large. Et d'annoncer à ses deux prisonniers,
- Avec ça je vais pouvoir durer un bon moment dans vos culs.
Récriminations de Jimmy
- Non msieur, j'suis pas une pute ! repris en coeur par Ed, - j'suis pas un Pd !.
il détache Jimmy et le force à se coucher sur le dos sur le bureau débarrassé de tout la fausse paperasserie. Puis il détache Ed et lui dit de se mettre en 69. Ed fait semblant de pas savoir ce que c'est. Ça lui vaut une bourrade dans les cotes (gentille) et le mec l'attrape par les hanches le soulève comme une plume et le place au dessus de Jimmy en 69. Là, il attache chaque poignet avec la cheville qui lui correspond et il leur ordonne de se sucer mutuellement. Alors que le 69 démarre doucement, je le vois préparer gel et Kpotes.
Il leur ordonne alors de se bouffer mutuellement le cul. Mes deux mignons s'en donnent à coeur joie et pour améliorer la position, Le mec détache les poignets d'Ed pour pouvoir lui faire passer les jambes de Jimmy sous les bras. Là, il attache les deux chevilles ensembles, enfermant le torse d'Ed dans le ciseau des cuisses de Jimmy puis, il attache les poignets d'Ed à des anneaux que je n'avais pas vu sous le rebord du plateau.
Le cul de Jimmy est alors bien positionné pour qu'Ed le mange. Le mec se branle en regardant le tableau. Je bande un max mais ne peut intervenir ! Au retour, je les gaverais de mon jus !
Il finit par kpoter son monstre et le pousse sous le nez d'Ed pour s'enfoncer dans Jimmy. Ed à bien compris le jeu et il lèche la hampe pendant toute la pénétration avant de sniffer dans les poils du pubis de l'enculeur. L'odeur de la sueur va le faire se détendre façon poppers ! Le mec prend la tête d'Ed et la replace sur la teub de Jimmy qui n'a pas débandée sous l'effet de sa dilatation anale. Et, pendant qu'il lime le trou , il maitrise la fellation d'Ed en tenant sa tête de ses deux mains. Il demande à Jimmy si le cul d'Ed est prêt. A sa réponse positive, il décule et fais le tour du bureau. Je vois qu'il change bien de kpote pendant le trajet. Il se place au dessus de la tête de Jimmy et pose son gland sur la rosette couverte de salive d'Ed. il pousse, Ed avance involontairement. Le client attrape Ed par les hanches pour le fixer et donne un coup de rein qui fait entrer son gland. Léger gémissement de la part d'Ed. J'ai peur que la salive soit insuffisante. J'intervient pour protéger ma " marchandise ". Le flic sort son gland et le remplace par l'embout d'un tube de lubrifiant. Il le presse et en vide une moitié dans les boyaux d'Ed. Il ajoute à cela un dosage sévère de poppers et s'enfonce dès le premier frémissement d'anus. Pour compenser l'attente, il entre sa queue entièrement sans faire de pause ! Ed super dilaté et lubrifié encaisse comme un homme. Ils sont bien ces deux petits ! Sans qu'un ordre ne leur soit donné, Jimmy bouffe les grosses couilles rasées du mec alors qu'Ed a repris sa pipe sur Jimmy.
Notre client change de cul encore deux fois limant sur la totalité de ses 26cm les deux petits culs à sa disposition. Après une bonne heure de sodomie, il lâche les vannes et se retire d'un coup d'Ed, dékpote et jute un max sur son dos. La quantité est telle que le sperme dégouline de ses flancs pour salir Jimmy. Je m'aperçois qu'Ed à juté lors du retrait de la méga bite sur le ventre de Jimmy et ce dernier gaver Ed de son jus. Le ptit con avale ! je vais devoir remettre les pendules à l'heure au retour !! le seul sperme qu'il ont droit de boire est le miens et celui de Marc ! Le client les détache et les envoie sous la douche.
Il vient vers moi et nous discutons. Il me dit qu'il a bien pris son pieds et que ça valait le prix. Il me dit qu'il aimerais aller plus loin question domination. Je réfléchi, avec mes deux jeune recrues hors de question, trop jeunes. Avec Jean, c'est pas trop son trip. Il ne me reste que Ric mais j'ai promis à son père de ne pas en faire une pute ! je vais devoir négocier. Je pense pouvoir avancer qu'un trip domi hard pourrait être une récompense pour Ric au regard de ce qu'il sert à son père !
JARDINIER
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abridurif · 1 month
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Ce grand découragement à vivre, ma mère le traversait chaque jour. Parfois il durait, parfois il disparaissait avec la nuit. J’ai eu cette chance d’avoir une mère désespérée d’un désespoir si pur que même le bonheur de la vie, si vif soit-il, quelquefois, n’arrivait pas à l’en distraire tout à fait. Ce que j’ignorai toujours c’est le genre de faits concrets qui la faisaient chaque jour nous quitter de la sorte. Cette fois-là, peut-être est-ce cette bêtise qu’elle vient de faire, cette maison qu’elle vient d’acheter – celle de la photographie – dont nous n’avions nul besoin et cela quand mon père était déjà très malade, si près de mourir, à quelques mois. Ou peut-être vient-elle d’apprendre qu’elle est malade à son tour de cette maladie dont lui va mourir ? Les dates coïncident. Ce que j’ignore comme elle devait l’ignorer, c’est la nature des évidences qui la traversaient et qui faisaient ce découragement lui apparaître. Était-ce la mort de mon père déjà présente, ou celle du jour ? La mise en doute de ce mariage ? de ce mari ? de ces enfants ? ou celle plus générale de tout cet avoir ? C’était chaque jour. De cela je suis sûre. Ça devait être brutal. À un moment donné de chaque jour ce désespoir se montrait. Et puis suivait l’impossibilité d’avancer encore, ou le sommeil, ou quelquefois rien, ou quelquefois au contraire les achats de maisons, les déménagements, ou quelquefois aussi cette humeur-là, seulement cette humeur, cet accablement ou quelquefois, une reine, tout ce qu’on lui demandait, tout ce qu’on lui offrait, cette maison sur le Petit Lac, sans raison aucune, mon père déjà mourant, ou ce chapeau à bords plats, parce que la petite le voulait tant, ou ces chaussures lamés or idem. Ou rien, ou dormir, mourir. Marguerite Duras, L’Amant, Les Éditions de Minuit, 1984, p. 22-23
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perduedansmatete · 1 year
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je mens quand je dis que je n'ai pas de souvenirs de mon enfance, ils sont tous enfouis dans cette grande maison de famille paumée tout en haut d'un village tout aussi perdu au fin fond de la haute marne. tout comme les souvenirs de mon papy, du moins du personnage qu'on a créé, de celui qu'on aime se raconter. tout tournait autour de lui, cette maison c'est lui. pas simplement parce qu'il l'a entièrement retapé, ma mamie m'a dit un jour "j'ai passé ma vie dans des maisons en travaux", il aimait bien ça se casser le dos. mais parce qu'il était l'âme de la maison, l'âme de cette famille ? peut-être que j'exagère. mais c'était lui toutes nos bêtises d'enfant, c'était lui cette maison. c'est un peu le mythe fondateur en fait, quand ils ont été obligés de vendre, je me souviens de nous trois toutes petites pleurant comme des bébés puis allant voir papy et mamie en leur disant "mais on peut vous aider à la payer avec nos économies!" on s'est toujours dit qu'on la rachèterait quand on serait plus grandes, ne serait-ce que pour que mon cousin s'imprègne de ce que c'était, il était encore trop petit pour s'en souvenir.
c'est dans son jardin qu'on faisait des courses d'escargots, qu'on était de travaux d'intérêt général et qu'on montait sur le toit pour remettre des tuiles après l'orage, que mon papy me poussait toujours plus haut sur la balançoire et que je me sentais partir avec les hauts le cœur qui me faisaient tant de bien, qu'on jouait au restaurant dans la cabane qu'il ne cessait d'améliorer, c'est aussi dans le jardin qu'on allait voir tous les jours si on avait pas fini par capturer le petit écureuil qui venait manger les noisettes dans le piège de merde qu'on refaisait inlassablement en haut du coteau, à la lisière de la forêt (la nôtre, j'aimais bien dire ça, qu'on avait une forêt à nous) c'est dans cette même forêt qu'on courait avec nos grandes bottes de pluie pour arriver la première en haut du petit château d'eau, point stratégique pour les batailles de marrons, c'est à cause de cette forêt que ma sœur m'appellera éternellement cochonou, parce que ça faisait rire mon papy de sauter dans les flaques de boue alors que ma mamie, qui ne pouvait pas se balader avec nous, lui faisait promettre de ne pas nous laisser faire n'importe quoi. un jour j'ai glissé dans la flaque et sur le chemin du retour on préparait notre mensonge avec lui pour ne pas se faire engueuler, elle ne nous a pas crus et j'ai dû prendre un long bain toute seule alors qu'ils étaient tous repartis s'amuser. c'est aussi dans cette forêt qu'on est devenues zinzins des grenouilles avec ma sœur, celles-là il ne fallait pas les toucher, elles étaient de toutes les couleurs. et les courses de luge sur les bouses de vache recouvertes de neige en hiver, quand on avait traversé toute la forêt, ou bien dans l'immense potager, puis quand il nous transportait dans la remorque accrochée à sa grosse tondeuse, on rebondissait partout avec les bosses et on riait aux éclats.
quand on courait sur les graviers devant le portillon et qu'on tombait, évidemment. les gravillons dans la chair à vif des genoux, les échardes, les tire-tiques l'été, les longues fouilles aux aoûtats et tous les petits bobos que mamie infirmière soignait toujours (on détestait) puis quand on galopait à toute vitesse, ou qu'on prenait la grosse espace pour aller au tout petit cimetière du bas le soir, avec le petit porche qui résonnait sous lequel on faisait des vocalises pour réveiller les morts. plus bas encore la bibliothèque et le livre "j'aime pas les épinards" de ma cousine. qu'est-ce qu'on aimait les trajets dans la grosse espace, avec les petits chats tricotés par ma mamie sur les poignées en haut des fenêtres. on la prenait surtout pour partir à l'aventure, c'est-à-dire faire les courses, on avait chacun notre mini caddie, on revenait des fois avec les grosses pochettes surprises, et ensuite le jeu préféré de mon papy c'était de nous perdre dans les routes sinueuses, on avait trop peur mais on aimait ça. on se disait, si on ne retrouve pas le chemin, on aura toujours des vichy, du saucisson pour tenir, et de la cancoillotte pour ma cousine, mais on retrouvait toujours le chemin de la maison. et on retrouvait alors l'attente du camion de la boulangère et de son gros pain escargot, le fauteuil de papy et le canapé pour mamie qui a trop mal partout, les après-midi cités d'or quand il pleuvait à torrent, tous ensemble dans le salon, devant l'immense télé, caprice de papy. on sautait partout à chaque fin d'épisode pour ne pas avoir de fourmis dans les fesses (on regardait vraiment très longtemps) et puis les après-midi dessins sur la grosse table en bois du salon, avec des laits grenadine, quand ils en avaient marre de surveiller les devoirs de vacances, et des soupes à la grimace que cela impliquait, ils disaient que c'était pas leur rôle et que nos parents avaient qu'à s'en occuper eux-mêmes.
je crois que d'ailleurs, cette maison c'est aussi la peur du rejet, de l'abandon, un lourd sentiment de solitude depuis toute petite, malgré l'animation et le bruit qui courait partout. c'est ma sœur et ma cousine qui prennent le bain ensemble, c'est moi qui le prend toute seule, ou avec mon cousin, mais c'était pas pareil. c'est ma sœur qui veut toujours jouer avec ma cousine, et pas avec moi. c'est ma sœur et ma cousine qui dorment dans le grand lit ensemble, et qui rigolent jusque tard, quand moi je dors dans le petit lit collé en contrebas, sous ma couverture toute douce (et pleure en silence, je crois) ou bien les deux sur les deux sièges du coffre (j'en rêvais!), et moi devant toute seule. c'est les siestes avec mon cousin pour montrer l'exemple, avant de pouvoir faire comme les plus grandes, et descendre dans la chambre de mes grands-parents, sauter sur le lit qui monte et qui descend puis lire les boule et bill avec elles (mais pas vraiment avec elles). cette maison c'est les prémices de la fascination pour les plus grands, c'est l'impression de devoir en faire beaucoup pour qu'on m'aime, pour avoir de l'attention. l'impression de ne pas être assez, puis d'être toujours de trop, pourquoi vous ne m'aimez pas ? j'ai des souvenirs un peu plus flous de moi très triste, qui descend l'escalier la boule au ventre, qui entend les filles rigoler toutes les deux, qui aimerait bien faire parti d'un truc. c'est peut-être pour ça que j'ai grandi en voulant amuser la galerie. et puis cette impression d'être nulle, ces remarques et ces reproches entendus trop petite, toujours les mêmes, t'es mal barrée dans la vie ma grande, tu vas pas y arriver. bel héritage, toujours dans un coin de ma tête. mais cette maison c'est quand même vagabond puis bambi les chats, tout aussi peureux l'un que l'autre et surtout les excursions à la cave, tout doucement pour regarder les chauves-souris, ça c'était doux. et puis il y a tout ce que j'ai oublié, mais c'était ça la maison, c'est ça mon enfance et c'était un peu ça papy. lui aussi il donnait tout pour qu'on l'aime, et ça marchait vraiment très bien. depuis qu'on est partis la maison a été revendue je ne sais même plus combien de fois, ça me fait de la peine. j'aimerais bien qu'elle soit le havre de paix d'une famille qui veuille comme nous, la garder à tout jamais elle et ses souvenirs.
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firebirdxvi · 5 months
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Fils du Feu Première Réminiscence
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Le petit garçon restait le regard fixé sur le berceau, un sourire énigmatique aux lèvres. Il attendait ce jour depuis des mois, et maintenant qu'il était arrivé, il ne parvenait pas à réagir comme il le voudrait. Le petit être qui gigotait dans les linges semblait si fragile, si minuscule qu'il craignait de le blesser de son seul souffle. On ne lui avait jamais dit que les bébés étaient si petits...
Il avait vaguement entendu que son petit frère était né avec un mois d'avance, ce devait être pour cette raison. Il avait peur d'approcher du berceau - pourtant il en mourait d'envie - et de faire un signe à son frère nouveau-né. Il sentait que ce jour était important pour lui aussi. Il ne serait plus fils unique ; il aurait un compagnon dans ses jeux, ses rêves et peut-être aussi ses bêtises d'enfant.
Le bébé babilla tout d'abord, puis commença à se tortiller, comme s'il était mal à l'aise dans sa couverture. De petits sanglots entrecoupés se mirent à retentir et le petit garçon sentit comme un élan instinctif le porter en avant. Mais il hésitait encore. Avait-il le droit de s'approcher davantage ?
- "Allez-y, messire Clive. Il n'y a pas de crainte à avoir."
Une des gouvernantes qui attendaient à côté de lui l'invita à le faire, et il s'exécuta. Clive se pencha sur le berceau et tenta de capter le regard de son petit frère. Ses yeux étaient si clairs... De fins cheveux dorés ornaient déjà son front. Il serait blond peut-être, à moins que ses cheveux ne deviennent aussi noirs que ceux de son aîné. Clive fut instantanément captivé par ce regard franc, innocent, vierge de tout jugement et de préjugé. Il lui offrit un sourire plus épanoui et il lui sembla que le bébé le lui rendait.
Mais brusquement, il se remit à s'agiter et crispa ses paupières. L'aîné tendit alors la main vers sa tête et lui caressa la joue ; il n'avait jamais eu de geste plus doux... Le nouveau-né se calma et attrapa son doigt avec lenteur. Il ne pleurait plus et fixait son visage. Clive constata à quel point sa tête était minuscule ; sa main avait presque la même taille...
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Il réalisa alors réellement ce qu'être un grand frère signifiait : il devait le protéger. Son coeur se gonfla de fierté et d'amour pour Joshua, et il laissa son petit frère sucer son doigt avec délice. Les yeux clos, il était l'image même du bonheur. Clive ferait en sorte qu'il soit toujours heureux et ne manque de rien ; il l'aimerait plus que tout au monde, il le savait déjà. Il lui importait peu qu'il soit ou non l'Emissaire tant attendu - tout le monde ne parlait que de cela au palais -, il le protégerait quoi qu'il lui en coûte. Il ne mettait aucune condition à son affection pour son frère. C'était la seule chose à laquelle il n'avait jamais eu besoin de réfléchir.
Du haut de ses cinq ans, Clive Rosfield réalisait alors ce que serait la mission de sa vie. Il se sentait aussi fort et déterminé que tous les guerriers de l'armée rosalienne.
Il serait resté là des heures dans la même position si la gouvernante n'était intervenue pour le ramener à la réalité.
- "Messire, nous devons emmener le petit prince à son premier bain. Je suis désolée de devoir interrompre votre rencontre..."
- "Je peux venir avec vous ?" demanda Clive immédiatement.
Les gouvernantes se regardèrent avec gène, mais finirent par prendre une décision. Le regard de Clive était insistant...
- "Si vous voulez, mais vous savez, ce n'est pas très intéressant, ce n'est pas un travail d'homme..."
- "Je veux être avec lui ! S'il a peur de l'eau ! Ou... je veux voir comment vous lui faites prendre son bain !"
- "De la même façon que nous l'avons fait pour vous", répondirent-elle malicieusement.
Clive rougit jusqu'au oreilles mais ne changea pas d'avis.
- "Si vous insistez. Vous ferez sans doute un bon père un jour !"
Il pensa alors à son père, l'archiduc Elwin Rosfield, qui avait été le premier à voir son nouveau fils. Il était sorti de la pièce avec un sourire très fier, en faisant signe à son aîné d'y aller à son tour. Son père aimait Joshua probablement autant que lui ; mais était-ce seulement possible ?
Les gouvernantes se penchèrent sur le berceau et la plus âgée saisit son petit frère enveloppé de son linge. Clive se mit sur la pointe des pieds pour voir comment il réagissait ; il était calme et en confiance. Puis, les femmes se dirigèrent vers une autre pièce où trônait une cuvette qui semblait d'or massif. L'une d'elle alla chercher un broc d'eau chaude tandis que les autres débarrassaient Joshua de ses linges de naissance. Il du avoir froid car il se tortilla de nouveau en gémissant. Clive lui toucha l'épaule et il se calma instantanément.
- "Et bien, Messire, vous avez un don avec les bébés ! Dès qu'il pleurera, nous vous ferons mander !" rirent-elles.
Les domestiques ne se seraient jamais risquées à de telles familiarités avec le fils de l'archiduc si l'un de ses illustres parents se trouvait dans la pièce. Mais elles avaient toutes connu Clive à l'âge du berceau, et quand elles étaient seules avec lui, elles se plaisaient à le taquiner. Cela n'était jamais malveillant et elles savaient que leur jeune maître n'en dirait rien à ses parents.
Clive ne manquait rien de ce qui se passait. La vieille gouvernante, qui avait plus d'expérience, mis sa main sous la tête de Joshua et souleva son petit corps de l'autre. Elle le déposa avec précaution sur le fond de la cuvette et commença à chahuter un peu l'eau pour habituer le bébé au bruit. Quand quelques gouttes vinrent l'éclabousser, Joshua se remit à gémir de peur. Clive se précipita en avant ; il ne supportait pas d'entendre Joshua pleurer.
- "Je veux le faire, je veux le faire !" se mit-il à scander.
- "Ne vous inquiétez pas, Messire, je connais mon travail. Il va s'habituer..."
- "S'il vous plaît, je veux le faire..."
La gouvernante se montrait réticente. Si le petit garçon laissait tomber le bébé, ce serait dramatique... Mais elle comprit à quel point Clive y tenait. Après tout, il était le maître et il ne le laisserait sûrement pas tomber...
- "Très bien, si vous y tenez... Mais nous resterons à côté de vous. Voilà, mettez votre main sous sa tête ; vous ne devez surtout pas la retirer !"
Clive tira la langue avec application tandis qu'on lui passait son petit frère. Celui-ci ouvrit grand ses yeux et lui sourit de nouveau. Il le berça un moment, petite forme rose entre ses petits bras, oublieux de tout autour de lui, avant de se souvenir qu'il devait le baigner. Il approcha de la cuvette et fit exactement comme il l'avait vu faire. Il joua avec l'eau, en envoya un peu sur le ventre de Joshua, qui se mit à rire. A rire réellement. C'était un son absolument incroyable, un rire de bébé. Il n'aurait su le décrire. C'était comme un chant d'oiseau, ou le son de mille clochettes... Clive posa franchement Joshua au fond de la cuvette tout en maintenant sa tête et frotta sa peau encore un peu fripée depuis son arrivée. Le bébé gloussa de plaisir et Clive sourit largement en retour.
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Les gouvernantes se regardèrent de nouveau, agréablement surprises de tout ce qui se passait, mais surtout de voir que leur jeune maître se débrouillait si bien. Elles l'entendaient murmurer des mots doux au nouveau-né, qu'elles ne parvenaient pas à comprendre d'ailleurs ; comme si les deux frères communiquaient déjà via un langage secret connu d'eux seuls. Le bébé ne quittait pas Clive des yeux, comme hypnotisé par le mouvement de ses lèvres. Il était tout à fait tranquille et le bain se passa merveilleusement.
Les gouvernantes reprirent Joshua avec elles et Clive se sentit déjà presque seul. Elles frottèrent délicatement sa peau fragile pour la sécher avec un linge doux et propre. Les mèches de cheveux blonds humides se dressèrent alors sur sa tête, ce qui fit rire Clive ; et Joshua lui répondit en riant lui aussi.
- "Je n'ai jamais vu un nourrisson rire autant !" s'étonna la vieille gouvernante. "C'est peut-être le signe que sa vie sera heureuse."
- "Oh oui ! Aucun mal ne lui arrivera, je le jure !", s'exclama l'aîné.
- "Messire Clive, restez calme. Il vient à peine de naître, on ne peut juger de rien. Les temps sont loin d'être simples... Et s'il s'avère qu'il est l'Emissaire, il aura de grandes responsabilités..."
- "Je l'aiderai !" s'exclama Clive d'un ton ferme. "Je le protègerai, je serais son chevalier !"
Il avait déclamé tout ceci les jambes écartées, les mains sur les hanches, comme lorsqu'il jouait une pièce de théâtre avec son oncle Byron. Et pourtant, il semblait tout à fait convaincant ; il ne jouait aucun rôle.
- "Nous verrons ça. Mais d'abord nous devons habiller ce petit prince. Nous nous occuperons de cela nous-mêmes, Messire, si cela ne vous dérange pas. Votre mère serait furieuse si elle apprenait que vous faites notre travail."
A l'évocation de sa mère, Clive se rembrunit. Elle n'allait plus du tout se préoccuper de lui à présent... Si Joshua était le Phénix, il n'existerait plus pour elle. Mais il s'en moquait au fond : l'amour de son père lui suffisait et il avait un petit frère à chérir. C'était déjà beaucoup après tout !
Il alla s'assoir dans un canapé, attendant patiemment que les gouvernantes finissent d'habiller Joshua. Il pensait à ce que serait sa vie dorénavant. Il allait apprendre à son frère tout ce qu'il savait, l'emmener partout avec lui, tout lui montrer. Il lui raconterait ses secrets, ses rêves... Et Joshua ferait sans doute de même avec lui. Oui, tant qu'il aurait son petit frère, il pourrait supporter l'indifférence de sa mère ; il ne serait plus jamais seul...
On le tira de ses pensées :
- "Le petit prince est habillé !" s'exclama la plus jeune des gouvernantes.
Elles tendirent à Clive un bébé tout propre, paré d'une robe de naissance rouge sang. La couleur de sa famille. Personne parmi les rosaliens n'était autorisé à porter cette couleur ; Clive lui-même ne le pouvait que pour certaines occasions. Seul l'archiduc la portait pour toutes les apparitions officielles. Il se demanda si le choix de cette couleur pour Joshua était prophétique...
Il balaya ses pensées, tout entier tourné vers son petit frère qui tendait les bras vers lui. Les gouvernantes le lui remirent et s'éloignèrent, comprenant qu'elles devaient les laisser seuls. Assis en tailleur sur le canapé, Clive coucha Joshua en travers de ses cuisses. Bien calé tout à son aise, le bébé babillait gentiment et se mit à réclamer le doigt de son frère. Clive le lui donna et le nourrisson le porta tout de suite à sa bouche.
Clive avait envie de pleurer de joie en le regardant. Il lisait une sérénité et une totale confiance dans les yeux de son frère. C'était étrange de se sentir compter pour un être si vulnérable. ll avait besoin de lui parler, de lui dire ce qu'il avait sur le coeur.
- "Bienvenue, Joshua. Je ne te l'ai pas dit encore...", balbutia-t-il, ne quittant pas son frère des yeux. "La vie, c'est pas toujours facile, mais tous les deux, on s'en sortira, pas vrai ? Tu as vu Mère déjà ? Elle est un peu sévère mais tu l'aimeras peut-être... Tu vas adorer Père, ça, j'en suis sûr ! C'est le meilleur homme que je connaisse, j'aimerais être comme lui plus tard..."
Il leva les yeux au plafond, essayant d'imaginer comment il serait une fois adulte, mais il n'y parvint pas. Joshua se mit à gigoter, comme s'il voulait qu'il continue de parler.
- "Je vais te dire mon premier secret, tu promets de pas le répéter ?" murmura-t-il en se penchant en avant. "Enfin, ce n'est pas vraiment un secret, Père et oncle Byron étaient là... On était en Dalméquie quand on nous a annoncé par stolas que tu allais arriver. Tu étais en avance, on avait pas prévu ! J'ai tout de suite voulu qu'on rentre, j'ai l'impression qu'on a chevauché sans s'arrêter jusqu'à Rosalith ! Et quand on est arrivés aux écuries, c'était presque le moment que tu arrives, j'étais si pressé de te voir !... Alors... je me suis pris le pied dans l'étrier et je suis tombé de mon chocobo !" Clive rougit à ce souvenir. "Oncle a bien rit et Père a secoué la tête... Personne d'autre n'a vu je crois, et mon chocobo n'était pas très grand, mais j'ai encore un bleu au genou, regarde !"
Il retroussa son pantalon et découvrit une belle ecchymose qui avait atteint la couleur bleue caractéristique. Joshua ne put voir la blessure mais comme Clive était penché sur lui, il parvint à lui attraper le nez et gloussa.
L'aîné prit son cadet dans ses bras et le serra contre lui.
- "Je pourrais me faire encore bien des bobos comme ça pour toi, tu sais...", lui susurra-t-il à l'oreille. "C'est vraiment rien du tout. Je pourrais même mourir... enfin, je crois... Je ne sais pas ce que ça fait, de mourir. Si ça ne fait pas mal, je pourrais. Mais si toi, tu mourrais... Je pourrais pas le... je pourrais pas..."
Il se mit à pleurer sans savoir pourquoi.
- "Tu vas pas mourir, hein, Joshua ? Les bébés meurent souvent..." Il pensa à l'oncle Byron qui avait perdu une fille sans qu'on sache réellement pourquoi. Ses yeux s'embuèrent et l'expression interrogative de son petit frère se brouilla devant lui. "Tu vas pas me quitter, pas vrai ? Je te quitterai jamais, moi, promis !"
Le doigt de son frère courut le long de sa joue, suivant la trace de sa larme. Il ne semblait pas le faire à dessein, ce n'était guère possible pour un nouveau-né. Pourtant, Clive eut l'intime conviction que son frère avait entendu et compris ; qu'il recueillait son chagrin et lui promettait lui aussi de ne jamais le quitter.
Clive caressa la joue de Joshua. Il n'avait jamais rien touché de plus doux...
- "On se le jure, d'accord ? On restera toujours ensemble, on se séparera jamais !" Il attrapa le petit doigt de son frère avec le sien et le secoua doucement. Joshua gloussa et tout son petit visage s'illumina de plaisir. Un rayon de soleil traversa la pièce, les enveloppant tous les deux dans une sphère de chaleur et de lumière ; les mèches de Joshua brillèrent comme de l'or...
- "Je crois que... je suis né pour toi...", conclut Clive dans un soupir.
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acrazybayernfan · 7 months
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Mick/Charles please? I miss them 🥲
(You can write it in French if you want haha 😂 but anyway I’ll never judge you for mistakes in English since I’m the first one to do them)
Thank you my dear what a nice request ! So here we go, I hope you will like it because it's a bit special (🤦🏻‍♀️)
Au château du Baron Rouge, vivaient deux gentils princes, l’un blond comme les blés, l’autre brun comme le soir, l’un aux yeux bleus, l’autre aux yeux verts, l’un est l’héritier et l’autre le prédestiné, l’un est le fils du baron et l’autre son protégé. Ils grandirent tous les deux ensembles la tête emplie des mêmes rêves, des rêves de petits de garçons, des rêves de victoires, des rêves de gloire. Puis le temps vint pour eux de quitter le vieux château et d’aller faire leurs armes auprès d’un ami du baron. 
Pendant deux ans messire Sebastian va leur apprit tout ce qu’il leur fallait savoir. 
Charles s’avéra à même de savoir tout faire d’instinct, que soit pour le maniement des armes, des chevaux, la musique ou la danse ; il excellait en tout et pour tout. Mick, plus jeune, le regardait faire émerveiller, lui auquel il fallait, en comparaison, tant de temps pour assimiler les nouvelles choses qu’on lui enseignait. Tout autre que lui aurait été jaloux de cet étranger dont le talent semblait éclipser le sien mais Mick avait le cœur trop généreux pour cela et cette âme d’or ne pouvait renfermer aucune amertume, ni aucune jalousie. Après son père et Sebastian, Charles était la personne au monde pour laquelle il avait le plus d’admiration. 
Charles fut le premier à être fait chevalier et debout dans l’église où avait lieu la cérémonie Mick suivait des yeux son ami descendant l’allé centrale éclairée par le soleil couchant qui faisait rutiler son armure en pensant que les anges devaient briller d’une pareille lumière. Le jeune chevalier monta sur son cheval, un magnifique étalon noir que lui avait offert Sebastian, qu’il fit se cabrer, imitant l’image qui se trouvait sur son écu : un cheval noir cabré sur fond de grenat. 
On se réjouit des heureux évènements de cet journée durant un banquet qui se prolongea fort avant dans la nuit. Puis au petit jours Charles se leva, revêtit son armure et fit amener son cheval. Mick n’avait pas osé s’endormir de peur que son compagnon ne parte sans qu’il ait pu lui dire au revoir, et blottit dans sa chambre il guettait le moindre bruit, prêt à s’élancer au moindre signal. Lorsqu’il entendit les pas lourds d’un homme en arme résonner dans l’escalier de la tour où ils logeaient, il se précipita hors de sa chambre juste à temps pour saisir son ami dans ses bras au moment où il arrivait devant sa porte. Charles lâcha un petit amusé en voyant ainsi son jeune camarade se jeter sur lui. Il laissât Mick l’éteindre pendant plusieurs secondes puis doucement il éloigna le corps encore frêle de son ami. Leurs regards se croisèrent et c’est alors qu’il vit que les yeux couleurs d’azur de Mick pleins de larmes. Charles sourit tristement puis il vient passer une main affectueuse dans les cheveux d’or de son compagnon de toujours. Il dit la première bêtise qui lui passa par la tête afin de réconforter le jeune garçon et ayant enfin obtenu de lui un sourire, il se détacha délicatement de Mick et poursuivit sa route. 
Le fils du baron le suivit en silence, il regarda Charles mettre ses gants, monter à cheval, saisir sa lance et son bouclier puis il s’approcha du bel étalon et se collant contre son encolure il lui recommanda de prendre bien soin de son cavalier. Après quoi il se tourna vers Charles et accrochant à sa selle un mouchoir de brocard rouge qu’il avait hérité de sa mère il dit : « Beau doux sire, que la sainte image brodée sur ce mouchoir vous protège et vous garde, et puisse-t-elle vous rappeler celui qui attendra votre retour avec plus d’ardeur encore que les fleurs attendent le retour du printemps. »
Quelques instants plus tard Charles était parti, parti à la quête d’aventure, parti à la quête de gloire afin d’honorer le nom de la grande maison des Ferrari dont il était devenu la grande espérance, il partit en attendant que quelques années plus tard Mick en face de même, pousser lui par le désir de conserver la gloire qui entourait le nom de son père. 
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selidren · 7 months
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Champs-les-Sims - Automne 1914
6/6
Je m'aperçois que le ton de cette lettre est bien sombre en comparaison de toutes celles que nous avons envoyées depuis des années, mais les affres de la guerre plongent dans le désespoir très rapidement. J'espère que le conflit ne durera pas trop, car je n'en peux plus de me réveiller après avoir fait d'horribles cauchemars de flammes et de morts. J'évite même de trop lire la presse tant cela me pèse. J'espère que vous, chers cousins canadiens, serez épargnés par ce malheur et que vous pourrez continuer à vivre une vie paisible. Je sais que l'adjectif paisible n'est pas votre préféré quand il est question de vie quotidienne, mais croyez moi, même vous pourrez en venir à le chérir après une guerre.
Avec l'assurance de mes sentiments les plus sincères,
Albertine Le Bris
Transcription :
Albertine : Mais il y a tant de choses à faire ! Je dois passer au vignoble pour voir comment avance la vendange, je ne fais pas confiance au contremaître que nous avons engagé à la hâte. Il faut aussi étiqueter les stocks de l'année passée, Adelphe n'a pas eu le temps de le faire. Et puis il y a cette fuite au grenier dont il faut s'occuper avant l'hiver. Et, bon sang, cela fait au moins deux jours que je n'ai pas répondu à Constantin, il va s'inquiéter...
Eugénie : Vous ferez cela autant que possible depuis votre lit Albertine. Je sais qu'il n'est pas aisé pour vous de mener les tâches des hommes de front avec les tâches des femmes, mais je peux vous y aider. Renoncez à votre fierté et laissez moi gérer plus de choses. Je l'ai déjà fait quand Constantin était encore un enfant.
Albertine : Adelphe m'a raconté cette période. Il s'en veut beaucoup d'ailleurs...
Eugénie : Bêtises que tout ça. Il n'était encore qu'un enfant, bien entendu que j'ai du l'aider, alors même qu'il était déjà parfaitement autonome. Il a toujours été si sensible ce petit...
Albertine : *kof* *kof*
Eugénie : Bon. Je vous interdit de vous lever, contentez vous de vous faire un sang d'encre dans ce lit. Je reviens avec votre tisane et je vous aiderai à vous changer.
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Cette friandise, on l'appelait : la Tête-de-nègre... Maintenant on l'appelle '' Meringue chocolat", ou" tête de choco ". Ouf ! Ils n'ont pas changé le nom du champignon "Tête de nègre", ni celui du Cap Nègre. On aurait pu aussi se demander s'il est bien « correct » de se taper une "religieuse", un "Congolais", un "Jésuite", un "Diplomate" ou un "Financier" ? Je ne vous parle pas de la fameuse Forêt Noire qu’il faudra bientôt appeler forêt sombre ! La SPA va sans doute un jour nous interdire de manger les "langues de chats". Les antitabac : les "Cigarettes russes". Et que dire des délicieux beignets "Pets de nonne"?..... Où s'arrêtera la bêtise humaine ?Savent-ils seulement que pour faire une tête de nègre il faut....battre les blancs au fouet ?... Il n'y a qu'une chose qui ne change pas : LES TÊTES DE CONS ! Salutations les fragiles du cerveau
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raisongardee · 1 year
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La jeunesse porte à la révolte contre tout ce qui a voulu servir de modèle. Cette prise de distance est saine, une sorte de nécessité psychologique, même si elle peut être ingrate et cruelle pour les ainés qui ont incarné la loi qu’il faut enfreindre pour devenir son propre législateur. Les générations suivantes s’émanciperont à leur tour, se liant alors souvent avec la génération des grands-parents…
La contestation juvénile est la plupart du temps décevante, sans grandeur, et se précipite sur le moindre prétexte pour se démarquer. L’industrie du loisir et du divertissement profite de ce réflexe, et produit en série des modèles toujours plus stupides auxquels il sera surtout permis de s’identifier par la consommation, dans un secteur de marché spécialement créé pour cela. C’est toute l’histoire de la mode, de la musique, et de tout ce qui usurpe le nom de culture. La jeunesse tranche dans ses mœurs et dans ses goûts, mais s’immerge tout aussi docilement dans l’imaginaire que des ainés détenteurs de capital ont conçu pour elle. D’où l’extraordinaire conformité de la révolte, en séquences et modes bien ordonnées, puis périmées avec la même soudaineté que leur jaillissement publicitaire. Les générations se suivent et n’y voient que du feu, poussant sur le sol d’un capitalisme qui prospère en faisant semblant de se contester. Il s’agit toujours de répondre à une suggestion de masse, d’obéir une série de signes et d’attitudes, jamais bien loin d’un acte d’achat que nul ne songe à remettre en question. C’est aussi pourquoi depuis la grande domination libérale d’après-guerre, la jeunesse se distingue par son insondable bêtise.
Intelligence et noblesse peuvent cependant toujours briller par endroits et inspirer le jeune âge. La révolte n’est alors ni divertissement ni simple plaisir de contester, mais dépassement des limites imposées du dehors et confrontation au réel.
Ces jours-ci, mon fils s’est mis en tête de traverser l’île de la Réunion à pied, seul, sans gîte ni assistance, avec pour seul réconfort une bonne couverture et un sachet de riz. Comment ne pas y reconnaitre la marque de cet instinct, monté du fond des âges, qui porte à se renforcer dans l’adversité et se forger par l’expérience. Se contenter de peu, vivre sur le moment, endurer patiemment et assumer l’imprévu, voilà une belle façon de contester l’ordre bourgeois.
La saine contestation est celle qui prépare à légiférer à son tour, et qui refonde indépendamment de la simple pulsion de détruire. Pour cela, point de caprice juvénile ou de persévération dans la jouissance des jeunes années, mais une âme rendue plus tranchante par frottements avec le concret. Dans ses Lois, Platon évoquait déjà l’importance de "l’endurance face à la douleur, qui présente tant de formes chez nous, aussi bien dans les combats que nous nous livrons les uns les autres à mains nues que dans ces vols qui ne sont pas sans bon nombre de coups. Il y a encore ce que l’on appelle la "cryptie", qui constitue un merveilleux exercice d’endurance en multipliant les douleurs à supporter : aller pieds nus en plein hiver, coucher à la dure, s’occuper de soi en se passant de serviteur, aller au hasard de nuit comme de jour sur l’ensemble du territoire."
De nos jours, aucune tradition ne propose plus de telles épreuves, auxquelles les âmes bien faites sont alors portées à s’exposer volontairement et par instinct. Ce faisant, elles repoussent aussi bien les habitudes bourgeoises de leurs ainés que les fantaisies œdipiennes d’une simple révolte juvénile. Dans l’immensité silencieuse de cette ile lointaine, la nature sauvage montre la voie de la vie bonne. S’y confronter est un spectacle probablement agréable aux dieux, et plus sûrement encore un bon motif de fierté paternelle.  
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derotterdieb · 9 months
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Anecdote de MJ - Mes PJs créent une religion
Bon profitons de cet endroit pour raconter un peu les bêtises que font mes PJs pendant nos séances ... Et aujourd'hui je vais vous raconter la fois par si lointaine où un groupe de 3 a créé une religion !
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Imaginez trois "aventuriers" classiques d'un univers médiéval fantastique : un elfe : T, un humain : L et un homme-chien : M. Les trois sont des mages, chacun avec leurs spécificités, mais globalement assez doués et plutôt futés.
Bon, ces trois là ont débarqué un jour dans un village complètement isolé de tout, perdu dans une forêt, et peuplé à 99% de personne ne sachant ni lire, ni écrire, ni compter au delà de 20. Une population très sympathique vivant de la pêche dans un lac proche, et de la cueillette en forêt.
Le groupe réalise vite que la survie du village est assurée par des fées qui opèrent dans l'ombre, et souhaitent rendre les villageois·es plus autonomes. "C'est une excellente idée altruiste et bienveillante" me direz-vous. Ouais, alors ça c'était sans compter sur T et M.
Ils ont certes appris aux villageois·es à mieux se débrouiller, mais pour ça, ils ont carrément créer une religion dont M est la figure divine. Une gigantesque statue de lui trône au centre du village, et si les villageois·es ont commencé à apprendre à lire, c'est surtout pour pouvoir consulter leur "livre de prière", qui est en réalité un énorme condensé de conseils sur les tâches ménagères, la pêche et l'éducation.
Actuellement je dois régulièrement lancer des dés pour observer l'évolution de tout ça, car il est possible que le groupe repasse par là. Et les joueur·ses attendent avec impatience des nouvelles du village, et j'ai peur de comment ça va finir tout ça.
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fidjiefidjie · 3 months
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🦜 Bêtise 😁 du jour 👫
Source: Yves Brette
👋 Bel après-midi
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claudehenrion · 2 months
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En route vers un Nirvana glacé ?
Nous nous étonnons souvent de la fatuité incommensurable qu'ont nos pantins-endoctrinés pour arriver presque à avoir l'air de croire les mensonges dont ils nous gratifient. Cette situation ''abracadabrantesque'' (comme disait Chirac, qui s'y connaissait) s'explique très facilement par un tour de passe-passe que personne, avant cette génération des ''le plus jeune, jamais...'', n'avait eu l'audace indécente d'utiliser : ils ont inventé une nouvelle définition –totalement fausse-- de la science, et ils brandissent comme vrai le résultat de cette falsification. Il fallait y penser, et oser !
L'illustration de cette mauvaise habitude a été largement faite et refaite –et même : contrefaite à en être surfaite-- à l'occasion de la soi-disant ''crise'' du covid : un virus plutôt moins méchant que beaucoup d'autres a été désigné comme menaçant… de je ne sais quoi, pour je ne sais qui (NDLR : désigné par qui ? Le saura-t-on un jour ? Trouver le responsable de ce bobard planétaire serait un pas en avant pour l'humanité, la vérité, la probité et l'honneur, mais il est à craindre que le ''système'' ne soit trop verrouillé pour nous laisser un tel espoir. Certains crimes restent impunis. Contre toute intelligence, on appelle ces monstruosités '' des crimes parfaits''!)
Tous les politicards du monde, les ''plus pires'' (i.e. les progressistes, vous l'aviez deviné !) en premier, se sont rués comme de beaux diables (très laids) sur ce moyen d'affirmer leur toute puissance, et se sont mis à voter à tour de leurs bras (cassés) des centaines de lois, décrets, normes, principes, règles... tous plus absurdes les uns que les autres, tous sans la moindre justification, tous sans le plus petit besoin... Et c'est là qu'est intervenu leur coup de génie diabolique : nous faire croire que pourrait exister un ''consensus scientifique'' (c'est-à-dire : la négation absolue du mot ''science'' –qui n'est que doutes, remises en question, vérifications et contre-mesures, allers-retours, désaccords successifs... ) qui disait, sans hésitation, qu'il fallait enfermer les gens chez eux, malades et bien portants ensemble ''pour éviter la contagion'', et 360 autres mesures aussi stupides, ''pour éviter la mort de... pratiquement l'humanité entière'' (je n'exagère pas. Relisez tous les discours de 2021/2022 : c'est édifiant, de bêtise méchante !).
La même technique (qui a réussi si bien à foutre la trouille au monde entier ! Pourquoi se gêner ?) avait été testée avec la folie climatique :''Les savants disent unanimement que...'', ce qui n'est vrai que si on interdit –comme c'est fait en permanence-- toute opinion contraire, sur les ondes. Cette énorme malhonnêteté permet (?) de raconter les pires bêtises, en faisant croire qu'elles sont adoubées par plein de multi-diplômés galonnés, qui ne savent rien sur le sujet (On se demande en quoi le fait d'être responsable du Pôle ''Anesthésie'' d'un grand hôpital parisien –par exemple-- équivaudrait à être un immense généticien, un spécialiste de l'ARN-messager ou un ''pro'' de la gestion de crises... tous sujets sur lesquels l'ignorance de ''l'expert-qui-plastronne'' est totale... ce qui ne l'empêchera pas de se répandre sans vergogne sur les ondes...). En fin de compte, cette ''pandémie-qui-n'en-a-jamais-été-une''… a permis de vérifier que les avancées de notre civilisation n'avaient eu aucune prise sur le caractère ''moutonnier'' des hommes, dont se moquait déjà Rabelais...
Covid, météo... La technique marche bien ! Moins il y a de vrais sujets de vraie crainte, et plus les braves gens tremblent dans leurs frocs. Et en plus, en utilisant les mêmes armes honteuses, on arrive à stériliser complètement tous les sujets qui devraient nous mettre, nous Hommes du XXI ème siècle, vent debout et prêts à mordre (la drogue qui assassine nos ''jeunes'', l'immigration et ses conséquences mortelles, la dette --mortelle aussi--, la fin de notre fierté d'être ce que nous sommes et ce que nous avons été, l'abandon de nos raisons d'exister, le mensonge érigé par la macronie en argument politique... au profit de ''veaux d'or'' plus mortifères les uns que les autres, comme leurs absurdes ''transitions'', climatique ou énergétique... pour lesquelles, depuis 7 ans, nous jetons par les fenêtres ''un pognon dingue'' (dixit Macron). Et tout ça, pourquoi ?
Mais patience ! Une étude publiée mi février dans la prestigieuse revue Sciences Advances alerte le monde entier sur le risque d’effondrement de ''l’AMOC'', sigle qui désigne le système de courants marins (dont le célèbre Gulf Stream, qui amène des eaux chaudes --donc la chaleur-- vers le Nord). Mais il faut bien avoir conscience que si ce scénario se confirmait (et tout porte à croire qu'il est déjà ''lancé''), l’Europe connaîtrait bientôt ''un climat sensiblement plus froid'' où les températures pourraient chuter, de façon permanente, "d’une dizaine de degrés en moyenne".
Mais ce n'est pas tout ! Selon d'autres études publiées dans la revue Science (source : TTSO), l'effondrement de cet ''AMOC'' est assuré ''avec 95 % de certitude" et –tenez-vous bien-- il serait perceptible dans ses conséquences ''entre 2025 et 2095'', c'est-à-dire : demain et après-demain. Il est trop tôt pour parler des terribles répercussions que cela aurait (on pourrait dire ''va avoir'') sur le climat mondial, mais chacun peut ''fantasmer''... car c'est l'Europe qui en subirait les plus grosses conséquences : à l'aide d'un modèle climatique complexe, des chercheurs de l'université d'Utrecht, aux Pays-Bas, ont simulé ''l'effondrement de ce courant de l'océan Atlantique qui amène actuellement des eaux chaudes vers le nord et maintient des températures douces en Europe''.
Les conclusions sont... celles qu'on attendait : une modification dramatique des conditions météorologiques dans le monde entier, plongeant l'Europe dans le froid, avec des suites imaginables... et inimaginables. Or ce point de basculement serait, finalement, plus proche qu'on ne le pensait, la fonte des calottes glaciaires jouant un rôle dans cet effondrement, Seule question : la date de ce drame ! Son occurrence est pratiquement certaine, mais imprévisible pour le moment. Quant à sa date... s'il y en a une précise, on l'ignore... Mais s'ils ont raison... on va rire très jaune, très longtemps...
Devant cette menace, précise, que croyez-vous que font nos Lumières éteintes ? Elles refusent d'entendre ce risque. Au nom de leur satané progressisme, iIs/elles (je veux dire : ''les lumières'', qui, bien que féminines, sont souvent de sexe masculin) poussent les feux dans la poursuite de leurs analyses périmées, et s'accrochent à leurs vieilles théories ringardes, démontrées fausses chaque jour. Et ils /elles continuent à épuiser nos réserves financières et autres à lutter contre un ''réchauffement climatique'' qui, s'il se poursuivait, en parallèle --ce qui n'est même pas impossible !-- se traduirait par 1 à 2° de plus... alors que l'autre menace serait –ou sera !-- d'une dizaine de degrés en moins... Folie du temps ! Aveuglement et refus du réel semblent bien être les deux mamelles de la folie des Hommes...
H-Cl.
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Same tatoo
J'ai le même tatouage que lui. Il est là, sur ma peau, depuis 2018, et bêtement, je l'ai fait faire sur l'avant bras droit, alors je le vois tout le temps. Mes 2 autres tatouages sont placés de façon à ce que je ne les vois pas facilement. Mais celui-là.. C'était une bêtise de le faire, c'était une bêtise de choisir cet emplacement. C'est lui qui m'a proposé ce tatouage en commun, lorsque nous étions à Florence. Il disait que ce serait un souvenir pour toujours. J'ai trouvé cela tellement romantique ! Pour moi, c'était quelque chose de fort, c'était la preuve qu'il tenait à moi. Seulement, quelques heures avant qu'on se fasse tatoué, il m'a demandé si le sien pouvait être un peu différent, parce qu'il n'aimait pas l'idée d'avoir le même tatouage que quelqu'un d'autre ! Ridicule, car notre tatouage représente le Lys de Florence et que nous ne sommes certainement pas les seuls à l'avoir. J'ai eu mal quand il m'a dit ça, mais tout ce que j'ai répondu c'est que si c'était pour avoir des tatouages différents, je ne voyais pas l'intérêt me faire tatouer. Il a cédé. Nous avons eu exactement le même, lui sur l'avant-bras gauche et moi sur le droit. Mais par un étrange hasard, son tatouage s'est infecté et finalement, le sien est un peu différent du mien, car il lui manque de l'encre .
Bien entendu, ce tatouage ne veut absolument rien dire pour lui. Probablement qu'un jour, il le fera recouvrir par un autre mais s'il a juré que non. Il a juré tant de chose ! Quant à moi, je le garderai toute ma vie. Il me rappellera toujours a quel point je peux être stupide quand j'aime et qu'il faut absolument que j'arrête de croire toutes les belles choses qu'on peut me dire.
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hearts-on-narnia · 2 years
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𝐷𝑎𝑡𝑖𝑛𝑔 𝐷𝑎𝑛𝑖𝑒𝑙 𝐷𝑖𝑎𝑧 𝑤𝑜𝑢𝑙𝑑 𝑖𝑛𝑐𝑙𝑢𝑑𝑒...
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End: Crossing the Border, Blood Brothers
• Vous vous connaissez depuis l'enfance, et vous étiez meilleurs amis autrefois, avant que... les sentiments prennent le dessus.
• Il sait qu'il peut toujours compter sur toi, et inversement. Il a une confiance aveugle en toi, mais ne fait pas confiance à ceux qui t'approcheraient d'un peu trop près ou bien t'embêteraient.
• Il a souvent peur de faire une bêtise devant toi et que tu le vois d'un mauvais œil après.
• Il s'énerve parfois même contre ses pouvoirs, bien sûr tu essaies de le rassurer du mieux que tu peux et sa finit presque toujours avec vous deux entrain de vous câlinés.
• En parlant de câlins, tu es toujours fourré dans les bras de Daniel, mais genre vraiment H24. Enfaite ça ne le dérange pas du tout, d'ailleurs il adore ça et sa l'amuse beaucoup la façon dont tu réclames de l'attention.
• Quand c'est lui qui demande de l'attention, Daniel te prendras simplement par la main en entremêlant vos doigts ensemble un bisous sur la joue en prime. Et d'autre jour s'il se sent d'humeur joueuse il te surprendra au moment où tu t'y attendras le moins pour t'enlacer par derrière.
• Tu rigoles toujours quand il fait ça, alors qu'il s’empresse de parsemé ta peau de courts baisers bâclés, en partant de ton épaule puis remontant le long de ta nuque jusqu'à ta joue.
• Vous agissez souvent comme des enfants quand vous êtes ensembles, il arrive même que quelques rares fois vous jouez à cache-cache. Sean se moque en vous voyant tout les deux ainsi, c'est comme si vous n'aviez pas grandit depuis toutes ces années.
• Tu sais depuis le début pour ses pouvoirs, au fond tu as toujours su qu'il était spécial.
• Il a toujours eu le gros béguin pour toi et ne s'en cachait pas vraiment. A l'époque tu ne savais pas trop si tu l'aimais de façon purement platonique ou non, jusqu'à te rendre compte plus tard de tes sentiments.
• Pour le taquiner, tu as l’anecdote que tu lui ressors tout le temps. Quand vous étiez plus jeune Daniel voulait t'épousais, à un moment vous avez même étaient fiancés, ce qui valait des rires de la part de Sean et d'Esteban. Vous étiez trop jeunes tout les deux pour vraiment saisir l'importance de ce genre d'engagement.
• Il ADORE te taquiner ou te surprendre quand tu ne t'y attends pas. La plupart du temps tu n'essaies même pas de répliquer puisque c'est un combat perdu d'avance.
• Mais il arrive que tu tiennes bon et qu'il abandonne, dans ces moments là tu prend confiance et prend le dessus sur lui.
• Daniel sort souvent dehors avec toi, la plupart du temps vous marchez sans vraiment de but précis et passez votre temps à discutez et plaisantez ensemble.
• Il y a des jours où tu refuses de te lever du lit sous prétexte que c'est trop tôt, mais en réalité c'est seulement pour trainer un peu plus longtemps dans les bras de Daniel, et il l'a bien comprit.
• Tu l'aides souvent à l'atelier de réparation quand Sean n'est pas là.
- " Tu peux me passer la clé juste derrière toi ? "
- " Oui bien sûr. Hé, mais elle était là il y une seconde- ... Danny ! "
- " Haha désolé, mais c'est tellement drôle de te voir gigoter partout pour l'attraper. "
• Quand il fait ça tu fais semblant de bouder mais abandonne finalement quand tu le vois sourire.
• Vous vous confiez tout le temps l'un à l'autre car vous avez toujours fonctionner comme ça.
• C'est ce que j'appelle des baisers passionnées, oui vraiment trèèèèèès passionnées, quand il est d'humeur. Et crois moi il l'est souvent. On dirait presque qu'il a peur que tu disparaisses sous ses yeux tellement il se colle à toi et te serres contre lui.
• Sa peux lui prendre à n'importe quel moment de la journée, alors tu es très souvent surprise et pas du tout préparé.
- " Hmm-... Danny-... ! "
- " Quoi ? "
- " Pas ici, je veux dire... pas maintenant... Et puis Sean-"
• Dans ces moments là il se contente simplement de planté son regard dans le tiens, avant de dérivé vers tes lèvres. Tu finis par soupirer et le laisse faire. Vous vous faites rarement prendre par Sean entrain de vous embrassez de la sorte, et c'est un véritable miracle.
• Vous dormez avec lui dans tes bras, te tenant par la taille et la tête sur ta poitrine. Ou des fois il aime bien dormir en cuillère, lui étant la grande et toi la petite et c'est rarement le contraire.
• Il adore ton parfum et par conséquent loge parfois son visage dans ton cou, ce qui te fais toujours frissonner.
• Daniel sait pertinemment que son regard sur toi ne te laisses pas indifférente, et monsieur en joue beaucoup surtout quand il est d'humeur à... ( vous avez compris )
• Des baisers volés, beaauucoup de baisers volés.
• Tu as garder le contact avec Karen, même après votre arrivé à Puerto Lobos. Elle t'apprécies beaucoup, et sais que tu prends soin de son fils.
• Tu t'entends plutôt bien avec Sean, étant donné que vous vous êtes toujours connu. Sean est aussi protecteur que son frère en ce qui te concerne.
• Quand tu es triste il essaie toujours de te faire rire en faisant le pitre ou autre, et sa marche.
• Des ' je t'aime ' à tous va.
• La première fois qu'il te l'as dis vous aviez 9 ans, tu lui a répondu que toi aussi d'un naturel déconcertant avant de comprendre de quoi il parlait vraiment, mais c'était trop tard il l'avait prit pour acquis.
• Vous partagez tout depuis l'enfance, et ça n'a pas changer.
• Monsieur a toujours une main sur toi, et en général elle est plutôt baladeuse. Tu le câlines souvent c'est vrai et donc tu es souvent sur ses genoux quand il est assis. Daniel dépose une main sur ta cuisse et sa jumelle est autour de ta taille te tenant fermement.
• Tu adore passé tes mains dans ses cheveux, Daniel sourit à chaque fois et tu le trouves juste adorable comme ça.
- " Quoi ? "
- " Rien, t'es trop mignon c'est tout. "
- " Trop mignon ? "
• Après ça il aime bien te narguer un peu en rapprochant son visage du tiens, puis fait doucement frôler vos lèvres te faisant espérer un baiser avant qu'il ne se retire.
- " Hé ! Mon bisou. "
- " Quel bisou ? Oh, tu voulais que je t'embrasses ? "
- " Ha. Ha. Très amusant Danny. "
• Vous l'avez déjà fait, plusieurs fois même. C'est à une fréquence régulière je dirais, Daniel est très doux avec toi mais si vous êtes vraiment excités il peut arriver qu'il devienne légèrement plus puissant dans ses coups, sinon il n'est pas brutal du tout, il a bien trop peur de te faire du mal même si quelques fois tu lui demandes d'y aller plus fort.
• Il te dessines certainement beaucoup, tu es un peu comme sa muse.
• Daniel aime t'offrir des petits cadeaux par-ci par-là, depuis toujours. Tu as même garder ses petits mots et autres babioles qu'il t'avait confectionner quand vous étiez plus jeunes.
• Au départ de votre relation, quand vous avez commencez à devenir plus que des amis, ça te faisait un peu bizarre de sortir avec ton meilleur ami. Mais très vite tu t'y es habituer et puis entre nous c'était évident que vous finiriez ensemble un jour ou l'autre, même Sean le savait.
• Il a toujours était très alaise avec toi, et laisse entrevoir son véritable lui seulement en ta présence. Sinon il n'est pas autant enfantin ou affectueux avec les autres quand tu n'es pas dans les parages.
• Quand vous étiez petits s'était un vrai pot de colle, toujours à traîner autour de toi en permanence. En grandissant il a vraiment eu peur que tu te lasses de lui à cause de ça ou que tu ne veuilles pas de lui. Mais dans ta tête tu pensais que c'était normal puisque que vous étiez meilleurs amis; ce n'est que quand il s'est mis à rester avec toi presque toute la journée que tu l'as remarqué. Mais à vrai dire ça ne te dérangeais pas le moins du monde, au contraire tu étais heureuse qu'il passe autant de temps avec toi et qu'il te donnes autant d'attention.
• Il essaie de t'apprendre l'espagnol, depuis qu'il maitrise parfaitement cette langue grâce à Sean.
• Il est très encourageant et va à ton rythme, quand tu ne comprends pas tout il ralentit, c'est un bon prof et tu es son élève préférer évidemment.
• Votre relation a débuter aux alentours de vos 14 ans, quand une fin d'après-midi comme les autres tu l'aidais au garage. C'est ce jour là que Daniel t'as voler ton premier baiser, il était bref et hésitant jusqu'à ce que tu l'embrasses à nouveau.
- " Est-ce que... ça veut dire que... "
- " O-Oui... "
• C'est à environ l'âge de 10 ans que tu t'es rendu compte de tes sentiments pour Daniel. Mais trop gêner par ses gestes et propos envers toi tu n'osais rien avouer puisqu'au fond il agissait déjà comme si tout était officiel entre vous donc tu ne voyais pas trop l’intérêt. D'autant plus que tu te sentais bien comme ça alors à quoi bon ?
• Il y a des jours où tu ne le vois pas beaucoup car il reste avec Sean.
• Mais il trouve toujours du temps pour toi.
• Des fois ça lui arrive d'être jaloux mais beaucoup moins qu'avant, enfant il était un poil trop protecteur avec toi et ne supportait pas que tu l'ignores ou que tu restes avec d'autres personnes, il n'en parlait pas forcément pour ne pas se fâcher avec toi mais ça le dérangeait vraiment.
• Tu le défis à la console, même s'il gagne plus souvent que toi tu t'amuses beaucoup. Quand vous êtes en pleine partie tu essaies généralement de le déconcentré en te collant à lui, et tu le taquines en déposant lentement un ou deux baisers dans son cou. Parfois il est tellement déterminé à gagner qu'il résiste mais d'autre fois il n'y arrive pas et finit par lâcher sa manette pour te donner toute son attention.
- " YES ! J'ai gagner ! C'est moi qui ai gagner ! "
- " Hé ! "
- " Désolé Danny, mais il fallait que je me venge pour hier. J'ai gagner donc ça veut dire que c'est moi qui choisi le film."
- " Euh et le perdant il gagne quoi ? "
- " Tu as perdu, tu ne gagne rien. "
- " Oh je vois... sa me blesse tout ça (T/S). Je suis abattu."
- " Ha. Ha. Arrête un peu ton cinéma, t'es juste jaloux parce que j'ai gagner et que tu as PERDU. "
- " Tu as triché ! "
- " Euh allô ? Tu triches aussi avec ta télékinésie, je t'ai vu faire ne mens pas."
- " Pas de preuve, pas de pouvoirs. "
• Parfois tu restes à l'attendre à l'atelier toute la journée.
- " Finit ! "
- " Aah enfin, j'en pouvais plus de rester là il fait trop chaud. Bravo je suis fière de toi, tu t'améliores. "
- " Ah oui ? Alors.. est-ce que j'ai le droit à une récompense ? "
- " Hmm.. je ne sais pas, laisse moi réfléchir. "
- " Trop tard, temps écoulé. "
- " Hahaha, hé ! Repose moi tout de suite ! Daniel ! "
- " Pas avant d'avoir eu ma récompense ! "
- " Ok ok, lâche moi. "
• Après ça Daniel aime bien avoir un bisou esquimau de toi, c'est dans des moments tendres comme ça que ton cœur s'emballe. Ce garçon a toujours su comment garder la flamme bien allumé.
- " Je t'aime..."
- " Je t'aime aussi... "
• Quand tu croises son regard le matin au réveil, c'est comme si tu étais la Reine du monde à ses yeux tellement il te manges du regard, ses yeux transperçant les tiens.
• En général c'est toi qui est la première réveiller, alors tu prend le temps de le regarder dormir jusqu'à ce qu'il ouvre enfin les yeux. Tu touches son visage, caressant le bout de son nez et passant tes mains dans ses mèches brunes, jouant avec celles-ci.
• Quand tu es malade il est toujours là à te choyais, avec sollicitude et tendresse. Si tu as besoin de quoi que ce soit, Daniel est sur le coup !
• Mais à l'inverse quand c'est lui qui tombe malade, tu restes toute la journée à parler avec lui ou tu le laisses simplement se reposer pendant que tu es là, quitte à tomber malade aussi.
• La dernière fois que tu as fouiller dans tes anciennes affaires tu avait retrouver la BD Mustard Party de Daniel, tu lui as montrer toute contente de ta trouvaille et vous en avez parler pendant des heures, pendant lesquelles vous avez ries et remémorez vos souvenirs d'enfance.
• Tu es heureuse dans ton couple, Daniel est un merveilleux petit-ami sur qui tu peux compter quoi qu'il puisse arrivé. Il ne t'abandonneras jamais, et sous AUCUN prétexte !
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soeurdelune · 1 year
Note
Boooonsoir à toi !
Bon... Allez je me lance parce que sinon demain je suis encore dans mes analyses et questionnements!
Alors alors. Tu dois te dire : "c'est qui? elle veut quoi elle?" Et t'aurais bien raison; j'me sens comme un alien depuis mon arrivée ici.
Passer du RP libre au RP forum+discord+graphstyléTumblr c'est comme me demander de passer des équations aux équations différentielles du jour au lendemain : autant le dire, c'est impossible si tu cherches pas un peu. C'est d'ailleurs ce que j'ai fait ! Oui oui. Avant de ramener ma fraise dans le truc j'me suis dit (après une longue phase de : OULALALALA!!!!HELP) que j'allais pas faire chier le monde et plutôt observer.
Dans l'idée si j'ai bien observé, ici les gens créent des forums / discord / avec un scénario et libre aux intéressés de faire un choix sur la liste des personnages. L'avatar peut être imposé ou non. Et une fois sélectionné, il faut faire une fiche.
J'ai compris ça jusqu'ici. Maintenant ce que j'ignore c'est si les RPs forums sont à rédiger directement sur un espace prévu à cet effet sur forum, ou sur Discord? (ou ailleurs d'ailleurs)
Puuuuuuuuis, je voulais aussi savoir comment ça se passe? Il y a des RPs groupés ? Ou les jeux se font essentiellement à deux? Ou tous les cas de figure?
Voilà. Je me suis dit après analyse de ton petit monde (et de deux trois autre Tumblrs) que ce serait intéressant de poser les questions avant de me lancer. Puis, je me suis aussi dit que ça pourrait aider ceux qui arrivent du RP libre (où l'écriture n'est qu'un vieux souvenir) de trouver les réponses aussi à ces questions.
Déjà merci d'avoir pris le temps de lire puis, j'espère avoir le plaisir de lire une réponse !
Hello!
Alors, d'habitude je répondrais à ce genre de message en pv, mais comme ça peut potentiellement servir à d'autres, je me permets de le publier – n'hésite pas à me dire si tu préfèrerais que je supprime ceci dit!
Je ne joue sur les forums que depuis un peu plus d'un an, MAIS c'est vraiment pas sorcier, et pour avoir tenté toutes les plateformes de rp existantes, les forums sont les meilleurs pour écrire avec d'autres personnes.
J'essaie de répondre à tes questionnements le plus clairement possible mais je ne suis pas ce qu'on appelle une reine de la pédagogie, alors si tu as d'autres questions ou incertitudes n'hésite pas à repasser! (en ask ou message privé d'ailleurs)
FORUMS & DISCORD
Déjà, il y a les rpg sur forum et les rpg sur discord. Deux choses différentes, les fonctionnements ne sont pas les mêmes! Mais certains forums s'accompagnent d'un serveur pour discuter/blablater/poster des bêtises (≠écrire), donc attention à ne pas confondre entre un serveur discord flood et un serveur discord rpg.
SCÉNARIOS ET PRÉLIENS
Il existe en effet des scénarios et des préliens sur les forums, ce sont des esquisses/idées de personnages plus ou moins précises qui permettent au rpgiste qui les créent de partager ses propres envies (puisqu'en général, on créer un scénario/pl pour rp avec et pas juste pour la déco mdr)
MAIS!! il n'est aucunement obligatoire de prendre un scénario ou un pl pour s'inscrire sur un forum. Si tu as ta propre idée de personnage et que celui-ci colle au contexte, fonce et amuse-toi!! c'est toujours une bonne surprise sur les forums de voir des personnages totalement nouveaux débarquer
Les pl sont utiles si tu veux venir sur le forum et avoir déjà des liens avec d'autres personnages, mais ce n'est pas une obligation et on s'en sort très bien sans!
FAIRE SA FICHE
En vrai, la plupart des forums possèdent un "guide" pour t'aider et t'y retrouver, sinon les étapes à suivre en t'inscrivant figurent souvent dans le règlement.
En général, les étapes à suivre sont:
réserver le pl/scénario/avatar ou dieu sait quoi si tu veux éviter que quelqu'un te passes devant et te prenne le rôle convoité (la résa dépend des forums et n'est pas toujours obligatoire)
faire ta fiche (il y a souvent des délais, genre 10 jours pour poster et finir sa fiche, du coup je ne recommande pas de s'inscrire les mains dans les poches mais plutôt de venir avec une idée déjà bien construite du personnage que tu veux écrire – histoire d'éviter d'écrire ta fiche en speed et en stress la veille de la fin de ton délai)
faire valider ta fiche (quand elle est terminée, tu postes dans le sujet adéquat pour demander à un admin de vérifier que ton perso colle bien au contexte, et une fois que c'est validé, hop, tu peux aller t'amuser)
LES RP FORUMS
Du coup, j'ai un peu abordé la chose quelques paragraphes plus haut mais forums ≠ discord!!!
Si tu t'inscris sur un forum rpg, tes rp seront forcément postés sur le forum!
(Alors que si tu t'inscrivais sur un rpg discord, tu posterais tes réponses dans les salons consacrés sur le serveur)
Sur les forums souvent, t'as des espaces (sous-forums) qui sont 99% du temps intitulés selon les quartiers/zones de la ville dans laquelle se déroule contexte du rpg.
genre:
Rue des Canards Boulevard de la Marguerite Esplanade des Cactus
tu vois le genre.
Et c'est dans ces espaces que tu peux créer un "nouveau sujet", où se déroulera ton rp!
Les rp peuvent se dérouler de façon "classique" entre deux personnes: ton personnage et un autre. Mais des rp groupés à trois voire plus, ça se fait beaucoup aussi! Tout se discute, à toi de voir avec tes partenaires de jeu et vos préférences.
Genre, il y a les "topics communs", quand pas mal de personnages participent à un seul rp qui se déroulent le plus souvent au cours d'un évènement spécifique (genre, une famille à l'enterrement de quelqu'un)
CONCLUSION
J'espère avoir un peu aidé à t'aiguiller dans la bonne direction!
Si je puis me permettre, il faut pas trop se prendre le chou avec les fonctionnements des forums, si l'un d'eux présente un contexte que tu adores et que tu te vois bien rp dans ces univers, fonce!
Je trouve que tout est assez instinctif, et il y aura bien un admin ou un camarade de rp pour t'aider si tu galères vraiment.
Je t'encourage aussi à aller explorer en fond en large et en travers les forums rpg sur lesquels tu peux tomber (je t'enverrais des liens si tu n'en connais pas encore), parce que juste arpenter l'un d'eux suffit à comprendre comment tout ça fonctionne!
Bonne chance, en espérant te voir rejoindre la commu (:
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