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#sucre noir
yuuli-xiv · 5 months
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derision
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leszackardises · 1 month
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Galettes aux haricots noirs et petits pois
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dixvinsblog · 1 year
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Nicolas Gouzy - Café
Nicolas Gouzy – CafĂ©
Depuis le fond de la tasse, du mug, du bol, noir, serrĂ©, embrumĂ© d’un peu de crĂšme, noisette ou carrĂ©ment noyĂ© de lait, regular, espresso, ristretto ou voluptuoso, un Ɠil noir te regarde. J’ai l’impression qu’il m’observe depuis
En fait je ne me souviens plus. C’est un marqueur de ce temps qui passe et qui lasse et qui vous tasse et qui laisse sa trace ronde sur la table de cuisine de la vie. Le

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laxmortxmulticolore · 2 years
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Oldies but baddies 3
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Crise de nerfs.
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coolvieilledentelle · 6 months
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Pour les gourmands ...
Liégeois chocolat & pistache
Pour 8 liégeois
200 g chocolat noir finement haché
3 jaunes d'oeuf
50 g sucre
25 g MaĂŻzena
20 cl crĂšme entiĂšre liquide
80 cl lait entier
Pour la chantilly au suprĂȘme de pistache 2 c. Ă  soupe suprĂȘme de pistache 30 cl crĂšme entiĂšre liquide
50 g sucre
Préparation
Dans un saladier, battre les jaunes d’Ɠufs, le sucre et la MaĂŻzena jusqu’à ce que le mĂ©lange blanchisse.
Dans une casserole, faire chauffer le lait et la crÚme jusqu'à léger frémissement.
Verser la moitié de ce mélange sur le chocolat haché, bien lisser la préparation. Verser la préparation chocolatée dans le reste de lait & crÚme. Sur feu doux, sans cesser de remuer, laisser la crÚme épaissir. Verser cette derniÚre dans les pots au deux tiers. Laisser refroidir et mettre au frais.
PrĂ©parer la chantilly en montant la crĂšme Ă  l’aide d’un batteur Ă©lectrique. Elle doit ĂȘtre ferme. Dans une poche Ă  douille, munie d’une douille cannelĂ©e, alterner crĂšme chantilly et suprĂȘme de pistache. DĂ©corer chaque liĂ©geois.
Servir frais.
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crumblita · 6 months
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Hello! May I please request coffee themed names and prns? If you could avoid -ette names I would really really appreciate it; I feel they don't fit me well, /gen + nf! Thank you very much, and I hope you're having a wonderful timezone C:
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coffee id pack
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names : cafĂ© , mocha , frappe , cappucino , caffĂš , latte , bean / beanie , macchiato , lait , crĂšme , affogato , lun , ristretto , espresso , java , azĂșcar , sucre / sucrĂ©e , dulce , dolce , noir( e ) , poci , kape
pronouns : mud / muds , dirt / dirts , jitter / jitters , mocha / mochas , coffee / bean , bean / beans , milk / milks , lait / laits , cream / creams , su /sugar , sugar / sugars , noir / noirs , dark / darks
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frenchcurious · 6 months
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BMW R18 "Sucre noir" spécial personnalisé ! - source Ruote da Sogno
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sloubs · 7 months
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je saurais pas vous expliquer à quel point kaamelott me fait du bien. c'est vraiment un réconfort, un doudou. un carré de sucre dans le café noir de ma vie. c'est pas des blagues, genre je peux vraiment sentir mon cerveau développer de la dopamine quand j'y pense ou que je vois un truc en rapport à ça. un peu comme quand on est amoureux ou qu'on vit un truc heureux, ça me libÚre des endorphines en masse et je m'en lasse jamais. jamais jamais jamais. ça me fait juste trop de bien et je sais pas expliquer pourquoi
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leseffrontesfr · 7 months
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— Alphonse, cher maĂźtre, puis-je vous importuner dans votre travail ? — Mais entrez-donc, mon ami. Vous ĂȘtes venu accompagné ? — Point du tout ! C’est par coĂŻncidence que Mademoiselle se prĂ©sente Ă  votre porte au moment oĂč j’y frappe. — Monsieur FaurĂ©, je dois vous parler ! — Vous ĂȘtes ? — SĂ©raphine Lampion. Avez-vous une bouilloire ? — En effet, elle se trouve sur le poĂȘle. J’en suis pleinement satisfait. Inutile de m’en vendre une nouvelle. — Je vais faire du thĂ©. — Et bien faites. Et vous, mon cher Hypolite, quel bon vent vous amĂšne ? — Une brise toute joyeuse ! J’ai Ă©tĂ© chargĂ© par la SociĂ©tĂ© des Artistes MĂ©ridionaux de la rĂ©daction du catalogue de la prochaine exposition. La curiositĂ© et une impatience toute enfantine m’ont portĂ©es jusqu’à votre atelier pour connaĂźtre les Ɠuvres dont vous voudrez bien nous honorer. — VoilĂ  une fort bonne nouvelle ! Je mets justement la derniĂšre touche à
 — OĂč rangez-vous les tasses ? — Dans la petite armoire chinoise, Mademoiselle. PrĂšs de la fenĂȘtre. — Ah ? Quelle drĂŽle d’idĂ©e. Vous n’avez que du thĂ© noir ? — Oui, je m’en excuse. Je vous disais, mon cher Hypolite, que je mets la derniĂšre touche Ă  un magnifique bouquet de violettes qui fera oublier mes mimosas de l’exposition prĂ©cĂ©dente. — Comment serait-ce possible ? Vos mimosas Ă©taient si beaux qu’on croyait en sentir le parfum ! — C’est l’excellent indigo de chez Viollet-Roze qui m’a inspirĂ© une toute nouvelle combinaison de nuances. Un ange a dĂ» guider ma main pour me faire accomplir ce prodige chromatique ! — Je me rĂ©jouis d’avance de le contempler
 Mais
 Mais
 Mademoiselle ? Votre robe tombe il me semble
 — Vous n’avez pas de sucre non plus ? Pas de miel ? Il va ĂȘtre raide mon thĂ©. — Ma parole vous voilĂ  dĂ©nudĂ©e ! Perdez-vous toute pudeur ? — La pudeur ! Dans un atelier de peintre oĂč dĂ©filent les modĂšles tirĂ©s du caniveau entrent deux sĂ©ances de passe ! Que les hommes sont hypocrites ! — Je ne peins que des fleurs, des paysages et quelques fois des visages. Je le jure ! Dites-lui, Hypolite. — Jamais Alphonse ne s’est adonnĂ© Ă  la peinture licencieuse, Mademoiselle, pas mĂȘme au genre mythologique ou allĂ©gorique. Votre reproche est infondĂ©. — Les hommes sont tous les mĂȘmes. C’est pour cela que vous avez besoin de moi, Alphonse. Ce n’est pas en peignant des coquelicots dans un champs ou des nymphĂ©as sur une mare que vous deviendrez cĂ©lĂšbre. — Je suis sĂ»r que mes violettes toulousaines marqueront tous les amoureux des fleurs et du Bel Art ! — Et pourquoi pas des tournesols fanĂ©s dans un vase en terre cuite, tant que vous y ĂȘtes ? Non, Alphonse, si vous voulez passer Ă  la postĂ©ritĂ©, il vous faut peindre un nu. Voici mon nu, peignez-le. — Je
 je ne sais que dire, Mademoiselle SĂ©raphine. C’est un trĂšs beau nu. Votre offre est gĂ©nĂ©reuse, mais je ne puis. Ce n’est pas moi, ce n’est pas mon art. D’autres peintres savent mieux que moi peindre ce genre de
 ce genre lĂ . — Je n’offre pas, je vous commande. Regardez ça
 Et ça
 Ah, vous regardez, cochon ! Alors peignez. Faites-moi belle et dĂ©sirable, qu’on ne parle que de moi sur le Capitole. — Hypolite, que dois-je faire ? Est-elle folle ? — Je ne crois pas. Un peu plus impudente que les femmes de son temps, mais guĂšre plus que les romaines des antiques orgies. Qui sait ? Un jour, sĂ»rement, chaque jeune femme voudra que sa photographie soit exposĂ©e au monde entier. Dans quelle tenue ? Je n’ose l’imaginer. Il faut prendre en pitiĂ© les hommes des temps futurs, s’ils aiment encore les fleurs. Peignez-donc la scĂšne, puisque Mademoiselle vous le demande. Quelle jolie vision que le tourbillon du thé 
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yuuli-xiv · 1 year
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fuck it we small
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steff-02 · 2 months
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Quelle journĂ©e ! Je ne sais mĂȘme par oĂč commencer tellement que j’ai envie de vous dire pleins de choses ! 😂 veuillez m’excuser si je m’éparpille un peu

La journĂ©e commence un peu plus tĂŽt que toutes les prĂ©cĂ©dentes. À 7h20 nous partons chercher la voiture. ArrivĂ© Ă  la voiture, je me rends compte que je n’ai pas pris mon permis de conduire. Je remonte en vitesse Ă  l’appart, prend mon permis (et celui Ă  maman au passage, au cas oĂč..), je redescends et hop cette fois-ci on est parti. Nous avons environ 140km Ă  faire pour rejoindre San Fransisco de Macoris. Google Map nous prĂ©voit un temps de trajet de 2h40 ! đŸ˜± bon,
il prend dĂ©jĂ  en compte le trafic intense pour sortir de la capitale 😅. Il y a tellement de circulation qu’il nous faut plus d’une heure pour faire les premiers 25km
il faut que j’oublie un peu mes rĂšgles de conduite suisses
comme dit l’expression, « à Rome, fait comme les Romains ». Alors on s’impose, on force le passage et on avance 😂. On a traversĂ© des paysages sublimes, aux pieds des montagnes couvertent de forĂȘts tropicales verdoyantes đŸ„° MalgrĂ© que je ne me suis pas arrĂȘtĂ© faire de photos, il y a quand mĂȘme eu plus d’embouteillages que ce que prĂ©voyait Google, alors la marge de 30 minutes que j’avais pris Ă  dĂ©jĂ  Ă©tĂ© entiĂšrement grignotĂ©e
mais quand je me rends compte, Ă  quelques mĂštre du point d’arrivĂ©e, que je me suis trompĂ© pour entrer l’adresse; j’ai commencĂ© Ă  perdre patience 😅 on fait encore un petit dĂ©tour d’une demi heure, on arrive en catastrophe, on s’excuse beaucoup Ă  notre arrivĂ©e, on fait pipi et voilĂ , il est 11h et on peut enfin commencer la visite 😂đŸ’ȘđŸŒ
Nous visitons aujourd’hui une plantation de cacao đŸ«đŸ« ! Nous rejoignons deux français, qui patiente dĂ©jĂ  depuis un moment
 On commence la visite par apprendre comment faire pousser le cacao. Soit on fait germer les graines et on les fait pousser (il faudra 3 ans avant que cet arbre produise du cacao), soit aprĂšs avoir plantĂ© la graine et 3 mois de pousse, on y greffe une branche d’un arbre qui produit du cacao de trĂšs bonne qualitĂ©, l’arbre commencera Ă  faire des fruits aprĂšs un an seulement et de trĂšs bonne qualitĂ© 😉 Ensuite, la guide nous prĂ©sente les diffĂ©rentes cabosses, et en ouvre une. Nous avons pu goĂ»ter les fĂšves de cacao fraĂźches. Seul la pulpe blanche se mange et elle est trĂšs sucrĂ©e et ici avec un lĂ©ger goĂ»t de mangue đŸ€Ł. Toutes ces fĂšves sont rĂ©coltĂ©es puis fermentĂ©es durant 5 jours avant d’ĂȘtre sĂ©chĂ©es durant environ 8 jours (ça dĂ©pendra aussi de la mĂ©tĂ©o â›ˆïžđŸ€·đŸœâ€â™‚ïž). Quand elles sont bien sĂšches, elles sont torrĂ©fiĂ©es durant une quinzaine de minutes, avant d’ĂȘtre concassĂ©es puis l’enveloppe de la fĂšve doit ĂȘtre sĂ©parĂ©e du grain de cacao. Autrefois, chaque fĂšve Ă©tait Ă©crasĂ©e Ă  la main lorsqu’elle Ă©tait encore chaude puis toutes les Ă©corces devaient ĂȘtre triĂ©es
sacrĂ© boulot ! Le cacao doit alors ĂȘtre broyĂ©, et trĂšs vite, grĂące Ă  l’huile contenue dans les graines, une pĂąte se forme. Nos guides y ajoute un peu de sucre et en forme une boule ( on a pu goĂ»ter et c’est dĂ©jĂ  dĂ©licieux ! đŸ„°). Ils vont laisser sĂ©cher totalement cette boule. Elle sera ensuite moulue et ils auront un nouveau stock de chocolat en poudre pour faire des gĂąteaux ou des chocolats chaud ;) Les machines Ă  l’usine, elles, sont un peu plus performantes et peuvent rendre le chocolat extrĂȘmement lisse, puis le tempĂšrent et moulent de belles tablettes de chocolat brillantes et croquantes ! đŸ« Nous avons ensuite dĂ©gustĂ© plusieurs type de chocolats avec des teneurs en cacao diffĂ©rentes. Étonnement, mĂȘme le chocolat noir 80% n’était pas trĂšs amer, comparĂ© aux tablettes que nous trouvons dans le commerce en Europe.
AprĂšs la visite, nous avons eu droit Ă  un copieux repas dominicain. Pour accompagnĂ© le riz et une sorte de ragoĂ»t de poulet, nous avons eu droit Ă  des bananes plantains. C’est une variĂ©tĂ© de banane qui se mange uniquement cuite. GrillĂ©e, frite ou bouille ! C’est trĂšs bon mais assez bourratif 😅
AprĂšs avoir fait un dernier tour dans la plantation, nous prenons la route direction Santo Domingo. Nous faisons taxi pour les deux français avec qui nous avons partagĂ© la visite. Ils n’ont pas de voiture alors nous les avons avancĂ© jusqu’au prochain village afin qu’ils prennent un bus pour rejoindre Puerto Plata, tout au nord de l’üle.
Il est presque 18h lorsque nous arrivons Ă  l’hĂŽtel. L’entrĂ©e Ă  Saint Domingue Ă©tait de nouveau assez sportive mais plus fluide que ce matin. On avait pas vraiment la force de retourner souper en ville, alors aprĂšs s’ĂȘtre posĂ© un moment, on est retournĂ© souper dans le resto en bas de l’appartement, comme le premier soir ;)
PS: ci-dessus, la deuxiÚme image représente les différentes étapes pour obtenir la pùte de cacao.
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shaina-jacobs · 9 months
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Kailyn & Slayde couple que je partage avec mon petit sucre @sweetdemolitionlovers
Kailyn sims au cheveux bleu ma sims
Slayde sims au cheveux noire sims de mon petit sucre @sweetdemolitionlovers
Kailyn & Slayde couple that I share with my little sugar @sweetdemolitionlovers
Kailyn sims blue hair my sims
Slayde sims with black hair sims of my little sugar @sweetdemolitionlovers
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nouveau-blog · 2 months
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la magie de la science et de la nature
Ces derniers temps, l’environnement est mis en avant Ă  cause du rĂ©chauffement climatique. C’est pour cela que des artistes comme Marylou ou encore Karine Bonneval, on voulut mĂ©langer cette nature avec leurs arts et ainsi impacter les gens. Toutefois cet art technologique mĂȘlĂ© Ă  la nature Ă  ses avantages tout comme ses inconvĂ©nients. 
Tout d’abord, nous pouvons aborder l’exposition Ă  Corbeil-Essonnes « les bestioles Ă©lectroniques » de Marylou qui consiste Ă  faire Ă©couter des chants d’oiseaux synthĂ©tisĂ©s. Ces chants s’activent si on s’approche devant des capteurs de prĂ©sence, des tensiomĂštres ou encore d’autres capteurs. Dans cette « boite noire, » il y a des fils qui parcourent tout cet espace, dont certains colorĂ©s. Cependant Ă  cause de tous ces technologies Ă©tant donnĂ© qu’elle est trĂšs fragile, il est possible de tout dĂ©truire. On peut donc faire une analogie entre son innovation et la rĂ©alitĂ©, c’est-Ă -dire qu’il est facile de dĂ©truire un Ă©cosystĂšme rien que par notre prĂ©sence. Pour autant, la technologie est un des nombreux facteurs de ce rĂ©chauffement climatique notamment avec les Datacenter implantĂ© dans les pays nordistes. 
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photo personnelle
Selon moi, c’est une trĂšs belle exposition avec des chants d’oiseaux trĂšs variĂ©s, mais malheureusement, ces oiseaux vont un jour disparaĂźtre et peut-ĂȘtre, on sera obligĂ© d’écoutĂ© des chants synthĂ©tisĂ© et non ces vrais chants qui peuvent nous Ă©gailler une journĂ©e trĂšs fatigante. 
On peut utiliser la technologie pour dĂ©fendre l’environnement, mais pourquoi ne pas utiliser directement la nature pour montrer ses vertus ? 
C’est ce qu’a fait Karine Bonneval dans son exposition Ă  Chamarande « se planter » qui consiste Ă  faire des Ɠuvres d’art grĂące aux plantes. Elle rĂ©alise des Ɠuvres avec des plantes comme le bouleau, les graines de tournesol ou encore des plantes carnivores. Elle a collaborĂ© avec des scientifiques (bioacoustiques par exemple) pour montrer la puissance de la nature ainsi que l’importance de veiller aux bien-ĂȘtre des plantes. Par exemple, elle a rĂ©alisĂ© un tapis, avec l’aide d’un scientifique, relier Ă  une plante. Dans ce tapis, il y a des trous qui ressemblent Ă  des troncs d’arbre et lorsqu’on y met les pieds, on peut ressentir les vibrations de la plante, si l’on touche des feuilles, ces vibrations deviennent plus fortes.
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photo personelle
Il y a aussi une autre Ɠuvre qui reprĂ©sente des plantes carnivore fait en sucre enfermĂ© dans un bocal. On peut faire l’analogie entre le bocal et un cabinet des curiositĂ©s, mais aussi une plante carnivore faite en sucre qui signifie un peu la nouveautĂ© Ă  l’époque de la canne Ă  sucre qui a rendu des pays pauvres en pays riche, mais aussi la plante carnivore enfermĂ© dans une boite de transport pour pouvoir l’exposĂ© partout. 
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photo personnelle
J’ai beaucoup aimĂ© cette exposition, car cela nous fait voir d’une autre maniĂšre la beautĂ© des plantes et aussi qu’elle a besoin d’ĂȘtre prĂ©sente pour nous. 
En conclusion avec ces expositions qui sont un mĂ©lange entre l’art et la nature par le biais de la technologie, car grĂące Ă  cela, elle nous permet de montrer un nouveau visage de cette nature qui est peu connu, mais aussi sur le point de disparaĂźtre Ă  cause du rĂ©chauffement climatique. 
Rose-Marie
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coolvieilledentelle · 5 months
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GATEAU CHOCOLAT MARRON
Pour 6 personnes
1 pot de yaourt nature
 4 pots de farine
 3 pots de sucre
 1/2 pot d'huile
 3 oeufs
 1 sachet de levure chimique
 150 g de confiture de marron
 1 pot de cacao en poudre
 Décor
 100 gr de chocolat noir
 Poudre d'amandes.
1 - Préchauffer le four à 190°C
2 - Mélanger tous les ingrédients dans un saladier.
3 - Enfourner 40 min.
5 - Faire fondre le chocolat et en napper le gĂąteau, saupoudrer d'amandes en poudre.
Pour les gourmands ...
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ex-pastry-chef777 · 3 months
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{saint honore}
@creme patissiere
・lait 300g
・vanille 1
・jaunes d'oeufs 3
・sucre 100g
・farine 40g
・beurre 75g
・brandy 20ml
・cafe soluble 6g
@pate feuilleteeused feuilletee no2
・farine faible 95g
・farine forte 95g
・beurre 20g
・lait 43ml
・eau 43ml
・sel 5g
・sucre 5g
・beurre de tourage 150g
@ganache
・creme fraiche 100ml
・sucre 20g
・creme fraiche 50ml
・chocolat noir 35g
・brandy 20ml
@210℃ 25m
@pate a choux
・lait 125g
・eau 125g
・farine faible 85g
・farine forte 85g
・beurre 100g
・sel 3g
・sucre 3g
・oeufs 250g
@210℃ 30m
@glacage au chocolat
・sucre 105g
・eau 75ml
・cacao en poudre 45g
・creme fraiche 55ml
・gelatine 3g
❚how to make❩
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ditesdonc · 3 months
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Les étés à Curtin
Texte Ă©crit par Jean-Claude Long
Fin des annĂ©es cinquante. La grande maison est divisĂ©e en deux, louĂ©e en partie l’étĂ© par les sƓurs Rochet, Berthe et Denise, mariĂ©es plus tard Ă  Robert Magaud et Georges Guichert.
Dans le coin cuisine, un grand Ă©vier noir, en pierre, sert aussi Ă  se laver. Le rĂ©chaud fonctionne avec une bouteille de butane ; au fond de la maison, une piĂšce fraĂźche sert de cellier. Un garde-manger Ă  grille , suspendu, dissuade les mouches et les fourmis .
Dehors, une pompe, qu’il faut « amorcer », c’est un jeu ; un puits, dont on ne se sert pas, des granges, des hangars, des greniers, des machines et des outils mystĂ©rieux, des odeurs de paille et de grain, des poules en libertĂ©. La vraie vie est lĂ , pas en ville.
Un chien noir, Jimmy, est attachĂ© Ă  une grande chaĂźne, en permanence. Il a creusĂ© un chemin sur son passage. Robert le lĂąche parfois, Jimmy part courir dans la campagne, si vite qu’on dirait un dessin animé : il a douze pattes. Quelques heures aprĂšs, il revient en lambeaux, boitant, saignant d’une oreille. Cinquante ans aprĂšs, on aurait dit « il s’est mis minable ».
Lorsque Robert revient sur sa moto, Jimmy s’agite avant que les humains aient entendu le moindre bruit ; Berthe dit alors : « voilĂ  Robert ».
A gauche en sortant de la maison, un prĂ©, dont l’enfant rĂȘve l’hiver, comme une prĂ©face Ă  des rĂ©cits d’explorateur. On le traverse pour aller Ă  la boulangerie Ă  Thuellin.
Souvent vient brouter un troupeau de vaches. L’enfant aime les vaches, Ă  la robe marron et blanche, cette odeur Ă  la fois sauvage et rassurante, leur chaleur Ă©paisse et grasse, maternelle . Elles font un peu peur avec leurs gros yeux, mais sont paisibles, c’est fascinant !Aujourd’hui encore, l’odeur des vaches me met les larmes aux yeux.  "Voilà  les vaches ! " est un cri de fĂȘte, un allĂ©luia paĂŻen. Avec les enfants qui mĂšnent le troupeau, je crois qu’il y avait une Mireille, on va jouer Ă  cache- cache , Ă  Colin Maillart, Ă  MĂšre veux-tu. On mangera la tarte aux pommes de ma mĂšre, on boira du Pschitt, l’aprĂšs-midi ne sera que fĂ©erie. La Dent-du-Chat est une frontiĂšre au loin, les dieux juchĂ©s nous observent.
FĂȘte aussi les commerçants ambulants, qui arrivent en klaxonnant ; galopade ! Dehors en pyjama ! Ducard, petit monsieur chauve aux yeux vifs, sa camionnette bleue aux odeurs de sucre et de bonbons chimiques. Fontana, fruits et lĂ©gumes, sa camionnette verte, « l’Increvable », ses grosses lunettes. Le boucher a une fourgonnette deux-chevaux, grise .
L’enfant aime la campagne ; la libertĂ© est totale. Sa mĂšre, si craintive en ville, le laisse pendant deux mois divaguer parmi les faux, les herses, les tracteurs, dont un jour il desserra un frein Ă  main dans une pente, bourde rĂ©parĂ©e d’urgence. Il aime l’errance, nez dans les nuages, la rĂȘverie dans les odeurs. Il est shootĂ© au foin, au fumier, Ă  la pluie, aux animaux, coqs, renards toujours lointains mais dont le glapissement est proche, tĂ©moin d’un monde secret qui nous entoure, le comprendra-t-il plus tard ?
Le soir, les chiens discutent de loin en loin, que se racontent-ils ? Il pose un jour la question, un adulte rĂ©pond : « ils ne racontent rien, ce sont des bĂȘtes ». L’enfant pense que le grand se trompe, je le crois encore aujourd’hui.
On peut prendre des bĂątons tant qu’on en veut, pourfendre les ennemis ; les plantes, les herbes sont des lĂ©gumes pour jouer Ă  l’épicier ; infinie profusion de cailloux pour lancer et construire. Deux shorts, deux chemises pour tout l’étĂ© suffisent pour fouler l’herbe menue par les soirs bleus d’étĂ© et sans avoir lu Rimbaud. Ma sƓur et moi allons chaque soir acheter le lait Ă  la ferme Teillon, dont les bĂątiments existent encore. Quand le soir tombe au retour, et que les hirondelles se rassemblent sur les fils Ă©lectriques en prĂ©vision de la migration, c’est que la rentrĂ©e des classes est proche. On transporte le lait dans un bidon en aluminium, qu’on appelle une berthe. Je suis gĂȘnĂ© que le bidon porte le mĂȘme nom que la propriĂ©taire, gentille et aimable. Je n’ose prononcer le mot de peur de la froisser.
AprĂšs la pluie, au retour, dĂ©but septembre, l’ombre monte des fossĂ©s dans des odeurs de trĂšfle et d’orties.
Ma mĂšre achĂšte parfois un lapin vivant chez Mme Guetta (Guettat ?) Mon pĂšre pourtant plutĂŽt doux et pacifique, mais initiĂ© par ses vacances enfantines ardĂ©choises, assomme, suspend, saigne, Ă©corche et Ă©viscĂšre l’animal sous le regard de l’enfant.
Nous rendons parfois visite Ă  la GĂ©nie, vieille dame moustachue qui habite une sorte de chaumiĂšre dans une cour herbue et intarissable pourvoyeuse de potins de village. Tonton Maurice vient aussi parfois, il y a toujours une bouteille de vin dans la piĂšce fraĂźche.
L’église et la procession du 15 AoĂ»t font un peu peur.
Mais le plus Ă©tonnant c’est le bruit fracassant des mĂ©tiers Ă  tisser. Comme c’était Ă©trange, ce bistanclaque pan (on dit tchique tchaque pan) parmi les chevaux de trait, les vaches, et l’odeur des charrettes de foin.
Merveilleuse Ă©poque : les locataires lyonnais devinrent amis avec les propriĂ©taires, particuliĂšrement Berthe et Robert, qu’ils frĂ©quentĂšrent jusqu’ Ă  la mort de ma mĂšre, en 1979 ; celle-ci allait voir aussi Denise Rochet, installĂ©e Ă  St Sorlin. Le pluvieux Ă©tĂ© 1958, la belote, les tartes aux pommes, les gĂąteaux de riz au caramel favorisĂšrent sans doute le rapprochement. Mon pĂšre et Robert, le citadin et le campagnard, « se chambraient » amicalement, ma mĂšre et Berthe riaient en faisant la lessive, parfois au lavoir. L’on prĂȘtait un vĂ©losolex. Avec Denise les conversations Ă©taient plus sĂ©rieuses ; Georges Ă©tait taciturne.
Aujourd’hui, Curtin sort parfois des brumes et ressuscite l’enfant, dont les sens et la pensĂ©e s’ouvraient au monde : quelle place y prendrait-il ?
Je voudrais avoir des nouvelles de Brigitte et Jean-Claude Magaud, les enfants de Berthe et Robert. Michel Guichert, fils de Denise et Georges ; il habite encore la maison, me permettrait-il d’y entrer ? La famille Teillon ; j’ai vu qu’il y a un boulanger, un plaquiste, un dĂ©corateur. Tonton Maurice buvait rituellement un canon avec Victor, en embarquant la provision de pommes de terre de ma mĂšre dans la quatre-chevaux. Mireille Rochet (existait-elle, est-elle encore en vie ?) Une jeune fille aujourd’hui vieille dame, HĂ©lĂšne, qui Ă©tait horrifiĂ©e par mes acrobaties en trottinette : « je vais le dire Ă  ta mĂšre ! »
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D'autres soirs bleus, par IrÚne, août 2023.
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