Tumgik
#sorciere verte
banefolk · 7 months
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La Voie du Poison (The Poison Path) by Laurie Bianciotto
The only French-language witchy poison path book in existence. A solid introduction to the poison path with some recipes and rituals throughout.
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papercatlab · 2 years
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(via In French: Book of Shadows Green Witch's Grimoire Herbs - Etsy Italy)
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oxeiacraft · 10 months
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Magie Naturelle : qu'est ce qu'un parfum magique, pourquoi et comment le...
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elhoimleafar · 2 years
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Fabriquer ses sachets magiques: 100 formules pour le succès, l'amour, la prospérité et le bien-être.
Disponible dès maintenant dans votre librairie préférée ! Mon livre "Fabriquer ses sachets magiques: 100 formules pour le succès, l'amour, la prospérité et le bien-être", Merci à toi @AllianceMagique !!
Créez votre propre magie ! Les sachets magiques, également appelés sacs de charmes, gris-gris ou encore sachets à mojo, sont peut-être les amulettes ou talismans les plus populaires au monde. Partout sur le globe, nombreuses sont les cultures et traditions spirituelles à intégrer leur confection et ce, à des fins très diverses.
S'il n'existait pas jusqu'à présent de guide pratique pour leur création, cet ouvrage remédie à ce vide littéraire avec brio. Des cercles magiques aux correspondances planétaires, en passant par l'utilisation des associations de couleurs, des herbes, des pierres, des bougies et des phases lunaires, l'auteur propose ici des méthodes simples pour créer et consacrer des sacs de charmes pour l'amour, la chance, le succès, le bonheur, la santé, la richesse, la protection, la prospérité ou encore la réalisation d'objectifs.
Avec plus de 100 formules, Fabriquer ses sachets magiques, mélange éclectique de Wicca, de Hoodoo, de vaudou ou encore de magie gitane ou folklorique latino-américaine, est un excellent guide pour débutant. Il offrira également au praticien chevronné de nouvelles perspectives sur l'art de fabriquer l'une des formes de sorts les plus appréciées de la magie populaire. Si vous cherchez des moyens d'améliorer et d'étendre votre magie, ce livre est fait pour vous !
À propos de l'auteur : Elhoim Leafar, astrologue et radiesthésiste, se consacre depuis de nombreuses années à l'étude et à l'enseignement de sujets ésotériques par le biais de plateformes numériques et des réseaux sociaux. Il est auteur, blogueur et chroniqueur régulier pour diverses publications internationales où il écrit sur le néo-paganisme, la sorcellerie, l'astrologie et la spiritualité.
~ AMZN Fr: https://www.amazon.fr/Fabriquer-ses-sachets-magiques-prosp%C3%A9rit%C3%A9/dp/2367361509/
~ AMZN US: https://www.amazon.com/Fabriquer-ses-sachets-magiques-prosp%C3%A9rit%C3%A9/dp/2367361509/
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sweetutopie-blog · 2 years
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🔥 bienvenue en enfer 🔥
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sorryfranquin · 11 days
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ton blog m'a donné envie de me mettre à spirou. Tu aurais des tomes à conseiller pour commencer ?
Wahh je suis trop contente d’entendre ça ! Et oui bien sûr :3 Sous un read more vu que c’est devenu un peu plus long que prévu
Deja tu peux lire tous les tomes de Spirou et Fantasio sur VK
Je recommande évidemment de commencer par la période Franquin vu que c’est celle qui pose les bases de l’univers. Même si le personnage a eu des aventures avant dessinées par Rob Vel puis Jijé, je trouve que c’est plus intéressant de revenir sur ces périodes une fois qu’on a une vue d’ensemble sur la série.
Les tomes essentiels/préférés pour moi sont :
T2 Il y a un sorcier à Champignac
T4 Les héritiers (Zantafio ❤️)
T7 Le dictateur et le champignon (ZANTAFIOOO 😻)
T9 La mauvaise tête
T15 Z comme Zorglub & T16 L’ombre du Z (c’est un diptyque)
T17 Spirou et les Hommes Bulles (surtout parce que la deuxième aventure c’est Spirou et les petits formats et elle est juste trop mignonne 😭❤️)
T18 QRN a Bretzelburg
Bien sûr si l’univers te plaît tu peux lire le reste des albums de Franquin puisque beaucoup de choses y font référence plus tard dans les albums des autres auteurs. Et puis aussi c’est bien :)
Ensuite dans la période Fournier mes préférés sont :
T22 L’abbaye truquée
T23 Tora Torapa
T28 & T29 Kodo le Tyran et Des haricots partout (un autre diptyque)
Fournier a un style un peu plus fantastique que Franquin, ça se voit surtout dans ses décors que je trouve époustouflants surtout dans ces quatre albums. Le diptyque aussi a des moments trop mignons entre S&F arghhh 😭 ❤️
Tu peux passer la période Nic & Cauvin parce qu’elle est sans plus.
Ensuite la période Tome et Janry (T33 - T46) est juste INCROYABLE je conseille de tout lire. Genre vraiment. Tout est excellent 🔥 Mention spéciale à la Vallée des Bannis et Vito la déveine YAOI COCAINE
La période Morvan et Munuera n’est pas incroyable non plus, je conseille de la zapper. Ils essaient de sortir du moule un peu mais entre les scènes d’action insupportables de Munuera et les romances pourries manufacturées par Morvan ça donne juste un résultat bcp trop tryhard et CRINGE
Après la période Yoann & Vehlmann est cool ils font des trucs intéressants avec les persos mais je ne suis pas vraiment fan du graphisme de Yoann. Il n’y a que 5 tomes et ils sont assez courts donc je conseille de les lire aussi 👍
Le tome 56 la mort de Spirou est vraiment excellent par contre, je le recommande vivement.
Après en dehors de la série principale il a le Spirou c’est une série ou différents auteurs peuvent faire du Spirou à leur sauce. Pas obligé d’avoir lu la série principale pour les lire, voire au contraire puisque la plupart des Spirou de s’éloignent de l’univers ‘classique’ de Spirou.
Je recommande TRÈS CHAUDEMENT!!!!! Le Spirou de Schwartz et Yann (Le Groom vert de gris et La femme léopard partie 1 & 2) parce qu’ils sont top et très touchants et franchement. Yann et Schwartz ship clairement Spirou et Fantasio… ils passent leur temps à se faire des câlins et y a pas 3 pages sans une blague/allusion sur leur statut de couple c’est trop mignon aurghh 😭
J’ai beaucoup aimé aussi le Spirou de Fabrice Tarrin La crypte de Champignac et Spirou chez les Soviets. Je trouve qu’il a vraiment une bonne idée des personnages et j’adore son style de dessin.
Il y a le Spirou d’Emile Bravo (Le journal d’un ingénu et L’espoir malgré tout en 4 tomes) qui est aussi excellent, extrêmement bien écrit. Mais S&F sont assez loin du Spirou et du Fantasio dont on a l’habitude.
J’espère que ça t’aidera désolée pour cet énorme pavé 😭 mais une fois que je suis lancée je peux pas me taire ❤️ j’espère que tu aimeras la série !!!
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De Magnus à Alec
Mon cher délicieux muffin d’amour,
J’espère que tu te portes à merveille au moment de recevoir cette lettre parfumée, et que toi et R et M passez un très bon moment pendant votre voyage en… euh, je crois que le mot que tu as utilisé est « Nord ». J’ai entendu des légendes sur ce Nord[1], mais jamais n’aurais-je pensé que ma famille verrait de ses propres yeux ses montagnes, ses marchés fermiers kitchs, son Onde de l’Hudson.
Mais plus sérieusement, j’espère que les enfants apprécient leur séjour chez Grand-mère, et j’espère bien que tu appelles Maryse « Grand-mère » aussi souvent que possible parce que j’adore la tête qu’elle fait quand elle nous entend dire ça. Sur un sujet moins plaisant mais plus pressant, j’espère que tu as eu l’occasion de discuter avec Luke de ce qu’il se passe avec la Cohorte et Idris.
Mais ne fatigue pas tes magnifiques mains à m’écrire une réponse. Je viendrai moi-même te rejoindre dans le « Nord » plus tard dans l’après-midi, puisque, je te l’annonce avec joie, l’affaire de la maison maudite des petits Blackthorn est plus ou moins résolue. Bien que ce fût une rude épreuve, crois-moi.
Je ne crois pas t’avoir montré la note que Jem m’avait envoyée, qui disait : « Emma et Julian essayent de ne pas t’embêter davantage avec leur maison, et c’est très gentil de leur part, mais contrairement à eux, je n’ai pas le moindre scrupule à t’embêter, alors c’est moi, maintenant, par cette note, qui t’embête. Nous avons besoin d’un sorcier et tu es le meilleur que je connaisse pour faire face à notre problème. Nous apprécierions tous grandement ton aide. »
Comme c’est souvent le cas, j’étais à la fois légèrement agacé et légèrement impressionné par Jem, qui avait réussi à être très gentil tout en me rappelant que, lorsque lui et Tessa sont concernés, je suis une vraie dupe qui volera à leur secours dès que possible. Parce que je suis une véritable dupe lorsque lui et Tessa sont concernés, j’avais tout de suite répondu que je viendrais.
Je sais ce que tu penses. « Pourquoi Tessa aurait-elle besoin d’un sorcier alors qu’elle est elle-même une sorcière ? » Différents sorciers ont différents domaines de connaissance, comme tu le sais, et même si Jem me flattait en disant que j’étais le meilleur choix, la vérité est que j’ai bien eu à gérer beaucoup plus de malédictions que Tessa. C’est ce qui arrive quand on a passé les dernières décennies à vendre ses services à n’importe quel mécréant que l’on croise, au lieu d’agir intelligemment et de mener une paisible vie de chercheuse en magie dans le Labyrinthe en Spirale. Tessa a toujours été la plus maligne de nous tous.
Quoi qu’il en soit, je dois accorder du mérite à Emma et Julian. Je m’attendais à les trouver en train de cogner les objets maudits les uns contre les autres ou quelque chose de cet ordre, mais ils avaient mis en place un cercle de protection plutôt convenable et avaient même trouvé un sort. C’était un vieux sort très général qui, d’après mon expérience, n’a souvent aucun effet sur les vraies malédictions à notre époque, mais tout de même.
Assez bêtement, j’ai établi le cercle dont je me sers habituellement pour rompre les malédictions, pour essayer. « Bêtement », parce que j’avais oublié qui avait créé la malédiction à l’origine. Ton pire ancêtre, Benedict Lightwood, passionné de démons en tous genres et amateur de nécromancie. A quel point Benedict était-il passionné par les démons ? Il est littéralement mort de la vérole démoniaque qui, si tu ne le sais pas, parce que tu es admirablement pur, mon Alec, est une maladie démoniaque sexuellement transmissible.
Mais j’avais oublié ça sur le moment, alors j’ai été étonné quand la malédiction a résisté avec force. Elle se tordait, se débattait, donnait des coups, comme Max quand on le plonge dans son bain. Une espèce de lueur vert fluo rayonnait aux points d’attache entre les objets maudits et la malédiction. J’ai finalement compris que je devrais précautionneusement détacher chaque objet de la malédiction un à un.
Je m’en suis sorti avec la flasque, la dague, et l’un des bougeoirs (ne me demande pas d’expliquer comment j’ai réalisé cet exploit), mais après ça, j’étais coincé.
Ce n’est pas terrible quand un sorcier prend une remarquable pose magique et qu’il ne se passe rien ensuite. Je suis certain que j’avais l’air ridicule, comme un magicien terrestre qui ne comprend pas pourquoi le lapin ne sort pas du chapeau. Julian et Emma, toujours très polis, ont patiemment attendu mais je me sentais fort idiot.
Et puis je me suis complétement déconcentré pendant un moment parce que la porte s’est ouverte et Kit est entré. Il a rapidement observé la scène avant de déclarer :
- Le Professeur Violet dans la bibliothèque avec le bougeoir, à ce que je vois.
- Le violet est toujours une couleur appropriée pour un sorcier, ai-je rétorqué. C’est la couleur ornementale de la magie.
- Ta magie est bleue, est intervenue Emma, évidemment, Madame-je-sais-tout.
- Peut-être qu’il parlait de moi, a dit Julian. Je porte un sweat à capuche violet. Et c’est aussi la couleur ornementale de la magie, a-t-il ajouté avec un hochement de tête à mon attention, ce que j’ai apprécié.
- Vous pourriez peut-être mettre les objets sur une nappe violette au lieu d’une blanche, a suggéré Kit.
Tout en parlant, il s’est rapproché pour jeter un œil.
Et dès qu’il a été près du cercle, Alec, j’ai ressenti une sensation des plus étranges. Une sensation de… pouvoir, je suppose, qui résonnait en Kit. Tu vois la façon dont le corps vibre d’une manière particulière quand il y a des bruits vraiment très graves ? Cette sorte de grondement ? C’était comme ça, mais silencieux. Je n’avais jamais ressenti ça de toutes les fois où j’avais vu Kit. Je voyais aussi que Kit ne ressentait rien d’anormal. Et si c’était le cas, il était étonnement imperturbable.
Alors je lui ai proposé de nous rejoindre autour du cercle pour qu’il se concentre également sur la magie.
- D’autant plus que Jem et Tessa ont préféré aller se cacher quelque part plutôt que de nous aider avec ça.
- Ils sont dans le jardin avec Mina, a répliqué Kit, un peu sur la défensive.
J’ai redirigé l’attention de tout le monde sur les objets et concocté une version plus puissante de mon habituel sort anti-malédiction. J’ai pris l’autre bougeoir et BOUM ! Plus aucune résistance ! Il y a eu un grand éclat de lumière bleue et tous les nœuds magiques qui attachaient les objets à la malédiction se sont désintégrés.
Nous n’en croyions pas nos yeux. J’ai fini par prononcer quelque chose comme :
- Eh bien, c’était plus que ce à quoi je m’attendais. Peut-être que la présence de quatre personnes a fait la différence.
J’ai vérifié. La malédiction semblait… avoir disparu. Honnêtement, j’étais un peu secoué. Je n’en ai pas parlé à Tessa ni à Jem, parce que je ne veux pas en faire tout un plat, mais je pense que ça a fonctionné grâce à Kit. Pas parce que nous avions besoin d’une quatrième personne. Il se passe clairement quelque chose avec lui, une sorte de magie dont il ignore tout. Je suppose que c’est lié au fait qu’il est un descendant de la Première Héritière, mais je n’ai jamais été un expert en ce qui concerne ce genre de magie elfique. (Et brûle cette lettre après l’avoir reçue – nous sommes peu nombreux à savoir que Kit est le Premier Héritier, et il vaut mieux que ça reste comme ça.)
Cette idée m’attriste. Kit est un bon garçon qui mérite une vie agréable et ordinaire. Je sais que c’est ce que Jem et Tessa veulent pour lui, plus que tout, après le chaos qu’a été son enfance. Mais je ne suis pas sûr qu’il aura son mot à dire. Les fées ne lui laisseront peut-être pas le choix.
Julian a tendu la main pour prendre la flasque. Il l’a tenue pendant un certain temps en fronçant les sourcils.
- Qu’y a-t-il ? a demandé Emma.
- Rien, a répondu Julian.
Puis il a levé les yeux vers moi :
- C’est tout ? Plus de malédiction ?
- Plus de malédiction, lui ai-je assuré. J’espère.
Et puis est descendu du plafond Rupert le Fantôme. Je n’ai jamais rencontré Rupert quand il était vivant. Je ne sais pas quoi penser de lui. D’un côté, il semble avoir été un innocent qui se trouvait au mauvais endroit au mauvais moment, un esprit enfermé dans une maison où il n’a jamais vécu à cause d’un mal dont il ne connaissait rien de son vivant. D’un autre côté, en rencontrant Tatiana Lightwood, il s’est dit « Cette demoiselle semble être un bon parti », alors il devait y avoir quelque chose de pas net chez lui.
Rupert était juste au-dessus de la table et est descendu jusqu’à la toucher. Il fixait un objet dessus.
- Qu’y a-t-il, Rupert ? l’a interrogé Emma. Que regardes-tu ?
Kit a suivi son regard et a commencé à mettre les objets sur le côté.
- C’est la bague, a-t-il annoncé.
- Quelle bague ? s’est étonnée Emma.
En effet, quelle bague ? Il n’y avait pas de bague parmi les objets maudits. Mais il y avait une bague sur la table maintenant. Kit l’a prise. C’était une bague sertie d’une pierre noire et gravée d’un motif d’épines.
- La bague de la famille Blackthorn ? s’est demandé Kit.
- La plupart des bagues de famille ne ressemblent pas à ça, a remarqué Emma.
- Peut-être une alliance ?
- Les Chasseurs d’Ombres n’utilisent pas d’alliances.
Mais Julian affichait son habituelle expression pensive.
- Je suis lié à ce lieu par un anneau en argent, a-t-il dit doucement.
- Les Chasseurs d’Ombres peuvent échanger des alliances, ai-je indiqué. Ils n’y sont pas obligés. Mais ils peuvent s’ils le veulent.
Quoi que ce soit, ça appartenait à Rupert. Il avait suivi du regard la main de Kit qui avait pris la bague, et à ce moment il en approchait son fin bras fantomatique. Il a enveloppé la bague de sa main, ce qui n’a eu aucun effet puisqu’il est un fantôme… Kit se contentait de la lui tenir. Puis il a fermé les yeux (je parle de Rupert) et son visage a affiché une expression de soulagement, de gratitude, de paix, et il s’est… évaporé, juste là. Il s’est lentement effacé puis a disparu. Plus de Rupert. Parti pour, je l’espère, ne pas retrouver sa femme, puisqu’elle était aussi sa geôlière pendant plus de cent ans.
- Il n’a même pas dit au revoir, a murmuré Emma.
- C’est mieux, ai-je affirmé. Il n’a jamais été censé être ici.
- Eh bien, Rupert, si tu m’entends, a lancé Emma, c’était sympa d’être hantés par toi.
- Cinq étoiles, a dit Kit sur un ton solennel en reposant la bague sur la table. Ça me plairait d’être hanté à nouveau.
Et toutes les bougies de la pièce se sont éteintes d’un coup. Ce qui était aimable de la part de Rupert, si c’était lui. Ça aurait très bien pu être un simple courant d’air.
Nous sommes tous sortis de la pièce en silence.
- C’est différent, a remarqué Julian en regardant dans le couloir. Je le sens déjà.
Je le sentais moi aussi. Il y avait une légèreté nouvelle. Une sorte de domesticité chaleureuse qu’on ressent dans une maison accueillante, et qui avait toujours manqué à Chiswick House depuis que je la connaissais. C’est difficile à décrire, mais tout d’un coup c’était la maison de Julian et Emma, telle qu’elle ne l’avait jamais été avant. Je l’ai toujours vue comme un endroit hostile, puis comme une monstrueuse ruine. Pour la première fois je me suis dit que c’était un endroit que les Blackthorn pourraient remplir de bonheur.
Et je suis certain qu’ils le feront.
A très bientôt, mon amour. Je t’embrasserai jusqu’à ce qu’un bambin nous force à nous séparer et réclame toute notre attention. Prévois donc un baiser d’environ trente à soixante secondes, d’après les expériences passées. Mais j’aimerais, comme toujours, que ça dure infiniment.
Je t’aime,
Magnus.
Texte original de Cassandra Clare ©
Traduction d’Eurydice Bluenight ©
Le texte original est à lire ici : https://secretsofblackthornhall.tumblr.com/post/693937002091053056/magnus-to-alec
[1] Blague de new-yorkais. Les habitants de la ville de New-York désignent l’intégralité de l’état de New-York, sauf la ville, comme étant « upstate » (« le nord de l’état »). Aller « upstate » (généralement juste au nord de la ville, dans la Vallée de l’Hudson) est souvent vu comme un voyage considérable même si c’est tout près.
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odnagnisul · 1 year
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100 livres à avoir lu dans sa vie (entre autres):
1984, George Orwell ✅
A la croisée des mondes, Philip Pullman
Agnès Grey, Agnès Bronte ✅
Alice au Pays des merveilles, Lewis Carroll ✅
Angélique marquise des anges, Anne Golon
Anna Karenine, Léon Tolstoï
A Rebours, Joris-Karl Huysmans
Au bonheur des dames, Émile Zola
Avec vue sur l'Arno, E.M Forster
Autant en emporte le vent, Margaret Mitchell
Barry Lyndon, William Makepeace Thackeray
Belle du Seigneur, Albert Cohen
Blonde, Joyce Carol Oates
Bonjour tristesse, Françoise Sagan ✅
Cent ans de solitude, Gabriel Garcia Marquez
Charlie et la chocolaterie, Roald Dahl ✅
Chéri, Colette
Crime et Châtiment, Féodor Dostoïevski
De grandes espérances, Charles Dickens
Des fleurs pour Algernon, Daniel Keyes
Des souris et des hommes, John Steinbeck ✅
Dix petits nègres, Agatha Christie ✅
Docteur Jekyll et Mister Hyde, Robert Louis Stevenson ✅
Don Quichotte, Miguel Cervantés
Dracula, Bram Stocker ✅
Du côté de chez Swann, Marcel Proust
Dune, Frank Herbert ✅
Fahrenheit 451, Ray Bradbury ✅
Fondation, Isaac Asimov
Frankenstein, Mary Shelley ✅
Gatsby le magnifique, Francis Scott Fitzgerald ✅
Harry Potter à l'école des sorciers, J.K Rowling
Home, Toni Morrison
Jane Eyre, Charlotte Bronte
Kafka sur le rivage, Haruki Murakami
L'adieu aux armes, Ernest Hemingway ✅
L'affaire Jane Eyre, Jasper Fforde
L'appel de la forêt, Jack London ✅
L'attrape-cœur, J. D. Salinger ✅
L'écume des jours, Boris Vian
L'étranger, Albert Camus ✅
L'insoutenable légèreté de l'être, Milan Kundera
La condition humaine, André Malraux
La dame aux camélias, Alexandre Dumas Fils
La dame en blanc, Wilkie Collins
La gloire de mon père, Marcel Pagnol
La ligne verte, Stephen King ✅
La nuit des temps, René Barjavel
La Princesse de Clèves, Mme de La Fayette ✅
La Route, Cormac McCarthy ✅
Le chien des Baskerville, Arthur Conan Doyle
Le cœur cousu, Carole Martinez
Le comte de Monte-Cristo, Alexandre Dumas : tome 1 et 2
Le dernier jour d'un condamné, Victor Hugo ✅
Le fantôme de l'opéra, Gaston Leroux
Le lièvre de Vaatanen, Arto Paasilinna
Le maître et Marguerite, Mikhaïl Boulgakov
Le meilleur des mondes, Aldous Huxley
Le nom de la rose, Umberto Eco
Le parfum, Patrick Süskind
Le portrait de Dorian Gray, Oscar Wilde ✅
Le Petit Prince, Antoine de Saint-Exupery ✅
Le père Goriot, Honoré de Balzac ✅
Le prophète, Khalil Gibran ✅
Le rapport de Brodeck, Philippe Claudel
Le rouge et le noir, Stendhal ✅
Le Seigneur des anneaux, J.R Tolkien ✅
Le temps de l'innocence, Edith Wharton
Le vieux qui lisait des romans d'amour, Luis Sepulveda ✅
Les Chroniques de Narnia, CS Lewis
Les Hauts de Hurle-Vent, Emily Brontë
Les liaisons dangereuses, Choderlos de Laclos ✅
Les Malaussène, Daniel Pennac ✅
Les mémoires d'une jeune fille rangée, Simone de
Beauvoir
Les mystères d'Udolfo, Ann Radcliff
Les piliers de la Terre, Ken Follett : tome 1
Les quatre filles du Docteur March, Louisa May
Alcott
Les racines du ciel, Romain Gary
Lettre d'une inconnue, Stefan Zweig ✅
Madame Bovary, Gustave Flaubert ✅
Millenium, Larson Stieg ✅
Miss Charity, Marie-Aude Murail
Mrs Dalloway, Virginia Woolf
Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur, Harper Lee ✅
Nord et Sud, Elisabeth Gaskell
Orgueil et Préjugés, Jane Austen
Pastorale américaine, Philip Roth
Peter Pan, James Matthew Barrie
Pilgrim, Timothy Findley
Rebecca, Daphne Du Maurier
Robinson Crusoé, Daniel Defoe ✅
Rouge Brésil, Jean Christophe Ruffin
Sa majesté des mouches, William Goldwin ✅
Tess d'Uberville, Thomas Hardy
Tous les matins du monde, Pascal Quignard
Un roi sans divertissement, Jean Giono
Une prière pour Owen, John Irving
Une Vie, Guy de Maupassant
Vent d'est, vent d'ouest, Pearl Buck
Voyage au bout de la nuit, Louis-Ferdinand Céline ✅
Total : 37/100
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amandinemoon · 8 months
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PARTIE 1 :
Préambule : Le Choixpeau indécis
1 septembre 1990
- Bienvenue à Poudlard, annonça la professeure McGonagall. Le banquet de début d'année va bientôt commencer mais avant que vous ne preniez place dans la Grande Salle, vous allez être répartis dans les différentes maisons. Cette répartition constitue une cérémonie très importante. Vous devez savoir, en effet, que tout au long de votre séjour à l'école, votre maison sera pour vous comme une seconde famille. Vous y suivrez les mêmes cours, vous y dormirez dans le même dortoir et vous passerez votre temps libre dans la même salle commune.
« Les maisons sont au nombre de quatre. Elles ont pour nom Gryffondor, Poufsouffle, Serdaigle et Serpentard. Chaque maison a sa propre histoire, sa propre noblesse, et chacune d'elles a formé au cours des ans des sorciers et des sorcières de premier plan. Pendant votre année à Poudlard, chaque fois que vous obtiendrez de bons résultats, vous rapporterez des points à votre maison, mais chaque fois que vous enfreindrez des règles communes, votre maison perdra des points. A la fin de l'année scolaire, la maison qui aura obtenu le plus de points gagnera la Coupe des Quatre Maisons, ce qui constitue un très grand honneur.
« J'espère que chacun et chacune d'entre vous aura à cœur de bien servir sa maison, quelle qu'elle soit. La Cérémonie de Répartition va bientôt commencer en présence de tous les élèves de l'école. Je vous conseille de profiter du temps qui vous reste avant le début de cette cérémonie pour soigner votre tenue. »
D'un geste fébrile, Lili remit ses cheveux bouclés et constamment emmêlés en place comme elle put. Elle s'assura aussi que sa robe n'était pas trop plissée, et que personne ne pourrait voir que ses baskets étaient délavées.
- Je reviendrais vous chercher lorsque tout sera prêt, dit la professeure. Attendez-moi en silence.
Elle quitta le couloir. Lili avait la gorge serrée. Elle ne connaissait personne ni autour d'elle, ni à l'intérieur de la Grande Salle. Elle regarda autour d'elle, les autres élèves avaient l'air terrifiés aussi, personne ne disait grand-chose.
Alors que l'immense porte qui se dressait devant les premières années s'ouvraient enfin, la professeure à l'air strict, coiffée d'un grand chapeau noir et à la robe verte s'avança pour les mener dans l'immense hall. L'espace était gigantesque, étrange et magnifique, un plafond magique reproduisait le ciel étoilé dont elle avait déjà lu l'histoire dans un des vieux livres qu'elle avait achetés, et des centaines de bougies flottaient au-dessus d'eux. Quatre rangées de tables étendues le long de la salle faisaient s'asseoir des centaines d'élèves de tout âge.
Le groupe de premières années avança jusque devant une estrade, où tous les professeurs étaient attablés. La femme au grand chapeau noir monta sur l'estrade, à un mètre environ d'un petit tabouret en bois. Elle attrapa un autre grand chapeau en cuir marron, rapiécé et plié à plusieurs endroits. Elle posa le chapeau de cuir marron sur un grand tabouret, et les pliures s'ouvrirent plus largement encore, articulant une bouche et des yeux sur le vieux chapeau, qui se mit à chanter contre toute attente.
(chanson Choixpeau)
Lorsqu'il eut terminé sa chanson, des applaudissements éclatèrent dans toute la salle. Le chapeau s'inclina pour saluer les quatre tables, puis il s'immobilisa à nouveau. La professeure McGonagall s'avança en tenant à la main un long rouleau de parchemin.
- Quand j'appellerai votre nom, vous mettrez le chapeau sur votre tête et vous vous assiérez sur le tabouret. Je commence : Adams, Peter !
Un jeune garçon au teint dangereusement pâle avec des cheveux châtains très courts et un nez pointu sorti du rang d'un pas mal assuré. Il alla mettre le chapeau qui lui tomba devant les yeux et s'assit sur le tabouret.
- POUFSOUFFLE ! cria le chapeau après un instant de silence.
Des acclamations et des applaudissements s'élevèrent de la table située à droite et Peter alla s'asseoir parmi les autres étudiants de Poufsouffle.
- Alverton, Elisabeth !
Avec son nom de famille, Lili s'était doutée qu'elle serait au moins dans les trois premiers à être appelés. Le pas un peu tremblant, sans trop lever les genoux pour que sa robe ne découvre pas ses baskets, elle sortit du rang à son tour, la tête un peu baissée. McGonagall lui lança un regard chaleureux et Lili posa le chapeau sur sa tête, qui lui tomba jusqu'en dessous des yeux, et elle dut le soutenir pour voir autour d'elle.
Pendant ce temps à la table des Gryffondor, deux deuxièmes années observaient la scène attentivement, dans l'espoir de faire une ou deux blagues sur les premières années quelque peu terrifiées.
- Elle est vraiment minuscule celle-là ! Dit le premier, cheveux courts, roux, un nez légèrement aquilin, des yeux pétillants de malice, et le visage couvert de taches de rousseur.
- Oui, elle ne doit pas voir grand-chose avec le Choixpeau ! Ajouta le second, identique en tout point avec le premier.
- Ça prend du temps là non ? Dit le premier
Effectivement, pendant ce temps-là, le Choixpeau peinait à faire son choix.
- Hum... Difficile... très difficile, disait une voix grincheuse à l'oreille de Lili, elle n'était même pas sûre que le reste de la salle entendait ses réflexions.
Au bout de deux minutes, McGonagall regarda sa montre à gousset et tous les professeurs et élèves tendirent l'oreille. Le Choixpeau continuait de marmonner au hasard les noms des maisons et leurs qualités. Au bout de quatre minutes tout le monde se regardait les uns les autres, et la voix murmurait de plus en plus fort et souvent « Serdaigle » et « Gryffondor ».
- C'est même très difficile..., ajouta le chapeau.
Lili se crispa, et si elle ne trouvait aucune maison ? Et si elle manquait de toutes les qualités requises ? A côté d'elle, McGonagall jetait des regards aux autres professeurs et les premières années fixaient Lili avec de grands yeux impatients.
- Tu as un immense potentiel, tu sais ? Dit le chapeau assez fort cette fois pour que McGonagall l'entende. Une famille si brillante... Oui, oui, je le vois dans ta tête... Le désir de faire ses preuves, mais malgré tout le courage, oui, le courage à venir... Des qualités intellectuelles, à développer, oui... C'est presque indissociable de ta personnalité brave... et... l'ambition est faible, pour le moment, mais la loyauté est sans faille... non, non, cherchons, alors... Peut-être Gryffondor ? ... Mais tu es tellement fière de tes connaissances, il serait dommage... oui, j'ai choisi, j'ai choisi : SERDAIGLE !
La salle applaudit très fort, les élèves qui semblaient les plus âgés faisaient le plus de bruit. Ils devaient certainement savoir quelque chose. Le temps avait semblé infini. McGonagall releva le chapeau de la tête de Lili, elle avait un regard qui aurait pu vouloir dire beaucoup de chose, et Lili y compris surtout une certaine fierté. Elle se releva, regarda rapidement autour d'elle, même les professeurs, et un homme à la longue barbe en particulier, applaudissaient avec des sourires de surprise.
Lili descendit de l'estrade, les jambes encore plus tremblantes après cet épisode perturbant, et se dirigea vers la table bleue et bronze de Serdaigle. Beaucoup d'élèves plus grands lui faisaient des signes accueillants, mais Lili avait trop peur et elle se mit le plus loin possible des autres sur les tables.
Elle rejouait en boucle les mots du Choixpeau, elle n'y comprenait pas grand-chose, même elle avait du mal à croire en elle, alors un chapeau ? Peut-être lisait-il l'avenir de Lili, ou qu'il percevait des choses de sa future personnalité ? Tout cela resta très étrange à ses yeux.
Avait-il mentionné sa « famille » ? Sa seule famille était sa mère et elle n'y avait pas pensé sur le moment, le Choixpeau savait donc déjà des choses sur le monde extérieur. Mais sa mère était une Moldue, et elle n'avait aucune idée de qui son père avait bien pu être. Comment le Choixpeau pouvait-il savoir à sa place ?
Elle ne s'était jamais trouvée très courageuse. Peut-être cette fois-là ou elle avait tendu un bâton à un chat tombé dans la rivière ? Et puis, c'était souvent elle qui chassait les araignées de la maison, jamais sa mère, mais à part cela, en quoi était-elle vraiment courageuse ? Finalement, Lili se dit qu'elle était contente de ne pas être allée à Gryffondor, elle aurait déçu tout le monde. Au moins à Serdaigle, elle pourrait travailler dans son coin...
Plusieurs autres élèves furent répartis dans les maisons (tandis qu'elle réfléchissait) et pour la totalité beaucoup plus rapidement que pour elle, ce qui l'inquiéta encore plus. Pourquoi le chapeau avait-il mit si longtemps à lui choisir une maison ? A la fin de la Cérémonie de Répartitions, sept élèves étaient allés à Serdaigle comme Lili. Elle avait retenu le nom d'Anthony Goldstein qui avait failli s'évanouir, un garçon blond aux yeux bleus, plutôt petit et enveloppé. Il s'était assis à côté d'elle mais n'avait rien dit à pas « Bonsoir ! ». Il y eut aussi neuf élèves répartis à Serpentard, neuf également à Gryffondor et enfin dix à Poufsouffle. Albus Dumbledore, le directeur à la longue barbe argentée se leva et annonça le banquet.
Tout avait l'air et était délicieux. Mais à l'inverse de tous les autres élèves, elle ne partageait pas sa joie et son appétit. Lili resta silencieuse, à rejouer encore et encore les mots du chapeau dans son esprit. Certains Serdaigle autour d'elle avaient tenté une approche, en lui proposant de venir vers eux, mais elle s'était contentée de hocher la tête, pour dire non, et de baisser à nouveaux son regard vers son assiette.
La vérité, sur son comportement, était qu'elle ne connaissait pour ainsi dire, pas grand-chose du monde des sorciers, et qu'elle avait bien trop peur de se ridiculiser en ne sachant pas quoi répondre. Ses uniques connaissances se limitaient à la traversée du Chemin de Traverse et à ce qu'elle avait eu le temps de lire dans L'Histoire de Poudlard la dernière semaine de vacances.
Une fois le banquet terminé, Dumbledore prononça encore quelques mots, fit chanter l'hymne de Poudlard et enfin envoya tous les élèves se coucher.
- Allez les nouveaux Serdaigle suivez-moi ! Lança une fille aux longs cheveux noirs, les yeux bruns et des lunette ovales.
Les premières années, dont Lili, emboîtèrent le pas de la fille, qui devait être la Préfète pour ainsi les guider. Lili eut à nouveau les jambes tremblotantes et c'était mise au bout de la file d'élèves, pour être sûre que personne ne vienne lui poser des questions. Les tableaux dans les couloirs et dans la salle aux escaliers capricieux chuchotaient en montrant du doigt les nouveaux élèves. Le château était immense, des centaines de couloirs composaient un labyrinthe dans les étages. Pour accéder à la salle commune de Serdaigle, il fallait monter dans la tour la plus haute, la Tour d'Astronomie, et emprunter un escalier en colimaçon pour rejoindre la Tour de Serdaigle.
Alors dans un couloir très large se trouvait une grosse porte de bois, montée d'un heurtoir en forme d'aigle, qui, à la grande surprise des premières années, se mit à parler, et posa une énigme. C'était la clé pour passer, y répondre, avec intelligence et logique.
- Je parle sans bouche et j'entends sans oreilles. Je n'ai pas de corps, mais je m'anime grâce au vent. Que suis-je ?
La Préfète se mit à réfléchir entre ses mains et releva la tête l'air victorieuse.
- L'écho ! Résolue-t-elle fièrement.
- Exactement, répondit l'aigle, avant de débloquer la porte d'un « clac », et ouvrir le passage de la salle commune :
Une vaste pièce circulaire éclairée par d'élégantes fenêtres en arcade aux murs sur lesquels étaient tendues des étoffes de soie couleur bleu et bronze. La vue donnait sur les montagnes environnantes. Le plafond en forme de dôme était parsemé d'étoiles peintes qui se reflétaient sur la moquette bleu nuit. Elle était meublée avec des fauteuils confortables, des tables et une bibliothèque. Dans une alcôve face à la porte se dressait une haute statue de marbre blanc, celle de Rowena Serdaigle, que Lili reconnaissait grâce à « L'Histoire de Poudlard ».
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Bonjour/Bonsoir ! Je suis Amandine Moon et ce n'est pas la première fanfiction que j'écris, mais bien la première que je publie (avec beaucoup de stress sans vous mentir). Une bonne partie de la fanfiction est déjà rédigée et publiée sur le lien ! (Partie 1 et partie 2 - la 3 arrive bientôt !)
L'histoire que vous avez commencé à lire est un travail qui me passionne déjà depuis un an et demi, aussi bien à l'écrit que plastiquement puisque j'ai réalisé chacune des illustrations et animations présentes en haut des chapitres à venir. Je fais vivre Elisabeth Alverton à travers moi chaque jour et raconter son histoire est un long travail de rédaction, de recherches, d'illustration, et d'imagination bien sûr qui m'aide à trouver de la motivation au quotidien. Lorsque j'ai imaginé ce personnage je ne pensais pas que je le ferai vivre en moi aussi longtemps, mais elle m'a apporté tellement de joie que j'espère vous en transmettre un petit peu plus à chaque chapitre.
Cette histoire débute alors qu'Elisabeth, surnommée Lili par tous, a franchi pour la première fois les grandes portes de Poudlard, et s'apprête à être répartie dans sa future maison. C'est un moment très important de l'histoire, c'est aussi le préambule, et là où tout a réellement commencé pour elle.
Si l'histoire de Lili vous intéresse, je poste régulièrement des illustrations, des sketchs, des photos et autres productions artistiques sur mon compte Instagram ama_cro25 et mon compte Pinterest amandinecro25. De ce fait vous pouvez aussi venir me poser des questions, mes DMs sont ouverts et j'attends des retours avec impatience !
Bonne lecture à Tout.e.s ! <3
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dragees-surprises-rpg · 7 months
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DONS ET SPÉCIFICITÉS MAGIQUES - Descendant de vélane
Créatures du diable pour certains, divinités sacrées pour d'autres, les descendant.e.s de vélanes ont cette particularité de ne laisser personne indifférents. Que vous les trouviez incroyablement séduisants ou que leur beauté vous rende jaloux au possible, vous ne pourrez pas faire comme s'ils n'existaient pas. Lorsqu'ils sont là, les regards sont braqués sur eux, hypnotisant par leur charisme extraordinaire. Attirants, sulfureux, les demi-vélanes ont ce charme qui fait d’eux qu’il est bien souvent difficile de détourner les yeux. Hommes et femmes, peu importe, ils sont aussi fascinants qu’une étoile. Les demi-vélanes sont rares, il n'existe qu'une poignée de familles possédant le gène dans son sang.
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HISTOIRE DE LA VÉLANE
A l'origine, la vélane est une créature magique à l'apparence humaine. Elle prends la forme d'une femme à la beauté enivrante, presque surnaturelle, cachant également en elle une deuxième facette ; celle d'une hideuse harpie qui sort lorsqu'elle ressent une immense colère, déformant ainsi son visage si parfait en un monstre horrible. Le charme des vélanes fait des ravages, faisant perdre tout discernement à la personne qui en est victime. On se souvient notament de la Coupe du Monde de Quidditch de 1994, lors du match Irlande/Bulgarie, où l'arbitre s'était mis à danser en plein match, envoûté par les vélanes présentes sur le terrain.
La Vélane descendrait, de part de nombreuses sources, d'un Esprit Légendaire de la Nature venant d'Europe de l'Est, fée slovaque pouvant prendre la forme d'un oiseau, La Vily
, Esprit ayant également engendré la célèbre sirène.
Dans The Fairy Mythology (Thomas Keightley, 1878), Les Vilas
, telles qu'elles apparaissent dans les légendes serbes, seraient des nymphes alpines, jeunes et belles, vêtues de blanc, avec de longs cheveux flottants. Il est dit que leur voix ressemble à celle d'un pivert. D'après la croyance populaire, elles décocheraient des flèches mortelles aux hommes, et enlèveraient parfois leurs enfants.
Le livre A Field Guide to the Little People décrit les Vily de façon très détaillée. Il s'agiraient des Gardiennes de la Nature, qui prendraient soin des arbres, des cours d'eaux et des fleurs présents sur leur territoire. Elles seraient extrêmement jalouses des belles femmes. Leurs humeurs seraient aussi variables que le temps et elles pourraient à la fois provoquer ou soigner les maladies. Un humain essayant de goudronner leur territoire pourrait être tué par une flèche ou mourir soudainement d'une crise cardiaque, d'un lumbago, ou être emporté par une avalanche. Les Vily auraient le teint clair et des cheveux bruns ou roux et bouclés qui tomberaient à leurs pieds. Elles seraient vêtues des vêtements blancs chatoyants ou des couvertures faites de feuilles vertes.
TRANSMISSION DU GENE
Techniquement parlant, les descendants de vélane ne sont ni plus ni moins que des hybrides. Ayant vu le jour après l'accouplement d'une vélane et d'un sorcier, certains les placeraient même dans la catégorie des créatures magiques. Le gène de vélane étant un gène puissant et dominant, il se transmet presque systématiquement, bien qu'il existe quelques exceptions. Un demi-vélane ayant des enfants avec une sorcière aura donc de très fortes chances de transmettre son gène à sa progéniture.
La raison pour laquelle si peu de demi-vélane existent dans le monde est assez simple, à vrai dire ; réussir à séduire et à enfanter une vélane est en effet quelque chose de quasi-impossible et très très rare sont les sorciers pouvant se vanter d'avoir réussit cet exploit.
EN PRATIQUE
D'un point de vue purement physique et scientifique, les gènes de vélane confèrent à celui qui les détient une beauté aux diapason de leurs origines magiques ; traits parfaits, visage parfaitement symétrique, sourire éclatant... On a du mal à en détacher les yeux. Les réactions face à cette beauté sont diverses et variées : si certains vont bégayer et devenir maladroits, d'autres peuvent ressentir une jalousie profonde, ou encore baver en les voyant. C'est à vous de décider la façon dont cette beauté objective touche votre personnage. Leurs phéromones sont largement plus odorants que ceux des sorciers lambdas et cette odeur est d'ailleurs beaucoup plus remarquée par les loups-garous et les vampires, qui arrivent donc à repérer les demi-vélanes assez rapidement - et à être attirés par eux. Une caractéristique physique est commune à tous les descendant.e.s de vélane ; ils ont systématiquement les yeux clairs.
En principe, le charme des demi-vélanes éclipse les autres personnes présentes, mais il arrive qu'en de rares occasions le demi-vélane soit entouré d’un halo qui rend les personnes autour de lui plus belles et plus rayonnantes.
Les familles possédant le gène de vélane sont censées être obligatoirement recensées au Ministère de la Magie, dans le registre des Êtres
au même titre que les vélanes normales et leurs cousines sirènes, les loups-garous et les vampires. Fait intéressant, c'est pour ne pas être classés avec ces "créatures" que les centaures et les êtres de l'eau ont demandé à être considérés comme des animaux et non pas comme des êtres. On ignore encore d'où cette tension entre les sirènes et les vélanes est née, elles qui sont censées être de la même espèce.
ATOUTS Au même titre que leurs cousin.e.s les descendant.e.s de sirène, les demi-vélane peuvent charmer avec leurs voix mais leur arme principal reste leurs regards. Un regard au fond des yeux, un timbre de voix sensuel, et il y a de fortes chances que le demi-vélane soit en train de vous charmer, volontairement ou non. Attention ; un demi-vélane ne peut pas pousser quelqu'un vers la mort si cette personne n'en a pas l'envie de base. De même, ils ne peuvent pas forcer autrui à avoir des relations sexuelles. Son charme fait cependant ressortir les désirs et les envies
enfoui dans l'inconscient de la personne envoûtée.
L'auteur Bulgare Konstantin Gavrilov Velikov fut le premier et le seul a écrire un ouvrage complet sur son statut de fils de vélane. "Veela", 1345 ap. J.C. Voici un extrait :
"Non content d’attirer le monde à nous, nous possédons un unique don : celui d’hypnotiser qui nous voulons... Pour cela, un regard au fond des yeux, une voix douce, un peu de volonté et n'importe quelle demande peut être exécutée. L'hypnotisé ressent alors un plaisir non feint et veut à tout prix exécuter nos désirs et demandes les plus folles. Nous devenons sa priorité. Pour acquérir ce "don" il faut beaucoup de travail et de concentration car à la moindre défaillance de l'esprit, l'enchantement peut se rompre. Au départ l'hypnose ne dure quelques secondes, puis à force d'entraînement, elle peut s'étendre sur quelques minutes, voir quelques heures pour les demi-vélane plus âgés ayant eut une vie entière pour l'acquérir. Chacun ressent l’hypnose différemment, plus la volonté est forte et plus il est facile d’y résister. Ceux capables de détermination ne ressentiront qu’une légère attirance et pourront se défaire du lien aisément, tandis que d’autres seront sous un contrôle total. Il n’existe que de rares personnes complètement immunisées contre ce don ; celles qui sont capables d’un amour sincère envers le demi-vélane."
De part son ancêtre, le demi-vélane possède également plusieurs domaines dans lesquels il peut exceller ; lorsqu'il danse par exemple, il n'est pas rare que la beauté et la sensualité de celui-ci déborde et que l'on ait du mal à détacher les yeux de lui. Il en va de même pour leurs chants : un demi-vélane chante avec une perfection innée qui vous touche en plein coeur. Leurs cousin.e.s demi-sirène ont particulièrement hérité de cette aptitude.
FAIBLESSES Il y a bien un moment où le charme est rompu, c'est lorsque le demi-vélane est en proie une rage profonde. Ils tiennent encore une fois cela de leur ancêtre vélane, mais lorsque cette colère, cette rage, fait surface, la beauté se brise et le demi-vélane se montre alors sous une autre facette ; la harpie qui sommeille en eux depuis toujours sort de sa léthargie et confère au descendant.e de vélane un apparence effrayante. Grondements profonds, rides de rage, yeux noirs, c'est presque une bête sauvage qui prend possession de ces visages d'ordinaire si parfaits.
Il est, normalement, impossible d'être immunisé aux charmes d'un demi-vélane... à une seule exception. Seuls ceux capables d'un amour vrai et sincère envers l'hybride pourront être en mesure de passer au travers des charmes et des envoûtements. Nous ne parlons pas là d'une amourette de passage mais bel et bien d'un sentiment amoureux profond - avoué ou inavoué.
INTERACTION AVEC LES AUTRES SPÉCIFICITÉS
DEMI-VÉLANE vs ANIMAGUS : Aucune interaction. La personne animagus n'a aucun pouvoir sur le demi-vélane et elle est n'a pas de résistance contre son charme. Si un.e descendant.e de vélane et un.e animagus venaient à s'accoupler, l'enfant aurait des chances d'être porteur du gène de vélane. Le don d'animagus n'est pas héréditaire.
DEMI-VÉLANE vs MÉTAMORPHOMAGE : Aucune interaction. La personne métamorphomage n'a aucun pouvoir sur le demi-vélane et elle est n'a pas de résistance contre son charme. Si un.e descendant.e de vélane et un.e métamorphomage venaient à s'accoupler, l'enfant aurait 50% de chance d'être porteur du gène de vélane et 50% d'avoir celui de métamorphomage.
DEMI-VÉLANE vs LÉGILIMENS : Le ou la légilimens à une très légère résistance aux charmes du demi-vélane. Iel pourra tenter de résister face à un.e demi-vélane débutant.e. Lorsqu'une personne légilimens pénètre ou tente de pénétrer dans l'esprit d'un.e descendant de vélane, elle y percevra une voix charmeuse, s'insinuant en elle comme un lent poison. Si un.e descendant.e de vélane et un.e légilimens venaient à s'accoupler, l'enfant aurait 50% de chance d'être porteur du gène de vélane et 50% d'avoir celui de légilimancie.
DEMI-VÉLANE vs OCCLUMENS : De part son esprit entraîné, l'occlumens peut posséder une résistance aux charmes du demi-vélane. Il pourra résister face à un.e demi-vélane débutant.e mais ne pourra pas résister face à un.e demi-vélane plus expérimenté.. Si un.e descendant.e de vélane et un.e occlumens venaient à s'accoupler, l'enfant aurait des chances d'être porteur du gène de vélane. Le don d'occlumancie n'est pas héréditaire.
DEMI-VÉLANE vs VOYANT : De part son esprit souvent sollicité, le voyant ou la voyante peut posséder une résistance aux charmes du demi-vélane. Iel pourra résister face à un.e demi-vélane débutant.e mais ne pourra pas résister face à un.e demi-vélane plus expérimenté.. Si un.e descendant.e de vélane et un.e voyant.e venaient à s'accoupler, l'enfant aurait 50% de chance d'être porteur du gène de vélane et 50% d'avoir le 3ème oeil.
DEMI-VÉLANE vs DEMI-VÉLANE : Dans l'Histoire, il n'a jamais été fait mention de deux demi-vélanes se retrouvant en contact. Dans les faits, si cela devait arriver, la réaction serait pour le moins... explosive. Leurs charmes respectifs seront décuplés et l'envoûtement fonctionnera sans réels efforts. Les gènes se "reconnaissant" entre eux, les demi-vélanes seraient pris d'une attirance inexplicable, ne pouvant que difficilement résister à l'envie d'établir un contact physique. Avec le temps, s'ils se côtoient régulièrement, ils réussiront à contrôler cette attirance, les gènes s'apprivoisant entre eux. Si deux demi-vélane venaient à s'accoupler, l'enfant aurait 100% de chance d'hériter du gène.
DEMI-VÉLANE vs DEMI-SIRÈNE : La vélane et la sirène venant du même ancêtre commun, les gènes des deux descendances sont donc issus de la même souche, un peu comme des cousins. Un.e descendant.e de vélane se verra toujours attiré par un.e descendant.e de sirène et vice et versa. Leurs charmes respectifs seront décuplés et l'envoûtement fonctionnera sans réels efforts.  Si un.e descendant.e de vélane et un.e descendant.e de sirène venaient à s'accoupler, l'enfant aurait 50% de chance d'être porteur de l'un ou l'autre des gènes.
DEMI-VÉLANE vs LOUP-GAROU : Aucune interaction. La personne atteinte de lycanthropie n'a aucun pouvoir sur le demi-vélane et elle est n'a pas de résistance contre son charme. La personne atteinte de lycanthropie ayant l'odorat plus développé que la moyenne, elle peut cependant être beaucoup réceptive à l'odeur que dégage les demi-vélane et ressentir une attirance par rapport à ça. Cependant, les 3 jours précédents la pleine lune ainsi que les 3 jours suivants, le.a lycanthrope se voit assez affaibli et devient donc bien moins résistant.e à l'envoûtement durant cette petite semaine. Si un.e descendant.e de vélane et un.e lycanthrope venaient à s'accoupler, l'enfant aurait des chances d'être porteur du gène de vélane. Le gène de loup-garou n'est pas héréditaire. En revanche, si un.e demi-vélane se fait mordre par un loup-garou, sa vie est fortement en danger. Dans l'hypothèse ou cela se produirait, les gènes des deux créatures entreraient dans une lutte acharnée à l'intérieur du système immunitaire du demi-vélane. Dans le meilleur des cas, l'un ou l'autre des deux ADN réussit à prendre l'ascendant ; le ou la demi-vélane aurait donc 50% de chance de rester un.e descendant.e de vélane et 50% d'être contaminé.e par le gène de lycanthropie. Dans le pire des cas, le ou la demi-vélane pourrait succomber de cette morsure si aucun des ADN ne réussissait à battre l'autre.
DEMI-VÉLANE vs VAMPIRE : Contre un jeune vampire, le charme du ou de la demi-vélane fonctionnera plutôt bien, la jeune créature n'étant pas encore "stable". En revanche, contre un vampire de plusieurs centaines d'années, il faudra un.e demi-vélane tout aussi expérimenté.e pour réussir à envoûter à la créature à canines. Tout comme les loups-garous, les vampires ayant un odorat bien plus développé, ils peuvent être beaucoup plus réceptifs à l'odeur qui se dégage du descendant de vélane et ressentir une attraction par rapport à cette odeur. Un.e demi-vélane et un.e vampire ne peuvent pas s'accoupler, le.a vampire n'étant cliniquement pas vivant. Si un.e demi-vélane venait à se faire mordre par un.e vampire dans le but d'une vampirisation, les gènes du vampire prendrait l'ascendant, tuant les gènes de la vélane. Le ou la demi-vélane perdrait donc son don au profit de celui de vampire. Si le ou la demi-vélane se fait mordre sans entamer le processus de transformation en vampire, il ou elle garde son gène de vélane.
DEMI-VÉLANE vs FOURCHELANG : Aucune interaction. La personne fourchelang n'a aucun pouvoir sur le ou la demi-vélane et elle est n'a pas de résistance contre son charme. Si un.e descendant.e de vélane et un.e fourchelang venaient à s'accoupler, l'enfant aurait 80% de chances d'être porteur du gène de vélane et 20%  d'avoir la faculté du fourchelang.
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thedarkbelowrpg · 5 months
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Magiciens
Humains ayant touché une source de magie pure, les Magiciens sont uniques en leur genre, à la fois membres de la communauté magique, à la fois en dehors. Il y a toujours eu beaucoup de fantasmes et légendes sur les utilisateurs de la magie, en particulier chez les Humains. Utilisant aussi le nom de sorciers ou mages, les Magiciens sont cependant aussi éloignés des Humains que peuvent l’être les autres peuples magiques. En effet, la magie les a changés en profondeur et il ne reste plus grand-chose de ce qu’ils étaient avant que Larkhan ne les façonne. C’est avant tout eux qui ont déstabilisé le monde avant l’unification des peuples magiques et ils sont connus pour être de très puissants membres de la communauté. Souvent ivres de pouvoirs et avec un penchant certain pour la trahison, ils sont extrêmement curieux, toujours à rechercher plus de pouvoirs encore et à comprendre comment fonctionnent les choses. Au sein de la communauté, ils ont le plus souvent une place de protecteurs, garant de la sécurité et aidant les Dragons à protéger les portails qui passent d’un monde à l’autre.
Les Magiciens sont les seuls membres de la communauté magique à ne pas avoir de forme différente. Leurs ancêtres étaient Humains, avant que la magie ne les transforme, et ils ont gardé une apparence tout à fait humaine. Cependant, on peut les distinguer des Humains ordinaires grâce à quelques signes particuliers. Selon la spécialité qu’ils pratiquent le plus, les Magiciens ont différents signes distinctifs. Les faiseurs de potions ont souvent la peau des doigts colorées de bleus et de verts. Les lanceurs de sorts voient leurs doigts, et leurs ongles, devenir grisâtres, voire noirs. Ceux qui se spécialisent en enchantements ont les doigts qui deviennent rouges sombres. Ces changements se font malgré eux et beaucoup les camouflent en se tatouant les mains, faisant passer ces tâches et couleurs pour de l’encrage volontaire. 
Utilisateurs de magie confirmés, les Magiciens se servent d’elle, la manipulent à loisir pour arriver à leurs fins. Grâce à cela, ils peuvent lancer des sorts, créer des potions et des enchantements. Pour utiliser la magie, ils ont recours à leurs mains, faisant des formes et suites de gestes avec leurs doigts, saisissant ainsi la magie pour la canaliser et l’utiliser. Les potions sont quant à elles infusées de magie et c’est avant leurs ingrédients qui permettent les effets. Les enchantements sont, quant à eux, faits grâce à des glyphes et runes, gravées sur ce que l’on souhaite enchanter. Il est possible de faire de nombreuses choses avec la magie, comme soigner, se défendre, utiliser une forme de télékinésie, créer des pièges…La magie n’est limitée que par l’imagination des Magiciens en réalité. Les plus grands Magiciens sont  ceux avec l’imagination la plus développée, ceux qui croient que tout est possible et utilisent la magie sans limite. 
Bien que les Magiciens soient avant tout des utilisateurs de la magie, ils ont commencé à développer au cours des derniers siècles des pouvoirs singuliers, provoqués par la proximité de ce peuple avec la magie. Le Don, comme l’appellent les Magiciens, est un pouvoir unique et personnel que chaque Magicien possède. Ce pouvoir se développe durant l’adolescence et est entièrement spécifique à un individu. Si cela peut prendre des années pour maîtriser ce don, les Magiciens sont encouragés dès le plus jeune âge à tâcher d’utiliser et d’apprendre à contrôler leur pouvoir. Le don peut-être particulièrement puissant quand il est maîtrisé mais aussi dévastateur quand il n’est pas contrôlé. Ce don peut être absolument n’importe quoi, consistant cependant un pouvoir unique. Il peut ressembler à des sortilèges ou autres pouvoirs que les Magiciens apprennent à maîtriser, ou encore être semblable aux pouvoirs des autres peuples magiques. 
L’espérance de vie des Magiciens est très semblables à celle des Humains. Sans aide magique, ils peuvent vivre autour des 100 ans. Cependant, avec l’aide de potions, sortilèges ou pactes divers, les Magiciens peuvent augmenter leur durée de vie. Ce n’est pas quelque chose de rare, beaucoup de Magiciens tendent à prendre des potions pour arrêter leur vieillissement ou prolonger leur vie de quelques années. Avec ce genre de moyens, leur espérance de vie peut s��étendre de plusieurs décennies, allant jusqu’à 200 ans. Il est très rare de vivre plus longtemps pour un Magicien, ou alors la quantité de magie ou le pacte passé sont si lourds de conséquences que ça n’en vaut pas la peine. Les Magiciens ont une aversion très forte pour l’argent, un métal qui peut les blesser mortellement si ils sont trop en contact avec et qui peut dissiper la magie qu’ils utilisent. Le meilleur moyen de tuer un Magicien, quel que soit son don ou ses pouvoirs, est d’utiliser de l’argent. 
Le plus grand secret des Magiciens est aussi leur particularité la plus connue : leurs familiers. Les Magiciens utilisent les familiers pour canaliser et stocker de la magie, utilisable ainsi bien plus facilement quand ils en ont besoin. Il est donc courant qu’un Magicien ait un familier, voire plusieurs dans le cas des plus puissants. Mais ce que peu savent est que le familier est une entité connue sous le nom de djinn, un esprit vivant dans un autre plan que les Magiciens invoquent. L’invocation d’un familier n’est pas obligatoire pour être Magicien, bien que dans certaines familles, elle représente un rite de passage à l’âge adulte. Le djinn est invoqué par divers enchantements et sortilèges et lié au Magicien grâce à un pacte de sang. Il est possible de demander des choses au familier en s’unissant à lui, comme des pouvoirs supplémentaires, une vie plus longue et autres requêtes de la sorte. Une fois lié à un Magicien, un djinn prend une forme animale de son choix et la conservera jusqu’à sa mort ou la mort du Magicien. Si le Magicien meurt avant son familier, celui-ci est renvoyé sur son plan. Familier et Magicien sont très proches, à tel point qu’ils deviennent fréquemment amis, ils communiquent uniquement par la parole.
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focusmonumentum · 2 years
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Le Théâtre des Champs-Élysées
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Le Théâtre des Champs-Elysées ne se situe pas à proprement parlement sur le célèbre axe éponyme, mais sur la non distante avenue Montaigne, proche de la place de l’Alma. Construit en 1913 dans un style sobre et rigoureux, le bâtiment est considéré comme l’un des premiers représentants du style Art déco en architecture. Il abrite actuellement trois salles de spectacle et un restaurant au sommet, aligné sur les immeubles voisins.
Il était initialement prévu que la structure soit en acier, ce qui avait poussé son premier directeur, Gabriel Astruc, à choisir les architectes Henry Fivaz et Roger Bouvard. En 1910, Henry Van de Velde est « appuyé » à Bouvard. Van de Velde fait la connaissance d'Auguste Perret un an après ; c'est alors que la structure est envisagée en béton. Ayant fait appel à l'entreprise Perret pour l'ossature en béton, Van de Velde est finalement évincé du projet. Auguste Perret transige un peu avec ses principes : s'il affirme ultérieurement que le « béton se suffit à lui-même », il habille ici la façade de plaques de travertin et le cadre de scène de plaques de marbre de l'Allier, où sont intégrés plusieurs bas-reliefs en partie basse de l’édifice, de gauche à droite, cinq allégories des arts : La Sculpture et l’Architecture, La Musique, La Tragédie, La Comédie et La Danse, en marbre blanc sculpté par Antoine Bourdelle. Les quatre groupes de poteaux intérieurs sont quant à eux laissés visibles.
Il fut inauguré le 31 mars 1913 par un concert de musique française avec la participation de Camille Saint-Saëns : La Mer de Claude Debussy, L'Apprenti Sorcier de Paul Dukas et le Prélude de Fervaal de Vincent d'Indy (toutes les œuvres étant dirigées par les compositeurs eux-mêmes), ainsi que la création de l’Ode à la musique d’Emmanuel Chabrier. À cette occasion, le faisceau de la tour Eiffel éclaire exceptionnellement la façade du théâtre. C'est dans cette salle qu'eurent lieu en particulier deux créations mondiales qui firent scandale : la première fut la création du Sacré du Printemps d'Igor Stravinsky le 29 mai 1913 (sous la direction de Pierre Monteux), qui suscita un formidable tollé où détracteurs et adjuvants en vinrent aux mains ; la deuxième, le 2 décembre 1954, fut la création de la véritable première œuvre musicale « mixte » (à savoir une œuvre pour instruments de musique et dispositif électroacoustique): Déserts d'Edgar Varèse, avec Pierre Henry à la bande magnétique et Hermann Scherchen à la baguette. Le choc inspiré par les interpolations provoqua huées, rires et quolibets. Le scandale qui en résulta fut comparable à celui du Sacre quelques 40 années plus tôt. À la suite de problèmes financiers, le directeur Jacques Hébertot se brouille avec son associé Rolf de Maré (également impresario des ballets suédois) et quitte le théâtre en 1925, abandonnant la direction de la Comédie à Louis Jouvet, et celle du Studio à Gaston Baty. De Maré fait de la grande salle un music-hall et programme une nouvelle attraction : les Black Birds et les danseurs de la Revue nègre. Parmi eux, une jeune femme noire, à peine couverte d’une jupette de plumes verte, les cheveux courts plaqués sur la tête, fait sensation. Il s’agit de la danseuse Joséphine Baker. Sa façon de se mouvoir dans l’espace, d’emprunter des gestes animaliers ou de faire des grands écarts désarticulés bouscule tous les canons de la danse, dans ces "années folles" empruntes de Charleston. Pour certains, cette impudeur est un scandale. Le journaliste Robert de Flers écrit même : « Nous sommes en train de remonter au singe plus vite que nous en étions descendus. » [...] Mais Baker a ses fans. Parmi eux, les peintres Pablo Picasso (qui la fait connaître dans toute l’Europe), Fernand Léger et Kees Van Dongen, les écrivains René Crevel (qui revient chaque soir pendant un mois), Colette ou encore Jean Cocteau. Née à Saint-Louis, dans le Missouri, d’une mère blanche et d’un père noir, Joséphine Baker échappe par la danse à sa condition. Avec la Revue nègre, elle débarque à Paris, qui deviendra sa terre d’accueil, son fameux « deuxième amour », avec son pays. Elle triomphera aux Folies Bergère quelques années plus tard, mais nous y reviendrons à l’occasion. 
De 1949 à 1978, le Théâtre des Champs-Élysées a accueilli les Musigrains, des cycles de concerts-conférences pédagogiques, axés sur la musique classique, avec des incursions dans la musique contemporaine, la danse classique ou moderne, le folk et le jazz. En 1986, à l’initiative de Georges Francois Hirsch, alors directeur général, une rénovation intégrale de la cage de scène de la grande salle est opérée, remettant en valeur les dorures de l'écran de fond de scène en acier, conçu à l'origine comme un monumental coupe-feu en cas d'incendie, leçon tirée des tragiques incendies de l'Opéra Comique et du Bazar de la Charité à la fin du XIXème siècle. 
Le bâtiment comporte de nos jours trois salles de spectacle, ordonnées comme suit : une grande salle à l'italienne de 1 905 places, destinée à l'opéra et à la musique ; une salle moyenne de 601 places (la Comédie) et une petite de 230 places (le Studio), toutes deux consacrées au théâtre. Haut lieu de la musique classique à Paris (avec la salle Pleyel, la Cité de la Musique et la salle Gaveau), le Théâtre des Champs-Élysées a accueilli de nombreux orchestres symphoniques tels les orchestres philharmoniques de Vienne, de Munich, de New York, l'orchestre symphonique de la Radiodiffusion bavaroise ou l'orchestre royal du Concertgebouw d'Amsterdam. L’Orchestre national de France y est actuellement en résidence.
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Le toit-terrasse du théâtre accueillit en 1924 le tournage d’Entr’acte, le moyen-métrage expérimental de René Clair, à l'occasion de l'entracte du ballet bien nommé Relâche, orchestré par Francis Picabia. Représentant la première intervention du cinéma dans un spectacle de danse, Entr'acte est aujourd'hui considéré comme le film précurseur du mouvement surréaliste au cinéma.
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frenchdrarry · 1 year
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C’est une blague ou quoi ?
Draco ignora le regard de ses amis et poussa des élèves pour se hisser au premier rang. Harry était bel et bien en train de se courber pour montrer son respect à l’hippogriffe.
—Approche tout doucement, tout doucement…Baisse le regard, incline-toi, sinon Buck va le prendre comme une provocation et…enfin peu importe, si tu te baisses tout va bien se passer ne t’inquiètes pas ! Voilà incline-toi…
Il se fout de la gueule de qui ce type ?!
Le seul qui pouvait être rassuré par des paroles aussi bancales, c’était Harry, mais même lui n’était pas très confiant — ce qui était en soi surprenant. Draco avait le pressentiment que ça n’allait pas durer.
—Vincent, rappelle-moi le niveau de dangerosité de ce poulet géant ? demanda-t-il d’un ton trainant qui ne trompa pas ses amis.
—Trois X, répondit uniformément Vincent.
Draco se força à respirer par le ventre et regarda anxieusement Harry reculer et avancer en tendant la main vers le bec de l’animal. Si au début, il était plus méfiant vis-à-vis de Buck, Draco percevait son changement d’attitude. Il avait vraiment envie de le caresser et reculait beaucoup moins quand l’hippogriffe faisait un grand geste brusque. Son bras se tendait de la même façon que pour attraper le vif d’or: il ne reculait jamais, et chaque os, chaque tendon, chaque nerf du bras semblait s’étirer à son maximum pour gagner des centimètres, comme si toute la volonté de Harry se trouvait au bout de ses doigts.
Et il finit par caresser Buck sous les exclamations de Hagrid et le soulagement de la classe entière.
Draco se sentit idiot. Même si Hagrid était, à son humble avis, complètement à côté de la plaque, il savait un minimum ce qu’il faisait. C’est pour cela que Dumbledore l’avait engagé.
Au moins, Harry allait bien, et maintenant tout le monde pouvait se prêter à l’exercice en étant un peu plus confiant. Draco eut un petit sourire narquois en croisant le regard de Harry et se décida à manger sa pomme tranquillement.
—Et maintenant, tu peux le monter ! Allez hop !
Draco faillit s’étouffer avec son fruit en regardant Hagrid prendre son petit-ami secret par la taille pour le mettre sur le dos d’un hippogriffe excité.
Un hippogriffe, animal classé XXX, s’il fallait le rappeler.
—Ah, attention à ses plumes ! Buck ne serait pas très content et tu risquerais…enfin bref, c’est parti !
Et il foutu une énorme taloche sur l’hippogriffe, qui s’élança au galop avant de s’envoler d’un puissant battement d’ailes sous les cris de Harry.
Il allait tuer Hagrid.
—Putain mais il est où là ?! On ne le voit plus ! s’affola Draco dans le silence inquiet et ébahi de la classe.
—Ah, ne vous inquiétez ! Buck est un animal très intelligent, il ne va pas faire tomber Harry ! Heureusement parce que les hippogriffes sont très rapides et peuvent voler très haut ! Des créatures très impressionnantes…
—Il le fait exprès ou quoi ?
Pansy ricana et Gregory eut l’audace de sourire.
Après d’interminables minutes à fouiller le ciel des yeux et une pomme oxygénée, Hagrid siffla et des rires lointains se firent de plus en plus perceptibles jusqu’à ce que l’hippogriffe foule le sol au galop, Harry aussi à l’aise sur son dos que sur un balai. Il était encore plus décoiffé que d’habitude, sa cape volait derrière lui et son corps athlétique suivait le corps musclé de l’animal. Son sourire illuminait des villes et ses yeux verts étincelaient derrière ses lunettes. Il avait l’air d’avoir pris un rail de coke et d’en redemander. Draco ne l’avait jamais autant détesté.
—Bravo Harry !!
La classe applaudit, exaltée par la beauté de ce qu’il venait de se passer et par l’harmonieuse aisance entre Buck et lui. Animal et sorcier se saluèrent à nouveau et Harry rejoignit la classe avec un sourire dément aux lèvres.
—Allez les enfants, venez ! Il y a douze hippogriffes donc…
Draco se désintéressa des consignes et surveilla attentivement son gryffondor se faire matraquer le dos par les grandes mains de son meilleur ami bien trop heureux. Ron était aussi fier que s’il l’avait fait lui-même, ce qui était parfaitement ridicule, et ce fut Hermione qui coupa court à ses effusions pour lui dire de la boucler et de s’approcher d’un hippogriffe avec elle. Harry laissa ses amis s’éloigner et bientôt, ils se retrouvèrent tous les deux seuls, à une dizaine de mètres l’un de l’autre. Tout le monde observait avec respect les créatures ailés et Hagrid était trop occupé pour se soucier d’eux.
—Toujours à se faire remarquer, Potter ?
—Ferme-la, Malfoy.
Le sourire de Harry était tordu, encore déformé par la joie qu’il n’arrivait pas à réfréner. Draco sourit malgré lui et roula des yeux, croquant un morceau de pomme pour se donner contenance.
—On dirait que t’as apprécié ta petite balade.
Harry leva les yeux sur les hautes branches de la forêt interdite et ferma les yeux, son sourire fixé aux lèvres.
—Ouais. J’ai été…libre. Je suis libre, là-haut, Malfoy.
Draco observa la gorge exposée de Harry, sa position tournée vers le ciel, ses cheveux aussi noirs que la nuit se faire dompter par le vent, son visage détendu et ses lunettes posées de travers sur son nez.
Il appartenait au ciel.
Le prince des airs.
Draco ricana et s’approcha sans le toucher.
—Je ne te retiens pas. Ta place n’est pas sur Terre.
Les yeux d’opale se posèrent sur lui. Harry ne se tournait plus vers le ciel, mais vers lui. Tout son être était vers lui. Draco avait l’impression d’être important. D’être plus qu’un héritier, plus qu’un Malfoy, plus qu’un élève brillant. Il avait l’impression d’être le roi du monde.
—Tu viens avec moi ?
Harry lui tendit la main, et Draco l’a prit sans y réfléchir à deux fois.
L’amoureux du ciel rit de sa spontanéité et l’emmena vers Buck sous le regard discret et moqueur de Pansy, qui les observait plus qu’elle ne s’intéressait au cours, et de Daphné, qui avait un pari à gagner contre Théodore.
Draco et Harry, les deux astres contraires du ciel.
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aspellnameddesire · 2 years
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Première annexe : Être un·e sorcier·e.
Par définition, les sorcier·e·s sont des personnes qui pratiquent la sorcellerie et la magie.
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01 - DEVENIR UN·E SORCIER·E.
La plupart des anciens récits occidentaux n’évoquent que le genre féminin associé à cette pratique. En effets, écrits par des hommes, les accuser d’une telle pratique était un prétexte pour les abattre et les dominer : une femme plus intelligente qu’un homme était dangereuse pour lui. Or, dans les faits, la sorcellerie peut être pratiquée par TOUSTES. Si les sorcier·e·s existent bel et bien dans l’imaginaire commun des personnes dépourvues de magie par bon nombre de clichés, certains s’avèrent vrais et d’autres faux. On ne peut malheureusement pas changer l’Histoire : bon nombre de femmes sont mortes, victimes des chasses au sorcières et de condamnations à mort. Celles qui étaient véritablement sorcières s’en sont sorties, les autres ont malheureusement péri.  
Il y a plusieurs voies pour devenir sorcier·e : la voie volontaire et la voie involontaire.
LA VOIE VOLONTAIRE. Si une personne désire devenir sorcier·e, elle peut faire - ce qui est communément appelé - “UN PACTE AVEC LE DIABLE” : le rituel est mené par un autre sorcier qui maîtrise la sorcellerie et qui ensorcelle un vieux grimoire, notamment en inscrivant en latin : “Animam Meam Do Diabolo” (traduit par “JE DONNE MON ÂME AU DIABLE”). La personne désireuse d’obtenir de la magie se coupe la paume de la main et donne quelques gouttes de sang.
Néanmoins, il s’agit d’un rituel risqué : si lae sorcier·e est inexpérimenté·e ou si encore le corps de la personne rejette la magie, la personne peut mourir d’une hémorragie. De plus, la personne peut se retrouver��asservie au / à la sorcier·e avec qui iel a commis le rituel.
LA VOIE INVOLONTAIRE. Si la personne est présente dans un endroit baigné de magie et qu’elle subit un choc, un traumatisme ou ressent une détresse émotionnelle comme un deuil, elle peut voir son âme contaminée par la magie. Néanmoins, sa magie peut être instable : trop forte ou pas assez, et doit suivre un enseignement afin de la contrôler et de la canaliser. Elle est aussi plus en proie à l’ubris.
DANS LE CAS D'UNE FILIATION. Lorsque l’un des parents est sorcier·e, la transmission de la magie s’opère. Néanmoins, le nouveau-né peut faire de la magie de manière aléatoire et ce qu’iel produit est généralement très faible. Plus iel grandit, plus elle disparait et ce n’est qu’un pacte avec le diable qui peut permettre d’être accompli·e en tant que sorcier·e. C’est généralement lors des seize ans de l’individu que le pacte se produit au cours du rituel.
02 - LES CARACTÉRISTIQUES PHYSIQUES.
LA PEAU. Au niveau de l’âge et du vieillissement, un·e sorcier·e voit SA PEAU moins flétrir et vieillir que d’habitude à partir de ses seize ans. Ainsi, un·e sorcier·e d’une trentaine d'années peut se confondre avec une personne d’une vingtaine d'années. Tout comme un·e sorcier·e  qui a l’apparence d’une personne de cinquante ans, iel peut être véritablement âgé de cent ans.
S’iel est AFFILIÉ·E À UNE FAMILLE OU À UN COVEN, un·e sorcier·e peut porter une marque d’appartenance comme un tatouage ou un piercing.
S’iel pratique LA MAGIE RUNIQUE, un·e sorcier·e se voit avoir des tatouages temporaires ou permanents sur sa peau, parfois même des cicatrices.
LES YEUX. Ce qui peut trahir un·e sorcier·e est au niveau du visage. En effet, L’IRIS de l'œil peut s’altérer en fonction de la condition du sorcier de plusieurs façons différentes :
☞ L’iris S’ÉCLAIRCIT ou S’ASSOMBRIT en fonction des actions bienveillantes ou malveillantes du sorcier.
☞ Il peut aussi s’altérer en fonction d’un sentiment ou d’une émotion dominante et demeurante du sorcier :
» Si l’iris tourne au jaune orangé, cela peut traduire soit de la confiance, soit un acte de trahison ou de lâcheté.
» Si l’iris tourne au violet bleuté, cela peut traduire soit de la réflexion ou de la créativité, soit de la crainte ou de la dépression.
» Si l’iris tourne au vert, cela peut traduire soit de l'espoir, soit un sentiment de jalousie excessive.
» Si l’iris tourne au rouge, cela peut traduire soit du désir ou de l'amour, soit un sentiment de rage ou d'agressivité.
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elhoimleafar · 2 years
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Fabriquer ses sachets magiques: 100 formules pour le succès, l'amour, la prospérité et le bien-être
Disponible dès maintenant dans votre librairie préférée ! Mon livre "Fabriquer ses sachets magiques: 100 formules pour le succès, l'amour, la prospérité et le bien-être", Merci à toi @AllianceMagique !!
Créez votre propre magie ! Les sachets magiques, également appelés sacs de charmes, gris-gris ou encore sachets à mojo, sont peut-être les amulettes ou talismans les plus populaires au monde. Partout sur le globe, nombreuses sont les cultures et traditions spirituelles à intégrer leur confection et ce, à des fins très diverses.
S'il n'existait pas jusqu'à présent de guide pratique pour leur création, cet ouvrage remédie à ce vide littéraire avec brio. Des cercles magiques aux correspondances planétaires, en passant par l'utilisation des associations de couleurs, des herbes, des pierres, des bougies et des phases lunaires, l'auteur propose ici des méthodes simples pour créer et consacrer des sacs de charmes pour l'amour, la chance, le succès, le bonheur, la santé, la richesse, la protection, la prospérité ou encore la réalisation d'objectifs.
Avec plus de 100 formules, Fabriquer ses sachets magiques, mélange éclectique de Wicca, de Hoodoo, de vaudou ou encore de magie gitane ou folklorique latino-américaine, est un excellent guide pour débutant. Il offrira également au praticien chevronné de nouvelles perspectives sur l'art de fabriquer l'une des formes de sorts les plus appréciées de la magie populaire. Si vous cherchez des moyens d'améliorer et d'étendre votre magie, ce livre est fait pour vous !
À propos de l'auteur : Elhoim Leafar, astrologue et radiesthésiste, se consacre depuis de nombreuses années à l'étude et à l'enseignement de sujets ésotériques par le biais de plateformes numériques et des réseaux sociaux. Il est auteur, blogueur et chroniqueur régulier pour diverses publications internationales où il écrit sur le néo-paganisme, la sorcellerie, l'astrologie et la spiritualité.
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#sorcellerie #magie #vaudou #NouvelÂge
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dubalaivrac · 1 month
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PARTITIONS, NOTES (Hiver-Printemps 2024)
Dimanche 4 février 2024, Opéra de Lyon, grande salle : Barbe Bleue de Jacques Offenbach (reprise), mise en scène Laurent Pelly, vif plaisir de légèreté et d'intelligence. Mise en scène d'un spécialiste de la finesse parodique, Laurent Pelly vers qui je cours dès qu'il entreprend Offenbach, depuis sa Belle Hélène du Châtelet (Paris) (Décembre 2001), impeccable réussite.
La scène se passe à la ferme, un peu, puis à...
...l'Élysée à la foule de conseillers aux costumes ajustés, humiliés par cet histrion de Roi Bobèche, dangereux, despotique, parfaitement comique et agité. À la cour de Bobèche, ils n'obéissent qu'à un seul devoir : courber l'échine, à quoi s'emploie bientôt tout le plateau, hilarant jeu de scène et pantomime. Le public, bien sûr, pige et rigole de bon coeur à ce qui devient la rengaine de la pièce : '...qu'un bon courtisan s'incline, 'zan s'incline, 'zan s'incline', tout comme comme il y avait dans La Belle Hélène, ce 'roi barbu qui s'avance, bu qui s'avance, bu qui s'avance, bu qui s'avance', sortes de galop entraînants et de rythmes niais, déglingages joyeux, charges sans concession.
Tout tourne avec bonheur autour du tempérament sensuel et amoureux de Boulotte, du monde au balcon, gouaille emballante, à qui rien ne résiste. Les amoureux sont gentils et innocents, ils vont finir par joliment gagner la partie (rebondissements, et mariage), mais Boulotte a un autre projet dramatique, exposé d'entrée : 'Mais saperlotte mais saperlotte, y'en a pas un' pour égaler la p'tit' Boulotte Dès qu'il s'agit de batifoler.' Et Barbe Bleue n'est pas le dernier à apprécier, qui s'enthousiasme : 'c'est un Rubens, c'est un Rubens, ce qu'on appelle une gaillarde'. Un connaisseur, un amateur, dans le genre d'une observation simple, un trait de crayon, qui écrase la critique d'art.
Ce soir-là, le Rubens est très belle, parfaite dans le genre batifoleur , très bien distribuée, donc : Hélène Mas. Les couplets qui prolongent le dialogue entre le choeur et Barbe Bleue sont absurdement répétitifs, mais bien calés, joyeux : 'c'est un Rubens', repris sans se fatiguer, qui devient l'autre tube de la soirée.
Sourire à un beau moment, comme une incidente, sur le pouvoir des belles voix : Popolani, le sorcier du roi, savant fou julevernien qui concède, face à un Barbe Bleue qui se réjouit de toutes ces femmes empoisonnées : 'il faut lui rendre justice, il prend tout ça très gaiment...Et puis il a une belle voix'. Ah, alors, c'est bien ça, la morale d'Offenbach (et du IInd Empire) si le ténor a une belle voix, alors, on pardonne à Barbe Bleue, on pardonne ses crimes au tyran.
[Nota : les soutiens institutionnels de l'Opéra de Lyon rechignent depuis peu à leur subvention, de Wauquiez aux écolos de la mairie de Lyon, d'accord là-dessus, irresponsables (et les courtisans s'inclinent, z'an s'inclinent..) La reprise de Barbe Bleue, dans ce cadre, est une recette sûre, dans tous les sens du terme, qui amortit la difficulté présente, l'opérette à succès qui remplit les caisses. Pour ce Barbe Bleue, on souscrit volontiers. Laurent Pelly, une affaire qui marche.]
Vendredi 9 février 2024, Opéra de Paris, Béatrice di Tenda, de Bellini (entrée au répertoire), mise en scène Peter Sellars, ratée et plate, sans élan, pour une partition à tunnels, parcourue cependant d'éclairs bel cantistes que la mise en scène ne parvient pas à fluidifier, ni à justifier. Soirée de déception. C'est un drame de cour et dictature, voyez-vous, alors, on va voir défiler, mouvements de foule sur scène, des troupes en simili cuir et pistolets d'assaut, en avant, en arrière, en avant, pan pan, en arrière, c'est ridicule. L'oppression, comme des allers-retour de soldatesque. Et Béatrice est moche, mal sapée et engoncée de vert : comment comprendre qu'elle suscite passion (jusqu'à la mort) d'Orombello et crime de jalousie de son époux le tyran.
Vite déçu, je prends peu de notes pendant le spectacle : attiré cependant par les premières mesures d'Agnese, amoureuse et jeune soprano à la voix très claire, mais qu'on perd bientôt dans un jeu de scène idiot (isolée dans les cintres, devant sa télé, où elle suit les événements à quoi, nous, on assiste sur scène. Lourdeur qui écrase le personnage, pourtant bien chanté et émouvant au début) je me souviens ensuite que Tamara Wilson (Béatrice) réussit tout de même, vers la fin, à bien supplier et apitoyer, marquée tout de même par son allure de wagnérienne, peu mobile et accablée par la mise en scène qui en fait une victime ensanglantée, sans gloire ni transcendance. Pareil pour Orombello, torturé dès le deuxième acte, effondré, rendu à la seule adultère, dont Peter Sellars oublie qu'il est aussi (et surtout) à la tête d'une insurrection qui gronde.
Dimanche 24 mars 2024, à l'Opéra de Lyon, grande salle : La dame de pique , de Tchaïkovski, mise en scène Timoféi Kouliabine. Direction Daniele Rustioni, très à l'aise avec l'onction et la rondeur romantique de Tchaïkovski, ça s'entend dès l'ouverture où on comprend par la musique tous les contrastes et les antagonismes qui vont faire la pièce : bien/mal, folie de l'amour/enfer du jeu et du calcul social. Direction qui passe très bien, sans rupture, de la lenteur au tumulte : tout au long, et qui sert bien le personnage (ténor, Dmitry Golovnin) d'Hermann pris entre mélancolie et vigueur destructrice. Mais Hermann est, disons, mal présenté : trop vieux, mal attifé, pas séduisant et on ne comprend pas pourquoi la jeune première se prend de passion pour cet homme mur, en proie à sa furie du jeu. Trop vieux également pour croire à la fable romantique des 'trois cartes', secret qui doit lui permettre de triompher au jeu. Mais voix (russe ?) ferme, aux belles notes graves.
Réussite de la mise en scène qui ne cherche pas à tordre le bras au drame historique en costumes ; Saint-Petersbourg, ses bals, ses concerts, ses cafés, est classiquement figuré, sans excès ni parodie. La scène est 'ancien régime', soit tsariste, soit soviétique renvoyés à égalité de regrets : le temps de la légèreté. La nostalgie soviétique, par exemple est rendue par un décor de salle des fêtes d'une maison du peuple, où les jeunesses communistes chantent et dansent, où on projette des portraits avenants du petit père des peuples. Ça se moque, évidemment, mais sans dénaturer ce goût du passé, ni le caricaturer. La clé du bonheur, son secret fabuleux est en effet dans le passé, dans ce très beau personnage (chant de douleur et de regret, peut-être le plus beau moment de la soirée) de la Comtesse (Elena Zaramba) : 'ah ce monde est détestable, quelle époque. On ne sait plus s'amuser.' La comtesse fait entendre avec une grande tristesse, cette mélancolie funèbre qui emporte la Russie moderne [sans insister, on rappelle de Timoféi Kouliabine s'est exilé de Russie dès février 2022, au moment de l'invasion de l'Ukraine...], nostalgie qu'elle chante pour partie en français, ce qui ajoute au trouble (quiconque n'a pas connu l'ancien régime ne sait pas ce qu'est le bonheur, comme on disait...)
Vendredi 15 mars, à la Comédie de Saint-Étienne, salle Jean Dasté, soirée avec Anna, pour Edelweis [France Fascisme], de Sylvain Creuzevault, montage de textes des pires collabos vichystes et pro-allemands, Brasillach, Rebattet, Drieu, Doriot etc...enquillés dans une sorte de farce bouffonne très bien vue, délirante mais grave. Très belle soirée de théâtre, avec Anna, qui est ravie.
Le texte est une enfilade de discours, documentés ou en tous cas qui citent leurs références, et présentés comme tels, à plat, crûment. On passe de l'un à l'autre des ultra collabos, genre passage en revue de l'ignominie. Bien vu du point de vue historique, présenté comme un formidable délire, qui ne cherche pas à expliquer raisonnablement les raisons des uns et des autres : c'est la grande réussite de ce spectacle, bien joué, en se marrant, à fond, dans une sorte de danse macabre. Les comédiens tiennent plusieurs rôles, rassemblant la collaboration dans un seul portrait, un seul ton, uniformisé par leurs éructations. Très bien et rare : la mère de Rebatet, absente de l'histoire d'ordinaire, à la racine 'Action Française' de tout ça. Et, pour les régionaux dans le public, madame Rebatet, odieuse, assure la présence de Moras-en-Valoire, berceau des Rebatet, notaires, etc... Charlotte Issaly joue un Brasillach faussement tranchant et sûr de lui, faible au bout du compte, trouble. Rebatet aussi est joué par une femme. Un effet 'petite gouape' dans les deux cas, efficace.
Peut-être préservé plus que les autres : Céline, joué très toubib de dispensaire, qui les met tous à distance. Il chie sur scène : leur merde. Pour tous : une justification des meurtres à quoi ils appellent, sur fond d'argumentation idéologique : bien obligés, nous luttons contre la décadence et ses agents, juifs bien sûr, mais aussi gaullistes, pétainistes, tous lâches et finalement traitres à l'ordre allemand si nécessaire pour libérer l'Europe. Leur trouille, bien montrée, hurlée : la décadence du beau pays de France.
Très bon théâtre donc, vivant. Dur, cauchemar et grotesque.
[Je dors sur un coin de canapé chez Anna. Levé très tôt et train du retour, parfait bonheur du petit matin, après bon théâtre.]
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