Tumgik
#par LUX
beyondthemyths-rpg · 4 months
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-- thématique; neptune, poseidon.
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jwowwsboobs · 2 years
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so i listened lux ænerdal
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miedkha · 2 years
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Fiat Lux
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voluxpa · 3 months
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-- créditer LUX.
alright cette fois-ci je ne fais pas une pub pour moi mais pour un trio de joueuses REMARQUABLES, avec qui tu pourras sans nul doute trouver de quoi rallonger tes nuits à brainstorm et écourter tes journées pour recommencer all over again. et non seulement tu seras gâtée de leur compagnie mais en plus tu pourras jouer ce personnage merveilleux, ce capitaine aux grands principes et au coeur malmené par les océans 🌊
alors n'hésite plus, et rejoins les, rejoins nous 🖤
SCÉNARIO EN COMMENTAIRES.
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peutetreplusblog · 3 months
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C’était pour un trajet jusqu’à Paris
Je ne voulais pas prendre la route tout seul.
Et puis, avec le prix des énergies, cela devient du luxe de voyager seul en voiture.
Je l’ai prise à l’heure de rendez-vous, quasiment à la minute près.
Une belle femme, tant mieux, c’est toujours plus agréable, pour moi, qu’un gros barbu ventru et transpirant.
Quelques petites banalités dans notre discussion, sur un ton très sympathique, presque à parler de la pluie et du beau temps et de l’inflation.
Elle avait une jupe, un chemisier blanc et un gilet. En arrivant, elle portait également une sorte d’imper qu’elle a posé sur le siège arrière.
Étant prudent sur la route, et aussi par respect, j’ai surtout regardé la route devant moi, et me suis retourné très rarement vers elle…
Jusqu’à ce stop, à ce carrefour, où il fallait que je m’assure qu’il n’y avait pas véhicule arrivant de la gauche, puis de la droite…
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eaumerta · 5 months
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Back from the grave
Bonjour bonsoir à vous tous et toutes. En ce lundi (assez froid, je ne sais pas pour vous) je tenais à vous souhaiter une bonne année 2024. 💫 Je fais ce post afin d'écrire un peu à cœur ouvert, n'ayant plus et ne souhaitant plus être sur discord, il parlera sûrement aux partenaires que j'ai pu avoir avant la nouvelle année et que j'ai "lâchement" abandonnée du jour au lendemain sans un mot. Sachez que cela n'était pas voulu, je me bats avec de lourds démons (bien que cela n'excuse en RIEN mon comportement) depuis que je suis ado et les fêtes de fin d'années n'ont pas été de tout repos pour moi, bien au contraire. Certain(e)s connaissent déjà mon irrégularité globale, Sans rentrer dans trop de détails, une pause de la vie rpgique, voir même de ma vie irl, et du monde d'internet globalement m'a été imposée, pour mon bien. Je ne dirais pas que je vais à 100% mieux, mais je suis vivante et c'est le plus important. Ce message et donc pour m'excuser avant toute chose, sincèrement, j'aurais terriblement voulu vous prévenir, vous tenir au courant. Mais je n'ai pas eu ce luxe. Je ne bosse plus, je suis au ralenti, le temps d'aller mieux. Mon envie d'écrire est plus que présente, je bouillonne d'une rare envie de partager des écrits avec vous tous et toutes. Mais je ne sais pas, plus, où aller. Je ne veux pas imposer ma présence qui pourrait peut-être, être malaisante pour certain(e)s et je ne souhaite m'imposer nul part. De ce fait, si vous connaissez des forums (je recherche un peu de tout, du sombre city au surnaturel.) n'hésitez pas à balancer vos adresses, en commentaires ou par mp ici, je vous serais éternellement reconnaissante. Cependant dû à ma présence qui sera peut-être aléatoire et à mon inconsistance globale, je ne souhaite pas prendre de pré-lien ou de scénario, pour ne plus décevoir personne. Je m'excuse une nouvelle fois, autant pour ce message probablement brouillon, qu'envers les personnes que j'ai pu blesser sans même m'en apercevoir. Je regrette et culpabilise encore beaucoup, et vous êtes plus qu'en droit de ne pas m'accorder votre pardon, je le comprendrais. Il y aura aussi un changement de pseudo, chandelyer devenant Rage. Pour la rage de vivre, pour la rage de ne plus me laisser abattre, pour me battre.
Merci à vous pour la lecture de ce message, votre pardon, et peut-être votre aide.
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publicite-francaise · 2 months
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Eclairage de Luxe Léonine, par Tamagno, 1900.
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homomenhommes · 3 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 108
Jeudi :
Je passe chez Emma pour l'organisation du Samedi soir. Elle me dit de venir vers 18h pour que je me prépare, pas de combi cuir ou même de jeans. C'est un grand diner, costume et robe de cocktail. Elle me présente ma nouvelle tenue : costume anthracite, chemise blanche, cravate à simples rayures en biais. Je lui dis que je porterai la montre qu'elle m'a donnée, celle avec les diamants roses. Elle me dit alors que les boutons de manchettes de la dernière fois n'iront pas (question couleur) et cherche dans les affaires de feu son mari de quoi assortir. Elle en trouve une paire simplement agrémenté d'un diamant blanc. Je lui dis qu'avec autant de " cailloux ", je ne pourrais cacher mon état de " pute de luxe ". Elle me reprend d'" Escort-boy ".
Je dois essayer le tout pour être sûr que ça ira samedi soir. Je m'exécute et joue au mannequin. Le résultat lui convient, je quitte vite tout ces vêtements et une fois en slip, je l'attrape par la taille bien décidé à lui faire son affaire. Plaquée sur le lit, mes jambes en travers des siennes et ma main gauche bloquant ses poignets au dessus de sa tête, elle est à ma merci. Je lui demande quel comportement je devrais afficher, indifférence de bon alois, empressement amoureux ou entre les deux, sollicitude amicale ? Pendant ce temps là ma main droite n'est pas restée inactive et caresse son sein gauche au travers du chemisier. Malgré le tissu et le soutien gorge, je sens durcir le téton et sa respiration changer. Elle me dit avec difficulté " empressement amical " juste avant que ma bouche sur la sienne ne l'empêche de dire un mot. Nous nous roulons un patin bien appuyé, nos langues cherchant à savoir qui aura le dessus. Je lui libère ses jambes qu'elle s'empresse de passer autour de ma taille. J'arrache les boutons de son chemisier et attaque son soutient gorge heureusement à ouverture devant. Les seins libérés, je pose ma bouche sur l'un tout en faisant rouler l'autre téton entre mes doigts. Ils durcissent et se dressent. Elle me plaque la tête plus fort. Je prends son téton entre les dents et mordille. Elle réagit bien. J'arrive a glisser une main vers sa chatte, la passe sous sa culotte et je peux alors jouer de son clitoris. Il est aussi raide que les tétons. Elle desserre les cuisses et je glisse vers le bas, ma bouche reprenant le travail du clito commencé plus tôt par ma main. Elle a son premier orgasme alors que je lui travaille en plus les tétons avec mes doigts. Je ne la laisse pas reposer et kpoté, la pénètre alors que je remonte vers son visage pour lui rouler un patin. Elle est bien mouillée et je rentre sans efforts. Je la lime quelques instant même si je préfère son cul. Elle serre ses muscles vaginaux histoire que je ne me barre pas trop vite entre ses fesses. L'effet est pas mal, moins serré qu'un anus mais plus sur la longueur, différent mais pas mal !
Je fini quand même par la retourner et par l'enculer. Elle ne dit pas non et la queue bien lubrifiée de sa mouille je la pénètre en douceur. Elle gémit, elle aime bien cela aussi ! Je la prends lentement mais bien profondément. J'accélère, elle m'accompagne et anticipe mes mouvements en donnant de furieux coups de cul. Elle se redresse à 4 pattes. Je peux atteindre ses seins et mes mains en coquilles dessus, je lui masse les tétons. Elle me décule et se tournant sur le dos me dit qu'elle veut me regarder jouir. Je place ses jambes sur les épaules et reprend ma sodomie. Elle me tient la tête entre ses mains et nous nous regardons fixement dans les yeux. Je vois doucement monter en elle la jouissance. Je l'achève en entrant mon pouce dans sa chatte, écrasant de ce fait son clito avec la paume. Cette stimulation supplémentaire la fait exploser et tout son corps arqué, elle arrive à soulever mes 85Kg. De mon coté je jute dans ma kpote. Couché à coté d'elle, je suis vidé (dans tous les sens du terme). Elle se tourne vers moi et se colle sur mon coté, une jambe sur les miennes, écrasant son mont vénus sur ma hanche. Je passe mon bras sous son cou et l'attire vers moi pour que nous nous embrassions. Sous la douche que nous prenons ensemble, je lui dis que j'ai pris un cours accéléré de commerce et banque international. Elle me dit que là où nous allons, c'est la propre maison de son associé, plein d'oeuvres d'art et de tableaux de maître. De ce coté là, l'éducation familiale va me sauver, j'ai suffisamment fait de musées pour savoir reconnaitre les siècles et les artistes. Je suis un peu moins calé question sculptures mais je sais reconnaitre un Giacometti d'un Pompon (enfin ça c'est facile !). Quand nous nous quittons elle me rappelle l'heure à laquelle je dois arriver chez elle.
Arrivé à la maison, Marc n'est pas encore rentré et je passe voir Jimmy à l'appart. Il est tout seul (normal) devant la télé. Il me fait voir le travail que je lui avais demandé de faire. Nous le corrigeons ensemble. Ça ne le ravit pas mais c'est pour lui le seul moyen de s'en sortir après. Il le sait. Il essaye de me distraire en me massant le paquet et en me faisant bander. Je lui dis d'attendre que ce soir nous baiserions ensemble avec Marc. Du coup il vient sur mes genoux et je bande de plus belle, la bite écrasée pas ses fesses qu'il n'arrête pas de bouger, exprès !
Quand j'entends la voiture de Marc entrer dan la cour, nous descendons. Je suis à la portière quand il sort. Nous nous embrassons, avec la langue et il sent que je bande dès qu'il me plaque contre lui ses mains sur mes fesses m'appuyant mon bassin contre le sien. Je sens qu'il est dans le même état que moi. Nous nous décollons et il aperçoit Jimmy. Il lui caresse la tête et la pousse vers le bas. Jimmy a tout de suite compris et il défait le pantalon de Marc pour sortir sa bite et commencer à s'en occuper. Il commence par prendre le gland seul dans sa bouche pour pouvoir faire tourner sa langue dessus. Marc apprécie, il me dit qu'il a fait des progrès. D'un petit coup de rein il change les choses lançant un pipage plus en profondeur. Je regarde faire mon poulain. Il avale progressivement de plus en plus de bite. Quand Marc pose une main sur sa nuque et l'aide à engloutir les dernier cm. Je m'accroupis derrière Jimmy et glisse une main entre sa peau et la ceinture de son pantalon qui baille. Je m'enfonce et pose le doigt sur l'objet de ma recherche, son anus. Je titille et enfonce une phalange, je ne peux pas plus ! Il se met à genoux et j'accède ainsi à la boucle de sa ceinture. Je le mets vite cul nu et lui travail l'anneau avec mes doigts plein de salive. Quand je lui mets 3 doigts, je préviens Marc. Il le relève, le plie sur le capot de la voiture et l'encule. Je me prépare, hors de question de rester en dehors du coup ! Coté " avant ", pas de problème je bande depuis un bon moment, coté " arrière " un peu de salive, un peut de doigts et je suis fin prêt. J'embrasse Marc et demande à m'intercaler. Il recule et je me glisse entre eux. Ma bite prend le relais dans le cul de Jimmy et aussitôt je me sens plaqué sur son dos et la queue de Marc me pénétrer. Trop bon !! ;Quelques coups dans mon cul alors que je suis enfoncé à fond dans Jimmy et Marc recule pour me laisser le travail. Quand j'encule Jimmy je sors Marc de moi et inversement, il m'envahi totalement quand je me retire de Jimmy. Nous gardons cette positions quelques instants mais Marc est plus impatient que moi qui ai baisé dans l'après midi. Il me prend les hanches et envoi son propre rythme, beaucoup plus rapide. Maintenant c'est lui qui donne le tempo. Il se pousse en moi, me faisant entrer profondément en Jimmy. Quand il recule j'en profite pour sortir ma queue. Mais rapidement il me repousse et je ré-encule Jimmy. Ce dernier ne peu que se frotter à la carrosserie vu comme nos poids accumulés le plaque sur la tôle. Il n'empêche que c'est le premier à juter, entrainant par ses contractions anales ma propre jouissance et pour les même raisons, j'obtient la même chose de Marc, qui se vide en moi. Une fois sur d'avoir bien tout juté, nous nous sommes désolidarisés et sommes rentrés finir la soirée à la maison.
Petit diner, et simple pipe par notre Jimmy en désert. Demain il bosse de nouveau et je ne tiens pas à ce qu'il arrive avec des cernes sous les yeux !
JARDINIER
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jour de recrutement du nouveau personnel
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luxmoogle · 3 months
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ALRIGHT WASSUP I love your art style and am an art student so I know a little bit bout what makes art recognizable, (not an expert and definitely not good at remembering terms so don't act like this is some art bible) lemme tell you what I think makes your art recognizable and "lux".
First, you got your shape language. That would be what the other person was referring to as proportions. (Since we're talking about Sora, proportions is absolutely not a wrong word to use, but I'm going to talk about shapes specifically.) The cheek? Always the exact same little curve, same spot, the forehead is the same, which creates a head shape that is incredibly recognizable as you. The hair is also always the same, which may seem weird considering your drawing hair that's pre established but you have a very unique way of doing it. The shape of his lower hair on the back of his head especially stands out to me. His body is always the same type of lanky, you draw his arms and hands a very particular type of way. Overall, very recognizable and consistent.
The colors you use. Honestly, I don't even know how to describe this, and I literally took a class on colors. The only word I can think of is "surreal". They're usually very vibrant, but destaturated at the same time? Like you're taking vibrant colors and putting desaturated ones on top? Genuinely hard to describe. It is one of the most beautiful color jobs I've ever seen tho, and I'm not exaggerating. If you could explain I'd honestly love to try (read: steal) whatever technique you use. Also very consistent, even in the black and white photos. I think it's partially lighting but I digress.
The other person brought up your eyes, and that's probably one of THE most consistent parts of your art I notice. I'm not rly gonna go into detail, cause you said you worked on eyes a lot so I'm gonna just leave you to that honestly cause the eyes you draw are iconic imo. Beautiful. Stunning. Breathtaking. No notes just keep it up 🫡
Your lines (and the texture of the drawing) are specifically sketchy, like a very specific type of sketchy. I'm guessing it's the texture of the brushes you use, and it also makes it consistent and recognizable. This is probably one of the things that makes the black and white photos more recognizable as well, since they don't technically have colors to with with and, imo, that's one of the most recognizable parts of your art. The very specific shapes you use are about on par with the colors, with everything else gradually moving down the list.
So yeah. My mini essay on your art. I hope this helps you understand cause honestly? Your art is iconic. Gorgeous. Magnificent. I dream of drawing like you. Pls keep it up cause on god it brightens my day every time I see you post, art or no
I appreciate you taking the time to write out such a long and thoughtful post~! ❤️ This was a very interesting and fun read! I am in many ways completely blind to my own work. Unlike looking at someone else's work, it's very hard to distance myself far enough from my own to see it's prominent features.
For color I can I say I am aware of color theory and mostly follow a sensible routine of cool shadows and warm light points, things that are further away seem more blue etc. etc... But at some point while drawing/painting I do usually fall into adding and prodding the colors into a more impressionistic vibe and away from realism, mostly favoring cool toned colors and adding tones to places that they realistically shouldn't be, but they aesthetically please me, so.
Thank you for all the compliments, I've re-read this quite a few times now, but don't really know what to say besides a boring thank you~! This has left me a lot to ponder, and I'm very glad for your writing..!
Hope you have a wonderful rest of your day, take care~!❤️
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beautifullache · 3 months
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🦄The Sims🦄
👠High Brand Stores 2 Bundle👠
💕EARLY RELEASE 4.13.2024💕
GUCCI
Kering (previously PPR) is the French luxury goods holding company owner of Alexander McQueen, Balenciaga, Brioni, Gucci, Puma, Volcom, and other luxury, sport & lifestyle brands distributed in 120 countries. The company was founded in 1963 by businessman François Pinault and is now run by his son François-Henri Pinault.
Greeter
Team Coordinator
Talent Partner
Manager
Visual Merchandiser
Analyst
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Balenciaga
Kering (previously PPR) is the French luxury goods holding company owner of Alexander McQueen, Balenciaga, Brioni, Gucci, Puma, Volcom, and other luxury, sport & lifestyle brands distributed in 120 countries. The company was founded in 1963 by businessman François Pinault and is now run by his son François-Henri Pinault.
Stock Manager
Sales Associate
 Sales & Client Advisor
Buyer
Store Director
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Dolce & Gabbana
Dolce & Gabbana is an Italian fashion house, founded by Domenico Dolce (Polizzi Generosa, August 13, 1958) and Stefano Gabbana (Milano, November 14, 1962), with administrative headquarters in Legnano and legal headquarters in Milan. We have worked for anni presso the studio of Giorgio Corsini dove if they were known, one eats graphics, the other eats sarto. In 1985, he went to the "Milano Collezioni" in the Nuovi Talenti category. In 1986, we presented the first autoprodotta collection, at the headquarters of the Milanese atelier and the first production. The production continues with the opening of a new business in Milan and Bari. In 1988 he signed the agreement with the area located in Legnano di Saverio Dolce (father of Domenico), for the production of ready-to-wear. In 1989, he left there, first of all, Donna went to Tokyo and created the first line of intimacy and marriage.
Retail Sales Assistant
Stock Keeper
Visual Merchandiser
Stock Supervisor
Assistant Store Manager
Store Manager
Sales Manager
Men's Wholesale Sr. Manager/Director
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Louis Vuitton
Louis Vuitton est une maison française de maroquinerie de luxe, mais également de prêt-à-porter depuis l'aube des années 2000, fondée en 1854 par le malletier, plus tard maroquinier, Louis Vuitton (1821-1892) dont l'œuvre est poursuivie par ses descendants. Louis Vuitton Malletier est la première marque du groupe LVMH - Moët Hennessy Louis Vuitton fondé en 1987 par le rapprochement de la maroquinerie Vuitton et des Champagne Moët & Chandon, et propriété du milliardaire Bernard Arnault depuis 1989. Louis Vuitton a une présence mondiale, avec un fort développement vers l'Asie depuis les années 2000.
CLIENT ADVISOR
TEAM LEAD
CLIENT CARE ASSOCIATE
TEAM MANAGER
WATCH AMBASSADOR
ACCOUNTS PAYABLE ASSOCIATE
TAILOR
ASSISTANT STORE DIRECTOR
FASHION STYLIST
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Prada
Pioneer of a dialogue with contemporary society across diverse cultural spheres and an influential leader in luxury fashion, Prada Group founds its identity on essential values such creative independence, transformation and sustainable development, offering its brands a shared vision to interpret and express their spirit. The Group owns some of the world’s most prestigious luxury brands, Prada, Miu Miu, Church’s, Car Shoe and the historic Pasticceria Marchesi, and works constantly to enhance their value by increasing their visibility and appeal. The Group designs, manufactures and distributes ready-to-wear collections, leather goods and footwear in more than 70 countries through a network of 633 stores as well as e-commerce channels, selected e-tailers and department stores around the world. The Group, which also operates in the eyewear and fragrances sector through licensing agreements, has 23 owned factories and approximately thirteen thousand employees.
Cashier
Stock Associate
Client Advisor
Sales Support
Runner
Department Manager
Stock Supervisor
Selling Supervisor
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abridurif · 1 month
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Celui qui refuse de rentrer dans le jeu risque de se tenir pour meilleur que les autres et de faire jouer à sa critique de la société le rôle d’une simple idéologie au service de ses intérêts personnels. Dans le même temps où, à tâtons, il cherche à faire de son existence privée une image fragile de ce qu’elle devrait être vraiment, il fera bien de ne pas oublier cette fragilité et de ne pas ignorer combien cette image remplace peu la vraie vie. Mais la pesanteur de ce qu’il y a de bourgeois en lui l’empêche d’y prendre garde. Celui qui a pris ses distances est aussi empêtré que celui qui est plongé dans des activités ; son seul avantage sur ce dernier, c’est de savoir qu’il est pris lui aussi, avec cette chance de liberté minuscule qu’apporte la connaissance en elle-même. Les distances que l’on prend par rapport aux rouages du système représentent un luxe qui n’est possible que comme produit du système lui-même. Aussi chaque mouvement pour se retirer comporte-t-il certains traits de ce qu’il nie. La froideur qu’il faut y mettre ne peut guère se distinguer de la froideur bourgeoise. C’est encore la domination de l’universel qui se cache dans le principe monadologique de l’individu, même là où il est protestataire. Theodor W. Adorno, Minima Moralia, Réfléxions sur la vie mutilée, Éditions Payot, 1991
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alexar60 · 10 months
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Le musicien fantôme
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L’averse me réveilla subitement. Karen ne semblait pas dormir non plus. Ses yeux mi-clos laissèrent plutôt à penser qu’elle somnolait. Soudain, je réalisai une chose importante. Elle leva la tête en même temps que moi.
Merde, le coffre !
Aussitôt, je me levai et sortis de la tente suivi par ma compagne. Effectivement, j’avais oublié la bâche de la petite carriole attachée à mon vélo. Elle servait pour mettre nos affaires pendant notre voyage. C’était l’idée de Karen que de faire un road-trip entre Prague et Paris…à bicyclette. C’était aussi son idée du camping sauvage. Surtout que nous étions perdus en pleine campagne autrichienne.
Bien qu’elle fut déjà rempli et nos affaires trempées, je m’acharnai à recouvrir la carriole. Karen récupéra son sac fourre-tout pour en sortir une lampe qui m’aida à y voir mieux. Tout-à-coup un éclair illumina le ciel. Je vis la foudre tomber sur un arbre qui prit feu instantanément. En dessous, notre tente n’échappa à l’incendie, s’enflammant aussi rapidement que l’éclair suivant, qui était déjà à plusieurs kilomètres.
Pétrifiés par cet accident naturel, trempés, fatigués, nous restâmes à regarder la tente se réduire en cendre. Cependant, la pluie continuait de tomber. Ma copine regarda son téléphone, il n’y avait pas de réseau. Le mien était resté à côté de mon sac de couchage…dans la tente, avec mes papiers, mon portefeuille… Bref, je me retrouvai perdu dans un pays étranger sans papier.
Il y avait un mur ! Je me souviens qu’il y avait un mur plus loin quand nous sommes arrivés, dit Karen.
Hé ?
Qui dit mur, dit maison. Ajouta-t-elle en haussant les épaules. C’est évident !
Nous partîmes éclairés par les lampes de nos vélos. La charrette que je tirai parut lourde à cause de l’eau. Aussi, je me retrouvai à aller moins vite que mon amie. Après quelques kilomètres, nous aperçûmes le fameux mur. Il nous a suffi de le longer pour trouver son entrée. La chance fut de notre côté car la grille n’était pas fermée.
Dès lors, nous pénétrâmes dans l’enceinte. Curieusement, des lampadaires éclairaient la route amenant à un grand manoir. Avec ses tours sur le côté, il aurait eu sa place parmi les châteaux de la Loire. Nous descendîmes et posâmes nos vélos contre un muret, avant de grimper un escalier. La porte principale était grande ouverte. Le hall éclairé par un lustre semblait vide si ce n’est cet étrange personnage habillé d’un costume de domestique. Il restait debout, les jambes raides, le dos droit tel un mannequin de devanture.
Karen expliqua nos déboires dans un allemand imparfait. Mais, l’homme sourit et répondit en français. Je trouvais que sa barbiche n’allait pas avec sa tenue de maitre d’hôtel.
Soyez les bienvenus, le concert va bientôt commencer.
Il nous pria de le suivre. Aussitôt nous entrâmes dans une grande salle aux plafonds profonds. Une vingtaine de personnes attendaient silencieusement, assis sur des chaises aux pieds de fer. Nous étions en plein contraste avec eux. Nous étions trempés, les cheveux dégoulinant d’eau. Je portais un bermuda et un sweet-shirt à capuche, Karen était habillée d’un short et d’un pull marin. Tandis que les vêtements des spectateurs semblaient sortir des plus grands magasins de vêtements de luxe de Paris ou de Vienne.
Je me retournai pour demander une serviette, mais notre hôte était déjà parti. Alors, nous avançâmes sous les regards curieux. Ils semblaient blafards, le teint d’une pâleur extrême. Tout leur corps parut voilé. De même, un léger bourdonnement agaça mon esprit. Nous marchâmes dans un silence glacial. Hélas, les deux seules places disponibles étaient devant. Elles n’attendaient que nous.
A ton avis, c’est quel genre de spectacle, murmura ma chérie.
Le bal des vampires, répondis-je.
Elle pouffa de rire, mais fut réprimandée par un « chut » qui imposa de nouveau le silence. C’est à ce moment qu’une porte, au fond de la salle, s’ouvrit. Un homme de taille moyenne, le visage jeune, les cheveux bruns coiffés en arrière, le regard d’un bleu profond, entra. Il avait aussi le visage blanc, et une sorte de voile se déplaça en même temps que lui. Je remarquai la présence d’un piano.
Cependant, le musicien tenait un violon. Il posa son instrument sur son épaule, et à l’aide son archet, il commença à jouer. Dès les premières notes, je fus subjugué par la musique. Elle m’envahissait, me prenait les tripes. Il jouait merveilleusement bien. Il impressionnait si bien que je ne pus retenir une larme, je sentis un frisson parcourir les poils de mes bras. J’écoutais dieu qui jouait du violon.
Il joua de tout, Chopin, Haendel, Brahms, Vivaldi, Tchaïkovski…Chaque mouvement était juste et touchait le cœur. Chaque note reflétait sur le mur, se transformait en personnage et dansait au rythme de la musique. Elle racontait une histoire. Mon amie posa sa tête sur mon épaule tout en serrant mon bras. Elle était fascinée par cette harmonie. Jamais nous n’aurions pensé écouter pareil concerto et jamais, nous n’aurions pensé ressentir autant d’émotion en écoutant un artiste jouer. Etonnamment, peut-être par respect, personne n’applaudissait entre les morceaux.
Je ne peux dire combien de temps cela dura exactement. Il finit son concert par le canon de Pachelbel. Encore une fois, sa musique toucha les âmes. Il glissait avec son archet sur les cordes de son violon. Je ne réalisai pas que personne ne jouait au piano. Il était seul et pourtant, j’entendais aussi le piano jouer.
Puis, il s’arrêta subitement. Il écarta les bras en croix avant de baisser la tête en signe de remerciement et de salut. Je me mis à applaudir, accompagné par Karen. Surpris de ne pas entendre les autres, faire de même, je tournai la tête et fus stupéfait de ne voir personne. Il ne restait que des chaises vides.
Où sont-ils passés ? demanda ma compagne.
Et lui ? demandai-je aussi en pointant le doigt vers la petite estrade.
Le violoniste avait aussi disparu. Je ne m’étais pas non plus rendu compte que les bourdonnements venaient de cesser. Nous restâmes abasourdis et seuls dans la salle qui devint  tout-à-coup immense.
Soudain, trois gros coups résonnèrent, puis un rire…un rire glacial…un rire qu’on n’oublie pas. Karen se colla à moi. Nous regardâmes les portes mais personne n’entra. Nous restâmes un long moment dans le silence à attendre sans savoir quoi faire. Nous entendîmes un oiseau piailler. Dès lors, nous comprîmes que le jour se levait. Nous profitâmes de cet instant pour quitter la salle. Mon amie constata les énormes toiles d’araignées un peu partout dans la salle et le hall. Je découvris la porte à moitié abimée, Nous quittâmes le lieu qui paraissait abandonnée. D’ailleurs la majeure partie des fenêtres n’avait plus de carreau intact. Cependant, j’aperçus un rideau s’écarter mais aucune silhouette visible.
La pluie ayant cessé, nous pûmes regagner un village proche. On nous dirigea vers un poste de police, car j’avais besoin de déclarer la perte de mes papiers suite à l’incendie de la tente. Je racontai en anglais notre nuit. Le policier demanda à mon amie, ensuite à un traducteur leur version. Il semblait horriblement embêté. Il se leva discuta avec un collègue, prit ma déposition, au moins pour l’assurance, et nous conseilla un bon hôtel restaurant.
Après une douche, un peu de repos, nous descendîmes nous restaurer. La patronne, qui parlait français, nous interpela tout en nous installant à une table.
Donc, vous avez passé la nuit au Rotes Herrenhaus? Tout le monde a peur d’aller là-bas. Il parait qu’il est hanté.
Mais, il est bien habité ? Questionna mon amie.
Ah non ! Plus depuis au moins la guerre.
Nous restâmes muets tout en la dévisageant. Nous ne savions pas si elle se moquait de nous, si elle avait discuté avec les policiers, les seuls qui étaient au courant de notre nuit. Mais elle interrompit notre silence :
Il parait que le dernier propriétaire était si bon musicien qu’un jour, le diable serait venu lui proposer un défi musical. S’il gagnait, il obtiendrait ce qu’il voudrait. Mais s’il perdait, son âme et son don appartiendrait au diable. Il aurait gagné, mais le diable, mauvais perdant, lui vola tout, le poussant au suicide. Ce qui l’envoya en enfer. Le diable, se sentant coupable d’avoir obtenu une âme aussi facilement, accepta qu’il revienne dans son château chaque nuit d’orage pour jouer.
Et il y a eu un orage cette nuit. Ajouta-t-elle avec un petit sourire.
Je remerciais la dame pour ses explications, ajoutant que c’était une belle histoire. Je préférais laisser cette histoire aux légendes du coin. D’ailleurs, Karen était d’accord : Confirmer une histoire de fantôme pouvait nous être nuisible ainsi qu’au fantôme. Dès lors, je pris le menu et commandai une escalope viennoise. Elle était succulente.
Alex@r60 – août 2023
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aurevoirmonty · 2 months
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« L’antiterrorisme, contrairement à ce que voudrait insinuer le terme, n’est pas un moyen de lutter contre le terrorisme, c’est la méthode par quoi l’on produit, positivement, l’ennemi politique en tant que terroriste. Il s’agit, par tout un luxe de provocations, de surveillance, d’intimidation et de propagande, par toute une science de la manipulation médiatique, de l’ « action psychologique », de la fabrication de preuves et de crimes, par la fusion aussi du policier et du judiciaire, d’anéantir la « menace subversive » en associant, au sein de la population, l’ennemi intérieur, l’ennemi politique à l’affect de la terreur. »
Julien Coupat
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voluxpa · 6 months
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-- créditer LUX; ((lien des pl en tag))
mots clés par bengal.
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beyondthemyths-rpg · 7 months
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les fêtes de fin d'années, illustrées par le farewell day, sont à l'honneur dans la v2 de beyond the myths, venez découvrir les nouveautés!
et comme toujours, le design est entièrement made by LUX.
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vhscorp · 1 year
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MA RICHESSE…
Je ne sais pas s’il est un bonheur plus intense que d’être, par un cœur, aimé et désiré, de savoir qu’où l’on soit, une âme aimante pense à nous à chaque instant, sans jamais se lasser.
Beaucoup croient qu’en ce monde, il n’est que posséder qui puisse leur offrir joies, sens et plénitudes, et sans cesse ils s’efforcent, toujours plus, d’amasser, jusqu’à n’en plus pouvoir, presque par habitude.
Car enfin, la fortune est un bien éphémère, qui ne pourra jamais, nos âmes, contenter, tant nous rêvons d’amour passionné et sincère qu’aucune possession ne saurait remplacer.
À chaque heure du jour, on nous vend le mensonge qu’il est bien mieux d’avoir plutôt que d’être aimé, le message est si fort que, peu à peu, il ronge les grands sentiments qui font notre humanité.
Mais au soir de nos vies, qu’allons-nous emporter, sur le chemin qui mène à l’ultime demeure, que faire de ce luxe inutile et glacé alors que seul l’amour peut apaiser nos cœurs?
C’est pourquoi, moi je vis en quête de tendresse, et quand viendra la mort, je pourrais affronter la peur de trépasser grâce à cette richesse que sera tout l’amour que j’aurais partagé…
V. H. SCORP
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