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#olivier guez
cafehopping · 1 year
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Profile of a Monster
The Disappearance of Josef MengeleBy Olivier Guez217 pp. Verso. $20. A fascinating novel based on true events and told from the perspective of one of history’s greatest monsters. This is an uncomfortable read, both because of that perspective and because of the terrible history involved here. I initially worried that the framing of this book, from Mengele’s perspective, would have a “Breaking…
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anokatony · 1 year
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'The Disappearance of Josef Mengele' by Olivier Guez - “This is the story of an unscrupulous man...”
  ‘The Disappearance of Josef Mengele’ by Olivier Guez (2017) – 213 pages              Translated from the French by Georgia de Chambaret   Here is a novel that meticulously recreates the life of the most notorious one of all the Nazi war criminals who fled to South America after World War II, Josef Mengele. It is fiction because no one knows for sure what Mengele thought or said or did during…
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bookblast · 1 year
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2022 in Review (part 1): Annie Ernaux, Olivier Guez, Empire Windrush & more    
What an odd post-pandemic year 2022 has been, deranged in so many ways, over and beyond the realities of Brexit hitting home, and the depressing normalization of exploitation by the Government and giant corporates across the board, as we enter “a different kind of recession where there are still lots of jobs but the recession is around our wages,” according to James Reed. The sadness over the…
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triada-literaria · 1 year
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Wrap Up Enero 2023
Os traigo una breve entrada en la que hablo un poco de mis lecturas del mes de enero
Enero lo calificaría como un mes bueno en lecturas, que en total han sido 5. Aunque dos han resultado bastante decepcionantes, especialmente una a la que le tenía muchas ganas. En este aspecto el mes lo han salvado libros escritos por autores nacionales. Este mes he leído:
🧚‍♂️ Perdidos en Nunca Jamás de Adrien Thomas. 📜 Las reliquias del Cuervero de Víctor Guez. 👁️Los Seis de Atlas de Olivie Blake. 🚢Aldith de Concepción Regueiro.  🧜‍♂️ Tras tres soles de Irene Morales
Si tuviera que decantarme por la mejor lectura de este mes habría un empate entre Las reliquias del Cuervero de Víctor Guez y Tras tres soles de Irene Morales. Y la peor, sin duda, Los seis de Atlas.
Y ahora es cuando os preguntó ¿Cómo ha sido vuestro mes de enero en cuanto lecturas?
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andreetheve · 11 months
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youtube
"Le vieil héritage ibérique du Brésil lui a donné la culture du beau geste et du panache. Ce qui compte pour les Brésiliens, c'est le talent, comme si un grand footballeur ne peut être qu'un surdoué, un joueur facile, un génie du dribble." Olivier Guez
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cserea · 2 years
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Honored and humbled to represent Romania at this year's European Literature Night organized by @eunicnyc and hosted by @ukrainianinstitute. I spent a tremendous evening along fellow writers, translators and performers from 10 other European countries. A special edition hosted by Ukrainian Institute of America, with a panel discussion on "Peace and Literature" moderated by Andrew Singer, to be aired soon on @trafikaeurope Radio. A big thank you to the @romanianculturalinstituteusa for inviting me to be a part of this event, to all participants, Rafaela Edelbauer, Bianca Bellová, Nora Krug, Ilmar Taska, Olivier Guez, Sándor Jászberényi, Birutė Vaičjurgis Šležas, Krystyna Dąbrowska, Askold Melnyczuk, and Saudade Theatre NY, and to all friends, old and new, who came out to hear us. #Romanianliterature #EuropeanLiteratureNight2022 #ELN2022 #RCIUSA #RCINY #ICRNewYork #ICR https://www.instagram.com/p/ClPvMIeLIXX/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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listinsemanal · 2 years
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El abominable 'ángel de la muerte' nazi que vino a morir a Latinoamérica
El abominable ‘ángel de la muerte’ nazi que vino a morir a Latinoamérica
Como muchos de los otros que hicieron sufrir a la comunidad judía durante la Segunda Guerra Mundial, Josef Mengele, el ‘ángel de la muerte’, no pagó por ninguna de las torturas que cometió. Mengele nació el 16 de marzo de 1911 en Baviera, Alemania, y creció para convertirse en uno de los alemanes más temidos en el campo de concentración de Auschwitz. Según lo que cuenta el escritor Olivier Guez…
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danielemuzzarelli · 4 years
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Quando la memoria si affievolisce, la ragione si eclissa e gli uomini tornano a propagare il male.
Olivier Guez, La scomparsa di Josef Mengele
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prosedumonde · 5 years
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Puissent-ils rester loin de nous, les songes et les chimères de la nuit. Méfiance, l’homme est une créature malléable, il faut se méfier des hommes.
Olivier Guez, La disparition de Joseph Mengele 
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radiogornjigrad · 3 years
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Je li Tito gazio preko leševa?
Je li Tito gazio preko leševa?
Večernji list objavio je kako je, u knjizi objavljenoj u Francuskoj, Tito uvršten u 22 najveća diktatora. Ovakav sud utemeljen je na netočnim podacima koje je akademska historiografija odavno opovrgnula. U Večernjem listu objavljen je krajem travnja tekst njihovog talijanskog dopisnika Silvija Tomaševića pod naslovom „Francuzi objavili knjigu o 22 najveća diktatora“. Među ličnostima obrađenima u…
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downtobaker · 4 years
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Le novità Neri Pozza in libreria di questa settimana
Le novità Neri Pozza in libreria di questa settimana
da redazione
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Questa vita, Martin Hägglund https://www.amazon.it/Questa-vita-Finitezza-socialismo-libert%C3%A0/dp/8854521760/ref=as_li_ss_tl?__mk_it_IT=%C3%85M%C3%85%C5%BD%C3%95%C3%91&dchild=1&keywords=Questa+vita+Martin+H%C3%A4gglund&qid=1605262454&sr=8-1&linkCode=ll1&tag=170e00-21&linkId=7fa5f86dfd575cf4a8fd9942ca94737a&language=it_IT
Finitezza, libertà e socialismo sono i concetti…
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#BibliothèqueMédicis du vendredi 06 octobre 2017 présenté par Jean-Pierre Elkabbach avec :          
– Thierry LENTZ, historien, pour “Le diable sur la montagne – Hitler au Berghof 1922-1924″ (Perrin) et “Le mémorial de Sainte-Hélène” d’Emmanuel de Las Cases (Perrin-Fondation Napoléon)
– Olivier GUEZ, écrivain, pour “La Disparition de Josef Mengele” (Grasset)
– Corinna GEPNER, traductrice, pour sa traduction d’Heinrich Gerlach “Eclairs lointains : percée à Stalingrad” (Anne Carrière)
– Adrien GOETZ, écrivain, pour “Villa Kerylos” (Grasset)
Photos © Eric Frotier de Bagneux / Capa Pictures pour Public Sénat
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sophielitdeslivres · 7 years
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Grand Oral de l'examen d'entrée à l'école d'avocat en libertés publiques, questions diverses. On m'interroge sur Auschwitz. Je ne retrouve plus le nom du médecin tortionnaire. Un examinateur, cinglant : "Vous, Mademoiselle [nom juif], vous ne connaissez pas le docteur Mengele ?!". Il semblait surpris et déçu. Depuis, je me suis renseignée. Ce roman-ci porte un éclairage à la fois historique et terrible sur l'après, sur la déchéance de l'homme qui fut objectivement un bourreau. Description implacable des années d'exil, avec une précision chirurgicale, fort bien documentée, ce court roman n'explique pas, il décrit. Et il tente d'imaginer ce qui se passe dans la tête d'un homme qui a cru jusqu'au bout avoir eu raison. Lu d'une traite en un après-midi. Captivant.
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affairesasuivre · 5 years
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Olivier Guez : La Disparition de Josef Mengele en « poche »
1979 : sur la plage de Bertioga, près de São Paulo, un vieil homme est mort. Il est l’homme le plus recherché de la planète, il s’appelle Josef Mengele, et Olivier Guez tente de percer le mystère des trente dernières années de sa vie de Monstre.
« Toutes les deux ou trois générations, lorsque la mémoire s’étiole et que les derniers témoins des massacres précédents disparaissent, la raison s’éclipse et des hommes reviennent propager le mal. »
J’ai lu récemment que 10% de la population française en 2018 n’a jamais entendu parler de la Shoah et ne sait pas ce que c’est. Pour cela, attribuer en 2017 le Prix Renaudot à l’excellent livre d’Olivier Guez, la Disparition de Josef Mengele, a été une très bonne idée. Mais le lire et le faire lire à tous ceux qui nous entourent, aux plus jeunes surtout, est encore une meilleure idée. Le travail de recherche d’Olivier Guez, en Argentine, au Paraguay et au Brésil, semble remarquable, et lui a permis de nous livrer une version totalement crédible de ce à quoi a pu ressembler la fuite en Amérique du Sud de l’un des pires monstres que l’humanité n’ait jamais connus. Une « version crédible » ?
Bien sûr, c’est là où le bât blesse un peu : comme on ne sait pas grand-chose sur ces 35 années de « disparition » du médecin tortionnaire d’Auschwitz, l’écrivain est évidemment libre d’imaginer cette fuite perpétuelle avec toute la licence poétique possible. Olivier Guez choisit donc, de manière très honorable, soulignons-le, de désamorcer tous les mythes infects qui proliférèrent dans les années 60 – 70 quant à la vie opulente d’un Mengele installé dans la jungle brésilienne et poursuivant les « recherches » entreprises en Allemagne pour identifier le « secret de la gémellité » et pouvoir ainsi multiplier la croissance de la Race Supérieure (les cinéphiles se souviendront ainsi du médiocre Ces Garçons qui Venaient du Brésil…) : la seconde partie du livre, la moins plaisante – et c’est tant mieux – nous décrit froidement la longue agonie d’un vieil homme torturé par la peur de la traque dont il est victime, mais surtout, et c’est essentiel pour que le livre reste éthiquement supportable, jamais miné par le moindre doute quant à la validité de ces actes.
Car Olivier Guez a la grande intelligence de s’en tenir à la narration de faits – certains désormais connus (où Mengele était caché), d’autres moins (le contenu de son journal intime), et enfin d’autres inventés -, sans jamais se risquer à la moindre analyse psychologique (qui aurait été immonde) ni au moindre commentaire moral (qui aurait été superflu, et donc terriblement maladroit). Il est pourtant permis de constater qu’en réduisant le monstre à une loque humaine tordue de souffrance, Olivier Guez exerce quand même une sorte de vengeance sur lui, qui, sans être heureusement cathartique, nous console un peu, nous lecteurs, de l’absence de toute punition venant sanctionner des actes aussi incompréhensibles que ceux de Mengele.
On peut donc préférer la première partie du livre, description passionnante de l’Argentine péroniste : véritable cauchemar populiste et fasciste, banc d’essai de futures ignominies, refuge béni pour tous les nazis ayant réussi à échapper – souvent avec la bienveillance des autorités allemandes et autres – au sort que les vainqueurs de la Seconde Guerre Mondiale leur réservaient, l’Argentine offre l’opportunité à Guez de montrer clairement que la bête immonde peut renaître facilement n’importe où dans le monde, pourvu que certaines conditions économiques, idéologiques et politiques s’y prêtent. Il s’en est fallu finalement de peu que Mengele ne puisse poursuivre son œuvre au noir.
« Mengele est le prince des ténèbres européennes. Le médecin orgueilleux a disséqué, torturé, brûlé des enfants. Le fils de bonne famille a envoyé quatre cent mille hommes à la chambre à gaz en sifflotant. »
Lisez et faites lire ce livre, car « il faut se méfier des hommes« .
Eric Debarnot
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journaljunkpage · 5 years
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PENSER
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Olivier Guez © Claude Truong-Ngoc
L’Institut culturel Bernard Magrez invite le public à sa nouvelle Nuit du savoir, mardi 5 mars, consacrée à Olivier Guez. Prix Renaudot 2017 pour La Disparition de Josef Mengele (Grasset & Fasquelle), l’ancien journaliste a toujours été fasciné par ces périodes troubles et incertaines que sont les après-guerres. Après trois longues années de recherches historiques – « Je vivais avec lui, avec ce personnage abject, d’une médiocrité abyssale. Je montais sur le ring. Je l’affrontais. Les six premiers mois, il m’arrivait de crier son nom la nuit. » –, l’auteur parlera de son roman salué par la critique.
Nuit du savoir : Olivier Guez, mardi 5 mars, 19 h 30, Institut culturel Bernard Magrez. www.institut-bernard-magrez.com
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undsowiesogenau · 4 years
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Garantiert kein Penck
Nochmal ein Sommerabend, als hätten wir erst Juli. Abendessen im Hof von Daniela und Stephan. Der Tisch war riesig und voll mit Resten vom Tag zuvor: Salate, Käse, Wein, Kuchen, kleine Dinger aus Blätterteig. Das war übriggeblieben von einem Abend mit dreißig Leuten. Hofkonzert unter Corona-Maßnahmen, Stephan sagte: »Die Leute haben getrunken wie vor zehn Jahren.« Also vielleicht mehr und besser gelaunt als sonst. Große Erleichterung auf allen Seiten, dass man einander wieder sieht, sich was zuruft, Unfug reden kann zu später Stunde.
Auch bei unserem Abend zu viert ging es lustig zur Sache, ich kam mir ab und zu vor wie in einem Stück von Yasmina Reza, aber auf die gute Art. Kurz vor Schluss stand Stephan mit einem Kunstwerk von Georges Braque im Wohnzimmer und wollte uns davon überzeugen, dass es keinesfalls ein Penck sei. Einverstanden!
Am Rande Vorbereitung des Abends mit Olivier Guez zu dessen Buch »Koskas und die Wirren der Liebe«. Mir scheinen die Passagen zum Aufriss von Frauen darin oft unelegant geschrieben. Bin ja ein Fan von deutlichen Worten, aber »Euter« für »Brüste«? Das finde ich so auf dem Niveau von »Lustgrotte«. Daniela hatte das Guez schon am Telefon dargelegt. Insofern waren wir am Tisch uns einig und stießen nochmal an. Nicht allzu später Heimweg durchs laue Westend. Für mich immer noch ein magischer Ort.
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