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#la France aux vrais Français
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La France aux vrais Français !
Il est temps de faire quelque chose de concret. Par Bernard Bruyneel Continue reading Untitled
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mika-white-to-blue · 3 months
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Salut !
Je m'appelle Michaël, j'ai 43 ans, je suis français, j'habite en France et je suis comptable.
Chaque jour, de plus en plus, je regrette mon éducation qui m'a éloigné du travail manuel.
Les seuls moments où je me sens épanoui, c'est le week-end quand je porte un pantalon d'artisan ou un vieux jean et que j'aménage mon jardin, les mains et les pieds dans la terre.
J'en ai assez du bureau, des chiffres, des écrans, des collègues qui parlent tout le temps (trop !) et qui cririquent tout le monde.
Comme j'envie les travailleurs manuels dans leurs beaux uniformes ! Comme j'envie les ouvriers du bâtiment, les ouvriers agricoles, les ouvriers d'usines, les éboueurs, les mécaniciens, les agents de nettoyage..
J'espère qu'ils savent qu'ils sont â leur place, que eux sont utiles â la société, qu'ils sont de vrais hommes, qu'ils doivent être fier !
Comme j'adorerai porter leur uniformes, travailler durement, commencer la journée tôt le matin jusqu'à tard le soir, avec peu de pauses, transpirer, me salir, obéir aux ordres et rentrer le soir fatigué mais fier.
Je ne voudrais pas quitter tout de suite mes vêtements de travail mais au contraire les porter le plus possible, 7 jours sur 7, toute l'année et aimer toujours la sueur, la boue ...
J'ai besoin d'une reprogrammation totale !
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jacquesdor-poesie · 5 months
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Un jour il est parti déclarer son amour à Poutine. Un reniement ? À quoi jouait-il  ? Etait-ce une façon d'éprouver jusqu'à la rupture, l'outrance,  notre capacité à le suivre encore, là aussi ? On les imagine bien, lui et son horrible pote russe, déchirés à la Vodka, torse nu par moins 15, en train de chasser l'ours du Kamtchatka à mains nues. La France manquerait-elle à ce point d'ours et de dictateurs décomplexés  ?... Comme si Depardieu se cherchait, peu importe leur pedigree, des camarades de  jeux, des affreux à sa démesure. Des camarades et la richesse d'une autre culture peuplée d'écrivains qui resteront éternellement des volcans : les Dostoïevski, Gogol, Pouchkine... En somme un autre  pays qui lui ressemble, l'âme slave en bonus pour tout théâtraliser, tout rendre incontrôlable...
Aujourd'hui ou demain la France achèvera de le haïr son Depardieu. La France est devenue ce pays où l'on aime, avant tout, détester. Ce Depardieu, il a été pourtant celui de Bertrand Blier, de Pialat, de Truffaut, de Duras, de Barbara... Le Depardieu de "Valley of love"... Jamais un acteur n'avait été aussi grand,  aussi humblement humain que le Depardieu de ce film-là  (je l'affirme en toute subjectivité) ; la dernière scène du film, quand il revient sur le chemin poussiéreux vers Isabelle Huppert, est une scène qui vous dévastera et qui restera gravée en vous pour le restant de vos jours. Comme s'il n'était plus question de cinéma mais de la vie pour de vrai, faite cinéma. Jamais aucun acteur n'était arrivé à ça, plus jamais peut-être aucun acteur n'arrivera à ça.�� Lui, il s'en fout, comme s'il méprisait son propre talent,  il dit : "acteur ce n'est rien, c'est faire la pute", il ne le pense sûrement  pas à  ce point mais il le dit. Par opposition il s'entoure, admire et défend le travail d'artistes qu'il estime être, eux, de vrais artistes : peintres, plasticiens...
Depardieu le russe est pourtant français jusqu'à la caricature : grande gueule, vigneron et pochetron, esthète et vulgaire,  paillard et subtil, rablaisien, pétomane et amateur d'art, de provocations, de beaux textes, de désobéissances : homme hors norme, hors cadre, hors limite, hors identité, hors tout ...
Il a été adulé tant sa nature et son talent étaient grands et nous l'avons aimé, moi en tout cas, pour cette nature, pour ce talent ... Aimé, soutenu, encouragé à distance à être ce qu'il était, ce qu'il est !  Oui, c'est une certitude, nous avons nourri le monstre. S'il est coupable de quelque  chose alors nous sommes un paquet de coupables-complices à l'avoir encouragé depuis nos fauteuils de salles obscures, film après film. Nous avons donc notre part, car si le public est une part de la magie, au final, le public est aussi une part du monstre.
Beau il le fut, insolent, imprévisible, inclassable ; oui monstrueux, il le reste... Monstrueux bouffeur de vie, d'espace et d'émotions : de dérapages calamiteux aussi.
Et bien sûr que la parole des femmes est importante, et bien sûr que notre compassion doit aller en tout premier lieu aux victimes. Et bien sûr que nous nous réjouissons que les temps changent, que toutes formes de violences, de harcèlements puissent être combattus...
Ce qui interroge, c'est pourquoi Fourniret ou Lelandais auraient-ils droit à un avocat, à un, plusieurs procès, et pas Depardieu ? Concernant Depardieu, c'est déjà réglé...
Il va devenir, il est devenu en quelques heures, le pire, le gros dégueulasse, le prédateur, l'ignoble porc Depardieu... Il n'aura plus rien de bien, plus rien d'humain. Plus droits de citer, de tourner, ses films déjà sont retirés des catalogues des chaines publiques en France, en Suisse...Plus rien, il ne va plus rien rester ? Mais alors pourquoi, ô public versatile, l'avoir idolâtré, si aujourd’hui, vous, les mêmes, sans sommation et avant tous jugements, vous le jetez aux chiens ? Lui, finalement, il n'a pas changé...
Je ne me sens pas le cœur de l'excuser ni celui de l'enfoncer ou de le détester... Pour la détestation de soi il a sûrement  beaucoup trop d'avance sur ses pires ennemis. Un jour, je l'entendais dire dans un reportage à un journaliste : "vous croyez vraiment que ça m'amuse d'être devenu cette grosse baleine ?". Pas si indifférent que ça, finalement, à ses propres souffrances. Dans une scène du film Mammuth, il est au bord d'un plan d'eau, torse nu, énorme, et il coiffe avec une délicatesse infiniment féminine ses longs cheveux de naïade obèse. C'est un très beau plan, un tableau à la fois classique et dérangeant, une image très humaine et très assumée aussi. Courageux le Depardieu ; là ou d'autres  acteurs se cachent en permanence, Depardieu se balade depuis toujours tripes à l'air, écorché vif,  sans masque et sans fausse pudeur : souvent à la limite et malheureusement, parfois, au-delà de la limite. Ce goût dangereux et prononcé, cette volonté de jouer avec les limites. Je n'ai pas à prendre sa défense, je ne l'excuse de rien par avance mais comment s'autoriser à le juger ou à le condamner ? (bien avant les juges qui eux sont faits pour ça).
Mais que seraient les réseaux sociaux sans cet appétit morbide pour le lynchage en bande organisée ?... Bien souvent, les réseaux ne servent qu'à ça.
Si Depardieu est jugé détestable, je déteste au moins autant tous ces professionnels de la détestation.
À eux seuls, ils sont un autre visage de la guerre...
jacques dor
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smisswil · 2 months
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En tant que fan fr du QSMP, je pense maintenant pouvoir totalement affirmer que le projet m'a trahi.
Ce sentiment n'est pas nouveau, mais pour moi il est arrivé à un point irréversible.
Au début, ça été un peu dur de l'admettre, mais là, force est de constater que les (trop) nombreuses négligences font que le projet ne me parle plus.
C'est dommage.
Est-ce que le projet a donc échoué ? Oui et non. Il a quand même permis de réellement rassembler des fans et communautés du monde entier, de faire connaitre des streamers du monde, de faire reconnaitre les streamers français à l'international, de créer des collab. improbables, etc. Mais le traitement inégal et injuste de tout, finalement, a trop perturbé l'expérience de visionnage. À mon humble avis.
Je ne vais pas m'amuser à tout citer, car les points sont assez souvent relevés (surtout côté fr, sans grandes surprises), mais je peux simplement mentionner l'aspect très arbitraire d'à peu près tout ce qui est évènementiel, ainsi que le manque de transparence concernant à peu près tout aussi.
En fait, à partir du moment où l'on se questionne sincèrement sur les raisons qui ont pu pousser Quackity a vouloir intégrer la France au QSMP, rétrospectivement au fait qu'on se soit constamment fait délaisser depuis le début, montre bien la faille du truc. Et même, la question se pose toujours : pourquoi avoir intégré la France au QSMP ? Est-ce que c'était pour faire du quotas "Europe" ? Est-ce que l'intention de départ était sincère ?
En vrai, peu importe, puisqu'apparemment, tous les problèmes soulevés par les Français (communauté, streamers, admins et "bénévoles") et pas que, semblent avoir été mis sous le tapis. Et les différents communiqués du syndicat impliqué dans l'affaire en cours vont dans ce sens.
Sur ce point, j'espère parler trop vite et même être de mauvaise langue, mais, à ce que je sache, la façon dont le serveur continue de faire comme si de rien n'était, en invitant très maladroitement des streamers coréens (probablement même pas au courant de tout ce qui se trame en coulisses) à un moment plutôt chaud et assez peu actif, peut en dire long sur l'état actuel du projet...
C'est vraiment regrettable.
En tout cas, je salue le boycott des streamers fr, la persévérance de l'admin fr et des "bénévoles" (qui j'espère, obtiendront gain de cause) et la communauté fr. On a assez été pris pour des cons xD Mention aussi aux inter qui soutiennent la cause juste et/ou qui ressentent aussi ce sentiment vis-à-vis de leur propre communauté.
Peut être que les choses changeront, peut être pas, mais ce qu'il faut retenir c'est que, comme tout "arc" sur Twitch, on finira à la fin par passer à autre chose. De plus, les streamers du QSMP continueront à proposer du contenu même après QSMP, donc sur ce point, inutile de faire des adieux définitif.
Personnellement, même si mon compte est assez récent et très discret, je suis quand même contente d'avoir pu un peu contribuer à ma façon dans le fandom. Autant avec des dessins que des fanfic ^^ (Oui oui, des fanfics. Mais comme je suis une chaussette mouillée en interactions sociales, je préférai poster en Anonyme mdr)
Pour le moment, je préfère prendre des distances avec le projet QSMP (sans forcément me priver de poster de temps en temps des choses).
Bref, c'était long mais nécessaire. Merci d'avoir lu !
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juke-box67 · 3 months
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Discographie France Gall 1963-1964
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En octobre 1963 , France Gall sort son premier 45 tour EP avec «  Ne sois pas si bête » (PMD: 7,18€) , qui correspond à l’adaptation par Pierre Delanoë de « Stand a little Closer » des américains Jack Wolf et Maurice « Bugs » Bower. Ce vinyle sera vendu à moins de 50000 exemplaires en France . Il sera 24eme au hits parade en Belgique francophone et 34eme en France.
En 1964, c’est grâce aux paroles et à la musique de Serge Gainsbourg qu’elle chante « N’écoute pas les idoles » (PMD: 5,€) et « Laisse tomber les filles » (PMD: 10,00€). «  N’écoute pas les idoles est vendu à 75000 exemplaires alors que « Laisse tomber les filles » atteint les 100000 exemplaires. Ces deux morceaux approchent la 10ème place des hits parade français et belge.
La même année, elle collabore avec Robert Gall (son père) pour les paroles et Alain Goraguer pour la musique, et sort l’EP : « La cloche/Jazz à gogo » (PMD : 8€). C’est une adaptation française de la chanson «  My boyfriend got a beatle haircut », interprétée la même année par Donna Lynn.
Toujours avec son père pour les paroles mais grâce a la musique de Georges Lifeman, elle chante un tube à l’époque «  Sacré Charlemagne » (PMD: 4,00€). C’est son premier vrai succès avec 300000 exemplaires vendus et une 7eme place au hit-parade belge et une troisième au hit-parade français. L’histoire raconte que son papa aurait écrit cette chanson en repensant au jour où il avait grondé sa fille car elle avait écrit « Vive Charlemagne » dans l’ascenseur de leur immeuble. Cette chanson assortie de quelques erreurs historiques ( la barbe bleue de Charlemagne qui est finalement blanche et l’invention de l’école par Charlemagne qui est né bien après la création de celle-ci) ce qui ne l’a cependant pas empêché d’être la musique générique de plusieurs émissions télévisées telles que : « Le pensionnat de Chavagnes », « le pensionnat de Sarlat », « Retour au pensionnat » ou encore plus récemment « le club Dorothée ».
Toujours en 1964, France Gall sort trois albums :
-« N’écoute pas les idoles » premier 33 tours de 25 cm, paru en Mars 1964, reprenant les chansons de ses deux premiers super 45 tours ( « Ne sois pas si bête » et « N’écoute pas les idoles» ).
-« Mes premières vraies vacances » qui est son premier album studio 30 cm qui reprend les chansons de son premier album 25 cm en y ajoutant les morceaux de son troisième EP : « La cloche ». Cet album, sorti en Août 1964, est réalisé avec la participation d’Alain Goraguer et son orchestre.
- « Sacré Charlemagne, qui est un album 25 cm, reprenant des chansons déjà sortie sur EP ou 45 tours . Elle réalise de nouveau cette album avec l’orchestre d’Alain Goraguer. Les paroliers sont soit son père (Robert Gall), soit Serge Gainsbourg. Maurice Tézé rédige les paroles de « Nounours » et Maurice Vidalin celles de « Christiansen ».
En 1964, France Gall participe à l’album de Serge Gainsbourg dénommé « Gainsbourg percussions » dont le titre est « Pauvre Lola » . France Gall interprète le rire de Lola.
(PMD = Prix Moyen Discogs)
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19 / 04 / 2023
🇨🇵 FRANÇAIS / FRENCH 🇨🇵
HISTOIRE FICTIVE PERSONNELLE écrite en collaboration avec mon ami @tidodore2
- UNE HISTOIRE D'EURABIE -
LES VACANCES DU COUPLE ALGÉRIEN
PARTIE PAR submissivegayfrenchboy
Michel, gros Français blanc de 60 ans, vénére les Arabes depuis toujours. Mais personne n'a jamais voulu de lui, même comme esclave. Maintenant que les vrais hommes forts en France sont des mâles arabes, les gros blancs moches comme lui ont enfin une utilité.
Après avoir payé pour les vacances d'un couple de mâles arabes, Michel a été invité par eux pour leur servir de larbin. Riyad et Khader, les deux homos barbus et musclés, aiment parader dans les rues d'Alger avec leurs lourdes affaires portés par un vieux gros blanc.
Dans la piscine de l'hôtel de luxe qu'il avait payé avec sa maigre retraite, le gros blanc vit les deux mâles amoureux sortir leurs longs pieds de l'eau. Si appétissants. Lécher des délicieux pieds arabes valait bien d'être un serviteur.
Michel servit deux boissons aux deux amoureux qui étaient occupés à s'embrasser en se caressant leurs sexy pectoraux musclés.
Lorsqu'ils virent le larbin, ils n'eurent qu'une réaction : lui designer leurs pieds afin qu'il se prosterne pour les leur lécher.
PARTIE PAR tidodore2
KHADER : "Ça c'est la vraie vie de roi que l'on mérite ! Être servi et vénérer comme des dieux ! N'est ce pas, chien de Français !?"
PARTIE PAR submissivegayfrenchboy
RIYAD : "Ouais chien de céfran, les boissons sont assez fraîches ! Maintenant rafraîchis nous en léchant nos pieds !"
MICHEL : "Oui Maitre Riyad, il n'y a rien de meilleur pour un garçon cefran qu'être le lécheur des pieds d'un beau couple arabe ! Merci, maîtres !"
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PARTIE PAR tidodore2
KHADER : "On t'as déjà dit de nous appeler "Seigneur Riyad" et "Seigneur Khader" quand on est au bled, sale soumis de cefran !!! Sort de la piscine à poil et exibe ta petite bite à tous les mâles alpha de l'hôtel ! Puis tu te mettra à genoux devant nous en suppliant pour qu'on te pardonne et que tu puisses revenir nous lécher les pieds aux yeux de tous !"
PARTIE PAR submissivegayfrenchboy
Étonnamment, il n'était pas interdit pour les hommes de se dénuder publiquement, car les bites arabes étaient considérés comme dignes d'être admirés et les bites blanches étaient divertissantes à voir. Le gros Michel fit un tour sur lui-même pour que les beaux clients arabes puissent rire de sa microbite. Les mâles arabes sucés par des petits garçons blancs ou petites filles blanches admiraient de loin le couple gay arabe humilier leur larbin blanc.
Le couple d'amoureux algériens aimait s'embrasser devant le malheureux esclave blanc, qui était occupé à souffrir au soleil d'Algérie à porter les lourds sacs de shopping de ses maitres ou à lécher leurs pieds où qu'ils soient. Devoir lécher les longs pieds de mâles algériens homosexuels et plus jeunes que lui était humiliant pour le vieil homme gros, et même des français blancs se moquaient de lui lorsqu'ils le voyaient.
En Algérie, des petits garçons blancs étaient traînés en laisse par des hommes Arabes dont ils étaient les propriétés, mais Khader et Riyad préféraient avoir un vieil homme gros, afin que le contraste soit plus fort, mais de manière inversé.
Leur musculature rappelait à Michel sa faiblesse, son gros ventre lui valait d'être considéré comme leur cochon de compagnie et il arrivait aux amoureux de poser leurs longs pieds sur le ventre moelleux de Michel. Plus petit qu'eux alors que plus âgé, il s'effondrait sous le poids des sacs qu'il avait à porter. Les deux grands Algériens d'une trentaine d'années aimaient se promener main dans la main, l'un des deux tenant dans l'autre main la laisse relié au collier de leur soumis.
Et bien sûr, il ne se passait pas une soirée, qu'ils soient à table en traîner de dîner, dans le salon à regarder la télé dans les bras l'un de l'autre, ou au lit à s'embrasser et faire l'amour, où Riyad et Khader ne se faisaient pas lécher les pieds.
Même s'il était humilié le gros français blanc aimait chaque seconde passé à lécher des pieds et prendre des coups de ces amoureux sublimes.
FIN DE L'HISTOIRE
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🇺🇲🇬🇧 ENGLISH / ANGLAIS 🇬🇧🇺🇲
PERSONAL FICTIONAL STORY written in collaboration with my friend @tidodore2
- AN EURABIA STORY -
THE ALGERIAN GAY COUPLE'S VACATIONS
PART BY submissivegayfrenchboy
Michel, a fat 60-year-old white Frenchman, has always revered Arabs. But no one ever wanted him, even as a slave. Now that the real strong men in France are Arab males, fat, ugly white men like him finally have a use.
After paying for the holidays of a couple of Arab males, Michel was invited by them to serve as their servant. Riyad and Khader, the two bearded and muscular homosexuals, like to parade in the streets of Algiers with their heavy belongings carried by a fat old white man.
In the swimming pool of the luxury hotel that he had paid for with his meager pension, the big white man saw the two males in love taking their long feet out of the water. So appetizing. Licking delicious Arab feet was well worth being a servant.
He served two drinks to the two lovers who were busy kissing while stroking their sexy muscular pecs.
When they saw the lackey, they had only one reaction: to designate their feet to him so that he bows down to lick them.
PART BY tidodore2
KHADER: "That's the real king's life that we deserve! To be served and worshiped like gods! Isn't it, French dog!?"
PART BY submissivegayfrenchboy
RIYAD : "Yeah French dog, the drinks are cool enough ! Now refresh us by licking our feet!"
MICHEL: "Yes Master Riyad, there is nothing better for a Cefran boy than to be the licker of the feet of a beautiful Arab couple! Thank you, masters!"
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PART BY tidodore2
KHADER: "We've already told you to call us "Lord Riyad" and "Lord Khader" when we're in town, filthy cefran submissive!!! Get out of the swimming pool naked and show off your little cock to all the alpha males in the world hotel! Then you'll kneel down in front of us, begging us to forgive you and come back and lick our feet for all to see!"
PART BY submissivegayfrenchboy
Surprisingly, it was not forbidden for men to publicly strip naked, as Arab cocks were considered worthy of admiration and white cocks were entertaining to behold. Fat Michel turned around so that the handsome Arab customers could laugh at his microbite. Arab males sucked by small white boys or small white girls admired from afar the Arab gay couple humiliating their old white slave.
The loving Algerian couple loved to kiss in front of the unfortunate white slave, who was busy suffering in the Algerian sun carrying his masters' heavy shopping bags or licking their feet wherever they were. Having to lick the long feet of gay, younger Algerian males was humiliating for the fat old man, and even white French people laughed at him when they saw him.
In Algeria, little white boys were dragged on a leash by Arab men whose property they were, but Khader and Riyad preferred to have a fat old man, so that the contrast was stronger, but inverted.
Their muscles reminded Michel of his weakness, his big belly earned him to be considered their pet pig and it happened that lovers put their long feet on Michel's soft belly. Smaller than them while older, he collapsed under the weight of the bags he had to carry. The two tall Algerians in their thirties liked to walk hand in hand, one of them holding in the other hand the leash attached to the collar of their submissive.
And of course, not a single evening was going on, whether they were at the table hanging out over dinner, in the living room watching TV in each other's arms, or in bed kissing and making out. love, where Riyad and Khader didn't get their feet licked.
Even though he was humiliated, the fat white Frenchman loved every second spent licking feet and taking kicks from these sublime lovers.
END OF THE STORY
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Lounès Darbois: Paris ce n’est pas une ville pour “investir”, où n’importe quel putois mondial aurait droit à son “pied-à-terre”. Paris c’est la concentration du génie pratique français de la construction et de l’art ornemental passés par de crucifiants essais et erreurs étalés sur des siècles, trouvant début 17ème son type classique fixé dans la pierre calcaire et le toit d’ardoise, pour enfin en obtenir fin 19ème-début 20ème siècle, une merveilleuse résurrection néo-classique. Paris c’est pour les Français seuls, c’est “pour nous, à nous, chez nous”. Les squatteurs étrangers qui y résident n’ont pas été une seule fois capable de créer un seul bâtiment qui ait le quart de la beauté du plus laid bâtiment érigé durant l’âge d’or 1880-1914. Ce ne sont pas des parisiens ce sont des squatteurs de cavités laissées vacantes par les morts à la guerre et il y a un terme pour les gens qui cherchent ce mode d’habitation: des troglodytes. Et pas plus que de génie pratique, quantifiable, mesurable, concret, ils n’ont de sens esthétique du mode de vie. En vêtement, en gastronomie, en choix de locomotion ils sont lourdingues et nuls. Ils foncent aux grossiers commerces crasseux, aux viandes mal saignées étalées sans bardage sous les présentoirs sans feuillage, à côté de cela comparons ce qu’est une boucherie française traditionnelle, une boulangerie, une cordonnerie bien tenue, avec travail en tablier. Et l’ambiance de frénésie gaie des samedi après-midi de Paris jusque vers 2010, avec ses familles françaises nombreuses, ses jeunes femmes habillées, coiffées, ses darons sans ventre en manteau longs et chaussures cirées qui passaient en coup de vent acheter la tarte aux poires du déjeuner, toute cette petite beauté gratuite de la rue, la vraie France organique, parquet et lambris, ascenseur à grillage et escalier à tapis serti de tiges de maintien, tout le savoir-faire d’hommes inconnus d’avant, qui avaient des vrais beaux noms de provinces francophones, pas ces noms trafiqués de tricheurs importés, de gougnafiers qui n’ont jamais rien embelli et qui se prétendent des droits sur nous. C’est le ressentiment? Mais le ressentiment contre une telle exploitation, un tel mensonge, une telle colonisation forcenée alors que nous n’avions rien fait, cela ne s’appelle pas ressentiment cela s’appelle du sang qui crie justice, un véhément redressement qui renverse la pensée contre soi-même, cela s’appelle la Grâce, et merde et cent fois merde aux catégories nietzschéennes et à leur engrenage mental incapacitant. La vie organique d’abord bordel! Et l’évidence, l’intuition, l’instinct d’abord. Nous disons ce que nous disons pas pour l’avoir “pensé” (penser la société...) mais pour l’avoir expérimenté, payé sur le terrain depuis 20 ans, depuis 50 ans même pour certains, et il faudrait s’inhiber l’évidence par respect d’un philologue allemand d’université qui n’a jamais vu venir l’invasion barbare contrairement aux grands Français Art Déco, les Céline, les Morand dès 1925 avec L’Europe galante, dès 1928 avec Magie Noire? Et Lapouge même avant. La vraie impulsion révolutionnaire c’est ça, et tout ce que ça induit.
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ernestinee · 7 months
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J'ai terminé "Un sale livre", de Frank Andriat. J'étais dans un autre livre mais mon ado l'a lu pour l'école et il était tellement remué en me disant de le lire que j'ai déposé l'autre un petit peu. Ça m'a pris 2h, il y a 140 pages, je l'ai lu d'une traite.
C'est une histoire dans une histoire. On est dans une classe d'ados, qui reçoivent un livre à lire par leur prof de français qui est vraiment le genre de prof qu'on a envie d'avoir, gentille, ouverte et passionnée. Le livre qu'ils doivent lire raconte l'histoire de Nadir, immigré de Syrie, arrivé en France avec son père et sa sœur après que leur maman ait été tuée lors d'une raffle. On lit ce livre là en même temps que les étudiants. Chaque chapitre est le reflet du livre dans la vision d'une personne. La lectrice qui n'aime pas lire mais se plonge dedans tellement il est réel et utilise du vocabulaire normal, le père de la lectrice qui a feuilleté un peu et veut porter plainte contre l'école pcq le langage du livre est trop cru, la prof et sa passion, la documentaliste de l'école qui organise un débat tellement ce livre a remué les élèves, Faruk qui est lui aussi immigré de Syrie et dans l'école depuis quelques mois...
Les thématiques abordées sont nombreuses. Côté Nadir: le racisme, la condition des femmes, les conditions de vie sous daesh, ce que l'on ressent quand on doit fuir son pays et le laisser aux mains de barbares, changer de vie pour un avenir très incertain, se retrouver dans l'illégalité et arriver dans un pays qu'on croyait accueillant et qui finalement ne l'est pas tant que ça. Côté classe, ces thématiques sont abordées aussi et lorsque l'un des intellos de la classe sort que pour lui c'est "Un sale livre", on lit également l'avis des élèves sur ce que doit être un bon livre. Vaut-il mieux un vocabulaire cru mais vrai, qui montre vraiment la réalité ? Vaut-il mieux des belles phrases qui subliment la réalité au point de la camoufler ? Pourquoi la littérature jeunesse est-elle à ce point au ban pour certains érudits ?
La fin m'a mis les larmes aux yeux je comprends que mon ado me l'ait conseillé.
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carolemm · 2 months
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« Panorama » est un roman policier dystopique qui se passe en France en 2049.
Depuis la Revenge Week de 2029, révolution qui a éclaté suite au ras-le-bol d’une société où trop de crimes restent impunis, on vit dans l’ère de la Transparence.
Désormais, afin d’éviter les crimes, les Français peuvent vivre dans des maisons en verre où chacun peut/doit être épié par son voisin.
Plus de violences intrafamiliales, plus de maltraitances dans les EHPAD… Tout manquement aux lois, déclenche une arrestation suite à une dénonciation des voisins et en guise de tribunal, la vindicte publique. Le coupable doit prouver qu’il ne l’est pas.
L’histoire débute par une disparition, celle d’un couple et de leur enfant vivant dans un de ces quartiers en verre…
J’ai beaucoup aimé ce livre au style très épuré de Lilia Hassaine. On comprend vite que le crime n’est pas le sujet central. On vit dans un monde pas si différent du nôtre. J’ai apprécié les petites phrases sibyllines ironisant sur les même problèmes que ceux de notre monde actuel : la maltraitance, le qu’en dira-t-on, les écrans, les réseaux sociaux, l’éducation, la police, la santé, l’intimité sacrifiée à la sécurité, la dictature du paraître …
«  Il lui a enfin présenté Louise, qu'elle trouve formidable et ouverte, deux adjectifs qui ne veulent rien dire. Ouverte à quoi? je lui réponds, ça veut dire quoi « ouverte »? Ouverte sur le monde, curieuse, attentive, j'en sais rien moi, ça veut dire quoi « ouverte » ? Tolérante, elle voulait dire. Elle lui a parlé de sa bisexualité, et Louise a trouvé ça top, alors que je me suis contentée de hausser les épaules quand elle me l’a annoncée en avril. Je ne vois pas ce qu'il y a de top dans une orientation sexuelle, c'est la tienne et tu as le droit de mener ta vie comme tu l'entends. Je ne pense rien du fait qu'une femme soit bi, tout comme je ne pense rien du fait qu'elle soit noire ou asiatique, ce n'est Pas ma grille de lecture des gens... »
« Faire un effort. Pour quoi faire ? Ma fille est gonflée de certitudes mais c'est à moi de faire des efforts. Personne ne fait d'efforts ici. Rien ne nous y invite d'ailleurs. Ni l'école, ni la société, ni la technologie. J'allume mon smartphone, et je ne sais plus ce qui est vrai. Peu importe. Ce qui compte, c'est que ça circule. Les flux. Les tendances. Se laisser influencer par ses propres idées. L'algorithme nous approuve, entretient nos croyances, nous conforte dans nos choix. Je partage des articles, des posts, pour évangéliser mes amis, ma famille. Je partage, sans débattre. Ne pas communiquer, pour ne pas évoluer.
Échanger, pour ne surtout pas changer.
Alors faire des efforts... »
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claudehenrion · 3 months
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Qui est responsable ?
Le logiciel des princes qui croient qu'ils nous gouvernent alors qu'ils nous mènent à l'abattoir tient en trois mots : ''la transition verte'', un échec sanglant... leur satanée ''mondialisation'' (malgré son échec XXL)... et leur ''Europe'' qui n'est qu'une machine liberticide... Pour eux seuls, ces trois incongruités sont les seules clés du futur. Et si pas une seule n'a jamais marché... ce serait, à les écouter, ''parce qu'il faut plus des trois !'' (sic !), ce qui est une ''dystopie'''. Tout le monde le sait (jamais la confiance en la parole officielle n'a été aussi basse), mais personne ne dit rien.
 Cette énorme erreur d'aiguillage, on la connaît et on la subit depuis longtemps. En revanche, ce qui a surpris, c'est la vitesse de cette victoire du faux sur le vrai, obtenue à peu de frais (pour eux). Mais ils dominent tout avec une efficacité d'autant plus redoutable que le ''système'' est vraiment au point : il détruit tout, contrôle tout, ronge tout, avale tout, confisque tout... et ne produit rien en retour (au mieux, il redistribue... et encore... très mal !). La ''crise agricole'' vient de trouver une non-solution factice –puisque limitée à ''un report temporaire'' : nos doctrinaires n'ont rien lâché ! 
En résumé : une “caste” sans mérites particuliers autre que son ambition croit avoir reçu en partage le pays et ses richesses (devenues des prébendes, des rentes à vie, et des copinages florissants. Cf le gouvernement annoncé ce jeudi soir), et a délégué à une Administration pléthorique, qui est surpayée au sommet et dont la base croule sous des avantages syndicaux et statutaires, mais immérités et indus, qui se fout comme d'une guigne des habitants, tour à tour “usagers”, assujettis ou contribuables, des “ceux qui ne savent pas et n'ont pas besoin de savoir’’, inférieurs aux ’‘ceux qui savent et décident”. Et, pour paraphraser Voltaire, “que croyez-vous qu'il arrivât ? C'est le contribuable qui creva !”.
On l’a un peu oublié, mais tant le mouvement des gilets jaunes que la révolte paysanne actuelle (son dernier rejeton à ce jour), sont nés de la jacquerie fiscale de la France dite périurbaine –en vérité stigmatisée--, cette France de la clope et du diesel (comme avait osé le dire le macronien pur jus Griveaux). Ces maltraités se sont révoltes une première fois en novembre 2018 contre la fausse écologie (fausse, mais douloureuse) et contre une inutile taxe carbone. Ils ont prévenu sans agressivité la France des villes qu’ils avaient deux mots à lui dire à propos. Mais cela fait si longtemps que les “français de souche” ferment leur gueule que ce simple ''appel pour personne en danger'' fut une surprise pour des bureaucrates habitués à un ''entre soi'' qui exclut le peuple. 
Le pouvoir, pas aussi con qu'il en donne l'impression, a mis au point un gigantesque artifice pervers, factice, mensonger, nuisible, et j'en oublie : le covid, c'est-à-dire une fausse pandémie d'une fausse maladie mensongèrement prétendue gravissime qui a condamné les populations à être emprisonnés chez elles, à des limitations inutiles et injustifiables de leur liberté, dans des conditions d'humiliation extrême et des déluges de bêtises que personne de sensé ne croyait possibles (leur excès a créé l''effet surprise'' qui a rendu leur application possible)... La trouille a suffi à paralyser temporairement des révoltes justifiées et compréhensibles.
Avec cette malhonnêteté intellectuelle, le Pouvoir a acheté deux années de fausse tranquillité... exactement comme il est en train de le refaire sous nos yeux incrédules qu'une telle infamie puisse ''marcher'' deux fois de suite. Attendons la suivante : elle est inscrite, n'en doutons pas, dans les modalités de la fausse paix (faite de lassitude, de peur des violences policières, des impératifs de la ferme...) qui vient d'être achetée à coup de promesses dont aucune ne sera poursuivie à son terme, c'est d'ores et déjà écrit dans les textes.
La technostructure, jusqu'au sommet de l'Etat, a été contaminée par les deux vraies pandémies du temps, celles qui détruisent tout, partout, en permanence : la fausse écologie contr'écologique mortifère, assassine de toute douceur de vivre, mangeuse d'hommes, liberticide sans limite, et capable des pires gabegies, pour une menace inventée et fabriquée,(celle du Giec, de l'affreuse ado suédoise GretaThun-truc… et de Macron qui veut faire croire depuis hier qu'il pourrait avoir évolué, comme par miracle, sur ce point, fondamental pour son système de contre-références !) d'une part... et d'autre part, L'Europe-démolisseuse, qui a à peu près les mêmes symptômes et les mêmes conséquences (5 % des gens en veulent, et encore... pas pour tout !).. Ces deux pathologies se sont réunies dans le dernier avatar du mot ''religion'', avec tous les excès et les menaces que peut contenir en elle-même une iso-religion (fausse, en plus !).. Or, si nous la laissons s'épanouir, croître et embellir, des siècles de malheur nous attendent...
Cette “France périphérique” si bien décrite par le géographe Christophe Guilluy, a explosé au grand jour, à la surprise du microcosme qui ne voyait dans ces appels à l'aide désespérés “aucune revendication convenable” (pour lui : seuls comptent les lieux communs de la vieille “doxa” de gauche, périmée depuis des décennies... mais seule acceptée sur les ondes officielles…). Le résultat fut à la hauteur de la qualité des gouvernants : il ne se passe rien. Dormez, braves g...cons, vous qui ne demandez que l'arrêt des taxes directes, indirectes, écologiques, annoncées ou cachées pour tout ce qui touche à l'agriculture... et à l'auto : le rêve pervers des énarques est que vous vous endettiez pour acheter des bagnoles conformes aux diktats de la pseudo-écologie officielle (obligatoire), tout en vous interdisant de rouler à des vitesses normales, de vous garer… et de ''faire le plein'' sans des heures d'attente ! Lénine, retourne d'où tu viens, tu as rendu totalement fous nos énarques et notre administration ! 
A chaque fois, c'est la même chose : au début, on entend la voix du peuple français, celui qu'on a oublié, celui qui trouve idiot de se serrer la ceinture à mort pour les bébés pandas, pour 12 dauphins par an dans le Golfe de Gascogne, pour la protection des fourmis Gnamptogenys striatula ou pour les erreurs volontaires des ayatollahs du Giec qui prétendent que le sauvetage éventuel de la planète justifie le fait de la rendre invivable à l'homme... alors que si elle doit être esquintée un jour, ce sera par des cycles gigantesques qui nous échappent en totalité, et pas par nos incursions infiniment petites dans les domaines de l'infiniment grand. Le masochisme tous azimuts n'est pas la solution. Ni le malheur du monde... ni Belloubet à l'Education nationale !
Mais ça ne pouvait pas durer : ‘‘le peuple peut être dangereux, vous savez…’’. Les médias et le monde politique ont donc officiellement relooké en douce l'immigration, après l'ISF : le risque n'est pas bien grand, car d'autres taxes, dés-indexations ou ponctions cachés, et le stupide IFI pèse lourd sur le redressement du pays et l'effondrement désormais évident, du secteur ''Immobilier''). Et surtout, seuls les ralliés à la doxa la plus perverse (= la plus “à gauche”) ont droit à la parole, sur les ondes.
Les pauvres opposants, paysans, artisans ou retraités assassinés par la CSG à +25,53 %, épuisés par leurs fins de mois, sont tombés dans le piège… Mais comme ce sont des “purs” (NB : il faut un sacré culot pour les assimiler aux casseurs de l’ultra-gauche, aux pilleurs banlieusards et aux tueurs de flics que Darmanin, terrifié par leur capacité de nuisance, n' ose même pas désigner par leur nom. Le ''2 poids, 2 mesures'' de nos pleutres est une indignité intellectuelle), il ne va pas être facile de les renvoyer au seul rôle que les ‘’élites’’ leur assignent : payer des taxes “à la con” et fermer leur gueule. Ils rentrent chez eux... mais ils reviendront.
 Depuis le début de son règne, Macron a vraiment fait tout ce qu'il ne fallait pas pour fracturer la société française : progressistes contre conservateurs, femmes contre hommes, piqués contre ''non vaccinés'', actifs contre retraités, homos contre hétéros, et jeunes contre moins jeunes… et voilà qu'il en rajoute une couche en opposant les classes moyennes supérieures aux classes moyennes mais pas supérieures… A la veille de la ‘'Saison 60’’ du Salon de l'Agriculture, les seules perspectives de sortie de crise sont… de ne pas en sortir, ou alors, par le bas du bas... Ah ! Si vous saviez comme j'aimerais me tromper !
H-Cl.
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sushis4kalyo · 1 year
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Sauvez le tourisme en France : proposez des vacances culturelles ! 😁
J'vois plein de gens qui s'inquiètent du tourisme en France avec tout ce qui se passe ... alors qu'en vrai, si on regarde bien, on peut vraiment adapter nos offres touristiques à l'actualité !
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J'ai tilté ça en voyant de plus en plus de photos de gens, probablement des touristes, se faisant prendre en photo devant les poubelles et feux à Paris. Du coup, je me suis décarcassée pour qu'on puisse rester une bonne destination des tours opérateurs, voici quelques pistes :
Faire vivre la révolution française 2.0 aux touristes : Certains manifestent déjà devant les ambassades françaises, on peut convier les touristes qui sont déjà sur place à ce moment culturel 100% français ! On peut leur fournir une fourche sponsorisée par FO, une casquette à strass CGT et un photographe les prend en photo ! Imaginez comment ils seront fiers de raconter à leur famille comment ils ont accompagné les français dans leur lutte ! C'est pas donné à tout le monde de participer à un moment historique !
Prévoir des goodies ! Beaucoup de goodies ! Les casquettes CGT à strass auraient certainement du succès ! Ainsi que les boules de pétanque gravées "réforme des retraites 2023". Des sweats à capuche "qu'ils viennent me chercher" ou le badge "J'y étais" avec un gros 49.3 en flammes... même que les fonds pourraient être versés aux caisses de grève.
Des repas 100% traditionnels et conviviaux devant le journal de 13h. Le café en terrasse ... devant un bon feu de poubelle réconfortant. Possible partenariat avec Trogneux !
Faire un musée national de la Grève où les touristes peuvent découvrir comment on a obtenu ce droit, la création des syndicats etc.
Faire le parc à thème "Macronieland" où tu peux lâcher un pognon de dingue dans le 49.3 infernal (un rollercoaster où quand t'en veux plus, bah t'en as encore !), Tu peux aussi faire un tour dans le train BRAV-M (c'est comme le train fantôme sauf qu'au lieu des monstres, t'as des mecs qui te menacent avec des matraques en mousse et des fumigènes. Non, pas des vrais lacrymos, on est pas des monstres !). Les enfants pourront jouer à la pêche aux milliards (Comme la pêche aux canards, mais avec des petits bonhommes avec des logos McKinsey et BlackRock gravés) ... et niveau staff, on pourra même récupérer en CDD les anciens élus Renaissance quand ils traverseront la rue pour trouver du boulot.
Non franchement ... pourquoi on s'inquiète ?
Je déconne hein ... mais imaginez quand même !
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yaminahsaini · 4 months
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Aujourd’hui très fatiguée.. j’ai beaucoup dormis.. toujours des nausées mais également mal au ventre donc difficile de bien se reposer.. Et sinon j’avais oubliée de vous parler de quelque chose : Vous souvenez-vous lorsque j’ai re eus rdv avec le docteur pour Lyme ? Et bien elle m’avait fait un courier afin que l’on change les poches de nutritions de la sonde par un modèle qui ne contient pas de protéine de lait. Car selon elle ça pourrait jouer sur la fatigue et mon transit etc.. Et c’est vrai, j’ai remarquée que la nutrition me provoque des symptômes car des fois ça me fait tellement mal au ventre que je n’arrive pas à finir de faire passer la nutrition en une seule fois. Il est déjà arrivé qu’à cause des symptômes je saute des moments sans me brancher et là ça va beaucoup mieux (d’ailleurs aux usa ils m’avaient aussi dit qu’il était très important de les changer et de bannir complètement le lait de vache). Pour info: à l’époque ce docteur avait déjà demandé de changer mes poches contre quelque chose sans lait et les prestataires m’ont dit que ce n’était pas possible, du coup on avait essayé des poches et celle que je tolérais le mieux est donc celle que j’ai actuellement. Du coup cette fois-ci en transmettant le courrier à ma diététicienne qui s’occupe de ma nutrition par sonde, elle m’informe que les poches sans lait n’existent pas sur la territoire français mais qu’elle allait tout de même se renseigner. Je n’ai eu aucune nouvelle alors je lui ai demandé ce qu’il en ai et là aucune réponse… Je ne trouve pas ça normal que la France n’autorise pas ces poches ! En tout cas le docteur avait vu que ce genre de poches existe bel et bien…
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quebecaboo · 2 years
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Caractéristiques phonologiques de l'accent québécois
J'ai toujours aimé le français québécois. J’avais 12 ou 13 ans quand j’ai appris (brièvement) de la province à l’école et je me souviens d’avoir pensé “pourquoi on n’entend pas parlé souvent de cette communauté francophone sur notre propre continent quand il s’agit de la langue française ? C’est bien plus proche que la France.” Au cours de mon voyage d’apprentissage de français, cette pensée m’est restée et s’est manifestée éventuellement par un accent québécois.
Mais Aurélia, comment est-ce qu’un nerd de langues avec des moyens financiers minimaux peut développer un accent québécois sans jamais avoir voyagé au Québec ? C’est une bonne question. Voici comment je l’ai fait.
Avertissement: je ne suis pas linguiste et je n’ai pas non plus de formation universitaire en linguistique (ou pantoute, mdr)
Je devrais clarifier que ce post va se concentrer sur les différences de prononciation et moins de vocabulaire, puisque j’utilise encore des termes plus “européens” ça et là. Mon objectif est de garder mon français aussi québécois que possible, alors si tu es québécois et tu remarques que j’écris un mot que les québécois n’utilisent pas, laisse-moi un commentaire, s’il te plaît.
Il faut aussi mentionner qu’il y a plusieurs accents québécois et j’admets que je ne suis pas pleinement éduquée sur toutes leurs nuances. Celui que j’utilise et que je décris ci-dessous et une prononciation basée sur l’accent de l’ouest du Québec, plus ou moins près de la région de Montréal. Bref, c’est ce que j’entends sur Radio-Canada. Si tu es québécois et tu remarques des particularités que je décris qui s’utilisent dans une autre région, laisse-moi un commentaire. :) [Note: le langage qu’on utilise sur Radio-Canada est très formel et standardisé et n’est pas une vrai représentation du langage courant au Canada.]
Vous devez savoir aussi qu'il y a des communautés francophones et des différents accents partout au Canada, non seulement au Québec.
Oh et aux francophones de souche en général, ça fait plusieurs années que je n’écris pas en français, donc n’hesitez pas à corriger mes erreurs. Ça m’aide à apprendre !
D’accord, assez parlé de mes insécurités. 
Utilisant l’article de Wikipédia Français québécois et Radio-Canada comme référence, j’ai étudié la prononciation. J’ai commencé avec les consonnes, qui sont plus faciles que les voyelles. 
Les consonnes
Avant les voyelles i (y compris les autres orthographies du même son comme y) et u, les consonnes d et t deviennent dz et ts. Par exemple: 
du > “dzu”
diplôme > “dziplôme”
situation > “sitsuation”
satisfait - “satsisfait”, etc. [Note: ça se prononce “etchétérâ” au Québec.]
Les groupes de consonnes finales se réduisent. Exemples:
possible > possib’
capable > capab’
vinaigre > vinaig’
correcte > correc’
pauvre > pauv’
arbre > arb’
ministre > minist’
etc.
Certaines combinaisons de voyelle + R peuvent devenir voyelles rhotiques dans un discours rapide, très similaire que le son R en anglais à mes oreilles. Je n’ai pas réussi à retrouver des informations sur ce phénomène, mais je suis certaine que je l’entends, alors voici ma meilleure tentative de transcription d’API. Exemples: 
père [pɑ˞]
frère [fʁɑ˞]
mesure [mezʏ˞]
cœur [kɚ] 
voir [vwɑ˞]
Des gens aussi prononcent les mêmes combinaisons ainsi dans un discours plus lent et plus énoncé:
père [pæɪ̯ʁ]
frère [fʁæɪ̯ʁ]
mesure [mezʏʁ]
cœur [kaœ̯ʁ]
voir [vwɛʁ] ou [vwɑʁ]
Historiquement, on utilisait le R roulé [r] dans l’ouest du Québec et le R grasseyé [ʀ] dans l’est, mais aujourd’hui le R grasseyé est dominant partout au Québec et cette distinction est considérée comme dépassée.
Les voyelles
En français québécois, on distingue entre les voyelles brèves et longues.
a: Version longue est dipthonguée et se réalise en syllable finale fermée et/ou avec circonflexe. 
Exemple: patte [pat] vs. pâte [pɑːt] ou [pɑ��̯t], gagner [gɑɲe]
e/ai: Version longue est dipthonguée se réalise en syllable finale fermée et/ou avec circonflexe. 
Exemple: mettre [mɛt] vs. maître [mɛːt] ou [maɪ̯t], fête [fɛːt] ou [faɪ̯t]
i: Relâchée comme [ɪ] en syllable fermée et [i] partout ailleurs.
Exemples: six [sɪs], machine [maʃɪn], parti [paʁtsi], jeudi [ʒœ˞dzi]
o: Version longue est dipthonguée et se réalise en syllable finale fermée et/ou avec circonflexe. 
Exemple: botte [bɔt] vs. autre [ou̯t], fantôme [fæ̃tou̯m]
eu/œu: Dipthonguée en syllable finale fermée. Rhotacisée en syllable finale ouverte.  
Exemple: neutre [nøy̯t], feutre [føyt]; feu [fœ˞], deux [dœ˞]
u: Relâchée comme [ʏ] en syllable fermée et [y] partout ailleurs.
Exemples: une [ʏn], habitude [abɪtsʏd], perdu [pæɪ̯ʁdzy]
ou: Relâchée comme [ʊ] en syllable fermée et [u] partout ailleurs.
Exemples: poule [pʊl] vs. vous [vu]
voyelles nasales: 
an/en [æ̃] Ex: divan [dzivæ̃], lentement [læ̃tmæ̃]
in [ẽĩ̯] Ex: matin [matẽĩ̯]
on [õũ̯] Ex: cochon [kɔʃõũ̯]
un [œ̃˞] Ex: brun [bʁœ̃˞]
oi > oé (oir > ouère): moi (parfois écrit moé) [mwe], noir [nwɛʁ] ou [nwɑʁ]
Bien sûr, le français québécois est bien plus qu'un changement de prononciation. Il existe de nombreuses différences de vocabulaire par rapport aux variétés européennes, surtout dans l'argot et le discours informel. Sa caractéristique la plus connue est probablement l'usage des sacrés (ou jurons) avec une connotation religieuse. Par exemple: tabarnac, osti, criss, câlice, etc.
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linstantdavant · 1 year
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Portrait robot du bourgeois, par Régine Pernoud (deuxième partie)
DE LA BOURGEOISIE RÉVOLUTIONNAIRE QUI RENVERSE CHARLES X
Le texte qui suit est un extrait du livre de l'Historienne et Archiviste Régine Pernoud La bourgeoisie, PUF, col. Que sais-je ?, Paris, 1985, p. 7-21.,
Impérialisme et patriotisme au service du commerce
La liberté ! sa défense sur le plan du commerce extérieur a été remarquablement illustrée par le gouvernement anglais qui, toujours en avance sur la France en ce domaine, n’a pas craint d’engager ses forces navales l’année précédente (1839) en Extrême-Orient. L’attaque victorieuse du fort de Bogue à l’entrée de la rivière de Canton, bloquant la ville et bientôt celle de Shang-Haï, a obligé la Chine à s’ouvrir au commerce de l’opium que l’Inde produit en grande quantité — ainsi qu’aux prédications des missionnaires. Il faudrait souhaiter aux dirigeants de la politique française une attitude aussi résolue dans la protection du commerce national. Cette guerre est la première qu’une nation d’Europe ait livrée sur les rivages de la Chine : sujet d’orgueil pour les forces britanniques. L’Extrême-Orient s’ouvre désormais aux exportateurs avec ses débouchés à peu près illimités.
Il est vrai qu’un élan patriotique se fait jour en France et qu’en Algérie il semble qu’on se décide enfin à prendre pied. Après l’héroïque assaut de Constantine (1837), nos troupes que mène le brave général Bugeaud, prévoient sans doute des opérations de plus grande envergure. Bugeaud, on le sait, envisage une colonisation à la romaine et songe à installer sur ce sol plein de promesses des vétérans, des soldats-laboureurs.
En fait l’Afrique du Nord offre surtout à nos portes un champ immense au commerce français : or, à quoi bon produire si l’on ne peut écouler ses produits dans de bonnes conditions ? Les filatures de Manchester ont pris leur considérable essor parce que dans les Indes des populations entières sont vêtues des cotonnades qui en proviennent. Nos industriels doivent le comprendre pour développer ces richesses qui font la prospérité d’une nation et dont finalement tous ses membres profitent ; il faut vendre.
Ainsi peut-on résumer, dans leurs structures essentielles, les préoccupations premières du bourgeois, aux environs des années 1840.
La propriété
Des propriétés foncières souvent issues de la vente des biens nationaux
En dehors du domaine des affaires, son principal souci concerne la propriété qu’il possède — de préférence aux proches environs de Paris, car les longs déplacements l’ennuient et lui feraient perdre un temps précieux pour la conduite de ses activités.
Lui-même ou sa femme, ou l’un et l’autre, ont hérité de leurs parents terres et châteaux acquis lors de la vente des biens nationaux pour quelques poignées d’assignats sous la Révolution. Et il s’agit de toute façon de propriétés de rapport sur lesquelles vivent des familles de laboureurs sous la conduite d’un régisseur. Il y fait bâtir une maison de maîtres que son architecte a trouvé bon d’agrémenter d’une tourelle dans le style moyenâgeux et qu’il a entourée d’un parc à l’anglaise avec un cyprès, une pièce d’eau, des bosquets et des tonnelles qui abritent un Cupidon de marbre — cadeau fait à sa femme. Ses fermages constituent une portion solide dans ses revenus et il ne lui déplaît pas. bien que lui-même ne soit qu’un fusil médiocre, d’inviter à l’automne quelque manufacturier ou grand commerçant, ses confrères, pour une partie de chasse dans les bois qui lui appartiennent.
La propriété : un droit inviolable et sacré
Pour lui, l’article important entre tous de la Déclaration des Droits de l’Homme est celui qui fait de la propriété « un droit inviolable et sacré ». – Il est impitoyable lorsqu’il s’agit de réprimer les abus de ces paysans qui tentent, consciemment ou non, d’invoquer les anciens droits d’usage ; tout braconnage sur ses terres, toute coupe de bois illégale dans sa portion de forêt font l’objet de procès tenacement poursuivis. – Les murs qu’il a fait élever pour clore ses propriétés une fois pour toutes sont pour lui le symbole de ce droit d’user et d’abuser que le Code civil a reconnu au propriétaire il n’y a pas cinquante ans. Achetée par son père à la même époque, cette terre sert d’assiette à l’impôt foncier qu’il verse, moyennant quoi il se sait chez lui.
Défendre le régime bourgeois
Le revenu de sa propriété lui a permis dans sa jeunesse d’échapper au service militaire dont la Révolution a étendu l’obligation à tous les citoyens. Notre bourgeois s’est donc acheté un remplaçant, mais il n’en exerce pas moins un certain service armé dans la Garde nationale que Louis-Philippe a instituée dès 1831 : Pour défendre la royauté constitutionnelle et la Charte, maintenir l'obéissance aux lois, conserver ou rétablir l(ordre et la paix publics
Il s’y retrouve d’ailleurs en bonne compagnie : la garde se compose à peu près uniquement de bourgeois, commerçants, industriels, rentiers ou fonctionnaires ; on impose à chacun de fournir équipement et uniforme, ce qui suffit à en écarter les éléments indésirables. En souvenir de l’ancienne Rome, la garde se divise en légions qui élisent leurs officiers et sous-officiers. Notre bourgeois revêt donc certains jours l’habit bleu, le pantalon garance et se coiffe du shako au plumet tricolore.
Un impôt foncier (cens) qui donne accès au pouvoir politique
Mais ce qui importe surtout pour lui, c’est que l’impôt qu’il verse fait de lui un électeur. Notre bourgeois vote. Il fait partie de ceux qui, versant l’impôt foncier ou la patente, ont en mains les destinées de la nation.
Le régime censitaire a été institué par la Constituante en 1789 et maintenu par la Charte ; celle-ci imposait, pour être électeur, un cens d’au moins trois cents francs, pour être éligible au moins mille francs.
Avec Louis-Philippe le cens a été réduit de trois cents à deux cents francs pour l’électeur et à cinq cents francs au lieu de mille pour être éligible. Le bourgeois appartient à cette classe d’environ deux cent mille électeurs dont les votes déterminent la politique du pays : un pays qui comporte environ trente millions de Français sur lesquels dix millions payent un impôt. Il fait partie de ce que l’on appelle le « pays légal ». Des électeurs censitaires qui le composent, la moitié a plus de cinquante-cinq ans d’âge en 1840. La grande question qui occupera le centre des débats sous le règne de Louis-Philippe sera de savoir si l’on doit, à ces électeurs payant un cens suffisant pour faire partie du pays légal, ajouter un certain nombre de personnalités dont le cens est moindre, mais qui représentent une valeur importante pour le pays : c’est le fameux débat sur l’adjonction des capacités, qui soulèvera des tempêtes à la Chambre, et d’ardentes discussions dans la presse. On considérera finalement que des généraux, des membres de l’institut pourront être électeurs eux aussi, même si leur cens ne dépasse pas cent francs. Car on aurait tort de voir en ce bourgeois que favorise le régime censitaire un adversaire des valeurs intellectuelles.
La vie sociale
Le bourgeois français est un homme cultivé
Le bourgeois français est un homme cultivé, très cultivé même. Il tient à la culture classique qui a fait la gloire des trois siècles précédents.
Lui-même a bénéficié d’une solide formation humaniste, peut-être même dans un de ces collèges de jésuites dont il apprécie la pédagogie bien que, comme tous les libéraux de son temps, il ait voté leur expulsion sous la Restauration.
Il tient même essentiellement à cette culture classique et au latin qui en constitue la base — autant qu’il tient au droit romain qui constitue la base du Code civil ; il applaudira de toutes ses forces à la représentation de la Lucrèce de François Ponsard à l’Odéon en 1843 et considérera le succès de cette pièce comme une revanche sur le scandale d’Hernani.
Très amateur de beaux-arts, il professe, comme tout le monde ou à peu près à l’époque, que « l’antique est la première base de l’art », et rappelle au besoin que Colbert, lorsqu’il envoyait des jeunes gens à Rome, leur recommandait de copier soigneusement la sculpture antique sans y rien ajouter. Si pour lui le grand maître reste David, il est ouvert aux peintres de son temps et voue une fervente admiration à Ingres comme à Prud’hon.
Face à ces œuvres solides dans lesquelles semble s’incarner la vision classique, rien ne l’irrite autant que les fantaisies désordonnées de Delacroix en peinture, de Victor Hugo ou de Lamartine dans les lettres. Amateur averti, il suit le mouvement des salons et se plaît lui-même à collectionner des œuvres d’art d’une valeur éprouvée. Il fait confiance à ces critiques très écoutés que sont un Guizot ou un Thiers. a la suite de ce dernier il voudra avoir son portrait peint par Paul Delaroche et sera transporté d’admiration pour les statues qui décorent l’église de la Madeleine ou pour les bas-reliefs de l’Arc de Triomphe — ceux du moins de Cortot et d’Etex, plus classiques que celui qu’on a confié à Rude.
Il voyage peu mais s’il se permet quelque jour un voyage à l’étranger, ce sera pour visiter la Florence des Médicis. En attendant il achète d’excellentes copies, dues aux élèves des Beaux-arts, des chefs-d’œuvre de la Renaissance italienne, qui meublent son salon.
Du beau monde dans son salon
C’est dire que cet homme mène une vie rangée mais pas nécessairement austère. Avoir un salon signifie qu’il reçoit. Il reçoit même beaucoup ; ses dîners réunissent des hommes politiques, de hauts fonctionnaires, des manufacturiers — tous hommes vêtus de la tenue noire de rigueur ; leurs femmes, épaules découvertes, chignons hauts, bandeaux encadrant sagement le visage, sont des figurantes dans ces repas qui ressemblent d’aussi près que possible : manières, vêtements, conversations, à ceux que donne M. Thiers.
Portrait de la bourgeoise
Une activité cantonnée à la vie domestique
Il apprécie chez sa femme les qualités de maîtresse de maison. – Elle appartient comme lui à une famille d’industriels, de commerçants ou de fonctionnaires. – De toute façon, elle a reçu une éducation soignée dans une maison religieuse où bons principes, bonnes manières et bons sentiments ne lui ont pas été ménagés. – Elle a durant toute sa jeunesse pratiqué les arts d’agrément, appris la danse, le piano, l’aquarelle. – Elle a par ailleurs apporté à son époux une dot respectable qu’il gère sans avoir à lui en rendre compte puisque celle-ci fait désormais partie de la fortune personnelle du mari.
Son temps à elle s’écoule surtout au foyer : surveiller le personnel domestique, veiller à l’ordonnance des dîners avec un soin que facilite sa connaissance exacte du protocole, grâce aux ouvrages sur le savoir-vivre et les usages en société qui sont alors très répandus.
Ses distractions
La mode, les concerts, le théâtre, où elle accompagne son époux, font ses distractions, ainsi que l’exercice d’une « charité raisonnable » selon l’expression d’Eliza Guizot : comités de bienfaisance, ventes de charité ; et comme elle est sensible et bonne, il lui arrive même, lorsqu’elle apprend que quelqu’un est malade dans les familles d’ouvriers qui sont logées sous les combles de son immeuble, de lui faire porter par sa femme de chambre un bol de bouillon.
Un fils unique pour préserver l’héritage
Elle s’est occupée aussi de l’éducation de son fils, mais cette éducation lui échappe depuis que le jeune garçon, interne dans un lycée parisien, ne passe que quelques heures en famille le dimanche. Il lui est dur de savoir que ce fils qu’elle chérit est élevé dans un encadrement quasi militaire, éveillé chaque matin à cinq heures au son du tambour suivant la stricte discipline du lycée Descartes (aujourd’hui Louis-le-Grand), mais elle reconnaît la nécessité de cette éducation sévère pour le futur polytechnicien, et les plaintes du jeune garçon contre les punitions que distribue à tort et à travers le maître d’études chargé de la surveillance et du silence au dortoir et au réfectoire lui apparaissent comme un mal inévitable. Du reste elle connaît trop son devoir pour s’élever contre l’autorité de son époux, en matière d’éducation comme dans la gestion de leur fortune.
Le ménage n’a que ce fils — les partages successoraux en seront évités — et si pour elle-même elle eût souhaité avoir aussi une fille, du moins se dit-elle que leur prudente abstention lui a évité de mettre au monde un être dont le destin eût été semblable au sien, voué à l’obéissance et à la résignation. Son fils aura la destinée qui sied au sexe masculin, plus favorisé par les lois naturelles.
La contrepartie : la maîtresse de l’époux
Elle n’ignore pas, certes, que — contrepartie aux restrictions qu’ils doivent l’un et l’autre s’imposer — son époux a une maîtresse, mais il a garde d’en faire étalage et se conduit envers son épouse légitime avec toute la délicatesse qu’elle peut souhaiter.
Elle sait qu’elle n’aura à craindre aucun de ces écarts qui peuvent jeter le discrédit sur une famille, et la blesser, elle, dans son honneur. Aussi ne manque-t-elle pas de s’apitoyer sur les femmes chargées d’enfants des familles ouvrières.
Il est vrai, les enfants travaillent et contribuent un peu par leur travail aux besoins de ces ménages sans cesse au bord de l’épuisement : c’est l’argument que compte faire valoir son époux lorsque la loi dont on parle, visant à interdire le travail des enfants de cinq à huit ans dans les usines insalubres, passera en discussion à la Chambre.
L’ambition politique du bourgeois
L’idéal du conservatisme
Pour en revenir au bourgeois lui-même, il serait faux de ne voir en lui qu’un homme aux ambitions limitées. Mais son ambition est autre que celle de son grand-père, qui eût tant souhaité épouser une fille de la noblesse, autre que celle de son père qui désirait être introduit à tout le moins dans la noblesse impériale : son ambition, il l’a mise au service de ses visées politiques et en ce sens il a réussi. Mais il en a une autre : après le siège à la Chambre des Députés, il vise le fauteuil à l’Académie des Sciences morales et politiques. Le bourgeois est un homme assis.
Ce sont là ambitions raisonnables et qui ne pourront mettre en péril la position de ses affaires : il se méfie de l’agitation quelque peu inquiète de ceux qui, par la spéculation, par l’accélération de leur industrie ou, plus grave encore, par la hardiesse de leurs conceptions politiques, menacent la sécurité à laquelle — après tant d’avatars ! — on se trouve parvenu sous le règne de Louis-Philippe. À tout ce qui menace cette sécurité il faut imposer un frein. C’est à quoi s’emploie un ministre parfaitement conscient des intérêts supérieurs du pays, Guizot, lequel sait à la fois stimuler une jeunesse turbulente (« Enrichissez-vous par le travail et la pratique des vertus morales ») et tempérer ou aplanir tout ce qui, à l’intérieur ou à l’extérieur, risquerait de provoquer une marche en avant désormais inutile.
À toute turbulence sociale, opposer l’inertie de l’administration
Au reste le bourgeois sait que la société possède un appareil d’institutions sur lesquelles on peut se reposer en toute confiance : cette administration dont l’a doté Napoléon, qui fut en réalité l’homme de la bourgeoisie ; on ne lui doit pas seulement la banque et l’université, mais cette précieuse mise au point d’une mécanique intérieure que lui-même résumait en trois mots : « mes gendarmes, mes préfets, mes prêtres ».
Dommage qu’à lui-même on n’ait pu en son temps appliquer ce système de freinage si précieux dont il a doté la France — en l’espèce son administration car, irresponsable et anonyme, capable par sa seule force d’inertie de paralyser toutes les turbulences, d’entraver toutes les initiatives irréfléchies, de couper court à toutes les inventions personnelles, l’administration française permet, avec une admirable continuité et dans un silence efficace, de mettre en œuvre, puis de poursuivre toutes les entreprises propres à assurer la stabilité des classes dirigeantes, celles qui ont fait la preuve de leur aptitude à détenir le pouvoir réel. Tandis que les jeux de la politique amusent le public et fournissent des dérivations à des ardeurs combatives qu’il vaut mieux tolérer, du moins en apparence, pour n’avoir point à les combattre de front, l’administration, elle, demeure ; avec le Code civil, elle est le grand œuvre du grand homme.
L’idéal napoléonien : administration et Empire
Aussi notre bourgeois a-t-il été le partisan enthousiaste du retour des cendres de Napoléon, que le roi des Français a réclamées et qui, revenues de Sainte-Hélène, sont installées cette année même, en 1840, à la crypte des Invalides, en attendant le somptueux tombeau dont on a confié l’exécution au plus grand des sculpteurs, Pradier.
C’est à Napoléon qu’on doit d’avoir mis le point final à l’organisation même du pays grâce à cette armée de fonctionnaires, réglementée par un cadre supérieur, un cerveau qui se trouve à Paris. Nulle part dans l’Histoire, on ne trouvera semblable réussite, sinon à Rome même, cette Rome sur laquelle s’est calquée la France bourgeoise. Car la France est à l’image de l’Empire romain. On ne peut la désigner que par le nom de sa capitale : Paris. Rome résumait l’immense Empire romain ; Paris résume la France, et bientôt son immense Empire.
Anticléricalisme, mais tolérance d’une Église d’État pour maintenir l’ordre social
Et c’est en ce sens que, bien qu’ayant hérité du solide anticléricalisme de toute la bourgeoisie, qui ne jure que par un Voltaire ou un Diderot, notre bourgeois approuve pleinement aussi le Concordat qui complète l’œuvre du grand homme et qui d’ailleurs ne fait que renouveler celui qu’avait conclu jadis le premier de nos monarques, François Ier.
Une Église d’État, pourvue de cadres qui sont autant de fonctionnaires : prêtres et évêques, est un garant de l’ordre social. Il faut bien promettre à ceux qu’écrase le libre jeu des lois naturelles un monde meilleur après celui-ci. Il faut une religion pour le peuple. Et Voltaire le premier en savait la nécessité. Deux conditions toutefois : que cette Église, payée par l’État, soit soumise à L’État et n’aille pas chercher des consignes ailleurs que dans ce pays légal qui assure l’existence de ses membres ; – il est intolérable que récemment (cela s’est passé en 1837) le pape ait renouvelé ses antiques prescriptions contre le prêt à intérêt dont chacun sait qu’elles sont définitivement périmées. Un pape réactionnaire ! Une Église qui se trompe de siècle ! Des prohibitions remontant à ces temps obscurs du Moyen Âge pendant lesquels le commerçant était brimé et la manipulation de l’argent interdite ! – L’autre condition, c’est que l’Église ne soit pas admise à diriger les cerveaux de la société éclairée. Qu’elle instruise le peuple, c’est fort bien, tant qu’il s’agit d’une bonne instruction élémentaire et technique formant des ouvriers honnêtes et capables ; mais qu’elle ne touche ni à l’université ni aux grandes écoles, réservoirs d’une jeunesse qui doit être formée à l’efficacité, au service de l’État, à la poursuite des légitimes ambitions de la société bourgeoise.
De même peut-on concéder à l’Église quelques avantages honorifiques et reconnaître son aptitude à bien élever les filles de la bourgeoisie, en leur inculquant une saine résignation à leur état et quelque crainte du péché —, ce péché de la chair qui, chez les filles, peut avoir des conséquences catastrophiques du point de vue social.
Car notre bourgeois serait volontiers manichéen à ses heures : une seule faute, celle de la chair — et elle est forcément moins grave pour l’homme que pour la femme, puisqu’elle n’entraîne pas les mêmes conséquences naturelles.
À la recherche d’une raison d’être
Ah certes ! cet univers de l’argent est par bien des côtés méprisable. Aussi le bourgeois ne cherche-t-il pas à se glorifier de sa richesse. Non, contrairement à ce que l’on croit, le bourgeois n’éprouve en réalité que mépris pour l’argent. Ce qu’il honore, c’est uniquement ce que l’argent lui a permis d’acquérir : les objets d’art qui peuplent son salon, les éditions précieuses qui commencent à meubler sa bibliothèque. Or il est bien certain que tout cela nécessite une élite.
Ce n’est pas le bourgeois certes, on le reconnaît volontiers, qui alimente les belles-lettres et les beaux-arts, mais c’est autour de lui et dans la société qu’il crée et qu’il maintient que peuvent vivre ceux qui se consacrent aux lettres et aux arts. Cette noblesse de l’esprit qui fait la grandeur d’un pays, elle ne peut subsister que grâce à ceux qui ont eux-mêmes acquis suffisamment d’opulence pour la faire vivre, et l’on peut en dire autant des découvertes scientifiques : Ce n'est pas le riche qui fait souvent ces sublimes découvertes, bien que ce soit lui quelques fois, mais c'est lui qui les encourage, c'est lui qui contribue à former ce public instruit pour lequel travaille le savant modeste et pauvre. C'est lui qui a les vastes bibliothèques ; c'est lui qui lit Sophocle, Virgil, le Dante, Galilée, Descartes Bossuet, Montesquieu, Voltaire. Si ce n'est lui, c'est chez lui, autour de lui qu'on les lit, les goûte, les apprécie, et qu'on réunit cette société éclairée, polie, au goût exercé, pour laquelle les génies écrivent, chantent et couvrent la toile de couleurs.
Il n’y a rien à ajouter à cette constatation de Thiers énonçant tout ce qui justifie à ses propres yeux l’existence du bourgeois.
Conclusion sur le régime bourgeois
Le pouvoir politique d’une petite minorité
Soulignons tout de suite l’objection qu’on ne manquera pas de formuler à la lecture de ce portrait-robot du bourgeois : c’est celui d’un très grand bourgeois comme il y en eut assez peu en France ; vers 1840, nous l’avons vu, le nombre des électeurs ne dépasse pas cent quatre-vingt-dix mille pour environ trente millions de Français. Par cela seul qu’il fait partie du pays légal, le bourgeois décrit ne correspond en effet qu’à une très petite minorité.
Mais cette minorité est celle qui gouverne et par conséquent détient le pouvoir. Il ne s’agit pas seulement du pouvoir politique : l’administration est à son service ; ce n’est que plus tard, et surtout au XXe siècle, qu’elle se trouvera de plus en plus indépendante des personnalités politiques élues — avec encore bien des exceptions !
Une petite minorité, modèle de tout le Pays
D’autre part, l’influence de cette minorité s’exerce en profondeur et cela d’autant plus que, par ses intérêts, par ses préoccupations familières, une fraction importante de la population — celle qui compose à Paris la Garde nationale — est toute disposée à accueillir cette influence ; il n’est pas une boutique où l’on n’accorde au bilan annuel, à l’actif et au passif, le même intérêt que le grand banquier ; pas une petite entreprise qui ne se ressente de l’importance nouvelle de la grande industrie, pas un petit rentier qui ne surveille le cours des valeurs en Bourse avec un intérêt aussi actif que le grand financier. Enfin, pas un notaire de province qui ne se fût senti honoré, comblé d’aise, à l’idée de recevoir Cunin-Gridaine ou d’être reçu par lui.
Ce bourgeois est donc parfaitement représentatif d’une classe qui déborde largement le pays légal et dont la mentalité sinon les structures se calquent sur la sienne, cela jusque dans les provinces les plus lointaines, ou disons plutôt dans les plus lointaines petites villes de province, puisque le bourgeois demeure l’homme de la ville.
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14 / 05 / 2023
🇨🇵 FRANÇAIS / FRENCH 🇨🇵
HISTOIRE FICTIVE PERSONNELLE écrite en collaboration avec mon ami @tidodore2
UNE HISTOIRE D'EURABIE
- LÉCHER DES PIEDS EST ARABES OBLIGATOIRE POUR LES FRANÇAIS -
PARTIE DE tidodore2
AHMED : "Prosterne toi devant ton dieu, chien de Français, et donne moi 3 raisons pour lesquelles tu me vénère plus que n'importe qui d'autre !"
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PARTIE DE submissivegayfrenchboy
Repéré par Ahmed sur un site prônant la supériorité des Arabes, Luc ne pensait plus qu'aux pieds de ce dernier. Tout ce qu'il aimait faire de son temps libre, c'était se prosterner aux pieds du grand et musclé Ahmed.
LUC : "Maître, je vous vénére car vous êtes d'une incroyable beauté, vous êtes d'une force sans égal, et tout ce que vous dites est intelligent et juste. Je ne mérite pas d'être libre !"
PARTIE DE tidodore2
AHMED :"C'est exact, les Blancs ne devraient pas vivre librement ! Vous n'êtes que des infidèles et vous prônez l'homosexualité et la décadence ! Insh'Allah, il existe encore de vrais hommes comme moi pour vous dresser et vous montrer votre juste place ! Demande pardon d'être un mécréant, et embrasse ma toute puissance, dhimmi !!!"
PARTIE DE submissivegayfrenchboy
Entre deux baisers plantés sur les très longs et musclés pieds de son maitre arabe, voici ce que dit Luc : "Pardon Seigneur Ahmed de ne pas avoir livré la France aux Arabes depuis plus longtemps ! Nous sommes les inférieurs naturels des Arabes et vos pieds sont plus beaux que moi ! Je suis indigne de lécher vos crottes, je vous supplie de dominer les Français comme moi !"
Oui, vivre en France vénéré par des Blancs pathétiques était décidément bien agréable pour Ahmed.
FIN DE L'HISTOIRE
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🇬🇧🇺🇲 ENGLISH / ANGLAIS 🇬🇧🇺🇲
PERSONAL FICTIONAL STORY written in collaboration with my friend @tidodore2
AN EURABIA STORY
- LICKING ARAB FEET IS MANDATORY -
PART OF tidodore2
AHMED: "Bow down before your god, French dog, and give me 3 reasons why you worship me more than anyone else!"
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PART OF submissivegayfrenchboy
Spotted by Ahmed on a site advocating the superiority of the Arabs, Luc was only thinking of his feet. All he liked to do in his spare time was bow down at the feet of the tall, muscular Ahmed.
LUC: "Master, I worship you because you are incredibly beautiful, you are of unparalleled strength, and everything you say is intelligent and fair. I don't deserve to be free!"
PART OF tidodore2
AHMED: "That's right, white people shouldn't live freely! You are only infidels and you advocate homosexuality and decadence! Insh'Allah, there are still real men like me to train you and show you your rightful place! Ask forgiveness for being a disbeliever, and embrace my almightiness, dhimmi !!!"
PART OF submissivegayfrenchboy
Between two kisses planted on the very long and muscular feet of his Arab master, here is what Luc says.
LUC : "Sorry Lord Ahmed for not having delivered France to the Arabs for a longer time! We are the natural inferiors of the Arabs and your feet are more beautiful than me! I am unworthy of licking your droppings, I beg you to dominate the French like me!"
Yes, living in France worshipped by pathetic white men was definitely very pleasant for Ahmed.
END OF THE STORY
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randomnameless · 1 year
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Je suis repartie 5 min sur jvc pour voir les ventes de Fe17 en France...
C'était immonde, du dedel discourse dans les commentaires, "TH c'est du shakespeare" gars shakespeare c'est pas le nom de ton nouveau milkshake au earl grey, "téma la honte il préfère un jeu anniversaire aux vrais jeux"- gros t'as oublié que fe13 est super populaire pour un jeu legacy
Bref, jvc quoi, notre pot de chambre adoré.
Par contre comme truc marrant, le nouveau (1995, quand même) machin officiel pour les jv français s'appelle le sell et je trouve ça hilarant.
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Je sais pas si personne n'a acheté de jeux cette semaine ou si il y a eu un détournement des stocks européens sur la A1, mais l'édition collector de Fe17 est le troisième jeu le plus vendu de la semaine passée ??
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