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#l'homme que j'aime
celluloidrainbow · 11 months
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L'HOMME QUE J'AIME (1997) dir. Stéphane Giusti Brash pool monitor Martin falls for the resident lifeguard Lucas the moment he sees him leap from the high dive, and decides to take a leap of his own. Within minutes he declares his love to Lucas, who is already taken and less than thrilled. No one is more surprised than Martin, then when his seemingly hopeless infatuation ends up bringing him friendship, passion and even true love. The only problem is that, for Martin, it all may have come a little too late. (link in title)
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hedgehog-moss · 9 months
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do you have any recommendations for favorite french-language poetry? esp written by women?
Yes, sure! We might not have the same tastes (I like nature poetry mostly, and good old lavish alexandrine verse—I find the predictability of it very soothing) but here are excerpts of poems by 13 French-language poétesses :)
(I wanted to add a few men at the end but I spent too much time on the women, and the French male poets I enjoy are very well-known ones anyway, e.g. Hugo, Mallarmé, Prévert, Aragon... also André Breton's surrealist poetry)
• Sabine Amable Voïart, known as Amable Tastu (1798-1885)
D’où vient que l’âme humaine est ainsi disposée, Que jamais ses regards troublés et mécontens N’ont pu s’accoutumer à la marche du temps? Sur l’éternel chemin, chaque borne posée Nous attriste. D’où vient? je ne sais; mais toujours Le vertige nous prend à voir couler nos jours: 
Si vous reparcourez l’enclos où votre enfance Avez-vous souvenir, à l’âge où tout enchante, D’une voix qui vous plut, voix timide et touchante, […] Que, plus tard, cette voix résonne à votre oreille, De vos rêves déçus vous raillez la merveille, Vous prenant en pitié d’avoir si mal jugé… Elle est la même encor; mais vous avez changé!
• Louise-Victorine Ackermann (1813-1890)
(A la comète de 1861) […] Ah ! quand tu reviendras, peut-être de la terre L'homme aura disparu. Du fond de ce séjour Si son œil ne doit pas contempler ton retour, Si ce globe épuisé s'est éteint solitaire, Dans l'espace infini poursuivant ton chemin, Du moins jette au passage, astre errant et rapide, Un regard de pitié sur le théâtre vide De tant de maux soufferts et du labeur humain.
• Marie Dauguet (1860-1942)
Mon coeur est né sauvage et seul comme un merle, Que berça la chanson du vent, subtil orchestre, Ivre des noirs myrtils dont la forêt s'emperle, Grisé d'odeur de source et d'haleine sylvestre. […]
Et d'abord très souvent j'étouffe dans moi-même, Tout m'y semble étriqué, trop étroit et mesquin, Et je fuis l'infini pour l'infini que j'aime, Parmi le ciel, les eaux, les circuits des chemins.
• Alice de Chambrier (1861-1882) (she is Swiss)
J’ai vu comme l’on voit quelquefois dans un rêve, Une immense Cité près d’une immense grève, Avec des dômes d’or et des palais géants, Des temples incrustés de mille diamants […]
Plus tard j’ai repassé devant cette cité, Et voulant la revoir, je m’y suis arrêtée; Mais à peine mes pas ont foulé sa poussière Que devant mes regards elle s’est tout entière Écroulée—et n’est plus qu’une ruine immense Dont le cri des Vautours trouble seul le silence.
• Lucie Delarue-Mardrus (1868-1949)
1. Humanité sans force, endurante moitié Du monde, ô camarade éternelle, ô moi-même ! Femme, femme, qui donc te dira que je t’aime D’un cœur si gros d’amour et si lourd de pitié ?
2. J’aime, en quelque lieu que ce soit, L’heure où l’existence, pour moi, Redevient nocturne et muette.
L’heure sans lois et sans humains, Sans hiers et sans lendemains, Où je ne suis plus que poète.
La seule heure d’esprit total, Celle où, jusqu’oublier mon mal Je sens se fermer toute plaie,
Car je ne fus moi-même, vraie, Car je ne fus ce que suis, — Passionnément — que les nuits.
• Anna de Noailles (1876-1933)
Nature au cœur profond sur qui les cieux reposent, Nul n’aura comme moi si chaudement aimé La lumière des jours et la douceur des choses, L’eau luisante et la terre où la vie a germé.
La forêt, les étangs et les plaines fécondes Ont plus touché mes yeux que les regards humains, Je me suis appuyée à la beauté du monde Et j’ai tenu l’odeur des saisons dans mes mains.
• Renée Vivien (1877-1911) (English, mainly wrote in French)
Dans l’azur de l’avril et dans l’air de l’automne, Les arbres ont un charme inquiet et mouvant. Le peuplier se ploie et se tord sous le vent, Pareil aux corps de femme où le désir frissonne.
[…] Vêtu de clair de lune et de reflets d’argent, Le bouleau virginal à l’ivoire changeant Projette avec pudeur ses blancheurs incertaines. Les tilleuls ont l’odeur des âpres cheveux bruns, Et des acacias aux verdures lointaines Tombe divinement la neige des parfums.
• Valentine Penrose (1898-1978)
Notre Père qui êtes aux cieux des doux matins bercés aux fleurs des laitues bleues, […] que votre nom soit sanctifié ! O Brume d’or dans les vergers, que votre volonté soit faite ! Sur la Terre comme au Ciel ; sur la terre élançant ses arbres au soleil, sur les labours luisants chevauchés de noyers, sur le sol des jardins de chaleur tout vrillés […]. Donnez-nous aujourd’hui notre Pain quotidien. Dans la fraîche cuisine où bourdonne une guêpe, où les fourmis montent leur noir petit chemin […] Et pardonnez-nous nos offenses… […]
• Louise de Vilmorin (1902-1969)
Pois de senteur en ma demeure Et sur mon cœur poids de cent heures
Je t’enlacerai, tu t’en lasseras
Étonnamment monotone et lasse, Est ton âme en mon automne, hélas !
• Andrée Chedid (1920-2011)
Échappant à l'enclume du temps L'Univers sème ses formes Véhicule ses songes S'invente des tumultes
[…] Enserrée dans son globe Empoignant son noyau La Terre emporte l'histoire Vers son immense dérive.
• Anne Perrier (1922-2017) (also Swiss)
1. Ô rompre les amarres Partir partir Je ne suis pas de ceux qui restent La maison le jardin tant aimés Ne sont jamais derrière mais devant Dans la splendide brume Inconnue
2. Lorsque la mort viendra Je voudrais que ce soit comme aujourd'hui Un grand soir droit laiteux et immobile Et surtout je voudrais Que tout se tienne bien tranquille Pour que j'entende Une dernière fois respirer cette terre Pendant que doucement s'écarteront de moi Les mains aimées Qui m'attachent au monde
• Marie-Claire Bancquart (1932-2019)
1. Un tremble c'est le nom du peuplier blanc : luisance furtive.
Éclair des feuilles leur vie scintille
instant après instant elles chuchotent que nous avons aussi des moments miroitants minuscules, étincelantes traces de nous sur le monde. 2. Je suis l’encolure d’un pays vêtu de toile et d’eau, longtemps ténébreux, maintenant étalé sur la nuit, croisé une fois pour toutes par le crépuscule, et qui entend les soleils célébrer leur courbe.
Je suis son oreille, et, dans son oreille, ce qui, bruissant, permet le bruit.
[…] Mais suis-je enclave, ou bien ce pays serait le creux nécessaire au violon, l’autour-de-moi facilitant mémoire?
• Hélène Dorion (1958 - ) (she's from Québec)
Autour de moi les notes lumineuses d'une feuille venue jusqu'à la branche pour remuer avec le souffle danse et boit l'eau qui la sauve au matin quand recommence son chemin vers le soir
et je marche aussi d'un pas qui repose dans l'infini j'écoute le monde qui bruit à travers les arbres seuls comme des êtres occupés à devenir leur forme singulière
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L'émancipation des femmes je n'y suis pour rien, j'ai vécu comme  j'en avais envie et je continue, mais je suis à la fois libre et  dépendante de l'homme que j'aime.
- Brigitte Bardot
Brigitte Bardot At The Cannes Film Festival, 1956.
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icariebzh · 2 months
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".../...Je veux parler en faveur des choses, j'élève la voix pour le crucifix, j'élève la voix pour l'étoile d'Israël, j'élève la voix pour l'homme le plus divin qui ait jamais existé et qui était allemande (Bach), j'élève la voix pour le doux Mahomet, j'élève la voix pour Bouddha, j'élève la voix pour Lao-Tseu et  Tchouang-tseu, j'élève la voix pour D.T. Suzuki... Pourquoi devrais-je attaquer ce que j'aime au nom de la vie? Voilà le Beat. Vivez vos vies à fond. Non, aimez vos vies à fond. Quand ils viendront vous lapider, au moins vous ne serez pas dans une serre, vous n'aurez que votre peau transparente. .../..." Jack Kerouac extrait de: "Sur les origines d'une génération" 
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cricxuss · 18 days
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COMME LA MORT, IL FAUT REGARDER LA SEXUALITE EN FACE SANS FERMER LES YEUX !
Suis-je un poète pornographe ? Si c'est le cas, je m'inscris dans une longue tradition si j'en juge par le recueil "Anthologie de la poésie érotique " publié en 2010 par les éditions Garnier. En effet, dans ce florilège le réalisme le plus cru côtoie le raffinement le plus délicat, de l'Antiquité grecque et romaine jusqu'au début du XXème siècle, qu'il s'agisse de poètes renommés ou de petits maîtres. Dans ces oeuvres s'exprime une volonté de subversion et d'émancipation. Sous ces coups de boutoir, la vieille morale vacille et les masques tombent. Aujourd'hui, avec les outils du numérique, la donne a changé même si l'hypocrisie persiste car "on estime que près de 60 % des internautes surfent, à un moment ou à un autre, sur des sites au contenu pornographique" (extrait de '" Bêtes de sexe ", Editions Michel Quintin, 2015).
LA SEXUALITE VECUE PAR DES POETES, LOIN DE L'AMOUR CHASTE OU DU LYRISME ROMANTIQUE...
Jacques Prévert participa aux entretiens sur la sexualité dont le groupe de Breton commença la publication dans le numéro 11 de la Révolution surréaliste. « Le surréalisme, dira André Breton, a tout fait pour lever les tabous qui empêchent qu'on traite librement du monde sexuel et de tout le monde sexuel, perversions comprises – monde dont j'ai été amené à dire plus tard qu'en dépit des sondages entre tous mémorables qu'y auront opérés Sade et Freud, il n'a pas, que je sache, cessé d'opposer à notre volonté de pénétration de l'univers son infracassable noyau de nuit. »
Les Recherches sur la sexualité. Part d'objectivité, déterminations individuelles, degré de conscience se déroulèrent pendant sept soirées du 27 janvier au 6 mai 1928. Les deux premières furent publiées in extenso dans La Révolution surréaliste. Prévert participa à six de ces soirées.
Jamais on n'avait parlé aussi clairement dans une revue autre que celles qui se vendaient sous le manteau, de l'onanisme féminin, dont Breton pensait le plus grand bien, vivement approuvé par Prévert qui s'en déclarait tout à fait partisan. A l'appui extraits de dialogues on ne peut plus directs entre les deux hommes […] :
Prévert : Que pense Breton de la sodomie entre homme et femme ?
Breton : Le plus grand bien.
Prévert : Vous y êtes-vous déjà livré ?
Breton : Parfaitement.
Queneau : Faites-vous toujours l'amour de la même façon ; sinon est-ce pour accroître votre jouissance ou celle de la femme ?
Breton : Fort heureusement non, je m'ennuierais trop. Quant à la femme elle peut prendre l'initiative de changer autant qu'elle veut.
Prévert : Je suis de l'avis de Breton.
Quand les questions se firent plus précises chacun tint à ajouter son grain de sel à une conversation qui se révélait de plus en plus pimentée :
Breton : Quelles sont les attitudes passionnelles qui vous sollicitent le plus ? Baron ?
Baron : Le 69, la position dite « en levrette ».
Duhamel : La position dite « en levrette », le 69.
Aragon : Je suis extrêmement limité. Les diverses attitudes me sollicitent également comme autant d'impossibilité. Ce que j'aime le mieux, c'est ma pollution pendant la fellation active de ma part. En fait, je fais presque toujours l'amour de la manière la plus simple.
Man Ray : Pas de préférences. Ce qui m'intrigue le plus, c'est la fellation de l'homme par la femme, parce que c'est ce qui s'est présenté pour moi le plus rarement.
Noll : La fellation de la femme par moi, ou bien sexe sur sexe, bouche sur bouche, le 69.
Sadoul : Pas de préférence violente. Cependant, la fellation de la femme par moi.
Aragon : Qu'est-ce qui vous excite le plus ?
Duhamel : Les jambes et les cuisses d'une femme. Ensuite le sexe, les cuisses et les fesses.
Prévert : Les fesses.
Queneau : Le cul.
Aragon : L'idée de la jouissance de la femme.
Noll : C'est aussi tout ce qui m'intéresse.
Duhamel : Egalement.
Péret : Pour les parties du corps, les jambes et les seins. Par ailleurs, voir une femme se masturber.
[…]
Breton : Dans quelle mesure Aragon considère-t-il que l'érection est nécessaire à l'accomplissement de l'acte sexuel ?
Aragon : Un certain degré d'érection est nécessaire mais, en ce qui me concerne, je n'ai jamais que des érections incomplètes.
Breton : Juges-tu que c'est regrettable ?
Aragon : Comme tous les déboires physiques, mais pas davantage. Je ne le regrette pas plus que de ne pouvoir soulever des pianos à bout de bras.
Aragon se souviendra de ces aveux publics en écrivant La Grande Gaîté, recueil de poèmes publiés l'année suivante (1929) et dans lesquels on trouve ce quatrain où le poète ironise :
Il y a ceux qui bandent
Il y a ceux qui ne bandent pas
Généralement je me range
Dans la seconde catégorie
Extrait du livre : « Jacques Prévert » par Yves Courrière, Gallimard, 2000.
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cestvraimentpasdrole · 3 months
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Un homme d'affaires doit se rendre à l'étranger pour quelques jours;
>il convoque le bon Saïd, son fidèle domestique, et lui explique la situation :
> - Tu vois, je dois aller à l'étranger quelques jours ; fais bien attention à ce que tout se passe bien ici, et pour n'importe quel problème, appelle-moi.
> - Oui monsieur, toi pas faire de soucis.
> Après quelques jours, l'homme d'affaires, n'ayant pas de nouvelles, appelle Saïd :
> - Ciao, Saïd, comment ça va ?
> - Tout très mal !
> - Pourquoi ? Qu'est-ce qui s'est passé ?
> - Manche de la pelle cassé.
> - Mais Saïd, sacrebleu, tu m'as presque flanqué un infarctus. Tu me dis que ça va mal, et ce n'est que le manche de la pelle qui est cassé !?
> Mais, pris de remords, il pense que Saïd pourrait se froisser, et il cherche alors à adoucir le ton :
> - Comment c'est arrivé ?
> - Oh rien, j'enterrais le chien.
> - Quoi ?! mon chien, que j'aime comme un fils ?! Mais comment s'est arrivé ?
> - Tombé dans piscine !
> - Mais Saïd, c'est un Terre-neuve, un chien qui nage; comment a-t-il pu se noyer dans la piscine ?
> - Pas d'eau dans piscine, et lui tombé, mort.
> - Mais comment ça, il n'y avait pas d'eau dans la piscine ?! Mais puisque la semaine dernière on a fait le nettoyage et mis l'eau pour l'été !
> - Oui mais l'eau prise par pompiers pour éteindre incendie.
> - Incendie, mais quel incendie Saïd ?
> - La maison a pris feu !
> - Ma maison ?! Mais comment ça s'est passé ?
> - Chapelle ardente de madame maman, une bougie près de tenture, tout brûlé.
> - Chapelle ardente, ma mère est morte ? Mais on a fêté l'autre jour ses 70 ans, et elle était en pleine forme !
> - Oui, mais hier nuit votre mère n'arrivait pas à dormir, alors allée demander aide à votre femme, mais l'a vue dans le lit avec votre meilleur ami, et elle morte d'infarctus.
- Mais enfin Saïd, ma femme me trahit avec mon meilleur ami? Saïd, je m'absente 4 jours et ma vie est foutue!... Il n'y a vraiment rien de positif ?
- Si, patron, vous souvenir que l'autre semaine, vous faire test pour Sida ?
- Oui.
- Voilà... ça positif !
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chifourmi · 8 months
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Le truc bien stéréotypé que les garçons font tout le temps et qui t'exaspère. La même question pour les filles.
Pour les hommes :
Sur Tinder, les mecs mettent presque TOUS une photo d'eux avec un animal ou juste une photo d'un animal. Ils croient trop que ça va changer quelque chose?? Parce qu'on est des êtres sensibles et fragiles qui craquont forcément devant un homme et un animal ou un homme et un bébé bien-sûr!!!
Je déteste quand ils disent qu'un truc est trop "girly", comme si les choses "pour les filles" étaient honteuses. Plus généralement, je n'aime pas quand ils ne sont pas à l'aise dans leur masculinité et qu'ils ne veulent pas faire quelque chose sous prétexte que c'est "pour les filles". Ils croient qu'ils perdront leur virilité alors qu'un mec à l'aise qui s'en fout complètement est ce qu'il y a de plus sexy, je trouve.
J'ai horreur du mansplaining omg. Quand ils m'en font, j'aime bien rajouter des infos pour montrer que je maîtrise très bien le sujet EN FAIT et que j'ai pas besoin qu'ils m'expliquent. Après, il faut savoir dissocier le gars qui veut juste t'expliquer un sujet qu'il aime sans aucune condescendance et le gars qui fait vraiment du mansplaining. Fin en général ça se voit facilement.
Pour les femmes :
J'ai trop du mal quand j'ai l'impression que les femmes recherchent la validation masculine. Et en même temps je ne peux pas leur en vouloir parce qu'on passe toutes par là. La société donne une mauvaise image de la femme et une bonne image de l'homme donc, à moins d'être déconstruite dès la naissance, on a toutes déjà cherché à être validée par les hommes, non? Ce qui me fait chier c'est que ça amène des rivalités entre les femmes, genre "moi je ne suis pas comme elles, je suis différente". J'avais une amie qui me rabaissait constamment en présence des mecs par exemple!!
(Je suis sûre que j'ai oublié pleins de choses pour les 2 mais c'est surtout ça qui m'est venu, là)
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ernestinee · 8 months
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Dans les scans reçus aujourd'hui, il y a aussi le film utilisé à Amsterdam. Sans me souvenir de celui que j'avais pris à Bruxelles, j'ai pris le même pour Amsterdam (lomography color negative 35 mm en 400), et du coup le rendu a ce même constraste que j'aime bien.
J'ai encore du choix dans le frigo, il reste des Kodak Colorplus, Ultramax, il reste un 120 pour le Diana, il reste des lomography avec des couleurs bizarres (lomochrome purple et Metropolis), ainsi qu'un CineStill en 800 que j'avais offert à l'homme. Par contre, on n'a pas de sortie prévue avant un moment.
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A Amsterdam, la météo était un peu entre les deux. J'en ai fait beaucoup avec mon tel aussi, j'ai vraiment envie d'oublier cette habitude.
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Sans Valentin.
Cette année je ne fêterai pas la St Valentin, comme c'est le cas depuis plusieurs années déjà. Je ne serai même pas chez moi, comme ça l'homme avec qui je vis ne se sentira pas "obligé" d'aller m'acheter des fleurs. On va passer le couplet de la fête commercial et le refrain de "l'amour c'est tous les jours qu'on le prouve et pas à une date précise", généralement ce sont les radins qui s'empressent de balancer ce genre de connerie ! J'aime la St Valentin ! J'aime qu'on fête les amoureux. Pas besoin d'offrir quelque chose de cher, les plus beaux cadeaux sont ceux que l'on fait soi-même, que ce soit une carte, une lettre d'amour ou un repas maison. L'important c'est que ce soit réellement fait avec et par amour. Et dans mon couple, il n'y a plus d'amour, en tout cas plus dans le sens amoureux du terme. Il y a du respect, il y a de la tendresse bien caché, jamais démontré physiquement mais plutôt dans des minuscules attentions du quotidien. Il y a la responsabilité de deux parents envers leur fils, un travail d'équipe, une amitié en quelque sorte. Mais plus aucun mot d'amour, plus jamais de geste tendre, aucun câlin, pas un seul baiser et le sexe a disparu de notre couple depuis 6 ans ! Nous faisons chambre à part depuis toujours. Il n'est venue s'installer chez moi qu'en 2020 au début du confinement, j'avais une chambre de libre. Et si vous faite un petit calcul rapide, 6 ans sans sexe, ça remonte à avant 2020 ! Tout ça c'est pour vous brosser un tableau qui vous permettra de mieux comprendre ma situation. Donc la St Valentin, hors de question qu'il me la fête autrement que par un "Bonne st Valentin" au téléphone, vu que je ne serai pas chez moi ! Pourtant, chaque année j'espère que ce jour-là, j'aurai quelqu'un qui me la souhaitera de tout son cœur, avec autant d'amour que j'en aurai pour lui, même s'il est loin. Mais je crois que mon côté romantique me faire oublier la triste réalité des relations.
Allez va, ce n'est pas si grave ! Deux jours avant le 14 février, c'est mon anniversaire ! Là au moins, je sais qu'il y aura quelque chose à fêter .
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Mon amour,
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Toutes les nuits seule dans mon lit. La solitude et le désespoir m'envahit. Ton absence me fait ressentir une douleur. Comme un poignard planté dans le coeur. Je ferme les yeux et je te sens près de moi. Je me blottis tendrement dans tes bras. Je te désire tant mon amour. J'aimerais que cet instant dure toujours. Tes caresses parcourent mes trésors. Tes lèvres m'offrent ta douceur que j'adore. Les battements de ton coeur sont une mélodie. Qui pourrait me bercer toute la nuit. Puis-je réalise que tu es si loin. Toi l'homme que j'aime et j'ai du chagrin. Comment briser ces chaînes qui me tiennent loin de toi. Aurai-je un jour le bonheur d'être à nouveau dans tes bras ???
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satinea · 5 months
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JOIE*
Comme tendrement rit la terre quand la neige s'éveille sur elle!
Jour sur jour, gisante embrassée, elle pleure et rit.
Le feu qui la fuyait l'épouse, à peine a disparu la neige.
S'il te faut repartir, prends appui contre une maison sèche.
N'aie point souci de l'arbre grâce auquel, de très loin, tu la reconnaîtras.
Ses propres fruits le désaltéreront.
Levé avant son sens, un mot nous éveille, nous prodigue la clarté du jour, un mot qui n'a pas rivé.
Espace couleur de pomme.
Espace, brûlant compo-
tier.
Aujourd'hui est un
Jouve.
Demain verra son bond.
Mets-toi à la place des dieux et regarde-toi.
Une seule fois en naissant échangé, corps sarclé où l'usure échoue, tu es plus invisible qu'eux.
Et tu te répètes moins.
La terre a des mains, la lune n'en a pas.
La terre est meurtrière, la lune désolée.
La liberté c'est ensuite le vide, un vide à désespérément recenser.
Après, chers emmurés éminentis-simes, c'est la forte odeur de votre dénouement.
Comment vous surprendrait-elle?
Faut-il l'aimer ce nu altérant, lustre d'une vérité au caur sec, au sang convulsif!
Avenir déjà raturé!
Monde plaintif!
Quand le masque de l'homme s'applique au visage de terre, elle a les yeux crevés.
Sommes-nous hors de nos gonds pour toujours?
Repeints d'une beauté sauve?
J'aurais pu prendre la nature comme partenaire et danser avec elle à tous les bals.
Je l'aimais.
Mais deux ne s'épousent pas aux vendanges.
Mon amour préférait le fruit à son fantôme.
J'unissais l'un à l'autre, insoumis et courbé.
Trois cent soixante-cinq nuits sans les jours, bien massives, c'est ce que je souhaite aux kaîsseurs de la nuit.
Ils vont nous faire souffrir, mais nous les ferons souffrir.
Il faudrait dire à l'or qui roule : «
Venge-toi. »
Au temps qui désunit : «
Serai-je avec qui j'aime?
O, ne pas qu'entrevoir! »
Sont venus des tranche-montagnes qui n'ont que ce que leurs yeux saisissent pour eux.
Individus prompts à terroriser.
N'émonde pas la flamme, n'écourte pas la braise en son printemps.
Les migrations, par les nuits froides, ne s'arrêteraient pas à ta vue.
Nous éprouvons les insomnies du
Niagara et cherchons des terres émues, des terres propres à émouvoir une nature à nouveau enragée.
Le peintre de
Lascaux,
Giotto,
Van
Eyck,
Uccello,
Fouquet,
Mantegna,
Cranach,
Carpaccio,
Georges de
La
Tour,
Poussin,
Rembrandt, laines de mon nid rocheux.
Nos orages nous sont essentiels.
Dans l'ordre des douleurs la société n'est pas fatalement fautive, malgré ses étroites places, ses murs, leur écroulement et leur restauration alternés.
On ne peut se mesurer avec l'image qu'autrui se fait de nous, l'analogie bientôt se perdrait.
Nous passerons de la mort imaginée aux roseaux de la mort vécue nûment.
La vie, par abrasion, se distrait à travers nous.
La mort ne se trouve ni en deçà, ni au-delà.
Elle est à côté, industrieuse, infime.
Je suis né et j'ai grandi parmi des contraires tangibles à tout moment, malgré leurs exactions spacieuses et les coups qu'ils se portaient.
Je courus les gares.
Cœur luisant n'éclaire pas que sa propre nuit.
Il redresse le peu agile épi.
Il en est qui laissent des poisons, d'autres des remèdes.
Difficiles à déchiffrer.
Il faut goûter.
Le oui, le non imm��diats, c'est salubre en dépit des corrections qui vont suivre.
Au séjour supérieur, nul invité, nul partage : l'urne fondamentale.
L'éclair trace le présent, en balafre le jardin, poursuit, sans assaillir, son extension, ne cessera de paraître comme d'avoir été.
Les favorisés de l'instant n'ont pas vécu comme nous avons osé vivre, sans crainte du voilement de notre imagi' nation, par tendresse d'imagination.
Nous ne sommes tués que par la vie.
La mort est l'hôte.
Elle délivre la maison de son enclos et la pousse à l'orée du bois.
Soleil jouvenceau, je te vois ; mais là où tu n'es plus.
Qui croit renouvelable l'énigme, la devient.
Escaladant librement l'érosion béante, tantôt lumineux, tantôt obscur, savoir sans fonder sera sa loi.
Loi qu'il observera mais qui aura raison de lui; fondation dont il ne voudra pas mais qu'il mettra en œuvre.
On doit sans cesse en revenir à l'érosion.
La douleur contre la perfection *.
René CHAR
"Le Nu perdu et autres poèmes"
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tournevole · 8 months
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J'aime cette heure froide et légère du matin, lorsque l'homme dort encore et que s'éveille la terre. L'air est plein de frissons mystérieux que ne connaissent point les attardés du lit. -Guy de Maupassant-
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perduedansmatete · 7 months
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ce soir je suis allée dans l'endroit interdit juste pour un concert pas pour le reste parce que de toute façon j'avais déjà pas envie d'aller au concert après m'être engueulée avec lui qui est con même s'il me demande pardon après aussi il comprend pas quand je lui explique des trucs je crois mais bon j'ai bien fait de ne pas annuler après ma crise de larmes puisque je rejoignais une amie de vacances avec ma sœur car un de ses pote de lycée jouait dans le groupe qui passait ce soir, elle était donc venue avec tous les potes de lycée du gars et c'était drôle j'avais l'impression d'être avec la elle de dix ans en arrière quoique j'exagère un peu moins, et le concert était super cool ça commençait comme du parcels et puis au final pas du tout ils jouaient du français et de l'anglais mais trop cool et ils avaient vraiment de super interactions avec le public bref je parle comme une vieille mais c'était top et le chanteur était vraiment très beau et en même temps kitsch (comme le nom du groupe) mais beau, ce qui m'a poussé à prolonger ma théorie de l'homme beau universellement: pour être sûr qu'un homme est vraiment beau il faut qu'il le soit le crâne rasé, sans barbe moustache et artifices, et avec un marcel (là il avait juste un marcel sous sa chemise mais je pense que sans cheveux et artifice il aurait été beau bref je m'égare) sinon la fameuse amie est prise en internat à strasbourg, elle attend de trouver un appart mais j'ai une raison supplémentaire d'y retourner très vite sachant qu'on devait déjà y aller pour les vacances de la toussaint avec ma sœur et ma grand-mère pour faire une surprise à cette dernière mais que ça ne va certainement pas être possible puisqu'elle et mon grand-père seront trop occupés à fêter les cents ans d'un ami... mais tout me ramène à strasbourg dans tous les cas j'irai avant la fin de l'année ou pour le nouvel an, puis du coup on est rentrée tôt avec ma sœur car elle bosse demain et que je n'avais pas envie de croiser l'autre con (que j'aime mais il me soûle trop) et après lui avoir un peu raconté ma vie puis à d'autres personnes je me dis que d'un point de vue extérieur ça a l'air cool tout ce qu'il se passe même si j'omets volontairement quelques passages franchement tout le monde a l'air super content pour moi et ça me fait plaisir tout en me motivant, je me dis que je devrais me voir d'un point de vue extérieur aussi mais compliqué et ça ressemble un peu à de la dissociation enfin bref je devrais aller dormir car sinon je risque d'avoir encore envie de pleurer mais c'était une belle soirée
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Repartir de zéro (jour 27)
La pluie n'est rien d'autre que l'univers qui pleure, abattant ses peines et ses joies sur la Terre. Sur nous. La pluie tape le sol et cogne le toit des voitures et des bâtisses. L'eau me rappelle que tout peut vite être balayé par les éléments, notamment après la sécheresse. Mettre le feu aux forêts, poumons de notre propre planète. Séismes et tempêtes s'abattent sur nos vies pour détruire et laisser derrière nous la mort, les survivants s'il y en a, et les débris. Les éléments contrôlent tout et nous nous réjouissons de savoir allumer un feu. Mais nous le pouvons grâce à l'air et à ce que nous offre la nature. Nous ne sommes rien sans ce qui nous porte, nous abreuve et nous nourrit. Nous héberge. Nous ne contrôlons rien du tout même si l'Homme en a toujours eu l'illusion. Alors si toi, ma Terre chérie, tu crée des renouveaux un peu partout, que tu le veuilles ou non, permets-moi de suivre ton exemple. De détruire, trier, nettoyer, ranger, reconstruire des bases solides et un environnement qui me serait plus adapté. De me déraciner pour m'ancrer mieux ailleurs. Repartir de zéro afin de créer une vie meilleure. Pour moi et ceux que j'aime. Ma toute petite famille, celle sur qui je veille et qui, sans le savoir, prend soin de moi elle aussi. Qu'il suffit à ces deux petits boules de poils et à toutes celles qui les ont précédées de faire que je respire encore. Qui m'aident à me responsabiliser. M'occuper d'elles et de moi à la fois. Leur donner cet amour infini qui ne s'assèchera et ne mourra jamais. Tant que mon coeur battra, et bien au-delà.
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shakeskp · 21 days
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Un bout de fic
Parce que je suis dessus aujourd'hui, la fic nom de code "Tatooine Coeur à Vif". C'est en théorie une Dinluke, mais pour le moment on a en gros 6000 mots de Obi-Wan & Luke, parce que j'avais besoin de justifier que Luke emprunte l'éopie d'Obi-Wan. Et parce que la série Obi-Wan Kenobi, que j'aime par ailleurs, foire complètement le raccord avec Un Nouvel Espoir et que j'avais besoin d'écrire l'UA qui en découlerait :D
Les premiers 250 mots :
La première fois qu'il rencontra Ben, Luke venait d'avoir dix ans. Du moins, la première fois officiellement. Il l'avait déjà vu aux abords de la ferme, caché dans les rochers. Oncle Owen lui disait toujours de ne pas y aller parce qu'il y avait une meute de yena qui y chassait. Et ça, ça avait été la première fois où son oncle lui avait menti. Menti pour de vrai, pas le genre de demi-mensonge qui ne servait qu'à l'occuper, quand il ne le voulait pas l'avoir dans les jambes.
Luke en avait été indigné. Il n'y avait pas de meute de yena par là-bas, il l'aurait su.
Alors, il s'était demandé si l'homme était de ceux dont il devait se méfier. Ceux qui ne devaient pas savoir que mamie Schmi s'était appelée Skywalker, et que Luke ne s'appelait pas vraiment Lars. En fait, tous ceux qui s'adressaient à lui alors qu'il était seul. Parce que mamie Schmi avait été esclave, et que même si Luke était né libre, le premier de sa lignée, beaucoup de monde pensait que ce n'était pas une raison pour qu'il le reste.
Et le père de Luke était célèbre. Il avait gagné une course de pod alors qu'il n'avait que neuf ans ! Tous ceux qui s'intéressaient aux courses reconnaissaient le nom d'Anakin Skywalker, savaient qu'il avait été esclave et que c'était grâce à cette victoire qu'il avait été libéré.
Luke, lui, n'avait même pas le droit de toucher aux commandes du vieux speeder.
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ernestinee · 6 months
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"Autrefois, entre la mer de Corail et l'océan Indien, mais sur le chemin de nulle part, s'étendait un district du nom de... Oh, disons Inglewell."
Ces lignes m'apaisent immédiatement.
Voilà quelques semaines que je me bats contre un livre, et le mot n'est pas trop fort. J'avais commencé une lecture à propos d'un tueur en série. J'aime beaucoup. La trame est sympa, avec une analyse psychologique assez précise du tueur depuis l'enfance. Un premier chapitre agréable à lire. L'homme s'échappe de l'hôpital psychiatrique, on est dans son esprit fou mais d'une intelligence incroyable, plusieurs coups d'avance sur tout ce qui pourrait lui arriver et la promesse de ne pas être en cavale une fois évadé de l'hôpital. Et puis il tue, encore et encore. C'est sanglant, motivé, horrible mais c'est un thriller, je ne m'attendais pas à moins.
Et puis, le contexte. Tous les hommes ont des postes importants. Toutes les femmes, absolument toutes les femmes de l'histoire sont dépeintes comme sans cervelle mais calculatrices, vicieuses, appâtées par la beauté d'un homme , sa jeunesse et ses signes extérieurs de richesse, pendues à leurs envies libidineuses. Et que si elles se font tuer, elles l'ont bien cherché. Tous les hommes de l'histoire sont des prédateurs, à commencer par le tueur, mais également les journalistes, policiers et les hommes politiques qui chacun à leur tour alourdissent des passages de l'histoire avec ce qu'ils pensent des seins de leur secrétaire, ce qu'ils imaginent devant les corps dénudés et abimés des victimes (uniquement des femmes bien sûr sinon ce n'est pas drôle), ce qu'ils feront subir à leur maîtresse alors qu'ils ont été titillés (private joke inside) par la vue des formes de telle ou telle femme. Je me sens oppressée et entourée de pervers dès que j'ouvre ce bouquin alors décision a été prise de le refermer et de l'oublier quelque part, au moins un moment.
Et donc quand je commence "L'envol" de Kathleen Jennings, je ressens déjà un peu de bien-être et d'air frais, je me sens un peu apaisée sur le chemin de nulle part, entre la mer de Corail et l'océan Indien. Il semble que l'ambiance s'assombrit d'ici peu car il s'agit d'un mélange de fantasy urbaine et d'horreur gothique mais je n'ai aucune idée de ce que ça signifie et ça ne sera de toutes façons pas pire que mon overdose de pervers.
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