Tumgik
#je m'y attendais absolument pas
maviedeneuneu · 1 year
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Mes vacances à Majorque
Le lendemain où j'ai eu mon idée de tatouage j'ai cherché des studios avec le style que j'aime et je suis tombée sur un qui me plaisait particulièrement. Je leur ai direct écrit en me disant bien que j'aurais sûrement pas de rdv dans les deux jours qu'il me restait avant de partir mais qu'au moins j'aurais les infos pour ma prochaine visite. Et ben dans la journée ils m'ont répondu qu'ils avaient une plaaaaace et m'ont donné rdv le jour de mon dépaaaaart
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nowhere-x-girl · 2 months
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Ouep, je vais en parler encore :)
C'est tannant de te revoir mais je m'y attendais
Je savais qui avais des possibilités que je ressente quelque chose
C'était un mix de feelings contradictoire
Et des souvenirs qui veulent remontrer
Je me rappelle
Encore de tout
De la toute première fois où je t'ai rencontré, la chimie.
Je t'ai trouvé tellement gentil
Sociable
Et drôle.
J'ai aimé ta voix, ta vibe et ton style.
T'étais juste quelqu'un avec qui j'avais envie d'être amie.
Je me rappelle aussi de la dernière fois.
Quand je pensais qu'on se réconcilierait, qu'on allait parler de tout ça après pi que t'allais vouloir entendre
Y'a pas plusieurs vérités
Y'a beaucoup de perceptions of course
Mais y'a aussi des faits observables et mesurables
Tu les connais
À moins que tu as blackout pour de vrai
Mais si t'as blackout, inventes pas des trucs
Ce qui te semble le plus logique
Avec bien du recule, je les vois tes mécanismes de défense
Tu te protège
De ce que tu n'as pas envie de ressentir
Je peux pas dire que c'est une mauvaise chose
Mais tu as projeté tes insécurités sur moi
La façon dont tu m'as rejeté, men
Tu m'as flushé sans explication en plus de me faire passer pour une connasse sans respect
Tu m'as fais sentir tellement horrible
Et t'as jamais été capable de me dire tout ça en face
En plus, tu n'as jamais voulu entendre quoi que ce soit
Est-ce que tu t'en rend compte?
C'était même pas de la naïveté de ma pars
J'ai essayé d'être bienveillante, à l'écoute
J'ai toujours accepté d'avoir tort, afin de faire mieux les prochaines fois
J'ai toujours accepté la vérité, parceque esti, j'suis pas parfaite et j'ai toujours été consciente que je fais des erreurs
Je savais que je ne savais pas boire
Je savais que je devenais slut, collante, une autre Jess
Je la connais bien la Jess drunk
Et tu le savais bien, peut-être même que tu t'en ai servi, de cette faille
Pour te sortir de cette situation qui te faisait sentir horrible
Ça m'a fait sentir horrible aussi
Mais c'est rien à comparer au poids que j'ai reçu dans la face, lorsque tu m'as garroché des fausses excuses et des accusation, tout ça pour éviter de me confronter
Tu as réussi à me faire fuir sur un esti de temps
Alors que lorsqu'on se croise, je te sens tellement sincère, friendly.
Mais je sais que c'est fake.
Je ne sais pas ce qui est vrai, mais je sais que ton attitude avec moi est fake.
J'aime croire que que tu te sens mal quand tu me vois pis que les mécanismes de défenses embarque.
J'aime croire que tu t'en veux.
Mais je pense surtout que t'as pas idée à quel point t'a été poche avec moi.
Je n'attends plus rien de toi, ça fait longtemps.
Je trouve ça même tellement comique que tu m'aie fait un câlin.
J'avoue que je m'y attendais pas.
Genre "yayyy slay my friend".
Arrête ça, arrête de me faire croire que tu es encore mon ami
T'as pas voulu essayer même un peu d'être un ami
Don't worry je sais très bien ce que t'avais dis la dessus
Je répète que je n'attends absolument rien de toi
Mais si jamais, un jour, tu te rends compte que t'as été con et que tu es ouvert à une discussion
Je serai ravie de "communiquer" avec toi.
Peace Love Kekourge
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theoppositeofadults · 3 years
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Je me suis fait plaquer par message quand j'étais pas trop attaché au gars : c'est tranquille. Je me suis fait plaquer par appel par mon copain de 2 ans : c'est un peu gênant mais on s'en doutait que ça allait arriver. En personne : Bah, ya eu la fois où j'ai gardé mes émotions pour après. Et la fois où j'étais déjà arrivée en pleurs donc je suis restée 4 heures sur son canapé à me faire consoler et mon meilleur ami m'a fait livrer une pizza chez le gars. Je recommande par appel ^^
sms pour les gens auxquels tu n'es pas attachée = solution parfaite (j'ai des messages types dans mon téléphone et je mets juste le nom du gars. oui je suis un démon)
le problème du "en personne" c'est le lieu. je me suis déjà faite plaquer en personne une fois, on était devant chez moi, je m'y attendais pas mais j'ai pu lui dire d'aller se faire foutre et rentrer. fin de l'histoire
parce que là je suis en train de gérer une rupture - elle était chez lui, il l'a plaqué, c'était absolument pas prévu, et elle n'avait pas de moyen de locomotion (il était venu la chercher) donc elle a du attendre que quelqu'un d'autre vienne la récupérer et si elle n'avait pas eu cette option, elle devait rester chez lui pour la nuit (je n'ai pas d'indication qu'il était violent, mais hors de question quand même qu'elle reste une minute de plus que nécessaire seule avec un connard pareil)
par appel me semble donc en effet la solution idéale, parce que ça permet d'avoir le côté "respectueux" tout en évitant la présence gênante
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the-dormant-ocean · 4 years
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“ Je préfère vous tuer de mes mains plutôt que de vous perdre”. Je dois vous avouer, je ne m'y attendais pas du tout à celle-là. Donc Lancelot est un malade qui n’a absolument pas de demi-mesure. C’est bon à savoir.
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jeconnaisunvioleur · 5 years
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J'étais sur Tinder dans le but de me faire de nouveaux et nouvelles ami·e·s. Après avoir matché un garçon et avoir discuté un peu par messages, nous avons décidé de nous rencontrer. Ce n'était pas un "date", ni un rendez-vous galant. Simplement boire un chocolat dans un bistrot une après-midi pour apprendre à se connaître, sans attentes particulières. Le feeling passe bien. A ce moment, je me dis que c'est peut-être le début d'une chouette amitié. Nous quittons le bistrot et nous baladons un peu dans la ville en discutant. Comme le temps passe vite et que les sujets de conversation ne s'épuisent pas je lui propose d'aller prendre un thé chez moi pour continuer la discussion à l'intérieur. À peine entrés dans l'appartement, il s'approche de moi et m'embrasse. Je reste figée. J'étais surprise, choquée. Je ne m'y attendais absolument pas. Il me demande s'il me plaît. Je lui réponds que ce n'est pas la question, que ce n'est pas ça que je recherchais, que ce n'était pas ce que j'attendais de cette rencontre. À compté de cet instant, il a pris la chose comme un défi personnel. Il m'a manipulée, persuadée, essayé de me convaincre par tous les moyens (psychologiques et physiques) afin d'obtenir de moi ce qu'il voulait. Du sexe. Après une lutte intense, épuisée, j'ai fini par abdiquer. Je l'ai laissé finir son affaire parce qu'il n'en démordait pas et que j'avais épuisé toutes mes forces. Il m'a violé, assez brutalement. Je n'existais pas, j'étais juste un déversoir. Il me cognait par mégarde pendant qu'il me violait. Une fois qu'il a eu fini, je lui ai demandé : "Pourquoi n'es-tu pas capable d'accepter qu'on te dise non ?". Il a répondu en souriant : "Parce que j'aime les challenges. Rien ne me donne plus envie que lorsqu'on me dit non".
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bnjsld · 5 years
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Déambuler le vendredi soir dans Mont de Marsan me rappelle parfaitement ce à quoi correspond mon ressentiment personnel actuel : le vide.
Rien, mis a part les 2/3 personnes dont on voit dans leur façon de marcher qu'ils vont d'un point A à un point B et qu'il semble que rien ne pourrait les détourner de leur route : peut importe où ils vont, ils y vont, et ce mode automatique activé semble les plonger dans l'immensité de leurs réflexions.
Rien, mis a part ces groupes de personnes, fesant la fête à leurs balcons.
Rien, mis a part cette personne, fouillant les poubelles et se rejouissant d'avoir trouvé un reste de kebab.
À part ces présences brisant le silence et le vide des soirées montoises, il y avait moi. Je ne fesais parti d'aucun des ces types de personnes. Pas de soirée en vue, pas de destination précise où aller, pas d'objectifs à trainer comme ça dans la rue. Juste un besoin d'air et de marcher.
L'orage et la pluie, suivie de grêle commencant à tomber sur la ville, et ma voiture étant assez loin de là où j'étais, je me suis réfugié dans un bar. Pas grand monde dedans : 2 couples au fond du bar, un groupe d ami un tout petit peu plus loin, et au comptoir, à côté de moi, deux vieux hommes discutant des derniers résultats du stade montois en baisse par rapport au début de la saison.
Moi, je restais là, à apprécier la musique jouée, qui change des musiques de merde qu on a l'habitude d'écouter dans les bars "branchés" ou ces conneries de boîtes de nuits. En voici quelques unes que je connaissais.
J'avais à peine fini mon whisky que le barman se mit à me parler, et crois moi qu'à ce moment là j'étais pas près à ce qui allais arriver.
Il a commencer par me dire que j avais pas l'air d'être un gars du coin, et a donc demandé d'où je venais. J'ai répondu normalement que j'habitais ici. Il a insisté en disant que vivre actuellement ici ne voulait pas dire que c est de la que viens. Je lui ais alors dis que je venais de partout et nulle part à la fois, j'ai vécu à beaucoup d'endroits, mais je n'arrive pas à définir un endroit d'où je me sens originaire. Je ne savais pas si a ce moment là il avait compris ce que je voulais dire, mais son regard avait eu une expression que je crois n'avoir jamais vu dans le regard de quelqu'un.
Il a alors servi deux whisky, demandé a la serveuse de tenir le bar, et il m a demandé de le suivre a une table un peu plus loin. Il m'a demandé mon âge. Apres lui avoir dit, il a dit cash que c est pas possible. Qu'un gamin de mon âge ne formule pas de telles réponses. Ca paraissait chelou, mais avais quand meme le sourire Alors il a alors dit que j etais soit un petit bobo voulant se donner un air voyageur, soit un gitan, ou soit un mec perdu dans sa vie.
Sur le coup j'ai ri, je m'y attendais clairement pas, et je sais pas si ce rire était nerveux par rapport à cette situation ou pas. J'ai mis tout de même du temps à répondre : "Je vous laisse choisir". Il a comprit en me regardant dans les yeux. Il m'a demandé ensuite qu'est-ce qui m'amenais ici, ce que j 'ai expliqué en disant que je me balladais sans but precis, aprecier le calme, etre tout seul. Il a alors dit quelque chose de magnifique. "Plus grand monde prend le temps de déambuler seul de nos jours, tout le monde est pressé, tout le monde ne souhaite pas perdre son temps à juste être seul, et de profiter de ces moments là. Les gens ont oublié l'importance des moments seuls, ils voient la solitude comme un échec social, auquel il faut toujours remédier. Mais les gens oublient que peu importe si tu as été majoritairement accompagné ou non dans la vie, tu meurs seul. Et si tu n'a jamais été confronté à la vraie solitude, c est normal que la mort te fasse peur. Je pense que ce sont des épisodes nécessaires dans la vie d'une personne : qu'elle apprenne a se connaître et à s'aimer soit même en étant toute seule, puis naturellement elle apprendra à apprécier la compagnie de personnes de valeurs, et préférer la solitude à la compagnie de personnes n'en valant pas la peine."
Je sais plus si c est exactement comme qu'il l'avait dit, car de sa bouche c'était juste magnifique. J'étais juste sur le cul. Apres ce moment de silence, il rigola en disant "enfin bref, ce n'est qu'une brève de comptoir" que j'ai coupé en disant que j'étais clairement d'accord avec lui, mais un détail me chiffonais un peu. Je lui ai alors demandé : "Vous disiez qu'il est important de rester seul pour apprendre à s'aimer sois même, partez-vous du principe que chacun peut y arriver ?" Il m'a dit qu'il était évident que non, comme il y a des personnes qui ne s'aiment pas soi-même par défauts, qui ne font pas l'effort de prendre du temps pour essayer d'y remédier. Mais la raison de ceci, ce n'est pas la personne. C est son entourage. La personne ne s aime pas car on l'a un jour rejeté, ou souillé, ou on lui a fait comprendre que c etait qu une merde. La conclusion de ces actes parraissent immonde, mais ce qui est pire, c est la forme qu ils prennent : c'est un processus sur le long terme. Et plus longtemps la personne est en contact avec ces éléments, plus le ressentiment de detestation de soi va se faire sentir. Mais rien n est jamais trop tard : la personne doit faire le tri autour d elle, et bien analyser qui l'entoure, et ce que ces personnes lui apporte. Après avoir repéré ces nuisibles, la personne doit prendre le temps d etre seul, car c est quelque chose de nécessaire pour qu elle fasse une introspection et se pose les bonnes questions par rapport à pourquoi elle ne s'aimerais pas.
À partir de là il expliquait que c etait difficile de généraliser à cause de l'infinité de cas différents qui nécessite un regard sur chaque situation. Mais que comme il est ni psy ni détenteur d'un savoir absolu ce n'est que sa vision de choses.
C'est vrai que sur ce point, c est difficile derrière d'affirmer avoir la solution miracle au Mal du Siècle. Mais ce que j'ai trouvé remarquable, c'est la logique implacable dans laquelle ce raisonnement a été fait.
Suite à ça on a continuer a parler un peu d'autre car ca devenait plombant a force de parler de dépression alors qu on venait tout juste de se connaitre. J ai fini mon verre, et suis reparti en le saluant chaleureusement au passage, le remerciant pour l'hospitalité, la discussion, et le verre gratuit.
Même si le sujet dont on parlait n'est pas exactement le problème que j'ai : oui j'ai du mal à m'aimer moi, mais c est pas par rapport aux autre ni a juste me detester comme ca : je deteste comme j'ai agis et réagis par le passé.
Mais durant cette discussion, la seule chose que j avais en tête en illustration, c'était toi, d'un part c'était un gégé, d'autre part et surtout pour ces posts tumblr que tu mettais à l'époque sur le fait que tu ne t'aimais pas, que tu te sentais nulle, moche, comme une connasse, parce qu'il y a eu ce qu'il s'est passé ta scolarité en primaire et collège, et aussi je pense à cause de ce mec qui te manipulait à l'époque dont je ne me souviens plus le nom, qui était dans ton lycée.
Si tu descends (à moins que t ai deja vu) tu verras une capture d ecran d une reponse que je t ai faite, mais aucune idée de quand cette capture date. Elle etait dans mon téléphone dans un dossier avec des images dont n'avais aucune idée que je les avais. C'était la seule photo qui avait un rapport avec toi dans ce dossier.
Je mets à la fin une photo du verre au comptoir, que j'ai trouvé joli et donc pris en photo pour le montrer à mon voisin qui à pleins de verres pour servir les alcools chez lui. Mais ce verre est désormais le symbole de cette soirée formidable.
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payetoncouple · 6 years
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1) "Si tu me trompes, je te pisse dessus" 2) "Il faut qu'on dorme maintenant, je me lève tôt demain" 3) "Oui mais moi j'aime quand ça (te) fait mal"
1) C'était mon premier copain, je suis restée avec lui 5 ans et j'ai longtemps cru que c'était ma plus belle relation (ce qui donne une idée de la suite). On s'est mis ensemble très jeunes, à 14 ans, et j'ai fait ma première fois avec lui. Ce jour-là, il m'a demandé si j'étais prête. Je l'étais. J'ai simplement dit "il y a certaines pratiques qu'il me faudra du temps pour faire, que je ne veux pas faire maintenant". Parmi celles que j'ai citées, à ce moment là, figurait la fellation. Il m'en a fait faire une dans la minute qui a suivi. J'étais tellement interloqué que je me suis pliée à ses désirs, en décidant que ce n'était pas grave. Ensuite il m'a pénétrée, je n'ai rien senti, il a joui. Je me suis rhabillée et je suis partie, à sa demande, en me disant "c'est fait". Il m'a fallu des années pour réaliser à quel point j'avais pris un mauvais départ dans ma vie sexuelle en intégrant très tôt le fait que c'était normal qu'on outrepasse mon consentement, que celui-ci ne valait pas un clou. Il n'a jamais abusé de moi par la suite (de toute façon, je me suis mise à faire des fellations "de moi-même") et, dans l'ensemble, s'est plutôt bien comporté mais j'ai quand même eu droit à la fameuse phrase que je cite lors d'une de ses crises de jalousie - qui étaient nombreuses, longues et pénibles. Il m'a aussi plusieurs fois reproché d'être frigide parce-que je n'étais pas suffisamment expressive lors de nos rapports et il se montrait hargneux quand je n'avais plus de libido. J'ai fini par le quitter. 2) La phrase qu'a prononcé mon deuxième copain après ce que je définis encore péniblement, cinq ans après les faits, comme un viol. Nous étions dans une relation à distance et ça se passait mal, mais j'étais revenue pour le voir, bêtement extatique à l'idée de le retrouver. On a fait la fête avec mes amis, que je retrouvais également, et j'étais pompette et très joyeuse, ce qui, apparemment, l'énervait. Il était extrêmement froid et lorsque nous somme rentrés chez lui, je m'attendais à des explications, des câlins, quelque-chose. Au lieu de quoi, il est resté glacial mais a entrepris d'essayer de me pénétrer en missionnaire - en vain car je bloquais. Je ne comprenais rien à ce qui se passait, j'étais paralysée par cette froideur, dans l'attente d'un mouvement de tendresse. L'alcool n'aidait pas. Je n'ai pas dit non, je n'ai juste rien dit du tout, rien fait. Il a réessayé et réussi. Je me souviens de cette impression tenace que j'avais en regardant son corps en train de s'échiner sur mon corps, d'être un gigantesque sac à foutre, un objet. De ne pas être vraiment là. Une fois qu'il a joui, alors que je le regardais, sous le choc, il m'a déclaré, toujours aussi sèchement, qu'il fallait qu'on dorme (qu'il se levait tôt demain). Le lendemain matin, je me suis barrée, le quittant définitivement sans explication. J'ai pris 10 kilos par la suite. Incapable de penser à un rapport sexuel sans avoir la nausée pendant six mois.
J'ai réussi à lui en reparler des années plus tard, il m'a avoué qu'il était désolé, mais plus pour l'ensemble de son comportement au cours de cette relation que pour cette nuit là, à laquelle il n'avait jamais repensé plus que ça. Il lui semblait, sur le moment que coucher ensemble "était la chose logique à faire" même s'il avait senti "qu'il y avait un problème" et qu'il "aurait dû s'arrêter". 3) Quatrième copain. Homme "bien sous tout rapports", charmeur, doté d'une très haute estime de lui-même qui, une fois, quand je lui avait demandé ce qu'il aimait chez moi, avait répondu "la manière dont tu me regardes avec tes grands yeux". J'avais 24 ans, il en avait 30. Mon plaisir et mon bien-être sexuel lui étaient globalement indifférents et ne lui servaient, le cas échéant, qu'à flatter son ego. Il m'embrassait et me touchait très brutalement et quand j'essayais gentiment de lui expliquer comment y aller plus doucement, il me faisait clairement comprendre qu'il était hors de question qu'il se plie à mes désirs. Il ne supportait pas qu'on remette en cause sa manière de faire, et si je voulais avoir une vie sexuelle, il fallait que je fasse comme lui voulait. Son truc c'était de me prendre à la hussarde, sans préliminaires, en vitesse, souvent en levrette, au moment où je m'y attendais le moins et de faire son affaire avant de se barre,  l'air content de lui. Evidemment, c'était plus humiliant qu'autre chose. J'avais l'impression que mon désir le répugnait, ou lui faisait peur (il me laissait alors en plan) et que mon manque de désir l'excitait (il me sautait dessus). C'était étrange et malsain, mais je n'avais pas suffisamment de recul pour m'en rendre compte, je pensais que c'était moi le problème. Parler de sexualité avec lui était impossible.  Il était amateur de sodomie et j'ai accepté deux fois cette pratique sans en être une grande fan. Bien évidemment, il préparait à peine le terrain et une fois le lubrifiant mis, il y allait directement ce qui était douloureux. La première fois, j'ai mis ça sur le compte de l'inexpérience et je lui ai donné une deuxième chance. Mais la deuxième fois, je lui ai clairement dit qu'il me faisait mal. Il n'a pas ralenti, n'a absolument rien changé et m'a donc dit après coup cette phrase horrible, à laquelle je repense souvent aujourd'hui. J'ai eu des saignements pendant plusieurs semaines. J'ai fini par le quitter aussi, ce fut une libération.  Aujourd'hui avec le recul je trouve effrayant de voir à quel point il est facile de s'aveugler. J'ai fait des études, mes parents m'ont donné tout ce qu'il fallait pour être armée face à ce genre de situations, j'ai toujours été sensible à l'injustice mais à aucun moment je n'ai réalisé que ce qui m'arrivait n'était pas normal, que c'était même foncièrement grave. Je me réveille aujourd'hui petit à petit, et j'ai encore le sentiment d'être un genre d'imposteur en écrivant ce post (est-ce que j'ai le droit de parler de viol ? Est-ce que c'est vraiment moche tout ça, ou est-ce que je me fais des idées ?). J'ai désormais un copain adorable et je découvre ce que c'est que d'être avec quelqu'un qui me respecte et qui se soucie de moi. C'est vraiment une surprise et un tournant inespéré pour moi. Je dois réussir à faire la paix avec ce passé pour avancer dans ma relation avec lui et parfois, c'est difficile. Je dois aussi ré-apprivoiser mon corps, apprendre à lâcher prise et à vivre ma sexualité pour moi. 
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rainbowtheque · 6 years
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Kiss
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Titre : Kiss
Auteur : Jacqueline Wilson
Roman
Maison d’édition : Gallimard
Disponible en version papier et numérique - 352 pages
Âge conseillé : à partir de 15 ans
Résumé
A 13 ans, Lise et Cari sont inséparables depuis la petite enfance. Mais cette année, alors que Lise sent ses senti­ments se transformer en amour, Cari a changé de collège et se montre moins disponible. Même le monde qu'ils se sont inventé, le Pays de verre, au fond du jardin de Cari, peuplé de figurines de verre, dans lequel ils passaient des heures à écrire des histoires, semble avoir perdu son attrait. Sa famille ne comprend pas son malaise. Lise devient amie avec Miranda, délurée et meneuse, qui trouve vite Cari à son goût. De son côté, Cari semble très accaparé par un nouveau copain, Paul, que Lise trouve idiot et sans intérêt. Lors d'une sortie à quatre, une grosse dispute éclate entre les deux garçons. Plus tard, Lise retrouve Cari en sang. Il a entièrement détruit sa collection de verreries. Il finit par avouer à Lise qu'il a essayé d'embrasser Paul et que celui-ci l'a brutalement rejeté.
Identité représentée :
Gay
Thématiques :
Récit initiatique, homosexualité, adolescence, famille, collège, amour impossible
Avis de Jade
Je m'y attendais absolument pas, c'était ma première découverte d'un personne gay dans un livre, c'est direct, sincère, poétique, j'ai adoré le personnage de Carl. 
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bloguementmoi · 6 years
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Chapitre 2 : Je ne me la joue pas Carrie Bradshaw
J'ai été une fan inconditionnel de « Sex in the city » et je peux vous dire que je me sens vraiment proche du personnage de Carrie, c'est assez étrange de se dire qu'un simple personnage fictif peut vous donner autant de leçon sur la vie amoureuse, il faut savoir prendre du recule et je pense que c'est pour ça que j'ai autant aimé cette série. Bref ! Passons ! Je sais que ça va faire presque un mois et demi que j'ai rien poster sur mon blog et oui ça craint un peu je vous le fait pas dire...
Comme tout le monde j'ai eu ma période application de rencontre (ne me jugez pas bandes d'ingrats è.é), en premier lieu : Tinder aka THE application. J'ai fait mes premiers pas dessus il y a de cela deux ans, la candide jeune fille que je suis pensais pouvoir discuter avec des personnes assez sympa sans me prendre la tête et sans arrières pensées sexuel SAUF QUE ! Je suis tombée que sur des belles gueules recherchant plan cul et je peux vous dire que ça m'a sacrément démotivée... Franchement y'en a vraiment qui ont à ce point la dalle ? De base Tinder c'est une application de RENCONTRE j'insiste sur ce mot « RENCONTRE », ce sont ses utilisateurs qui en ont fait un réseaux de petites puteries et c'est assez dommage car le concepts était pas mal. Enfin pour les filles par contre les mecs je vous plains, vous êtes assez restreins dans vos choix xD. OUI JE VAIS EN VENIR AU FAIT ! Donc je me suis inscrite dessus, après plusieurs match avec des putains de campeur (note : les campeurs sont les connards qui match et reste en ligne mais qui ne vous parles pas, MÊME QUAND C'EST VOUS QUI LE FAITE ! J'ai une question, pourquoi matché si vous ne parlez pas les gens ? C'est quoi votre putain de problème sérieux?!), anyway donc je disais... Mon attention s'est porté sur Clyde (si vous n'avez pas suivi le chapitre précédent je précise que je ne donne pas les vrais noms de mes protagonistes).
Clyde était un beau bruns au yeux d'un bleu azure à vous en faire fondre (mon dieu j'ai chaud rien que d'y penser oulala..), c'était un designer qui suivait des cours en dehors de la capitale mais qui rentrait de temps en temps voir principalement sa famille. Lui et moi au début c'était un peu plat faut l'avoué nos discussions n'étaient pas fameuses mais au fur et à mesure on a commencé à se rapprocher, à se parler tous les jours, à skyper tous les jours, à s'envoyer des snaps tous les jours, à s'appeler tout les jours... Il était potentiellement l'homme parfait pour moi et j'étais (j'ose espérer), la femme parfaite pour lui (c'est bon j'ai dit « J'OSE ESPERER » merde !).
Après des mots tendre et des naiseries en tout genre à base de « j'aimerais tellement goûter tes lèvre » (je vous laisse deviner lesquelles ;), en vrai on parlait que de bisous bisous xD), on décide de se voir (nos emploies du temps nous empêchait de faire ça plus tôt). On a opté pour une petite visite dans un musée, je me fais belle j'arrive à l'heure prévue....et j'attends, parce que oui monsieur était en retard ! Bon il avait une excuse, en week-end on trouve difficilement des places pour se garer.
10-15 minutes plus tard je le vois, un bel homme grand, cheveux en bataille tout souriant avec une jolie barbe se dessinant parfaitement sur son visage. Et ses yeux ! MON DIEU SES YEUX ! Être aussi divin devrait être prohiber, ça peut porter préjudice à mes ovaires, genre vraiment ! Il avance vers moi et me lance un « hey », sans réfléchir je cours vers lui et je lui saute dans les bras il me rattrape et me sers contre lui, honnêtement on avait l'air de deux amoureux qui ne s'étaient pas vu depuis des mois... Je me dégage doucement de son étreinte puis il me regarde avec des yeux, OUI SES YEUX ENCORE UNE FOIS PUTAIN... Il me regarde avec des yeux qui disaient  « j'ai envie de t'embrasser... », j'ai perdu mes moyens j'ai détourné le regards, ris nerveusement puis on est aller visiter le musée.
Ce qui était drôle c'est que pendant toute la visite on se cherchait et on se taquinait à un moment on s'était assis près des tableaux sur un banc à l'étage (parce que oui on avait passé une bonne partie de la journée debout),  on se chamaillait comme des enfants et puis on s'arrête on se regarde et nos lèvres se collent l'une à l'autre, on s'embrasse quoi ! Mais c'était vraiment étrange, parce que j'avais l'impression qu'il se retenait, il mettait de la distance entre nous, ses baiser étaient retenus on va dire.
Après ça on est retourné voir les tableaux après on en a profité pour se balader sur les quais, il agissait bizarrement à la fois il était proche de moi et à la fois il mettait de la distance. Franchement je ne m'en souciais pas vraiment mais ça me faisais quand même quelque chose j'avais un espèce de pressentiment. Bref tout à la fin comme un super gentleman il m'a raccompagné au métro, on s'est embrassé pour se dire au revoir mais encore une fois cette putain de distance !
Une fois chez moi je lui dit que je suis bien rentrée, lui aussi puis il me dis « J'ai passé une super journée mais comme tu le sais on ne peut pas être ensemble comme je vais partir étudier à l'étranger et j'avais pas envie de profiter de toi et que tu me vois comme un connard.. T'es une fille géniale...blablablabla ». Mouais ok. Je m'y attendais plus ou moins on en avait déjà parlé avant et on s'était déjà mis d'accord sur le fait qu'on allait juste passé une journée ensemble et voir ce que ça donnerait. SAUF QUE ! Bah rien apparemment. C'était étonnant, ensuite il me sors : « Qu'est-ce que tu attends de moi exactement ? », mec, t'es sérieux là ? Je lui ai répondu : « Écoutes, je n'attend absolument rien de toi, surtout que je comprend pas vraiment où tu veux en venir avec ta question après m'avoir dit que nous deux c'était pas possible, pour moi c'est clair que t'étais l'homme parfait mais bon ce sont des choses qui arrive malheureusement :) » et là il m'a dit un truc genre : « Je suis vraiment gêner... », excuse moi ? Gêner de quoi ?! Et il ajoute : « J'ai vraiment l'impression d'avoir été un salaud »...Euh chéri c'est moi qui est entrain de me faire larguer la, pourquoi tu t'auto flagelle comme ça ?
Bref après cette discussion je lui ai dit que je ne lui en voulait pas, c'est étrange il avait comme un problème de conscience il voulait à tout prix être le « nice guy » et pas le « son of a bitch guy », certains accorde vraiment une importance monstrueuse à leur image, cher lecteurs sachez que ce n'est pas en dissimulant le fond de votre pensée pour ne pas blesser l'autre que cela fera de vous être « quelqu'un de bien », justement, c'est pire ! En agissant de la sorte vous montrez de la pitié et vous estimez que la personne en face de vous n'est pas apte à encaissez ça, ne sous-estimez pas les autres s'il vous plaît vous seriez vraiment surpris de voir que le monde n'est pas peuplé que de personne dépressives ou hystérique. Dîtes simplement la vérité, vous verrez vous vous sentirez mieux après avoir été honnête. Par la suite Clyde et moi on s'envoyait de moins en moins de message, je le sentais s'éloigner mais bon tant pis j'ai envie de dire.
Deux semaine plus tard je regardais les story snapchat et je vois la sienne et sur cette fameuse story il mentionne sa copine : OKAYYYYYYYYYYY. Du coup tout à enfin pris un sens dans ma tête, cet enfoiré ne partait pas à l'étranger, il hésitait simplement entre moi et une autre nana. C'est vrai que ça fait moins tâche de dire à tes potes que ta copine tu l'as rencontré dans ton école au lieu de dire que tu l'as rencontré sur Tinder, mais oui tout s'explique. J'étais vraiment mais vraiment énervé le gars me fais de grand discours sur l’honnêteté (et ce n'était pas le seul, je vous raconterais dans les chapitre à suivre), il me disait que c'était le genre à dire ce qu'il pensait quitte à blesser l'autre mieux valait lui dire la vérité, MON CUL OUI ! J'ai eu la preuve qu'il m'avait vraiment prise pour une débile mentale, Clyde, dès le début tu aurais pu me dire qu'entre nous c'était pas possible parce que tu avais quelqu'un d'autre en tête, c'est tout, je ne l'aurais pas mal pris. AH ET OUI J'OUBLIAIS ! Monsieur a cru que pendant son soi disant voyage à l'étranger qui devait durée 1 an tout au plus que j'allais l'attendre, en faite c'était juste une technique à la con pour me dire 1 an sans se voir, se toucher (I mean sex), c'est pas possible :l qu'on allait trop se manquer et blablabla. Bref il savait que les relations à distance c'était niet avec moi (je lui avais parlé de mon ex et du désastre que c'était il a un peu jouer la dessus le fourbe). Voilà comment ça à pris fin, malgré ça le mec continue de regarder mes story sur snap, chose que moi je ne m'amuse pas à faire, je m'en fou en faite, après il peut être curieux, je ne l'en empêche pas.
Pourquoi je l'ai pas supprimé ? Je m'en fou, genre vraiment, on était pas en mauvais termes non plus puis je me voyais mal aller l'embrouiller deux semaines après, surtout que le mec ne me devais aucun compte on était pas ensemble à aucun moment, attention ce qu'il a fait n'était en aucun cas excusable juste que peu à peu j'ai été indifférente, il était devenu un fantôme pour moi comme ceux que j'ai connu par la suite (hors applications).
Quand on me lis, on a l'impression que je suis abonnée aux « relations floues » et vous n'avez pas tord, on a tous besoin de clarté et si un jour vous rencontrez une personne qui prend des détours pas possible pour vous dire une chose simple dans la crainte de salir son image à vos yeux et bien elle ne vous mérite absolument pas et si vous êtes dans l'autre cas de figure (c'est à dire celui qui a peur de dire les choses), soyez sincère mieux vaut un headshot qu'un hara-kiri.
Je peux comprendre que certaines vérités sont difficiles à dire mais sur le long terme ça devient encore plus hardcore, on se complique de plus en plus la tête et ça devient ingérable. Tant que vous avez encore le contrôle faites le choix le plus raisonnable possible, votre partenaire mérite que vous soyez sincère.
« Je ne prend jamais de virage sur l'autoroute. » - Nyx.
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agovie-blog · 6 years
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permission de vivre
cela va faire 7 mois que tu es plus là. Ça commence à faire un petit bout de temps, Il serait temps que tu rentres à la maison ou au moins que tu m appel parce que figure toi que je ne sais toujours pas faire à manger. je part en vacances lundi et les gars m'ont demandé de faire les courses, LES COURSES si tu m a vu je sais déjà que tu étais plié de rire. Quand j entends ce mot j'ai des sueurs froides à la limite de la crise de panique. Finalement quand j'ai honteusement avoué que la seule fois où j'ai fais les courses j'ai acheté 3 côtes de porc pour 8 euros en ayant l'impression d'avoir fait l'affaire du siècle, finalement ils m'ont dit "on va les faire ensemble" je ne suis épargné que à moitié.
Comme tu vois j'ai encore beaucoup à apprendre. J'espère que tu n'étais pas proche de moi quand la semaine dernière il m'a fallu 3 casseroles pour faire cuire des pâtes juste pour moi. Et que en plus j'ai réussi à les cramer. Bah oui j'ai pleuré seule devant cette casserole en me disant à quel point je suis largué sans toi. Des pâtes bordel !! J'ose pas inviter tes parents à manger, bien qu'ils s'attendent pas à grand chose mais tout de même.
Tu vois en 7 mois j'ai pas appris grand chose mise à part dormir seule, et quand je suis malade je dois me débrouiller seule et j'ai personne pour me dire " mon cœur même dans ton état tu es la plus belle du monde" tu avais ce talent de me faire croire que tu pensais des choses absolument incroyable. Maintenant je suis malade je me regarde et je me dis " si tu restes comme ça ma pauvre tu vas finir none" . Et pire ! je dois moi même me lever pour me faire mon petit dej alors qu avant tu attendais que j ouvre les yeux et là hop petit plateau au lit. On ne cesse de me répéter que je vais retrouver quelqu'un quand je serais prête, non mais qui sera à ta hauteur ? il ne faut pas comparer je suis d'accord mais je me suis habitué à être traité comme une reine. Si tu me vois accepter moins bien que toi tu serais peut être un peu déçu "j ai fait tant de efforts alors qu elle aurait pu se contenter de moins". Dis toi que si je rencontre quelqu'un de moins bien c est juste que j'en ai marre de mal manger. 😉
Sera bannie : alcoolique, drogué, ronfleur, égoïste, travailleur en restauration, menteur, inculte, avec une ex insupportable, déprimé, citadin... le temps s écoule et les mecs bien courrent de moins en moins les rues. Je n'ai pas peur de rester seule toute ma vie, j'en ai juste pas envi. Tu ne le voudrai pas.
Avant toi j'étais tombé sur un bon paquet de cons, entre les infidèles, le mec marié qui c est bien caché de me le dire, celui qui a fait un gosse avec une autre quand j'étais avec lui et c'est elle qui m'a prévenu, celui qui sortait de prison et qui me l'a pas dit où je me suis retrouvé dans une situation bien loin de mon univers. Et ceux que j'ai oublié, je t'avais toi j'y croyais pas je pensais pas mérité quelqu un comme toi et je le pense toujours. Mais tu as mis la barre très haute me voilà plus exigeante que jamais.
Depuis ton départ j'en ai rencontré des mecs, je te parle des exs qui ont réapparu du jour au lendemain... non je te parle des autres, mais je me pose la question, suis je pas prête ? personne ne t arrive à la cheville ? ou bien est ce que j'ai un don pour attirer les types bizarre ? j'en 1i bien rencontré un pas mal mais étais ce trop tôt ? trop compliqué ? je ne sais pas, mais les autres... trop bavard (oui plus que moi) , trop sûre de lui, trop premier degré, trop impatient, trop agité....
En tout cas ce que je peux te dire c'est que lundi je part en vacances là où on était et j'ai pas eu le choix et ça va être dur, mais je vais profiter, vivre et laisser mes soucis à la maison. Car mon amour mon cerveau va péter, 7 mois que je vis sans toi et 7 mois que j espère te voir passer la porte et rentrer et reprendre notre vie comme on l avais. Mais c'est impossible et je crois que je m'y ferais jamais.
je t aime plus que la mer et les étoiles et pour toujours
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eilanetranslation · 7 years
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Avis sur le chapitre 35 (SPOILERS)
Hier, je vous avais promis un maxi-post, et bien le voilà! Désolée, je me répète un peu d'une réponse à l'autre, et il y a pas mal de blabla hors-sujet. Mais j'avais des choses à dire :')
Bien évidemment... SPOILERS!
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@angieoups
Saluuuut~ Ça va bien, merci :)
Je préfèrerais que Koogi et Lezhin décident une bonne fois pour toutes de réduire le rythme de publication. Bien sûr, je ne peux pas en vouloir à Koogi d'avoir des soucis de santé qui l'obligent à prendre du repos, mais je commence vraiment à être agacée par ces messages de dernière minute qui nous annoncent une pause d'une semaine/deux semaines/un mois etc.
En plus, à chaque fois, j'ai l'impression que Koogi est forcée de se justifier pour ne pas se faire insulter par certains lecteurs, en donnant des détails sur sa vie privée. C'est bien si elle a envie de partager avec nous, mais j'ai plus le sentiment qu'elle se sent obligée de le faire.
Et personne ne va mourir de devoir attendre deux semaines au lieu d'une!
Concernant le chapitre, je ne l'ai pas tellement aimé. Je ne l'ai pas trouvé mauvais, comme le chapitre 33, mais c'était pas non plus la folie.
Comme tu le dis, et je vais même plus loin, c'était un final beaucoup trop facile. Le dénouement pour Seungbae est exactement celui que je prévoyais depuis une dizaine de chapitres, ce qui enlève toute utilité à l'affaire du poste de police (alors que j'espérais un minimum d'impact.)
Le retour de Sangwoo et Bum à la maison, je ne l'imaginais pas tellement différemment, et contrairement à toi, je savais que Sangwoo agirait exactement comme ça. C'est vrai que je pensais qu'il changerait de visage dès qu'ils auraient passé la porte, finalement même pas besoin.
Et puis la scène de cul/viol... bah, elle m'a pas plu, et je suis loiiiiiiin d'être prude/facile à choquer/fermée d'esprit ou quoi que ce soit, donc ce n'est pas ça le problème. Je l'ai juste trouvée de mauvais goût,avec un Bum qui prend son pied et qui gémit des "je t'aime" à en perdre haleine, alors qu'en réalité il devrait avoir tellement mal qu'il pourrait à peine parler/bouger...
J'ai rien contre le sexe irréaliste dans les BL, où les gars sont des dieux dès leur première fois, où ils peuvent jouir cinq fois d'affilé sans problème, et où ils ont jamais besoin de préliminaires (parmi des tas d'autres clichés...) Mais j'ai toujours apprécié le réalisme dans KS, et cette scène m'a déçue et énervée.
Cela dit, j'ai quand même été satisfaite que Koogi ait rappelé à tout le monde que Sangwoo est un connard manipulateur. J'en pouvais plus des fangirls qui écrivaient après chaque chapitre "Ouah, Sangwoo est génial, et Seungbae est un connard!" Parfois, j'ai l'impression qu'on lit pas la même série...
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@jeanmidepain
Salut :) Merci à toi!
Pour résumer : chapitre bof, final de saison décevant.
J'ai toujours eu une relation amour/haine avec Sangwoo. J'adore son génie du crime, ses talents de comédien, ses affrontements avec Seungbae... (et il est sexy) mais je n'oublie pas qui il est vraiment! Alors, est-ce qu'il me dégoûte? Pas plus qu’avant, parce que je le savais capable de faire ça ^^
Après, concernant Bum, j'ai eu beaucoup de mal à être désolée pour lui pendant ce chapitre (alors que depuis le début de la série, mon coeur saigne pour lui <3). Je n'aime pas ce que Koogi est en train de faire de lui, une petite chose incapable de réfléchir par elle-même qui encaisse tout ce que Sangwoo lui fait et ne remet rien en question parce que "on est amoureux, hein!"
Et puis, cette scène de sexe... hey, je veux bien que Bum endure ce que lui inflige Sangwoo par amour, mais je refuse de croire qu'il y a vraiment pris du plaisir. Le masochisme, ça veut pas dire que t'aimes te faire déchirer l'anus hein.
Oui, Seungbae était proche, et il avait quand même des preuves contre Sangwoo! J'étais certaine que ça finirait comme ça, mais quand même, les policiers qui laissent repartir le duo alors que Bum est couvert de blessures - et qu'il n'a JAMAIS dit que ça venait de "l'ex-copain" que Sangwoo a complètement inventé, ça n'a aucun sens.
Est-ce qu'on peut considérer qu'un Bum complètement soumis et dévoué à Sangwoo, c'est une forme d'évolution? Personnellement, je préfère 1000 fois le Bum qui a essayé d'empoisonner Sangwoo, qui a essayé de s'enfuir, qui s'est opposé à lui, et qui était torturé par ses sentiments pour son tortionnaire.
Parce que le Bum qui dit des trucs comme "on est trop amoureux parce qu'on vit ensemble" et "s'il m'a insulté quand je lui ai dit que je me suis fait violer, c'est parce qu'il tient à moi!", qui n'a plus aucun doute sur son bourreau, et qui gémit des "je t'aime" à Sangwoo qui vient JUSTE de lui avouer qu'il se foutait de lui -  et qui, tant qu'on y est, est en train de le violer, il ne me plaît pas du tout.
Maintenant que la saison 2 est terminée, je peux le dire : quel est l'intérêt du génialissime chapitre 27? Quel est l'intérêt de Bum qui se rebelle contre son oncle dans le chapitre 33 (même si c'était un rêve)? Quel est l'intérêt de la discussion de Bum et Seungbae à la fin du chapitre 34?
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@hopelessprod
Hello~ ça va bien merci :)
MAIS TELLEMENT, TELLEMENT, TELLEMENT D'ACCORD AVEC ÇA!
Cette fin de saison, c'est à 3000% du fanservice, y a eu aucune surprise. La fin pour Seungbae, je m'y attendais depuis un bon moment déjà (avant même qu'ils n'arrivent tous au poste de police), et cette scène de cul était juste là pour faire plaisir à celles qui ne lisent la série que pour ça.
Attention, je suis fan de yaoi comme la majorité d'entre nous ici, et j'apprécie les (bonnes) scènes de sexe dans les mangas. Et, comme je l'ai écrit plus haut, je suis loin d'être prude. Mais j'ai pas aimé ce passage... Je suis déçue que Bum n'ait pas réagi plus que ça, quand Sangwoo lui a avoué qu'il s'était foutu de lui, et ça m'énerve de le voir gémir comme dans un film porno alors que si c'était un minimum réaliste, il devrait à peine pouvoir bouger/parler (parce que oui, une bite dans le cul sans préparation/lubrifiant, ça fait super mal - et on le voit saigner).
(Et je me contenterai de mentionner ces fangirls qui n'auront retenu qu'une chose du chapitre... "Ils ont enfin couché ensemble omg!")
Je me doutais que la saison 2 mettrait fin à l'épisode du poste de police mais... pas comme ça. Pas en mode "nan nan, c'est bon, vous pouvez partir, y a pas de souci, on est vraiment désolés, on va juste virer Seungbae et faire comme si rien s'était passé hein". C'était décevant, y a eu aucune conséquence pour Sangwoo.
Même si Seungbae a foiré son coup, que ses preuves n'ont pas suffi, que Bum n'a rien balancé, et qu'il a pété un câble devant tout le monde... à un moment, il a quand même réussi à instaurer le doute. Les blessures aux jambes de la fille du PDG et de Bum sont les mêmes, Bum - qui vit avec Sangwoo - est couvert de bandages et n'a jamais dit d'où elles venaient, et les policiers ont douté à un moment que les deux sortaient vraiment ensemble.
Je sais pas, mais même si ça suffit pas pour dire que Sangwoo est coupable, ça mérite quand même d'enquêter un peu plus sur Bum pour découvrir ce qui lui est vraiment arrivé... non ? Ça aurait été intéressant, si les policiers avaient demandé le nom de l'ex-copain mystère pour l'interroger/l'arrêter, ou tout simplement pour ensuite demander à Bum s'il veut porter plainte contre lui. J'aurais aimé voir Sangwoo galérer pour trouver une solution.
J'ai déjà dit que les policiers étaient des incompétents dans une précédente publication, et je sais que c'est pour servir la cause de l'histoire, mais c'est un peu gros quand même... et frustrant.
Et pour mon sentiment global sur ce chapitre... ouais, à peu près comme toi. Le dernier vrai bon chapitre de cette saison a été le 31. Il y a eu quelques bons moments depuis, mais globalement, j'ai pris beaucoup moins de plaisir à lire ces derniers chapitres.
Je m'inquiète vraiment pour la suite de Killing Stalking. J'ai adoré la première saison (en tout cas, c'est le souvenir que j'en garde). Je trouve que la deuxième a mis du temps à démarrer, pour ensuite avoir de très bons chapitres, et se finit sur un arc décevant.
J'espère que la relation de Sangwoo et Bum va changer drastiquement, et j'attends ce changement de la part de Bum. J'aime beaucoup Sangwoo tel qu'il est, et si par lui-même, il venait à s'adoucir et à devenir tout gentil avec sa victime, je serais déçue. J'attends pas un Sangwoo transi d'amour et tout mignon (par contre, un Sangwoo possessif, c'est intéressant...)
Ce que j'aimerais, c'est que Bum se rebelle et amène Sangwoo à changer - ou alors, qu'il se rebelle et essaye de le quitter, parce qu'il sait que Sangwoo ne changera pas. J'adorerais que Bum prenne le dessus sur leur relation, même si ça ne dure pas.
Mais, avec cette 2nd saison, je doute que tout ça arrivera, et j'ai peur que la suite soit juste "Sangwoo et Bum tuent des gens ensemble et sont amoureux, lololol".
J'ai hâte de la saison 3 pour une seule chose : Seungbae. J'adore sa vision détraquée et absolue de la justice. Maintenant qu'il a été viré, il n'a plus rien à perdre et sera prêt à tout pour arrêter Sangwoo... et ça promet d'être intéressant. Par contre, j'annonce tout de suite : s'il en vient à tuer quelqu'un, je serai déçue de lui.  
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Merci à vous trois pour vos questions <3 Et félicitations à ceux qui liront! Si vous voulez parler de certains points plus en détails avec moi, n'hésitez pas.
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sobillyboy · 4 years
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Non mais ce mois de décembre.
Tout à l'heure j'ai fait que râler mais j'ai quand même des choses positives c'est que je suis super bien entourée et surtout à la fac. Que des gens bienveillants et des nouveaux/nouvelles ami(e)s qui ne veulent que mon bien et que j'adore j'adore j'adore.
Mais alors là une bombe vient de me tomber sur la tête. Une de ces amies vient de me dire qu'elle avait des sentiments pour moi. Je ne m'y attendais ABSOLUMENT pas, et ce n'est pas réciproque donc c'est l'angoisse totale.
Je ne sais pas faire face à ce genre de situations.
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craycraylei · 7 years
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Anthony Perkins : interview
Il pourrait être l'une des vedettes le mieux payées du monde, mais cela lui est indifférent et aux films coûteux, il préfère les bons films : souvent ce ne sont pas les mêmes. L'Amérique est aujourd'hui toute prête à faire de lui l'un de ses dieux et pourtant il la quitte à demi puisqu'il a décidé de vivre, chaque année, six mois en France. Guy Abitan, envoyé spécial de « S.L.C. » est allé à Nice lui poser vingt questions qui se résumeraient en une seule : « Qui êtes-vous, Tony Perkins ? »
Le premier soir que je l'ai vu, c'était à Juan-les-Pins, il y a un peu plus d'un mois, sur cette longue jetée, toujours grouillante d'une foule paisible, paresseuse et demi-nue, qui borde la plage. Là, face à un café tout brillant où un nombre de plus en plus grand de curieux avaient commencé de s'assembler, et même, bientôt de s'entasser, vous auriez pu voir une énorme caméra noire et grise, inquiétante vraiment avec ses objectifs compliqués, sa sorte de museau dressé, son air romane de vous donner des ordres : on allait tourner (c'était le début la nuit) une scène du nouveau film d'André Cayatte, « Le Glaive et la Balance ». Vedettes : Jean-Claude Brialy, Pascale Audret, Tony Perkins. Cette fois, il s'agissait d'une séquence où Tony devait paraître seul ; on l'attendait ; tout le monde savait bien qu'il était caché quelque part, tout près, peut-être même dans le petit square situé à dix mètres de là – mais tout le monde faisait semblant de croire qu'il se trouvait encore loin, très loin, et qu'il arrivait, qu’ « il allait arriver, comme je l'ai entendu dire à André Cayatte, le réalisateur « D'une Minute à l'Autre ». En somme, c'était un jeu – et chacun l'acceptait.
Brusquement, a côté de moi, une jeune fille crie : « Le voilà ! » Je regarde. Je ne vois rien. Ah ! Tout au bout de la rue, j'aperçois un long jeune homme très mince, vêtu d'un pantalon de toile blanc et d'un léger pull-over de couleur noire, et qui avance vers nous, vers cette jetée contre la plage où nous nous trouvons. La démarche rapide, mains enfouies, toutes droites, au plus creux des poches. C'est drôle : moi, Tony Perkins, bête comme je le suis, je croyais presque qu'il ne parviendrait pas vivant jusqu'ici ; j'imaginais milles horreurs, qu'on me l'aurait dévoré en cours de chemin par exemple, ou qu'il serait entouré d'une cohorte de jeunes gens passionnés et ravis… Et je vous en assure, des histoires de vedettes coupées en morceaux par leurs admirateurs, ça n'est pas du tout, mais alors pas du tout ma nature, ni mon habitude d'y accorder nulle importance. Enfin, quand même, Tony traversant seul, sans être dérangé, avec l'allure d'un petit garçon qui se promène, les rues d'un village aussi « bousculé » que Juan-les-Pins, je dois vous le confier, cela m'a fort surpris. Et puis aussi, j'en ai eu le plaisir : ces gens qui attendaient, massés, bruyants, mais sans impatience, le début de la séquence, étaient des gens polis : ils n'avaient rien à voir avec ces imbéciles qui prononcent le moms de leurs « idoles » en se pinçant les lèvres, et se battraient pour la petite joie d'être passé à vingt centimètres d'elles. Première leçon bien agréable : Tony Perkins n'est pas une idole ; c'est un comédien – et un grand comédien – qui se soir se rendait à son travail ; et les curieux ne m'ont semblé curieux que de le voir à cette besogne. Excusez-moi : je trouvais ça beaucoup plus sympathique. On tourne. Deux, trois fois le même passage, Tony doit marcher pendant quelques minutes le long du trottoir, devant la caméra, avant de se faire happer par une voiture où hurlent une demi-douzaine de jeunes filles et de garçons un peu ivres, et trop gais. Quelque chose ne va pas. Sans cesse, quelque chose ne va pas. Il faut recommencer – on est en retard sur le temps prévu – chacun bientôt s'énerve… seuls. Tony et André Cayatte restent calmes. « C'est un réalisateur merveilleux », dit Tony de Cayatte – « C'est un ange », dit Cayatte de Tony. Tout paraît simple alors ; les nerfs des autres, bientôt, ne comptent plus.
La travail achevé, Tessa Sigrist, la grande amie française de Tony Perkins, nous présente l'un à l'autre. Affable, souriant, Tony s'inquiète : « What do you want? » À cette seule occasion il m'aura parlé anglais ; ayant vécu en France six mois à peine, il possède déjà la maîtrise de notre langue avec une vivacité et une assurance vraiment déconcertantes. Je nomme « Salut les Copains » ; il demande : « C'est en rapport avec l'émission ? », puis il me donne un rendez-vous pour le lendemain, dans l'après-midi, aux studios de la Victorine, qui sont situés juste en arrière de Nice, au dessus du bleu très riche, très profond de la mer, contre une colline tout en herbes, en palmiers, … soleil. – Nous nous sommes vus une heure. J'ai indiqué la gentillesse, le côté rieur, léger de Tony. Pour que l'image soit plus juste, sans doute dois-je vous parler aussi de ce mince regard brun, aigu, extraordinairement mobile, dans un visage clair et fin d'adolescent – de cette voix aimable et souvent douce, mais parfois encore nerveuse, coupante, agacée – de ses mains enfin, belles et souples, qui soudain se lèvent et s'agitent, et sans que Tony ait eu même à parler, leur éloquence a déjà suffit à vous expliquer… Il n'arrêtait pas de me répéter que tout allait bien, et je n'arrêtais pas de le trouver tendu. Et nous avons parlé de lui, voici comment.
Un métier ? Non : une vie
— Alors Tony, ce nouveau film…
— C'est l'histoire d'un enlèvement ; un gosse a disparu : des témoins racontent que, la dernière fois, ils l'ont vu en compagnie de deux hommes… J'aime les histoires où tout n'est pas net, où il y a toujours une possibilité de se tromper. Ici, ok s'attendait à rejoindre deux coupables seulement : on en trouve trois, et chacun d'eux va s'efforcer d'accuser les deux autres ; mais rien ne sera jamais éclairci… Cela me vient sûrement de mon enfance, cette habitude de mieux comprendre ce qui est mystérieux. Quand j'avais treize, quatorze ans (j'étais alors écolier à New York), ma mère m'envoyait chaque semaine, pendant les grandes vacances, a un théâtre pour enfant qui s'appelait le « Little Summer Theater ». C'était, à vrai dire, un drôle de théâtre : si on voulait obtenir un rôle dans l'une des pièces, toujours les mêmes à être reprises, il fallait d'abord pendant un certain temps travailler dans la coulisse – vous clouiez les poutres, vous aidez à tirer le rideau, vous changiez les meubles des décors… Bien évidemment, dans ses conditions, vous n'entendiez jamais une pièce toute entière. Alors j'étais obligé d'inventer, de refaire sans cesse une histoire : mais il restait toujours un trou, une faille, ça ne marchait pas jusqu'au bout. Et c'est ce qui me séduisait.
— Vous avez vingt-neuf ans, vous êtes né d'une grande famille new-yorkaise, et vous avez passé, je crois, une licence d'histoire et une licence de lettres. Qu'est-ce qui vous a conduit au métier de comédien ? Un hasard ? Ou y songiez-vous depuis longtemps ?
— Depuis longtemps ? Mais je n'ai jamais songé (et je ne songe encore jamais) qu'à cela. Pour moi, la comédie n'est pas un métier, elle se confond avec ma vie même…
— Oui mais…
— Et vous avez oublié une chose essentielle : que mon père, Osgood Perkins, fut considéré pendant une vingtaine d'années, au début du siècle, comme le plus surprenant comédien de théâtre que Broadway eût connu.
— Vous estimez donc lui devoir votre goût pour ce « métier » – si vous me passez encore ce mot ?
— Non, il vaut mieux que je ne mente pas, peut-être ; mon père est mort comme je venais d'avoir cinq ans. Probablement lui dois-je un certain penchant pour la carrière de comédien ; mais non mes goûts profonds, non ma nature… A force de clouer, de tirer, de changer, et comme je devais être terriblement ennuyeux avec mes plaintes continuelles, j'ai enfin eu droit à un rôle minuscule, et puis à un autre moins minuscule, et à un autre encore… Ma mère gardait de nombreux amis, parmi les gens de théâtre ; une fois, l'un d'eux, qui s'était occupé à me faire un peu travailler durant mes quatre ou cinq années d'adolescence, me suggéra d'essayer – je dis bien : d'essayer – de jouer le rôle du jeune homme dans Thé et Sympathie. J'ai donc « essayé » : il paraît que cela fut à peu près … mais moi, je ne l'affirmerai pas. J'avais alors dix-neuf ans, et le plaisir d'être aidé par une partenaire excellente et attentive : Joan Fontaine.
— Et le cinéma ? Vous n'y êtes venu que plus tard ?
— Oui (j'étais âgé de vingt-et-un ans), pour paraître dans un film qui s'intitulait l'Actrice et qui aurait pu être très bon si… on avait pas eu le tort de m'y proposer un rôle. J'y ai été absolument affreux, détestable ! Alors je me suis mis à mépriser le cinéma, et j'ai quitté Hollywood en hâte pour revenir vers Broadway. En somme, sans Hitchcock, je n'aurais jamais fait de cinéma…
— Ç'aurait été un bonheur, ou un ennui ?
— Je le dis sans rire, je deviendrais parfaitement fou si de ce métier, je me voyais privé.
— Et la musique ?
— Comment ?
— Je dis : et la musique ? L'aimez-vous ?
— Si je répondais non ?
— Je penserais que vous vous moquez.
— Très bien ; alors je l'aime ; et d'abord celle des autres siècles : Mozart, Vivaldi, Beethoven, et surtout Bach, toutes les cantates de Bach ; certains jours, je voudrais en entendre à longueur d'instants. Mais le jazz aussi me passionne. Connaissez-vous Miles Davis ?
— On m'a dit, et d'ailleurs, j'ai pu le constater, que vous dansiez le « twist » de manière admirable. L'autre soir, chez « Tétou », – nous ne nous connaissions pas encore – je vous ai vu danser, deux heures, avec une fougue extrême ; peut-on aimer Bach et le « twist » ?
— Ne mêlez pas tout ainsi. Le « twist » cela me semble être fait pour la seule danse, et voilà qui n'est pas si mal : essayez donc de « twister » sur une cantate de Bach ! Mais essayez aussi de vous sentir déchiré, défait par une chansonnette…
— Pensez-vous à Ray Charles ?
— Pour Ray Charles, il s'agit d'un autre problème. Je tiens « Lonely Avenue » pour un chef-d'œuvre.
— N'avez-vous pas enregistré, vous-même, un petit disque ?
— Mais si, en effet ; je n'ai jamais dit – bien au contraire – que je n'aimais pas les chansons ; simplement j'ai le goût de les remettre à leur mesure.
Dans un mois, à New York
— Qu'allez-vous faire à présent ?
— Dans un mois, je serai rentré à New York, où je vais participer à la création d'une nouvelle pièce, Harold. Mais je reviendrai assez vite en France ; j'y ai acheté un appartement : à Paris, tout près des Invalides. Ici, je puis respirer. Vous ne croyez pas qu'à force de ne plus respirer…
— Qu'allez-vous faire, tout de suite ?
— Comme j'aime mon métier, je vais d'abord travailler. Ensuite, comme j'aime la mer et les beaux corps, j'irai sur la plage. Mais j'ai du temps encore ; restez.
— Cela ne vous ennuie pas ?
— Si vous cessez de m'interroger, cela ne m'ennuiera pas.
— Alors je vous ferez une seule question. Y a-t-il une folie, à quoi vous croyiez tenir un peu fort ?
Un rire énorme, charmant, – puis plus grave, Tony me dit :
— Eh bien, par exemple, l'idée d'avoir un fils… Ce n'est pas une folie trop naïve, non ?
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30 octobre 2018
Et puis tu sais, ça m'est revenu d'un coup. En pleine gueule, comme le vent glacé qui fouette ton visage en plein janvier, qui fait pleurer tes yeux et brûle tes poumons.
C'est remonté sans prévenir, je m'y attendais pas, vraiment pas tu sais, j'étais là sans vraiment l'être, en réalité j'étais loin, tellement loin, à des années lumière du parquet froid de la chambre, j'avais arrêté de penser depuis plusieurs minutes. Enfait non, je sais absolument pas depuis combien de temps j'étais dans cet état végétatif mais ça fait bien, dans les récits, de mettre des indicateurs temporels, c'est ce qu'on nous a appris à faire à l'école alors tu vois j'essaie. Bref je sais pas trop ce que je suis en train de raconter, ça a aucun sens tout ce que j'écris depuis tout à l'heure.
Mais ouais, j'étais assise la, tu sais, la où je me mettais toujours quand on s'appelait en cam. J'étais assise la a fixer le plafond en serrant ce coussin, je suis sûre que tu vois duquel je parle haha. Et tout est remonté. Je me suis souvenue de ces heures entières à te contempler et à t'écouter parler, j'aurais pu continuer des années sans jamais m'arrêter ni me lasser tu sais. Toutes ces nuits au téléphone, à parfois me réveiller en plein milieu de la nuit et à entendre ta respiration. Tu sais, je te l'ai jamais dit mais, aussi stupide que ça puisse paraître, quelques fois, en t'entendant comme ça, j'osais pas ouvrir les yeux. Parce que j'avais peur d'être encore en train de rêver. Je t'entendais respirer doucement et chaque fois je tendais le bras instinctivement, en espérant te trouver tout en sachant que je ne trouverai que du vide mais je sais pas. Je pouvais pas m'en empêcher. Des fois aussi, je me réveillais et je m'empêchais de me rendormir. Parce que.. Parce qu'aussi bizarre que ce soit, j'aimais te savoir endormie. Chaque fois je priais les étoiles pour que tu fasses de jolis rêves et que tu sois apaisée. J'aimais tellement ça si tu savais. Et c'est fou tout cet amour qui déborde encore de mon cœur après tout ce temps.
J'étais la tu vois, j'étais là et j'ai eu envie de t'écrire. Envie ou besoin je sais pas trop peut être un peu des deux, mais je crois que c'est pas ça qui compte. Parce que tu sais, après ce qu'il s'est passé j'ai tout tenté, j'avais peur, je voulais que les autres m'aident à oublier, parce que oui je m'étais dit que c'était peut être ça la seule solution, et après j'ai compris, j'ai compris que je m'étais trompée, que la seule chose que je voulais vraiment, dont j'avais réellement besoin, c'était qu'on me rappelle tous ces beaux souvenirs qui m'aident à tenir bon, qu'on me rappelle pourquoi j'avais choisi la folie à la sagesse. Je voulais qu'on me rappelle pourquoi j'étais heureuse, pourquoi j'étais en vie.
Et putain de merde. Plus les jours passent, et plus je me rends compte qu'une vie sans toi, ça existe pas. C'est chaque détail de toi qui manque à ma vie. Les petits plis vers ta bouche quand tu souris, tes bracelets par centaines, ton je m'enfoutisme complet qui nous a toujours fait tellement rire, ta curiosité, ta cicatrice sur la hanche et toutes les autres, tes tatouages, ta côte "poignée de porte", tes blagues aussi nulles que les miennes, c'est tous ces petits détails la et tous ceux que j'oublie qui me manque, c'est toi, ton être tout entier, ton corps, ton âme. C'est tout. C'est toi. Tu es mon tout. T'es mon petit monde.
Et ça je pourrais faire n'importe quoi, je crois bien que ça changera jamais. Et d'un coup je me suis souvenue de tout, de tout ce temps depuis lequel on se connaît. Un an et demi, un an et demi c'est long et tellement court à la fois quand on y pense. Quand t'es arrivée dans ma vie, t'as tout chamboulé, tout transformé sur ton passage, t'as pris ma vie pour en faire quelque chose de mieux et je te remercierai jamais assez pour tout ça, tous ces souvenirs que tu m'as offert, pour ce nous que tu m'as offert, pour tout tout tout. Y'a les images qui flottent à nouveau devant mes yeux, tu sais, ces moments d'infini qu'on a vécus ensemble, ces moments qu'on a vécu en main dans la main, en regards qui s'accrochent et en mots à peine prononcés dans la pénombre de la nuit. Le tout premier regard que tu m'as adressé. Tes tout premiers mots. Le premier câlin, quand les écrans ont été transformés en bras pour la toute première fois. Et puis tout ce qui a suivi. Les larmes dans l'abri-bus auquel on descendrait 11 mois plus tard main dans la main. L'observatoire (enfin plutôt sa porte haha) qui nous a toujours accueillies sans jamais vouloir s'ouvrir. La cabane de la forêt. La lanterne parmi les étoiles. Le feu de forêt. L'avion-étoile et l'arbre-singe. La demande un peu bancale avec la bague trop petite. Les gobelets alignés en haut du bunker avec mon "t'inquiète je vais bien doser" puis tous les "je suis juste bien". La fenêtre par laquelle je suis passée chaque fois, cette même fenêtre où tu étais à mes côtés. Le lit quand je t'ai poussée. Les toilettes de la gare quand on Se brossait les dents. Le parc. Le quai de bus introuvable et le gars bizarre qui avait taxé une clope. Le fauteuil de la boulangerie. Le fdp qui avait refusé de nous vendre sa putain de bouteille d'eau. Les bords de Seine. La fille en robe. Les jets d'eau du cœur.
C'est tout ça, tout ça et tout le reste qui est remonté, qui a fait comme un electro choc dans mon cœur. Je veux que tu saches, que peu importe ce qu'il se passe, peu importe quand, même si c'est dans 30 ans. Je serai toujours là pour toi. Toujours. Je veux que tu sois heureuse putain, que le matin quand tu te lèves, et le soir quand tu te couches, quand tu bois quand tu ris quand tu rêves quand tu baises, peu importe quand, peu importe le moment, je veux que tu puisses sourire sincèrement et te dire "Je suis heureuse d'être en vie" en le pensant du plus profond de ton cœur. Tu sais, pour toi je ferai absolument n'importe quoi. Je mourrais. Je vivrais. Et je veux plus jamais que t'ai peur. Je suis la. Tu seras plus jamais seule, je veille sur toi. Tu mérites tellement tellement plus merde. Tu mérites toutes les couleurs de l'arc en ciel et du feu d'artifice, toutes les couleurs qui existent, tu
mérites les hautes lumières, tu mérites le ciel et toutes les étoiles, tu mérites qu'on t'aime, vraiment, honnêtement, sincèrement, qu'on t'aime toi, toi, tes sourires et tes larmes, tu mérites qu'on t'aime comme personne ne l'a jamais fait, et qu'on ne t'abandonne jamais, parce que tu vaux tellement mieux que ça, je te jure tu mérites infiniment plus, tu mérites tout ce qui pourrait te faire sourire rien qu'une seconde. Bébé je te jure, toi tu vaux tellement plus que ce qu'ils tentent de te faire croire, t'es magnifique, physiquement comme intérieurement, t'es une personne extraordinaire et j'aime pas que tu doutes de ça parce que bordel, c'est toi. C'est toi et c'est tellement beau. Tellement vrai. Vois toi comme je te vois.
Je t'aime tellement si tu savais. Je t'aime. Je t'aime comme il est pas permis d'aimer. Et je suis désolée si c'est trop, sincèrement désolée, dis le moi hésite pas. Mais ouais putain. Je t'aime comme pas possible. Bien au delà des étoiles et de l'univers tout entier
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