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#littérature jeunesse
prosedumonde · 1 year
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Personne n’est jamais trop vieux pour rêver. Et les rêves ne vieillissent jamais.
Lucy Maud Montgomery, Anne de Windy Willows
English : Nobody is ever too old to dream. And dreams never grow old.
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mmepastel · 10 months
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J’ai adoré ce livre jeunesse, premier tome d’une tétralogie (dont le dernier volume n’est pas encore paru) et je suis très admirative de sa jeune autrice, Camille Monceaux. Elle explique parfaitement clairement son projet littéraire qui mêle sa passion pour le Japon, ses recherches et son désir de fiction.
Elle a donc troussé une histoire très maligne et subtile qui se déroule à l’ère Edo, au début du XVIIe siècle. On se prend d’affection pour Ishiro, jeune héros à l’ascendance obscure, qui est élevé par un samouraï qui entreprend de l’éduquer à la fois dans le dénuement total (solitude absolue dans la montagne sévère) et rigueur intellectuelle ainsi que guerrière : il lui enseigne la voie du sabre.
Après une tragédie (ou plutôt deux), il se retrouve à errer dans Edo (ancien Tokyo), seul, ignorant, vulnérable. La société de l’époque est dure. Des castes existent, et il appartient à celle des enfants orphelins, errants, pourchassés plutôt que secourus. Le nouveau shogun est intraitable, les samouraïs règnent avec violence sur la ville, le pays se replie sur lui-même, refuse les étrangers, notamment les chrétiens.
Les bourgeois s’amusent avec le nouveau théâtre Kabuki qui supplante peu à peu le No. Ishiro, heureusement va se faire des amis, et connaître une trajectoire chaotique, pleine de rebondissements. Des rues, il va étonnamment atterrir dans les coulisses complexes des acteurs du théâtre. On apprend plein de choses sur cette époque et cette culture étonnante, notamment sur le statut des actrices, et à travers elles, des femmes…
Magnifique personnage féminin d’ailleurs qui apparaît dans la deuxième moitié du roman, Hiinahime. Mystérieuse jeune fille, qui vit recluse dans sa maison et son jardin, le visage constamment couvert d’un masque de No, pour un motif aussi révoltant que trompeur.
On quitte ce premier tome en brûlant de connaître la suite, envoûté que l’on est par la prose délicate, précise et poétique de l’autrice. Fidèle au pays qu’elle dépeint, elle livre un récit qui comporte une action vive et changeante, toujours inattendue, mais aussi de beaux passages descriptifs, des moments presque méditatifs, où le temps s’arrête et où on épouse les pensées confuses des personnages.
Un vrai régal, pour les adolescents certes, mais qui m’a également enchantée, et qui n’a rien à envier à beaucoup de romans pour adultes.
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aforcedelire · 1 year
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Ici et seulement ici, Christelle Dabos
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Christelle Dabos est de retour avec un roman choc sur les années collèges, mélangeant réaliste et fantastique. Dans Ici et seulement Ici, on suit Iris, Pierre, Madeleine et Guy, respectivement en 6e, 5e, 4e et 3e ; une remplaçante, ancienne élève Ici ; des élèves, bons et mauvais, croisés au cours de l’année.
On est propulsés Ici, avec ses règles et ses interdits, ses castes, ses problèmes. Il y a des Hauts et des Bas (comprenez des populaires et des harcelés), des classes Paires et des Impaires où il y a des Pouilleux, et tout un tas de règles tacites. C’est un roman choral extrêmement bien construit, très bien écrit (mais je n’en attendais pas moins de Christelle Dabos) et très très différent de La Passe-Miroir.
J’ai vraiment aimé mon expérience de lecture de Ici et seulement Ici, et à certains égards ça m’a rappelé ma période collège (heureusement elle ne s’est pas si mal passée pour moi que pour certains personnages !). Le tout est dans une ambiance très sombre, très étrange, très mystérieux, et je ne saurais même pas expliquer pourquoi c’est si bizarre. J’ai encore du mal à mettre des mots dessus, mais par contre je peux affirmer que j’ai beaucoup aimé.
En tout cas, ça m’a vraiment fait fort plaisir de retrouver Christelle Dabos, avec son style et ses univers bien à elle, et je ne voulais pas lire ce nouveau roman trop vite, j’ai vraiment essayé de le savourer comme un bonbon ! Je serai curieuse de lire les avis de celles et ceux qui ont lu Ici et seulement Ici…!
25/04/2023 - 30/04/2023
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nicolasbaudoin · 10 days
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billiemarshk · 23 days
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FR · Bonjour tout le monde ! Je reviens avec une trad qui change d'ordinaire, puisqu'il s'agit d'une traduction partielle d'un livre illustré de Julia Donaldson, autrice de littérature jeunesse britannique. J'ai réalisé cette trad pour un examen, et après vérification, le titre français officiel s'intitule La Sorcière dans les Airs. Très, très éloigné de ma trad haha ! Mais au moins j'aurais essayé.
EN · Hi everyone! I'm back with an unusual translation: a partial translation of an illustrated book by British children's author Julia Donaldson. I made this translation for an exam, and after checking, the official French title is La Sorcière dans les Airs. A long, long way from my translation haha! But at least I tried.
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ninonlitaussi · 3 months
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Alerte Tartelette: paillettes et intrigues à l'école des sabots glorieux!
« Ciel pluvieux, ciel étoilé, si je mens je suis pas un Garde Sucré ! »Bienvenue à l’école des Sabots Glorieux. Orane et Orion, deux jeunes Pégases, intègrent les rangs de cette école particulière, et se retrouvent à mener l’enquête. Au menu, plein de paillettes et d’aventures! Continue reading Alerte Tartelette: paillettes et intrigues à l’école des sabots glorieux!
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processusmonomaniak · 6 months
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This is Halloween !
Ah Halloween… Je rêvais tellement de faire cette fête lorsque j’étais enfant ! Même si j’étais assez peureux, j’avais un goût certain pour le fantastique et l’horreur. Je me souviens de la colère de mon père quand il découvrit dans la cuisine son fils avec un couteau ensanglanté qui lui traversait la tête, en réalité un serre-tête acheté avec le fameux magazine Pif Gadget, que je collectionnais…
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liqueuramere · 7 months
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3 romans jeunesse qui parlent des relations entre enfants et animaux
Lectures thématiques de septembre 2023
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J'essaie de lire davantage de littérature jeunesse. Pour l'ex étudiant en lettres que je suis, habitué pendant des années à ne lire (et, pourrais-je quasiment dire, à n'aimer) que la littérature générale pour adultes, ce n'est pas chose aisée. Certes, je lisais de la fiction pour enfants et ado lorsque j'étais dans ces tranches d'âge, mais aujourd'hui je suis un peu perdu, pour ne pas dire carrément plus à jour. Alors, pour me motiver, j'essaie de me constituer des petits corpus thématiques. Ce mois-ci, j'ai sélectionné trois romans jeunesse qui traitent du rapport entre les enfants et les animaux :
Jonas dans le ventre de la nuit, Alexandre Chardin, 2016
Le Tigre de Baiming, Pascal Vatinel, 2012
Vif-Argent, Josep Vallverdú, 1969 [traduction d'Anne-Marie Pol, 1989]
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Jonas dans le ventre de la nuit, Alexandre Chardin, éditions Thierry Magnier, 2016
Quelque part en France, dans une région montagneuse, au crépuscule. Un vieil âne, Sorgo, se débat avec un homme. L'éleveur, qui ne peut plus assumer les frais médicamenteux de l'animal, tire à contrecœur sur sa bride pour le faire grimper dans un camion, direction l'abattoir. De l'autre côté de la rue, à travers sa fenêtre, Jonas, un jeune collégien, assiste à ce douloureux spectacle. Sans trop réfléchir, révolté par les braiments déchirants de l'équidé, il sort en courant vers le camion et profite d'un moment d'inattention du fermier pour s'enfuir avec l'âne. Commence dès lors un périple d'une nuit, une lente cavale dans la montagne et sa forêt. Au début de sa fuite, Jonas et Sorgo (désormais silencieux) croisent le chemin d'Aloïse, un camarade de classe de Jonas, qui lui propose de les accompagner. Cahin-caha, les trois compagnons de route s'enfoncent dans l'obscurité du bois qui borde la ville.
Dans ce roman, il ne se passe en apparence pas grand chose, si ce n'est une longue et laborieuse marche, pas après pas, et les discussions entre Jonas et Aloïse, pour décider quel chemin prendre ou tout simplement tuer le temps.
- Tu crois qu'ils nous retrouverons ? demande Jonas après un virage à angle droit. - Ça dépend. Un peu plus loin, Aloïse ajoute, essoufflé : - Ça dépend de l'endroit où on va, et s'ils retrouvent nos traces. Une fois encore, la question est sur les lèvres de Jonas. Où vont-ils ? Mais il veut continuer à marcher dans la nuit sans se demander : ni "où ?", ni "quand ?". Plus de temps, plus de lieu. Marcher et n'avoir plus que les quelques mètres du halo de la lampe d'Aloïse comme futur. (p. 33)
Une intrigue ténue, donc, mais marquée, pourtant, par de nombreuses métamorphoses : celle de la nuit, qui s'épaissit puis s'ajoure ; celle de la nature, que les humains disputent aux animaux sauvages ; et celle, enfin, des deux garçons eux-mêmes, qui ressortiront changés de cette traversée initiatique. Pourquoi Jonas s'est-il précipité sans réfléchir dans cette traversée au décor de neige et de cendre ? Cette fugue a-t-elle seulement à voir avec Sorgo, ou bien aussi avec son histoire d'enfant placé, lui dont la mère a par le passé "craqué" et incendié leur maison ? Et Aloïse, pourquoi l'a-t-il accompagné dans sa fuite, lui si mélancolique et en apparence si peu taillé pour la randonnée, avec "ses kilos en trop" ? Sait-il au moins où ils vont ?
Au fil des pages, nous découvrons peu à peu la vérité intime des personnages, en suivant leurs traces avant que la neige ne les efface. Mais c'est surtout à la fin du roman, avec l'aube, que la lumière éclaire les raisons de cette aventure, concluant ainsi joliment la longue partie médiane de l'intrigue, devenue au bout d'un moment un peu lassante à force de cultiver un sentiment de mystère et de contemplation.
Tout au long du récit, Alexandre Chardin apporte un soin particulier à la description de la nature :
De minute en minute, la nuit se coule dans les ombres des arbres. La lumière sourd de la mousse couvrant les troncs. Les branches grises et nues découpent tous les bleus du ciel. Le blanc pur de la neige fraîche sur le sol blesse les yeux épuisés de Jonas habitués à fouiller l'obscurité. (p. 130)
Ces descriptions, courtes mais poétiques, traduisent la beauté de l'environnement des personnages sans toutefois masquer sa dangerosité, sa rudesse. Le choix de la forêt et de la montagne n'est d'ailleurs pas sans rappeler l'univers primitif du conte, où les loups rôdent et où le froid mord la peau des enfants perdus. Une manière de dire, peut-être, que cette traversée dans le ventre de la nuit est aussi la genèse d'une vie nouvelle, pleine de réconciliations.
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Le Tigre de Baiming, Pascal Vatinel, éditions Actes Sud Junior, 2012
Contrairement au livre précédent, Le Tigre de Baiming est un roman assez classique, qui s'inscrit pleinement dans le genre du roman écologiste à thèse. Dans le Sud de la Chine, deux enfants, Baiming et Chu, découvrent dans la jungle une femelle tigre et ses deux petits, alors même que l'on pensait l'espèce disparue de la région. Cette découverte ne tarde pas à être ébruitée et à attirer la convoitise des braconniers, à la tête desquels l'impitoyable Monsieur Lin. S'en suit alors un violent bras de fer entre chasseurs et protecteurs des tigres, et une course contre la montre pour retrouver Baiming, qui s'est enfui au cœur de la jungle.
On peut d'abord regretter dans ce roman une narration omnisciente très peu surprenante, qui déroule son message avec limpidité et sans éclat stylistique, en restant toujours à la surface des personnages. Personnellement, cela me frustre et me donne une fois de plus l'impression que parce que le public visé est un public jeunesse (en l'occurrence plutôt les jeunes adolescent.e.s), on peut ne pas trop faire d'effort sur le style et la construction des personnages. Assurément, Pascal Vatinel n'a pas de temps à perdre avec cela, il faut que les actions s'enchaînent, à un rythme trépidant et captivant, et il est vrai que sur ce point c'est réussi, on a affaire à un véritable récit d'aventures tropical. S'il y a audace de la part de l'auteur, tout de même, c'est peut-être dans la violence crue et les défaites accablantes que subissent certains personnages, qui confèrent au moins un peu de vraisemblance à cette narration très programmatique, en l'arrachant à un idéalisme trop gentillet. On ne peut aussi que remarquer l'astuce du changement de protagoniste en cours de récit (d'abord Baiming jusqu'à la découverte du tigre, puis le Docteur Song pendant les recherches dans la jungle), qui permet dans un premier temps de découvrir les fauves à hauteur d'enfant et de s'attacher à ce dernier, puis d'incarner, à travers le personnage de la vétérinaire obstinée, une double peur de la mort (celle de Baiming et celle des tigres) et une farouche conviction écologiste.
Écologiste, dis-je en effet, car s'il est bel et bien question du sort que l'homme réserve à la faune sauvage, ce n'est pas tant la question de la souffrance animale qui importe l'auteur mais plutôt la question de la disparition des espèces. J'en veux pour preuve la rédaction par l'auteur d'un postambule au récit, intitulé "À propos de l'extinction des tigres", où il explique de manière pédagogique son engagement. En ce sens je ne qualifierais pas du tout ce roman d'animaliste, ni même de sensible à la subjectivité des animaux (elle est tout à fait absente du roman, anthropocentré de bout en bout). Une manière un peu datée de penser l'écologie, hélas.
Bref, un roman sympa mais sans plus, qui ne restera certainement pas très longtemps dans ma mémoire.
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Vif-Argent, Josep Vallverdú, 1969 [traduction d'Anne-Marie Pol, 1989]
Un roman très mignon sur un petit chiot fugitif qui découvre le monde - sa sensorialité, ses bonheurs et ses cruautés. D'abord recueilli par un jeune fermier qui le baptise Vif-Argent, ce dernier fait l'apprentissage de la vie en communauté, avant d'être capturé par un dompteur et enfermé dans un cirque, où il doit lutter pour sa survie.
Je n'attendais pas grand chose de ce roman, mais cela a été finalement une bonne surprise : l'histoire est entièrement racontée, non pas du point de vue du chien (la narration est omnisciente, à la troisième personne), mais à sa hauteur, grâce à une utilisation fréquente du discours indirect libre. L'écriture n'est pas particulièrement éclatante mais l'on apprécie la tendresse et la malice qui s'en dégage. À vrai dire, on perçoit très bien la vocation éducative de ce roman d'apprentissage animalier : à travers les bêtises, les interrogations et les surprises de Vif-Argent, ce sont celles des petits d'hommes qui sont évoquées. Si la quantité de texte nécessite une certaine maîtrise de la lecture, le découpage en chapitres de durée raisonnable et égale peut parfaitement se prêter à une lecture du soir par un adulte. De quoi partager un joli moment avec son enfant et engager une discussion sur ce que signifie grandir.
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bookinell974 · 7 months
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Un album jeunesse plein de malice et de douceur !
On suit la petite Mady, qui remplit son quotidien d'aventures en tous genres (et de bêtises aussi). On la voit grandir, page après page, son imagination débordante lui permettant d'affronter une vie pas toujours facile. Portée par l'écriture toujours aussi mordante et drôle d'Émilie Rabier et les jolies illustrations baignées de lumière d'Agathe Guervel, cet album, en plus d'être une lecture amusante, propose des questionnaires de compréhension du texte (qui ravirons les parents) et des petits jeux, comme un test de personnalité (qui fera plaisir aux enfants) ! Sortie prévue pour mai, restez connectés pour en savoir plus, puis jetez-vous sur cette petite pépite auto-éditée !
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savantefolle · 10 months
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La Savante folle remporte le Prix Trillium!
La Savante folle remporte le Prix Trillium avec un roman de SF!
Inespéré, inattendu! (Michèle en blouse fleurie recevant son beau prix! Photo par Gilles Gagnon) Trois p’tits tours… Trois fois finaliste aux prix littéraires Trillium avec un roman de SF*, cette année j’ai eu la joie de voir mon dernier, Le secret de Paloma qui a ouvert la porte et remporté cette distinction! Je ne peux que remercier les membres du jury francophone de ne pas avoir eu peur de…
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oyanachi · 11 months
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C'est beaucoup d'émotion de partager le livre d'un ami. Mais plus encore quand il s'agit de son premier roman et que cet ami est quelqu'un avec qui on a grandi 🥰
Tumblrien.nes qui passeraient par là, je vous présente Princesse Sybille et le Seigneur du mal, premier tome d'une série de fantasy.
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Dans le lointain pays du Val d’Ormoy, les sorcières penchées sur le berceau de la princesse Sybille lui font un don pour le moins exceptionnel. L’héritière du trône entrevoit des bribes de l’avenir et ressent des choses que le commun des mortels ne peut ressentir. Mais plus qu’un don, voir est un véritable fardeau ! Les visions de Sybille sont incompréhensibles et lui causent très souvent un tas de problèmes.
Alors que sa tante organise un bal dans son dos, une voix étrange l’appelle en rêve et la pousse à ouvrir l’aile interdite du château. La curiosité est un vilain défaut et Sybille l’apprend au péril de sa vie. Quel mystère cache la famille royale ? Et pourquoi ne lui a-t-on jamais parlé des joyaux de la couronne, qui ont apporté le malheur sur sa maison ?
Armée de sa capricieuse boule de cristal, Sybille se lance dans un voyage au bout du monde en suivant le fil de ses visions. Mais quiconque cherche la vérité, risque aussi de se perdre…
~~~
Alors, OK, je peux pas avoir un avis objectif. Mais j'ai sincèrement passé un très bon moment et j'ai vraiment eu la sensation de vagabonder dans un monde coloré et fantastique !
Site : https://www.princessesybille.com
Tumblr : @maux-bleus
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prosedumonde · 1 year
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J’aime m’asseoir là et écouter le silence. As-tu déjà remarqué qu’il en existe de toutes sortes, Gilbert ? Le silence de la forêt, le silence de la plage, celui des prés, de la nuit, d’une après-midi d’été. Tous différents, car les nuances qui composent leur trame le sont.
Lucy Maud Montgomery, Anne de Windy Willows
English : [...] Have you ever noticed how many silences there are Gilbert? The silence of the woods....of the shore....of the meadows....of the night....of the summer afternoon. All different because the undertones that thread them are different.
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mmepastel · 10 months
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Et voilà, j’ai fini le tome 2 de ces Chroniques de l’érable et du cerisier, fabuleuse saga de Camille Monceaux.
On suit Ishiro qui quitte Edo pour Osaka, avec son ami fidèle et attachant, Shin. Un troisième personnage fait irruption dans le voyage, une ninja secrète et peu aimable, mais drôlement intéressante.
Ce volume est assez différent du premier, il est beaucoup plus axé sur l’action, avec pour décor le château d’Osaka, bientôt en guerre contre le shogun d’Edo. Il y a beaucoup de combats sanglants, et ce n’était pas ma tasse de thé. Mais le livre est riche en rebondissements et en questionnements ; Ishiro veut venger son maître, et honorer la voie du sabre ; il se révèle redoutable, et trouve sa place près des samouraïs aguerris. Mais il ne comprend pas bien la violence qui l’habite parfois, et sa capacité à guerroyer, lui qui peinait à tuer un lapin lorsqu’il était enfant. Cette interrogation sur la violence, sa nécessité, m’ont paru être un contrepoint intéressant pour de jeunes lecteurs.
Bref, c’est un volume sombre, plein de violence, d’action et de mélancolie. J’ai hâte de lire le tome 3 qui semble mettre à l’honneur un personnage bien aimé disparu tout au long de ce volume, et j’espère retrouver les plages méditatives et poétiques que j’avais tant aimées dans le premier tome.
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aforcedelire · 3 months
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Souvenirs de Marnie, Joan G. Robinson
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Anna est une adolescente orpheline, renfermée et solitaire. Perpétuellement effrayée à l’idée d’être rejetée, elle porte un « masque neutre » avec tout le monde et s’efforce de paraître la plus ordinaire possible. Pour lui changer un peu les idées, sa mère adoptive lui propose de quitter Londres pour passer l’été dans un petit village côtier. Accueillie par un couple aussi bienveillant que rustique, Anna va évoluer en totale liberté, arpentant les dunes et les lacs, jusqu’à tomber sur la mystérieuse Marnie, avec qui elle va (pour la première fois de sa vie) se lier d’amitié. Elles vont passer leurs journées ensemble, développer un lien très fort… jusqu’à ce que Marnie disparaisse subitement.
J’ai vraiment beaucoup aimé ce roman, qui me faisait de l’œil depuis un moment déjà. Tout est très beau, poétique et touchant… à la fois un peu dans le même genre que la série Anne de Green Gables et complètement différent. Anna est très touchante, on apprend au fur et à mesure qu’elle a eu une enfance malheureuse et qu’elle s’est sentie obligée de construire un mur autour d’elle pour moins souffrir, alors qu’elle ne rêve que d’être acceptée. Sa rencontre avec Marnie va tout bouleverser, et j’ai adoré leur relation. Marnie est mystérieuse, insaisissable, presque onirique, j’ai beaucoup aimé ce personnage !
J’avoue qu’il y a eu un moment de ma lecture où j’ai trouvé que c’était un peu long, mais ça s’est très vite et très bien rattrapé ! J’ai vraiment adoré la fin, j’ai trouvé ça très beau. Pas un coup de cœur, mais vraiment pas loin. En tout cas, ça m’a fait beaucoup de bien à lire !
03/02/2024 - 04/02/2024
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nicolasbaudoin · 11 months
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Paul & Amandine - 03
La mare aux canards Auteur et illustrateur : Arnaud Courgeray Premier album (ne pas se fier au numéro) d’une nouvelle série en littérature jeunesse, Paul & Amandine, deux enfants de 6 et 7 ans, se baladent près de La mare aux canards. La famille Buffet vient d’emménager dans sa nouvelle maison. Les enfants sont autorisés à découvrir les environs à condition de ne pas trop s’éloigner. Car, durant…
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