Tumgik
#déjà doo?
haiiisaidheyyy · 1 year
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afrenchaugurey · 1 year
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OK no chapter this week, I'm too busy with NewTina event next week. But a picture of Bae Doo-na and a talk with @eveneechan inspired me this.
I'm sorry it's in French and pretty raw. Maybe I'll translate it later
Répit
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Autour d'eux la guerre menaçait encore et encore.
C'étaient désormais bien plus que des craintes ou des conflits dispersés. Non, l'incendie menaçait de tout emporter. Ils n'étaient pas ici pour rien, ni, malheureusement, pour des vacances impromptues. Non, le conflit les avait menés là, les poussant à abandonner leur maison et à traverser le large océan.
Une autre étendue d'eau s'étirait à ses pieds à cet instant. Même de derrière la fenêtre, du haut des blanches falaises, elle pouvait voir les vagues s'éclater contre les rochers, se séparant en mille diamants d'écume.Il y avait de la beauté dans cette violence. De la violence dans cette beauté. Cette vague, ces falaises, résumaient si bien sa vie.
Beauté. Beauté. Beauté.
Dehors la guerre menaçait. Demain, elle devrait prendre son poste. Et pourtant, à cet instant, son cœur était ardent et plein d'amour. Derrière cette glace, sa peau se réchauffait par l'action du doux soleil d'hiver. Elle fermait les yeux, son livre toujours dans sa main. Le son des vagues au dehors rythmait le battement de son cœur La chaleur inondait son visage.
Elle était bien. Calme. Heureuse. Comment le pouvait-elle alors que la guerre menaçait, existait, que les champs de bataille décimaient tant d'âmes innocentes de l'autre côté de l'eau ? C'était peut-être grâce à cela, en fait. Ce répit, cette respiration entre deux difficiles campagnes, elle avait appris à l'aimer, le vénérer, s'en oxygéner. Les drames de sa vie lui en avaient enseigné l'importance.
Même en ces temps les plus sombres une douce lumière pouvait exister. L'espoir, sans doute.
Espoir. Espoir. Espoir.
Assise sur le dossier du canapé accolé à la fenêtre, son regard quitta les falaises pour balayer les vertes prairies. Dehors, un troupeau d'abraxans galopait, faisant vibrer la terre sous le poids de leurs sabots puissants. Cette charge accompagnait le roulement des vagues, leurs robes dorées faisaient écho à la lumière du soleil, éblouissant presque leur spectatrice, toujours repliée à l'abri de la fenêtre. La valse à trois temps de leur allure, le vrombissement de leurs déplacements, d'aucuns auraient trouvé ça violent. Et pourtant, ici, hors du temps, c'était apaisant. Comme un rythme immuable que rien ne pourrait rompre, comme un pied de nez à l'avenir incertain. Eux, toujours, seraient là, et après eux, leurs fils. Pour toujours.
Constance. Constance. Constance.
Un bruissement contre le tissu de sa jupe détourna son regard de ce magnifique tableau dont elle était spectatrice. Un des jeunes niffleurs se trouvait à ses pieds, tâchant de se saisir de l'épingle retenant son kilt de laine bleue. Un répit dans la colère, dans la tourmente de la tornade meurtrière, voici ce que lui offrait la créature, totalement ignorante des conflits des humains. Elle présenta ses mains à l'animal, et le déposa sur ses genoux, caressant distraitement sa douce fourrure. Vivre, vivre, vivre, peu importe le lendemain. Demain, le devoir et le gris reviendraient au galop, comme ces abraxans déjà loin sur la colline. Le niffleur, désormais, s'approchait de son médaillon, celui-là même qui contenait l'album de sa vie. Sa force. Son ancre. Son phare dans la tempête lorsqu'on ne lui donnait aucun répit. Mais il n'était en ce jour que l'instrument de jeu, une respiration entre deux journées dessinées au fusain plutôt que, comme aujourd'hui, à l'aquarelle.
Vivre. Vivre. Vivre.
Le niffleur sur son épaule jouait distraitement avec ses boucles d'oreille lorsqu'IL lui tendit sa tasse de café. Cette odeur, cet arôme de noisette grillée, comme la couleur de ses yeux à cet instant précis. Son sourire, vrai. Lui aussi, en cet instant était apaisé. Momentum. Le temps s'arrêta, s'étira, lorsque ses lèvres, doucement, caressèrent ses tempes, et que sa sa main, plus légère qu'une plume, frôla le fin duvet de sa nuque la faisant frissonner dans chaque cellule de son être, avant de replacer, doucement, une mèche de ses cheveux derrière son oreille, son pouce s'attardant sur sa joue, en un geste si souvent répété. Pourtant, les frissons n'étaient jamais feints. Comme en ce premier jour, il lui offrait ces douces sensations qui lui faisaient oublier tout le reste, même la noirceur des âmes humaines.
Frisson. Frisson. Frisson.
Son livre posé sur le dossier, toujours ouvert à cette même page déjà oubliée, sa tasse fumante dans sa main, son regard se perdait à nouveau dans les falaises. Dehors, la migration commençait. Les oiseaux aux becs colorés s'envolaient, quittaient leurs nids, pour traverser à leur tour les océans, vers de plus chaleureuses journées. Quand pourrait-elle les suivre ? Demain, son chemin prendrait aussi la direction du sud, mais il ne serait que noirceur, comme la mousseline qui courait maintenant sur sa peau, enveloppant lâchement le haut de son corps. Combien de temps serait-elle partie ? Quand pourrait-elle, comme ces oiseaux migrants, suivre à nouveau le chemin de la lumière ?
Pour l'instant, cependant, elle ne voulait y penser. Non, la douce chaleur du soleil de l'hiver illuminait encore ses joues, la saveur douce amère du café éveillait ses papilles, les diamants de l'écume et l'or de la robe des abraxans scintillaient, accrochant enfin son regard, et allumant mille feux dans l'océan de ses yeux de salamandre. Demain, comme eux, elle déploierait ses ailes, mais à cet instant, elle n'était que présent, une apparition dans la pâle lumière de la fin de l'après-midi.
Douceur. Douceur. Douceur.
Le clic de l'appareil photo détourna une fois encore son regard de la fenêtre et du spectacle que lui offrait la nature du Dorset. Perdue dans ses pensées, elle ne l'avait pas entendu arriver. Sa silhouette élancée se tenait de guingois, comme à l'accoutumée. Ses cheveux partaient en tous sens et accueillaient mille brindilles. Elle aurait aimé être l'un des oiseaux du dehors pour pouvoir y nicher, s'y réfugier. Sa chemise, dont les manches étaient roulées sur ses bras, était maculée de boue. Il souriait, pour elle, il souriait jusque dans ses yeux éclatants. Cette vue, cette apparition, fit céder quelque chose en elle. Un rire, un rire cristallin vint résonner dans la pièce, tandis qu'elle posait sa tasse sur le rebord de la fenêtre et abandonnait son livre et sa lecture vraiment oubliée. Dans ses bras, elle se jeta, sans l'ombre d'une hésitation, puis ses doigts se nouèrent aux siens, l'entraînant vers de nouveaux délices.
Amour. Amour. Amour.
Demain serait un autre jour.
Répit. Répit. Répit.
The picture : (in front of the window)
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jeoseungsaja · 2 years
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🍸 + not a question, but rather please take an equally drunk patrick stumbling over to his dear friend to ask him to hold something for him....it's patrick's hand. that and patrick will also be kissing his dear friend on the cheek once they're holding hands 😊
@ofgentleresolve ♚ from x.
♔ ———–
   Once again he’s sitting on the floor, his back pressed to the couch and his hand still holding the neck of a half-empty bottle of Soju. It almost feels like déjà vu, akin to that day where he was sitting right on this spot, waiting for Patrick to come back from the bathroom. The difference is that this time, his dear friend is not the only one drenched in tipsiness but he, too, is drunk to the point of feeling a bit of dizziness swirling in his head. 
   How did he manage to get like this? Well, the conversation kept flowing and he never noticed the drinks continued to be poured down the glass until part of his speech became a little slurred. Then again, not noticing has become something common when it comes to spending time with his best friend --- Hyuk forgets everything else but the fact that Patrick is there, with him. Why would he focus in the quantity of distilled spirit, when he rather remember the number of times Patrick laughed? 
    So now he’s here, under the roof of a familiar place, away from the table and stuck to the ground. His eyes close for a second, free hand pressed to his forehead as something similar to a grumble escapes his alcohol-stained lips. One eye opens when he starts to hear the sound of something hitting another something, head tilting to find Patrick clumsily walking and a bag with art supplies (that Hyuk bought recently) toppling over. He thinks he hears his dear friend apologizing (though he doesn’t know if the apology is aimed toward him or the bag); palm moving to be waved in dismissal. 
    “Leave it there, I’ll....I’ll pick--pick it up ‘morrow.” 
     Even in this hazy state, he doesn’t want Patrick to make any unnecessary efforts. Besides, what if he tries to pick up the brushes which rolled out of the bag and ends up hitting his head against something? No, no; it’s best like this. 
    “It’s fine. Could...you...come sit down, here, here---” 
     And he pats the space next to him; leaving the bottle of Soju somewhere away from his grasp so both of his hands can lazily land on his lap. Seconds later and he’s hearing more stumbling; torpid sight following Patrick’s silhouette making it to where he is. The signs of his dear friend being inebriated are present: red-flushed cheeks, rolled up sleeves; dopey (but vastly endearing) grin...and words that Hyuk can’t fully understand at first, but that must be because the detective is also under the influence. 
    “What? Y’want me...to hold somethin’?” 
    He repeats in the shape of a question, Patrick’s sluggish nod confirming Hyuk’s ears didn’t fully fail him. The detective’s hand stretches out, palm up and ready to receive anything his best friend wants him to hold. He doesn’t even hesitate, just accepts his request without even asking him what, exactly, wishes for him to temporarily have. 
    A plop is heard and the warmth of his friend is felt, meaning that he’s finally sitting nearby. Soon enough, weight is added to Hyuk’s waiting hand; head turning to see what it is. He blinks and frowns. That’s...Patrick’s hand, and he doesn’t feel an item or anything between their hands now clasped together. 
    Wait.      Wait.     It takes him longer to connect the dots when drunk.      Curse him for being a lightweight.
    “This is what y’wanted me to ‘old?” 
     And he lifts their intertwined hands --- funnily enough, Hyuk doesn’t let go. Not even for a second. A vague nod comes from his friend, along with the sudden planting of a kiss on Hyuk’s cheek. It’s not long enough before pink begins to bloom on his skin, along with a muzzy smile. Does this mean...Patrick is also prone to flirt when drunk? That’s something Hyuk didn’t know about...not like this, at least; a brand new door unlocked due to the stages they’re moving through.
    Because, at this point, it’d be insanely silly to say they’re just friends, right?     They can deny it all they want, but their hearts would challenge them, wouldn’t they? 
    Hyuk’s smile widens. He likes this. Likes that he’s getting to know more about another side of Patrick, likes that these lines and actions are aimed to him; likes that he gets to have this moment with his best friend --- likes him, Patrick, more than words can express. 
    “Okay. I’m taking good care of it.” 
     He tells Patrick, looking at him and that kind face which tends to send odd sensations (they’re called butterflies, but he’s too rusty to recognize that) to his stomach.
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  Eyes dance over dear friend’s features; drunken stupor adding a boldness to let his sight freeze on the shape of his best friend’s lips. There they are again, the thoughts, the what if’s, the undisclosed wishes. But instead of letting them win whilst drunk, Hyuk ends up allowing his head to fall on Patrick’s shoulder; temple comfortably pressed there. 
     His thumb, it begins to draw soft circles on Patrick’s hand; eyes dropping to catch the view of their hands holding each other. It does feel like déjà vu. 
    Except, except.      There is no thoughts of ‘I should let go’.      No, in fact, he squeezes his dear friend’s hand.      In fact, he decides to twist their arms a little so Patrick’s fist is facing him.      And when this happens, he brings the professor’s knuckles to his lips and kisses them.      Presses a hearty kiss there, between bones. 
     “I’m taking good care of it.” 
     He repeats, his eyes slowly closing; sleepiness somehow kicking in. It’s this peace, he knows. The peace he feels when Patrick’s near --- he’s the one who calms his raging waters; the sea that constantly threatens to lift high waves. 
    “Good care...of...you. I promise.” 
———– ♔
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nonamnoidentity · 2 years
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A nous!
La génération sacrifié qu'on l'appelle. Y a pas de meilleur terme pour la désigner. Celle ou vous pensez être capable de tout mais inéluctablement, chaque porte se ferme devant vous et devant un avenir que vous ne vouliez sans doute pas de toute façon.C'est la génération qui a connu les cartes pokémon, celle qui a grandit avec des dessins animés tel-que scooby doo ou les totaly spy. C'est cette même génération qui a connu les attentats à leur arrivée en fac, qui a du faire face aux très nombreux mouvent de grevés, aux confinements et à la guerre à la porte de l'Europe.
C'est cette même jeunesse, qui tentent de sauver cette terre qui est pourtant déjà condamner quand on voit les multitudes ouragans, feux de forets etc.
Tout ça, sans doute dû à la bêtise humaine, à celle de nos ancêtre qu'on aime trop pour leur en vouloir. Alors cette société préféré rejeter la faute de toute cette foutu mascarade sur ces jeunes qui n'ont rien demandé. Qui ne tente juste que de survivre dans un monde qui ne veux pas d'eux.
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my-chaos-radio · 4 months
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Release: September 7, 2023
Lyrics (original):
Uh, hey!
Yeah, it goes like boom-ba-da, ba-doom
It's me and you (hey)
내 얘길 들어줘, I wanna be your boo
Look out, look out, 이 느낌은 뭐야?
반짝반짝 빛이 나는 걸 (hey)
그 표정 뭐야? 이번엔 좀 달라 (woo)
완벽하게 빈틈없는 계획이 될 거야
First things (first), 코너를 돌 때
실수인 척 아주 힘껏 날 밀어 세게
역시 오늘도 looking nice
점점 더 다가오잖아, all right
Give me your heart
내게 오면, ooh, whoa, oh
유치해도 뭐 사랑이 원래 그런 걸
You can't get my mind o-off of you
Boom, 아찔해 감은 눈
가까이 오면 쿵, 어지러워 나
Boom-boom-ba-doo-roo-roo, 어떡해 이 ���은
뜻밖에 someone new, tell me who you are (oh my)
Na-na-na-na-na-na-na, boom-doo-roo-doo-roo (oh my)
Na-na-na-na-na, me and you, doo-roo-doo-roo-roo (hey, hey)
Na-na-na-na-na-na, boom-doo-roo-doo-roo
째깍째깍, time's up, I got a big problem
Yeah, yeah, yeah (uh)
예상치 못한, carry up, nah
Ya, 근데 심장이 반응했어
It's kind of attack 말도 안 돼 (hey, hey)
오히려 좋아 난
Someone locked me up
계속 떠올라 넌 all day
Na-na-na, no matter, no matter, no, what?
이러니저러니 해도 안 나와, 이건 no 답 답, ooh
I just wanna be with you (wanna be with you)
전부 난 다 알아야겠어, yeah
Give me your heart
내게 오면, ooh, whoa, oh
상상만으로 얼굴이 빨개지는 걸
You can't get my mind o-off of you
Boom, 아찔해 감은 눈
가까이 오면 쿵, 어지러워 나
Boom-boom-ba-doo-roo-roo, 어떡해 이 담은
뜻밖에 someone new, tell me who you are (oh my)
Na-na-na-na-na-na-na, boom-doo-roo-doo-roo (oh my)
Na-na-na-na-na, me and you, doo-roo-doo-roo-roo (hey, hey)
Na-na-na-na-na-na, boom-doo-roo-doo-roo
째깍째깍, time's up, I got a big problem
가뿐히 넌 선을 넘어
작은 호기심을 뛰어넘어
새로운 감정들이 피어나
익숙하고도 낯선 이 느낌
데자뷔처럼 반복된 우리
Maybe we 어쩜 우리
I just wanna be with you (oh, whoa, whoa)
Boom, 아찔해 감은 눈 (oh)
가까이 오면 쿵 처음 그때처럼 (yeah)
Boom-boom-ba-doo-roo-roo, 어떡해 이 담은 (hey)
내 맘에 something new, I know who you are (oh my, yeah, yeah, yeah)
Na-na-na-na-na-na-na, boom-doo-roo-doo-roo (oh my)
Na-na-na-na-na, me and you, doo-roo-doo-roo-roo (hey, hey)
Na-na-na-na-na-na, boom-doo-roo-doo-roo
두근두근 my heart, I got a big problem
Ah, ah, ah
아마 우리, 아마 우리, 아마 우리 둘, 둘
Ah
어쩌면 우리 어쩜 우리 운명일지도
Lyrics (english):
Na-na-na-na-na-na-na, boom-doo-roo-doo-roo (oh my)
Na-na-na-na-na, me and you, doo-roo-doo-roo-roo (hey, hey)
Na-na-na-na-na-na, boom-doo-roo-doo-roo
두근두근 my heart, I got a big problem
Uuh, Hey!
Yeah it goes like Boom Ba Da Ba Dum
It’s me and you (Hey!)
listen to me
I wanna be your boo
Look out, Look out
what’s this feeling?
it’s shining brightly (Hey)
what’s this expression? It’s different this time
it’s gonna be a perfectly tight plan
First things
when turning a corner
push me hard pretending to be a mistake
also, today looking nice
getting closer all right
Give me your heart
When you are coming to me Woo Ooh
even if its childish, love is like that
You can’t get my mind o-off of you
Boom
giddy eyes
coming closer makes me boom
I’m dizzy
Boom Boom Ba Du Lu Lu
What should I do next?
unexpected Someone new
Tell me who you are (Oh my!)
Na na na na na na na
Boom Du Lu Du Lu (Oh my!)
Na na na na na me and you
Du Lu Du Lu Lu (Hey Hey!)
Na na na na na na
Boom Du Lu Du Lu
tick tock, tick tock Time’s up
I got a big problem
Yeah, Yeah, Yeah (Uh)
unsuspected Carry up nah
Ya my heart reacted
It’s kind of attack, no way
I rather like it
Someone locked me up
I keep thinking of you All day
Na na na
No matter no matter no, what?
It doesn’t come out no matter what
this is No, the answer Oooh
I just wanna be with you
I want to know everything Yeah
Give me your heart
When you are coming to me Woo Ooh
I turn red just by imagining it
You can’t get my mind o-off of you
Boom
giddy eyes
coming closer makes me boom
I’m dizzy
Boom Boom Ba Du Lu Lu
What should I do next?
unexpected Someone new
Tell me who you are (Oh my!)
Na na na na na na na
Boom Du Lu Du Lu (Oh my!)
Na na na na na me and you
Du Lu Du Lu Lu (Hey Hey!)
Na na na na na na
Boom Du Lu Du Lu
tick tock, tick tock Time’s up
I got a big problem
You cross the line easily
beyond small curiosity
new emotions bloom
Familiar but strange feelings
we’re repeating like déjà vu
Maybe we, might we
I just wanna be with you
Boom
giddy eyes
coming closer makes me boom
like the first time
Boom Boom Ba Du Lu Lu
What should I do next?
in my heart Something new
I know who you are (Oh my!)
Na na na na na na na
Boom Du Lu Du Lu (Oh my!)
Na na na na na me and you
Du Lu Du Lu Lu (Hey Hey!)
Na na na na na na
Boom Du Lu Du Lu
pit-a-pat, My heart
I got a big problem
Ah maybe we, maybe we
maybe two of us
Ah maybe we
maybe we are destiny
Songwriter:
Na na na na na na na
Boom Du Lu Du Lu (Oh my!)
Na na na na na me and you
Du Lu Du Lu Lu (Hey Hey!)
Na na na na na na
Boom Du Lu Du Lu
pit-a-pat My heart
I got a big problem
Justin Robert Reinstein / Scott Russell Stoddart / Jiwon Lee / Anna Linnea Timgren / Sonido / Ji Yeon Lee
BandFacts:
👉📖
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suis-nous · 8 months
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beatlesonline-blog · 1 year
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essai-collectif · 2 years
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envoi 3. troisième essai : des bouts d'intensité qui nous font tenir
écrire , pour vous et avec vous, permet de penser comment s'en sortir
et de trouver des bouts solides ,
des pièces d'intensité parmi le monde
Emma Lavigne,  présidente du Palais de Tokyo (centre d’art contemporain, Paris) depuis 2019, « souhaite être plus engagée dans la compréhension de notre monde troublé. Dans ce monde en crise, les artistes nous permettent de respirer. »
1.1/ écrire permet de penser comment s’en sortir !
que faire face à la beauté ! Que faire avec les problèmes ! avec les vôtres !
Et quand on est en difficulté : de prendre le temps en écrivant justement parce que c’est beaucoup plus long que le réel qui file déjà! il y a le temps de la surprise, de la peur, de l’angoisse..., alors essayer de s’en sortir en écrivant les premiers mots, et de construire mot à mot (partie 2). Et petit à petit une ligne de vie un bout qui nous tient (partie 3 et 4). « qui peut nous faire accéder à plus de force et de confiance. C’est nous montrer une ouverture pour la pensée, pour tous les mouvements de la vie qui tournaient en rond, ou étaient paralysés par l’adversité, par notre aveuglement. » Lorand Gaspard, poète, sur l’oeuvre d’art dans Apprentissage
écrire permet de trouver la beauté parmi les duretés !
1.2/ je sais aussi que nous avons le collectif, comme force !
je suis encore dans une grande émotion dès que je parle que j’écris...
je pense à vous et ça me porte (et ça me donne le courage d’écrire pendant des heures) !
je vous imagine en train de découvrir cet envoi et il est très important pour moi.
quand je dis je pense à vous c’est avec un grand amour et une désolation possible...
Comment allez-vous ? comment vont ta nièce qui est handicapée au pied et qui était harcelée à l’école et ta fille qui ne voulait plus grandir ?
Comment va C, notre neveu psychotique qui a subi sa première rupture amoureuse avec une nouvelle résidente d’un établissement d’accueil pour handicapés (et qui ne peut compter que sur sa petite amie imaginaire, la Vera (plus la blonde, mais celle avec des lunettes) de Scoubi Doo car elle ne le quittera jamais) ?
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avez vous pu jouer au houhou comme D la dernière fois ?
Voyez-vous des lucioles un peu partout ? ces lucioles qui ne se montrent qu’à ceux qui les regardent ...
c’est pour ça qu’il faut que j’écrive là encore, pour ça que je continue,
car il y a vous et le monde : quelles voix s’élèvent maintenant sur les rues de Dakar ?
Et quelles voix sont étouffées en Russie ? En Chine ? Au Maghreb ?
C’est pour tout ça que je continue d’écrire ...
et j’ai peur que tout s’arrête,
et j’ai envie de vous serrer dans mes bras car j’en suis capable maintenant (et c’est toi qui me l’a appris (j’en parle aussi dans cet envoi) !
dans l’envoi 2 je vous demandais qu’est ce qu’on en fait ? de toutes les choses qui passent trop vite... Et là je vous propose d’écrire pour vous, de reprendre les choses et d’essayer de trouver quelque chose . Pour vous le donner et pouvoir continuer ensemble si vous pouvez... parce que c’est trop beau et je me sens capable de tenter une première avancée, un premier bout solide pour se tenir, construire « du commun » (un mot qui le revient là de La friche la belle de mai), un début d’ « une nouvelle histoire » (mot de Guédigian) qui nous manque encore, qui me manque encore ! Car je suis perdu aussi et j’ai besoin de m’en sortir et de pouvoir me reposer jusqu’à demain !
Et comme je ne me rappelle toujours pas de mes rêves alors je commence à prendre tous les risques avec le réel en écrivant en rêvant les yeux ouverts !
c’est un écrit de libération ! écartelé entre plusieurs, rejeté par toutes ! Je suis bien obligé de « dépasser l’instinct de la tribu» lu, (et lien avec les noirs de dakar) ! je suis en manque ! de vie . Je n’ai presque rien connu enfant car j’étais étouffé … ! et j’ai un sentiment d’urgence par rapport à mon temps de vie ! Ces trois points font que je suis à fond, ému, …. et pour en avoir plus j’ouvre au max sur le monde, et aussi par le collectif ! Je suis prêt à prendre tous les risques ! La vie comme une performance avec « nos corps de spectateurs projetés au plus près de la performance...  : des nouvelles façons de regarder... » Lu . lors d’expo interactives, de spectacles au première rang , dans la vie, dans la danse entre nous , ex : je suis devant et je joue mon propre rôle avec la fille qui tremble dans mon dos... ! avec aussi sur ce point : le collectif, Spectateur et artiste…
et j’ai aussi la discussion avec toi il y a quelques jours, comme un nouveau défi ! tu me dis que tu n’as aucune confiance dans l’humanité ! tu vois toutes les peurs auxquelles tu es confronté à Nantes : trafic de drogues hyper présent, voyous en toute impunité, vol de portable... Et tu me fais remarquer que les gens ont perdu leurs rêves: les immigrés des dernières générations, mais toi aussi en tant que jeunes adultes qui a fait de brillantes études, normalement pleins d’espoirs ! tu as l’impression que les gens n’ont plus d’idéal d’humanité, et qu’on ne peut rien faire . Alors je te propose là, l’essai collectif comme tentative de solutions... On ne va pas tout changer mais déjà d’agir et nous mettre dans l’action de l’écrit et de la pensée possible ! pour nous protéger des gros problèmes urgents ! et ne pas laisser le monopole des images et de la pensée , mais se bouger en créant des choses importantes qui nous tiennent, des beautés ….. Et de proche en proche dans le collectif, ouvrir le cercle, se rendre plus solide, dans l’urgence déjà. Et continuer sous tous les niveaux sociaux : éducation, psy, PJJ, associations sportives et culturelles, ... on ne va pas agir sur tout mais on est un rouage qui manquait : intime et de proche en proche, de discussion, d’aide, oser faire confiance ...
Quand je vois aussi C, son ami, qui me parle de son envie d’écrire ! qu’il a déjà essayé d’écrire par rapport à un problème très personnel et il a ressenti la force de l’écrit qui l’a aidé. alors je pense que l’essai collectif peut être la solution...
face nos sociétés clivées, complexe, … face à nos problèmes intimes... la solution du collectif peut devenir un essai pertinent avec vous !
j’écris pour vous pour nous faire avancer et c’est un grand plaisir que de faire pour vous !
Voici une image d’un flyer du Lu, qui apporte des éléments pour le collectif avec ses différences comme forces :
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1.3/ comment penser pour s’en sortir, en étant réel, en faisant des bouts fiables ! et comment lever le niveau au niveau du réel :
c’est aussi ce qui m’est arrivé, quand je me sens mal, pas assez capable de trouver des choses ! Alors j’ai besoin d’ouvrir, pour voir ce que les grands penseurs de notre époque ont trouvé déjà face à ces difficultés.
Et c’est là que j’ai à nouveau besoin de Cynthia Fleury ( philosophe, psychanalyste) et Augustin Trapenard (journaliste, philosophe)  qui nous permettent de dire comment faire quelque chose du réel, et quoi viser, de singulier et universel .
Pour écrire (chercher une image... vivre) , j’essaie de : « manier les diversités en ouvrant au maximum sur le réel tel qu’il est, pour attraper du commun, des valeurs  » . c’est proche, donc non dépassé encore, du Eli Commins directeur du Lieu unique (Nantes)  : «Comment faire advenir du commun, en donnant voix à des pratiques et à des pensées multiples (« en maniant les diversités ouvertes » Fleury)  qui signalent les mutations qui sont fortement à l’œuvre aujourd’hui. »
première partie de la proposition : « manier les diversités en ouvrant au maximum sur le réel tel qu’il est » c’est :
pour trouver un comment qui soit efficace, il faut ouvrir au réel tel qu’il est (complexe, diversités, éphémère, en mouvement, énigmatique) car sinon la réponse va être trop partielle !réduite non suffisante
« par la circulation» lu avec des nouvelles figures : des formes hybrides... , des mutations d’aujourd’hui... : contemporains » Lu j’essaie d’avoir des contacts pluriels, recherchés dans le flux de la vie, des infos, des spectacles, les expositions, les films, des fêtes …) Je me mets face aux problèmes et aux beautés du monde contemporain, parmi tout le bazar... je cherche des choses sur le monde
avec le collectif, écrire pour et par vous me permet d’être encore plus réel de m’ouvrir encore plus par vos présences, vos expériences, vos beautés, vos problèmes , …
je suis face au réel et moi aussi, bien sûr que je suis en difficulté !
je trouve des problèmes qui tiennent compte du monde tel qu’il est – c’est ne pas être simpliste, bisounours - vus par les plus grands artistes, philosophes, poètes, chorégraphes, cinéastes, musiciens actuels ! car j’ai confiance dans leurs approches et ils sont reconnus pour leur pertinence !
comme moi je suis perdu, sans réponse, sans confiance dans ce que je pense... je cherche pour voir leurs solutions sur ces problèmes!
deuxième partie de la proposition : « pour attraper du commun, des valeurs  » de Fleury et Trapenard ! Et du Lu : faire advenir du commun » qui signalent les mutations qui sont fortement à l’œuvre aujourd’hui. »
« et la continuité du vivant dans toutes la chaîne des êtres, différents mais reliés par un horizon d’universalité restant toujours à construire !» lu Et aussi dans le collectif !
« des perceptions, des émotions, des souvenirs, de l’imagination, des concepts, autour des valeurs de beautés, en mutations d’aujourd’hui ! « et du croisement entre la tradition et les formes les plus contemporaines, Lu. ex : peur, courage, joie, beautés plastiques…» Fleury
Et je cherche des choses dans la philo, les arts, le cinéma, tout ce qui m’attire, car j’ai confiance dans le réel qui apporte des choses pour s’en sortir et se construire avec des apports plus solides
écrire pour et par vous me permet d’être encore plus réel de m’ouvrir encore plus par vos solutions !
1.4/ L’annonce des bouts fiables comme des forces possibles qui vont venir!
et écrire, chercher des textes, des images, des vidéos permet de penser comment s’en sortir !
lorsque je me suis mis face au réel dans l’expérience décrite en totalité dans la partie suivante :
j’ouvre les diversités en me mettant face au réel : à vous (à vos questions, à vos blocages, à vos déblocages, ..), aux actualités, aux propositions des artistes actuels, en art , en danse, en cinéma, en poésie, en philosophie et aussi et des apports historiques applicables pour faire avec le contemporain : ex : Merleau Ponty , Levinas,,spinoza, ex : jankelevitch sur france inter choisi par fleury pour l’été 2022 !
et je trouve des valeurs réelles ! en problèmes et leurs solutions :
pour résister à l'enfoncement, il y a la construction de beautés (sur la vie possible avec la beauté ! Du chorégraphe anglo-indien, Akram Khan, de l’artiste allemande Anne Imhof ! et Oedipe Re du cinéaste Pier Paolo Pasolini et de l’écrivain, psychanalyste Henry Bauchau !),
et ces beautés sont des bouts, des pièces d’intensités comme des refuges au milieu des duretés, de la bêtise (de tout le reste de la vie !)…
Et qui sont autant de pièces de sur-vie  : autour du collectif (rapido mais encore présent dans leur proposition), et surtout en détail : de la danse de libération (nos difficultés à danser ,des rituels collectifs réparateurs : d’Akram Khan et hyper contemporain d’Anne Imhof !), du vivre à fond entre la vie et la mort (d’ Anne Imhof, Wim Wenders cinéaste allemand et Eliza Douglas, chanteuse guitariste), de la rencontre du paysage (vos photos et vidéos de reflets du soleil sur l’océan. le paysage contemporain de la mer de Imhof et Ange Leccia, cinéaste et photographe , le point de vue de Transtromer, poète contemporain suédois prix Nobel hybride entre physique et poésie), de Bjork islandaise chant et musique avec joga) , des amours (les vôtres multiples et en philo, Spinoza et dans les arts hybrides du cinéaste allemand Wim Wenders, le danois Lars Van Tries, et de danse de Benjamin Millepied, d’art d’ Abramovic en couple)et de aimer tout (de toi qui me sauve, du visage de l’autre de Levinas, d’Abramovic au Moma) , de toi qui m’a appris, et de la coréenne Kimsooza) !
et il y a en fin provisoire , une proposition d’écrit et une citation de Fernando Pessoa (poète argentin)
Et je vous les donnerai comme des inestimables bouts de beauté et de vie! De la matière fiable (comme les amis qu’on appelle en cas d’urgence).
Des manières de vivre, de s’en sortir en visant le meilleur ! Bout aussi comme Extrémité de ce qui est possible d'un corps, d’un objet ou d'un espace ou d’un temps... le bout de la route... le bout d’une pensée dans une tete c’est déjà pas mal comme action mais limite provisoire chaque jour dépassé, par le réel du monde et du collectif
des morceaux de pensée solides mais aussi en cours de sublimation entre le liquide et gazeux, bouts d’air pur  :point de non retour de la pensée-passage où une matière bout, passe d’un état à un autre et encore à un autre : de figé à libre, de sans ressources à avec , de seul à ensemble avec des gens de confiance
Mettre bout à bout, se dit de l'assemblage de certaines choses, qui ne sont presque rien à les prendre séparément, mais qui forment un tout considérable, si on les réunit.
En mathématiques, le bout d’un espace topologique est une généralisation de la notion de points à l’infini. Et le bout d’un graphe est une classe d'équivalence de chemins infinis.
En botanique : de bouter (« frapper, pousser »), le sens de « pousse » explique celui de « bout, bouture, bourgeon terminal ».
Être un bout, debout, trois, 41 bouts, des milliers de bouts, debouts , boutures... qui, pousse, à l’infini
prononcé boute comme un féminin enfin pour s’accrocher comme la ligne de vie dans un bateau
qui tienne dans la tempête, et aussi pour avancer, avec les voiles
qu’est-ce qui va nous aider à respirer dans le monde en crise  ? les petits bouts que j’ai trouvé. j’écris pour qu’on s’en sorte.
Et je compte sur vous pour qu’on s’en sorte ensemble :
ce n’est qu’une partie que j’initie et vous pouvez amener des apports, si vous pouvez. Qui seront singuliers liés avec la force de nos différences... je sais que j’ai besoin de vous pour aller plus loin autour des thèmes de cet envoi ; je crois en la force du collectif pour construire les choses complexes. je vous propose de faire ensemble!
2/ essai d’expérience : face au réel, premier temps de la pensée et de l’écrit pour s’en sortir (la perception, la sensation, les émotions, les premiers mots,.... et comme tout se passe en même temps, de dire qu’on a besoin de temps pour construire une deuxième réponse!
écrire permet de penser comment s’en sortir !
je commence à raconter cette expérience  :
Je repense à ce que j’ai vu à la Belle de Mai de Marseille :  future is unwritten , critique défonce …
je suis pris dans vos nouvelles et dans les nouvelles
et qui m'obligent !
pris entre les beautés, les beautés pas belles, les problèmes, les solutions, les fausses solutions, les vrais problèmes, les faux problèmes ...
j’ai du mal à respirer !
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qui nous oblige à avoir peur ? à avoir de l'inquiétude ?
on a peur de la fin du monde par une catastrophe naturelle ou humaine incontrôlable.
là c'est juste un pompier pyromane !
mais il y a aussi Total qui veut s'emparer d'une partie préservée du Congo pour en faire des champs pétroliers!
et ça se percute avec l'annonce de choisir les Emirats arabes pour les jeux olympiques d'hiver !
pots de vin, monnaie de singe, peaux de vaches...
comment s’en sortir !
qu’en pensez vous ?
on ne peut pas laisser faire ! Et pourtant nous savons bien que nous retrouvons un peu trop dans le rôle de Peter Pan ?
Je me souviens là du film Melancholia du danois Lars van trier. Face à la fin du monde, il raconte l’immense lâcheté de tous les personnages pour ne pas assumer, par tous les moyens. Et il n’y aura que deux jeunes femmes et un petit garçon qui vont tenir ensemble (je vous raconterai comment ils tiennent ensuite ! Car là ça se bouscule encore avec une image trop forte :
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une femme qui demande de l'aide ?
a-t-elle peur de son agresseur ?
qui nous oblige à avoir peur? À ne plus respirer ?
à ne plus craindre pour sa vie ?
j'ai cette exigence : faire quelque chose ne pas laisser quelqu'un dans la merde : ni vous, ni elle ! Et écrire nous permettra de penser comment s’en sortir
nous sommes dans la même lutte
toi qui viens d’apprendre que ton enfant est harcelé via les réseaux sociaux (tiktok) !  Et qu’il refuse de les quitter par peur de ne plus avoir d’amis ...
et vous qui nous envoyez des photos et des vidéos de l’océan
et il faut que je vous réponde dessus
(mais sur l’Iran, je ne peux pas là je le ferai dans l'envoi 4)
qui nous oblige à avoir peur?
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encore une image impossible à laisser filer !
Et encore à être dégoûté ! À avoir peur
oh que je suis mal pour vous tous nos amis !
fils de pute d’anti homo en Inde
écrire permet de penser comment s’en sortir ! Même des insultes ! Permettent de bouger face à ce qui nous bloquent trop ! Mais penser dans une deuxième étape permettra de trouver d’autres réponses
fils de pute de clivages du monde ! assis ça pourrait être vous, nous assis (ils sont « blancs »: installés en Inde ? Essayent de faire avancer les mentalités... pas d’indiens de couleur parmi eux !
les gens ont peur des autres différents : les lgbt pour certains ; les autres ethnies ; les vieux dénigrent les jeunes ; les pauvres font peur ; les handicapés gênent...
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et ils construisent des systèmes de surveillance contre la peur des autres.
et aussi contre les libertés ce qui arrange sur plusieurs points ici le système chinois (on en reparlera avec Faust plus loin).
Voilà la grande réussite sur la surveillance en Chine à la pointe de la technologie avec le virtuel de la caméra et de la reconnaissance faciale et du tableau des points du bon citoyen !
Ça paraît fou, digne d’un film d’anticipation un peu simplet, mais c’est bien actuel et çà marche !
et ça devient encore réel quand ça vous touche ! vous dont le frère est bloqué en Chine parce qu’il s’est marié avec une chinoise ingénieure et ils ont eu un enfant (qui a été dans les meilleures écoles et il est attendu comme  « futur élite de la nation ») . Pour les autorités rencontrées, il n’est pas question de laisser faire une fuite des cerveaux et des savoirs classés « secret défense » : armée, sécurité, mais aussi médecine, industrie, agronomie, transport !
ça me fait penser à ce que j’avais gravé dans mon corps : et d’abord à la ligne barrée affichée par une artiste dans les toilettes de La Friche de la belle de Mai : «  puisque rien n’a de valeur au regard des hommes: qu’on leur crève les yeux. »
c’est radical et définitif ! mais que faire de plus ?!
écrire permet de penser comment s’en sortir ! Même face au plus horrible !
de plus que tout de suite après je vous vois en réel et vous nous parlez de vos problèmes de désirs !
On est beaucoup à avoir peur de ne pas plaire et de ne pas trouver l’amour (donc utilisation des réseaux).
Que vous arrivez à des choses paradoxales ! comme de prendre un euphorisant pour avoir du plaisir avec une rencontre via les réseaux et après d’avoir moins de plaisir avec son partenaire car sans euphorisant ...
c’est sûr, je suis perdu pour vous répondre en deux mots (j’ai trouvé des éléments dans cet envoi plus loin )
et ces deux choses (les yeux crevés en sang et le désir) me refont penser(écrire permet de commencer à penser et d’aller dans des directions étranges imprévues) à Oedipe Roi dans le film de Pier Paolo Pasolini ! Le désir l’a mené à faire ce qu’il aurait voulu éviter absolument !! un peu comme beaucoup d’entre nous !
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Une prophétie lui avait prédit qu’il allait tuer son père et désirer sa mère. Il fait tout pour éviter ça bien sûr. Mais sans raconter tout, son désir l’a amené à désirer sa mère et a tué son père ! Et il se crève les yeux de dépit. il est condamné à l’exil ! Et il est laissé à l’abandon, aveugle. Il n’y a que sa fille Antigone qui va s’occuper de lui. Et la suite nous verrons comment le cinéaste, poète, activiste, Pier Paolo Pasolini et Henri Bauchau, écrivain et psychanalyse, vont le décrire dans une vie après sa vie de roi et de destruction où il devient aveugle mendiant et joueur de flûte . je vois ça comme une possibilité d’évolution : une recherche de beautés simples (on le verra plus loin). On reparlera aussi d’ Antigone, comme puissance différente.
Ce sang me rappelle aussi l’image en haut de la femme qui demande de l’aide ! Oedipe demande de l’aide , il n’en peut plus de son système de destruction par le désir ! Et c’est une femme qui l’aide !
Et là bing, je viens de courir pour essayer de répondre au téléphone fixe et quand j’arrive : c’est un homme qui parle très bien le français, il essaie de me vendre un truc. Je suis dégoûté d’avoir arrêté mon texte si fragile, à cause de çà. Par provocation, je lui demande s’il aime danser et parce que c’est une victoire récente dont je suis fier. il me raccroche au nez.
Ma me reparle d’un film qu’on avait vu : Les ailes du désir de Wim Wenders, avec vous. je vois les images de la vie des humains qui se cherchent, font des essais de bons moments mais qui meurent ! Et que les anges les voient et ne peuvent rien faire, malgré leur pouvoir d’immortalité !
On en parlera puisque j’avais peur de parler de la mort. Le réel t’amène des choses que tu voulais absolument éviter pour le moment !
Écrire te permet d’y aller après de prendre les risques
j'ai cette exigence : faire quelque chose trouver quelque chose en commençant maintenant !
Et dans le flux des images, écrire permet de chercher des choses nouvelles pour penser, je trouve Anne Imhof, une des voix les plus provocatrices et pionnières de sa génération. Collectif, palme d’or à la biennale de Venise, et à qui le Palais de Tokyo propose le musée entier pour sa dernière expo ! je me penche sur ses propositions pour vous les donner : Faust d'abord (ensuite Sex, et Natures mortes) ! Elle fait un constat des problèmes et de ses moyens dans nos sociétés !
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"Dans Faust qui a vendu son âme au diable et qui signifie aussi poing en allemand.  Elle y met en scène la monumentalité fascisante du pavillon allemand datant de la période nazi, plaçant les visiteurs au milieu d’une métaphore de la transparence et du contrôle, structure de verre et de métal habitée par des corps jeunes, entre rage encagée et cauchemar cristallin. A l'entrée, les spectateurs sont « accueillis » par des dobermans dressés qui aboient furieusement. Dans un opéra de plusieurs heures dans un théâtre brutal, l’artiste génère un flux d’actions portés par des acteurs surgissant de façon imprévisible. les visiteurs découvrent un dispositif dérangeant : une plateforme en verre dévoile sous leur pied d’autres performeurs dans des rituels étranges de soumission. Elle dénonce la désespérance de nos sociétés contemporaines et le rôle des structures de pouvoir et de surveillance, les tensions politiques actuelles, des idéologies fachistes, xénophobes, antisociales qui contaminent notre quotidien. Les spectateurs et les performeurs deviennent des marchandises digitales, d’images consommables ! Et Faust qui vend son âme au diable ! et la résistance possible ?" klash (l’art en acte, arte).
"On peut aussi y voir une allusion à La Société de la Transparence de Byung-Chul Han (2012) : au travers (notamment) des réseaux sociaux, la transparence inonde nos vies, jusqu’à nous faire devenir, à l’image de la pornographie, incapables d’expérimenter l’ambiguïté et l’ambivalence." Zerodeux.fr
ils construisent des systèmes de surveillance contre la peur des autres : si fins transparents dont les gens sont volontaires !
rencontre impossible à cause de la surveillance et exposition généralisées par les vitres transparentes, barreaux, chiens de garde qui aboient, incursion des autres voyeurs dans nos vies, et sur les réseaux internet ! Non-communication malgré leur surexposition avec les spectateurs qui les regardent et qui n’interviennent pas pour les aider  ! les spectateurs n’arrivent pas croiser le regard des acteurs !
je vois aussi la proposition d’Akram Kahn . j’écris dessus car il amène un point de vue différents pour ouvrir par rapport aux autres choses :c’est un autre artiste qui tire la sonnette d’alarme à sa manière, il soulève la peur de la fin du monde et de l’humanité. c’est un chorégraphe de danse contemporain mondialement connu, anglais originaire d’Indes que Ma a vu dernièrement et que j’ai raté !
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« Akram Khan signe un spectacle dense, puissant et sombre, stupéfiant de beauté. Il fait une réflexion humaniste sur notre avenir commun. Pièce imprégnée de l’urgence actuelle, entre épuisement des ressources et accroissement des inégalités. D’abord le narrateur de la folie du monde : il livre ici une magnifique fresque, puisant aux origines des rites collectifs.  Outwitting the Devil (« tromper le diable ») signifie tout à la fois vendre son âme au Diable et espérer en tirer profit. (incroyable la même accroche que dans le Faust de Anne Imhof) Penser pouvoir flouer le Diable, le prendre de court, de vitesse, ou même à son propre jeu : c’est un peu ce qu’explore la pièce. Ici, comme le note Akram Khan, le diable est tout à la fois humain et abstrait. Il est à la fois la fascinante dévoration pour l’éternité et la richesse, et le temps lui-même. Cette entité que l’être humain ne cesse d’essayer de dompter ou déjouer. il s’origine dans la découverte d’un fragment inédit de Gilgamesh, épopée la plus ancienne de l’histoire de l’humanité, qui décrit une immense et naturelle forêt de cèdres que Gilgamesh, roi d'Uruk, et son compagnon sauvage Enkidu découvrent au cours de leurs voyages. Bien que fascinés par sa richesse et sa beauté, les deux hommes massacrent son gardien et détruisent la forêt. cette destruction insensée d’une forêt de cèdre et de son gardien rappelle le saccage des hommes et de notre écosystème. il délivre un message d’alerte sur la condition humaine sur l ‘épuisement de la terre. En cherchant à maîtriser la course folle du temps et à dompter la nature, les hommes semblent se mesurer aux dieux dans un effort vain pour tromper la mort et en oublient leur responsabilité de
« transmetteurs ».
À travers la puissance magnétique de ses danseurs, Akram Khan dessine le grand tableau de la condition humaine, avec une intelligence dramatique riche d’émotions . : Dans un monde qui semble avoir été réduit en cendres, l’un d’eux, plus âgé, incarne un Gilgamesh hanté par son passé : comment a-t-il pu commettre l’irréparable, le meurtre et l’incendie d’une forêt de cèdres ? Comment faire pour être plus malin que le diable ?
Est-ce une conjuration du destin annoncé de l’humanité ? » paris-art.com
que les humains sont capables du pire et du meilleur comme Gilgamesh … !
du pire par rapport à l’autre et la nature !  
je peux en montrer du contemporain : il y en a tant chaque jour dans nos vies, aux actualités, dans nos films, dans notre environnement, ...
mais là quelle coïncidence ! la première image qui m’a attirée pour sa beauté étrange, nouvelle ! Et c’est un pompier pyromane, comble de notre humanité ! Et les feux de forets ! (On n’est pourtant déjà bien assez capable de les détruire, à petit feu, sans qu’on s’en rende compte ) Donc que j’ai trouvé en premier ces derniers jours et qui parle du même problème encore qu’autrefois...
et nous aussi bien sûr on est capable du pire  ! Inutile de rentrer dans les détails ?
Comme dans sa danse: on est capable du pire ! Des choses négatives avec les pulsions : mise en tribu pour se protéger des animaux et mieux les tuer, rejet des différents, bagarre, vol des femmes, bataille, escroquerie, pour s’enrichir, et rechercher le pouvoir, abus de pouvoir, orgueil...
3 / deuxième temps de la pensée et de l’écrit : les solutions générales trouvées dans notre réel : l’écrivain, Borges, les philosophes , Laurence Hansen-Løve, Karl Jaspers, Cynthia Fleury et l’artiste, Anne Imhof 
Je vous attends aussi pour ouvrir notre réel avec vos visions, vos bouts solides, sur les solutions générales !
Nous sommes complexes et le monde est complexe : l'écrivain argentin Jorge Luis Borges a choisi  « le labyrinthe comme principe de l’existence humaine » ! c'est une figure constitutive de notre humanité, depuis l'antiquité. et Anne Imhof en fait un lors de sa dernière expo au palais de Tokyo, en 2022.
Un labyrinthe est un tracé sinueux, avec des fausses pistes, destiné à perdre ou à ralentir celui qui cherche à s'y déplacer ! Dans nos vies, on peut se perdre dans le labyrinthe réel de la réalité, mais on peut aussi se perdre soi-même !
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écrire permet de penser comment s’en sortir !
tenter en essayant de tenir compte de nos pulsions ! des beautés et des problèmes du monde ! sans être simpliste ! l’important c’est de voir la possibilité de ne pas abandonner et de tenter justement en connaissance de toutes ces difficultés ! car justement ainsi on va faire quelque chose de plus vrai ! car tenant compte du monde tel qu’il est et de nous tel que nous sommes . car il y a aussi des solutions possibles dans le monde tel qu’il est  ! et les artistes, les philosophes … vont nous aider car ils en ont cherché eux aussi !
Pour pouvoir respirer eux aussi ! et nous donner un peu d’air respirable, et qu’on soit capable de les utiliser, non bloqué par nos peurs !
La philosophe Laurence Hansen-Løve : « la tradition philosophique n’oppose pas le courage à la peur :  Le courage  n’est pas l’absence de peur, mais la volonté de la combattre par les moyens dont nous disposons. »
Nous avons la volonté ! et nous disposons de moyens pour ne pas nous arrêter à nos peurs ! Je vais vous apporter ce que j’ai trouvé, dans la partie 3.
j’ai trouvé aussi en pièce centrale, machine respirante dans la proposition contemporaine et exigeante de Anne Imhof : extra sur « notre vocation à devenir réellement humains, au sein de l’Histoire » du philosophe Karl Jaspers .  
« Avec Axial Age (2005-2007) de Sigmar Polke, elle choisit les sept tableaux qui font écho à « l’âge axial » tel que théorisé par Karl Jaspers dans L’origine et le sens de l’histoire, publié en 1949. L’auteur évoque notre « vocation » au sein de l’histoire, celle de devenir réellement « humains ». Si l’histoire a un sens, c’est celui de donner lieu à l’émergence de notre « humanité ». Observons que cette problématique est sous-jacente à l’ensemble de l’œuvre d’Anne Imhof.  Serait-ce celle de la « Barbarie qui vient » telle qu’annoncée par Isabelle Stengers dans ‘Au temps des catastrophes. Résister à la barbarie qui vient’ 2009 »
« devenir réellement humain au cours de l’Histoire » : c’est voir ce qu’on va faire face aux problèmes de nos sociétés, et de nos intimités.
Soit, de se faire inventer nos vies selon un modèle qui ne nous convient pas et qui nous asphyxie ! c’est réduire nos capacités créatrices.
Par exemple : pas d’attention à la beauté de la nature ... Tik tok, réseaux sociaux débiles hyper-sexualisés et déceptifs ... peur phobie des autres différents, racisme, anti lgbt +, les pauvres, les assistés,... surveillance généralisée (fine transparente ou par système chinois ridicule mais qui marche ) parce qu’on a peur des autres ou pour contrôler les libertés …
soit, on vaut mieux que çà ! Il faut bien croire en quelque chose et on a le droit au meilleur car on est capable du meilleur !
On a le droit à la rencontre profonde avec le paysage, avec le monde, avec les autres . de trouver le plus bel amour. d’aimer les autres et d’être aimer . Inutile de fuir la réalité cette fois ci car elle t’apporte de la profondeur, de la joie réelle ! se connecter aux mouvements de la vie contre la mort. De sentir la force de la danse de libération.
c’est nous construire plus complexe, plus adapté au réel... car ma proposition essaie de tenir compte de toute notre complexité !
c’est donc oser voir les beautés réelles du monde !
la beauté suffit pour tenir
j’ai des bouts puissants à vous donner en détail sur tous ces points dans la partie suivante !!!
(puisqu’on n’a toujours pas trouvé la drogue idéale)
c’est trouver de la beauté utile à vivre, et pour se construire
ce sont des bouts vivables pour moi et pour vous, utilisables, puissants car ce n’est pas de moi mais des plus grands penseurs !
et pour mieux tenir compte de la complexité et dépasser les limites et qui ouvre sur tout. j’y vois aussi une façon de faire avec le monde clivé avec ces extrémités qui s’opposent !
je vais essayer d’utiliser cette approche sur l’art d’Imhof relevé par le directeur du Art Institute Chicago... sur sa dernière proposition Sex en 2022 :
« une architecture qui divise la galerie en zones d'opposition : dessus et dessous, haut et bas, lumière et ombre, intérieur et extérieur, visible et invisible. Dans la performance qui inaugure l'installation, ces binaires s'étendent au masculin et au féminin, à l'espoir et au désespoir, à la douleur et au plaisir, et finalement à la vie et à la mort. Sex traite de la fluidité entre ces forces apparemment inconciliables, alors qu'Imhof et ses collaborateurs passent continuellement de l'une à l'autre et fusionnent ce qui semble incompatible. »  !
il nous montre que c’est une bonne approche enrichissante et qui respecte la complexité du réel : face à la vision mono réductrice et mensongère ; et aussi celle trop binaire ! les choses qui s’ignorent, qui s’opposent (dans le monde, les conflits entre les religions, les ethnies, les pays, entre les humains et la nature, les genres ... Je ne propose pas que l’un ou l’autre ! Mais l’un et l’autre ! Et l’un avec l’autre ! c’est dépasser l’un, par l’autre et par le monde ! « d’être fluide et de passer de l’une à l’autre et d’être capable aussi de fusionner » voir les deux extrémités et ouvrir pour voir tous les intermédiaires possibles entre ! Çà permet d’explorer en ouvrant encore plus les possibles ! çà nous fait avancer dans nos tètes avec une vérité plus complète, et moins clivée !
que nous pouvons pas à pas, changer le rapport de forces entre les humains et avec la nature .
Et entre les humains ; c’est lutter contre la monomanie identitaire ( religion, nationalisme, phénomènes de groupe) qui écrase les minorités liés aux ethnies, aux genres, à la pauvreté, aux handicaps...
et de proposer de faire pencher la balance pour aimer les autres et le monde (regarder leur photo de paysage, s’occuper d'une jeune femme sans même la voir, danser avec vous, aider les autres, répondre à une jeune fille qui découvre l’amour, rassurer une femme pas rassurée, aimer les amis, proposer la beauté rencontrée en arts, en danse, en cinéma, en philo, ...) est un geste primordial car on pourrait aussi céder qu’à la violence (on est capable du pire et du meilleur)!
Il faut faire même un peu c’est beaucoup. Cynthia Fleury nous dit que «  l’énigme restera... énigmatique » conclusion aussi des poètes Guillevic, et Char 
Le reél restera mystérieux ! Bien sur on n’aura jamais réponse à tout les problèmes . On ratera des tas de coucher de soleil. c’est décevant mais on fait ce qu’on peut, Il faut juste trouver une façon vivable ! Des bouts d’air
Et c’est toujours mieux car là ce n’est pas vivable : le si dangereux leurre de tout ce qu’on fait !
mais on n’a pas le choix , il n’y a que çà , faire des bouts !
déjà ces bouts que je vous propose maintenant sont sûrs, puissants : ils correspondent aux avancées contemporaines en philo, arts, danse, cinéma, ... !
4/ troisième temps de la pensée et de l’écrit écrire permet de penser comment s’en sortir ! les solutions détaillées trouvés dans notre réel : pour résister à l'enfoncement, la construction de beautés ! d’Akram Kahn, d’ Anne Imhof , de Pier Paolo Pasolini cinéaste, poète  avec son film Oedipe Re et Henri Bauchau poète, romancier, dramaturge et psychanalyste
Je vous attends aussi pour ouvrir notre réel avec vos visions, vos bouts solides, vos rencontres, votre amour.
réponse à vous tous, vous qui allez vous trouvez dans sa danse , vous qui êtes dans une vision romantique noire et qui allez vous retrouver dans sa vision , vous qui allez préféré le mythe ; vous qui aimerez les trois. toi qui pensais que la lumière sur la mer n’est pas si importante … vous, tous les autres qui découvrirons tranquillement
Comme Akram Kahn dans sa chorégraphie qui nous montre ses danseurs capables du meilleur dans une deuxième étape parfois après avoir vécu le pire ou ayant causé le pire ! coopération pour essayer autre chose car ils souffrent : alors ils s’entraident et se rebellent contre l’oppresseur . Plus tard ils partagent la joie de la danse. Ils vont connaître l’amour. Et aussi la compassion.
comme Anne Imhof dans son tunnel vers son intérieur , vers son labyrinthe  (intérieur et extérieur) crée dans les sous sols sans vie réelle de nos sociétés aseptisés, ridicules... même elle qui est réputée pour sa dureté et sa vision noire propose de la beauté  : ses oeuvres de coucher de soleil, sa femme devant l’eau, ses performances avec danse techno et guitare électrique, la politique, sa fête , son humanité …
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« Un labyrinthe de vitres d’un marron nostalgique cueille le corps : les vestiges d’un monde de puissance, récupérés d’un bâtiment turinois promis à la démolition. Il serpente sous la verrière, puis se complexifie dans les sous-sols, jusqu’à nous perdre dans les enfers du palais. rituel de passage, rampe de lancement. Les parois vitrées, légèrement fumées, sont marquées de tags témoignant de leur existence antérieure, vestiges de buildings arrogants recyclés en une sculpture gigantesque qui suggère leur ruine.
Au travers de ces vitres érigées luit un soleil couchant, éblouissement sur le déclin que fige une suite de tableaux. Parfois, il faut savoir regarder les couchers de soleil depuis les terrains vagues. Alors s’allient chaleur lointaine et poussière de béton, lumières tombantes et promesses de la ruine.
La certitude intangible d’une fragilité, de notre être autant que du monde qui l’entoure. C’est aussi une histoire de l’art et des idées qui se donne à lire en filigrane.
Son installation est une cité en dormance, entre deux âges : dans un silence de mort, elle semble promettre une renaissance possible. Des soleils s’y couchent, des chambres à soi s’y aménagent, des fantômes y surgissent. Elle s’enfonce dans les sous-sols où se déploie le labyrinthe de verre, architecture de l’exhibition et du voyeurisme, du reflet et de la perte de repères, où se logent des chambres minimales, domesticité de survie réduite à un couchage, un objet fétiche. Ce sont des cellules avec vue, factice, sur la mer (Anne Imhof, Untitled (Wave), 2021), ou parfois sur un éclat de couleurs, une résurgence de lumière (Joan Mitchell, La Grande Vallée XX, 1984). Au cœur de ce dédale, un ensemble de peintures de Sigmar Polke (Axial Age, 2005-2007), superpositions changeantes de pigments d’or, d’argent, et de lapis-lazuli, offre un sas de recueillement au milieu du chaos au cordeau. » Le monde.com
« natures mortes entre la vie et la mort avec des œuvres d’art » 
moi je dis des bouts , des pièces d’intensités comme des refuges au milieu des duretés, de la bêtise (de tous le reste de la vie ! … et les parties de cette partie sont autant de pièces de sur-vie !
Comme déjà ce film terrible de Pier Paolo Pasolini : Oedipe Re et Henry Bauchau poète, romancier, dramaturge et psychanalyste : avec son livre Oedipe sur la route
Oedipe fait partie de la lignée maudite des Labdacides. Il a une prophétie qui lui annonçait qu’il allait tuer son père et désirer sa mère. dans une première partie de sa vie il cherchait le pouvoir, les richesses, à prendre de nouveaux territoires... il voulait aussi éviter la prophétie, et il la fait s’accomplir : il tue le roi Laios qui était sans le savoir son père et couche avec la reine Jocaste qui était sa mère. alors que personne ne sait qui est qui . De cette union incestueuse naissent quatre enfants ! Lorsqu’il découvre les faits,Tirésias lui indique la voie pour sortir de ce destin fatal. Il faut être aveugle, comme lui, pour voir vraiment. Le voir est du côté de la raison et l’écoute est du côté du cœur. A un moment donné, lorsque le destin nous détourne de notre chemin, il convient de réunir le cœur et la raison et de donner la priorité au cœur et à l’écoute. Pour faire bonne mesure Œdipe se crève les yeux, cherchant ainsi à ouvrir le chemin de l’amour en écoutant battre le cœur de l’autre. » ! et il est condamné à l’exil. Aveugle, il est guidé par sa fille Andromaque . Il résiste à ses blessures et ils marchent pendant des mois et finissent par s’installer à Colone . il ne veut plus vivre comme un roi... il cherche autre chose : et il est mendiant. Il finit par jouer de la flûte ! aveugle il voit mieux ce qui lui convient ! Pauvre il vit mieux ! Il choisit de faire de la beauté, la seule qu’il peut comme aveugle , une beauté simple avec sa flûte, le plus simple des instruments !La voix d'Œdipe n'était pas, comme on le croyait, faite pour commander ou deviner des énigmes. Avec surprise, avec bonheur, Antigone et tous ceux qui l'écoutent s'aperçoivent qu'elle était depuis toujours prédestinée à la musique .Quand Œdipe s'arrête, l'assemblée reprend son souffle. Les voix s'élèvent, les coupes circulent et Diotime en se penchant vers Antigone lui dit : " Nous avons trouvé notre aède. "
myhesfondateurs.over-blog.com/ Comment le mythe d’oedipe et antigone peut nous aider
Henry Bauchau poète, romancier, dramaturge et psychanalyste , avec son livre Oedipe sur la route
« -Quand on a été, comme nous, très loin dans le crime, on ne peut en sortir que par la liberté, toute la liberté et sa lutte sans fin. - Et pour Antigone, demande Clios, qui n'a pas commis de crime, est-ce qu'il n'y a pas d'autre chemin ? - Non, il n'y en a pas, la liberté douce n'existe pas. »
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et moi çà me donne plusieurs raisons qui me permettent de tenir: j’ai subi l’épreuve du désir, et j’ai perdu un œil, je suis exilé volontaire par rapport à mon ancienne cité, mes anciens « pouvoirs », à ma mère et mon père ! Je suis à la recherche de la liberté ! avec Ma et ma fille, qui m’ont accompagné dans mon exil j’ai une nouvelle chance de vie et maintenant je suis mûr pour jouer de la flûte et que vous veniez écouté cette musique simple et humaine (pas celle d’un roi, ni d’une star de tiktok) pour faire triompher l’amour sur la toute-puissance.
4.1/ pièces d’intensités que je retrouve chez eux comme solution possible  : le collectif pluri : ethnies, ages, genres, qu’on avait détaillé dans l’envoi 2 ! mais ici en rapido : car c’ est aussi le choix d’Anne Imhof et Akram Khan
pour répondre à notre besoin de collectif encore
Anne Imhof insiste pour dire qu’elle est une équipe de 20 performeurs dans son collectif pour créer ensemble ses projets .
Akram Khan  propose en danse la construction par le collectif pluritout pour trouver de l’humanité lors d’une un rituel collectif à construire ! Âgés de vingt à soixante ans environ, les 6 danseurs ont été choisi leurs diversités d’ histoire, de mémoire, d’ age, de sexe, de genre, de pays et de danse) deviennent les acteurs d’un rite essentiel et collectif.  Une façon de plonger dans l’humanité et le collectif pour en faire ressortir les dimensions constructives.  À l’instar de Kadamati, qui avait réuni plusieurs centaines de danseurs sur la place de l’Hôtel-de-Ville, à Paris, en septembre 2018. »
et ce que je fais, pourrais en être un aussi (symboliquement et en réel avec nos corps ) !
4.2/ pièces d’intensités que je retrouve chez eux comme solutions possibles: vivre à fond entre la vie et la mort d’ Anne Imhof (artiste), Wim Wenders (cinéaste), et Eliza Douglas (chanteuse guitariste)
face à la peur de la mort, c’est commencer un peu.
réponse à vous qui êtes fan de Nico, et/ ou sensible à la mort. toi qui n’ose pas à en parler. toi jeune enfant qui après la mort du mimosa avait gardé une petite branche car tu n’avais jamais rien vu d’aussi beau et fusionné : les fleurs ne tombent pas depuis 5 ans toujours pas . Vous qui vous dites trop vivant pour en parler .
pour Akram Khan, d ‘abord comme erreur  : « le diable est tout à la fois humain et abstrait. Il est à la fois la fascinante dévoration pour l’éternité et le temps lui-même. Cette entité que l’être humain ne cesse d’essayer de dompter ou déjouer. »
Premier élément de réponse : la dernière expo d’Imhof est décris par la directrice d’exposition Emma Lavigne : « un parcours entre la vie et la mort avec des œuvres d’art » donc c’est un sujet contemporain et qui mérite qu’on essaie d’en parler , ça peut aussi être le résumé d’une vie possible
avec cette ouverture entre ces deux extrêmes que sont la vie et la mort : être capable de vivre la mort (d’un proche, de l’autre, de la nature...) avec autant d’intensité que la vie ! on peut vivre avec les deux idées passer de l’un à l’autre les montrer en tant que telle et les trouver belles ! Çà rassure cette fluidité on peut passer de l’un à l’autre !
Et aussi sur sa propre mort : y penser sereinement !
Et avec la possibilité de fusionner en plus! fusionner la mort dans la vie. La vie dans la mort ! savoir qu’il y a la vie donne plus d’intensités à la mort / savoir qu’il y a la mort donne plus d’intensités à la vie !
Dans Les ailes du désir de Wim Wenders : les anges sont immortels mais ils ne ressentent rien des émotions, ils ne sont pas vu par les humains, et ne peuvent pas arrêter leur mort. Et là, l’un d’eux préfère devenir humain, pour pouvoir vivre ne serait ce que la durée de la vie d’un homme, soumis aux accidents, qui peut s’arrêter dans un instant ... ! pour pouvoir aimer la vie, sentir les odeurs, serrer une main, entendre rire un enfant … !
ce qui le décide complètement, c’est l’amour possible de la jeune femme trapéziste ! Et il est ensuite chargé de tenir sa corde de vie qui est accrochée à elle dans les airs ! Il peut agir désormais sur sa mort !
Donc oui c’est un rôle important des humains ! De protéger l’autre et de différer la mort .
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autre proposition sur ce thème : La guitariste performeuse d’Anne Imhof, Eliza Douglas qu’on voit en photo sur l'affiche. A un autre moment de la performance, elle est assise au bord d'une haute jetée et chante. La voix a quelque chose de la tendresse de Nico. Parfois, ils sont déchirants. "Mort, s'il te plaît, épargne-moi juste un an de plus", chante-t-elle. Elle a 20 ans !
D’en parler ici comme élément de la vie, çà nous fait avancer dans nos tètes avec une vérité plus complète et qui intègre le plus dur !
4.3/ pièces d’intensités que je retrouve chez eux comme solutions possibles: la danse de libération, du chorégraphe anglo-indoux Akram khan et la performance de l’artiste allemande Anne Imhof.
Face à la peur de danser, cette expérience de vie nouvelle radicale...
comme réponse pour vous qui aimez la danse , vous qui avez besoin de la ressentir pour la première fois dans votre corps comme une libération essentielle, toi qui n’avait pas le droit de danser, vous pour qui la danse est une revendication politique des genres, des ethnies ...
Faire quelque chose de vos mains tendues  il n’y a rien de mieux !
entre les deux positions extrêmes : de interdiction de danser et vie sans contact, sortir de la surveillance et jouer à la vie sa vie à fond en réel (sans fausses rencontres par les réseaux sociaux... par des performances actives de plusieurs heures de libération, à la danse de libération ! c’est ce qui m’est arrivé donc grand écart mental entre la censure et quand on se dit stop çà à assez duré . Et que je me suis ouvert aujourd’hui à toutes les musiques les plus folles avec tous les intermédiaires possibles : on peut essayer d’être fluide capable de toutes les intensités pour être plus complet
le chorégraphe anglais Akram khan. Plus qu’une catharsis (ou purgation des passions) est rituel de réparation, rassemble et réconcilie les énergies, par métissage des cultures et d’une réflexion humaniste sur notre avenir commun.
Solution trouvée par Akram Kahn :
« la danse collective des six interprètes qui questionnent, par leur diversité d’âge, de culture et d’histoire, notre rapport à l’autre et le devenir de notre planète. Une façon de plonger dans l’humanité et le collectif pour en faire ressortir les dimensions constructives.
Plus qu’une catharsis (ou purgation des passions), la danse d’Akram Khan rassemble et réconcilie les énergies. Désamorcent ainsi la rupture, par le rituel collectif. Et plutôt que d’oblitérer la part sauvage ou chaotique, intrinsèquement humaine, la pièce invite à en explorer la puissance. la danse se fait alors charnelle et animale.
Et aussi une exhortation à ne pas trop tirer sur la corde. Car comme l’enseignent aussi les mythes, la frontière entre petit bouffon et mal absolu peut être ténue.
La danse semble surhumaine, dans le mélange subtil propre à Akram Khan, mêlant contemporain, kathak, bharata natyam, danses traditionnelles du Sud-Est asiatique, arts martiaux. Sa danse, généreuse et virtuose, déploie un vocabulaire spectaculaire, toujours au service du métissage des cultures et d’une réflexion humaniste sur notre avenir commun. d’un rite essentiel et collectif. » Bonlieu scène nationale Annecy
Et moi aussi avec mon collectif moderne !
« Comment faire pour être plus malin que le diable ? »
Qui est une partie de nous tous ! Et qu’on peut faire évoluer, vers la plus belle sublimation possible !
Par la danse... en groupe et c’est ce que j’essaie de faire aussi avec le collectif !
qu’est ce que peut notre corps ? Dans sa liberté ? Dans son désir ? De mouvement, de se reconnecter à nos corps, à nos sentiments, à nos souvenirs !
comme les réponses fusionnées que nous avions su trouvé à trois , les trois derniers danseurs de la soirée sur de la musique post punk quand on va au bout de notre limite sur le fil des pulsions ! interpersonnel, de genre, d'âge, d'ethnies, ... pour former une entité composite puissante, supérieure à la somme des 3 ! tellement nouvelle et prêt à tout
que vous comme danseurs réels ou symboliques, avec nos différences comme apports décisifs … nos origines, notre genre, notre age, notre validité, notre force intérieure . il n’y a plus de norme de la beauté ( proche de aimer tout d’Abramovic ensuite) tout à inventer, non dieux ! essaient de construire ensemble en tenant compte de la réalité des pulsions, et de leur volonté de sublimation ! pour se rebeller contre les dieux, pour protéger les autres, et la nature !
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Autre solution si proche de nous, d’une artiste majeure, Anne Imhof propose aussi des grandes danses de libération par la transe dans ces performances de 4 à 6 h (Sex) sur de la musique et une guitariste électrique en performance . «  une partition originale chargée d'agressivité et de désir qui combine des références classiques avec du punk, de la musique électronique techno et du grunge. elle a également développé de nouvelles chorégraphies qui répondent aux conditions spécifiques de l'espace et de la dynamique entre les interprètes et le public. Une série de nouvelles peintures et objets qui fonctionnent à la fois comme accessoires et sculptures intensifient l'atmosphère mise en mouvement par l'architecture principale de l'exposition : s'éloigner de la lumière, dans l'obscurité, à la recherche d'un autre lever de soleil. »
4.4/ pièces d’intensités que je retrouve chez eux comme solutions possibles: la rencontre de Transtromer (poète). et sur le paysage Bjork (musicienne) Imhof coucher de soleil dans sous sol ! Film avec photos d Ange Leiccia
Comment rentrer en contact avec la nature, de l’océan ? Comment être sensible?
face à la peur de la fin du monde, de la destruction de la nature, de la foret de cèdre et de son gardien comme dans la danse d’Akram Kahn : le chorégraphe propose que les danseurs trouvent une solution collective pour sauver le nouveau paysage ! Je vous propose d être le gardien, la forêt de cèdre , et on n’aura plus envie de la détruire, on va chercher à la préserver, à montrer sa beauté comme avec ces photos de paysages d’océan, …
et à éduquer ceux qui auraient pu devenir les destructeurs par la connaissance et la rencontre profonde à la Transtromer de la nature !
pour répondre à vous qui êtes sensible au paysage , qui nous envoyez des photos de l’océan, toi et ton message écris après ; toi ta photo et ton haiku ; toi et ta vidéo courte de la pointe du Raz (grise courte bruit de tempête ? ), toi et tes photos d’Essaouira, vous qui n’osez pas trop, nous qui avons du mal de parler des paysages, à les sauver , toi qui aimes dis tu la lumière, vous autres
3.4.1/ Anne Imhof et Ange Leccia photographe contemporain, vous qui nous envoyez des photos et des videos de paysage marin
vous deux qui nous envoyez une photo de l’océan : «  Petit partage de cette superbe lumière et magnifique quelle chance ! »
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Merci à toi qui nous envoie une superbe photo. Car c'est si beau et dans mon manque de mot, çà me refait penser au vers que Rimbaud avait dit un peu en désespoir de cause à la fin d’un poème : « l'éternité c'est la mer mêlée au soleil ! »
et tu nous envoies ensuite un message : « j'y vais me ressourcer, quand besoin est ,et la je sais pas j'ai eu envie de partager ce plaisir que j'éprouvais sur le moment avec vous »
Et çà me refait penser à Albert Camus,
“La postérité du soleil
Le matin est radieux; la lumière pique. Renonce à ta visite. Ils peuvent attendre, et non ta joie.”
le paysage est un thème qui m’intéresse aussi, en tant que sans mot , peintre, et aussi photographe
Dans notre projet d'essai collectif, nous essaierons aussi de faire quelque chose de ces si grande beautés ! Car il faut en faire quelque chose, une photo, une vidéo c'est déjà si simple et si formidable! Même les plus grands (Rimbaud sont sans mot) . Donc merci à toi !
ce que propose aussi Anne Imhof dans sa dernière proposition : le paysage de la mer avec le soleil, la personne qu’on aime en performance et en photo devant l’océan
et de faire jouer les variations :
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et là c’est peut être une extrémité du paysage : presque sans lumière, dans le gris comme à l’ombre pointe du Raz à la tombée du jour d’Em
Avec le haïku de B :
juste après la pluie
quelques gouttes de lumière
flambée de soleil
Tes si belles photos d’Essaouira ! toi qui nous dis que le soleil est si important pour toi  ! Voici le lien de l’émission sur France inter /franceinter/podcasts/sous-le-soleil-de-platon/sous-le-soleil-de-platon-du-vendredi-22-juillet-2022-3028922 que tu nous a envoyé et des extraits rapides :
«c'est un astre dans lequel tout le monde se reconnaît, tout le monde sait à quoi ça réfère et ça permet finalement de réunir les gens au sens de la religion, du latin religere.  
On ne peut pas regarder le soleil en face mais il révèle bien des choses : "C'est La Rochefoucauld qui dit que le soleil, c'est ce qui permet de voir les choses, c'est ce qui rend visibles les choses mais en même temps, on ne peut pas le voir, de même que la mort, puisque la mort, ça donne un sens à la vie, mais on n'est pas là pour la voir." L'ambivalence du soleil tient aussi dans le fait qu'il permet la vie, mais peut aussi la reprendre, car comme le rappelle Emma Carenini, le soleil assèche et désertifie, d'où une certaine philosophie de la mesure qu'elle propose à la fin de son ouvrage : "On est toujours entre deux extrêmes : se brûler ou justement ne pas en avoir assez. Ça m'a vraiment inspiré cette philosophie: toujours savoir voyager entre ces deux extrêmes." d'Emma Carini, Le Soleil, Mythes, histoire, et sociétés
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et là c’est peut être une autre extrèmité du paysage ; je repense à la première image d’incendie de foret avec le paysage pas agréable, de destruction du monde mais beau plastiquement !
En fusionnée paradoxale  : Imhof coucher de soleil dans sous sol : dans le noir, la poussière,  !
photos de Ma dans l’obscurité presqu’invisible
çà nous fait avancer dans nos tètes avec une vérité plus complète !
Et çà fascine encore les artistes contemporains :
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« la beauté de Ange Leccia ( qui a choisi comme titre aussi : Avez-vous déjà vu la mer aller avec le soleil ? en photographie  directeur du laboratoire de création du Palais de Tokyo. Il y accueille, dès la première promotion, le tout jeune Apichatpong Weerasethakul (futur Palme d'Or au festival de Cannes).   La lumière y devient un véritable personnage qui s’associe au mutisme des héros pour donner à voir leurs affects et leur psyché. C’est ce jeu constant entre intériorité et extériorité qui s’observe le plus souvent dans les œuvres de Leccia. »
et il parle là de la rencontre de Tranströmer:
3.4.2/comme solution essentielle , Tomas Tranströmer (poète danois prix nobel littérature). Hermann Hesse, Paul Celan (poètes allemands ) Stig Dagerman (poète suèdois)
Pour comprendre la portée de toute rencontre !
Pour vous tous : comme un formidable cadeau ! Pour vous qui êtes sensibles !
Comme formidable moment d’illumination qui change tout !
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« le réel surgit seulement dans le miroir d’une subjectivité qui se métamorphose elle-même. Seules demeurent possibles des situations transitoires, celles où la rencontre instantanée de l’être avec le monde redéfinit toujours les conditions de leur dialogue.  à un moment donné, une rencontre entre l’homme et son environnement a lieu.
Deux vérités s’approchent l’une de l’autre. L’une de l’intérieur / l’autre de l’extérieur / et on a une chance de se voir en leur point de rencontre.
To sandheder nærmer sig hinanden. Den ene indefra / den anden udefra / og vi har en chance for at se hinanden på deres mødested.
dans le faisceau de toutes les perceptions. des situations, dans lesquelles le scintillement des choses un instant nous apparaît »
rencontre entre mon intérieur et l’extérieur pour le paysage dont il parlait. Mais si on l’étend à l’autre, tout le monde... si on étend sa pensée dans tous les sens çà fonctionne) et çà rend très vrai le message de Ch !
texte plus complet : Renaud Ego dans le volume poésie / Gallimard, étude intitulée « Le parti pris des situations de Tomas Tranströmer » :
« En 1926, Werner Heisenberg a défini sous le titre de "Principe d’incertitude" un théorème majeur de la physique quantique : en substance, il expliquait qu’on ne peut connaître simultanément la position et la trajectoire d’une particule ; en effet, pour mesurer la position d’une particule, il faut l’éclairer, et ce faisant, l’énergie même infime dégagée par les photons lumineux modifie sa trajectoire. La portée de ce théorème est immense, car il démontre que l’observation crée la réalité. [...] Ce "flou quantique" - que l’on nommerait mieux, appliqué à la réalité macroscopique, "incertitude mentale" -, Tomas Tranströmer en a l’intuition lorsqu’il se décrit lui-même en 1989, soit à cinquante-huit ans, comme "Un espace de temps / de quelques minutes de long / de cinquante-huit ans de large". [...] Mais il tire aussi les conséquences de cette incertitude : si le réel surgit seulement dans le miroir d’une subjectivité qui se métamorphose elle-même, alors le monde objectif cesse. Seules demeurent possibles des situations transitoires, celles où la rencontre instantanée de l’être avec le monde redéfinit toujours les conditions de leur dialogue. »
Il se produit ainsi sans cesse une « métamorphose dont le poème est la forme », chaque poème exprimant des circonstances précises, forcément instables, dans lesquelles, à un moment donné, une rencontre entre l’homme et son environnement a lieu.
Tranströmer l’affirme fortement : "Deux vérités s’approchent l’une de l’autre. L’une de l’intérieur / l’autre de l’extérieur / et on a une chance de se voir en leur point de rencontre." "Rien n’existe en dehors des positions successives que toute chose occupe dans le faisceau de toutes les perceptions. Il n’y a même plus de "parti pris des choses "possible, seulement un "parti pris des situations" dans lesquelles le scintillement des choses un instant nous apparaît."
Hermann Hesse, dans Siddharta, en 1922: « Il regarda autour de lui, comme s'il voyait le monde pour la première fois. Il était beau le monde ! Il était varié, étrange, énigmatique : là du bleu, ici du jaune, là-bas du vert ; des nuages glissaient dans le ciel, et le fleuve sur la terre, la forêt se hérissait et les montagnes ; tout était beau, tout était plein de mystères et d'enchantements, et au milieu de tout cela, lui, Siddharta, réveillé en route vers lui-même. »
je trouve que çà rejoint aussi le poème de Paul Celan dont voici le début : « tu sais, l’espace est infini, ce qui s’est inscrit dans ton œil.... » !
et je dis ensuite que je peux étendre la rencontre de Transtromer à l’autre, à l’amoureux, à tous le monde, et c’est ce que j’avais fait dans mon premier message whats app ! (dernières parties de l’envoi )
et c’est ce que propose aussi Stig Dagerman, trouvé récemment :
Permettre la rencontre
entre la parole et la beauté,
et qui se prolonge :
tout ce qui donne à ma vie
son merveilleux contenu :
une caresse sur la peau,
une aide au moment critique,
le spectacle du clair de lune
(…)
3.4.3/ l’homme sensible du philosophe Merleau Ponty 
« Maurice Merleau-Ponty a voulu réconcilier l’homme avec la Nature en montrant que c’est en se laissant imprégner par les choses que l’homme accède à la conscience.  » (Bertrand Vergely, les philosophes contemporains)
3.4.4/ et dans Bjork, Joga
pour vous qui aimez la nature profonde
vous à qui on a conseillé d'aller en Islande pour sa nature extrême que l’on peut revoir avec tant de forces instantanément en fermant les yeux
(envoyé sur Whatsapp comme par hasard par toi, à la suite de mon appel)
je retrouve cette rencontre par soi à un moment : du paysage, et de l’autre presque un amoureux idéal qui est le paysage et d’elle qui est aussi le paysage et de leurs liens ! Formidable morceau sur l’urgence aussi ! les paroles la voix et la musique me bouleversent toujours !
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All the accidents that happen / Follow the dot / Coincidence makes sense / Only with you / You don't have to speak / I feel / Emotional landscapes/ They puzzle me / Then the riddle gets solved and you push me up to this ... ... state of emergency ! / is where I want to be/ All that no-one sees / You see/ What's inside of me / Every nerve that hurts you heal/ Deep inside of me / You don't have to speak, I feel / Emotional landscapes / They puzzle me/ Confuse Me /
Tous les accidents qui se produisent / Suit la trace/ La coïncidence n'a de sens / Qu' avec toi / Tu ne dois pas parler / Je le sens / Des paysages émotifs / Ils m'intriguent/ : Alors l'énigme est résolue et tu me pousse à cet / État d'urgence / Comme c'est beau d'être !/ Tous ce que personne ne voit / Tu le vois / Ce qui est à l'intérieur de moi / Chaque nerf blessé tu les guéris / Profondément en moi / Tu ne dois pas parler, je le sens / Paysages émotifs/ Ils m'intriguent / me confondent
3.5/ pièces d’intensités que je retrouve chez eux comme solutions possibles: l’amour et le désir en philosophie ( Platon, Aristote et Spinoza) en arts, imhof , abramovic, au cinéma, Wenders  ; en danse, Millepied
face à la peur de l’amour et du désir,
en plus de la solution de la rencontre profonde de Transtromer : entre mon intérieur et l’extérieur qui est mon amour... vaste sujet
comme réponse à nous tous qui ont eu la chance d’avoir trouvé l'amour !, de le voir, à nous qui en avons souffert aussi bien sur, avec toutes nos diversités de libido (hétéro, homo, lesbienne, bi, ) et vos capacités de transformation et de fusion (déguisement, fete)
à Honoré de Balzac étrange de le trouver là mais oui lisez j’ai été surpris par ses mots qui nous collent trop : Génies éteints dans les larmes,/ cœurs méconnus,/ enfants désavoués,/ proscrits innocents,/ vous tous,/ qui êtes entrés dans la vie par ses déserts,/vous qui partout avec trouvé les visages froids,/ les cœurs fermés, les oreilles closes,/ ne vous plaignez jamais !/ Vous seuls pouvez connaître l'infini de la joie/ au moment où pour vous/ un cœur s'ouvre,/ une oreille vous écoute, un regard vous répond/ Un seul jour efface les mauvais jours... »
arriver à sortir du positif pour l’autre tout en tenant compte de toutes nos complexités est un geste engagé
Transtromer appliqué à l’amour sous toutes ses formes ! : « Deux vérités s’approchent l’une de l’autre. L’une de l’intérieur / l’autre de l’extérieur / et on a une chance de se voir en leur point de rencontre. »
Je me vois en leur point de rencontre comme humain ouvert aux différences, à leurs richesses, à leurs luttes, aux grands écarts mentaux dans la pensée qu’ils permettent vers l’empathie et la joie !
3.5.1/ performance Sex d’ Anne Imhof. Et aussi son amoureuse égérie lesbienne
comme réponse aux jeunes du nouveau millénaire ! Toi qui te bats pour qu’on respecte l’ intersexualité.
Toi qui as une copine qui s’est fait opérer pour enlever sa poitrine, et qui a changé de prénom et qui veut qu’on lui dise « ilelle » !Vous qui connaissez une personne qui est en train de changer de sexe  et qu’il est si heureux, pour la première fois …
vous qui avez choisi des préférences sexuelles différentes :  lesbiennes, homos, bi, + Vous qui nous dites que vous trouvez que la société va très vite dans ses avancées autour du genre et qu’elle vous oblige à progresser ! toi qui prenais des hormones pour avoir une moustache , pour toi qui n’a pas de rapport réel sur Tiktok, malgré tes images hyper-sexualisées !
Imhof : Les particularités de notre époque. Et une nouvelle réponse sur le genre ouvert !
« D’abord, les milléniaux ont beaucoup moins de relations sexuelles que les générations précédentes. Peut-être que d'autres formes d'activité érotique ou de fantasme ou de connexion interpersonnelle ont pris la priorité. Avec la minimisation de la charnalité au profit d'un rituel sans visage.
 Elle a expliqué que le titre Sex fait référence à de nouveaux cadres émergents pour repenser le sexe et l'identité de genre, plutôt que d'avoir des relations sexuelles, de se reproduire. 
Les revendications politiques de l'œuvre sont d’élargir les compréhensions contemporaines du «sexe» et incorporer une gamme de subjectivités non conformes au genre, non binaires et antinormatives!  »
3.5.2/ le désir et l'amour en philosophie : Platon, Aristote et Spinoza.
pour répondre à toi si jeune et qui te demande ce que c'est l'amour. nous qui savons que nous avons du mal avec le désir (et que çà nous mène dans des situations destructrices du reste). toi qui n’a plus confiance. vous qui dites être accro au sexe.  nous qui poussons toujours plus loin l’expérience dans l’amour … pour vous qui êtes rentrés dans l’exigence de l’hyper narcissisme de Tiktok pour les jeunes, et les autres réseaux sociaux de « rencontre », miroirs aux alouettes pour des corps idéaux (en passant par les photos et les corps retouchées) , et la sanction du commentaire, du nombre de followers, de la non acceptation que « tu n’es pas la plus belle ».
« ​Eros: en grec, c'est l'amour passion, celui que l'on rencontre au début d'une relation. C'est l'amour du Banquet de Platon, où l'amour est désir et où le désir est manque. Ce qu'on a pas, ce qu'on est pas, ce dont on manque, nous allons le désirer et l'aimer. Avec de la souffrance cyclique, puisque dès que j'ai quelque chose, je ne le désire plus. Et, notre désir risque alors de se tourner ailleurs, à nouveau vers quelque chose que l'on a pas. au risque de tomber dans l'ennui...
Mais, un couple heureux, ce serait quoi alors ?
​Philia: Ici, nous serons plutôt dans l'amour et le désir de Spinoza et d'Aristote, qui disent en quelque sorte qu'aimer, c'est se réjouir de. pour Spinoza, le désir c'est puissance de jouir et jouissance en puissance.  Ici, point de manque (comme chez Platon avec l’Éros), le désir est au delà du manque, le désir est joie de ce qui est et jouissance de ce qu'on a. c'est jouir et se réjouir de la présence et de l'amour de l'autre.
Finalement, aimer ce qui nous manque, c'est facile et basique. Se réjouir et aimer ce qui est, c'est autrement plus raffiné !". Philippe Blazquez, psy sur son site sur le désir
il y a tant de chemins différents du désir chez l’un et les autres ! Tant qu’on ne blesse pas l’autre, ni soi .
on est soumis au pulsions de vie (d’amour, de joie) et de mort (de destruction) et le désir est infini : il peut nous épuiser, nous détruire : donc savoir qu’il est infini et prendre la réalité pour son désir plutôt que de prendre ses désirs pour la réalité : et étendre çà à tout : aimer tout du présent : son partenaire du moment, son paysage, et aller chercher des choses possibles dans tous les domaines !
Autre point sur le désir : l’oedipe (ou complexe d’oedipe) en psychanalyse (Freud) décrit la situation de l’enfant dans le triangle enfant-mère-père  : il apparait au cours de la phase phallique entre 3 et 5 ans, il est défini comme un désir inconscient d'entretenir un comportement amoureux et voluptueux avec le parent du sexe opposé et celui d’éliminer le parent du même sexe considéré comme rival. Il va s’habituer à être frustré et passer à un autre objet du désir .
3.5.3/ la solution de Wim Wenders dans son film Les ailes du désir (cinéaste allemand)
réponse pour vous qui n’avez pas vu ce film toi qui as du mal à parler des choses importantes, toi pour qui mon ventre est ouvert relié …nous qui sommes romantiques Toi qui n’as pas de souvenir de tendresse de sa part... vous qui n’aimez pas ce film ...
je me rappelle qu'on avait montré à nos amis : les ailes du désir de Wim Wenders sur l'amour et sur la transmission de la beauté ! Et çà marche : elle tombe amoureuse aussi de lui car il a tant besoin d’amour et elle aussi pour d’autres raisons : donc c’est une coïncidence , une rencontre au bon moment où chacun était prêt pour l’autre ! Et leur amour est immense ! Comme nous !
Image 1 : l’ange qui ne connaît pas l’amour dit : « j’aimerai sentir en moi un poids/ qui abolisse l’illimité et m’attache à la Terre. »
Image 2 : la trapéziste avec des ailes (lien avec l’ange qui la reconnaît comme particulière)
Image 3 : ‘qui dans le monde peut dire qu’il a toujours été ensemble avec un autre être ?’
Il est au sol, il tient le fil qui l’assure en cas de chute. Il la suit des yeux et du bout des mains à guetter tous les signes positifs et négatifs (qui peuvent annoncer sa chute !). Il lui permet de s’exprimer dans son art en l’arrêtant dans sa chute avant la mort ! (Comme nous)
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3.5.4/ la solution de Juliette est un homme et Roméo un noir ! De Benjamin Millepied chorégraphe, 2022
comme réponse à toi qui n’ose pas affirmer ta sexualité, à vous qui avez souffert à cause de votre genre , toi qui a choisi un femme ou un homme d’une autre culture
Benjamin Millepied transforme "Roméo et Juliette" en une célébration universelle de l’amour ! Entre les genres, les ethnies , les ages...
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3.5.5/ la solution du couple qui repousse ses limites par la douleur : Marina Abramovic et Ulay
comme réponse à nos préjugés, à vos pratiques intimes de confiance
Marina Abramovic et Ulay éprouvent les limites physiques et psychiques de leur relation dans des performances souvent spectaculaires, comme celle-ci, basée sur la résistance. En 1978, dans Relation in Time, breathing in/ breathing out, ils collent leurs bouches l'une à l'autre, des microphones attachés avec du ruban adhésif près de leurs gorges, respirant, tour à tour, l'air des poumons de l'un l'autre, au point de n'échanger que du gaz carbonique, jusqu'au point de suffocation
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3.6/ pièces d’intensités que je retrouve chez eux comme solutions possibles pour nous ouvrir à tous les autres ! le visage de l’autre du philosophe Emmanuel Levinas . le film de Lars van tries, la performance de Marina Abramovic en 2010, la « femme aiguille » de Kimsooja , artiste sud-coréenne
face à notre peur des autres différents ! Les ethnies, les lgbt, les vieux, les jeunes, les pauvres, les handicapés, ... 
en plus de la solution de la rencontre profonde de Transtromer : entre mon intérieur et l’extérieur qui est l’autre différent... avec tout ce que çà implique de fondamental et d’efficace !... et qui conduit aussi à se mettre à la place de l’autre...
comme réponse à vous qui êtes capables d’acceuillir les autres, les proches et les différents, arriver à sortir du positif pour l’autre. nous qui avons besoin de nous améliorer ! pour la fille qui tremble , pour toi qui me sauve ! jusqu’à tout aimer et que tout fasse partie de notre monde !
Transtromer appliqué sur l’amour de tous  pour moi rapidement  : « Deux vérités s’approchent l’une de l’autre. L’une de l’intérieur / l’autre de l’extérieur / et on a une chance de se voir en leur point de rencontre. »
Entre mon intérieur et l’extérieur qui est l’autre. Les précautions pour ne pas vous effrayez , pour ne pas vous tuez ! Les femmes, les lesbiennes, les hommes, les homos, les trans, les neutres ! les bébés, les jeunes , les vieux ! Les arabes, les noirs, les blancs, les asiatiques, les roms !Les pauvres... Et votre accueil qui va plus loin que dans mes ‘rêves’ les plus fous !
3.6.1/ le visage de l’autre du philosophe Emmanuel Levinas . Le film de Lars van tries. Toi qui me sauve , la fille qui tremble dans mon dos
comme réponses à vous qui avez souffert de l’exclusion … à toi qui aimes le film Melancholia de Lars van tries, moi qui n’aimais pas ses autres films, à vous qui avez envie de découvrir , à ceux qui ne savent pas trop comment entrer en contact avec l’autre , à vous qui connaissez le mythe d’Antigone,
dans toute cette proposition qui tient compte de toutes nos complexité, de nos pulsions et du choix que l’on a d’aimer les autres ou de les détruire, de les ignorer... !: le texte sur « le visage de l’autre » du philosophe Emmanuel Levinas est important . « Le visage est exposé, menacé, comme nous invitant à un acte de violence. En même temps le visage est ce qui nous interdit de tuer. »
Levinas parle bien des deux positions opposés extrêmes en 2 phrases ! Et çà fait avancer la pensée du côté de cet extrême violence pour la première fois, et çà amplifie l’autre proposition qui nous rassure encore plus !
texte complet : « Je pense plutôt que l’accès au visage est d’emblée éthique. Il y a d’abord la droiture même du visage, son expression droite, sans défense. La peau du visage est celle qui reste la plus nue, la plus dénuée. La plus nue, bien que d’une nudité décente. La plus dénuée aussi : il y a dans le visage une pauvreté essentielle. La preuve en est qu’on essaie de masquer cette pauvreté en se donnant des poses, une contenance. Le visage est exposé, menacé, comme nous invitant à un acte de violence. En même temps le visage est ce qui nous interdit de tuer. » Levinas, Éthique et infini, 1981
et c’est l’essai d’ouvrir pour créer de la pensée nouvelle en cherchant autour et entre des intermédiaires possibles (et aussi sur quel type de visage ! Dans quelles situations ! : ethnies, genre, age, handicap, histoire  ) !
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ici leurs regards qui ne se lâchent pas pendant la fin du monde ! Dans une nouvelle fusion obligée pour pas que l’autre s’effondre !
Dans la scène du film Melancolia de Lars van tries, avec Charlotte Gainsbourg, Kirsten Dunst, et l’enfant Cameron Spurr ) deux jeunes femmes et un petit garçon, qui se regardent, se tiennent les mains, prennent soin des autres dans un grand courage, jusqu'à la fin du monde!
Alors que tous les autres ont abandonné !
Encore une fois ces positions extrêmes nous touchent !
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image récupérée en image par image sur la vidéo filmée dans une soirée, sortie du flux et du non vue , couleurs saturées non retouchées.
Et là, il a vu que mon regard ne suit plus (en contraste avec la fête autour) et il a eu pitié de mon visage et c'est aussi la solution possible qu’à trouvé D. il me sauve il m’a vu commencer à perdre raison (que mon regard ne suit plus) et il me sauve, il me voit tomber et il me sauve ! Et je l’ai senti faire et je l’ai écouté j’avais confiance en lui et c’est très émouvant
Et malgré nos différences qui aurait pu le rebuter
on ne se connaissait pas depuis longtemps
et c’est aussi ce qui s’est passé en très étrange ! il y avait une jeune fille dans mon dos, je l’ai sauvée sans même voir son visage. On était dans une grande fatigue, dans la fil d’attente du concert et il s’est mis à pleuvoir d’un coup. Alors on s’est abrité sous une bâche tendue avec ma compagne on était juste abrité. Et il y avait juste derrière moi d’autres personnes (des jeunes femmes mais je ne sais même pas combien, j’ai entendu leurs voix ) . Et comme il pleuvait on s’est tous serré pour mettre tous à l’abri. Mais la personne juste derrière moi , n’a pas pu rentrer en entier. Alors elle s’est serré sans rien dire contre moi ! Et çà m’a surpris : je sentais son corps trempé froid contre moi. Elle s’est serré et là j’ai senti sa chaleur. Et juste après je l’ai senti trembler ! Je n’osais rien faire , ne rien dire , pour ne pas l’effrayer car je voyais qu’elle avait besoin de mon aide pour tenir dans le froid ! Et après je n’ai pas osé me retourné vers elle, ni lui parler.
3.6.2/ la force de l’amour d’Antigone, fille d’ Oedipe Roi
comme réponses à toi qui connais la force de l’amour de la fille pour son père, vous qui avez la force d’aimer vos amis , votre famille, vous qui avez la force de l’amour pour tous les humains !
« En allant vers la mort, Oedipe ouvre un nouvel espace à la vie incarnée par Antigone, sa fille, une femme qui prend le relais et qui fera encore mieux  : elle fera toute sa vie triompher l’amour!
La peste avait envahi le royaume de Thèbes. Mais elle vient de disparaître au moment où Œdipe est reconnu coupable. Le héros prend alors son bâton pour rejoindre le bosquet des Erinyes, déesses chargées de punir les parricides. Antigone, sa fille, l’accompagne et toute la Grèce est secouée d’émotion à la vue de ce vieillard aveugle, en chemin vers l’exil et la mort, accompagné par une touchante jeune fille. Ils s’installent à colonne et sont mendiants. De son côté, Thésée, le roi d’Athènes, voudrait l’arrêter et lui offrir un gîte convenable. Mais le marcheur sollicite simplement un vêtement neuf pour effectuer son grand passage. Au moment venu, il retrouve la vue et descend la marche qui conduit au monde inférieur.
Pendant ce temps, les fils d’Œdipe, Etéocle et Polynice se disputent le pouvoir et finissent par perdre la vie dans un ultime combat fratricide. Seul Etéocle a droit à des funérailles nationales et le corps de Polynice est exposé à la rapacité des bêtes sauvages. Personne n’a le droit de l’enterrer sous peine de mort. Pour Antigone, chez qui le cœur a pris le pas sur la raison, le devoir de l’amour fraternel l’autorise à enfreindre les ordres du roi. Dans la nuit, elle fait une sépulture à son frère. Condamnée à être enterrée vivante, elle préfère se pendre à son voile plutôt que de laisser au roi la responsabilité de sa mort.
C’est ainsi qu’Antigone fit triompher l’amour sur la toute-puissance.
3.6.2/ aimer tout le monde de Marina Abramovic, à toi qui a réussi à me mettre dans cette situation
comme réponse pour vous qui n’osiez pas encore aimer assez, à toi qui dis que ce n’est pas possible , à toi qui a envie d’essayer
c’est voir les deux extrémités sur cet amour de tout le monde ! Car ça permet de voir le chemin à parcourir :
d’un coté, ne pas aimer : le rejet : sous plusieurs formes :
« on ne peut accueillir tout le monde » sous entendu les immigrés, les pauvres du monde entier !
Et le problème des « bourreaux, des agresseurs ».. ! qu’on ne peut pas pardonner ...
et là une artiste qui a subi la guerre de Yougoslavie, avec ses crimes contre l’Humanité (Shébrenivska …) nous dit qu’elle est capable aujourd’hui d’aimer tout le monde !
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Marina Abramovic fait une performance en 2010 au Moma de New York : elle propose de regarder tous les gens en face avec amour ! Connu, et surtout inconnu, avec tout ce que çà ouvre comme possible troublant ! Les inconnus ne sont pas obligés de dire leur identité, leur histoire... elle peut tomber sur un psychopathe, ou sur un criminel de guerre !
Elle propose d'aimer tout le monde !!!
je vous vois en train de la découvrir vous la regardez, la sentez, la toucher, lui parler ! Que fait-elle ?
Marina Abramovic rajoute, va plus loin ! elle a survécu à l'explosion de la Yougoslavie, à son père garde rapproché du maréchal Tito, à la guerre entre serbes et croates qui a été terrible (elle a été qualifié de crime contre l'humanité), et elle a mené des performances, expériences de torture sur son corps pendant des années ! Et là en voulant aller au bout du bout à son extrémité la plus osée, le pas dans le vide, elle propose d'aimer tout le monde, qui est une phrase si simple mais si difficile : elle englobe toutes les choses dans son effort personnel et se dépasse !
elle parle de l'assassin: elle dit oui ! , du nazi: elle dit oui! De ton agresseur elle dit oui ! On peut leur trouver des circonstances qui explique avec leur histoire personnelle (vous de la pjj et toi qui est avocat qu'en pensez vous?) pour moi çà bouge les lignes, pour elle aussi
pour moi c'est la dernière pièce du puzzle qui est si simple, si petite et si générale et qui englobe tout (mais il n'y a rien de plus ! ) elle valide mon projet: elle m'autorise et le prolonge au delà de ma limite impossible !
j'y vois que çà reprend mon idée sur l'amour plus fort !
Et très étrangement c’est une variation assez proche qui a eu lieu dans nos vies réelles, importante pour nous car elle nous a fait bouger dans nos têtes, nous dépasser !
Toi qui me dis que ce soir pour la première fois tu as envie de nous dire que tu nous aimais ! Et que tu me prends dans les bras et que j’essaie juste de te donner ce que tu as besoin car je me dis que ça peut être décisif pour toi ; comme un premier pas. Et après je t’ai vu demander des gros câlins à tes vieux amis présents à la soirée !
et que je nous vois maintenant dans la même position qu’Abramovic qui prend aussi les autres dans ses bras ! je vous vois à sa place et à ma place
elle que j’avais devant moi et qui me parlait en me disant merci mais c’est elle qui m’a ouvert à pouvoir prendre dans mes bras , dire merci à l’autre, accepter que je l’ai aidée
car je n’avais jamais osé le faire avant ! prendre dans mes bras est trop proche trop lié à l’expression de mon amour dans le couple
(et regarder dans les yeux çà va)
mais je l’ai fait car je voulais lui donner quelque chose de fort
je savais qu’elle avait tant souffert à cause des hommes (son mari, le père de sa fille, son père à elle, un ami de la famille qui importune sa fille, d’autres ) qui l’ont trahi...
et donc je vois que pour elle çà a du être un immense effort : de me faire confiance à moi !
je pouvais être, peut etre un moment de sursis, de survie, d’ étape dans son évolution (elle m’avait dit que mon texte l’aider) qui pouvait la faire espérer croire dans le genre homme
je voyais qu’elle appréciait mon dévouement, mon don et la réception de son geste si nouveau pour moi aussi
c’est que je l’avais.... mais j’avais aussi toutes les femmes ! toi , ma fille, ma femme, toutes les filles, les femmes : celles du collectif et celles du monde- qui avez souffert, vous dégoûtées, vous trahies par votre père, vous qui avez connu les coups, ou les insultes au quotidien. l’agression sexuelle... vous qui n’arrivez pas à former un couple, vous qui vous rassurez avec la fidélité de votre merveilleux chien, toutes les femmes victimes du monde : vous qui ne voulez plus suivre l'ordre de la cité, vous qui subissez des mariages arrangés, vous qui détestez tous les hommes, vous qui avez subi le contrôle de la sexualité et du plaisir par l’excision, vous qui êtes victimes de viol de guerre,... je les imaginais toutes qui n’avait pas pu se confier et se donner à l’autre avec confiance .
Lui dire qu’on est des pulsions de vie et de mort, de désir, mais qu’on est capable de sublimer et de ne pas détruire l’autre et d'aller dans le beau sens de l’amour
que je suis une première preuve vivante que c’est possible ! et c’est aussi permettre de construire sa confiance avec tous les hommes de bonne volonté !
Et cette expérience a été aussi une étape pour moi : elle m’a appris à être capable de donner en réel ! c’est ce qu’on pourra faire dans le collectif : par le net ou en réel...
J'essaie de t'aider profondément : dans des échanges intenses avec une grande place à l'écoute de l'autre !
je suis capable de te regarder, de te prendre les mains, de te serre dans mes bras. je te respecte
c’est accueillir l'autre, avec ses différences, ses forces, ses faiblesses, et on le met en valeur : ses beautés, ses luttes, ses problèmes sans solution on essaie de s'y coller: et on s'y met à plusieurs pour aider
Herman Hesse, Siddhartha, 1988
La tendresse
est plus forte
que la dureté,
l'eau
est plus forte
que le rocher,
l'amour
est plus fort
que la violence.
3.6.3/ comme extension possible en se déplaçant partout dans le monde : la « femme aiguille » de Kimsooja , artiste sud-coréenne
réponse pour nous qui avons besoin de nous occuper du monde mais on ne sait pas trop. et comme réponse pour accompagner votre démarche d’ouverture
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« Sur plus de 10 ans, Kimsooja se fige, debout, au milieu de la rue, face à la foule. Avec ce geste répété dans 15 métropoles du monde entier, la « femme aiguille » renverse la notion traditionnelle de l'artiste activiste en prônant le « non-faire » héroïque comme un acte manifeste. »
je la vois et elle se pose entre les autres et les autres passent à côté d’elle , ou s’arrêtent, la regarde, se moque d’elle , lui parle,...
peut être qu’elle les arrête dans leur course folle sans pensée.
Et elle fait çà c’est sa puissance dans le monde directement :
elle pousse la pensée vers plusieurs extrémités sur aimer les autres différents:
elle aborde dans les pays pauvres, les problèmes du monde de la pauvreté par rapport à la richesse, du manque de nourriture et d’eau, qui poussent les gens à s’exiler... chez nous qui ne pouvons pas accueillir toute la misère du monde … point de blocage à l’accueil de l’autre
elle aborde aussi dans les pays riches, et elle prise comme une intrus, elle est asiatique, elle fait partie de la misère du monde ? Elle est souvent rejetée ! point de blocage à l’accueil de l’autre encore
elle vient d’une zone en conflit, coupé en deux qu’elle ne peut pas réparer et elle essaie de relier les zones en conflit ailleurs partout dans le monde (religieux, ethniques, économiques, climatiques). Elle vient de Corée, pays coupé en deux en , sans espoir de réunion à cause de l’état dictatorial complètement figé de la Corée du nord. elle n’a pas eu l’autorisation d’y aller bien sur .
c’est la musique du premier envoi : de You have to make a new love de Bjork qui me revient encore plus fort! Faire encore une évolution à notre amour : aimer tout le monde, les autres, du collectif et du monde entier, de partout ! Tous les paysages ! tout !
(presque tout car je ne peux pas finalement même aujourd’hui aimer les bourreaux)
4/ Comme solution possible : mon premier envoi du premier matin !
À ma grande surprise car je ne pensais pas en parler là !
Transtromer nous a dit : « Deux vérités s’approchent l’une de l’autre. L’une de l’intérieur / l’autre de l’extérieur / et on a une chance de se voir en leur point de rencontre. »
mon premier texte posté sur whatsapp, écrit en état d’apesanteur au lendemain du premier envoi ! aussi avec mon texte au réveil du premier jour : sur le visage de l’autre dans la nature, tout confondu, tout lié, tout participant et cette impression de n’être plus seul ! (mais que j’avais écrit avant de concevoir cet envoi 3, comme une intuition fulgurante sans raison, presque somatique, presque sans réfléchir, à la limite de la nuit, et dont je vois un peu plus peut être avec tout ce que je viens de mettre dans cet envoi 3 aujourd’hui ? ) avec écrire permet de penser comment s’en sortir !, les textes de Transtromer sur la rencontre et Bjork sur l’imbrication des choses, voir le paysage, se voir dedans, s’y trouver, et y voir son amour (elle son amoureux aussi)! Et de chercher vos visages et de les tenir comme le plus précieux qui existe (Levinas) et de ne pas quitter du regard pour ne pas abandonner (lars van tries) , d’aimer tout le monde d’Abramovic : çà parle d’aimer tous les membres du collectif, çà parle de moi, de vous, tous avec Ma aussi et de tous les autres, et aussi comme l’ange qui tient la fille pour pas qu’elle tombe  (wenders)! et du monde (avec vos paysages) et proche de Kimsooja (paysage avec gens du monde et elle) ! mais j’avais écrit sans connaître tout çà explicitement !!!
c’est aussi ce que je trouve après : c’est « tenir compte des extrémités et une fusion de ce qui semble incompatibles » d’Anne Imhof : la nature et les humains, le collectif, les humains avec leurs différences de genre, d’ethnie, d’age, d’histoire , l'espoir et le désespoir, la douleur et la joie, et finalement la vie et la mort.
c’est une tentative d’avancée dans le vide.
Image : raimbow swamp d’ Elo Sarasvati
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alors que j’ai peur de ne pas réussir ce projet, que j’ai très mal dormi, entre espoir fou et désenchantement complet qui ferait si mal, qui me ferai perdre un de mes trois sens de l’existence !
whatsapp : Ce matin je me réveille à peine et c‘est étrange : quelle joie nouvelle, j’ai l’impression d’être dans ce paysage merveilleux , presque irréel, et je ne bouge pas pour ne pas déranger le paysage ! Et je me rends compte que j’entends le chant des oiseaux de l’aube (car c’est l’aube dans la réalité, ici dehors la fenêtre est ouverte) . Et je sais que vous êtes là ! Et en cherchant encore je vous vois tous avec vos visages et vos attitudes si différents je vous reconnais tout de suite ; et je vois que vous êtes déguisés en transparent !!! c’est incroyable et très beau ! , on ne voit que vos contours ! , je vois par exemple le paysage à travers vous !
Et nous essayons de ne rien déranger par nos mouvements, nous nous regardons émerveillés : les uns par les autres et par la nature autour et à travers nous !
Je m’entends marcher avec toi dans l’eau, en essayant de ne rien déranger .
c’est comme si dans ce paysage si beau je ne suis plus seul mais nous sommes ensemble et nous en faisons partie ! j’essaie de rester le plus longtemps pour profiter de cette euphorie ... et çà continue en écrivant sur un papier ce qui est là et en écrivant les choses s’amplifient, prennent de la réalité, tout en s’ouvrant à de nouvelles possibilités ! je n’avais pas prévu d’écrire et d’envoyer une photo...  sur whataspp je voulais juste laisser l’espace pour que vous vous exprimiez ! Et réagir à vos impulsions... mais je suis content de m’être octroyé ce droit à la rêverie ce matin : avec vous... pour vous ! Pour aussi le monde ! Et avec le monde ! comme çà à l’aube (et c’est que c’est un moment particulier nouveau pour moi dont Di et JS m’avaient parlé (je dors beaucoup mais là je suis levé bien avant Ma, elle dort profondément) j’improvise aussi sur comment utiliser whatsapp pour en faire un endroit de liberté, où tout est possible pour vous et aussi pour moi ! Donc soyons fou. Je prends tous les risques Moi qui ne me rappelle pas de mes rêves , face à la mort, la douleur, au désespoir... je suis bien obligé de m’autoriser quelque chose avec cette rêverie à fond !!!
« et on a une chance de se voir en leur point de rencontre » Transtromer ! : je me rencontre à l’endroit de cette rencontre ! en tant qu’humain essayant de vivre comme pour la première fois avec la nature, le collectif , le monde ! Et aimer tout comme un fou
et bien après je trouve ce poème de Fernando Pessoa (poète argentin) : « pour me trouver je dois me chercher parmi les fleurs les oiseaux les champs et les villes dans les actes et les mots des humains … »
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ryder616 · 3 years
Text
As They Were
One year ago today, the Zephyr 1 was trapped in the coolest temporal anomaly since the Enterprise D kept blowing up due to déjà vu overload. Annihilation grew closer with each iteration of the time loop and only Daisy and Coulson could remember the events from one loop to the next. People got hurt, fell in love and died, a lot. And, somehow, it was hilarious. Until it wasn't.
Daisy watched her friends die - been there, done that, still sucks - died at least 15 times herself, smelled Deke's cologne, was scolded for her unfamiliarity with vinyl, investigated murder with her surrogate dad (or the surrogate of her surrogate dad at this point) and shared in his existential crisis. She also applied her collaborative philosophy (100 people with 1% of the solution, that will get it done) involving the entire team to solve the problem - and when she took charge nobody threw a fit about imaginary hard-assery or unheld elections, bonus! 😈😁- sorted out her feelings for Sousa and afforded Enoch the opportunity to choose his grim fate, which he did heroically.
Coulson watched his friends die, investigated a murder with Daisy, lost a timed race with a door and went through a belated existential crisis. He also had to explain what was going on more than twice as many times as he had died in his lives - what a pain in the ass (😂) - had a minor generational clash, and discovered that his Chronicom-upgraded LMD hardware didn't even begin to match up to Enoch's in a fight. We never saw him complain to the manufacturer(s), but he totally should have.
Enoch found a murder app on his hard drive but the uninstall procedure was borked and nobody had bothered to include a IFF protocol or something. He managed to repeatedly best Quake, Slingshot, The Cavalry, a superpowered android and the Master of the Shotgun-Axe because Plot™, but none of us cared because it was hilarious (actuallyididcaredanditbothersme). Then he was told that everyone was going to cease to exist if he didn't give away his heart Electrochron Displacement Mechanism (that was totally irreplaceable because androids and time travel are no issue, but spare parts are hard) and he did it without a second thought, before launching into one hell of a monologue. Attarobot. Other than Noah, he was the only Chronicom with brain cells. And a bigger EDM heart than all of them combined.
Simmons died at least twice, played synchronized word search with Daisy, went through brain surgery which [was] absolutely not, just removing a little implant, so easy (😂), and was overwhelmed by the memory of her time-displaced family.
Mack was blinded twice, made a snarky comment about the expected level of his inner peace with the Zephyr tumbling down to its doom and gave Enoch his "I'm the guy who kills Gordon" look. Enoch was not impressed.
Elena was stuck on the Quinjet, until they finally got her out so Enoch could beat her up, too (good reflexes, that Enoch chap, heh?).
May was...there. She gave worried looks. She gave puzzled looks. Then got beat up alongside everyone else and inquired about Deke's health, step one for the best team joke since they role-played Scooby Doo in the corridors of the Lighthouse.
Deke watched his grandma die, his cologne elicited gag reflexes, was briefly suspected of murder, died at least once becoming a punchline and his dramatic entrances were repeatedly undercut by his crush stealing his lines. Said crush was also falling for another guy, and without any citrus fruits involved. So, ouch.
Sousa slept next to Daisy, followed Daisy, fretted over Daisy, brainstormed with Daisy, supported Daisy, died for Daisy, was fazed by Daisy and told her with heart eyes what an amazing gal she is while looking extremely chivalrous in his blue shirt. They also kissed, and it was sweet, and nice, and very polite, and he didn't remember, but she did. The USS Dousy had officially sailed and there was no sinking this ship.
Finally, a fake anarchist and bona fide douchebag in a trashy long coat appeared for the tag scene and the entire fandom screamed bloody murder.
It had been the best of times and now it was the absolute worst™.
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britonell · 4 years
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For @inukag-week​ 2020!
A short and sweet follow-up to Hermit’s Haven, and this time Inuyasha encounters a different kind of visitor...
Rated T for Inuyasha’s swearing.
Hermit’s Dilemma
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Inuyasha stared at the cub, trying to ignore the distinct sense of déjà vu.
The Ezo brown bears were pretty common around these parts, at least enough to be a minor nuisance during deer hunting season, but they were almost always adult males. The only time he had come this close to a cub was when he had followed the village fishermen to the waterfalls and a female and her cubs had joined their group, apparently using the men’s presence to shake off a hostile male bear. This time there was no mama bear, just a lone cub.
Said bear cub sat on his furry little haunches, peering up at the dog-eared man.
Wasn’t this the same place where he first spotted Hachi?
More importantly, what the hell was a bear cub doing all on his own, and so damn close to his house? Shouldn’t this scrawny little guy be in a cozy den with his mother, dozing off until spring? 
Inuyasha looked around once more, ears flicking back. Nope, no other bears nearby. Perhaps the mother had gone out to scavenge for acorns one last time and had been struck by a vehicle, or wandered into some other residential area and met the business end of a rifle.
Well fuck-a-doodle-doo.
That was how Inuyasha found himself crossing the icy bridge with a bear cub in his arms, making his way to—
Wait a minute, there’s no way the dogs would stay calm if he showed up with a squirming bear cub. Maybe he could hand him off to Miroku, that guy probably knew more about bears. Crap, was it even legal to bring a bear cub indoors? His residence was technically a shelter, would his non-profit get in trouble? It’s not like he was going to keep the cub. He should head to the agricultural school ASAP, there had to be staff members with experience in handling wild animals.
He froze mid-step and the curious cub glanced up at him.
Shit, shit, shit, he couldn’t go to the school now, Kagome was picking up her mother and grandfather from the airport and she had made him promise, multiple times, that he would be in the village to greet them when they arrived.
He would stay put, he had assured her. He knew how important this was for her, considering she hadn’t gone back to Tokyo for Christmas. He wasn’t gonna disappear like a coward. Not like he cared if city folks visited his village. It’s not like they were the same people that drove him and his mother out of their old apartment. It wasn’t a problem.
Really.
The bear cub let loose a shrill squeal and Inuyasha nearly flung the cub up into the air before stopping himself. Instead, he held the cub in front of him like a ticking bomb.
Did he need milk? Could bears drink cow milk? Maybe he was cold. Did he need to put him in his jacket? Maybe the cub was scared. Should he swaddle him? Kagome did say he had a knack for swaddling the dogs. The chihuahuas usually liked it. And once the bear quieted down he could hide him in a spare room until morning. Right, this would work. Absolutely. Totally.
Mind made up, he went up to Miroku’s house and slid the kitchen window open.
“Yo, keep an eye on the dogs, will ya?” Inuyasha shouted, making sure to keep the bear out of sight. If what he was doing was against the law, he wasn’t going to drag anyone else into legal trouble.
Miroku poked his head into the hallway. “Gotcha! And for goodness’s sake, use the front door.”
“Yeah, yeah,” Inuyasha grumbled. They both knew that wasn’t going to happen. Miroku could just as easily install a lock on the old window, but Inuyasha had a feeling he never would. Miroku had been insistent on not altering the original design of the house.
That was...nice.
“Hi Inuyasha!” Sango called from somewhere down the hall. “We made yakidango earlier. Do you want some?”
“Uh...maybe later. Thanks.” Inuyasha gingerly closed the window and stepped back.
Yeah. That was nice too. The elderly villagers used to offer him food. They were being neighborly, or so they claimed.
Not that Sango was a neighbor. Yet. He knew she was looking at a couple of houses. That fox demon from the agricultural school, Shippo, was probably going to move in soon.
The bear squealed again, prompting Inuyasha to quicken his pace.
Kagome’s front door was unlocked, as usual. He had told her to start locking the door but no one here really worried about security, what with him and all the dogs running around. She had at least promised to lock the door...after making a key for him.
Fuck, he was not blushing at the thought.
He stomped into the living room and rummaged through her dresser until he pulled out a fluffy pink blanket.
Wrap the blanket around like this, tuck the paws in here, rub his head like so, pat his tummy to soothe him, and voila. Inuyasha examined his handiwork with a satisfied grin, which wilted a little at the realization that he was too adept at this.
The bear peeked up over the edge of the blanket and eyed him, as if waiting for something. Inuyasha hoped he wasn’t expecting a lullaby. Then again, Kagome did say music can calm down dogs in stressful situations.
He reached for Kagome’s iPad and scrolled for a while. Hmm, this would do.
Kuma Sanbiki
He sat down cross-legged on the floor and held the bear burrito close to his chest, mumbling the same lyrics that he used to sing with his mother.
Kuma sanbiki issho ni sunde,
Papa kuma, mama kuma, akachan kuma—
“Eep!”
Inuyasha froze and slowly looked up. Kagome was doubled over, shoulders trembling, hands covering her face. He would’ve thought she was in pain if he didn’t catch a delighted giggle. A woman who was clearly her mother stood by the entrance, one hand resting on a suitcase and the other over her heart, watching the bundle in his arms with dewy eyes.
“What’s all this then?” An elderly man walked in, kicking his shoes off in a huff. “Don’t just stand there, we need to—young man, you’re holding the baby wrong.”
Inuyasha could do nothing but sit still and watch the elderly man saunter up to him.
“Now see here, if you want to calm a young one—that’s a bear.”
“What?” the woman, henceforth known as Mama Higurashi in his head, said.
“A bear?” Kagome chortled, her face still red.
Busted.
“Err…” Three sets of eyes were on him. “I found a bear cub,” he finally confessed.
Word got out pretty quickly, mainly because Kagome ran out to get Miroku’s expensive camera equipment “for that money shot,” and both Miroku and Sango came over to greet the guests as well as take a look at the bear cub.
“I can’t believe you swaddled a bear!” Kagome giggled, hours after the fact.
“Bear cub,” Inuyasha corrected, his forehead firmly planted on his kotatsu. It had been decided that Sango would watch the cub for the night and bring the bear to the school in the morning, because apparently the school’s resident bear expert was her uncle.
Stupid, Inuyasha thought. Stupid, stupid, stupid, he should’ve just brought the cub to Sango in the first place. Stupid.
“I can’t wait to get those pictures on my laptop.”
He lifted his head to glare at her. “So you can laugh at me some more?”
“I wasn’t laughing at you!”
“Uh-huh.”
She scooted over to snuggle up to him, ignoring his sputtering protests and unflattering comparisons to Pen-Pen. “I was losing it because it was too adorable for my little ol’ heart. You’re gonna make a girl faint with your paternal instincts.”
He tried really, really hard not to let her words, or the way she was twirling his forelock, affect him. “Yeah, sure. OK.”
“But you know,” she said with a coy smile. “I do have a confession.”
Inuyasha glanced at her suspiciously.
“I would’ve preferred seeing you holding a baby. My baby.”
He didn’t remember much after that because his brain short-circuited and he went on autopilot.
(Kagome inwardly cursed. Asking Miroku on how to confess like a wrecking ball had not been one of her best ideas.)
The bombshells didn’t end there, though. The next morning, after joining the Higurashi family for breakfast, he was helping Mama Higurashi wash the dishes when she nonchalantly proved just how much her daughter took after her.
“You should’ve joined us for dinner last night. Grandpa and I had a question and Kagome had no idea what the answer was.”
“Oh,” was Inuyasha’s reply.
“I’m sure it’s something my daughter has been wondering about for a while.”
“Ah.” Not freaking out, Inuyasha mentally repeated over and over again. 
“And, I must admit, I would like to know as well. This is a good time to ask, don’t you think? No need to be modest when you answer.”
“Umm…” Sirens blared in his head.
“Which do you prefer,” she said airily, “small weddings or big weddings?”
~*~
AN: The Higurashi women sure love to drop bombshells. Inuyasha’s soul temporarily left the mortal plane of existence. He’ll be fine.
For the children’s song I had to decide between what Inuyasha ultimately chose or this one: Mori no Kuma-san. I’m more familiar with the latter but I figured the song about the bear family was more appropriate for the situation.
Also, Inuyasha waiting for Kagome is essentially the Patrick waiting for SpongeBob scene. Oh Inuyasha, you poor, hopeless puppy.
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utauh-elora · 3 years
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Complément spécifique au projet personnel motivé pour un DN MADE
J’aime être libre, toute forme d’art se lie à la liberté c’est pour ça que je l’aime.
L’art me fait vivre.
Sans lui je ne serais pas ce que je suis aujourd’hui. C’est la seule façon pour moi de traduire mes émotions.
Le plus souvent je m’évade dans le dessin sur papier et dans la peinture sur toile.
Mon monde touche à tout type d’univers comme le réalisme, la fantaisie, l’animation, la nature et bien d’autres car comme je l’ai dit plus haut, j’aime le sentiment de liberté.  J’essaie de diversifier les médiums en touchant un peu à tout ce que mes aptitudes me permettent de déployer comme la peinture acrylique, la gouache, la tablette graphique, les feutres à alcool, les crayons graphites (2H, HB, 2B, 4B), les pastels secs, mais aussi plus largement les paillettes, tissus, stylos à encre noire et crayons de couleur.
En termes de culture générale, j’ai une préférence pour l’histoire sous toutes ses formes, cela me procure enthousiasme et curiosité. Ce que j’apprécie le plus ce sont les significations et l’évolution de l’Homme dans ce monde. Je m’intéresse personnellement à la mythologie grecque et romaine mais aussi à la période de la renaissance et du moyen-âge. La culture française et celle de nos pays voisins tels que l’Espagne, l’Italie, le Royaume-Uni mais aussi le continent asiatique, m’intéresse énormément, car ce sont des coutumes et des traditions différentes très influentes sur mon mode de vie. Lire des romans (Gilles Legardinier, Anne et Serge Golon…), des bandes dessinées (Tintin, Locke and key…) ou bien regarder tout type d’animations télévisées comme ‘’Les zinzins de l’espace’’, ‘’Oggy et les cafards’’ ou encore ‘’Scooby-Doo’’ sont sources d’inspiration pour moi. Je porte beaucoup d’attention aux courtes vidéos d’animations humoristiques créées par des Youtubeurs au nom de ‘’Colas Bim’’, ‘’DEO Toons’’, ‘’LELAY’’ ainsi que ‘’Steve Cutts’’. Quelques films Pixar, m’inspirent particulièrement. (Ex : ‘’Monstre & et Cie’’ réalisé par Pete Docter, ‘’Le joueur d’échecs’’ court métrage de Jan Pinkava, et bien d’autres encore).
En ce qui concerne mes productions, je passe le plus clair de mon temps à m’entrainer sous différents styles de dessin, pour améliorer et approfondir mon travail. Pour moi un style de dessin, c’est une façon d’apprendre à se connaitre, apprendre à regarder plus en détail ce qui nous entoure mais aussi à se démarquer des autres artistes. Je me suis de même consacrée à un projet personnel nouveau dont j’ai eu l’idée et qui consiste à reproduire, d’après une description (prise sur internet), une lignée de démons. J’ai déjà réalisé deux dessins qui m’ont permis de connaitre plus en détails certains passages de diverses mythologies et de la construction du monde d’aujourd’hui.
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mercredi15h37 · 4 years
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84
Je suis back en région si vous aviez pas suivi
je vis dans une grande maison avec de grandes fenêtres plein de grandes fenêtres et j'apprivoise mes peurs le noir et les fantômes surtout
Quand je rentre à la noirceur  et que je dois passer le petit sentier  sous les arbres dans ma cour j’ai souvent une petite envie  de courir je me retiens au cas où les voisins me regardent
je n’ai pas peur de la solitude j’aime bien ma vie solo je danse en bobettes dans la cuisine Mais des fois je suis lasse de me parler toute seule parler à voix haute ne change rien
Instagram est ma fenêtre  sur le monde un lieu où j’existe en société
Depuis deux semaines mon check engine est allumé  j’ai roulé 3 heures Québec-Tadoussac  avec un point dans l’estomac et tous les matins la même histoire encore un point
je m’adapte à la région au moins je connais quelqu’un qui a l’ordi qui lit le problème de ce tas de tôle
y’a deux semaines, je savais même pas que le check engine se branchait sur un ordi
C’est jeudi et j’ai du steam à laisser lousse Je bois mes fonds de bouteille en pleurant devant Next in Fashion 
je veux porter le linge de Minju je veux être Minju sorry, je suis nichée but not that much
Souvent quand je vais à l’épicerie dans les journées de grand froid je vois les autos qui tournent encore retour aux années 80
je me demande si je vais flancher et faire comme tout le monde ou si mon éco-anxiété qui vraiment  devrait se nommer réalisme  va garder le dessus 
-
J’aurais pu publier ce texte-là il y a deux semaines mais je ne savais pas comment le terminer
Le check engine maintenant éteint semblerait que le système de mon auto est trop pauvre Ça me prenait pas un check engine pour m’apprendre que le système était trop pauvre
pauvre d’humanité pauvre d’air pur pauvre d’amour
parlons du 1 %  n’est-ce pas
Le check engine maintenant éteint et j’ai repris la marche la 138  la track de ski-doo monter la côte est moins pire que ce que je pensais
J’ai sorti la grosse Irène mon char bleu pour aller à Québec check engine toujours éteint
je roule plus vite que la limite de vitesse en écoutant du Everclear So Much for the Afterglow comme si j’étais encore  en secondaire 4  pis qu’il n’y avait pas de lendemain
---
J’aurais pu publier ce texte-là il y a un mois  mais le corona est arrivé chez nous
Étrange dans ce moment de confinement  il me semble que  l’amour l’air pur  et l’humanité  se refont des stocks
ben dans certains milieux 
Finis les allers retours Tadoussac-Québec maintenant je passe ma vie dans un seul lieu ma vie se loge au 611 rue des Peupliers
matin midi soir semaines et  fins de semaine
ma maison mon bureau mon bar  mon restaurant mon gym (des fois) 
Y’a des jours où je fais des marches dans mon quartier Je me dis que c’est mieux de vivre ma pandémie ici que dans les rue endeuillées de Québec ou Montréal privées de la vie qui les rend si belles
Ici le temps était déjà lent, calme c’était la période d’hibernation  maintenant on se sent  comme dans une matinée où le soleil tarde à se lever où les plans seront cancellés par cause de pluie
Honnêtement  je ne sais toujours pas comment finir ce texte mais je ne suis pas la seule il semble que rien n’ait de fin  ces temps-ci
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lignes2frappe · 4 years
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RETOUR SUR LES 25 MEILLEURES MIXTAPES DES ANNÉES 10
Le dossier d'une génération...
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Dans les années 90, une mixtape c’était une cassette audio vendue plus ou moins à la sauvette sur laquelle étaient compilés freestyles, remix et morceaux déjà connus par un DJ avide de faire étalage de ses talents derrière les platines – très souvent DJ Clue, mais aussi Kid Capri, Doo Wop ou Ron G.
Au début des années 2000, sous l’impulsion de 50 Cent et DJ Whoo Kid une mixtape c’était un CD au livret et à la pochette de seconde main sur lequel un rappeur reprenait les instrus les plus en vogue du moment en espérant choper un max de buzz.
Puis quand dans la foulée internet et le format digital sont montés en puissance (via notamment l’apparition de blogs ou de sites dédiés comme DatPiff.com ou LiveMixtapes.com), les mixtapes se sont muées en objets promotionnels à part entière distribués de manière totalement gratuite, cf. Lil Wayne/DJ Drama.
Si jusque-là tout se tient, dans les années 10 les Drake, Future, Young Thug & Co. ont compliqué les choses en multipliant les projets étiquetés comme mixtape quand bien même leurs contenus étaient inédits de A à Z, disponibles uniquement à l’achat, voire carrément enregistrés sous l’égide d’une major.
Conséquence de cette évolution : bien malin qui aujourd’hui peut donner une définition claire et précise de ce qu’est une mixtape et de ce qui la différencie fondamentalement d’un album.
Histoire de ne pas trop se prendre la tête donc, la sélection ci-dessous se compose des sorties que les artistes eux-mêmes considèrent comme étant des mixtapes.
K.R.I.T. Wuz Here de Big K.R.I.T. en 2010
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Si vous vous demandiez pourquoi Big K.R.I.T. était considéré comme l’un des grands espoirs de la scène sudiste au début de la décennie, sa sixième mixtape sortie deux ans avant son tout premier album constitue la meilleure réponse.
Recueil d’anciens titres et d’inédits, elle concentre le meilleur de ses talents de rimeur et de ses qualités de producteur.
Dommage qu’il n’ait pas rencontré par la suite un succès commercial plus conséquent.
Earl d’Earl Sweatshirt en 2010
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Tout juste débarqué au sein du crew Odd Future et bénéficiant des productions du maître des lieux Tyler, the Creator, c’est peu dire que l’ami Earl, 16 ans à peine, a époustouflé ses pairs et la critique.
Fun et décomplexé, ce premier projet long d’à peine 30 minutes s’écoute hier comme aujourd’hui auréolé d’un parfum de culte.
Kush & Orange Juice de Wiz Khalifa en 2010
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Avant See You Again et Amber Rose, Wiz Khalifa était ce rappeur skinny-skinny qui balançait des bangers à la chaîne sans demander son reste (Mesmerize, Up, In The Cut, Visions...).
Tout comme ses fans de la première heure, on est d’ailleurs parfaitement en droit de regretter cette époque.
Sinon, et ça n’a rien à voir, la cover rend hommage au dernier album solo de David Ruffin, le chanteur du groupe r&b les Temptation décédé en 1991.
T.R.U. REALigion de 2 Chainz en 2011
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Pas forcément des plus à l’aise avec le format album, c’est grâce à cette mixtape que l’ex-Tity Boi a réellement pu amorcer sa seconde partie de carrière du côté du mainstream.
Rien de bien original au menu toutefois puisque T.R.U. REALigion (un titre client d’œil à la marque de jeans préférée du game en 2011) se résume à empiler les couplets et refrains faisant l’apologie du dieu dollar.
Fort heureusement, Chainz n’a jamais été aussi drôle et énergique.
Live.Love.A$AP d’A$AP Rocky en 2011
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Le cloud, Rick Owens, Tumblr, la codéine... qui a dit que LLA était l’une des mixtape les plus influentes de toute l’histoire du rap ?
Non contente d’avoir servi de tremplin à l’A$AP Mob, en revitalisant un New York moribond à coup de sonorités sudistes elle a mis au placard ce dogme longtemps considéré comme indéboulonnable qui voulait que l’on rappe selon sa géographie.
Ça et puis aussi le fait qu’elle a permis à Rocky et ses frères de signer un deal à 3 millions de dollars.
Rich Forever de Rick Ross en 2012
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Le problème des mixtapes grand cru, c’est qu’en terme de qualité certaines concurrencent allègrement les albums qu’elles sont censées annoncer... quand elles ne les surpassent pas.
Cas d’école ici avec cette « mise en bouche » dixit l'intro qui met largement la pâtée au pas fou God Forgives, I Don't sorti quelques mois plus tard.
En même temps c’est comme si Rozay avait tout fait pour, lui qui a garni la tracklist de morceaux qui comptent parmi les meilleurs de sa carrière (Rich Forever, Stay Schemin, Triple Beam Dreams...).
Back From the Dead de Chief Keef en 2012
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Date clef dans l’avènement de la drill et de la scène chicagoane, BFTD initie le run de celui à qui le rap des années 10, et en particulier le rap français, doit tant.
Héritier direct de Waka Flocka Flame, le duo adolescent qu’il forme avec Young Chop (qui pour le coup s’inscrit dans la lignée de Lex Luger) donne lui aussi dans le vacarme permanent, non sans enrichir la recette d’un soupçon de musicalité.
Oh, et c’est sur cette tape que l’iconique I Don’t Like featuring Lil Reese a été entendu la première fois.
1999 de Joey Bada$$ en 2012
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Du haut de ses 17 ans, avec 1999 la tête de gondole du collectif Progressive Era s’est vu d’un coup d’un seul intronisé sauveur en chef du rap newyorkais old school.
Flow millésimé nineties et productions signées MF Doom, Lord Finesse et J Dilla en renfort, il n’a en effet pas laissé un nostalgique de boom bap indifférent.
Et peu importe qu’il n’est pas ensuite devenu la star que ces derniers espéraient, sa musique passe elle l’épreuve du temps.
Crenshaw de Nipsey Hussle en 2013
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Impossible de ne pas mentionner dans ce top, non pas la meilleure mixtape du regretté Nipsey (trop de déchets), mais assurément l’un des meilleurs moves business de la décennie.
Vendu au prix de 100 dollars et limité à 1 000 exemplaires, Crenshaw lui a rapporté l’air de rien 100 000 dollars en quelques jours.
Pas mal pour un emcee qui rappe à plein temps les joies de la débrouille et de l’oseille.
Trap God 2 de Gucci Mane en 2013
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Pas fondamentalement différente de ses travaux précédents (les Burrrprint (2) HD, Mr. Zone 6, Trap Back et autres I’m Up), cette suite de Trap God est peut-être le dernier témoignage de la grande époque de Gucci Mane.
Bon point, la tracklist est remplie jusqu’à ras bord avec 23 pistes et des tonnes de feats quatre étoiles (Waka Flocka Flame, Young Scooter, Wiz Khalifa, Lil Wayne...).
Kilt II de IamSu en 2013
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En bonne position sur la liste de rappeurs qui mériteraient plus d’exposition, IamSu peut aussi se vanter d’être un des mecs les plus cools du game, quelque part entre Snoop et le Kanye West des premiers jours.
Playlist estivale, Kilt II enchaîne à ce titre les douceurs (Father God, Hipster Girls, Float...) dans le plus grand fun sans pour autant tomber dans le piège de la superficialité.
Acid Rap de Chance The Rapper en 2013
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Le jour où Chance The Rapper est devenu Chance The Rapper.
Loué à l’unanimité pour son ambition et sa prise de risque, ce melting-pot jazz/rock/gospel/house ne se contente cependant pas de frayer avec les chemins de l’expérimentation : il créé un genre à lui tout seul.
Après, comme avec son Coloring Book trois ans plus tard, on apprécie ou pas, mais il faut être sacrément de mauvaise fois pour nier la qualité de la démarche.
Young Rich Niggas des Migos en 2013
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Cascades de flow en triolet, twerk à gogo et dabs en veux-tu en voilà, c’est peu dire qu’en 2013 Takeoff, Quavo et Offset ont mis le feu dans les clubs et les caisses avec leurs hymnes Versace, Bando et Hannah Montana.
Rien que pour ça, ils méritent d’être surnommés le plus sérieusement du monde les Beatles du rap.
Days Before Rodeo de Travi$ Scott en 2014
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Pour ceux qui auraient complètement zappé le début des années 10, voici le parfait pot-pourri de ce qui se faisait.
En chemin vers le statut de superstar, si Scott s’en donne à cœur joie question curation et clichés sur la drogue et les putes, il n’en oublie pas de se montrer conquérant à la production – le très cathédral Don’t Play, mais pas que.
« Straight up ! »
Monster de Future en 2014
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Pour sa treizième mixtape en quatre ans, Nayvadius DeMun Wilburn parvient finalement à mettre tout le monde d’accord.
Plus discipliné dans son flow, il enflamme les productions du triumvirat Metro Boomin'/Southside/TM88 qui grâce à lui n’ont jamais sonné aussi incisives et puissantes – cf. les bangers Fuck Up Some Commas, Codeine Crazy ou Gangland.
D’aucuns décerneront d’ailleurs à Monster la médaille d’or de la discographie de Future.
Rich Gang: Tha Tour Pt. 1 du Rich Gang en 2014
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Gloire doit être rendue à Birdman pour avoir soufflé l’idée aux bébés Gucci Mane Rich Homie Quan et Young Thug de former un trio avec lui, quand bien même sur le papier l’idée n’allait absolument pas de soi.
Bien leur en a pris puisque leur alchimie est de tout instant tandis que London on da Track brille de mille feux à la production.
Ah si seulement l’aventure n’avait pas été de si courte durée...
Casino Life 2: Brown Bag Legend de French Montana en 2015
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Pas franchement habitué à figurer dans les tops et classements de fin d‘année, Karim Kahrbouch n’est sur le papier clairement pas le plus excitant des rappeurs. Impossible toutefois de lui nier un flair bien à lui pour dégoter des hits lui permettant de rester dans le coup.
Illustration avec cette suite de La Vie de Casino qui convie la crème de la scène US (Rick Ross, Travis Scott, Quavo...) pour poser sur les blockbusters Off the Rip, Moses, Gangsta, etc.
If You’re Reading This It’s Too Late de Drake en 2015
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Après le doublé gagnant Take Care/Nothing Was The Same, le Champagne Papi s’offre une parenthèse avec ce 17 titres sorti un peu à la surprise générale une nuit de février.
Beaucoup plus rappée et moins facile d’accès, il n’en consacre pas moins sa domination sans pareil sur ses pairs avant qu’il ne retouche le sol.
Car oui IYRTITL était son dernier vrai bon projet...
Barter 6 de Young Thug en 2015
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Le Jeune Bandit canalise enfin son énergie sur la durée.
Sa voix distordue, ses lyrics absurdes, son flow qui tire dans les aigus et l’excentricité de ses ad-libs sont ainsi mis au service de morceaux plus structurés. C’est moins délirant soit, mais c’est efficace (Check, Constantly Hating, Halftime...).
Largement de quoi faire accepter de débourser le prix d’un album sur iTunes donc.
Suffolk County de Cousin Stizz en 2015
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Cousin Stizz c’est l’histoire un mec qui rappe à moitié endormi sur des instrus que l’on croirait extraites de la bande originale d’un film d’anticipation et qui voit son single Shoutout joué sans qu’il n’ait rien demandé à l’anniversaire de Drake.
Plus 12 millions d’écoutes sur Soundcloud plus tard, force est de reconnaître l’oreille du 6 God et tout le talent de l’intéressé (alias le « Fresh Prince ») pour pondre des refrains des plus entraînants.
All Or Nothing: Live It Up de Lloyd Banks en 2016
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Pas des plus productifs en ce qui concerne la sortie d’albums, le Droopy du G-Unit carbure question mixtapes.
De retour avec DJ Drama trois ans après un premier volume remarqué, il prouve une nouvelle fois sa valeur casquette des Yankee vissée sur la tête.
Ravis, puristes et nostalgiques ne peuvent néanmoins s’empêcher de s‘imaginer une réalité alternative où Banks a accompli la carrière qui aurait dû être la sienne.
Day69 de 6ix9ine en 2018
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Hein ? Décriée toute part pour son côté répétitif et monotone, la musique de Daniel Hernandez peut se targuer d’un point fort et d’un seul sur lequel tout le monde s’accorde : son degré d’agressivité.
Sans trop vouloir jouer à l’avocat du diable et sans trop prêter attention aux paroles, sur 27 minutes ça passe (à peu près).
Et puis bon, l’ultra banger GUMMO fait toujours son effet, d’autant plus qu’il est assorti des plaisirs coupables Kooda ou Keke.
Drip Harder de Gunna & Lil Baby en 2018
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Un duo presque trio (le beatmaker Turbo est crédité sur huit des treize pistes) qui se tire en permanence la bourre dans l’alchimie la plus totale.
Grand fans de Young Thug, Gunna et Lil Baby ont reçu le compliment ultime lorsque ce même Thugger a déclaré à leur propos : « Je suis le plus grand fan de Lil Wayne du monde, mais en aucune façon Carter V ne sera pas aussi fort que Harder. »
Fever de Megan Thee Stallion en 2019
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Étoile en devenir de l’année 2019, Hot Girl Meg n’est pas juste bonne à voler la vedette à ses confrères masculins lorsqu’elle pose en feat avec eux : en solo le tarif est le même.
Autoproclamée « number one pimp » sur le morceau Money Good, son rap en a entre les jambes.
Assez pour aller jouer dans la même division que Cardi et Nicki ? Fever tendrait à prouver que oui...
AI YoungBoy 2 de YoungBoy Never Broke Again en 2019
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Comme le tweetait récemment Meek Mill, Kentrell DeSean Gaulden est différent.
Toujours aussi consistant du haut de ses 19 ans, quand il n’est pas derrière les barreaux le petit de Boosie Badazz et Kevin Gates sait allier les contraires comme peu, qu’il s’agisse de parler de gangstérisme sur des refrains flirtant avec la pop  ou de laisser aller sa vulnérabilité en balançant un maximum de « bicth » et de « pussy ».
Publié sur Booska-p.com le 2 janvier 2020.
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beatlesonline-blog · 1 year
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borderloune · 6 years
Note
Je vois que tu t’ennuies alors je peux te poser une question qui te prendra du temps (que j’ai vu et que je reproduis) : 100 choses que tu voudrais faire pour 2019 ?
J’espère que tu lira tout, j’ai mis 1h17 pour tout faire... alors, les 100 choses que je voudrais faire avant 2019:
1)Aller à un concert d’Oldelaf
2)Mettre une poutre dans la gueule de G
3)Adopter un lama
4)Finir bourrée
5)Dire à M combien je l’aime 
6)Faire une soirée film barbie-pizza avec A
7)Revoir au moins une fois C 
8)Revoir au moins une fois F
9)Maigrir
10)Beaucoup maigrir
11)Beaucoup, beaucoup maigrir
12)Me raser la tête
13)Ou bien me faire une coupe de “garçon”
14)Me teindre les cheveux d’une couleur “extravagante”
15)Revivre une nuit d’éternité avec O
16)Lire dans les pensées
17)Faire le tour du monde
18)Oublier qui je suis le temps d’une journée
19)Parler couramment allemand
20)Voir @my-dream-you  
21)Voir @fissuredanslecoeur encore
22)Voir @mufffiin
23)Voir @jsuisok
24)Voir @taperjusquaencrever
25)Que @unemerveille aille bien
26)Reparler à Agathe
27)Reparler à M
28)Voir toutes les personnes d’ici, faire une rencontre où on se verrait tous et où on parlait chacun de nous
29)Rencontrer Louis de Funes
30)Savoir jouer au piano le boogie woogie
31)La voir, la prendre dans mes bras, l’aimer, la sauver
32)Refaire de la gravure
33)Fuir ce monde avec @my-dream-you
34)Observer les étoiles dans un calme plat 
35)Prendre le train
36)Oublier le temps d’une journée/nuit la vie et tout mes problèmes
37)Lire
38)Beaucoup lire
39)Beaucoup, beaucoup lire
40)Regarder des films
41)Regarder des séries
42)Voir la fin de Orange is the new black
43)Voir tout les films dans lesquels Louis de Funes a joué
44)Essayer d’avoir tout ses films en DVD
45)Ecrire des lettres à un peu tout le monde
46)Arrêter de l’aimer, pitié qu’il sorte enfin de ma tête
47)Sauver le monde
48)Mais sauver le monde de quoi?
49)Faire fuir toutes les personnes que j’aime de ma vie
50)Faire en sorte que le plus de gens possible me haïssent
51)Lire tout les livres qui sont dans ma bibliothèque
52)Ecouter tous les CD que j’ai
53)Virer définitivement toutes les personnes qui ne font plus partis de ma vie
54)Adopter un blobfish
55)Me faire un tatouage(je sais déjà lequel)
56)Changer de corps
57)Rencontrer Scooby-doo
58)Rester moche
59)Pardons, rester degueulasse
60)Sauver tout le monde
61)Rester seule
62)Marcher sur le soleil
63)Faire une longue marche de plusieurs heures à travers des plaines
64)Arrêter le temps
65)M’évader de ma vie
66)Faire taire ces voix qui hurlent
67)Faire pleins de puzzles
68)Marcher des heures avec de la musique dans les oreilles
69)Remettre les idées en place dans ma tête
70)Découvrir pleins de nouvelles musiques
71)Découvrir pleins de nouveaux artistes
72)Dire à tout le monde d’aller se faire foutre
73)Ecrire
74)Beaucoup écrire
75)beaucoup, beaucoup écrire
76)Me peindre le visage avec plusieurs couleurs
77)Me balader dans les transports et dans Paris avec “Bonjour” écris sur le visage(je l’ai déjà fais mais je veux recommencer)
78)Perdre du poid
79)Perdre beaucoup de poid
80)Perdre beaucoup, beaucoup de poid
81)Oublier mon passé, mon présent et mon avenir quelques instants
82)Boire un chocolat chaud avec Florence Foresti
83)Rencontrer les inconnus
84)Faire des câlins gratuit aux gens dans la rue
85)Créer une secte
86)Aller au zoo
87)Couper toute la graisse qu’il y a sur moi
88)Me regarder dans la glace et me dire au moins une fois “je suis belle”
89)Peindre les arbres en multicolor
90)Voir K, au moins une fois, la prendre dans mes bras
91)Me perdre dans le ciel de la nuit et la lumière de la lune
92)Voir une aurore boréale
93)Faire une CDPH
94)Finir les textes des prénoms
95)Savoir où j’en suis avec D
96)Ne pas réaliser tout ce qu’il y a avant le numéro 96, car c’est impossible
97)Ne rien faire du tout
98)Mourir
99)Mourir (pour vérifier que je suis bien morte la première fois)
100)Aller en enfer
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journal-de-meteo · 3 years
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Dimanche 31 janvier
Lorsqu’elle pensa d’une autre façon à lui, elle se dit qu’il était possible d’aimer tout en laissant le coeur de côté. Parfois on aime avec le ventre.
Un dimanche fucking ensoleillé au parc Saint-Viateur. Patins, amies, suit-ski-doo 80s, enfants qui tombent sur la glace. On se demande pourquoi un enfant qui tombe au sol, ça semble être moins douloureux qu’un adulte. ‘’Un domino qui tombe ça fait beaucoup moins de bruit qu’un immeuble, genre’’. Rapport masse/gravité, I guess. En secondaire 4 y’a fallu que je reprenne mon examen de science de fin d’année en cours d’été. 
J’ai le goût de parler du fait que j’ai vu A. mercredi passé, alors que ça faisait 1 an que l’on s’était pas vu, mais je ne sais pas comment bring ça sans que ça fasse Monster Truck. Parce que si y’a bien une façon comment je me sens dernièrement, c’est Monster Truck. Criff que c’est tout ce que j’attends. Des back-flips, de la pyrotechnie pis des cris enivrants. Qu’on varge pour écraser tous les résidus d’amour perdu qui traînent. 
Ça ou un show d’Evel Knievel. 
Monster Truck C. invite A. chez elle parce qu’elle désire ressentir ce qui semble être possible entre deux humains qui s’apprécie relativement : un moment de tendresse charnelle. Monster Truck C. souhaite aussi atténuer ses pensées déprimantes liées à J. Celles où désespoir et angoisse convergent pour former de nouveaux sentiments de culpabilité qui, malheureusement, alimente la sensation de solitude. Si je n’ai pas un corps pressé contre le mien, suis-je vraiment là. Hmm. Rapport masse/masse, I guess. 
Tumblr media
Nous nous sommes vu et évidemment tout était une valse que l’on connaissait déjà par coeur. Ce dont j’avais besoin. A. habite maintenant avec sa copine. A. me dit qu’il était nerveux parce qu’il avait peur que je le trouve laid, maintenant. Pourtant, je considère encore A. comme l’un des hommes de ma vie, mais ça ne me fait pas de peine. Beaucoup de personnes sont les hommes-femmes de ma vie. Il y a certaine personne avec qui l’espace qui se situe entre nos deux entités semble infiniment petit à la place d’infiniment grand. Quand je vois A., l’air entre nos deux corps est viable. Je réussis à me retrouver chez quelqu’un. Ce n’est pas avec tout le monde que l’on se retrouve. Ça me parait rare. Criff, t’imagines se retrouver en tout le monde? Genre, en Jean Chrétien? Pas l’fun.
Monster Truck C. 
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