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#contenporain
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manufactoriel · 3 years
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London, by Liz Johnson Artur
#lizjohnsonartur #art #contemporaryart #photography
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source : @cheminer-poesie-cressant
la vie est un combat qui prend la forme d’une paix ; les fleurs le savent si bien, elles qui du haut de leur légèreté arrivent à percer le néant pour fleurir, elles qui le réduisent un instant sans craindre l’effondrement inéluctable
© Pierre Cressant
(dimanche 20 mars 2022)
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valou-piano · 7 years
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Morceau de paino composé et interprété par Valou Titre du morceau : Cher souvenir
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qhuay-atlast · 5 years
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The Hitman's Guide, Tome 1 : The Hitman's Guide to Making Friends and Finding Love — Alice Winters
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What happens when a snarky hitman and a by-the-book PI cross paths? Leland Being a hitman has its perks, but I never thought getting an accidental mooning by an attractive PI while he’s caught on a fence would be one of them. While it’s not exactly love at first sight, he’s captured my interest and won’t let go. Suddenly, I find myself caught in a game of cat and mouse, determined to attract the attention of Jackson, the PI who should be my enemy. He pretends like he’s not flattered by my flowers and the mentions of my totally-not-fictitious blow-up doll Randy (or was it Dandy?), but I know better. Why else would he be teaming up with me to bring down Hardek, one of the city’s most ruthless criminals? Jackson Even though the cops are telling me that the hitman is a notorious contract killer, I can’t help but admit that I’m drawn to him. He’s funny, charismatic, and attractive. There’s no way this ridiculous man can be the person the cops are after. But when Leland ends up at my doorstep injured, I’m faced with a tough choice. It’s my duty to hand him over to law enforcement, but my heart has other plans. I want to keep him. To protect him. To be with him. Though one question remains: why in the world does the man have so many d*mn guns? Contains: shenanigans on a swing that you would NOT find at a playground, a car chase that sadly doesn't have flips or explosions, a horsey ride sans horse, cuddles, an exuberant mutt, a suspicious chief of police, and lots and lots of laughs.
De Alice Winters publié en juillet 2019 en Auto-Edition [ Amazon ] 343 pages.
Je ne sais pas pourquoi, j’ai toujours pensé qu’Alice Winters était auteur de Dark romance (Je ne sais pas d’où je tiens ça) alors c’est tout naturellment que je l’ai zappée des auteurs que je pourrais potentiellement lire. Jusuq’à ce que je vois partout son nom revenir avec cet titre qui semblait faire l’unanimité chez les lecteurs. Avec un peu de recherche et des recommandations de ma copine Sam du blog sur l’étagère derrière la sirène en plastique que je me suis dit que peut être je pourrais essayer.
Et qu’est-ce que j’ai bien fait ! Ce livre est juste excellent ! Et me rappelle tellement le délire qu’on trouve chez TJ Klune.
Ici c’est l’histoire de Leland, un tueur à gage ultra entraîné et efficace qui un jour, lors d’une mission de surveillance, il tombe complètement amoureux des...fesses de Jackson (Oui, vous avez bien lu !).
Pendant que Leland surveillait  sa prochaine cible, il voit arriver Jackson, qui est de son côté un ancien militaire reconverti en détective privé. La première chose que Leland voit de Jackson sont ses fesses quand Jackson tente d’escalader un muret ! Le coup de foudre est immédiat et Leland n’hésite pas à lui laisser un petit mot sur sa voiture pour lui dire à quel point il a apprécié la vue.
Ce début donne complètement le ton du livre qui va enchaîner fou-rire sur fou-rire. Il est magnifique.
Leland vient d’un autre univers, il est complètement dingue. C’est un un orphelin qui a été ballotté d’une famille d’accueil à une autre avant d’atterrir chez celui qui va le former pour devenir le tueur qu’il est devenu. Il n’a absolument aucune notion sociale, ne connait rien aux relations humaines mais décide que Jackson est l’amour de sa vie et qu’il doit le reconquérir. Là, vous pouvez commencer à avoir pitié de Jackson.
S’ensuit une histoire de dingue, blindée d’humour et de rire mais aussi de moments extrêmement touchants. Leland aussi rigolo soit-il cache derrière cette façade un coeur meurtri et avide d’amour.
Et Leland n’aurait pas pu être l’excellent personnage qu’il est sans Jackson pour donner la réplique. Ces deux-là ont donné à ce livre un identité folle et une fois le livre fermé, on a le smile à avoir mal aux joues.
Une superbe lecture pour moi. J’attends le tome 2 avec une grand impatience et je suis super contente d’avoir découvert cette auteur.
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variation-magazine · 4 years
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Tribute to David Bailey
C’est le photographe emblématique du swinging London, la BO en images des sixties version britannique
Celui qui fut la star incontestée du magazine "Vogue" et accessoirement l’époux de Catherine Deneuve, en témoin privilégié, a côtoyé les principales personnalités à Londres, Paris et New York, de  Mick Jagger à Bardot, de  Visconti à Andy Warhol. Egalement cinéaste, peintre et sculpteur, D.B reste l'une des figures marquantes de l'art contenporain du XXè siècle. Il est aussi connu pour avoir inspiré au réalisateur Michelangelo Antonioni le personnage de Thomas le photographe pour son film Blow-Up. Rien que ça ! il découvre la photographie pendant son service militaire dans la Royal Air Force en Malaisie, en 1956, grâce à des clichés d’ Henri Cartier-Bresson. Tout va très pour lui et à l'âge de vingt-deux ans, le voilà sous contrat avec le British Vogue, ainsi que, tout en restant indépendant, du Daily Express, du Sunday Times, du Daily Telegraph, de Elle, ou de Glamour
Énorme ! Hommage
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Le Centre Pompidou musée d'art contemporain, inauguré le 31 janvier 1977. Lors de sa construction il a été critiqué par les parisiens qui le comparaient à une “raffinerie de pétrole” (à Centre Pompidou)
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“Les Contenporaines, la Belle Otéro" illustration de Cappiello dans Le Rire (1898) à l'exposition “Danseuses” au Centre Charles Péguy, Orléans, mai 2019.
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billharzfrederic · 4 years
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Le samedi 26 septembre à 18 heures, je vous propose un concert en direct par le biais des plateformes suivantes : Youtube, Facebook, Twitter et Twitch. Je chanterai autant des morceaux classiques que contenporains. Vous pourrez intéragir via un chat comme si vous étiez présents. Si cela n'est pas encore fait, abonnez-vous notamment à ma chaîne Youtube ;-) Je me réjouis... On Saturday September 26 at 6 p.m., I offer a live concert through the following platforms: Youtube, Facebook, Twitter and Twitch. I will sing both classical and contemporary songs. You will be able to interact via a chat as if you were present. If this has not yet been done, please subscribe to my Youtube channel ;-) I am looking forward ... (à Geneva, Switzerland) https://www.instagram.com/p/CFHn9bPpVCh/?igshid=xhl3fwwijc2s
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moosa26-blog · 4 years
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réputé = deemed, noted = تعتبر
lors = when, that time
le littérature = literature
contenporaine = contemporary = معاصر
décédé = deceased = متوفى
j’avais = I had
l’envie = desire
écrit = writing = كتابه
depuis = since
la parution = publication
édition = edition
limité = limited
l’auteur = author
raconter = to tell
l’instituteur = teacher
le début = the beginning
au dépourvu = off guard = غير مستعد
consacré = consecrated = مكرس
la pêche = fishing
en plein dans = right in
au fil = over
quadragénaire = forties
l’évasion = evasion, escape
protagoniste = protagonist = بطل الروايه
les paysages = landscapes
captiver = to captivate = يسحر
par le biais = through
personnage = character
bourré de = stuffed with
l’instar de = like
la veuve = the widow
les cours = lessons
le pauvre = the poor
carcasse = carcass = الذبيحه
le choc = shock
la jeunesse = youth
la vieillesse = old age
urbain = urban
passionnant = exciting
bucolique = bucolic = ريفي
néanmoins = however
environné de = surounded by
familiers = familiar
chasser = to hunt
les lacs = lakes
les rivières = rivers
pêcher = to fish
simplement = simply
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en montant les escaliers, je suis tombé sur le soleil couchant qui rayonnait en haut des marches, rendant alors mon élan moins sûr ; bouche de métro accueillant là, de la plus belle des manières, deux mouvements contraires, mon pas ascendant à la rencontre de la lumière orangée descendante ; la complexité de la circulation des lumières dans les villes est un royaume illimité
© Pierre Cressant
(samedi 2 juillet 2011)
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l'angélus qui sonne la répétition pour la déclarer ensuite disparition ; la répétition qui la prépare superbement ; de ce moment, je voulais prolonger la chute dans l'invisible, cette déclaration de l’évanouissement du son à la lumière, sa dissolution dans son corps, la porte entrouverte, une clé sur son seuil, vers l'éternité
© Pierre Cressant
(dimanche 5 juin 2011)
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l'eau pour entourer la terre, l'isoler, créer le désir d'une île
l'eau pour rendre sonore la terre, enterrer à jamais l'immobile
la musique qui en découle et qui semble devenir précise, petit effritement en douceur, petit effondrement le long des lignes, le victorieux qui n'a jamais été aussi humble
© Pierre Cressant
(jeudi 7 avril 2011)
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source : @cheminer-poesie-cressant​
une île qui ferme l'isolement de la prochaine, qui s’approprie son ombre, qui joue de son empreinte - une île qui signale sa voisine de toute sa présence, une île qui établit son écho jusque dans le coeur labyrinthe des autres ; une île qui radicalise les suivantes, des îles qui peuvent dans le temps que l'on a choisi de retenir, s'assembler les unes aux autres (reconstituer l'idéale terre) ; architecture de l'insulaire, fragment du peu à peu, qui emprunte une structure toute musicale
© Pierre Cressant
(lundi 20 février 2011)
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la cathédrale portait en elle toute la lumière de cette fin de journée ; du jardin elle semblait alors éclairer la promenade dominicale des pèlerins d’outre-pays, petites ombres grises ou noires au pied du colosse de pierres pâles dont l'éparpillement et la densité ne variaient pas ; tout autour le soleil disparu, ne laissant que son plus beau souvenir, halo de pierres claires
© Pierre Cressant
(dimanche 12 décembre 2010)
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source : @cheminer-poesie-cressant​
le froid est si perçant ce matin que l'on y distingue presque par endroit l’ossature du jour s’imprimer par résonance dans l’invisible déchiré ; sa contamination qui s’est étendue peu à peu à toutes les lignes de lumière ; et dans ce froid si perçant c’est tout son squelette qui pourrait bien se briser
© Pierre Cressant
(vendredi 26 novembre 2010)
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