Tumgik
#c'est le dernier qui a parle qui a raison
rollinginthedeep-swan · 2 months
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En ajout au texte important de @crococookie juste ici
Je voulais reblog et poster à la suite mais mon texte est vraiment trop long.
Poster ça, ça m'angoisse énormément. J'ai toujours peur qu'on m'interprète de travers. J'ai donc hésité longuement mais j'ai envie de rebloguer parce que même si j'ai pas été diag de troubles dys liés à la lecture et l'écriture (ce qui ne veut pas dire que je n'en ai pas, l'errance médicale, tout ça) je suis terriblement étourdie. Et si je me décide à l'écrire, c'est parce que l'an dernier, une personne a osé me demander de me relire et de corriger mes fautes, sur un paragraphe que j'ai écris rapidement en étant au téléphone un jour où j'étais sollicitée toutes les deux minutes. Avec les troubles qui me sont propres, mon vécu et j'en passe, j'ai mis du temps à me réconcilier avec l'orthographe et la grammaire. Le scolaire ne m'a pas aidé (du tout).
C'est le RP qui l'a fait.
Attention, il n'y a aucune agressivité dans ce poste (je pense que maintenant vous avez assez pigé mon mood de meuf pacifiste qui lève le drapeau blanc et veut qu'une chose : LA PAIX BORDEL.) , je partage juste mon expérience et mes conseils sur le sujet des fautes et du rapport à L'orthographe dans la commu RP. C'est aussi un petit appel à la bienveillance et à une direction vers un comportement plus chill envers vos partenaires qui font des fautes.
L'autre raison qui me pousse à poster, c'est parce qu'à la minute où j'écris je n'arrête pas de me relire. Et ça montre bien que je suis encore marquée par mes débuts dans la sphère du RP.
J'aimerais beaucoup vous dire que c'est exclusivement grâce à la bienveillance d’autrui, mais ce serait mentir. En quinze ans et surtout au début, j'ai eu le droit à des commentaires assez (trop) désagréables. C'est la capacité des autres à ne rien laisser passer qui a heurté ma confiance en moi et qui m'a donné l'impulsion de ne plus leur donner aucuns prétextes pour me reprendre. Et vous savez, je ne leur en veux même pas, à ces personnes. Je leur pardonne même assez facilement et je suis persuadée qu'iels ne sont pas tous-tes malveillant-e-s. L'humain est plus complexe que ça.
Ce qui m'a poussé à ne plus vouloir faire de fautes, c'est mon foutu caractère et ma tendance à vouloir contredire les personnes qui ne laissent rien passer. (Parfois ça peut être un problème, d'autre, un vrai coup de pied aux fesses pour faire face aux détracteurs. Et là, notez toujours qu'on parle de mon expérience personnelle avec mon profil à moi. Je ne parle pas pour tout le monde. Pitié, ne demandez pas à une personne dys de 'faire un effort', c'est validiste et grossier. Et si vous avez du mal, on a beaucoup de personnes concernées qui sont là pour donner des sources et aider à comprendre.)
Je fais encore des fautes d'étourderie aujourd'hui. Je vous raconte pas le nombre de fois où j'édite des postes parce que j'ai vu une boulette d'étourderie. (Rien que ce matin j'ai dû éditer un petit poste d'intrigue parce que j'ai réalisé que j'avais oublié un fuc$$ng mot pour que ma phrase fasse sens.) Y a un truc que je peux conseiller pour les gens maniaques de l'orthographe (dont je fais partie, faut pas croire) : S'il-vous-plaît (vraiment, je demande gentiment) attendez qu'on vous demande ? (En supposant que ça puisse arriver.) C'est frustrant et même blessant. Et si on vous demande : Ne pas jouer les profs avec des formules telles que : 'Ceci ne s'écrit pas comme ça, mais comme ci'. Vous partez ainsi du principe qu'on ne sait pas. Et même si c'est le cas, n'oubliez pas que les troubles dys existent et que vous ne connaissez ni la personne ni son vécu. Derrière l'écran, c'est toujours un être humain.
J'rp par exemple avec une personne Dys qui me pond les textes les plus élaborés et qui passe un temps fou à se relire. Chaque profil est différent. N'oubliez pas qu'on est aussi souvent crevé-e-s de nos semaines et que même s'il y a des gens qui pondent des textes sans fautes hyper facilement, c'est pas le cas de tout le monde et derrière, on peut se retrouver à être nombreux-ses à complexer, à vouloir poster des trucs parfaits parce qu'on a encore le souvenirs de ces remarques qu'on ne veut plus affronter. Même si derrière, on a les partenaires les plus adorables et les moins regardants de la sphère. Ça peut gâcher le plaisir d'écrire, alors que le RP est un loisir. Pas un job. On ne va pas publier nos écrits, on le fait pour se changer les idées et s'amuser. Un rappel constant de nos étourderie ne va rien arranger, ça ne va rien changer. Même si vous pensez sincèrement bien faire, et quand c'est le cas - parce qu'on ne peut pas espérer que ça le sera toujours malheureusement - merci de vouloir aider, même si c'est maladroitement. (Mais écoutez les conseils svp)
Bref, restons indulgent-e-s et humain-e-s, on a une passion commune vraiment géniale. <3
Si vous avez tout lu, merci d'avoir pris le temps pour ce pavé qui complète un poste à lire absolument !
Des bises,
Swan (qui va lutter contre l'envie de relire et éditer ce texte pour la cinquantième fois.)
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equipe · 3 months
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Message d'une partie des membres transgenres de Tumblr et Automattic
Il nous tient à cœur que les personnes trans, et plus largement LGBTQ+, se sentent intégrées et accueillies avec bienveillance ici même. En tant que personnes trans travaillant chez Tumblr et Automattic, nous voulons avoir le sentiment que cette plateforme nous soutient pleinement et défend notre intégrité. Votre présence contribue à rendre Tumblr plus radieux et plus éclatant que jamais, et les personnes LGBTQ+ qui participent en interne à son fonctionnement se battent au quotidien pour y contribuer, et pour vous.
Le 20 février dernier, Matt Mullenweg (PDG d'Automattic, société mère de Tumblr) a répondu à la question posée par une utilisatrice au sujet de la suspension d'un compte, et ce, d'une manière qui a eu un retentissement négatif auprès de la communauté LGBTQ+ de Tumblr. Nous estimons que la réponse de Matt ainsi que ses commentaires suivants étaient malvenus et préjudiciables. Les équipes Tumblr ont pour principe de ne pas commenter les décisions liées à la modération, et ce, pour diverses raisons, incluant notamment le respect de la confidentialité des personnes impliquées et également d'un point de vue pragmatique considérant le volume de signalements quotidiens (plusieurs milliers). Le mauvais côté de ne jamais commenter la modération effectuée par notre équipe Trust & Safety, c'est qu'il est aisé de colporter des rumeurs et des informations infondées à leur au sujet, sans pouvoir y répondre.
Cela étant dit, nous tenions à clarifier certains points relatifs à l'incident qui se trouve être à l'origine de notre prise de parole :
L'explication derrière la suspension du compte de predstrogen n'est pas fidèle à la réalité, et a laissé penser que l'intention première de Tumblr était de trouver là une opportunité de bannir des personnes trans féminines de nos plateformes. Ce n'est pas le cas. L'exemple donné dans la question que nous vous partagions plus haut ne correspond pas à une définition réaliste de ce que nous considérons comme une menace de violence, et il ne s'agit pas d'un critère décisif ayant conduit à la suspension de ce compte.
Par la suite, Matt n'a malheureusement pas su prendre la mesure de la blessure ressentie par la communauté au regard de cette suspension. Non, Matt ne parle pas au nom des personnes LGBTQ+ qui travaillent chez Tumblr et Automattic, et nous n'avons pas été consultés dans l'optique de formuler notre réponse à cette décision de suspension.
L'an passé, certains labels communautaires "Adulte" et "Thèmes sexuels" ont pu être malencontreusement apposés aux billets de certains utilisateurs. Une équipe contractuelle externe et chargée d'attribuer les labels communautaires fût responsable de cette tendance à étiqueter de manière injustifiée des contenus trans. Lorsque notre propre équipe Trust & Safety a découvert ce comportement problématique (largement signalé par la communauté, encore merci !), nous avons immédiatement retiré à cette équipe externe la possibilité d'apposer des labels communautaires, et avons renforcé notre vigilance afin d'éviter que cela ne se reproduise. Dans le billet que nous avions rédigé à l'époque, les membres LGBTQ+ de l'équipe souhaitaient faire preuve de davantage de transparence sans que cela soit accepté par la direction. La raison évoquée pour mettre fin à notre contrat avec l'équipe externe n'était pas directement liée à cet incident et lui avait été attribuée à tort. Nous sommes profondément navrés que cette attribution malveillante et inconsidérée de labels ait pu avoir lieu, et avons été attristés de l'impact négatif que cet incident a pu avoir sur la communauté trans de Tumblr.
Les différentes étapes dans la transition d'une personne trans n'enfreignent pas nos Règles communautaires, et n'ont pas constitué un facteur décisionnaire justifiant d'une suspension de compte pour notre équipe de modération, ni lors des demandes d'appel ultérieures. Aucune action n'est menée à l'encontre de contenus relatifs aux phases de transition ou aux corps des personnes trans, à moins que ces derniers n'enfreignent directement nos Règles communautaires.
En ce qui concerne les expériences négatives vécues par les personnes trans sur Tumblr, que ce soit en constatant la présence de contenus transphobes ou en interagissant avec des utilisateurs à l'ouverture d'esprit limitée à leur propre nombril, nous comprenons et partageons votre frustration. Nos Politiques, qu'elles aient été rédigées par Tumblr ou Automattic, sont établies pour garantir la liberté de pensée et d'expression. Et, bien que nous interdisions le harcèlement tel qu'il est défini dans nos Règles communautaires, nous savons par ailleurs que ces dernières ne protègent pas les utilisateurs contre propos insultants souvent utilisés à l'encontre des personnes LGBTQ+ ou considérées comme marginales dans nos sociétés.
Pour tenter de progresser dans la bonne direction, Tumblr souhaite prendre les mesures suivantes :
Prioriser les fonctionnalités anti-harcèlement qui permettront aux utilisateurs de se protéger plus efficacement contre de tels préjudices.
Établir davantage d'outils internes afin que nos équipes puissent identifier de manière préventive les cas de harcèlement et en limiter les effets.
Réexaminer les tags fréquemment utilisés par la communauté trans et qui ont été bloqués afin de faire notre possible pour les rendre de nouveau accessibles dès la semaine prochaine.
Une nouvelle fois, nous sommes navrés de ce qui a pu se produire par le passé et plus récemment, et nous continuerons à nous battre activement pour mieux faire entendre notre voix et pour éviter que des incidents similaires puissent se produire à nouveau. Nous sommes aux premières loges pour comprendre à quel point ce type de situation peut être difficile à vivre en tant qu'utilisateur de Tumblr, et tout particulièrement en appartenant à une communauté régulièrement ciblée et harcelée. Nous avons conscience qu'il faudra du temps pour regagner votre confiance, et nous allons faire de notre mieux pour y parvenir.
Nous sommes reconnaissants qu'un tel espace nous ait été offert par Matt (et par Automattic) pour exprimer nos préoccupations ainsi que nos divergences. L'engagement profond de Matt vis-à-vis de la liberté d'expression aura contribué à rendre ce billet possible.
Nous continuerons à nous battre pour faire de Tumblr un espace plus sain. Pour vous, et pour nous tous.
— Ce billet a été rédigé conjointement par plusieurs membres trans de nos équipes Tumblr et Automattic.
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claudehenrion · 2 months
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De l'âme
Une surprise : plusieurs lecteurs, sans doute ébranlés par le vide abyssal qui caractérise notre temps –et avec une inquiétante tendance à l'aggravation– m'ont demandé récemment de “parler de l'âme”. Mais si je me sens très capable de donner un avis –qui n'est que le mien, corrigé par nombre de lectures et d'emprunts– … je tiens à préciser que je suis évidemment tout-à-fait incapable de répondre à la question multiple “Existe-telle ? Quelle est-elle ? Que recouvre-t-elle –ou pas ?”, et surtout de me livrer à cet exercice… en une page “A4’‘ ! Mais quel meilleur moment qu'une Semaine Sainte pour esquisser un début de réponse 
Le mot ’'âme” lui-même, tiré du latin (“anima = l'air, le souffle, la vie”), recouvre tant de notions différentes que “ne pas y croire” ne peut avoir aucun sens : qui parle de “croire” à l'air, au ciel bleu, au chocolat… ? S'agit-il de l'Ame des peuples (André Siegfried) ? de l'Ame des choses (Auguste Blondel) ? des “objets inanimés” de Lamartine ? de l'Ame du monde (Frédéric Lenoir) ? (NB : je pourrais continuer longtemps). Ecoutons plutôt Camus : “Ne pas croire à l'âme est une absurdité”.
A ce moment où l'humanité semble “flirter” avec sa chute dans des abîmes qu'on peut craindre définitifs, l'âme –qui était un peu sortie de nos préoccupations consumérisées– semble faire un retour sur le devant de la scène, et nos lecteurs ne s'y sont pas trompés, en m'en parlant. Il faut reconnaître que sa définition a bien varié à travers les siècles : dans l'Antiquité, les grecs en avaient une vision bipartite (“corps et âme”)… alors que pour la tradition biblique, la vision était tripartite (“corps, esprit –pneuma en grec et spiritus en latin–, et âme –psychè, en grec et anima en latin, ce dernier mot animant la vie intérieure et la personnalité, mais aussi ce qui donne vie au corps. Ne ’‘rend-on pas son âme”, au moment du grand départ ? Mais n'allons pas trop vite : avant de la “rendre”, il faut la définir.
Pour les philosophes, l'âme est souvent une notion qui permet de parler de l'être humain dans sa totalité. Pour Platon, l'âme est en conflit avec le corps qui l'emprisonne, alors qu'Aristote insiste sur une conception non dualiste entre “âme” et “corps”, chacun étant plus ou moins indépendant de l'autre. Plus tard, pour le christianisme, qui tient un rôle de toute première importance dans cette “dissertatio” (que je voudrais tellement ne pas être une “disputatio”!), le mot “Ame” veut décrire comment est formé un être humain dans et par ses expériences fondamentales : la vie, l'amour, le désir, la maladie et la souffrance, le questionnement sur “après la vie –ou après la mort”, et l'âme se définit donc comme “autre” que l'esprit : d'un côté, un principe de vie, “ce qui anime le corps”, siège des émotions et des passions, et de l'autre, vie intérieure, et personnalité. On peut dire : raison, ici et liberté, là…
Mais en 1621, Descartes introduit une rupture dans la conception traditionnelle, en traduisant “âme” par “mens” : l'homme est d'abord un être pensant, et le mens latin, qui désigne d'abord le cerveau, l'intelligence, la raison, l'esprit… va peu à peu replacer l'ancienne “âme” au profit de ce nouvel arrivant, le “cogito’' . Une nouvelle logique bipartite est née, le corps et la pensée, séparés mais liés : ’'Cogito, ergo sum”.
Le mouvement phénoménologique, qui se targue d'appréhender la réalité telle qu'elle se donne ou se montre, considère que le corps, seul, joue un rôle (“Le monde n’est pas pour moi autre chose que ce qui existe et vaut pour ma conscience”, écrit Husserl en 1937), ce contre quoi réagit la grande Edith Stern, juive devenue carmélite et morte à Dachau : “On ne peut vivre sans âme, c'est-à dire avec une âme paralysée ou en sommeil’’… phrase où nous retrouvons ce qui est visible tout autour de nous… et ce dont l'humanité est en train de crever
Il fallut attendre 1953 pour que Crick, Watson et Rosalind Franklin, découvrent l'ADN, cette part d'éternité qui est en chacun de nous. Inséparable de nous, elle nous contient tout entiers et nous résume, tout en nous rattachant à nos origines… Question jamais posée mais qui me taraude depuis longtemps : ’'Se pourrait-il que cet acronyme, l'ADN, soit, en fin de compte, le support matériel de notre âme ? Son caractère ’'iso-éternel’'et son identité parfaite avec notre ’'être”, notre “avoir été” mais aussi notre “devoir être”, en font une parfaite réponse à ce que pourrait être ce “Corps glorieux” si difficile à imaginer mais sous lequel, disent les chrétiens, nous entrerons un jour dans notre éternité
En 1979, Joseph Rätzinger, grand théologien et futur grand Pape Benoît XVI, posa (“La Mort et l'au-delà” )que “il n'y a aucune raison sérieuse de rejeter le mot âme , cet outil verbal indispensable dans la foi des chrétiens… ce qui se vérifie à travers la prise de conscience actuelle… que une conscience, justement, ne peut exister sans objet pour la percevoir et sans sujet pour la traduire et l'expliquer”. Et voilà l’ “âme” qui fait à nouveau partie du vocabulaire de la philosophie, le besoin de cet éditorial en étant un début de preuve en soi.
Un dernier point, peut-être : en 2016, l'académicien François Cheng avait écrit un fort beau “De l'Ame” (Albin Michel) où il écrivait “A part le bouddhisme dans sa version la plus extrême, toutes les grandes traditions spirituelles ont pour point commun d'affirmer une perspective de l'âme située au-delà de la mort corporelle : l'âme de chaque être est reliée au souffle primordial qui est le secret de la vie-même. Animée par un authentique désir d'être, elle nous rappelle donc, quelle que soit notre croyance –ou notre non-croyance– combien notre vie participe d'une aventure unique, le Tao –la Voie– qui ne connaît pas de fin, contrairement à la vie”.
J'admets que tout cela n'est pas simple… Mais le moyen, s'il vous plaît, de parler de sujets eschatologiques avec nos seuls mots humains, et en un temps et un espace si réduits ? Par prudence, je vais donc demander à d'autres que moi de conclure. D'abord George Meredith : ’ L'âme est tout, ici-bas; le reste n'est qu'illusio'n’’… Puis Rivarol : “Sans le corps, l'âme n'aurait pas de sensations, mais sans l'âme, le corps n'aurait pas de sentiment”... Libre à ceux qui ont décidé de ne pas y croire, de vivre “sans”. Mais qu'ils ne comptent pas sur moi : je suis si bien, “avec”, surtout en cette Semaine, qui est Sainte pour un bon tiers de l'Humanité.
H-Cl.
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kilfeur · 5 months
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Les erreurs de Rayla (Rayla's mistakes)
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Oui vous avez bien lu, je vais parler de ses erreurs et pas de le sens que je vais la basher mais plutôt essayer d'apporter mon point de vue là dessus. Déjà j'aimerai parler du départ de Rayla, on pourrait croire ça comme un acte d'amour. Car elle souhaite protéger Callum et je peux comprendre mais de l'autre c'est un peu l'abandonner. Et comme je l'ai dit, je peux le comprendre Rayla s'est souvent montré protectrice envers ses proches. Mais le fait de partir comme ça en ne laissant qu'une lettre, c'est un peu vache.
Même quand elle revient, elle dit qu'elle sait que son absence l'a blessé. Mais se rend pas compte comment il est blessé par son départ. Après j'ai bien aimé son attitude envers Callum. Oui elle veut lui parler mais elle voit que ce dernier ne souhaite pas lui parler et n'insiste pas pour éviter qu'il y ait des tensions. Je la trouvais assez patiente bien qu'on sent que ses deux années sans le groupe l'a un peu changé. Quand elle a dit "On peut pas sauver tout le monde" à Soren. Je me demandais ce qui c'était passé pour qu'elle pense à ça. Mais apparemment elle aurait dit quelque chose qu'elle pensait pas vraiment d'après une interview. Dans les histoires courtes relatant ce qu'elle a fait pendant ces deux ans. On voit que la traque de Viren l'a fait souffrir. Elle est loin de ses amis, loin de Callum. Et ça lui fait mal surtout que pendant sa traque, elle n'a pas pu le retrouver. Et elle décide de rentrer chez elle, pas à Silvergroove mais à Katolis. Montrant que sa maison n'est plus à son village mais auprès de ses amis.
Lorsqu'elle vole la clé de Callum, ça m'avait choqué car j'aurai pensé qu'elle essaierait de lui parler mais bon après ça veut dire parler de sa famille. Et elle était pas prête pour ça ! Mais c'est un peu salaud de sa part, surtout quand Callum voit l'arc de Runaan, il va pas bien du tout. Quand Amaya lui parle, elle se défend en disant qu'elle a fait ça pour le protéger. Mais malgré des raisons compréhensibles, ça reste un abandon et cette décision les a tout les deux fait souffrir. Elle pensait qu'elle devenait forte toute seule. Mais c'est pas comme ça qu'on devient fort et Amaya l'a apprit à ses dépends mais aussi par le biais de l'amour alias Janai. Rayla alors comprend ce que veut dire Amaya par devenir plus forte. Ce qui la pousse à se confier à Callum. Et ça c'est bien, c'est un bon premier pas !
Rayla fait des erreurs mais elle apprend de ces derniers et essaie de faire de son mieux.
Yes, you read that right, I'm going to talk about her mistakes and not in the sense that I'm going to bash her but rather try to bring my point of view on it. First of all, I'd like to talk about Rayla's departure, which could be seen as an act of love. Because she wants to protect Callum and I can understand that, but on the other hand it's a bit like abandoning him. And as I said, I can understand that Rayla has often been protective of her loved ones. But to leave just like that, leaving only a letter, is a bit rude.
Even when she returns, she says she knows her absence has hurt him. But she doesn't realize how hurt he is by her leaving. Then I liked her attitude towards Callum. Yes, she wants to talk to him, but she sees that he doesn't want to talk to her and doesn't insist to avoid tension. I thought she was quite patient, although you can tell that two years without the band has changed her a bit. When she said "We can't save everyone" to Soren. I wondered what had happened to make her think that. But apparently she said something she didn't really mean it, according to an interview. In the short stories about what she did during those two years. We can see that tracking Viren has made her suffer. She's far from her friends, far from Callum. And that hurts her, especially since she hasn't been able to find Viren during her tracking. So she decides to return home, not to Silvergroove but to Katolis. Showing that her home is no longer in her village, but with her friends.
When she stole Callum's key, I was shocked because I thought she'd try to talk to him, but then that meant talking about her family. And she wasn't ready for that! But it's a bit dirty on her part, especially when Callum sees Runaan's bow, he's not doing well at all. When Amaya talks to him, she defends herself by saying she did it to protect him. But despite understandable reasons, it's still an abandonment, and this decision has made them both suffer. She thought she had to become strong on her own. But that's not how you become strong, and Amaya learned this the hard way, but also through love, aka Janai. Rayla then understands what Amaya means by becoming stronger. Which leads her to confide in Callum. And that's a good first step!
Rayla makes mistakes, but she learns from them and tries to do her best.
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tallula-diary · 5 days
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2h23
C'est difficile de prendre l'habitude d'écrire ici.
J'ai toujours écrit, mais dans des carnets, des pensées, des petits paragraphes. Surtout lorsque les émotions se mélangeaient, me submergeaient.
J'ai envie d'essayer d'être plus régulière et surtout tenter d'écrire sans être emportée par les émotions, le tourbillons de sentiments qui m'envahie très souvent, surtout ces derniers temps.
Cela fait un an que ma mère est décédée. Mais la douleur que je ressens par rapport à ça n'est plus aussi forte. Mais cela fait 1 mois qu'une relation importante pour moi s'est terminée. Ce n'est qu'une relation, ça ne faisait que 10 mois que je connaissais cette personne et pour autant elle m'a détruit.
Comment une relation plus courte, moins construite, peut me faire plus de mal maintenant qu'elle s'est terminée que le décès de ma propre mère ?
Je ne dois pas tournée très rond. Ma psychologue me dit que c'est une question de manipulation, etc. Elle a sûrement raison, je ne suis peut-être pas assez armée contre ce genre de personnes. Elle parle aussi de difficultés affectives, peur de l'abandon, et j'en passe. Et ouais, elle a raison, et je le sais aussi depuis toujours.
Mais je me suis jetée à corps perdue dans cette relation pensant qu'il était la solution à toutes mes questions, mes démons, que lui seul comprendrait mes pensées les plus tordues, les plus inavouables.
Lorsque j'avais 10 ans, dans mon lit, dans cette petite chambre, la nuit à travers le velux je regardais les étoiles et je me demandais s'il existait sur cette Terre une autre personne comme moi, aussi perturbée, à réfléchir autant, à ne pas comprendre l'intérêt de son existence, à ne pas se sentir à sa place.
J'ai toujours voulu faire du théâtre, peut-être parce que j'ai inconsciemment une grande facilité à jouer un rôle dans la vie depuis toujours, depuis toute petite. Paraître normale, comme les autres, même si je ne comprenais rien aux codes sociaux, aux façons de se comporter, j'essayais. Les autres enfants voyaient bien que je ne bitais rien à rien, et je finissais seule dans mon coin, dans mon imaginaire, mes questionnements.
Je ne cherchais plus à exprimer ce que je ressentais vraiment, je voyais bien que personne n'arriverait à répondre à mes interrogations ou même à en discuter avec moi. En même temps, à 5 ans, les enfants ont autre chose à faire que de discuter sur l'existence, les inquiétudes du monde et surtout tenter de comprendre à quoi on sert, à quoi ça sert tout ça et surtout le pourquoi, le fameux pourquoi. Non, à 5 ans, on joue à loup, à cache cache, on court dans la cours, on s'imagine un monde, on sociabilise, bref on évolue dans une micro société dictée par les règles de l'école d'une part, de l'éducation donnée par la sphère familiale d'une autre.
Ouais, je n'ai jamais trop compris ma manière de réfléchir, je la subis plus qu'autre chose.
Mais lorsque je l'ai rencontré, que je lui ai parlé de tout cela, de mes angoisses, mes peurs, ma non envie de continuer, mon côté désabusé, ma misanthropie, ça ne lui a pas fait peur à lui. J'ai même cru voir en lui une certaine fascination et surtout j'ai cru qu'il se retrouvait en moi, en mes démons. J'ai plongé dans cette illusion qu'était sa manière de me voir selon moi, selon ce que j'en avais compris.
Au final, il était pareil que les autres, c'est cette façon que j'avais de le considérer qui lui plaisait. Croire qu'il était différent lui donner ce sentiment de l'être, et qui n'aime pas se sentir différent de tous les autres ? On ne va pas se mentir, nous ne sommes pas si exceptionnel que ça, alors lorsqu'une femme plus âgée vous trouve ce quelque chose que les autres ne voit pas, ouais ça flatte l'égo. Surtout si cette femme plus âgée en a un peu chié dans la vie et qui paraît forte malgré toutes ses failles. C'est sûr que ça peut attirer certains hommes, et pas forcément les plus sains.
Bref, j'essaie d'avancer avec toutes ces douleurs qui se mélangent en moi. La colère. La tristesse. La honte. La peur. Le manque. L'amour. Le regret. Autant nuances de couleurs dans ma palette des émotions qui fusionnent. Je n'y vois plus trop clair.
Les anxiolytiques m'aident à dormir, du moins à me rendre plus molle. Je suis fatiguée, tout le temps. De moi, des autres.
Je lui ai dit au revoir, l'amour c'est surtout des histoires, des menteries comme dirait Gab Bouchard.
Je ne lui ai pas dit au revoir à elle, à ma mère, mais je lui ai écrit une lettre que j'ai glissé dans son cercueil.
J'aurais préféré l'inverse finalement.
Malgré ma bienveillance à son égard, il m'a traité comme si j'étais la pire des personnes qui existent sur Terre. C'est fou comme on peut être la plus belle personne pour quelqu'un et en même temps la pire personne qui n'ait jamais existé.
Les gens peuvent être si méchant, blessant, injuste. La remise en question n'est pas quelque chose d'inné et surtout, j'ai l'impression, ne s'apprend nulle part.
Ouais, je vous écris ma vie, mais je m'en fiche un peu. J'en ai besoin.
Cela fait 20 minutes, que je crache tous ces mots, sans vraiment savoir vers quoi je vais.
J'essaierai de recommencer demain.
Un ami m'a dit que la personne la plus importante c'était moi, que j'étais une personne formidable et donc quelque part que j'avais de la chance d'être seule avec moi, cette fille si formidable.
Il a le don de me faire sourire même lorsque je n'ai qu'une envie c'est de m'endormir pour toujours. Lui, il sait me dire ces mots qui me laisse un jour de sursis. Un jour de plus ici. Un jour de plus à écrire.
Je pleure, encore. Je ne pensais pas avoir autant de réserve de larmes. Lorsque ma mère est décédée, je me retenais de pleurer devant mon père pour ne pas lui montrer que sa fille était aussi effondrée que lui. Il fallait une personne qui garde les yeux le moins embrumés possible pour tout gérer.
Mais pour autant, je me suis surprise à payer les courses à la caisse du carrefour, avec des larmes qui coulaient et tombaient sur le terminal de paiement. Je ne les voyais même plus venir, je ne les ressentais plus. Elles coulaient, juste.
Maintenant, je les sens monter, donc j'arrive plus facilement à les arrêter. C'est déjà un progrès, non ?
Ce même ami, m'a dit que ce n'était pas grave de pleurer, que ça pouvait même faire un grand bien. Il a raison, je crois, mais pourquoi par moment ça m'effraie autant ?
Je n'y arrive plus, à croire en la bienveillance des autres purement. Donc, je réapprend à lire les conseils, à les écouter.
Je suis une femme formidable comme il dit, intelligente, douce, et j'ai une jolie voix. Je vais garder ces mots en tête cette nuit.µ
Possiblement ma nuit sera plus douce grâce à ces mots.
Merci de m'avoir lu, même si ça ne mène à rien.
J'en avais besoin.
A bientôt.
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chifourmi · 1 month
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J'ai vu Wish.
⚠️ Attention spoils ⚠️
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Je partais très négative vu les avis mais il y avait quelques points positifs au début du film. L'énorme point fort c'est la construction du méchant. Son histoire est expliquée donc on le comprend. Il a été traumatisé, il est devenu parano et du coup veut un peu trop protéger son royaume. Ça se tient. Il est méchant pour une raison crédible, wow!! Puis avec le temps il a pris la grosse tête parce qu'il a réussi à construire un royaume tout seul et que son pouvoir lui est monté à la tête.
L'énorme problème c'est que son personnage régresse au fil du film. Il s'emporte, part en roue libre et devient juste un énième méchant ridicule et pas crédible. Il y avait quelque chose à faire avec lui, ça aurait pu être un méchant qui se rend compte de ses erreurs et qui... va juste voir un psy?
Surtout que sa relation avec sa femme est touchante, elle arrive à trouver les mots pour le raisonner au début. Donc pourquoi ils ont cassé tout ça de manière pas du tout intelligente? Y avait vraiment quelque chose à creuser à ce niveau là!! C'est comme dans Encanto, la grand-mère est un peu considérée comme la méchante mais au final sa relation avec sa famille évolue grâce à la ✨️communication✨️. C'était super intelligent comme développement et trop chouette à voir. Ils ont vraiment gâché cette opportunité dans Wish.
À part ça, j'ai l'impression que les personnages ne sont pas assez développés. Ils manquent de profondeur. À part le pote grincheux d'Asha que j'ai adoré parce qu'il sonnait très vrai.
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Et on en parle de la chèvre qui était complètement inutile?? Ils peuvent pas arrêter de créer des petits partenaires qui sont là juste pour faire rire mais qui au final ne sont pas drôles du tout??
Au niveau des chansons, j'ai vu beaucoup de gens dire qu'aucune n'était marquante. Là je ne suis pas du tout d'accord! Il y en a une qui s'est tellement démarquée! "Ma promesse" m'a fait verser quelques larmes. Par contre, c'est vrai que les autres n'étaient objectivement pas folles. Mais perso j'ai beaucoup aimé l'ambiance de "Ce n'est plus mon roi" où on entend vraiment la détermination du groupe qui se rebelle.
Par contre Lambert Wilson chante si mal pour qu'on doive mettre autant d'effets sur sa voix??? Sa chanson de méchant "Ma récompense" sonne trop bizarre à cause de l'autotune.
Fin voilà, je pourrais dire beaucoup plus de points négatifs mais pour résumer j'ai juste eu l'impression qu'ils voulaient nous en mettre plein les yeux mais qu'au final on y croit pas trop parce que ça manque de vrai, ça manque d'âme, c'est pas convaincant. Mais en vrai je m'attendais à bien pire donc ça m'a pas empêché d'être quand même surprise positivement. (Genre il n'est pas aussi nul que Raya et le dernier dragon pour moi)
(05/04/2024)
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wintersmutkingdom · 2 months
Text
Higuruma Hiromi x lectrice frustrée.
Higuruma Hiromi x angry you/femreader
I'm changing my approach for now ! Writing in French first and using google translate and hope for the best lmfao. I guess you can use my text to try and learn the language LOL.
18 +, MDNI
Tags : No drugs, but mention of the effects of drugs (lol), feeling like a snowflake under his presence. (you) Needing a listener, not a fucking talker. Cursing at him. Biting his lips. Your pleasure above all - that you take from him- robing sexes, pp in vagnaynay. Crempie. Clean up Creampie (it's a chance he morns for trying new things). Bareback.
Version française
Malgré qu'Hiromi parle avec des faits véridiques et vérifiables pour la majorité du temps, avoir une conversion avec lui sans recevoir des conseils non sollicités devient quelque chose de périlleux et irritant. Ce côté de lui non chalant et nourrissant intelectuellement par la multitudes de choses que tu apprends a bien evidement ses limites. Même avec sa belle gueule pour s'en sortir, aujourd'hui t'en avais marre. Ton besoin était son support physique ou ses mots empathiques.
Une conversation avec chat GPT était loin d'être ce que tu avais besoin, alors que ce que tu voulais étais un contact humain et sa chaleur qu'il sait uniquement te donner à toi, te rendant spécial et sourtout te permettant de te sentir comme la personne la plus spéciale à ces yeux, celle qu'il a choisi de daigner son attention, celle qui te permet de te sentir si adéquate et si privilégière. C'est seulement une simple phase tous ces ressenties qu'il te permet d'atteindre en ce moment. Cet effet de nouveauté qui te fais sécreté la noradrenaline doublé à ta dopamine avec un jet de sérotonine.
Hiromi, cet avocat du diable qui te fait littéralement l'effet d'une drogue sur ton corps en manque, en sevrage après quelques instants d'être à l'écart de lui, et ce désir d'en vouloir plus en atteignant uniquement cette satisfaction sporadique.
''Je me fou de tes arguments Hiromi, pourquoi tu me dis ça ? Dans quel but ? ''.
Décontenancé par tes propos et se rendant compte de son attitude de merde, tu vois la surprise dans ses yeux. La surprise des risques de perdre une belle soirée avec toi, alors que tu es si sublime dans ta robe épousant tous tes formes et courbes. Ces fabriques mettant en valeurs ta sensualité et ton élégence imbriqué dans tes façons de faire et d'agir. Tes yeux braqués sur ceux d'un cerf devant une voiture sur une route la nuit. Il se désiste de sa posture de Joe connaissant (Je-sais-tout). Et pour une raison qui t'échappe son regard s'assombris, amusé de te voir irritée pour une première fois.
Il se mord la lèvre, et ça t'enrage encore plus de voir le changement dans son attitude. ''Tu penses que tu fais quoi ?'' Et, trop tard, tu le vois avancer vers toi d'un pas séducteur. Il espère t'enjoliver aussi facilement ou quoi ?.
''J'aime quand tu te fâches, ton air si sérieux, ton regard percant, tous la tension dans ton corps. Je veux en sentir les conséquences''.
Woah, comment un homme peut sortir cette phrase et s'attendre à avoir une chance d'entrer en contact avec ton sexe ?! ''Esti, tu me niaises''. Et pourtant tu peux ressentir tes seins devenir percant au travers le tissus de soie qui te sépare de lui maintenant, et qui sont clairement remarquables. Une atmosphère électrisante s'installe, ce jeu -ou ce piège- tu tombes dedans en pleine face avec amusement et une pincée de déception à ton égard de te laisser embarquer dans sa puérilité.
Tu serres des dents, il remarque. Il met sa bouche et l'emboite dans la tienne comme le dernier morceau d'un casse-tête qu'on installe. Tu sens tes levres se détendre pour réciproquer ce baiser, mais pendant un bref instant avant de répliquer avec une férocité démesurée. Il perçoit ce signal pour te déchirer ton vêtement (dont tu viens de te procurer à un prix non négligeable).
''Tu mets de l'huile sur le feu, mon Tabarnak''. Tu agrippes ses vêtements, et tire sur sa cravatte qui se déserre de lui et qui le fait pencher vers l'avant d'un coup. Tu continues ta manoeuvre en arrachant les boutons de sa chemises d'un coup. Les boutons effectuant des ricochets sur le sol. Son regard suit leurs traces alors qu'ils s'éparpilent dans la pièces. Hiromi se redresse, une part estomaqué et d'autre part amusé par tes réactions. ''J'espère que tu ne fais que commencer [ton nom]''. Il t'empogne fermement, alors que tu commencais à croire que c'est toi qui allait le discipliner. Tiquée, tu le repousses et le pousse sur le mur. Tu lui mords la lèvre, lui volant un ''Aie'' bien souffrant. Tu lui fais dos, et laisse tes brettelles tombées, ce qui propulse ton vêtement sur le sol tout en glisant sur tes formes. Lui permettant une petite douceur après sa douleur méritée en baignant ses yeux sur ton corps somptueux.
Il s'approche de toi, défait sa ceinture et désippe ses pentalons. Tu t'installes assise sur le comptoir face à lui. ''Écarte tes jambes, ou je le fais pour toi''. ''Essaie pour voir mon maudit'', tu réponds du tac au tac sans perdre une seconde l'empognant par la cravate, essayant de le soumettre avec tes prunelles glaciales.
Il fait un demi sourire et penche vers tes lèvres, tu l'empogne fermement par la mâchoire et le tire plus sèchement vers toi. Tu sens son membre sur ton sexe chaud et mouillé. Tu prends fermement son membre à ta merci et bien fier. Tu commences à le chatouiller brièvement sur ta fleur. Puis, longtemps sur ton pollen. Tu t'amuses avec son membre, comme s'il n'était qu'un vulgère jouet sexuel sans plus. Tu oublies presque qu'un humain y est rattaché. Tu te touche les seins par ce fait même, rendant ton corps en extase, maximisant tes sensations avec satisfaction.
Ton souffles devient de plus en plus court et tu le cherches de plus en plus. Tu sens la tension montée avec chaque mouvement de bassin qu'Hiromi commence à faire pour mieux t'accompagner dans ta masturbation avec son engin. Tu le sens frotter sur ta petite perle, tu sens ses expirations chaudes et humides dans tes oreilles, ce qui te donne la chair de poule passant de ton coup à tes seins et sur ton bonbon sucré et fortement stimulé. Tu sens une pression se sublimer et se diffuser partout dans ton corps comme une vague caressant ton anatomie.
Sans lui daigner un regard, tu passes au chose sérieuse, tu veux te sentir rempli par lui. Tu approches tes hanches vers les siennes, entrant doucement son gland dans ton ouverture invitante. Tu sens ta porte se contracter sur son sexe fébril. Tu laisses sortir un doux gémissement d'anticipation pour la suite que tu t'imagines, laissant tomber ta tête vers l'arrière. Tu lui jettes un regard constant dans tes aises. Tu lui donnes 2 coups de chevilles sur ses fesses. Tes jambes sont recroquevillés sur le côté de son torse musclé. Tu serres fort de tes jambes pour ressentir ces reliefs sur ta peau et tu laisses un autre gémissement sortir de ta bouche. En effectuant ce mouvement, tu as sous-estimé la réaction de ton sexe se resserrer encore plus sur le sien. Tu sens que ce mouvement a aussi fait en sorte que tu as senti encore plus de sa longeur et de sa largeur en toi. Surprise par ton manque d'air, tu t'aggripes fortement sur ses épaules. Tu places tes ongles dans sa peau, lui soutirant un autre ''Aie'' bien mérité par sa langue sale.
Tu te resaissie en agrippant le creux de sa cravate vers ton cou. Tu respires son expiration humide, te permettant de sentir son haleine chaude et sa bonne hodeur te rendant encore plus excitée. Ce geste brusque lui fait un effet de vague en coup de bassin. Tu guides ses coups avec l'empognement que tu fais de sa cravate. ''Horimi, touche-moi''.
''Oui [ton nom]'', et touches ta bille avec son pouce, doucement de prime à bord et plus vigoureusement en prenant soin d'étendre ton miel juteux. Ses mouvements de va et vient ainsi que son touché ne te laisse pas bouche bée. Le son du jus de vos fruits interdits te fait ancrer davantage dans ta transe et fait presque jouir Hiromi s'extasiant à ta vue. Tu jouis sur son sexe sans crier gare, relachant ton liquide vénérée sur sa verge qui ne demandait que ça. Hiromi se relâche et tu sens son sperme te remplir, ça t'excite et tu te touches pour orgasmer encore avec ton engin déjà surstimulé. Ton dernier gémissement comme le cri d'une sirène.
Hiromi se retire rapidement, observant son sperme ressortir de ton entrée. Il se liche la lèvre pour retrouver ton expression exténuée. ''J'adore quand tu te fâches T/N''. Tu l'aggripes par les cheveux encore en train de retrouver ton souffle. Tu sens ton corps transpiré et sans parler tu lui descend la tête vis-à-vis ton sexe et tu le diriges dessus. ''Nettoies ma chatte souillée''. Il s'exécute sans réfléchir. Lichant tous les parties qui sont et auraient pu être tâchées de son encre. Tu observes son membre devenir dur et rigide. Tu le relève toujours avec ses cheveux en mains et lui nommes ''Oh bel énergumène, prêt à tout, même une deuxième expérience''.
...
ENGLISH VERSION.
Word CUNT : 1.2 k
Although Hiromi speaks with true and verifiable facts the majority of the time, having a conversation with him with receiving unsolicited advice becomes something perilous and irritating. This side of him that is non-challenging and intellectually nourishing by the multitude of things you learn obviously has its limits. Even with his pretty face to get by, today you were fed up. Your need was his physical support and his sweet words.
A conversation with chat GPT was far from what you needed, when what you wanted was physical touch and his warmth that he only knows how to give to you. Making you special and above all allowing you to feel like the most special person in his eyes, the one he chose to deign his attention, the one who makes you feel so adequate and so privileged. It's just a simple phase of all these feelings that he allows you to reach at this moment. This novelty effect that makes you secrete noradrenaline coupled with your dopamine with a burst of serotonin.
Hiromi, this devil's advocate who literally has the effect of a drug on your body in withdrawal, in withdrawal after a few moments of being away from him, and this desire to want more by only reaching this sporadic satisfaction.
''I don't care about your arguments Hiromi, why are you telling me that? What purpose ?''.
Taken aback by your words and realizing his shitty attitude, you see the surprise in his eyes. The surprise of the risks of losing a beautiful evening with you, when you are so sublime in your dress hugging all your shapes and curves. These factories highlighting your sensuality and your elegance intertwined in your ways of doing and acting. Your eyes locked on those of a deer in front of a car on a road at night. He abandons his know-it-all attitude. And for some reason his gaze darkens, amused to see you irritated for the first time.
He bites his lip, and it angers you even more to see the change in his attitude. ''What do you think you're doing ?'' And, too late, you see him walk towards you with a seductive step. He hopes to beautify you that easily or what?
''I like when you get angry, you look so serious, your piercing gaze, all the tension in your body. I want to feel the consequences of my shit talk.”
Woah, how can a man say that sentence and expect to have a chance with you?! ''Fucking shit, you're kidding me''. And yet you can feel your nipples piercing through the silk that separates you from him now, and which are clearly remarkable. An electrifying atmosphere sets in, this game - or this trap - you fall right in, with all your the face with amusement and a pinch of disappointment in yourself for letting yourself get caught up in its childishness.
You grit your teeth, he notices. He places his mouth and fits it into yours like the last piece of a puzzle being put together. You feel your lips relax to reciprocate the kiss, but for a brief moment only before responding with excessive ferocity. He perceives this signal to tear off your clothing (which you have just obtained at a significant price).
''You add fuel to the fire, fuckface''. You grab his clothes, and pull on his tie which loosens from him and makes him lean forward suddenly. You continue your maneuver by tearing off the buttons of his shirts in one go. The buttons ricochet on the ground. His gaze follows their tracks as they scatter around the room. Hiromi sits up, partly stunned and partly amused by your reactions. ''I hope you're just getting started Y/N''. He grabs you firmly, while you were starting to believe that it was you who was going to discipline him. Annoyed, you push him away and push him against the wall. You bite his lip, stealing a very painful 'Ouch' from him. You turn your back to him, and let your straps fall, which propels your garment on the ground while sliding on your forms. Allowing him a little sweetness after his well deserved pain by bathing his eyes on your sumptuous body.
He approaches you, undoes his belt and unzips his pants. You sit on the counter in front of him. "Spread your legs, or I'll do it for you." “Try me dipshit”, you respond straight away without missing a beat, grabbing him by the tie, trying to subdue him with your icy eyes.
He gives a half smile and leans towards your lips, you grab him firmly by the jaw and pull him more sharply towards you. You feel his member on your hot and wet sex. You take his penis firmly at your mercy and very proudly so. You start tickling it briefly on your opening and then for a long time on your clit.
You play with his member, as if he were just a mere sex toy and nothing more. You almost forget his existence and touch your breasts in the process, making your body ecstatic, maximizing your sensations and touching yourself with satisfaction.
Your breaths become shorter and shorter and you seek him more and more. You feel the tension building with each pelvic movements that Hiromi begins to make to better accompany you in your masturbation with his member. You feel him rubbing on your little pearl, you feel his hot and wet exhales in your ears, which suddenly gives you goosebumps, moving to your breasts and to your strongly stimulated clitoris. You feel a pressure sublimate and spread throughout your body like a wave caressing your anatomy.
Without deigning to look at him, you get down to business, you want to feel filled by him. You approach your hips towards his, gently entering his acorn into your vagina. You feel the insides of your labias contract on his feverish sex. You let out a soft moan of anticipation for what you're imagining next, letting your head fall back. You glance at him constantly in your comfort. You give him 2 ankle kicks on his buttocks. Your legs are curled up at the side of his muscular torso. You squeeze your legs hard to feel these bumps on his skin and you let another moan escape your mouth. By making this movement, you underestimated the reaction of your vagina tightening even more on his dick. You feel that this movement also made you feel even more of its length and width within you. Surprised by your lack of air, you grab onto his shoulders tightly. You dig your nails into his skin, drawing another well-deserved 'Ouch' from his dirty mouth.
You pull yourself together, gripping the crook of his tie to your neck. You inhale his wet exhales, allowing yourself to smell his warm breath and his good smell making you even hornier. This sudden gesture gives him a pelvic wave effect. You guide his blows, his hips rocking your pu$$y, with the grip you make of his tie. ''Horimi, touch me'' you demand.
''Yes Y/N'', and touches your marble with his thumb, gently at first and more vigorously, taking care to spread your juicy honey. His back and forth movements as well as his touch don't leave you speechless. The sound of your bodily fluids makes you further anchored in your trance and almost makes Hiromi cum in ecstasy at the sight of you. You cum on his cock without warning, releasing your revered liquid on his penis which was just what he was asking for. Hiromi relaxes and you feel his sperm filling you, it excites you and you touch yourself to orgasm again with your already overstimulated coochie. Your last moan like a mermaid song.
Hiromi quickly pulls out, watching his cum leak out of your entrance. He licks his lip to find your exhausted expression. ''I love it when you get angry Y/N''. You grab him by the hair still trying to catch your breath. You feel your body sweating and without speaking you lower his head towards your pussy and direct him towards it. ''Cleanse my dirty pu$$y''. He does so without thinking. Licking all the parts that are and could have been stained with his ink. You watch as his member becomes hard and rigid. You still pick him up with his hair in your hands and call him ''Oh you sick freak, ready for anything, even a second round''.
...
Hope Google translate enjoyed reading that lol.
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alexisgeorge24 · 4 months
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5 janvier:
Départ avec mon gros sac pour une visite à la journée de la péninsule Llao Llao (que je prononce "chao chao" sans même avoir à réfléchir; l'accent argentin m'entre dans la peau). Superbes points de vue notamment depuis le Cerro Campanario, où depuis les nombreuses "playas" ("plachasse"; c'est bon je parle comme Messi). Le temps est un peu couvert et j'ai des panoramas sur des énormes lacs noirs entrecoupés de montagnes vertes aux sommets rocheux et acérés; combos qui me fait penser aux fjords norvégiens. Je finis mon parcours au village "Colonia Suiza" (colonie Suisse), fondé par des familles suisses fin XIXe et qui aujourd'hui attire un tourisme de presque masse. Comme par hasard, après avoir planté ma tente au camping, je tombe sur un couple suisse que j'avais rencontré au Pérou il y a 3 mois. On a beaucoup d'aventures à se raconter et on partage l'apéro et le dîner.
Bilan: 26km, 1000m d+
6 janvier:
Randonnée depuis Colonia Suiza avec petit sac jusqu'aux cerro Goye puis cerro Bella Vista. Les vues sont toujours tout aussi imprenables qu'hier sur les lacs et la montagne à la différence qu'aujourd'hui je suis tout seul pour contempler le tableau. De retour au village on m'informe que les bus font grève... je me fais donc prendre en stop par un groupe d'amis argentins qui me dépose à 10km de Bariloche. Puis je finis en taxi étant donné qu'il y a un stoppeur tout les 200m avec cette grève (ils sont superieurs au nombre de chauffeurs gentils et compatissants).
Après la douche c'est évidemment une bière qui m'attend dans ce paradis houblonné, suivi d'un repas au restaurant vegan que je connais désormais très bien.
Bilan: 13km, 1300m d+
7 janvier:
Départ à 08h00 en bus pour le hameau de Pampa Linda au pied du Cerro Tronador. Le nom fait peur et à juste raison. Je pose la tente au camping et j'enchaîne direct une marche vers ce sommet recouvert de glaciers. J'atteins le début du sentier en stop et 600m d+ plus haut j'ai une des plus belles vues de mon voyage ! C'est le moment où j'essaie de décrire ce que j'ai vu en sachant pertinemment qu'y mettre des mots c'est forcément déformer, pixeliser, simplifier, banaliser, bref, c'est ne pas respecter la nature. Mon point de vue se situe sur une crête coupant en deux symétriquement un cirque dont le "U" est un énorme glacier perché sur des falaises rocheuses et verticales. Des cascades jaillissent de partout du bas du glacier formant un mini "Iguazu" et plus loin un lac bleu laiteu. Le glacier craque, des morceaux tombent des falaises en faisant un bruit de tonerre dans cet amphithéâtre de roche toutes les 10 minutes (on comprend mieux le nom du sommet, "Tonerre"). En bas, c'est la vallée tracée par la riviere et bordée par une epaisse forêts. Au loin, c'est la suite des Andes, avec tous les sommets qui vont avec. La vue est tellement impressionnante que j'y resterai 3h! Le temps de faire le tour de tous les points vue et attendre que le ciel se dégage. Sur le chemin du retour je m'arrête au bord du lac de glacier et retourne au camping en stop. Je me pose à l'auberge pour charger des batteries et commander un sandwich pour le lendemain. En marchant vers ma tente pour aller dormir, j'aperçois des vaches (à cornes) qui sont dans le camping à 20m de ma tente. Je me dis que ça serait un gros foutage de gueule si elles l'ont (encore) défoncée.... eh bin ça n'a pas raté... tente trouée et bouse à 5m de ma tente.... je suis furieux et je le fais savoir au gérant du camping. Après maintes échanges, il accepte de ne me rembourser que 30eur (30% du prix du toit qui est troué mais qui me laisse 100% dans la merde...). Maintenant je vais devoir faire extrêmement attention à mes bivouacs pour ne pas exposer à des vents forts ma tente rafistolée avec du scotch industriel.
Bilan: 8km, 700m d+
8 janvier:
Le Cerro Tronador est majestueux et j'ai envie de le voir sous d'autres angles. Je grimpe alors au dernier refuge au pied du glacier en traversant la forêt puis en longeant une crête rocheuse au dessus du début du glacier. J'ai aussi de beaux points de vue sur les cascades d'hier mais de l'autre côté du cirque. Malheureusement il fait moche et je n'ai que quelques éclaircies pour apercevoir de près le glacier. Sur le retour je vais au pied de la cascade; c'est magnifique. De retour au camping, je fais une sieste et j'entame le début d'une marche de 3 jours qui aboutit à Bariloche (Colonia Suiza plus précisément). Je monte dans une vallée qui offre des balcons avec vue sur le Tronador qui est complètement découvert. Je pose et cache ma tente à 50m du camping pour ne pas avoir à le payer.
Bilan: 34km, 1800m d+ (ça aurait été compliqué sans la sieste)
9 janvier:
Au réveil je fais un AR jusqu'au Mirador del Doctor, une formation rocheuse en forme de barre longitudinale qui domine en son extrémité le lac Frey et un bras du Lac Nahuel Huapi (l'énorme lac de Bariloche). Puis je reprends mon gros sac et continue mon chemin. Vers 12h je ne sais pas pourquoi, je me sens d'un coup épuisé, les gestes deviennent difficiles et ça ne m'aide pas du tout puisque les 2 cols que je franchis sont couverts de neige. Heureusement que je croise un autre randonneur dans le sens inverse pour me rassurer sur leur accessibilité; je sais au moins que des traces sont faites dans la neige pour que je les suivent. Les vues sont un peu aériennes, je n'ai pas le vertige mais des efforts de concentration sont nécessaires à chaque pas pour ne pas en faire un de travers. À bout de force j'arrive dans une vallée qui offrent de beaux spots de bivouac. Je monte le mien près d'une petite cascade qui se finit dans une piscine cristalline. Dommage que l'eau soit glaciale; je n'y lave que mes pieds et mon visage.
Bilan: 20km, 1200m d+
10 janvier:
Dernier tronçons pour rejoindre la civilisation. Je commence par traverser un col bien enneigé mais qui n'offre pas de complications, la neige et ferme et je suis des traces de pas. Au niveau du col, tout comme les précédents d'ailleurs, le Cerro Tronador domine toute la région et se laisse apprécier par ce beau temps. Puis je descends vers ce que je vais appeler "La Merde Verte". Encore cette foutue forêt qui a avalé le sentier et face à qui je dois me battre pour trouver mon chemin. Et évidemment les taons sont de la partie, ne me laissant aucun moment de repos. Dès que je m'immobilise (pour faire mes lacets ou prendre ma respiration), ils se jettent sur moi. Je pète les plombs et me mets à gueuler comme un fous contre cette nature que j'ai envie de brûler. 500m plus loin je répète un plomb. Sous le coup de l'émotion je décide que j'ai en ras le cul. J'ai repéré une petite rivière qui suis mon chemin, je m'y approche, enfile mes chaussons de plongée et continue dans la rivière. C'est beaucoup mieux... tellement mieux que lorsque j'arrive à un lac, je décide de garder mes chaussons et de le traverser en suivant le bord. J'aurai fait peut être 2km comme ça. Puis le sentier est de nouveau visible et je renfile mes chaussures. Je poursuis vers un autre col, complètement dégagé de Merde Verte et de neige. Ici, soit je descends direct vers Colonia Suiza, soit je passe par le Cerro Lopez qui me rallongera pas mal l'itinéraire. Au moment où j'hésite, un couple de français monte de Colonia Suiza pour aller au Cerro Lopez. C'est un signe, je dois les suivre; je n'ai plus l'excuse du "c'est dangereux tout seul". On marche ensemble en sympathisant et arrivés au pied de la dernière monté, on est impressionné par sa pente; 55%. Là où j'ai chuté au Monténégro c'était à peu près 45%. Mais ici il y a bien un "chemin" balisé, c'est des grosses pierres et non des éboulis, et je ne suis pas seul. Aucune crainte donc. Arrivés au sommet on a une vue incroyable sur, d'un côté une chaîne de montagne aux pointes enneigés avec le Tronador en maître, de l'autre côté les lacs et la vallée de Bariloche. Su-blime. La descente se fait dans l'impatience de retrouver le confort. On arrive sur la route à 21h, après 13h de marche. On ne capte pas, donc pas possible de commander un Uber. On va en stop à Colonie Suiza d'où on trouve notre Uber. Arrivé à mon hostel, on m'informe qu'il est complet!!! Je dois donc marcher 2km de plus pour en trouver un autre. Douche, puis enfin, à 23h30, pinte de bière avec pyramide de frite....
Bilan: 20km, 1800m d+
11 janvier:
Journée repos. J'en profite pour rafistoler ma tente, faire une lessive, organiser un mariage, retirer de l'argent via WU (où j'apprends que j'ai gagné 30% de pouvoir d'achat; le taux étant passé de 1000 à 1300). L'après-midi je prends un bus pour Esquel, 200km au sud de Bariloche et aux portes du Parque Nacional los Alerces que je visiterai en 2 jours. Le soir je mange dans un restaurant-grillade. J'en pleure. J'ai mon 1er asado et mon 1er pinguino (vin de table servi dans une carafe en forme de pingouin, typique de Patagonie et que je retrouve avec nostalgie). Les quantités sont énormes, la qualité parmis les meilleures de mon séjour, 10eur.
Bilan: 500gr de bœuf
12 janvier:
Le matin je prends un bus qui m'emmène au parc, au Lago Verde, où je pose ma tente au camping. Puis je monte au seul sommet du coin accessible, le Cerro Alto El Petiso. Au début du sentier une pancarte indique "Cerrado". Mais sur le moment j'oublie mon espagnol et je ne comprends pas que ça veut dire "fermé". Je poursuis donc sur un chemin dans la forêt bien entretenu puis j'arrive à une rivière que je dois longer sur 2-3km en la traversant une 15aine de fois. Puis j'attaque une crête qui m'emmène au sommet en ne mettant que très peu les pieds dans la neige. Évidemment je suis tout seul. Vue superbe sur le glacier Torrecilla, les lacs et les Andes qui ici rappellent les Alpes. Je redescends les troncons de neige en faisant de la luge sur les fesses, c'est rapide, ludique et anesthésiant. Sur le chemin du retour je longe les lacs avec un joli Mirador sur le glacier. Le cadre est idyllique, les rivières qui mesurent 1-2km reliant les lacs entre eux, sont verts avec des eaux cristallines. C'est très sauvage, calme, peu de monde, on pourrait y habiter dans une cabane, y couper du bois, pêcher la truite, distiller son propre whisky, discuter avec les oiseaux et carper son diem.
Bilan: 21km, 1500m d+
13 janvier:
J'éteins mon réveil qui sonne à 5h45 (j'ai été ambitieux) et réalise que j'ai accumulé de la fatigue. Je dors jusqu'à 10h00, soit 13h de sommeil. C'est bien de dormir en fait. Petites ballades au programme pour profiter un peu plus du parc mais rien d'exceptionnel. J'avoue que je ne pense qu'au restaurant de ce soir et compte les heures qui me séparent de mon T-bone. De retour à l'hostel, je joue avec ma faim en prenant mon temps avant d'aller manger. Je passerai 2h au devant mon assiette savourant chaque bouchée. Vers la fin la serveuse me demande même si je souhaite faire réchauffer au feu la pièce. Quel bonheur ces restaurants argentins.
14 janvier:
Journée dédiée à l'attente de mon bus pour Los Antiguos à la frontière chilienne. La matin j'en profite pour continuer à m'occuper du mariage et l'après-midi je prends mon bus. Coucher de soleil magistrale sur la pampa et les collines pré-Andine.
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randomnameless · 8 months
Note
Bonjour ! Aussi pour les UA de Mercie et la Cheffe Suprême qui sont de lointains parents, ça pourrait aussi être que l'ancêtre de Mercie était la soeur / frère de Willy mais, qui aurait rejoint Némésis pour une raison x ? (Rhéa était une mauvaise influence capillaire pour Willy qui a commencé à porter des mulets)
Lycaon finit par glisser sur un couteau dans les escaliers qui lui rentre dans la poitrine par hasard, à chaque marche et passe par la fenêtre par accident avant de faire quoi que ce soit avec l'autre moitié de la famille, puis Hildegard I le saurait plus ou moins mais, ne les auraient pas éliminés malgré les repas de famille pourries car, elle savait que l'emblème de Seiros n'apparaitrait pas (et avait d'autres chats à fouetter avec Aegir ?) mais, Ionius n'aimait pas que d'autres personnes avaient les yeux violets alors, il a dégagé toute la famille ?
Haha, Cheffe Suprême ça fait très sectaire quand on y pense!
Rhea est toujours une mauvaise influence dès qu'on parle de cheveux, je suis sûre que c'est elle qui a insisté pour se teindre les cheveux, et a embarqué Seteth et Flayn dans cette masquarade, même si je tire mon chapeau pour Seteth, ça doit être compliqué de se teindre la barbe...
(Par contre leur teinture est mieux réussie que celle de Rhea, mais en regardant le désastre qu'est son portrait d'unité dans 3 Nopes, c'est pas bien compliqué de faire mieux qu'elle!)
Tu veux dire et si Lamine (ou son beau-fils/belle-fille?) était un membre de la famille Hresvelg? Rhea mentionne dans Nopes que Willy était un noble d'Enbarr avant de devenir Empereur (ou alors, contre-uno : Willy ferait partie de la famille de Lamine, et aurait atterrit à Enbarr pour une raison quelconque, puis aurait ensuite été adopté par des patriciens locaux?)
Hildegarde 1, très très tristoune après l'accident des 23 marches de son... grand-oncle?, aurait, peut-être, en effet, laissé les autres gus du nord tranquille si elle savait qu'ils ne seraient jamais des rivaux sérieux pour le trône de Willy puisque ne pouvant pas avoir d'emblèmes de Seiros - même si je trouve ça étrange qu'avoir un Emblème ce soit devenu la condition pour être Empereur ?
Ou alors, Derick von Aegir, qui a vu Hildegarde utiliser un oignon pour apparaître très très tristoune lors des funérailles de Lycaon, l'a menacée de raconter tout aux autres nobles du royaume, voire même à Willy, et a pu obtenir son duel pour gagner le trône tout en évitant les escaliers - et Hildegarde, se disant que quand même, pour éviter un prochain accident de la part de ses cousins, a essayé de monter un récit justifiant son ascension au trône -> Lycaon devait devenir Empereur parce qu'il était l'héritier l'un des héritiers de Wilhelm et de Seiros, il est mort d'une maladie l'ayant déséquilibré et entrainé sa chute dans les escaliers, mais dans ses derniers moments, son petit demi grand-oncle adoré lui a dit qu'il voulait qu'elle lui succède. C'est totalement vrai, demandez à son Vestra!
Mais pour éviter une future incertitude pour l'avenir de l'Empire, Hildegarde, après avoir écrasé Derick, annonce au monde (les gens importants hein, donc Enbarr) que dorénavant, le futur Empereur sera l'aîné de ses héritiers - évidemment avec un emblème de Seiros pour bien montrer que oui oui oui, les membres de cette lignée descend bien de Seiros et Willy (même si leurs oreilles sont rondes, mais ça, ça va aussi être éludé parce que quand même, vous imaginez prétendre descendre d'une chose inhumaine? De toutes façons, qui savait que Lycaon avait des oreilles pointues? Et comme Seiros a récupéré ses restes, personne ne le saura jamais, étant donné que les "agents pathogènes" qui ont mené à la chute de la créature dans l'escalier ont eux aussi, eu divers accidents :( ).
Plusieurs années passent, et Ionius qui a peur de ne pas avoir d'enfants avec emblème (son premier bâtard n'a pas d'emblème, et celui de Hans 2, l'héritier de son épouse légitime, n'est qu'un emblème mineur! Et puis Hans 2 a besoin de lunettes, la honte!) voit d'un mauvais œil ces "cousins lointains" qui peuvent lui voler le trône, si jamais Hans 2 meurt (apparemment les escaliers sont maudits? C'est une vieille légende familiale!) et qu'aucun de ses enfants n'a d'emblème de Seiros (une de ses concubines lui a donné un gosse avec un emblème de Cethleann! Il a voulu la répudier, mais sa famille a fait de gros yeux et Vestra lui a dit que ce n'était pas faisable!), ces "cousins" qui se sont mélangés à des sauvages du Nord quand même! (oui, la généalogie complète de la lignée Hresvelg s'est perdue en route) ne vont pas s'asseoir sur son trône si le critère "possession d'un Emblème de Seiros" tombe et que seul celui de "descend de Willy" compte!
(Et puis il n'aime pas, de toutes façons, cette idée d'avoir un emblème en commun avec l'autre chose là-bas, de Garreg Mach, ça a quand même autorisé la création du Royaume des Barbares, au détriment de l'Empire! Un nouveau conseiller, Chilon?, lui a dit que c'était possible de changer d'emblème et d'en avoir un plus puissant? C'est une possibilité à étudier plus tard.)
Bref, l'idée, c'est de démolir la famille qui a accueilli la femme du nord, et de la remarier avec un noble bien bouseux (les Bartels descendent d'un équarisseur qui a été anobli du temps de son arrière grand-père pour avoir éventré un sauvage de Brigid au colisée avec une fourche!), comme ça si jamais il y a un gamin aux yeux mauves, il descendra d'un bouseux, et ne sera jamais une menace pour sa dynastie.
Dedel se souvient juste que pôpa lui avait dit que les Bartels c'était de la vermine, alors quand Emile en fait de la chair à pâté, c'est tant mieux, mais bon, il faudrait pas non plus qu'il devienne important, alors on lui donne une armure et on lui fait faire le sale boulot, comme son arrière-arrière grand père, d'équarisseur.
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Dans un UA où tout le monde survit, avec des largesses temporelles, les repas de famille c'est Willy avec ses cousins Lamine/Martritz, les enfants de ses premières conquêtes et ses frères et soeurs, Seiros/Rhea, Lycaon et les Nabatéens.
Les Nabatéens sont un peu froids avec Lamine et les Martritz parce qu'apparemment il y aurait eu du mauvais sang entre l'un des leurs et Lamine elle-même, les humains Hresvelgs sont en froid avec les Nabatéens parce que Willy ne vit pas avec eux parce qu'il préfère Seiros et c'est de sa faute à elle de toutes façons (Rhea caca!) qui manipule le pauvre Tonton/Père Willy et elle va lui prendre tout son argent (qui leur revient à eux!) et leur gamin va hériter de son poste super important de je ne sais quoi, mais c'est super important - mais les Hresvelgs n'aiment pas les Lamine/Martitz non plus parce que ce sont des "pouilleux".
Willy essaie de faire en sorte que tout le monde s'entend, Rhea de même (sauf avec la cousine/soeur de Willy Lamine), mais un drame survient quand Dedel, la nièce de Willy, pousse "accidentellement" Lycaon qui fait une chute de tricycle. Sa tante Hildegarde affirme qu'il est tombé tout seul, et "l'enquête" ne va pas plus loin, mais Lycaon refuse de jouer avec sa cousine Dedel et préfère jouer avec son autre cousine Cethleann.
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les-portes-du-sud · 9 months
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Voyance et Vie d'un pigeon.
11.08.2023
Nous nous asseyons avec Mounir dans un charmant restaurant avec vue panoramique et musique en live. Une soirée merveilleuse, le saxophoniste joue "joyeux anniversaire" à la table voisine, tout les clients du restaurant applaudissent (pour une raison quelconque) , félicitant les étrangers que nous voyons pour la première fois de notre vie. Je ne sais pas si c'est de la bonne humeur! Le ciel est rose-orange, à table près de la fenêtre, il est difficile de détourner le regard de la vue et de commencer à étudier le menu. Nous passions commande auprès du serveur... Le saxophoniste joue à nouveau "joyeux anniversaire", un autre apporte le gâteau, une autre table (un couple assez âgé) est félicitée, nouvelle ovation. En général, il est difficile pour mon ami et moi de planifier quelque chose. Je suis bipolaire, il est psychopathe. Nous sommes meilleurs en improvisation. Une réservation annulée ou reportée n'est jamais évoquée. Alors que lui et moi commençons à nous disputer sur la différence entre une cuillère à dessert et une cuillère à café (et dans ce cas, je vais jusqu'au bout), le musicien relance de plus belle un "happy birthday" à un cinquantenaire, non accompagné, qui s'efforçait de sourire cachant mal sa gêne d'être sous les regards de tous les clients et le personnel, les serveurs sortent un autre gâteau. Revenant à nous pour dire : Se disputer avec Mounir sur l'étiquette et la mise en place de la table, c'est cette vieille blague de pigeon, c'est se disputer avec un imbécile, c'est comme jouer aux échecs avec un pigeon. Il dispersera les pièces, chiera sur l'échiquier et s'envolera pour dire à tout le monde comment il vous a façonné. Alors que ma boule de cristal m'indique qu'il venait juste d'apprendre l'existence de la cuillère à dessert par moi, et l'instrument retentit de plus belle pour le même refrain... J'ai trop de questions sur cette journée et les gens : pourquoi sont-ils tous nés aujourd'hui ? Si j'avais le droit de choisir, je serais née à l'automne. Une nouvelle vie au milieu d'une nature mourante. Tournant, la vie, hélas. J'ai essayé de calculer l'intervalle de temps entre les salutations d'anniversaire, mais je n'ai pas réussi. Cela a dû faire environ dix ou quinze minutes. Quand ils me redemanderont comment ne pas penser à telle ou telle connerie ?! je leur répondrai ainsi : Mon cerveau est occupé par des choses plus importantes : il calcule des intervalles. Il réfléchit comment rattraper un saxophoniste et flatter son jeu, je ne parle pas de "joyeux anniversaire", mais le contenu des pensées est déterminé par les mots pour le reste de la soirée, l'esprit semble être dispersé par une myriade d'impressions et/ou de situations. Et au fait, nous avons laissé tombé le nombre d'intervalles laissé par le musicien à chaque jeu. Nous nous sommes séparés à la sortie .J'ai vraiment aimé que tous les visiteurs applaudissent les anniversaires. Je n'ai pas encore vu ça : pas quatre fois de suite dans le même restaurant, et certainement pas pour des étrangers. Et le ciel est vraiment très beau aujourd'hui. Dimanche dernier m'a rappelé l'importance de collectionner des souvenirs. Cela empêche la tête d'être plus que saturée de mauvaises ondes. Et je continue d'en récolter .
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raimeiha · 10 months
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ルシス 聖羅 - Lucis Seira
Environ 824 ans || 4 août Mesure 1 mètre 70
Vampire || O- || 17ème progénitrice (officiellement) Affiliée aux vampires || Faction de Ferid Bathory || Sanguinem (Japon)
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Seira est une vampire très calme et compatissante. Elle n'apprécie que peu de ses semblables et ne leur adresse, de ce fait, pas souvent la parole.. Crowley est sans doute celui à qui elle parle le plus. Elle est aussi très mature et réfléchie, ainsi que confiante et fière, comme la plupart des vampires à vrai dire.
La vampire n'aime pas faire souffrir ses victimes et fait donc tout pour les tuer rapidement. Elle n'a pas oublié le fait qu'elle était autrefois humaine et c'est bien pour cette raison qu'elle ne prend pas les humains de haut et qu'elle ne les qualifie pas de « bétail ». En revanche, ses sentiments humains ont fortement diminué.
C'est une belle vampire qui atteint tout juste la barre du mètre soixante-dix. Elle possède de longs cheveux rouge foncé qui ondulent jusqu'en-dessous de ses omoplates. Tout comme les autres vampires, elle a les yeux rouges, des crocs prêts à s'enfoncer dans la chair humaine et des oreilles pointues.
Quand elle était humaine, la couleur de ses yeux ressemblait à s'y méprendre à celle de la mer. Ses cheveux étaient autrefois bruns, elle les a teint car cette couleur ne lui convenait pas... elle était trop générique.
Seira estime avoir eu une vie banale, avant de devenir une vampire. Serveuse dans un bar il y a de cela plusieurs siècles déjà, elle avait l'habitude des clients difficiles, des blagues lourdes et des regards insistants. C'est quand son hameau a été attaqué et qu'elle s'est retrouvée aux portes de la mort que sa vie a pris un nouveau tournant. En effet, alors qu'elle rendait son dernier souffle, un certain vampire aux cheveux bicolore s'est penché sur elle et lui a fait don de la vie éternelle...
Selon les explications de Crowley révélant plutôt être un septième progéniteur car Ferid lui aurait donné le sang d'un second, Seira serait en réalité onzième plutôt que dix-septième.
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• Recherches :
- Crowley Eusford → Un allié de choix, son sauveur à l’époque. Il est le seul avec qui la conversation est facile, pour elle. À force de passer du temps ensemble et de se rapprocher, une relation tout à fait différente de l’amitié qu’ils tissent pourrait bien voir le jour.
- Urd Geales → Une rencontre hasardeuse quelques jours après son arrivée au Japon, en dehors des quartiers des vampires situés dans la capitale. Bien que Seira soit considérée comme une traitresse, Urd pourrait en faire fi et se rapprocher d’elle, à l’abri des regards. Et si, un jour, elle était faite prisonnière par d’autres, que ferait-il donc ? Deviendrait-il son bourreau, ou choisirait-il de lui trouver une place à ses côtés pour la sauver d’une inévitable torture ?
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1019-code · 2 years
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Je me permets un petit billet sur ma vie personnelle (j'ai mis le tag #perso si vous souhaitez masquer ce genre de billets) pour signaler qu'on m'a enfin accordé l'Allocation Adultes Handicapés ! 🎉
Pour celles et ceux qui ne le savent pas, j'ai un handicap moteur et je suis neuroatypique, deux choses qui me rend très difficile l'accès au travail. J'ai beaucoup de mal avec les métiers où les tâches sont peu claires (par exemple, développeur) et j'ai malheureusement aussi beaucoup de mal avec les métiers physiques (et donc souvent précaires et faciles d'accès).
C'est un soulagement immense car en Octobre dernier, fin du mois, j'ai été licencié d'un job dans lequel je me sentais bien, en période d'essai, très probablement en raison de mon handicap et des absences qu'il allait peut-être entraîner (l'éducation nationale et sa soi-disant tolérance, hein mdr).
J'en parle ici parce que ça change beaucoup de choses pour moi. Ça signifie que je vais pouvoir sereinement continuer mon activité professionnelle sur Forumactif et me consacrer à mes projets personnels sans avoir la pression, du moins pour le moment, de trouver un job différent. Je vais pouvoir reprendre des études si je le souhaite dans le domaine de mon choix.
Je me permets d'en parler ici parce que ça a bien évidemment un impact énorme sur mon temps et ma disponibilité (et mon humeur soyons honnêtes).
Bref, c'était un gros parcours du combattant (j'ai dû faire appel une première fois) et ça fait plus d'un an que j'attends, mais ça y est !
Maintenant plus qu'à espérer que la CAF me verse l'AAH qu'ils me doivent depuis le dépôt du dossier... 🤡
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claudehenrion · 1 month
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''Sansal… tionnel !''
Il est des personnes que l'on regrette vraiment de ne pas connaître : en ce qui me concerne, il m'arrive parfois d'être jaloux (NB : Je sais : je devrais ajouter “ce qui n'est pas beau”… mais je me moque des convenances !) de ceux qui ont un libre accès à la pensée de tel ou telle de ces contemporains que j'admire si fort. Oh ! Rassurez-vous : ils sont si peu nombreux que je n'ai pas besoin d'une “cellule d'assistance psychologique” pour m'aider à survivre dans ce monde qui devient si antipathique : c'est l' existence de quelques belles âmes qui le rend fréquentable !
Vous l'avez compris en lisant le titre de cet éditorial : Monsieur (j'insiste !) Bouallem Sansal fait partie de mon petit “Panthéon personnel” –qui a très très peu de points communs avec celui qui trône en haut de la Montagne Sainte Geneviève : à ceux qui y sont entreposés, “la Patrie reconnaissante” déverse ses honneurs glacés… Aux miens, l'admiration émue d'un clampin inconnu dont l'opinion compte pour du beurre… Je ne leur offre que ce que je peux leur donner, mais au moins, sans aucune intention politique, ce qui les protège des modes….
La raison de mon admiration pour ce grand écrivain, immense penseur et sage entre les sages remonte un peu dans le temps. Par une chance insolente, j'ai lu son premier livre, en 1999, Le Serment des Barbares, où ce berbère du Rif devenu algérien (ce qui, si vous me permettez cette insolence mesurée, fait de lui un des fils de la grande tribu des Zemmour… ce qui peut être lu de plusieurs manières !) osait des jugements que personne d'autre n'aurait l'audace de porter : “L'Université [algérienne] enseigne en arabe-algérien, qui est un sabir fait de t'amazight (NB : la langue berbère), d'un arabe venu d'ailleurs, de turc médiéval, de français du XIX ème siècle et d'un soupçon d'anglais new-age”. Tant de vérités “insupportables” en une seule phrase… il faut oser ! Musulman, il a le droit de dire ce qu'il pense !
Je me suis rué ensuite sur Le Train d'Erlingen ou La Métamorphose de Dieu, une réflexion sur les crises migratoires et la montée en puissance de l'islamisme en Europe, et je n'ai pas été déçu tant y abondent les “pépites” magnifiques : “L'Europe a peur de l'islamisme, elle est prête à tout lui céder. […] La réalité en boucle n'a pas d'effet sur les gens (…) : en Algérie, durant la décennie noire, les gens qui, au début, s'émouvaient pour une victime du terrorisme ont fini après quelques mois de carnage par ne ressentir d'émotion que lorsque le nombre des victimes par jour dépassait la centaine, et encore devaient-elles avoir été tuées d'une manière particulièrement horrible. Terrible résultat : plus les islamistes gagnaient de terrain et redoublaient de cruauté, moins les gens réagissaient. L'info tue l'info, l'habitude est un sédatif puissant, et la terreur, un paralysant violent”. Ce n'est pas encourageant pour notre avenir prévisible ! Mais nous, nous le savions...
Bouallem Sansal est connu pour ses propos critiques envers l'islam, sur lequel il écrit : “La religion me paraît très dangereuse par son côté brutal, totalitaire. L'islam est devenu une loi terrifiante, qui n'édicte que des interdits, bannit le doute, et dont les zélateurs sont de plus en plus violents. Il faudrait qu'il retrouve sa spiritualité, sa force première. Il faut libérer, décoloniser, socialiser l'islam”. Non seulement il ose, lui qui sait de quoi il parle, ce que nul autre n'oserait, mais il est très critique envers la France, à très juste titre : “La France ne sait toujours pas se déterminer par rapport à l’islamisme : est-ce du lard, est-ce du mouton, est-ce de la religion, est-ce de l’hérésie ? Et pendant ce temps, le boa constrictor islamiste a le temps de bien s’enrouler, il va bientôt l’étouffer pour de bon”. (NB : c'est encore moins rassurant !)
Ce géant de la pensée (à mes yeux), a publié en janvier dernier un nouveau roman-fiction, “Vivre, le compte à rebours” (Ed. Gallimard), dont la lecture m'a plongé dans des extases devant une telle intelligence et un tel langage : cet homme me semble être l'archétype de ce que la meilleure partie de la France rêvait de faire naître dans les pays de Empire, et la preuve que cette “émancipation” n'était pas un rêve fou, mais un objectif atteignable.J'ai des souvenirs émus de camarades de lycée dont “l'intégration” frôlait la perfection, mais qui savaient rester “arabes”. Chapeau !
Sansal, après un bref survol de l'histoire proche des années ‘60-'80 et leur consumérisme triomphant, suivi de l'effondrement de tous les narratifs sur lesquels reposent encore, à contre-temps total, les systèmes de référence en usage, raconte comment la vie (avec laquelle certains continuent à faire joujou, comme on en rêvait il y a un demi-siècle) est… mortelle, et que “écrire sur tout autre sujet reviendrait donc à sacrifier encore à l'insouciance, jusqu'à l'indécence”.
Suit un descriptif cruellement exact de notre actualité : “Notre époque pense petit, bête, et même ne pense même plus, nous enfermant dans sa nullité. Regardez et écoutez les politiciens : vous comprendrez tout” ! (NDLR : A l'élégance et au style près, c'est ce que je répète, dans ce Blog, depuis une douzaine d'années… d'où mon enthousiasme en le lisant !). Il va même plus loin : “Notre monde ultra mécanisé est devenu trop triste, et trop pauvre : il ne propose rien d'autre que du normatif, et de l'abrutissement pour mourir sans douleur” (cf. les projets contre-nature et totalement déshumanisants, du “credo” assassin de toute humanité digne de ce nom , dont rêve Macron…). L'école était une planche de salut … Elle a failli à sa mission : “Elle est sinistrée, et rien ne semble pouvoir la sauver : elle a perdu jusqu'au sens de l'histoire et l'intrication de l'homme avec la nature…”.
De manière étrange, ce musulman, assez tiède mais qui préfère tout de même “vivre à Bou Merdès”, ose des rapprochements tout-à-fait inhabituels (un peu comme le fait Zemmour) et inattendus : “La Trinité a été un merveilleux ’'Credo” (NDLR : ce n'est pas moi qui vais dire le contraire !) qui a permis au catholicisme de bâtir la brillante civilisation apostolique et romaine qui a rayonné sur le monde pendant deux millénaires. Mais elle se retrouve en faillite totale : le Pape lui-même n'y croit plus et ne fait plus que de la politique et de la géo politique, au nom d'un pacifisme pour enfants’’... Et c'est un musulman ex-colonisé qui écrit ces beautés !
Il précise même : ’'La magie catholique s'est éteinte, et on s'est alors tourné vers d'autres ’'trinités” pour faire tourner la terre, en combinant les termes : patrie, famille, peuple, partis, unité, révolution, progrès… Toutes ont échoué, y compris la dernière tentative à ce jour, le “wokisme”. En fait, ce vocable ne recouvre que le “énième” contrecoup de la sortie, dans le désordre complet, du “religieux dans sa version chrétienne, qui mettait en avant la charité, l'amour du prochain, la culpabilité, et la repentance… en un mot : la Sainteté”. Or le “wokiste”, est un homme forcément blanc (les autres sont décolonialistes, des racistes-se-disant-anti-racistes, des inter-ceci ou des phobes-cela, etc. Mais seul le Blanc doit payer pour “un juste retour des choses”. Pour Sansal, “le ’'wokisme”, c'est fumisterie et coquetterie sado-maso’’. Il parle d'or… “Bouallem Chrysostome”, si j'ose !
Le dernier péché capital en date du siècle touche à l'écologie punitive… C'est un moyen apparemment simple pour punir tous les autres sauf soi de fautes inventées “après l'obstacle”. A cause de cette forme de soi-disant ’'écologie’’, ce laboratoire du développement de la folie destructrice, du châtiment et d'un “bon droit” redéfini. Tout est devenu punitif, dans tous les domaines : justice, économie, gouvernance, culture, science, prospective… Cette non-écologie est en réalité une formidable machine à répandre un droit tordu et à punir qui on a envie de punir... en lui disant que c'est lui qui a tort, sans lui dire pourquoi… puisque c'est faux !
La conclusion est superbe : en décrétant que le Coran est la parole vivante d'Allah, et que Allah est musulman et ne parle que l'arabe, l'islam a cru se doter d'un pouvoir absolu sur tout l'univers. Résultat : le monde musulman se retrouve dans un état de folie infinie, sans le moindre espoir de rémission : il “existe” dans la violence et la haine, mais il ne “vit” plus’’. Aujourd'hui, la plupart d'entre nous “existons” encore, mais est-ce que nous “vivons’' ? ’'Vivre,” c'est justement échapper aux pesanteurs de l'existence, pour se fondre dans un univers “à un étage supérieur”. Aurions-nous perdu toute possibilité de retrouver un jour ce que Sartre appelait (en se trompant sur les mots, comme sur tout, toujours) “les chemins de la Liberté’' qui n'étaient que ceux de son enfermement… ?
H-Cl.
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Petite initiation à la théorie des discours en tant qu’elle constitue la structure de l’enseignement lacanien
«...nous vivons, ça c'est pas douteux, on s'en aperçoit même à chaque instant... il s'agit de la pensée... prendre la vie comme concept».
Lacan pour les non-idiots: une approche de la théorie des discours avec des exemples rigolos...
Des discours (dans leur stricte acception lacanienne) c’est à dire des dispositifs qui font lien social pour le sujet en mettant en place le rapport de son dire au dit, qui conditionne sa jouissance et son désir, des discours autrement dit des "raisons", il y en a quatre, pas plus, trois sphériques et un mœbien...
Avec un peu d’humour, voici une illustration de ce que peut être le Discours du Maître, qui est le discours princeps à partir duquel le phallus, en tant qu’il est le signifiant de la jouissance ET le signifiant de la castration, ouvre au sens en guise de suppléance du rapport sexuel absent... l’impossible y est incomplétude: (S1 —> S2 —> a <> $): «faire en sorte que "ça aille" "ça marche" "ça avance"...»
https://youtu.be/gExs1I4po88
Le Discours de l’Hystérique, où la vérité surgie de l’oubli vient pointer la faille inhérente à tout savoir institué... l’impossible y est inconsistance ($ —> S1 —> S2 <> a): «qui suis-je pour que tu me dises qui je suis?»
https://youtu.be/O_X7Iv6gb8g
Le Discours Universitaire, qui est un discours du maître perverti, fait recel du signifiant-maître en installant le Savoir en place d’agent... l’impossible y est indémontrabilité (S2 —> a —> $ <> S1): «ne cesse pas d’apprendre, je ne suis pas qui je suis»
https://m.facebook.com/groland/videos/2242209116047563/
Le Discours de l’Analyste, le dernier arrivé, vient boucler la ronde des discours, en tant que par rapport aux trois autres, il n’est pas sphérique (univoque) mais mœbien (multivoque)... l’impossible est indécidabilité: (a —> $ —> S1 <> S2): «moi la vérité je parle, le mi-dit de l’interpretation»
https://m.youtube.com/watch?v=0yE3qK2MvOc
NB: Pour paraphraser Lacan dans L’étourdit, l’analyse ne s’ordonne que du discours qui la conditionne, la «formation» d’un analyste nécessite d’avoir mené l’analyse à son terme logique (double tour), jusqu’au «saut périlleux» du décollement entre a et $ ($◊a → $◊a↓→ $↔◊), la dérobade devant ce saut consiste à lui substituer une hiérarchie de gradus standards, sur le mode universitaire (le Discours Universitaire étant le plus antipathique de structure au Discours de l’Analyste)...
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philippebresson · 8 months
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Angot, Breillat, et moi, et moi...
Christine Angot a le mérite de savoir d'où elle parle, et c'est ce qui fait pour moi sa qualité.
Je ne sais pas ce que Catherine Breillat dit sur son film "L'été dernier", et à la limite je m'en fiche. C'est son film qui m'a parlé. Ému. Touché. Dérangé. Bouleversé.
Je suis sans doute l'un des "esthètes" que pointe du doigt C. Angot dans sa "critique" du fim. Oui, sans aucun doute. Et je l'assume.
C. Angot m'intéresse et me touche, mais peut-être parfois mélange-t-elle différentes choses, différents "plans", différents sujets ; le film de C. Breillat n'est pas un film à thèse sur l'inceste, loin de là, pas plus que "Théorème" de Pasolini n'en est un, même si toute la famille - italienne et bourgeoise - finit par coucher avec le même homme (climat incestuel plutôt qu'inceste dans le théorème de P.).
Le film de Breillat ne nous dit pas que c'est bien ou beau de coucher avec son jeune beau-fils. Il montre les choses telles qu'elles sont dans cette histoire-là, dans cette famille-là, la vérité complexe de ces personnages-là, de cette fiction-là. Sans jugement sur l'un ou l'autre des personnages, sans encouragement à les imiter non plus, sous prétexte que l'image serait belle, que la lumière serait belle, car en effet elle irradie !
"Familia Grande" (cité par Angot) parlait de "l'affaire Kouchner" ; il s'agit d'un récit autobiographique avec des personnes impliquées (qui ne sont pas des personnages de fiction), des plaignants, un ou des accusés, des complices.
Je ne crois pas que le scénario de C. Breillat et Pascal Bonitzer ("L'été dernier" est un remake du film danois "Dronningen" réalisé par May el-Toukhy en 2019 et jamais sorti en France), repose sur le témoignage intime d'un homme incesté durant son adolescence. Nous ne sommes pas non plus dans la transposition d'un fait divers à l'écran. Pas plus, dans un autre registre, que pour Médée, Œdipe, Antigone (Antigone n'est pas incestueuse, mais elle est le fruit d'un inceste), ou Phèdre (qui avoue à sa nourrice son amour coupable pour Hippolyte, son beau-fils, fils de Thésée).
D'une certaine manière, le plaidoyer de C. Angot me rappelle la fameuse polémique autour du film de Cyril Collard "Les nuits fauves" ; à l'époque certains lui reprochaient de montrer un personnage qui, se sachant séropo, couchait avec une jeune fille qu'il aimait, sans préservatif et sans qu'elle soit informée de sa séropositivité. Mais depuis quand un film de fiction devrait-il assumer le rôle d'une campagne de prévention ou de sensibilisation ?
Quand Almodovar réalise avec "Parle avec elle" l'un de ses longs-métrages les plus aboutis - Eros et Thanatos dans une chambre d'hôpital, le tout filmé par un cinéaste qui touche avec ce film à la perfection absolue -, je ne me demande pas si cet homme a raison d'avoir une relation sexuelle avec une femme qui est dans le coma. Ça me dérange certes, mais je ne suis ni cet homme, ni cette femme, ni l'un des membres du personnel hospitalier. C'est la vérité de cette histoire et de ces personnages qui m'intéresse.
Connaissant (comme nous tous) son histoire personnelle, je peux comprendre le malaise de C. Angot face au film de C. Breillat ; et son point de vue, sa prise de position, m'intéressent. Elle pique l'esthète en moi à un endroit où, volontiers funambule sur le fil qui relie fond et forme, je pourrais parfois me sentir en déséquilibre. Mais encore une fois, je n'attends pas d'une oeuvre artistique qu'elle s'autocensure dans son propos, dans son processus de création, et quel que soit le sujet dont elle se fait, in fine, l'objet (filmique ici).
Est-ce que la relation du personnage de Léa Drucker avec son jeune beau-fils de dix-sept ans dans "L'été dernier" de Catherine Breillat banalise le climat incestuel, la relation incestueuse ? Je ne le crois pas. Elle nous montre au contraire que le crime (presque) parfait se passe sous nos yeux, dans la chambre d'à côté, et que la vie est ainsi faite qu'elle mérite, en dehors des salles de cinéma j'entends, que nous lui accordions la plus grande vigilance.
Philippe Bresson
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idril-la-wiccan · 1 year
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Mermay 2023 - 4ème semaine et trois derniers jours
Jour 22 - Zodiaque
Bon, avec un thème pareil, c'était un peu facile choisir le Verseau pour Mermay. Mais bon... J'ai un attachement particulier pour ce signe astrologique.
Jour 23 - Tradition
Et re-voici "Mahu", le poulpe dumbo du jour 21 ! Je l'avais vaguement évoqué, mais "Mahu" ne sera pas son nom, même si je l'avais prévu tel quel au départ. Je vais expliquer pourquoi.
Vous l'aurez remarqué, toutes les sirènes que j'ai faites en lien avec Out of the Abyss sont fortement inspirées des cultures polynésiennes, les plus évidentes étant Hawaïenne et Maori. Et "Mahu" est en soit un concept de la culture Hawaïenne : un troisième genre dont le nom se traduit littéralement par "Au millieu". Les Mahu avaient un rôle important dans la société Hawaïenne, ils enseignaient les traditions spirituelles et sociales, ce qui incluait entre autre l'enseignement du hula.
Et donc, pour que j'ai l'idée de le nommé "Mahu" pour commencer, vous vous doutez bien que c'est ce qu'ille est traditionnellement parlant. Mais je me suis dit que le nommer par ce qu'ille est reviendrait à nommer un chat, eh bien, "Chat". C'est un peu bête.
Bref, j'ai envie de lui donner un nouveau nom. Je garderai certainement un nom en deux syllabes histoire de garder les choses simple.
Hmm... Peut-être que je pourrai lui trouver un nom en lien avec les traditions, justement ?
Jour 24 - Zaddy
J'ai fait ce personnage sur le tas car j'étais pas inspirer par le thème. Mais je crois que je m'en suis bien sortit avec malgré tout.
(Au passage, Zaddy désignes les hommes, tout particulièrement ceux d'âge mure ou plus, qui sont attirant, charismatique, et ont un bon sens de la mode.)
Jour 25 - Nourriture
Qu'importe sa forme, Humphrey sera toujours un éternel glouton. (même si, heureusement, il n'a pas la même voracité que quand il était une vraie baleine.)
Jour 26 - Joyau
"Brillant... Pour moi... ?"
Jour 27 - Halle Bailey
Bon, je vais pas m'étendre sur le sujet des remakes Disney, tout le monde sais et tout le monde est globalement d'accord sur ce point.
Non, là, le sujet est Miss Bailey. Personne ne pourra le nier, sa voix est magnifique. Et quelque soit l'état du film, si elle a pris plaisir à jouer le rôle d'Ariel, alors je suis ravie pour elle. Je lui souhaite également une bonne continuation dans sa carrière.
Jour 28 - Matelot
D'accord, je triche peut-être un peu avec ce thème là, mais c'est une idée qui me tournait dans la tête depuis un long moment et j'ai enfin eu une excuse pour la plancher sur papier.
Je ne sais pas si je suis là seule à avoir eu cette idée, mais je n'ai vu personne imaginer le Capitaine Caviar se retrouvant avec une forme de triton car Perle Noire l'a maudit.
Pourtant, j'en ai vu des gens qui l'ont dessiné en triton, alors ça me surprend de ne pas avoir déjà vu l'idée rôder ailleurs...
Jour 29 - Barbie
J’adorais les films Barbie quand j'étais petite, surtout la série des Fairytopia. J'ai ici dessiné Elina, personnage principale de cette série de films, qui prends une forme de sirène pour une bonne partie du film Mermaidia.
Jour 30 - Bleu
Je l'ai mentionné lors du jour 21, mais je vais devoir le réitérer pour ce thème. Léviathan est un triton-baleine bleu.
C'est d'ailleurs pour cette même raison qu'il est le plus grand parmi tout ses congénères : les baleines bleu sont les plus grand mammifères connus au monde. Même Humphrey, un petit triton-baleine à bosse en comparaison, ne fait littéralement pas la taille.
Enfin, peut-être que sous sa forme d'origine, Humphrey aurait-pu surpasser Léviathan.
Jour 31 - Bonne nuit
Je n'aurais jamais deviné que j'avais besoin dans ma vie de voir Dino-sour être une figure paternelle pour un bébé cookie à moitié dinosaure.
Oui, la phrase précédente ne fait aucun sens hors contexte.
Je ne joue plus à Ovenbreak depuis... même avant ce qu'il c'est passé avec Yogurca (le moins on en parle, le mieux c'est), mais j'essaie tout de même de suivre les histoires sur YouTube. Et honnêtement, je trouve que Pond-Dino est la meilleur chose qui soit arrivé à la mise à jour "Rise of the Blue Dragon". Je comprends que son design gène certains (il est assez surcharger, il faut l'admettre), mais... Juste...
Bébé... <3
Bébé qui dort comme une loutre. <3
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*~ Troisième semaine ||
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