Tumgik
#alors que je m'étais dit que non
lady-foxy · 2 years
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Twitter pire drogue du monde
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perduedansmatete · 5 months
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j'ai envie de vomir des trucs ici mais mon cerveau fonctionne plus je suis dans un état atroce j'ai l'impression de pas avoir dormi depuis mercredi et c'est pas vraiment qu'une impression le concert jeudi m'a fait un bien fou malgré une première partie qui m'a angoissé tellement elle était nulle et le son horrible ensuite je suis allée dormir chez l'ami platonique mais on a pas vraiment dormi car il était pas fatigué du tout quand je suis arrivée je l'ai trouvé en boule dans le noir dans son lit je me suis couchée avec son chien que vers quatre heures je crois et lui m'a suivi bien plus tard même si des fois il venait me voir et me faisait plein de petits bisous en me disant qu'il m'aimait puis comme d'habitude j'ai cru que j'allais me motiver pour aller en cours de chez lui car c'est plus proche mais il s'est couché avec moi à peu près à l'heure à laquelle je devais commencer à me bouger j'étais extenuée de pas avoir vraiment dormi du coup je l'ai supplié de pouvoir sécher et comme toujours il a cédé très facilement donc on a dormi collés un peu toute la journée puis j'ai du le quitter non pas pour aller en cours mais pour repasser chez moi avant d'aller à un autre concert avec le pote un peu crush et au final je suis rentrée chez moi qu'à neuf heures ce matin et je sais pas quoi raconter de cette soirée il s'est passé trop de choses et en même temps rien j'ai pécho le gars mais au final je crois que j'aurais préféré ne pas le faire d'ailleurs je m'étais dit sur le chemin mathilde si tu as envie de lui ne le pécho pas ce soir mais j'ai admirablement échoué et j'ai l'impression que je suis vraiment dans un stade avancé de dégout et d'angoisse des mecs du coup je pense pas que ça m'ait fait du bien c'est comme si j'avais vérifié que oui bon même quand tout va bien ça ne va pas bien dans ma tête enfin bon à part ça c'était n'importe quoi cette soirée mais dans le bon sens je suis encore montée sur scène à la fin du concert vraiment deux fois en deux semaines ça me fait trop rire je suis tombée amoureuse d'une quadra aux cheveux roses qui était manifestement flattée que je la trouve si belle à part ça j'étais arrachée puissance mille on est allés au resto il a perdu ses clefs de voiture mais on les a retrouvé la soirée après le concert était folle j'ai trop aimé on était trop bien on a fumé dans sa voiture on a découvert qu'on était un peu le yin et le yang car il a des problèmes dans tout le côté droit du corps et moi c'est tout le côté gauche qui est niqué même si d'ailleurs j'ai remarqué que je n'avais pas de douleur en ce moment enfin je ne sais pas si je n'en ai pas ou si je les sens juste plus c'est à creuser et en parlant de douleur j'ai un bleu magnifique qu'on a retravaillé mdr je l'aime trop il est parfait sinon après être rentrée ce matin j'ai dormi genre deux heures je me suis un peu engueulée avec l'ami platonique donc je me sentais comme une merde puis je me suis réveillée dans la douleur d'un premier jour de règles et avec une motivation à me lever avoisinant les zéros mais j'avais un goûter d'anniversaire car oui on est un peu des bébés avec mes amis du coup j'ai retraversé tout paris sous la pluie mais c'était une belle après-midi on a bien rigolé même si j'étais un peu mal toute la journée d'avoir l'impression d'être folle et alors en rentrant on discutait et je ne sais plus comment on en est venues là mais mes amies m'ont dit que si mon meilleur ami que j'ai revu il n'y a pas longtemps était vraiment vraiment amoureux de moi à l'époque et peut-être encore maintenant je vais y penser toute la soirée du coup et il faudrait que j'écrive dessus car c'était un peu évident et en même temps non et ça me fait rire et ça me fait plein d'autres trucs et si l'amour c'est juste tous nos petits trucs qu'on avait avant alors je veux bien être amoureuse de lui car c'est tout doux et peut-être qu'après tout je me trompe et j'ai juste besoin de douceur mystère
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homomenhommes · 7 months
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story: MON BON REBEU -04
Salut à tous, Je reviens vers vous avec une petite suite !
Cela faisait quelques jours depuis mon défonçage de cul à Foot Locker. Je ne lui avais toujours pas envoyé de message, je n'osais pas, et je me sentais humilié.
Par manque total de bite, je m'étais risque à envoyer un message à Adam, même si en cas de refus, la frustration serait plus grande.
"Salut, Ca va ? Tu rentres un de ses jours sur Poitiers? J'ai envie de ta bite"
J'ai attendu une journée, si ce n'est plus (le temps passe vite entre les cours, les devoirs et les soirées) avant d'avoir une réponse.
"Slt, j'passe le week-end chez toi."
Il était simple, peut être un peu trop simple. J'aurais aimé un message plus enflamme mais bref.
Le vendredi soir, en sortant des cours, je me suis précipité chez moi afin de faire à manger, ranger un peu le bordel, mettre des bières au frais, et me laver. Je ne tenais plus en place. Je savais que dans quelques heures mon bon rebeu serait pour la première fois chez moi, qui me limerais comme il se doit.
J'allume une cigarette, à la fenêtre dans l'espoir de l'apercevoir, de le voir arriver, dans toute sa virilité.
21:00 et toujours aucune nouvelle. Il avait peut être changé d'avis ? Non, il m'aurait prévenu, il ne m'aurait pas envoyé une petite liste de course sinon.
22:00 cinquième cigarette, et toujours aucune nouvelle. Les assiettes étaient froides, et je le devenais aussi. Apres un autre SMS, je me résolu, ferma la fenêtre et alluma la télévision.
23:00 enfin ! Quelqu'un sonne à la porte, je me précipite sur l'interphone.
"C'est moi" dit-il avec sa voix si virile. Je lui ouvrit, lui indiqua l'étage et l'attendais sur le pallier. Il arrivait en petite foulée, le sac de sport accroché sur son épaule. Son manteau en cuir accentué encore plus sa carrure, son jogging lui moulait ses mollet, et sa casquette cachait de regard ténébreux et bestial que je recherchais tant.
Il s'approcha de moi, passa sa main sous mon dos, m'attirait vers lui. Sa langue rentra complètement dans ma bouche. Une fessées et il rentra dans mon appartement.
"Tranquille chez toi"
"J'trouve aussi, tu peux poser ton sac dans la chambre si tu veux. Un bière ?"
Il ne répondit pas par oui, mais par un claquement de langue.
J'installais les boissons et le repas sur la table basse dans le salon. En revenant, il s'affala sur le canape, les cuisses bien écarté. Il sortis une cigarette qu'il alluma, me prit par le menton et m'enfuma. Il bu une grande gorge de bière.
"Pas trop attendu ?"
"Un peu quand même"
"C'pas mon problème"
Il prit alors mon assiette, et la reversa dans la sienne.
"J'ai grave faim"
Alors qu'il fumait, il alluma la télé, décala la table basse avec ses pueds.
"Allez, au pieds salope, à quatre pattes, sert moi de repose pieds".
J'étais un peu sous le choc, pour lui je n'étais la que pour le servir. Mais j'obéis à son ordre, la queue bien droite dans le pantalon. Il reposa brutalement ses pieds sur mon dos.
"C'est bien petite pute" dit il en expirant la fume. Il finit par prendre son assiette et mangea la totalité. Je commençais à avoir faim.
Il se tâtait le paquet, me siffla et me dit "si ta envie de ma bite viens la prendre"
Il ne disait rien et s'étais allume une cigarette. Je me retrouvais entre ses cuisses, la tête colle sur son paquet et son jogging.
Tout à coup, il me l'écrasa, la retiens avec son bras. Il sortis son membre et me frappa le visage avec. Avant de me la rentrer brutalement quelques fois dans la gorge.
"T'aime Ca ?" Me dit il un peu inquiet.
"J'adore"
Il continua son petit jeu un moment avant de me dire de sucer. Je m'appliquais à passer ma langue partout, à lécher ses boules et son périnée. Il lâchait par moment des râles de plaisir.
"Met toi à quatre pattes, je veux ton cul".
Aussitôt dit, aussitôt fait. Je l'attendais. Il cracha quelques gros Molard sur la rondelle, et y enfonça brutalement et rapidement quelques doigts.
Son penis venait de rentrer complètement dans mon cul. Ses deux mains tenaient fermement mes hanches. Sa cuisse était relèvee et se posait sur mon cul.
Je hurlais.
Il me ramona, brutalement pendant quelques minutes. "Moi c'est ton cil qui m'a manqué salope"
Je gémissais. Il m'élargissait le trou avec une telle facilité. Ses boules claques sur mon cul, et parfois des fessées résonnait dans tout l'appartement.
Il sorti rapidement de mon cul, et se rassit sur le canapé. Il ne dit rien, et s'alluma une clope.
Je lui grimpai dessus quand il me dit "tu la veux encore ? C'est bien" Je m'enfonçais petit en petit. Je sentais le poids de mon corps m'empaler sur ce chibre.
Je faisaiw quelque mouvement de bassin, des bisous dans le cou pendant que mes mains caressées tout son corps.
Il écrasa sa cigarette, et me lima brutalement. Je hurlais de plaisir. Il mit une claque, et me cracha à la gueule.
"Ta gueule salope, je vais venir".
Il me jetta sur le canapé, releva la tête et enfonça son pieu au plus profond de ma gorge. Je ne pouvais plus respirer.
Je sentis son gland gonfler, et des jets puissants s'écraser dans le fond. Je lui nettoyais le penis, il remonta son jog' et fit un soupir.
SLUT
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claudehenrion · 8 months
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Quand tout ne va plus ''comme il faudrait''
Chers Amis-lecteurs,
Je vous dois des excuses : je me suis lourdement trompé dans ma capacité à ''comprendre demain''. Confiant dans mon amour de ce Blog, dans mon désir-besoin de communiquer avec vous tous et avec chacun d'entre vous séparément, et dans l'optimisme qui est certainement une marque de ''qui je suis'', je m'étais promis de tenir mon habituel rythme hebdomadaire pendant tout l'été et de reprendre le 6 septembre notre dialogue par ''éditos'' interposés...
Je n'avais pas anticipé –il s'en faut de beaucoup-- le bouleversement que peut représenter la disparition d'une épouse après quelque 68 ans de complicité... et, plus encore, la charge tellement insupportablement chronophage qui accompagne ces quelques mots apparemment indifférents à ceux qui n'y ont pas été confrontés : ''une succession'' !
Je dois vous avouer que je suis complètement noyé dans les tâches, obligations, complexités, délais et dates impératives qui font escorte à ce mot sinistre. Entre les heures de recherche de documents –bien sûr égarés depuis des lustres--, les rendez-vous fixés par des tiers à l'autre bout de la France, à la ville, à la campagne, à la mer et à la montagne pour revisiter les résidences dont nous nous réservions l'utilisation (on appelle ''inventaires mobiliers'' cette exigence barbare d'une administration fiscale qui l'est tout autant –dans ses règlements, pas dans tous ses intervenants). En gros, cela consiste à racheter à l'Etat tout ce qui est à toi, mais qu'il accepte te revendre, fort cher, si tu veux en conserver la jouissance... au seul motif totalement non-pertinent que tu as perdu une partie de toi-même, ''ta moitié''!
En effet, dans notre pays qui ose se dire démocratique et civilisé (alors qu'il n'est que ''administré'', nous en parlions récemment), pour avoir le droit d'utiliser ce qui est a vous et qui a déjà payé (et très largement) impôts, taxes, ISF/IFI, contributions, et autres substantifs confiscatoires, il vous faut payer et repayer encore et encore... Car au fond des choses, ce n'est pas vous qui êtes propriétaire de vos biens, mais l'Etat, le Léviathan, l'ogre avide de tout ce qui ne lui appartient pas, mais sur quoi il s'est attribué un droit abusif de dévolution successorale obligatoire, en faisant voter tout un arsenal de lois punitives, liberticides et conFISCatoires. par des ''représentants du peuple'' indignes de leur mandat.
Bref, je m'avoue vaincu par ''la force brutale de l'Etat'' (le mot est de Mitterrand. C'est le seul qui vaille qu'on s'en souvienne), et je dois déclarer ''forfait'', pour quelques semaines : il m'est absolument impossible d'écrire la moindre chose qui ait la qualité et le style que je me donne bien du mal pour tenir (le sujet n'est pas ''que j'y arrive ou non'' : ceci est à votre jugement individuel ! Moi, j'essaye, c'est tout ce que je puis faire).
J'interromps donc avec douleur notre dialogue et mes ''parutions''. Pour combien de temps ? Je n'en ai pas la moindre idée, mais ce sera sans doute un mois ou deux (mon agenda est déjà rempli jusque vers la deuxième partie de novembre ! Je vous promets de revenir vers vous aussitôt que le nœud coulant se relâchera... Croyez bien que j'en suis désolé, profondément, mais je n'ai pas pu trouver d'autre solution que je puisse être capable de tenir jusqu'à Noël prochain...
A bientôt le plaisir de vous retrouver, et d'ici-là, comme le disait Giscard devant un petit bouquet d'anémones, ''Au revoir''...
Claude Henrion, ici habituellement dit ''H-Cl''.
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swedesinstockholm · 18 days
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20 avril
pendant qu'on mangeait des lasagnes aux blettes l. nous racontait ses souvenirs d'enfance au bord de la pétrusse, la maison de sa tante avait une porte secrète à la cave qui menait dans la falaise de la ville mais elle a été détruite pour construire un mini golf. ça m'a un peu changé les idées, jusqu'à ce que la conversation tourne vers trouver un travail, ce qui m'a de nouveau donné envie de pleurer, parce que quand on me parle de travail j'ai envie de pleurer, c'est une loi de l'univers. surtout quand on m'en parle avec bienveillance. elle avait pas du tout l'air de me juger, alors que peut être qu'elle me jugeait un peu parce que juste avant elles parlaient de ces jeunes qui veulent plus travailler avec maman, comme si j'étais pas là à table avec elles, moi une jeune qui ne veut pas travailler. elle m'a demandé ce que j'aimerais faire dans l'idéal et j'ai dit je sais pas. dans l'idéal j'aimerais mourir. ou être rockstar, ou comédienne. ou écrivaine-femme au foyer. dans l'idéal j'aimerais être mariée. et être sur scène. un mix de tout ça. mais je pouvais pas lui dire ça elle m'aurait prise pour une frappadingue, même si elle a dit dans l'idéal, elle a pas dit dans une réalité alternative. elle m'a dit que mes cheveux étaient très jolis. je m'étais dit que mes nouveaux cheveux allaient me motiver à faire quelque chose de ma journée mais non je suis au lit et j'ai envie de rien et en plus j'ai mangé trop de lasagnes aux blettes.
hier soir r. m'a envoyé une vidéo d'un ado qui répète YOU MATTER devant une caméra de sonnette de porte et évidemment je l'ai pris personnellement et j'ai eu envie de jeter mon téléphone par la fenêtre. l'autre jour je lui ai raconté mon anecdote de la thérapeute qui m'avait envoyée chez le prêtre parce que d'après elle je manquais d'amour et qu'elle disait qu'elle pouvait plus rien pour moi et puis tant qu'à faire je lui ai aussi parlé de maman et du fait que je me sentais pas aimée et après je me suis dit putain mais moi c'est tout ou rien, ou je reste fermée comme une huître ou je me mets toute nue avec toutes mes blessures à la vue. et ça me rend malade qu'il soit extra gentil avec moi et me demande régulièrement comment je vais parce qu'il sait que je suis fragile, et maintenant il sait aussi que je suis complètement cassée, mais je veux pas être sa pote fragile et vaguement drôle qui aime la bonne musique et qui sait écouter les problèmes des autres avec bienveillance. je veux qu'il pense à moi 24/7 et qu'il ait envie de me voir tout le temps, je veux rencontrer sa fille et qu'on cuisine ensemble dans sa petite cuisine en enfilade, je veux prendre le train avec lui et m'endormir sur son épaule et me réveiller sur la côte belge parce que je sais rester réaliste dans mes fantasmes et me promener sur la plage avec lui en mangeant une glace, ou pas, je m'en fous, je veux juste être avec lui. je veux tellement être avec lui que j'en dors pas la nuit. même j. ne me rendait pas aussi malade. mais c'était y a dix ans, j'avais accumulé moins de solitude.
ce matin chez le coiffeur j'imaginais ce qu'il dirait si je lui racontais tout. et ça fait UN AN que ça dure?? et t'es toujours pas passée à autre chose? non brian. j'avais envie que tout le monde dans le salon de coiffure vienne me présenter ses sincères voeux de bon rétablissement ou juste sa compassion en me gratouillant la tête pendant que moi je gratouillais la tête du petit chien blanc qui dormait dans mes bras.
22 avril
j'arrive pas à écrire. j'arrive pas à écrire. j'arrive pas à écrire. je suis sortie marcher pendant une heure pour prendre l'air et m'aérer le cerveau mais ça marche pas, je me retrouve exactement au même endroit en rentrant. je me demande si j'arriverais à écrire ailleurs. je crois que oui. le lundi après-midi maintenant maman ne travaille plus et ça me fait prendre conscience qu'une fois qu'elle sera à la retraite à la fin de l'année j'aurai plus le choix, je serai obligée de déménager parce qu'elle sera à la maison toute la journée et ce genre de cohabitation intense est inenvisageable. j'ai huit mois pour préparer mon départ. samedi l. disait qu'elle avait lu que l'état comptait embaucher 1500 personnes bientôt et j'ai dit ah ben oui je regarderai alors que non je regarderai pas. elle m'a aussi parlé de son amie écrivaine qui vit à vienne et qui gagne de l'argent en rédigeant des annonces publicitaires pour un journal (??) mais qu'elle gagne qu'une centaine d'euros avec ça et maman a demandé comment elle faisait pour vivre alors et l. a dit elle est mariée. i rest my case, je dois me marier.
23 avril
j'ai parlé de mes soucis d'occupation à a. hier soir et elle m'a dit pourquoi tu ferais pas des études d'océanographie? c'est ton truc non la mer? et puis elle m'a suggéré de faire du wwoofing, si jamais je me retrouve sans plan au mois de décembre, y a toujours le wwoofing. mon éternel plan de fuite que je ne déclenche jamais. mais je peux pas faire ça indéfiniment. je suis pas le genre de personne à pouvoir vivre de wwoofing et d'eau fraîche comme ces gens en commentaires dans les groupes fb que j'ai rejoint dans le but de me motiver. par exemple dimanche dans la forêt j'ai croisé une bande de jeunes avec des sacs à dos et une carte et un chien comme le club des cinq, ils avaient l'air un peu perdus et ils écoutaient de la musique sur un téléphone en fond sonore et y en avait un qui disait j'en peux plus je dois manger un truc et puis il a commencé à grêler et un peu plus loin j'ai croisé un couple de pré-retraités en doudoune fine à petits bourrelets avec des bâtons de marche et j'avais mille fois plus envie d'être eux que le groupe de jeunes avec leurs sacs à dos. c'est pas que j'avais vraiment envie d'être eux, mais je tendais plus vers eux, vers leur mode de vie, je sais pas, ils représentaient comme une espèce de réconfort, après avoir croisé les autres en train de galérer avec leur aventure. mais j'ai pas toujours préféré les vieux aux jeunes de toute façon? en fait je crois j'échapperai juste jamais à mon désir de vivre une vie de retraitée aisée dans ma jolie maison confortable.
j'ai l'impression que tous mes raisonnements tournent en rond et que je me cogne contre toujours le même mur, et que tant que je serai coincée ici tout ce que je dirai sera faussé. peut être que je devrais changer l'utilisation de mon journal et ne noter plus que les trucs positifs, et donc non faussés, plus de raisonnements et de plaintes et de jérémiades, que les choses qui sont bien et simples et concrètes et là et qui méritent d'être remarquées. alors: je suis toujours assez contente de me lever le matin même si je fais rien de particulier, en ce moment il fait soleil et c'est toujours mon moment préféré de la journée. hier soir a. m'a complimentée sur mes nouveaux cheveux. je lui ai prêté sabir et point de chute parce qu'elle voulait lire mes textes. j'ai échangé des sourires avec le chef de choeur et ça c'était bien aussi. pour une fois j'ai pas une seule fois plongé dans le puits de tristesse. peut être qu'il l'a remarqué. peut être qu'il a compris que j'avais rejoint cette chorale uniquement dans un but thérapeutique, vu comment je chante/chante pas quand j'en peux plus. enfin au début c'était pour chanter mais je me suis vite rendu compte que c'était au dessus de mes capacités vocales. j'ai aussi vu un cheval hier, ou un poney plus probablement, et puis en rentrant de ma promenade dans les champs j'ai mangé les restes de mon cheesecake de ce weekend. j'avais aussi fait une très bonne tarte pomme-poire à la cannelle parce qu'il me restait de la pâte et je l'ai finie hier soir devant c ce soir en rentrant de la chorale. voilà pour la journée d'hier.
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chifourmi · 2 years
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Je viens de vivre la journée la plus épuisante de toute ma vie. 7h de vol avec une escale de 4h à Montréal pour ensuite avoir 1h de vol jusqu'à Québec. Durant l'escale, passer par la douane et attendre 2h30 pour enfin avoir mon permis de travail, l'officiel cette fois.
Prendre un taxi jusqu'à l'appart et à la fin du trajet, quand on paye le mec, il nous dit que c'est toujours plus sympa de mettre plus que le montant exact. Là je me rappelle que j'avais lu que c'était impoli de ne pas mettre de pourboire au Québec. Tout sourire je lui dit "pas de soucis, attendez" puis il me dit "non laissez tomber", se dépêche de retirer nos valises de sa voiture, m'arrache les pièces de la main et en fait tomber une par terre qu'il ne ramasse pas. Il a pensé que je m'étais sentie forcée de lui donner un pourboire alors que je voulais vraiment le faire. Bref ça m'a fait hyper mal au cœur que mon premier contact avec un Québécois se passe aussi mal. Tandis que la meuf avec qui je suis partie n'a pas calculé sa réaction, elle a été choquée 2 secondes puis est passée à autre chose. Fichue sensibilité.
Bref je suis exténuée. Et j'ai le blues parce que maintenant quand je serai connectée le soir, ce sera la nuit pour ma famille et mes potes. Sinon j'ai vu les bois colorés depuis l'avion et j'ai trop hâte de découvrir ça, c'est juste magique. Je ne réalise pas que je suis au Québec, genre enfin? J'espère que je vais aimer mon stage par contre.
Ce post va dans tous les sens et ça résume bien ma journée!!
(12/10/2022)
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iamacolor · 11 months
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hey *wink wink même si je ne sais pas cligner des yeux*
je voulais savoir si tu avais des séries françaises/francophones préférées. je viens d'y penser ce matin mais je me suis rendue comtpe que mes séries préférées sont tout sauf françaises </3 je me demande si tu as des recommendations ? 💜
ps : j'aime beaucoup discuter avec toi 💜 tu as toujours un point de vue intéressant et c'est pour ça que je n'arrête pas de t'embêter ces derniers temps 😅😅😅
hellooooo bon déjà désolée pour la réponse bien tardive ! (wink back même si je sais cligner que d'un côté)
alors pas vraiment parce que comme mes parents n'ont pas la télé j'ai pas du tout grandi en regardant la télé française ou non (sauf pendant les vacances chez mes grands parents et là on regardait des dessins animés) ou en m'intéressant à ce qui s'y passait donc quand j'ai commencé à regarder des séries c'était sur internet en anglais et j'ai jamais trop pris le réflexe de me tenir au courant des séries françaises - qui me semblaient d'ailleurs toutes être policières, j'aimais bien regardé quelques epidoes pendant les vacances avec ma grand mère mais je ne suivais rien donc j'ai pas retenu de noms ou quoique ce soit (mais ma grand mère et un de mes frères ont regardé cherif qui se passe à Lyon - ma ville d'origine - et ils ont beaucoup aimé)! j'ai donc très peu de connaissances dessus mais il y a une série que j'ai regardé en famille parce qu'on nous avait offert les dvd et qu'on a beaucoup aimé c'était "fais pas ci, fais pas ça" à propos de deux familles voisines de valeurs et de styles bien différente.s - je viens d'une famille nombreuse donc ça nous rappelait beaucoup notre propre vie de famille, on voyait évoluer les deux familles principales, c'était parfois très très drôles et aussi touchant et vraiment bien joué ! j'avais regardé l'adaptation française de la série norvégienne skam et même si c'était sympa de voir une série adolescente française je préfère la version originale (la version française est un peu plus extra même si elle s'en tient au scénario de la version originale pour les 4 première saisons mais elle a quelques saisons en plus) ah et puis si j'ai regardé plusieurs épisodes de kaamelott, surtout les premières saisons, et c'est très drôles mais j'ai jamais vraiment suivi, c'est le genre de truc que je regardais pendanr les vacances quoi (en plus des séries policières on fait pas mal de séries comiques sous format de sketchs courts en France et c'est sympa mais ça me laisse pas en haleine pour le prochain épisode alors j'aurais du mal à suivrz ce genre de série à long terme)
c'est dommage parce que je suis assez coupée d'un grand pan de la culture audiovisuelle française et j'aimerai bien en regarder plus mais bon vu le type de séries que je regarde en anglais ou en coréen, on n'a pas trop ça en France j'ai l'impression (comédies romantiques, melodramas, historiques, fantastiques etc) après j'ai entendu parlé d'une mini-série Le Bazar de la Charité sur l'incendie du grand-magasin parisien à la fin du 19ème siècle à travers l'histoire de plusieurs femmes et j'avais lu un roman avec une histoire similaire que j'avais beaucoup aimé (mais la série n'est pas une adaptation) donc je m'étais dit qu'il faudrait que je la regarde un de ces jours ! mais je pense que ça a dû sortir il y a au moins 2 ou 3 ans donc je suis à la traîne
ah et si je viens de me souvenir que j'avais regardé la première saison de plan cœur qui pour le coup est vraiment construit comme une série romantique et qui reprend plusieurs "tropes" assez classiques et j'avais trouvé ça sympa même si je me souviens qu'une des meilleurs amies de l'héroïne m'énervait beaucoup lol et après je crois qu'il y a eu une saison 2 mais j'ai jamais pris le temps de m'y mettre (j'ai du mal à suivre des séries si personne que je connais ou que je suis sur tumblr ne les regarde aussi parce que je suis pas du tout du genre à me tenir au courant de ce qui sort, à me remotiver toute seule pour regarder à temps etc et en plus je regardais sur le compte d'une amie qui regardait aussi et puis elle a supprimé son compte Netflix alors la flemme quoi 😂) et sinon dans un style coooomplétement différent j'ai regardé la flamme sur canal+, c'est pas mal passé sur les réseaux donc t'en a sûrement entendu parler mais moi j'ai rattrapé ça en retard mais au cas où tu n'en n'ai pas entendu parlé, c'est une parodie d'une émission TV, c'est assez déjanté et très décalé et le personnage principal est absolument insupportable (mais c'est voulu) mais drôle, ça fait plus succession de sketchs comiques sur le format d'une émission que vrai série donc c'est assez léger à regarder
je crois aussi que de regarder des séries étrangères ça fait un peu plus voyager, on se déconnecte plus de notre quotidien et de notre réalité et de l'actualité donc c'est assez attirant, tous les détails sont stimulants parce que moins connus ! t'as regardé quoi toi comme séries françaises ?
ps: ça ne m'embête ABSOLUMENT PAS, j'aime bien échanger avec toi et si tu ne l'as pas déjà remarqué je suis assez bavarde donc ça me donne des occasions d'écrire des bons pâtés mdr je réponds pas toujours très vite mais ça me fait toujours plaisir !!
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t-marveland · 2 years
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𝐅𝐚𝐢𝐫𝐲 𝐓𝐚𝐢𝐥 | Sting Eucliffe
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ᵈʳᵃʷⁱⁿᵍ ᵐᵃᵈᵉ ᵇʸ ʰⁱʳᵒ ᵐᵃˢʰⁱᵐᵃ
𝐀𝐑𝐑𝐎𝐆𝐀𝐍𝐂𝐄
Sting Eucliffe x Reader
Warnings : Spoil Fairy Tail
Mots : 1777
Masterlist
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❝ yoku yatta...❞
PDV (T/P)
    J'AVAIS ÉTÉ SÉLECTIONNÉ pour représenter ma guilde lors des Grands Jeux Magiques. C'était donc ainsi que je m'étais retrouvée dans la capitale de Fiore. La seule consigne qu'on avait eue pour le moment était d'être rentré avant minuit au dortoir. Alors Nastu, Lucy et moi, nous baladions dans la ville de Crocus.
    Natsu et Happy étaient comme des enfants et voulaient entrer dans presque toutes les boutiques. 
    ❝━ S'il vous plaît les filles, je vais juste jeter un coup d'œil. Supplia-t-il.❞
    On se regarda et on acquiesça, après tout, c'était son argent et il en faisait ce qu'il voulait.
    On décida de s'asseoir sur un banc à proximité ayant encore mal un peu partout à cause du déverrouillage de la Seconde Origine. Cependant, on ne resta pas calme très longtemps puisqu'on entendit des cris. On se regarda, intriguée et on décida de s'approcher.
    Au centre, il y avait deux jeunes hommes. Le premier avait les cheveux courts blonds avec une cicatrice au-dessus de l'œil droit. Alors que le second avait les cheveux noirs ébouriffés recouvrant la majeure partie de son visage et les yeux rouges. Des dizaines d'hommes étaient étalés sur le sol et semblaient agoniser. 
    ❝━ Quelqu'un d'autre ?❞
    En nous voyant arriver, leurs yeux se posèrent directement sur la main de Lucy. 
    ❝━ Regardez qui est là, des membres de Fairy Tail. Vous êtes encore venu vous faire massacrer ? Railla le blond avec un air supérieur.❞
    Je le toisai du regard, Lucy semblait vouloir l'ignorer, mais ce n'était pas mon cas. J'avançai et me retrouvai en face de lui, il était bien plus grand que moi, mais ce n'était pas ça qui allait me faire peur.
    ❝━ C'est quoi ton problème ? Sifflai-je méchamment.
━ Du calme, chérie. Ce n'est pas encore le moment pour montrer les crocs. Répondit-il avec un sourire narquois.❞
    J'étais prête à le remettre à sa place, mais Lucy me prit le bras.
    ❝━ Calme-toi. On va pas se donner en spectacle. Chuchota-t-elle voyant que tout le monde nous regardait.
━ Tu ferais mieux d'écouter ta copine. Ajouta-t-il.❞
    Je haussai un sourcil. Il faisait exprès de m'énerver, et je le savais, mais je ne pouvais pas m'empêcher de vouloir écraser sa tête contre un mur.
    ❝━ Sinon quoi ? Le provoquai-je.❞
    Je plantai mes yeux dans les siens bien décidée à ne pas les baisser face à son regard perçant. Je n'allais pas abandonner.
    ❝━ Il se passe quoi ici ? Dit Natsu arrivant avec Happy.❞
    Le blond brisa notre duel de regard et se tourna vers lui. Ses yeux s'écarquillèrent.
    ❝━ Toi ?
━ Nastu Dragneel ! S'exclama le ténébreux.
━ Vous êtes qui ?
━ N'as-tu jamais entendu parler des dragons jumeaux, Sting et Rogue ? Intervenu un spectateur.
━ Alors ces deux-là sont de... Commença Lucy.
━ Sabertooth ? Termina Nastu.❞
    Sting rigola et s'approcha de Nastu. 
    ❝━ Je t'attendais !
━ Tu me connais ?
━ Acnologia. Dit simplement Sting.❞
    Je me tendis, le sujet sensible venait d'être mis sur le tapis.
    ❝━ Tu es le Dragon Slayer qui n'a pas pu chasser un dragon, non ? Es-tu certain que tu devrais continuer de te dire Dragon Slayer ?❞
    Je vis que Nastu serra les poings et les dents.
    ❝━ Tu sais, je t'ai déjà admiré.❞
    Il montra son ami.
    ❝━ Ce gars était fasciné par Gajeel.
━ J'étais juste intéressé en tant que Dragon Slayer comme lui. Précisa Rogue.
━ Dragon Slayer ? Vous deux ? Ricanai-je.
━ Tu devrais nous appeler 'Vrais Dragons Slayer'. Nous aurions battu Acnologia.
━ Facile à dire quand on a jamais posé les yeux sur Acnologia. Se défendit Lucy.
━ Ça ne change rien qu'on l'ait vu ou non. On parle de différence dans les compétences de Dragon Slayer.
━ Nous sommes les plus puissants Dragons Slayers. Informa Rogue.
━ Ça va les chevilles ? Commentai-je.❞
    Ils me lancèrent un regard noir.
    ❝━ Vos dragons ont-ils aussi disparu pendant l'année 777 ?! Demanda Natsu.
━ Et bien d'une certaine façon...
━ Je vais te le dire directement. Les dragons qui nous ont appris la magie de Dragon Slayer ont été tués de nos propres mains pour que nous devenions de véritables Dragon Slayer. Dit Rogue.
━ Vous avez tué des dragons... Dit Lucy, la voix tremblante.
━ Vous avez assassiné vos propres parents ? S'exclama Natsu, la colère commençant à monter.❞
    Je m'approchai de lui et mis ma main sur son épaule pour le calmer. Même si moi aussi, je voulais les remettre à leur place, il fallait qu'on garde nos forces pour le lendemain. 
    Leurs regards se dirigèrent vers moi avec surprise. Ils ne s'attendaient sûrement pas à ce que je tente d'apaiser Natsu, moi qui quelques minutes plus tôt voulais me battre avec eux.
    Finalement, après un long silence et de nombreux regards noirs, ils décidèrent de partir.
    ❝━ Si nous avons la chance de nous combattre pendant les jeux, je te montrerai la force qui peut tuer un vrai dragon.❞
    Ils commencèrent à partir, mais Sting se tourna vers moi et planta ses yeux dans les miens.
    ❝━ On se verra bientôt mais si tu t'ennuies, tu peux m'appeler. Ajouta-t-il en me faisait un clin d'œil.❞
    On arriva en retard au dortoir et Erza nous gronda fortement mais la seule chose que j'avais en tête était ces Dragons Slayers. Je n'avais qu'une envie : les revoir et les faire redescendre sur terre, surtout le blondinet.
    Plusieurs épreuves passèrent et je tentais de garder la face mais au fond de moi je n'avais qu'une envie, montrer ce que je valais. En effet, je n'avais encore fait aucune épreuve, je m'étais simplement contenté d'encourager mes camarades et à fêter leurs quelques victoires. Je voulais me battre et faire gagner des points à mon équipe.
    Finalement, mon tour arriva le troisième jour. Je devais me battre contre Yukino de Sabertooth.
    Sting avait les yeux rivés sur moi, pas que ça me déplaise au contraire, je pouvais lui montrer que Fairy Tail n'était pas aussi faible qu'il le prétendait. Ses yeux avaient une lueur d'excitation et son éternel sourire narquois était plaqué sur le visage.
    Yukino était trop confiante et allait jusqu'à parier sa propre vie. Moi aussi, j'étais confiante et j'avais accepté à la grande surprise de mes camarades. Cependant, il ne me fallut que quelques minutes pour la vaincre au grand désarroi de toute sa guilde.
    ❝━ Ta vie m'appartient maintenant.❞
    Je tournai la tête vers Sting et vis ses yeux meurtriers. 
    ❝━ On ne perdra jamais contre vous. Chuchotai-je sachant qu'il m'entendait.❞
    Je lui lançai un sourire narquois et lui fis un clin d'œil ce qui sembla l'énerver encore plus.
    Cependant, plus tard dans la soirée Yukino nous attendait devant notre hôtel. Elle semblait mal à l'aise en ma présence, probablement à cause de ce qu'il s'était passé plus tôt dans la journée alors quand la conversation fut terminée, je décidai d'aller la voir en privé. 
    ❝━ Salut. Dis-je.❞
    Elle se tourna vers moi et écarquilla les yeux.
    ❝━ Oublions ce qu'il s'est passé, ce parie était vraiment stupide. Tu as l'aire d'être d'une bonne personne en plus.❞
    Je l'entendis sangloter et elle s'effondra sur le sol, des larmes coulant sur ses joues. Je m'abaissai et posai une main rassurante sur son épaule.
    ❝━ Que se passe-t-il ? Si j'ai dit quelque chose qu'il ne fallait pas sache que je suis vraiment désolé.
━ Non. Ce n'est pas toi. C'est juste que personne ne m'a traité comme cela depuis longtemps.❞
    Je fronçai les sourcils et elle commença à m'expliquer la situation avec sa guilde.
    Elle me faisait de la peine et je me sentais coupable de ce qui lui arrivait. Je la pris dans mes bras et on resta comme ça jusqu'à ce qu'Happy arrive en courant vers nous.
    ❝━ (T/P) !! On a un problème.❞
    Je commençai à m'inquiéter.
    ❝━ C'est Natsu, il est parti à Sabertooth. Il a entendu votre conversation.❞
    J'écarquillai les yeux.
    ❝━ Tu m'excuses, il faut vraiment que j'y aille. Si tu as un problème ou juste envie de parler, n'hésites pas à venir me voir.❞
    Finalement, j'arrivai devant les logements de Sabertooth sans Happy, l'ayant perdu de vue. Nastu avait déjà tout détruit et il était au centre de la guilde furieux entouré par de nombreux corps.
    ❝━ Natsu ! Lui criai-je.❞
    Tous les regards se tournèrent vers moi dont Sting et Rogue. Je m'approchai de Natsu et lui pris le bras malgré les flammes qui me brûlaient.
    ❝━ Il faut que tu te calmes sinon on va avoir des ennuis.❞
    Le maître de Sabertooth rigola attirant notre attention. 
    ❝━ C'est trop tard, maintenant. Les ennuis ont déjà commencé.❞
    Il lança une attaque et Natsu commença à se battre avec lui. Finalement, une femme apparut stoppant l'attaque. Elle avait pris Happy en otage et le menaçait, ce qui nous obligea à partir.
    Plusieurs jours passèrent durant lesquels Natsu battu Sting et Rogue ainsi que Fairy Tail qui gagna le tournoi.
    Je me baladai dans les couloirs pour rejoindre les camarades à l'infirmerie quand je croisai Sting. Je ne comptais pas m'arrêter lui parler mais lui si.
    ❝━ Je suis désolé. Dit-il.❞
    Je le regardai et fronçai les sourcils, surprise. Peut-être que j'avais mal entendu.
    ❝━ Quoi ?
    ━ Ne m'oblige pas à le redire.❞
    Je croisai les bras et plantai mes yeux dans les siens.
    ❝━ J'ai été un peu arrogant et un peu méchant...❞
    Je rigolai légèrement le faisant lever les yeux vers moi, surpris.
    ❝━ À peine.❞
    Il sourit, faisant ressortir ses canines pointues et se gratta l'arrière de la tête, gêné.
    ❝━ Je ne pense pas que je sois la mieux placé pour recevoir tes excuses. Avouai-je.❞
    Il fronça les sourcils.
    ❝━ Lucy et Yukino les méritent plus que moi. Expliquai-je.
━ Et tu es humble en plus. As-tu des défauts ? Plaisanta-t-il.
━ En y réfléchissant bien, je ne pense pas.❞
    Il sourit, montrant ses dents incroyablement blanches.
    ❝━ Je pense la même chose. Avoua-t-il.❞
    Bizarrement je ressenti une chaleur au creux de mon ventre et mon sourire s'élargit.
    ❝━ Félicitation pour votre victoire. Ajouta-il.
━ Merci.
━ D'ailleurs, je me disais...❞
    Il marqua une pause, semblant hésiter.
    ❝━ Oui ?
━ J'aimerai bien te revoir après tout ça et seulement toi.❞
     Mes joues se réchauffèrent.
    ❝━ Avec plaisir. Répondis-je.❞
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bienvenuechezmoi · 1 year
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Moment ciné : Annie Colère
Je suis allée voir Annie Colère. C'est d'utilité publique pour les meufs. Ce film est loin d'être une simple rétrospective de lutte pour le droit à l'avortement en France.
J'y suis allée sans grande envie. Je m'étais dit que c'était bien d'aller voir une l'histoire fictive d'une femme au tournant du droit à l'avortement en France. Dans le contexte actuel je me suis dit que ça me permettrait de passer 2h de ma vie en se rappelant qu'il y a déjà eu des victoires et des avancées. Cependant j'avais quand même peur qu'on parle que de l'histoire d'un avortement d'une femme qui a déjà des enfants et qui n'en veut plus, c'est à dire d'un avortement correcte, celui qui a une ""bonne"" excuse.
Puis puis puis, ça a été tellement plus que ça. L'histoire en elle même n'est pas extraordinaire. L'histoire est plutôt simple mais je pense c'est ce qu'il fallait, une histoire d'une simplicité quotidienne parce que l'histoire n'est qu'une excuse pour parler d'un combat. Alors effectivement l'idée est de parler de ce moment important de l'année précédent la loi Veil mais on en apprend tellement plus.
Le début du film est lent et anxiogène, on rentre à l'intérieur de la peur des femmes, de la peur de l'avortement, de sa douleur quelqu'elles soit : physique ou psychique et de la mort. On est spectateur.trice d'un avortement entier de A à Z, la porte ne se referme pas pour nous laisser imaginer l'acte médical. Et c'est ici que l'acte politique ancré dans 2022 commence. On n'est plus sur une rétrospective, on est dans l'action, on est dans une réflexion politique du XXIeme siècle. Le film explique aux spectateur.trice.s comment un avortement est réalisé, qu'elles sont TOUTES les étapes sans coupure d'image et j'ai l'impression sans coupure de temps. L'avortement y est démystifié, son acte expliqué, non pas par son aspect intellectuel car la réalisatrice parle à public de 2022 qui croit dure comme fer au droit à l'avortement, mais par l'explication du geste médical simple d'un avortement. Qui peut dire aujourd'hui qu'il sait comment se passe l'acte avortif ? Pas moi.
Ensuite les sujets s'accumulent un par an plus ou moins lié à l'avortement. Tous autour des femmes évidemment et de leur émancipation. Une émancipation toujours en cours aujourd'hui car certains passages sautent aux yeux par leur actualité débordante de tristesse.
Enfin, mon point favori est la méfiance constante qui est apporté aux hommes présent dans le film. Leur place est bien là et nécessaire mais pas le bienvenue. Ils font tâche à l'image. Même les plus ouverts d'esprits et ceux que l'on peut qualifié d' alliés ont leur limite et seul les espaces sans hommes sont réconfortant à l'image. La peur de la trahison de leur part est constante et justifié par leur actes. Pareil, ici les actes de violences fait par les hommes sont multiples et diverses pour montrer le spectre des agressions possibles, quelles soient physique ou psychologique.
La conclusion est à l'espoir suite à ce droit de l'avortement octroyé sur le fil. Le film nous rappelle que ce droit ne nous a pas été donné ; nous l'avons prit par la pression et de ce fait la victoire n'est pas totale. En 1975, l'hôpital devient le nouveau lieu de l'avortement, une institution certes plus sécuritaire mais hautement patriarcale qui n'hésitera pas à casser les femmes de diverses façons. Cette lutte du droit à l'avortement est finalement une lutte comme une autre des droits des femmes dans son ensemble pour leur émancipation.
Le film invite les spectateur.trice.s à la prise d'actions politiques aujourd'hui et demain dans toutes les strates possibles entres femmes principalement car seule nous nous comprenons.
Dans les sujets qui font directement échos à l'actualité on parle de l'avortement qui doit pouvoir être fait par des sage femmes et des infirmières. On parle également de l'éducation sexuelle qui n'est toujours pas fait correctement voir éludé à l'école. Il y a également la critique de la gauche qui a trop souvent écrasé les femmes au nom de la lutte plus grande des classes.
Mais plus important encore que tous les sujets précédemment apportés, un des messages du film parmi les milliers diffusés ets que les femmes doivent engendrer, garder et transmettre entre elles les connaissances sur leurs corps pour être sur que ces connaissances ne se retournent jamais contre elles. Qu'elles soient maîtresse de leur destin à jamais et dans toutes les époques futurs.
Soyons les sorcières.
Bref allez voir se film, je ne vous ai rien spoilé. Pour preuve, vous ne savez pas comment effectuer un avortement.
Je finirai quand même en n' oubliant pas le clin d'œil du film pour des luttes de classes sociales et le message anti-capitaliste. Comme pour les luttes pour les femmes qui sont multiples, les luttes qui sont nécessaire en dehors de ce zoom du film doivent être diverses également.
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alimentetasante · 1 year
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Les "substitus de repas"
Cela fait un moment que je n'ai rien publié j'avoue mais entre mon travail de nutritionniste au centre de formation de l'OM avec plus de 80 jeunes à gérer et les suivis individuels que je fait, la priorité était bien sûr à tout cela vous pensez bien !
Mais en même temps, tout cela me permet d'avoir pleins de nouveaux sujets à traiter dans les prochaines semaines comme l'impact des hormones dans le sport féminin, ou encore l'importance de la nutrition au moment de la ménopause. Mais aujourd'hui j'attaque par un thème qui me tient à coeur car revenu à plusieurs reprises dans mes suivis : celui des subsitut de repas... Ca vous parle ?
Vous savez ces petits sachets à boire ou ces barres qu'on vous vend comme sain, bon pour la santé, rapides, faciles et surtout... qui vous feront perdre du poids... Déjà revenons sur un sujet global ! On vous dis toujours sur n'importe quel site que si l'occasion est trop belle c'est qu'il y a un loup quelque part non ? Et si on reprends un peu le fonctionnement de la nature, lorsque vous décidez de faire un enfant cela mets 9 mois pas trois non ? Ou alors un arbre que vous plantez ne fera pas de fruits demain non plus non ? Et bien pour le poids... désolée de vous dire que c'est pareil ! On ne change pas tout en 3 jours, on ne perds pas 15 kilos en 2 semaines (ou alors on se mets en danger et on les reprends ensuite) et toutes les solutions dites "miracle"... sont des arnaques !!
Cela étant dit lol, penchons nous plus en détail sur ces "subsitus de repas"... J'ai choisis la marque qu'on m'a le plus cité ces derniers mois mais cela aurait pu etre n'importe quelle autre marque !! (le pire c'est que maintenant que j'ai regardé en détail le site j'ai que ce genre de pub qui s'affiche sur mes réseaux...)
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Ca vous parle ces petits sachets ? Vendu comme hyper protéiné et qui vous empecherons d'avoir faim ? Je vous le dit, des études scientifiques montrent que manger des oeufs le matin aident à réduire la faim, les oeufs étant également la source de protéine la mieux assimilée par le corps (à bon entendeur haha)
Penchons-nous donc sur la composition : Protéines de lait, farine de riz, poudre de lait écrémé, farine d'avoine sans gluten, lin jaune, minéraux (phosphate de magnésium, phosphate de potassium, phosphate tricalcique, citrate de potassium, chlorure de potassium, gluconate de zinc, pyrophosphate de fer, levure enrichie en sélénium, gluconate de cuivre, sulfate de manganèse, iodure de potassium), huile de tournesol en poudre (huile de tournesol, maltodextrine), fibre soluble de maïs, protéine de pois, arômes naturels, cassis désydraté morceaux, jus de betterave rouge en poudre, épaississants : gomme xanthane et gomme de guar, acidifiant : acide citrique, sel, vitamines (C, E, B3, A, B5, B6, B1, B2, B9, K, B8, D, B12), édulcorants : acésulfame de potassium, sucralose et glycosides de stéviol (extrait de stévia rebaudiana), arôme naturel de fruits avec autres arômes naturels, antioxydant : extrait naturel de romarin.
Voila, voila.... je pense que si vous cherchez de la protéine à boire il vaut mieux de la protéine de qualité type Isolate... En plus d'un contenu plus que médiocre que l'on vous vend comme correspondant à vos besoins nutritionnels (personne ne les a calculé selon VOS besoins et VOTRE mode de vie en plus) je vous rappelle que notre organisme pour entamer le processus de digestion a besoin de MACHER ! La vous avalez un sachet en moins de 2 minutes qui n'enclenche absolument rien et qui en plus contient des glucides a indice glycémique élevés (qui passent donc rapidement dans le sang) et je doute de la qualité des citamines contenues à l'intérieur et de la disponibilité pour notre corps.
Je m'étais donc amuser à calculer tout ce que vous pourriez manger de bon à la place d'un sachet faisant environ 220 Kcal (même si pour moi ce chiffre ne veut rien dire)
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Voilà... Vous pourriez manger tout cela à chaque sachet ! Vous allez me dire que c'est pas pratique pour la vie de tous les jours ? 1 tuperware avec un kit de couvert dans le sac et votre santé est sauvée ! (Et puis ce ne sont que des exemples, il existent bien d'autres solutions très bonnes pour la santé) Bon le tout maintenant... c'est de ne pas manger tout cela aussi vsite que votre sachet à boire mais ceci est un autre sujet !! A bientôt
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enthychee · 5 days
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Les vagues m'avaient laissé sur la plage, confiante, j'attendais qu'elles me reprennent. Mais plus le temps passait plus le doute m'envahissait...
Allais-je revenir en arrière? Je ne m'étais jamais posé la question, elles m'avaient toujours reprise, toujours ramenée. Les vagues n'avaient jamais faillies. Ce sont de dures maítresses, mais elles sont fidèles. Rester sur le rivage, etre oubliée, exclue, non, cela ne pouvait pas se produire.
Chez moi, on dit que la mer reprend toujours les siens...
''Chez moi!“... Comment ai-je pu dire '''chez moi!' comme ca... comme-ci c'ètait vrai. Je ne suis pas de là bas. Oui, la mer m'a adopté, mais elle n'est pas ''chez moi''... chez moi c n'est pas bleu, c'est blanc, gris parfois. Moi-meme... l'auriez-vous devinée, je suis rouge. Enfin... j'étais rouge. Mais la-bas, le rouge n'existe pas, la mer le deteste. Elle l'efface, l'englouti dans le tenebre de ses abimes. Elle a effacé mon tout mon rouge.... J'avais aussi un peu de blanc et de noir. J'étais si fière lorsque chez moi lorsque pour la première fois, on avait écrit ''Coca cola'' sur mon corps fièrement bombé, lorsque tout en moi pétillait de bonheur. Mais cet instant de grace, ce moment ou jài été pleine, parfaite, neuve... n'a pas duré. J'ai vite été mise en boite.
L'horreur... non seulement ma beauté était caché mais je devais vite découvrir que nous étions des milliers, semblables. Autant de corps rouges, bombés, pétillants... Ce jour là fut dramatique. Emmenée de force je devais quitter mon usine, mon ''chez moi'' pour ne jamais y revenir.
Depuis cet instant j'ai été trimballée de ''chez moi'' en chez moi... Il y a eu le cargo, le magasin, le stock, le frigo du restaurant... Je crois que ca a été mon ''chez moi'' préféré, il y avait la lumière qui mettait en valeur nos coprs. On s'y sentait bien. C'est vrai c'etait un peu la compétition, notamment avec les bouteilles en plastique qui nous regardait de haut car elles on pouvait ''voir ce qu'elles avaient dans le ventre''... des pimbeches! Mais dans le fond on s'aimait bien. Notre plus grand plaisir était de voir la tete des clients, parfois tout rouges, parfois à nous regarder comme si le choix entre l'une de nous pouvaient renverser leur vie entière. On était désirées, importantes, vitales parfois.
Et puis mon jour est arrivé. Je l'ai immédiatemment su: je partirais avec elle! Dès qu'elle est rentrée, entre nous c'était une évidence. Elle était au moins aussi belle que moi! Mais à sa facon... blonde, jeune, de grandes lunettes de soleil noires qu'elles n'avait pas pris la peine d'enlever. Dans le fond, ca me plaisir... Son regard n'appartiendrait qu'a moi!
Je savais que ce serait un beau moment, elle enlèverait ses lunettes en ouvrant mon oppercule. Nous serions seules. Je pétillerais pour elle. Ses mains vernies m'enserrerait, et je perlerais de froid dans la chaleur de cet été étouffant. Mes gouttes de condensation coulerait sur ses mains délicates...
Elle m'a emmené sur son yatch, J'étais ivre de bonheur. Un comble pour un soft me direz-vous! J'allais etre une cannette de yatch! Je remerciais le capitalisme qui m'avait fait naítre et m'offrait cette vie incroyable!
A peine arrivé, elle s'est jeté sur mon opercule... Tout est allé si vite.
Elle n'a pas enlevé ses lunettes. Elle m'a bu sans me regarder. Elle a roté. C'était fini. Je n'étais plus rien. Vidée.
Alors j'ai compris... compris que je n'avais jamais rien compris.
Je n'avais jamais considéré la suite... mon destin était d'etre choisi, bu et de rendre heureux... mais je n'avais jamais pensé à l'après.
Ses mains m'ont étranglé, derriére ses grands verres noirs j'ai senti son regard se poser sur moi.
''Bon pour la planète on verra une prochaine fois...''. Sa première et dernière phrase. Puis dans un éclat de rire et elle m'a jeté par dessus bord.
J'existais pour la rendre heureuse, mais c'est seulement en me jetant qu'elle a ri
L'océan a avalé ma peine. Vidée je l'ai laissé me remplir jusquà l'engloutissement. Je n'étais plus rien.
L'océan me deteste... mais il m'enveloppe. Il a d'abord détruit mon rouge et puis il me ronge un peu chaque jour. Je suis une cannette de chagrin, ma vie se reduit en rancon de mon exaucement: toujours enveloppée, jamais plus abandonnée
Ma vie rongée pour une maison d'éternité... alors pourquoi, sur le sable suis-je de nouveau rejetée?
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perduedansmatete · 8 months
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la terre entière va à la fête de l'huma juste l'année où je décide de ne pas y aller j'ai l'impression qu'une nouvelle personne me demande tous les jours si j'y vais (j'abuse mais à peine mdr) et ça me fait vraiment tester mes nerfs car oui j'ai envie de me bourrer la gueule tout le week-end et de partir en mission chercher le stand de shots à un euro mais j'ai pas envie de gerber dans mon tote bag préféré j'ai pas non plus de thunes à dépenser pas envie de galérer pour y aller (c'est dans le trou du cul du monde) puis je m'étais dit qu'il m'arrivait toujours que des mauvaises choses après les autres années voire pendant la fête l'année dernière et aussi la programmation fait pas trop trop rêver mais ça à la rigueur on s'en fout bref il me reste quelques heures pour me décider alors que je sais que je ne vais pas y aller mais je fais quand même un peu de suspens dans ma tête surtout que si j'y vais pas je vais m'emmerder ferme car tous mes amis font des trucs ce week-end et que moi je ferai rien pour le dernier avant la rentrée ahhhhhhh
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homomenhommes · 8 months
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story: JOURNAL D’UN CUL JOUISSIF / 11
11 | LE CONTRÔLEUR
Ce jour-là, je pars de chez moi après avoir trouvé un actif sur mon tchat préféré. Il avait 48 ans, était sportif et, surtout, aimait défoncer des jeunes culs. Le plan était le suivant, je devais me rendre chez lui, en jogging et casquette, comme toujours, et passer par la porte de derrière de sa maison sans faire un seul bruit. Je devais, ensuite, alors qu'il matait un porno depuis son canapé, me mettre à quatre pattes devant lui pour qu'il puisse terminer sa branlette dans mon cul.
Je sors donc de chez moi en jockstrap, jogging et casquette. Je prends le métro direction "sodomie". La rame est bondée et, pour couronner le tout, des contrôleurs "TrXXX" (A l'époque, c'était "TrXXX"), s'incrustent. Et vas-y que ça pousse et que ça parle fort. L'un d'eux, un peu plus grand que moi, black, trente ans à tout casser, barbu, me fixe avec insistance. Puis il se dirige vers moi en se frayant un passage pour se planter juste derrière moi.
"Salut (mon pseudo de l'époque sur le tchat de cul)" me dit-il tout doucement en me pelotant le cul à travers mon jogging.
Je comprends donc très vite qu'il connaissait mes envies car, vraisemblablement, il fréquentait le même tchat que moi. Je me suis donc laissé faire en lui tendant discrètement mon cul afin qu'il puisse apprécier le fait que je ne portais qu'un jockstrap son mon jogging. Il glisse un doigt entre mes fesses et me titille l'anus à travers le tissu. Puis il se cale bien derrière mon cul. Je sens distinctement sa queue gonfler contre mon boule. Je le frotte lentement contre sa queue, profitant du mouvement du métro. Malheureusement, mon arrêt approchait. Je me suis donc dirigé vers la sortie en le regardant et lui souriant.
Après cela, j'arrive à mon plan cul complètement chaud. Ce contrôleur m'avait chauffé le cul à fond. Mon baiseur en a bien profité en me défonçant comme un malade. Les mecs qui approchent la cinquantaine sont de vrais affamés.
Rentré chez moi, je me reconnecte sur le tchat, histoire de voir qui pouvait être ce contrôleur/frotteur. Pas besoin de chercher plus loin puisqu'il m'avait laissé un message.
"Eh toi, ma salope, faut que je te défonce. Dès que je t'ai vu dans la rame, je t'ai reconnu direct, ton petit cul de pute moulé dans ton jogging de petit bâtard à bite. Tu m'as grave allumé en frottant ta chatte sur ma queue. J'ai bien senti que t'avais pas de boxer. Je suis sûr que t'allais te faire engrosser. Donc, dès que t'as lu mon message, tu m'appelles au (numéro de téléphone) et tu me donnes ton adresse que je vienne te féconder direct."
Je lui téléphone donc très rapidement et lui laisse un message sur son répondeur.
"Salut. C'est (mon pseudo sur le tchat). Si tu veux mon cul, viens au (mon adresse). J'habite au rez-de-chaussée. Le code de l'immeuble est (code). Envoie moi juste un sms pour me dire que tu arrives pour que je te laisse ma porte de mon appart ouverte. Je t'attendrai à quatre pattes, le cul prêt à se faire remplir."
En attendant, je prends une douche bien chaude et relaxante. J'enfile un de mes jockstraps et j'espère avoir très rapidement un sms de ce contrôleur. Je repense à la situation que j'ai vécu avec lui dans le métro en sniffant mon poppers et je me mets à avoir très chaud et très envie.
Vers 18h, je reçois un sms qui me dit "J'arrive te remplir le cul. Prépare toi à encaisser ma queue de 22 cm. Je suis là dans une demie heure."
Putain, ouais, trop bon. Je sens déjà ma rondelle palpiter à l'idée de me faire défoncer. Car même si je m'étais déjà fait baisé, j'étais encore en demande.
Il ne va pas tarder. Je m'installe à quatre pattes sur mon lit, le poppers à la main et j'attends, la porte de mon appartement entrouverte.
Elle claque.
"- T'es où salope ?
- Au fond du couloir."
J'entends ses pas approcher.
"Non mais t'es une vraie pute toi. Tu donnes vraiment ta chatte à tous les mecs. Tu me connais pas. Tu te laisses tripoter le cul dans le métro. Et là, tu me reçois à quatre pattes." Dit-il en me tripotant le cul. "Je vais te péter la rondelle moi. Tu ne pourras plus t'asseoir. Tends moi ton cul mieux que ça sale pute."
Je m'exécute. Il s'agenouille, écarte mes fesses et me lèche le trou. Sa barbe me donne des frissons. Elle pique mes fesses et mon anus qu'il bouffe comme un dieu et plus tendrement que ses mots auraient pu laisser croire. Sa langue s'enfonce dans mon cul. Il crache de gros mollards sur mon trou en me bouffant le cul. Je devine aux bruits de tissus qu'il se déshabille tout en me dégustant le cul. Il crache un nouveau gros mollards sur ma rondelle et se redresse pour placer son gland contre mon trou. Je lui tends le tube de gel.
"T'es sérieux là ? T'es une pute, tu te fais baiser par n'importe qui et tu crois que je vais te baiser comme une princesse. Je vais te péter la rondelle à sec. Par contre, file moi ton poppers que t'as sous le nez depuis t'à l'heure."
Je lui donne, il le sniffe dans chaque narine et me le rend. Il crache un gros mollard dans sa main pour lubrifier son énorme queue. Moi, je sniffe mon poppers pour pouvoir encaisser sa bite à sec. Mais j'avoue que mouiller naturellement du cul lorsque je suis très excité aide.
Il place son gland face à ma rondelle et pousse pour entrer. Il entre sa grosse queue sans discontinuer. Je la sens clairement me fendre le cul en deux. Arrivé au fond. Il pousse un peu plus en écartant mes fesses pour aller encore plus loin. Je gémis de douleur mais j'apprécie cette grosse bite dans mon cul et lui montre en le remuant légèrement.
"Vas y sale pute. Fais toi plaisir."
Sur ses mots, il garde ses mains sur chacune de mes fesses, les écarte délicatement et commence très langoureusement de petits vas et viens. Putain, le kiffe. Il sait jouer avec un cul ce mec.
"T'as vraiment un beau cul toi. J'aurais dû te contacter bien avant."
Il m'encule lentement. Je kiffe vraiment. Puis, sans prévenir. Il s'agrippe à mes hanches et accélère le rythme. Il me donne de violents coups de bites, si bien que je renverse une quantité non négligeable de mon poppers sur ma couette. Je referme le flacon et enfouis le visage dans la couette. Putain que c'est bon. Je reste ainsi, le visage caché dans ma couette imbibée de poppers, le cul pendu à sa grosse queue. Je suis complètement défait, enivré par le poppers perpétuel que diffuse ma couette. Il sors sa queue et la rentre lentement une dizaine de fois.
"Putain, j't'explose le cul. Il est tout ouvert."
Il rentre, il sort, il rentre, il sort, il rentre, il sort... Il ne s'arrête plus et y va de plus en plus vite.
"T'aime ça, ça se voit. J'ai l'impression que tu mouilles du cul."
Je mouillais bien du cul. Le voilà qui reste au fond de mon cul en faisant de petits mouvements de bassin pour stimuler ma prostate. Putain de merde, il me fait quoi là, c'est trop bon. J'ai toujours le nez dans le poppers. Je suis carrément parti là. Sa bite m'a harponné. Je suis à lui. Il fait ce qu'il veut de mon cul.
"Sale pute. Tu kiffes ma grosse bite de black, hein ?"
Il reprend ses grands coups de bite et ses vas-et-viens fougueux. Je gémis de plaisir. Il sort et rentre plusieurs fois. Puis, dans un violent coup de bite, il me la met profond et crache tout son putain de foutre sur ma prostate. Il sort sa queue pour me la remettre et recommence son numéro d'actif insaisissable une bonne dizaine de fois avant de déculer définitivement.
"J'adore ton cul sale pute. Je reviendrai. Je me suis bien vidé les couilles. Si tu me croise encore dans le métro, viens frotter ton p'tit cul sur ma bite."
Il repart. Je regarde l'heure. Il est presque 20h. Il a donc utilisé mon cul pendant plus d'une heure. J'étais aux anges.
Nous nous sommes revus deux ou trois fois après celle-ci.
J'espère que ce récit vous a plu.
Moi, j'ai de plus en plus envie de me trouver un mec pour me re-dépuceler le cul. Ça devient une obsession.
LE CUL JOUISSIF
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marie-bradshaw · 12 days
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Et la course vers l'excellence
Chers lecteurs,
Aujourd'hui nous ne parlerons pas d'amour, ni de sensualité ou tout ce qui peut s'y attraire.
Non (ou alors un tout petit peu pour la forme).
Bien qu'il n'y ait pas de sujet plus prenant que celui-ci, il ne sera pas au centre de la conversation pour une fois.
A la place, nous nous parlerons de pression.
Pas celle que l'on peut déguster entre amis au pub du coin avec quelques cacahuètes (je sais que vous visualisez), mais plutôt celle que l'on a tendance à parfois se mettre tout seul.
Ayant été élevée dans l'absolue conviction que rien de ce que je ne ferai, quand bien même je me distinguais dans mes notes ou mes compétitions de gymnastique artistique, ne sera jamais suffisant pour mériter un brin d'attention paternelle, ma valorisation de moi-même n'a pas toujours été solide.
Dans ce contexte, vous comprendrez bien que c'est un poids que j'ai l'habitude de me mettre sur les épaules pour aller chercher l'excellence, le dépassement de soi, peu importe le prix à payer, qu'il s'agisse de douleur physique ou morale.
Je n'ai pas l'habitude de reculer devant l'effort.
J'aurais même tendance à me motiver d'autant plus qu'on me laisse à penser que je suis incapable de faire quelque chose.
"hit me with your best shot"
Ce qui peut être considéré comme une qualité, une force de détermination, s'avère être à double tranchant quand on ne s'écoute pas assez, quand on se pousse trop, qu'on se bat sur tous les fronts.
Alors voilà, dans la liste des challenges que je m'étais fixée se trouvait une compétition de danse burlesque organisée par ma prof.
Pour laquelle nous devions envoyer une vidéo de démo 2 jours après notre spectacle, qui m'avait déjà pas mal usée, à tous les niveaux, il faut bien le dire.
Je ne me suis pas démontée.
J'ai bouclé la couture de mon costume, pensé à une thématique, et commencé à bosser sur une chorégraphie/une mise en scène avec les deux heures de temps qu'il me restait pour respecter la deadline.
Forcément, en deux heures, on ne peut pas s'attendre à un résultat au top, n'étant déjà pas professionnelle et ne m'appelant pas Kamel Ouali.
Mais...je voulais essayer, tout donner, faire de mon mieux et au minimum avoir tenté le coup.
Ce que j'ai fait, vraiment hésitante, épuisée et peu sûre de moi, parfaitement consciente du niveau de ce premier jet.
Toutefois, je décide de demander à mon crush de me donner son avis objectif.
Ce par quoi il répond par un grand blanc.
Le truc à ne jamais faire avec moi.
Ce genre d'action, en guise d'équivalence, ce serait un peu comme de se mettre à l'eau en étant ensanglanté à proximité de grands requins blancs ou de s'étendre avec du miel dans les Everglades en attendant qu'un python ou un alligator passe par là en quête de son quatre heures.
Une mort indirecte, lente et douloureuse.
(je suis sûre que vous avez l'image en tête tout aussi bien que la bière entre amis ;))
Le genre de trucs qui passerait avec une nana au tempérament moins affirmé que le mien, mais certainement pas dans le cas contraire.
Ca n'a pas raté.
Ne lâchant pas ma prise, il finit par me sortir un florilège de questions annexes, qui ne trompent personne sur son avis véritable, qu'il n'ose pas me balancer, très clairement dans la peur que je me braque et que je réduise à néant ses chances de me rapprocher.
Ce qui, concrètement, a produit tout ce qu'il voulait éviter, me faire prendre 15km de distance éclair.
J'avais annoncé que c'était un brouillon (je précise, pour tous ceux qui me diront que je suis vache), j'avais besoin d'être rassurée un brin, et qu'on me dise que la base était là mais que oui il y'avait encore du travail (gentiment).
Là, ce silence, ces non-dits à peine voilés qui pour moi me font l'effet d'un "mais t'as pas honte de présenter ça" et finissent de me découper sur place.
"A ce point?"
Je décide de supprimer la vidéo en rentrant, ce qui provoquera un paquet de:
"Mais pourquoi t'as fait ça?? Et pourquoi tu demandes son avis à un mec que t'as vu deux fois là enfin?"
de mes meilleurs amis le lendemain.
Excellente question.
Je n'ai pas la réponse à cette deuxième partie.
Il se peut que je sois parfois un peu trop entière dans ma démarche quand j'apprends sincèrement à connaître quelqu'un, et que je jauge de sa capacité à se comporter avec droiture, valeur, et courage, quand bien même je ne voudrais rien de sérieux.
Une sorte de mise à niveau obligatoire pour avoir le droit de m'approcher, qui explique aussi de longues périodes d'abstinence en la matière.
Mais ne nous mentons pas, en ce qui me concerne, j'ai toujours préféré la qualité à la quantité.
Et l'océan ne manque pas de poissons, malgré mon manque d'envie de partir en exploration active.
Quand on connaît sa valeur, pourquoi se presser et sauter sur n'importe quoi?
Le "tout venant" comme je me plais à le dire à mes amis moins regardants.
Manque de bol pour lui, l'effet que ça a eu sur moi, cet évitement ni constructif ni sincère vs mon niveau d'intérêt et de prémisse d'attachement éventuel, ont carrément fait basculé la balance du mauvais côté.
Dans un cas comme dans l'autre, le terrain "toujours marié, pas encore divorcé, vivant à 2m de son ex avec qui il partage deux enfants" indique plutôt un bourbier de red flags accessoirement risqué, et sur lequel, l'expérience aura tendance à me faire dire "que même pour une aventure, le jeu n'en vaut pas la chandelle".
Next.
De base j'aurais tendance à ne pas laisser la difficulté me dissuader, et à suivre mon coeur/ou plutôt mon instinct, mais mon dernier essai en date, dans une situation relativement similaire (essayez donc de sortir avec un mec de votre âge ou plus passé 33 ans, qui ne soit ni en instance de divorce ni père célibataire), aura eu raison de m'apprendre qu'il n'y a rien de mal à s'épargner un peu en matière de relations humaines.
Dommage, et c'est vrai que son rythme de vie de 5 semaines sur terre, 5 semaines en mer, était plutôt parfait pour moi qui panique à l'idée de m'engager avec quelqu'un de trop disponible et qui attendrait que je le sois tout autant.
Ici encore, l'expérience.
Bref, revenons à nos moutons.
Complètement démoralisée, à plat, à la recherche du feu sacré qui a l'habitude de faire danser mes entrailles, je passe la journée suivante au lit, avec le même niveau de force vitale qu'un lémurien alcoolisé qui aurait de surcroît chopé la mono.
(de rien pour cette image visuelle)
C'était hier.
Ce matin, on n'était toujours pas sur un niveau d'énergie débordante.
Mais je décide de m'activer un minimum.
"T'as bossé dur pour ça, va au bout de ta démarche: no regrets!" me dit un ami proche au téléphone.
"Et puis l'avis des pépitos là, excuse-moi mais on s'en carre un peu le coquillage, il est où le requin blanc làààààà bordel?"
OK, n'en dis pas plus.
Ces quelques mots suffisent à me sortir de ma torpeur, et je me lance avec un brin d'angoisse et d'appréhension dans un message vocal à ma prof qui fait les sélections, lui expliquer pourquoi j'ai supprimé ma vidéo, et lui réitérer que c'était quoi qu'il en soit vraiment un premier draft fait en deux heures de temps.
"Si elle ne t'aime pas, tu lui tends le fusil à pompes pour t'achever au sol là" me dit mon meilleur ami quand je lui annonce ma démarche.
"Prépare les confettis alors, je me lance" rétorquais-je,
l'air sombre de quelqu'un qui se préparerait à faire un saut dans le vide avec un boulet de 10kg à chaque pied.
Contre toute attente, elle se montre super douce et bienveillante, et me réitère que je peux faire bien mieux que ça et que le rendu fait un peu bâclé.
Ce qui est totalement vrai.
Elle me propose de m'aider à bosser sur mon numéro, ce que je n'aurais pas osé lui demander, et c'est comme si on avait soudain enlevé les chaînes qui me clouaient au sol.
"Tu ne peux pas être en catégorie Elite tout le temps sur tout ce que tu fais. Sois patiente avec toi-même un peu" me dit l'ami qui m'a poussée à me ressaisir.
C'est pas faux.
Les échecs apprennent plus que les succès, et notre façon de les appréhender, c'est ce qui montre notre capacité de résilience et notre détermination face à l'adversité.
Je me souviens de cette leçon et je décide de me relever du sol auprès duquel je tentais de fusionner en position latérale de sécurité.
Ma prof me propose même de candidater sur une autre scène ouverte à la fin du mois, et la remerciant de sa confiance, je décline l'offre poliment, le délai me paraissant trop court pour faire quelque chose de vraiment carré.
Toutefois ce n'est pas un abandon de la partie, juste un "raincheck" qui va ôter un peu de cette pression qui m'étouffe dernièrement, et me permettre de prendre le temps de faire les choses correctement.
Etre en mesure de montrer tout mon potentiel, de réaliser ce rêve un peu dingue que j'ai depuis longtemps d'être capable de me produire sur scène dans un numéro solo incluant gymnastique, art scénique et contorsion.
Cet enseignement que j'ai donc aujourd'hui envie de vous partager, à tous ceux qui se laissent comme moi, trop facilement écrasés par une montagne d'obligations et ce besoin d'être excellent tout le temps.
C'est en tombant qu'on apprend à marcher.
Personne n'a démarré au top niveau.
Il faut commencer quelque part, et c'est votre capacité à travailler dur sur la durée en prenant des temps de repos suffisants qui vous permettront de toucher les étoiles.
Courir vers un objectif démesuré en fonçant tête baissée ne vous mènera qu'à l'épuisement et au découragement.
Alors relevez la tête, fixez-vous des objectifs atteignables, sur la durée, découpés en paliers, et surtout n'oubliez pas de respirer.
Maintenant que je me suis relevée, je ris de moi-même à gorge déployée.
Je n'ai qu'une épaule valide, la gauche me faisant atrocement souffrir tous les jours, instable, ne tenant pas en place malgré deux opérations et une tonne de rééducation en Kiné.
En sachant cela, j'ai tout de même décidé contre tout bon sens de me remettre aux danses aériennes, à des agrès qui demandent un travail et une stabilité d'épaule justement, et le résultat de participer à ce spectacle et de répéter autant, en a été l'incapacité quasi totale à lever le bras dans faire une grimace de douleur- pas même un peu sans trembler.
Sur cette base de données, le spectacle à peine terminé, je ne me suis pas dit que j'avais déjà beaucoup trop tiré et que je devais me ménager comme n'importe qui ayant des capacités cognitives un minimum aiguisées- ou tout simplement le sens des réalités.
Non.
Moi, débile que je suis, je me suis lancée parce que "oui je peux en faire encore plus" et j'ai remis mon épaule au défi d'inclure danse et contorsion pour cette fameuse vidéo.
A quel moment j'ai cru que ça allait passer.
A- Quel- Moment.
Vraiment, j'en pleure de rire à l'instant T.
La désillusion et l'obstination totales.
Vouloir tout donner est une qualité, mais n'en oubliez pas que vous restez humains, votre corps a des besoins, de nutriments, d'eau, de repos.
Et pousser sur une blessure n'augure jamais rien de bon.
Si l'univers avait voulu que nous soyons parfaits, nous naviguerions tous symétriquement entre nous et sans passion, comme des robots de chair et de sang, dénués de sens et vides d'âmes, prévisibles, et à mourir d'ennui.
Célébrons nos imperfections, célébrons le chemin et les obstacles qui nous font évoluer.
J'ai appris à aimer les miennes au fil des années: ma maladresse légendaire qui me couvre constamment de bleu et qui fait rire l'assemblée, ma capacité à mettre les pieds dans le plat, ma spontanéité aussi, pas toujours réfléchie, ou ma tendance à bien trop donner de moi-même pour soigner les chatons blessés alentours que je trouverais à mon goût.
Un empathe ressent les émotions de son entourage un peu plus fort que d'autres.
L'effet que ça a sur moi par rapport à mon caractère est de vouloir soigner les blessures, apaiser les cicatrices, et axer mes gestes en ce sens.
Par la douceur, par l'humour ou par la fougue, selon la situation, bien souvent un savant mélange des trois.
Un melting-pot d'énergie solaire qui fait que je suis qui je suis.
Et fière de l'être.
D'avoir à coeur le bien-être de ceux qui m'entourent tout aussi sincèrement que le mien.
Marie
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swedesinstockholm · 29 days
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15 mars
mon cheminement de pensée juste avant d'éteindre l'ordi: je discutais avec a. p. parce qu'il venait de voir nelken, a. p. petit bébé de 24 ans, et tout d'un coup je me suis dit que je pourrais être mariée. j'ai 33 ans je pourrais être mariée, je pourrais avoir une vie sophistiquée, comme maman à mon âge. je pourrais avoir un brushing et un bébé et accompagner mon mari à des congrès de médecine à l'étranger et porter un trench et boire du champagne et rentrer à la maison et dormir dans le lit conjugal. je pourrais écrire à ce petit morveux d'a. p. depuis cette perspective-là, et non depuis celle d'une ado attardée de 33 ans qui ne veut pas grandir. j'ai regardé frances ha ce soir et ça m'a rendue triste de pas avoir passé ma vingtaine à vivre la vie de struggling artist épuisante mais charmante et riche en aventures. je pensais à la fille de tumblr qui avait comparé mon journal à ce film, ça me fait plaisir que ma vie sclérosée puisse d'une manière ou d'une autre évoquer ce film qui m'a donné envie de vivre. elle m'a dit que mon journal était dynamique. voilà pourquoi je suis obsédée par mon journal. dans la vraie vie, le mot dynamique appliqué à moi c'est de la science fiction. ça n'existe pas.
18 mars
j'ai tellement besoin qu'il se passe quelque chose dans ma vie que je me suis fait pleurer en écoutant it's not up to you de björk en rentrant de la chorale ce soir. avant d'y aller je m'étais mis dans la tête que r. avait une nouvelle copine à cause d'un truc con et pendant que je coupais des morceaux de fromage de brebis dans la cuisine ma voix américaine disait it was bound to happen it was bound to happen, quand je me parle avec ma voix américaine ça me rassure parce que dans les films ça finit toujours par aller mieux à un moment ou à un autre. et donc j'étais là à attendre le bus dans mon long manteau noir et mes dr. martens la partition du requiem de fauré serrée contre moi, en deuil, le regard perdu dans le vide, je croyais que j'avais dépassé ce stade mais visiblement non. et puis après la chorale, après avoir dit au revoir à audrey, j'ai regardé ses stories et j'ai vu qu'il avait mis une photo à moi du mois de décembre avec une chanson de björk par dessus et ça m'a mise dans tous mes états, je me suis posé mille questions (pourquoi il met que des posts à moi toujours et jamais ceux des autres?) ça m'a rendue complètement zinzin mais qu'est-ce que c'était beau de rentrer dans la nuit en pleurant sur björk en regardant la lune et les bourgeons sur les arbres éclairés par les lampadaires.
à la chorale j'ai du être normale et faire la conversation avec des gens que je connaissais pas parce que c'était le jour du pot mensuel et j'ai plus aucune notion de comment me comporter socialement, j'arrivais pas à me concentrer trop longtemps sur ce qui se disait, à me tenir correctement, je sais pas. on m'a demandé si je travaillais ou si je faisais des études et j'ai dit aucun des deux sans développer alors audrey s'est empressée de jouer mon agente en disant que j'étais écrivaine et que j'avais gagné des prix et que ce que j'écrivais était vraiment bien, bébé.
tw suicide
24 mars
j'ai plongé tellement bas que j'arrive même plus à écrire. juste à m'allonger sur le canapé pour regarder newport beach en enchainant les épisodes même si j'en suis à la saison 3 maintenant et que je la trouve trop dramatique. je préfère me plonger dans les drames de marissa et ryan que dans les miens. j'ai du changer mes plans pour les vacances de pâques parce que m. s'est aperçu que finalement je pourrais pas aller chez elle, et comme je peux pas non plus rester seule ici parce que je me laisserais mourir de faim en semi-coma devant newport beach, j'ai pas d'autre choix que d'accompagner maman à la mer et puis je prendrai l'avion dimanche pour être à la maison poème le soir parce que hors de question de rater ça, l'écriture étant le seul truc qui me rattache à peu près à une vague envie de vivre. j'ai pris mon billet ce matin. je déteste avoir à faire ça. je déteste en être là, à forcer maman à me payer un billet d'avion, même si c'est un billet d'avion ryanair pas cher, parce que je suis trop malade pour rester seule.
vendredi soir après avoir regardé mamma mia, quand m. s'est rendu compte que je venais la semaine prochaine et qu'elle m'a dit que non, ça allait pas, la terre s'est ouverte sous mes pieds et m'a aspirée dans son antre et j'y suis restée pendant 24 heures. je calculais dans ma tête combien d'années il me restait à vivre si j'attendais de mourir d'une mort naturelle, j'en suis même pas à la moitié encore, c'est trop long, mes dvd de newport beach ne tiendront pas le coup. alors j'ai commencé à réfléchir à des alternatives à la mort par défenestration, mon go-to usuel, parce que j'ai trop peur que ça rate et que je finisse paralysée. mais peut être que je serais plus heureuse si j'étais paralysée peut être que ça me donnerait envie de me battre comme tous les gens handicapés qu'on voit à la télé. j'ai pensé à la jeune adolescente qui s'est pendue récemment parce qu'elle était harcelée à l'école. comment elle a trouvé le courage de se pendre? et avec quoi? et elle a fait ça où? me couper les veines je peux pas, rien que d'y penser j'ai l'impression que je vais m'évanouir et je dois presser l'intérieur de mes poignets contre quelque chose pour rappeler à mon corps que tout va bien. me jeter sous un train, efficace mais pas sympa pour les autres.
elles sont montées au lit et je suis restée sur le canapé paralysée par mes tentatives de suicides hypothétiques. je pleurais en écoutant abba qui continuait de passer sur mon téléphone. j'ai pensé à r. je me demandais ce que ça lui ferait si je me tuais. et puis je me suis demandé ce que ça ferait à audrey que j'avais vue la veille. je suis allée la voir chanter avec son autre chorale dans la crypte de la cathédrale et après on est allées boire un verre avec son amie indienne et la soeur de son amie indienne qui habite à londres et qui vient de finir ses études de psy, j'étais assise à côté d'elle à la terrasse du café. est-ce qu'elle se dirait qu'elle l'avait vu venir?
je veux mourir parce que je vois pas d'issue. c'est ça la raison habituelle non? je vois pas d'issue à ma situation, je vois pas comment m'en extraire, j'en vois pas la fin, je me sens usée jusqu'à la corde et j'ai l'impression d'être un boulet pour tout le monde. j'ai l'impression que personne m'a jamais aimée à part maman et que personne ne m'aimera jamais et donc je vois pas à quoi ça me sert de rester en vie. j'essaierais probablement pas de me tuer si je restais seule ici la semaine prochaine, mais je ferais pas non plus d'effort pour vivre. c'est pas que rien ne me donne envie de vivre, mais ça fait pas le poids, ça pèse pas assez pour contrer la souffrance. et en plus je fais souffrir les autres. vendredi soir m. devait probablement se dire qu'elle aurait mieux fait de pas venir, elle doit parler de moi à son copain comme le boulet malade de la famille avec qui il faut être gentille. peut être qu'elle fait même des efforts pour rire à mes blagues. et maman doit vivre avec moi TOUS LES JOURS. peut être que si je mourrais ce serait comme quand loki est mort, douloureux sur le moment mais aussi un grand soulagement. est-ce qu'ils me dédieraient le concert de la chorale au mois de juin? nous dédions ce requiem de fauré aux palestiniens, aux ukrainiens et à lara w. qui nous a quittés au printemps parce que sa vie était trop dure, la pauvre.
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formationonline · 24 days
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Démystifier l’affiliation : Les Vérités Qui Dérangent, Emma dit tout
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Lors d’une invitation pour une interview, on m'a demandé si je serais d'accord pour dévoiler le montant total des commissions gagnées depuis que je me suis lancée dans l'affiliation...
Et là, je me suis rendue compte que je ne m'étais jamais posé la question
Alors j'ai pris un thé, une calculette et je me suis mise à éplucher tous les comptes affiliés chez mes différents partenaires
C'est ainsi que je me suis aperçue que je venais de dépasser les 50 000€ de commissions en 3 ans
2 ans plus tard, j'ai même dépassé les 100 000€ de commissions.
Rien que sur 2 plateformes, voici ce que ça donne :
Le reste est dispersé sur plein de petits comptes affiliés,
mais rien que ces chiffres te permettent de visualiser le potentiel de l'affiliation.
Alors pourquoi je te raconte tout ça ?
Pas pour me faire mousser, au contraire je suis plutôt de nature discrète, dans la "vraie vie" tu ne me verras jamais brandir mes chiffres ou autre signe extérieur de "richesse".
Mais premièrement, il me semble normal de montrer que ce que j'enseigne fonctionne.
Combien de personnes proposent des formations sans avoir l'expérience, les résultats et les compétences requises ?
D'ailleurs récemment on me demandait si je continuais à faire de l'affiliation, ou si je vendais seulement ma formation ?
Car effectivement, beaucoup de formateurs ne pratiquent plus ce qu'ils enseignent et gagnent uniquement leur vie avec la vente de leur formation, ce qui peut mettre le doute sur la réelle opportunité de leur méthode
(même si en soi ce n'est pas quelque chose qui me choque personnellement,
un boulanger peut très bien vendre sa boulangerie et devenir prof sans un centre de formation,
cela ne remet en cause ni ses compétences, ni l'avenir du métier.
Mais sur internet, avec toutes les arnaques qui circulent, je comprends que certaines personnes se posent la question)
Pour ma part, il me semblait important de te rappeler que je pratique toujours l'affiliation et que mes résultats ne cessent d'augmenter.
Et comme j'ai mis en place des process bien rodés, j'y passe de moins en moins de temps.
Travailler moins, pour gagner plus... je dois bien reconnaître que c'est agréable.
Et ça me permet de me consacrer à de nouveaux projets, avec toujours cette soupape de sécurité pour mes revenus.
C'est justement tout ce que j'enseigne dans ma formation Les Reines de l'Affiliation.
Je donne l'intégralité du process que j'ai mis en place depuis mes débuts, jusqu'à aujourd'hui.
Pour toi c'est un gain de temps énorme, cela t'évitera de tomber dans certains pièges que j'ai pu rencontrer, et de mettre tout de suite les bonnes actions en place.
La 2ème raison pour laquelle je tenais à te partager mes résultats, c'est pour te montrer que partir de zéro, ne pas se montrer, ne sont pas des freins à ta réussite.
Quand j'ai commencé l'affiliation :
j'étais maman au foyer,
je ne connaissais rien au business en ligne,
allergique à la technique
et je n'avais même pas de compte Instagram.
Bref, quand je dis que je suis partie de zéro ce n'est pas pour faire genre, j'étais vraiment madame tout le monde.
Et en plus de ça, j'ai pris le parti de ne JAMAIS me montrer, ni mes enfants ou ma famille d'ailleurs (pas même mon chat),
je ne montre pas non plus mon intérieur ou autre éléments de ma vie privée.
On m'avait dit qu'il serait impossible de décoller dans ces conditions, que les gens ne me feraient pas confiance.
Et bien en te montrant mes chiffres aujourd'hui j'espère bien te prouver que c'est faux et que si toi aussi tu n'as pas envie de te montrer, alors ne le fais pas.
Quoi que tu fasses, sois toujours en accord avec tes valeurs, tes envies.
Sois toi-même, sans chercher à rentrer dans un moule.
Je suis fière et heureuse de pouvoir montrer par l'exemple que c'est possible,
ainsi j'espère que si tu as envie de te lancer mais que tu bloques en te disant que tu as peur de te montrer,
alors tu sais désormais que ce n'est pas un passage obligé.
Et tout ce que j'enseigne dans ma formation Les Reines de l'Affiliation est applicable :
que tu souhaites te montrer ou non
que tu sois expérimentée ou que le monde du web te soit encore totalement inconnu.
D'ailleurs, il ne reste plus que quelques jours pour nous rejoindre avant l'augmentation du prix.
Ensuite ce sera trop tard...
Si tu n'es pas disponible pour suivre la formation actuellement, sache que tu as accès à vie à la formation.
Tu peux donc profiter du prix actuel pour y revenir plus tard sans problème.
Pour découvrir l'intégralité du programme de formation et réserver ta place, il suffit de cliquer ici
Si tu as la moindre question, il te suffit de nous adresser un message, nous te répondrons sous 24h.
Belle journée et à bientôt
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