Un maelström pour ne pas errer : L'endurance n'habille jamais la blessure Le ciel et la mer se portent et s'endurent. Au bord de la falaise mentale Assis sur des armes létales. Le langage comme seule source de l'aventure La rage seule n'a que le poids d'un murmure. À l'aune d'un couloir trivial Au coeur de l'angoisse finale. Un peu comme un visage Devant la vérité, Qui ne sait pas sourire sur commande. Et puis comme les virages Après le long sentier, Qui foncent pleine vitesse dans les méandres. Tant de bordel, Pour un même point de fuite. Un tourbillon de merde, Un bataillon de portes, Pour ce même trou de rêves. Un dernier baroud d'honneur Ou une fuite en avant. Des flammes et danses macabres, Pour un même trou à vers, Tant de poésie ! Clément Dugast (nocto)
#PoliticoCD. | RDC : « L’Union sacrée se désengage de plus en plus de la trajectoire de sa vision » (Alliés de Kamerhe)
#PoliticoCD. | RDC : « L’Union sacrée se désengage de plus en plus de la trajectoire de sa vision » (Alliés de Kamerhe)
La Force d’Avenir du Congo, un parti politique allié à l’Union pour la Nation Congolaise (UNC) pense que la gouvernance politique de l’Union sacrée se désengage de plus en plus de la trajectoire de sa vision édictée par Félix Tshisekedi.
Dans une déclaration parvenue à POLITICO.CD ce lundi 17 octobre, ce parti politique rappelle que cette vision était basée sur la priorisation des intérêts de la…
Quatre femmes et la halte de chemin de fer de Saint-Loup-du-Gast : portraits de Louise Modeste Brunet (1858-1908), Célina Modeste Victorine Boudesseul (1880-?), Marie Eugénie Valentine Pillier (1898-1983) et Marie Anne Elisa Boudesseul (1853-1914)
Tout commence avec la création de la ligne de chemin de fer Caen (Calvados) – Laval (Mayenne). Cette ligne, qui passait par Flers (Orne), permettait de connecter ces villes à Angers (Maine-et-Loire) grâce à la ligne Laval-Angers. Elle permettait ainsi de connecter par Normandie, Maine et Anjou par plusieurs tronçons de lignes successives. Cette ligne est inaugurée en 1874 et est en service…
Un jour, un poème Anne Perrin - On pourrait décider
On pourrait déciderde teindre l’éternitéen un mouvement langoureuxde toutes les passions adjacentes
On pourrait sublimerles orages déverséscomme autant de plaisirsà colorier les humeurs
On pourrait colmaterles failles du cœurà se détacher des gouffresoù plus rien ne peut naître
On pourrait oublierle mal des indifférenceset reprendre le baldes danses amoureuses
Mais on ne peutmodifier une…
de l'activité (emploi indirect indépendant inclus). La population des entreprises est constituée d'après le mode de sélection géographique et.Liste de marques · Télécommandes pour climatiseurs · Pour les fans ATIMCO, ATK, ATLANFA, Atlanta, ATLANTHIA, Atlantic, ATLANTIS, Atlas, Atoll, ATOM,
ATLAS HD 200S (SE) TUNER OUT WIFI INTEGRE VERSION F404. sharing restent cryptées allez dans contrôle d'accès puis mode client ethernet puis tapez 8888.
Mode d'emploi, notice & documentation technique - Recherche de modes d'emploi, de notices de montage et de documentations techniques.
La vie est ainsi faite : on se retrouve à un certain endroit, à un certain moment, et il suffit d'un regard à travers la pièce, d'une rencontre, d'une amorce de conversation, pour que la trajectoire de notre existence change soudain du tout au tout.
Douglas Kennedy- (La symphonie du hasard)
Prominent public transit advocates are heavily criticizing the Quebec government’s record on public transit development.
“We’re disappointed and frustrated,” said Equiterre government relations director Marc-André Viau.
His organization was one of seven respected advocacy groups calling out the CAQ.
Équiterre, la Fondation David Suzuki, le Conseil régional de l’environnement de Montréal, Piétons Québec, Vélo Québec and Vivre en Ville gathered on Monday to say after six years in power, the government’s record on developing new public transit is nearly non existent. They went on the offensive on the sidelines of Trajectoire Quebec’s annual benefit breakfast.
Tu les emmerdes, mon Gégé, et tu as raison. Tu leur pisses à la raie, à tous ces hypocrites, ces faux-derches, ces peine-à-jouir. Toi, tu es le Gégé et personne n’a le droit de te le reprocher. Tu traverses la vie à 5 grammes parce que la vie te fait chialer depuis toujours. C’est comme ça. Du temps où tu plaisais encore à tous ces empaffés, à l’époque où ta consommation de coke très parisienne ne les dérangeait pas, ils disaient que tu étais un comédien “hyper-sensible”, “à fleur de peau”, “entier”. Ah ça oui, pour être entier, tu es entier. Avec un chibre estimé à deux kilos en temps de guerre, on ne doute pas que tu le sois.
“Hyper-sensible” donc... Mais c’est pour cette raison que tu as fait comédien plutôt que déménageur, garde du corps ou cuistot. Pas besoin de tortiller du cul aux Inrocks ou de tâter de la bite chez Libé pour comprendre ça. Tu ne t’en caches pas. Zéro fausse pudeur, aucune gêne feinte, pas de virilisme à la con : l’existence te fait chialer. Ton enfance, ta mère, ta vie de merde en Touraine, les paings reçus et donnés, la cabane, ta réussite, ta faillite, tes succès, tes ratages, au ciné, dans la vie, tout en fait. Parce que tu es un diamant délicat, brillant, enchassé dans le corps d’un guerrier Gaulois de 128 kilos. Forcément tu fais du bruit, tu déplaces de l’air, tu gueules, tu les engueules, tu les agaces avec la Belgique, avec ton pote Poutine et ta Corée sinistre.
Gégé, tu bouffes plus, tu dévores. Tu bois comme un trou noir, tu bandes à tout bout de champ, tu baises avant de t’écrouler, tu ronfles, tu loufes et maintenant, avec l’âge qui vient, tu te réveilles dans ton vomi ou tes déjections. Mais moi je t’aime, mon gros Gégé. Malgré le bruit et les odeurs.
Oublie les ratés, les envieux, les violées amnésiques, les réseaux anti-sociaux, les médias pourris. Continue à nous parler de chatte échaudée, de petit cul, de clitoris tumescent et de foutre en cascade. D'aubes merveilleuses, de déchirements atroces, d'amours sublimes et de crépuscules tragiques. De toute façon, ils ne savent même pas de quoi tu parles. Toi et moi, mon Gégé, nous sommes de la même génération. Les quilles à la vanille, les gars au chocolat. Notre trajectoire, tantôt glorieuse, tantôt foireuse, on la revendique, on l’assume. Notre quéquette, pour ce qu’elle vaut, tout bien pesé, on la porte encore fièrement en bandouillère. On est comme ça. On cite Homère mais on pète entre potes. Et surtout – surtout ! On les emmerde !
J.-M. M.