Tumgik
#Personnages militaires
carbone14 · 1 year
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Le Capitaine Dwight D. Eisenhower ( à droite) avec trois amis (William Stuhler, le Major Sereno Elmer Brett et Paul V. Robinson) en 1919, quatre ans après avoir obtenu son diplôme de West Point
©Dwight D. Eisenhower Presidential Library and Museum
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canonming · 6 months
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wonuumelody · 10 months
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“ By who the seventeen members were written ” ;
Seungcheol
Seungcheol was written by a boy who had big dreams. This boy wanted to have a big family, and responsibilities. Seungcheol is a very nice man and this little boy, who wrote him, wanted to be able to handle people. I think this little boy wanted to put his dreams into a person, a person who inspires others, who brings them comfort in times of need, support.
Jeonghan
I think Jeonghan was written by a mother who lost her daughter. Everything she loved about her daughter, she passed on to her character, Jeonghan. Beauty, sweetness, character, everything. I think this woman loved the sometimes angry but funny character of her daughter, and to pay tribute to her, her whole character has her features. She wanted to find comfort and love in her character.
Joshua
He was written by a young woman in love, in love with another woman. To invent a "perfect" life in the eyes of society she had drawn the portrait of her darling and put it in a male character, Joshua.
He is loving, sweet, very handsome and extremely kind.
Jun
I think that Jun was written by someone in the royalty. A young prince who always wanted to have a normal life, with his friends and family. The prince created a character , even with his princely appearance the character was an ordinary young man who did not have to worry about any princely duties.
Hoshi
Soonyoung was written by a young woman who always dreamed of being in love. Having never found her soul mate, she had invented a man who made her dream. He was very funny, kind, cute. This man is what she wanted the most in her life.
Wonwoo
Wonwoo was written by an elderly woman who lost her military husband. To remember him she had invented a man who described her husband when she met him. A charming young man, although very short-sighted, very discreet, of infinite kindness and very handsome. She shared many commonalities such as her love of reading or cats.
Woozi
Woozi was written by a retired musician. This musician would have liked to have an offspring to teach music to and share all his stories with. Never having been able to have a child, he had written a character in which all his love for music had been transmitted. This made-up man, nicknamed Woozi, was a successful producer, everything the old man had dreamed of.
Dokyeom
Seokmin was written for me by a young girl who always wanted to have a big brother with whom to laugh, cry, shake and do nonsense. She wanted a source of happiness to help her do well in everyday life, and her imaginary older brother was always smiling for her.
Mingyu
Mingyu was written for me by a young person who dreamed of being a man. He felt that he had been born into the wrong body and did not have enough money to perform operations to change his body, so he had invented a man, the man he dreamed of being. A tall and handsome man, and above all very kind.
Mingaho
In my opinion, Mingaho was written by a dreamy little boy. He dreamed of being a talented and brilliant man. The little boy was very afraid to stand out from his friends with his creativity and calm temperament and had created this character with the idea of finding a refuge, a person in whom he could pass on his emotions.
Seungkwan
I think Seungkwan was invented by a young girl who wanted a bestfriend. She wanted to be able to reflect herself in a person she could consider her half. She wanted a person close to her, always there to tell her what was wrong, to help her in case of need. She also wanted a gossip companion.
Vernon
Hansol a été écrit par un militaire à la retraite. Il voulait s'imaginer un univers ou il n'avait pas passé sa vie entière à servir le pays. Il voulait s'imaginer un monde où il avait eu une adolescence amusante avec des amis qui l'entoure. Même si il était parfois difficile pour lui de mettre des émotions à son personnage, lorsqu'il le faisait, c'était d'une douceur et d'une chaleur infinie
Dino
Dino was written by a little orphan boy. This little boy who had always wanted to have a big family, that's why when he created his character, he surrounded him with 12 very loving friends. Even if Dino, the character loved by the orphan, gets annoyed, he knows he's loved.
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francepittoresque · 6 months
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26 octobre 1440 : exécution de Gilles de Rais ➽ https://cutt.ly/Gilles-Rais Devant hélas davantage sa célébrité aux extravagances, vices et crimes le menant à la potence qu’à ses exploits militaires durant la guerre de Cent Ans aux côtés de Jeanne d’Arc, Gilles de Rais, fréquemment confondu avec le personnage de « Barbe Bleue » du conte de Perrault, ne laisse pas, aujourd’hui encore, de susciter les controverses quant à sa culpabilité
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francebonapartiste · 2 months
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Bienvenue sur le compte Tumblr de France Bonapartiste
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Notre histoire nationale est depuis de trop longues années déjà mise à l’écart au profit de la connaissance européenne et mondiale. Nous ne pouvons pourtant bâtir les fondations de l’avenir sur des bases instables, en méconnaissance de notre passé. Souvent il a été glorieux, parfois il a été sombre. Les personnages historiques qui ont façonné notre pays doivent être sorti de l’ombre et leurs actions doivent être pleinement étudiées, sans raccourcis qui pourraient nous perdre dans de funestes horizons.
Par ce cercle de réflexion historique, nous souhaitons ainsi embrasser notre récit national pour comprendre quels ont été les chemins glorieux et les sentiers escarpés.
Nous souhaitons partager avec vous ces heures éblouissantes qui ont fait la France ; la Révolution française et le souffle nouveau qu’a apporté notre Nation à l’Europe voire même au monde entier, dans ses heures éclatantes mais aussi et parfois dans ses moments les plus sombres ; la naissance et l’œuvre phénoménale de l’homme providentiel en la personne de Napoléon Bonaparte qu’elle soit militaire, architecturale, diplomatique comme politique et qui a mené par son génie la France sur le toit du monde ; la vision et le profond attachement de Louis-Napoléon Bonaparte avec les Français qui l’élisent premier président de la République française en 1848 et qui deviendra l’Empereur Napoléon III aux réalisations sociales ayant données le « la » à nos droits sociaux actuels ; les deux guerres mondiales ayant apporté la terreur mais qui a vu également émerger des figures héroïques telles De Gaulle, Jean Moulin, Simone Veil, Joséphine Baker et tant d’autres, qui représentent par-delà leur personne, la France.
Il n’est point question d’effacer des pans entiers de notre histoire nationale, mais au contraire de la mettre en lumière et d’en étudier toutes les facettes pour comprendre comment notre Nation s’est aujourd’hui constituée !
Ce compte tumblr se veut être le pendant de notre site internet, afin que nous puissions partager sur ce réseau social de différents articles, photos, analyses et découvrir des comptes fascinants.
N'hésitez pas à nous suivre !
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jeviensdevoir · 4 months
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Napoléon, Ridley Scott, 2023
Comme je suis assez nul en Histoire, ça m'a fait une leçon de rattrapage. Je me rends doucement compte que la période de la Révolution Française est quand même très compliquée à comprendre.
Le film quant à lui est décevant de la part de Ridley Scott. Le souffle épique ne fonctionne pas sur les batailles. Il ne se dégage presqu'aucune émotion d'aucun personnage, si ce n'est peut-être Joséphine. Après, l'histoire est en fait très triste. Après quelques victoires militaires, la vie de Napoléon est une succession de sacrifices qui mèneront à pas grand chose.
★✰✰✰✰
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girafeduvexin · 6 months
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J'ai retrouvé les passages où Proust parle de sionisme, c'est incroyable.
Incroyable que ce soit comparé au végétarisme ou au "refus du service militaire". Mais dans tous les cas, c'est un excès de zèle. Dans les phrases précédentes, au passage, ils parlent des homosexuels qui se vantent de leur homosexualité et disent qu'en gros, les grands hommes sont tous homosexuels, et que c'est l'attribut des génies, typiquement Proust.
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La Recherche est déchirée entre cette envie de ne plus se cacher, de vivre en paix, qu'on soit homosexuel, juif, ou les deux, et en même temps, ce désir de se cacher, et on le voit avec des personnages qui souffrent soit d'être trop exposés (Charlus, Bloch), soit d'être trop cachés (Swann). Dans cette lecture, le sionisme et le "charlisme" (càd une homosexualité qui refuse de se cacher) sont trop extrêmes d'un point de vue proustien.
Autre exemple :
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"Rebâtir Sodome", incroyable analogie.
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xydol-ktabet · 7 months
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Après « Entre l’Algérie et la France, il n’y a qu’une seule page », « Souvenez-vous de nos sœurs de la Soummam », « Aux portes de Cirta », le jeune écrivain algérien Mohamed Abdallah revient avec une autre œuvre littéraire où l'Histoire collective se mêle à l'histoire individuelle pour donner un mélange magnifique entre l’Historique et le Romanesque !
Le vent, cette fois-ci, nous emporte à la veille du déclenchement de la guerre de libération nationale. À Oran, nous suivons le parcours de multiples personnages appartenant à deux mondes différents, à deux bains linguistiques différents, aux multiples doctrines de pensées. Nonobstant, ils regardent tous dans la même direction.
Ils ont contribué à l’éveil de la conscience collective et à la guerre de libération nationale, qui pour M.A, avait été intellectuelle autant que militaire. Des écrivains, des artistes, des journalistes et des activistes politiques aspirent tous, chacun à sa manière, à la liberté de la terre algérienne.
M.A trace, dans les moindres détails, leurs débats respectifs. D’une conscience politique et intellectuelle remarquable, leurs rassemblements avaient été marqué par de multiples questions qu’ils posent pour avancer malgré le doute.
M.A se base spécialement, d’un côté, sur la figure de l’écrivain, sa création littéraire unique et universelle à la fois, son essence, la nécessité de son engagement à côté des siens. De l’autre côté, il se penche sur la figure du journaliste, sa volonté d’explorer de nouveaux horizons et dire la réalité telle qu’elle se présente.
D’autres personnages sont d’une valeur référentielle qui renvoient à des figures emblématiques de la guerre de libération nationale comme Larbi Ben M'hidi et Abane Ramdane et artistique comme Maurice El Medioni et Igor Bouchène.
Dans cette œuvre, M.A questionne le rapport de l’intellect à l'Histoire de sa patrie, à l'Autre. Cette altérité « imposée » a poussé chaque protagoniste à se construire, à réfléchir, à agir selon les moyens qu’il a.
Ce rapport à « l’Autre » que M.A évoque, concerne la langue française. Pour M.A, ce choix relève avant toute autre chose de la résistance. Autrement dit, bien qu’elle soit la langue de colonisateur, ces figures s’en servent pour défendre la cause Algérienne.
M.A n’exclut pas le rôle prépondérant des femmes dans cette révolution libératrice intellectuelle. De multiples personnages féminins, présents dans l’univers diégitique, ont accompagné les hommes dans l’accomplissement de leur engagement.
Si l’aïeule garantie la transmission de la culture ancestrale aux futures générations, la mère s’attache, en ces temps morose, à protéger ses enfants et veiller sur leur éducation. À l’absence du père, elle est la boussole de toute la famille.
La considération de cette œuvre essentiellement comme étant roman historique, c'est ignorer, à mon humble avis, sa complexité. Il est clair que la dimension historique est omniprésente dans "le vent a dit son nom". Il y a plusieurs indices qui renvoient le lecteur à des événements historiques comme les massacres du 8 Mai 1945.
En revanche, M.A ne s’est pas contenté de mettre l’Histoire au centre de son écriture. Différent de l’Historien, le romancier qu’il est, use des faits historiques, pour questionner une période historique précise. À travers un regard critique d’un observateur et une imagination féconde basée sur ses recherches et ses lectures, il exploite ses facettes non connues.
Selon la critique littéraire, un texte est en interconnexion perpétuelle avec d’autres. Ce phénomène textuel est le propre de chaque texte et constitue l’un de ses qualités. Dans ce roman, il réside dans l’appareil titulaire. La phrase du titre renvoie à l’un des vers du poème de Rimbaud sur l’Émir Abdelkader.
Elle est légèrement modifiée par l’emplacement de l’adjectif possessif « son ». Ce dialogue entre les deux textes, que M.A tisse, montre sa volonté de prendre possession du passé historique de son pays sur lequel, il a son mot à dire.
Si le dialogue est intertextuel dans le premier cas, il est, selon Michel Riffaterre, intratextuel dans le second cas. Autrement dit, la coprésence de l'écriture romanesque, l'écriture historique et l'écriture journalistique, dans le même texte, donne forme à cette intratextualité. Elle montre le talent stylistique de M.A. Malgré la différence des trois formes d’écritures, le texte garde cohésion et cohérence.
D’un point de vue stylistique, la plume de M.A est de qualité. Elle regroupe deux formes d’écritures différentes mais leur mélange, dans ce roman, est à saluer. Il s’agit, en premier lieu, de l’écriture classique par l’insertion des passages descriptifs contenant les états d’âmes des protagonistes, les lieux dans lesquels ils se rendent. En second lieu, il est question de l’écriture contemporaine. Malgré la complexité de la thématique abordée, la fluidité stylistique, rend la lecture agréable.
Cette forme d’écriture passe de la stylistique à la question du genre par la coprésence du roman, de la poésie et de la chanson populaire qui rend l'univers romanesque plus dense, présente aussi la diversité culturelle du peuple algérien s’opposant au discours colonial et son projet de civilisation d’un " peuple analphabète, barbare et primitif."
Cette hybridité littéraire que l’on aperçoit dans ce roman s’étale à une autre forme d’écriture « générique ». Il s’agit, en particulier, de l’essai, à travers les réflexions qu’expose M.A sur la critique littéraire, qui, en quelque sorte, une réinvention de toute l’œuvre.
Ce que nous trouvons intéressant, dans cette œuvre littéraire, est la place accordée à la trame spatiale. Elle est d’une importance capitale. Elle se multiplie entre des lieux fictifs et référentiels, ouverts ou fermés. Le monde de l’extérieur représente l’enfermement et l’oppression exercés par le colonisateur français sur la société algérienne.
Il y a, en revanche, le monde de l’intérieur. Malgré sa fermeture, la Mauresque et le café Medioni sont deux endroits dans lesquels les protagonistes se réfugient, se permettent une certaine liberté pour aborder tous les sujets épineux qui les tracassent à cette période décisive de l’Histoire algérienne.
D’une richesse littéraire inépuisable, les points que nous avons abordés dans cette œuvre n’est qu’une lecture parmi d’autres. Une chose dont nous sommes certains est que ce roman mérite toute l’attention des lecteurs pour une meilleure lecture parce qu’il y a toujours des aspects à dévoiler comme l’exprime l’écrivain lui-même :
"[...] Il y a, derrière chaque, chef-d’œuvre une histoire. Parfois, cette histoire se dévoile à nous entièrement, se donne à lire avec transparence. D’autres fois, nous nous retrouvons face à une énigme, un poème qui ne révèle pas ses rimes, une trame qui ne suggère plus qu’elle ne se montre."
Maissa Nadine Sidhoum,
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carbone14 · 1 year
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Lieutenant Colonel George Patton de la 1ère Brigade de chars devant un char Renault FT – Eté 1918
©United States Army Signal Corps
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marie-swriting · 1 year
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À La Maison À Nouveau - Bucky Barnes
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Marvel Masterlist
Résumé : Ton mari, Bucky, est appelé pour aller à la guerre, laissant votre fils, Michael, et toi derrière lui, mais il te fait la promesse de te retrouver à nouveau. Cependant, Bucky était loin de s'imaginer que "à nouveau" signifiait "soixante-quatorze ans".
Warnings : commence dans les années 40, angst, mort de personnage, mention des traumatismes de Bucky, perte d'une père, mention de la guerre, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 3.8k
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : We'll Meet Again par Vera Lynn
Ton dos collé au torse de Bucky, vous êtes installés sur votre canapé. Tu tiens sa main gauche contre ta poitrine, tu caresses doucement l’anneau sur son annulaire et parfois Bucky amène vos mains à sa bouche pour embrasser la tienne. De son autre main, il tient Le Hobbit pendant qu’il lit à voix haute. Comme souvent, quand votre enfant Michael âgé d’un an fait sa sieste, vous profitez de ce moment de silence pour vous allonger et lire. Même s’il vous arrive de changer de roman, vous relisez très souvent l'œuvre de Tolkien. Bucky est celui qui te l’a fait connaître donc c’est un peu devenu votre livre. Bucky continue de lire, te berçant délicatement avec sa voix, comme à son habitude. Une légère brise venant de la fenêtre ouverte du salon arrive jusqu’à vous pour chasser la chaleur de l’été. Bucky est au milieu d’une phrase quand vous entendez frapper à la porte. Il marque la page avant de refermer le livre et tu l’informes que tu vas ouvrir. Tu quittes les bras de Bucky, embrasses rapidement ses lèvres et te diriges vers la porte. En l’ouvrant, tu découvres un homme vêtu d’une tenue de l’armée. Tu comprends en un instant quelle nouvelle il va annoncer.
-Mes hommages, Madame Barnes, te salue-t-il en faisant un signe de tête, est-ce que le Sergent James Buchanan Barnes est ici ?
-Oui, il est là, informes-tu. Buck, peux-tu venir, s’il te plait, chéri ? appelles-tu ton mari.
Tu entends Bucky poser le livre sur le canapé et marcher vers toi. Quand il arrive, tu te décales pour qu’il puisse être face à l’homme. En remarquant que c’est un homme de l’armée, Bucky fait tout de suite le salut militaire avant d’écouter les informations. Tu regardes l’interaction, même si tu as l’impression de ne plus être là mentalement. La conversation n’arrive pas clairement à tes oreilles, à l'exception d’une phrase “vous partez demain matin.”. Les derniers mots continuent de résonner dans ta tête en réalisant que dans quelques heures, Bucky ne sera plus à vos côtés, toi et votre fils, jusqu’à un jour indéterminé - s’il revient à la maison en sécurité. Quand tu vois Bucky faire le salut militaire à nouveau, tu dis rapidement au revoir au commandant alors que Bucky referme la porte. Une fois de nouveau seuls, un long silence pesant vous fait face. Bucky analyse ton visage, tentant de comprendre tes pensées qui fusent à mille à l’heure. Il s’apprête à te dire quelque chose quand les pleurs de Michael te sortent de ta transe. 
-Je vais aller voir ce qu’il a. Tu devrais aller te préparer, tu dois aller retrouver Steve dans peu de temps.
-Hey, mon coeur, dit-il d’une voix douce en prenant ta main, tu sais que tout ira bien pour moi, hein ?
-Je n’en doute pas, souris-tu en caressant sa joue gauche et embrassant la droite. 
Tu te sépares de lui et montes retrouver ton fils. Tu vois qu’il pleure car il a perdu son doudou, tu prends Michael dans tes bras avant de récupérer son ours en peluche et de le lui rendre tout en essayant de le calmer. En le berçant doucement, tu poses tes yeux sur son visage et détailles ses traits si proches de ceux de Bucky et tu sens des larmes monter à tes yeux, malgré toi. Tu savais que ce n’était qu’une question de temps avant que Bucky ne soit appelé à la guerre, tu espérais juste avoir un peu plus de temps avant son départ. Tu retiens tes larmes, ne voulant pas que Bucky voit tes yeux rouges. Tu dois rester forte pour lui jusqu’au lendemain, quand il sera parti. Il est celui qui va à la guerre, tu ne dois pas être celle qui pleure. Mais tu ne peux t’en empêcher. La peur de perdre Bucky au combat s’est agrandie au moment où tu as ouvert la porte. 
Pour la dernière soirée de Bucky, vous la passez à la Stark Expo avec Steve et Michael. Vous profitez un maximum de ce dernier moment ensemble. Bucky a les étoiles plein les yeux en regardant les différentes inventions pendant que tu essayes de mémoriser Bucky étant heureux. Seul Dieu sait dans quel état tu retrouveras Bucky à la fin de la guerre. Tu le regardes interagir avec votre fils, cette vue réchauffe ton coeur, surtout lorsque Michael lâche des petits rires face aux singeries de Bucky. 
Cependant, ce moment est devenu un vieux souvenir lorsqu’avec Bucky et Michael vous êtes arrivés sur le quai, attendant le moment où il devra officiellement vous quitter. Le début de matinée d’été permet de rendre cette journée un peu moins horrible. Le soleil brillant semble vouloir te donner un peu d’espoir pour le futur de Bucky. Mais le soleil a beau être lumineux, ça n’efface pas ton anxiété. Même la vue de Bucky tenant votre fils dans ses bras, profitant de ce dernier instant ne réduit pas ta peur. Il continue de te parler, espérant te changer les idées. Même si tu fais de ton mieux pour cacher tes émotions depuis l’annonce de son départ, Bucky voit bien la tristesse dans tes yeux. Toutefois, s’il devait être honnête, en faisant ceci, ça lui permet également d’éviter de penser aux horreurs de la guerre dont il va être témoin. Il essaye de faire bonne figure devant toi, mais au fond de lui, il a peur de ne pas revenir, de te faire veuve et de laisser votre fils sans père. 
Quand les soldats sont officiellement appelés, tu prends Michael dans tes bras et Bucky se saisit de son sac. Tu ne regardes pas Bucky dans les yeux, de peur de craquer en face de lui. Il positionne ses doigts sous ton menton et relève ta tête.
-Tout va bien aller, mon coeur. Je serai de retour en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, t’assure-t-il avec un sourire réconfortant.
-Bucky, on ne sait pas si…
Ta phrase reste en suspens, n’osant pas évoquer à voix haute la possibilité de perdre Bucky pendant que tes yeux se remplissent de larmes.
-Hey, on se reverra. Je ne sais pas quand, mais je sais qu’on se reverra car je reviendrai toujours vers toi et vers lui, affirme Bucky en posant sa main droite sur ta joue et la gauche sur celle de Michael. Tu verras, ça sera une journée ensoleillée comme celle-ci et on pourra rattraper tout le temps qu’on a perdu. Je reviendrai, peu importe combien de temps ça prendra. C’est promis. Tout ira bien pour moi. 
-Fais quand même attention à toi. Je te veux en un seul morceau, déclares-tu avec un sourire triste.
-Tu me connais, je fais toujours attention, te rappelle Bucky en embrassant ta main gauche, sur ta bague de mariage. Prenez soin de vous.
-Comme toujours. 
Bucky et toi continuez à vous regarder dans les yeux jusqu’à ce que l’annonce d’un dernier appel avant le départ interrompt votre moment.
-Je dois y aller. Je vous aime. 
-T’aime, papa, tente de dire Michael. 
-Je t’aime aussi, Mikey, lui répond Bucky en embrassant sa joue. Papa sera de retour bientôt. Sois sage avec maman. Je vous écrirai tous les jours, promet-il.
-Tu as intérêt, sinon je ferai comme Steve et je ferai tout pour essayer de rejoindre l’armée, affirmes-tu, faisant rire Bucky.
-Cet imbécile a une mauvaise influence sur toi.
-C’est ton meilleur ami. Tu ne peux blâmer que toi, blagues-tu avant de prendre un air sérieux. Je t’aime, James.
Tu n’utilises pas le prénom de Bucky souvent, seulement durant les situations critiques. En entendant son prénom sortir de ta bouche, Bucky sait tout ce que tu sous-entends dans ce “je t’aime” : “fais attention à toi, je t'attendrai, reviens vers nous, je t’aime.”
-Je t’aime aussi, Y/N. 
Tout comme ta phrase, elle semble simple, mais elle cache une signification plus profonde. Derrière le “je t’aime” de Bucky se cache “Je ferai tout pour revenir vers toi, je ne vous abandonnerai pas, toi et Michael, je ferai en sorte d’être le plus en sécurité possible, je t’aime.”
Bucky t’embrasse une dernière fois pendant qu’il caresse doucement le dos de Michael. Quand il brise le baiser, il pose à nouveau ses lèvres sur la joue de votre fils avant de partir. Tu le regardes partir, les larmes coulant déjà à flots. Tu n’arrives plus à les retenir. Tu gardes tes yeux sur Bucky jusqu’à ce qu’il disparaisse sur le bateau. Tu restes encore sur le quai jusqu’à ce que le bateau quitte le port. Quand Bucky est officiellement loin de toi, tu baisses les yeux sur Michael qui te regarde avec des yeux curieux, ne comprenant pas la situation. Tu essayes de lui sourire en essuyant tes larmes d’une main. Tu contemples ton fils, la seule partie de Bucky qui est avec toi maintenant, jusqu’à ce que l’homme que tu aimes rentre de la guerre.
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Soixante-quatorze ans plus tard, tes yeux sont encore posés ton fils, seulement son visage a bien vieilli depuis le départ de Bucky, tout comme le tien. En regardant Michael, tu peux avoir une idée de à quoi aurait pu ressembler Bucky si la guerre ne te l’avait pas volé. La perte de Bucky a été la plus terrible des épreuves que tu as pu vivre. Tu te rappelles encore le cri de douleur que tu as lâché, mais également le déchirement dans ton cœur en apprenant la nouvelle. Ton fils était alors âgé de trois ans, donc tu as dû gérer le chagrin au mieux pour que Michael ait une vie heureuse et complète, malgré l’absence de son père. Tu t’es assurée à ce que Michael n’oublie jamais qui était Bucky. Tu lui as raconté toutes les histoires possibles de Bucky, et aussi d’oncle Steve, en plus de disposer toutes les photos que tu possèdes pour qu’il se souvienne toujours du visage de Bucky. Si on demandait à Michael si tu es une bonne mère, il dirait que tu as fait un travail exceptionnel, car même s’il n’a pas de souvenir, il a l’impression de réellement connaître son père grâce à toi. 
Quand tu es devenue vieille, Michael s’est occupé de toi, comme tu l’as fait toute sa vie. Cependant, à cause de l’âge, c’est devenu de plus en plus compliqué pour Michael de prendre soin de toi, mais il ne voulait pas te laisser seule alors il a fait en sorte d’être dans la même maison de retraite que toi. Il vit même dans la chambre à côté de la tienne. De plus, le moment où Steve est sorti de la glace, il s’est assuré à ce que vous ayez le meilleur établissement.
Actuellement, tu es dans ta chambre, décorée par tes différents souvenirs dont une photo de Bucky sur ta table de chevet datant de votre mariage. Michael est assis sur le fauteuil à côté de ton lit pendant que ta petite-fille Allison est installée sur ton lit. Les rayons du soleil remplissent de lumière ta chambre, la chauffant juste assez. Allison vient vous rendre visite presque tous les jours et une fois de temps en temps, ton arrière-petite-fille, Claire, vient également vous voir. Toutefois, selon Allison, elle ne vous rend pas visite assez, ce à quoi tu lui réponds toujours le même type de phrase :
-Claire a vingt ans. Elle est jeune, elle a raison de sortir. Et puis, elle nous appelle presque tous les jours. Laisse-la vivre, cette petite.
-Je sais, mais elle était censée venir aujourd’hui. 
-Elle pourra venir demain, lui assure Michael, faisant soupirer Allison. 
Elle s’apprête à ajouter quelque chose quand quelqu’un frappe à la porte. Avant qu’elle puisse se lever, Michael se rend à la porte. Il ouvre et tu entends la personne dire quelque chose, même si tes vieilles oreilles t’empêchent de comprendre. Michael ne bouge pas pendant une seconde, comme s’il était en état de choc. Ne voyant pas qui est à la porte, tu commences à t’inquiéter : 
-Mikey, qui est-ce ?
Pour simple réponse, Michael se décale, les yeux grands ouverts, te permettant de découvrir Bucky encore jeune, bien qu’avec des cheveux plus longs et une barbe, face à toi. Tu n’oses pas bouger, ayant peur que ce soit le même rêve que tu fais depuis soixante-quatorze ans. Quand tu réalises que ton Bucky est bien là, tu commences à t’agiter. Tu essayes d’enlever ta couverture et ordonnes à Allison de t’aider à te lever, cependant à ton âge, c’est presque mission impossible. En te voyant réagir, Bucky accourt vers toi, ne voulant pas que tu quittes ton lit, de peur que tu te fasses mal. Quand il est à tes côtés, tu n’attends pas avant de te jeter dans ses bras.
-Tu es là. Tu es revenu, murmures-tu en pleurant.
-Je t’avais dit que je reviendrais. Un jour ensoleillée, c’était ça, non ?
-Tu m’as tellement manqué.
-Toi aussi, tu n’as pas idée.
-Comment c’est possible ? On m’a dit que tu étais mort ! Et comment peux-tu être encore aussi jeune ? questionnes-tu en tenant son visage dans le creux de tes mains.
-Tu te rappelles de l’histoire de Steve ? demande-t-il et tu hoches la tête. C’est plus ou moins pareil. 
-Je n’arrive pas à y croire. Mikey, il est de retour ! t’exclames-tu en direction de ton fils qui a les yeux larmoyants. 
-Je suis si heureux de te revoir, fils. 
Bucky se tourne vers Michael en le regardant avec un sourire triste. Trop ému, Michael n’arrive pas à sortir un mot. Il prend seulement Bucky dans ses bras tout en pleurant. Tu vois Bucky resserrer l’étreinte, appréciant le contact de son fils qui a tant changé depuis la dernière fois qu’il l’a vu. Après quelques instants, Michael brise l’étreinte, mais garde ses yeux sur Bucky.
-Papa, commence ton fils en s’éclaircissant la gorge et montrant Allison, voici ma fille, Allison.
-On est grands-parents ? s’enquiert Bucky, sous le choc.
-Arrières-grands-parents, même ! réponds-tu avec un sourire. Tu as une arrière-petite-fille, elle s’appelle Claire.
-J’ai l’impression que j’ai tellement de choses à rattraper.
-On serait heureux de tout te raconter, le rassure Michael en tapant gentiment l’épaule droite de Bucky. 
Et c’est ce que vous faites. Toute la journée, vous expliquez à Bucky différentes anecdotes familiales et répondez à toutes ces questions. Parfois, vous essayez de lui en poser, mais il évite toujours le sujet, ce que tu ne manques pas de remarquer. Bucky est assis à côté de toi sur le lit, vos mains enlacées, bien que ses gants empêchent un contact direct. Sa veste sur son corps t’évite également de voir ses bras. Tu n’arrives pas à comprendre pourquoi Bucky semble vouloir garder une certaine distance. Tu te fais un rappel de le questionner une fois que vous serez seuls. Il écoute attentivement Michael raconter le premier Noël d’Allison alors que tu regardes Bucky avec plus d’attention. Même s’il est très proche du Bucky qui est parti à la guerre, tu remarques les cernes et l’absence de l’étincelle qui était autrefois dans ses yeux. Son visage a à peine vieilli. C’est presque imperceptible, mais tu as observé les anciennes photos de Bucky trop souvent, alors tu trouves ces petits changements en un regard.  
Quand le soir arrive, Allison rentre chez elle après avoir aidé Michael à retourner dans sa chambre. Bucky est toujours à tes côtés. Après avoir supplié les infirmières pendant plusieurs minutes, elles ont accepté de te laisser manger dans ta chambre en plus d’autoriser Bucky à rester avec toi pour la nuit. 
Un silence apaisant flotte dans l’air pendant que vous vous regardez. Bucky détaille ton visage - qu’il trouve toujours aussi magnifique, il est heureux d’avoir pu le voir plus âgé, mais triste de ne pas avoir été témoin de son vieillissement. Il embrasse ton annulaire gauche sur ta bague de mariage, comme il le faisait autrefois et tu souris face à ce geste. Bucky remarque que l’anneau est toujours le même ; et même si tu avais tous les droits de te remarier, il est content de voir que tu ne l’as pas fait. Pour ta part, tu ne peux éviter d’être frustrée de ne pas sentir ses doigts, il n’a toujours pas enlevé ses gants, ni même sa veste.
-Tu n’as pas chaud ? Tu as gardé cette maudite veste et ces maudits gants toute la journée, t’exclames-tu avec agacement.
-Essayerais-tu de me déshabiller ? rigole Bucky avec un faux air choqué. Enfin, Y/N, une infirmière pourrait venir à n’importe quel moment ! 
-Bucky, soupires-tu, tu sais très bien ce que je voulais dire. Je ne t’ai pas vu pendant soixante-quatorze ans, j’aimerais pouvoir au moins toucher tes mains. 
À contre-coeur, Bucky enlève son gant droit et le met dans sa veste. Il regarde sa main faite de chair avant de te la tendre en tentant de faire un sourire rassurant.
-Et l’autre gant ? demandes-tu en arquant un sourcil.
-Je… Je préfère le garder.
-Je suis vieille, pas malade. Tu risques pas de choper de microbe, plaisantes-tu, faisant sourire Bucky.
-Je sais, dit-il sans rien ajouter de plus. 
Tu prends la main droite de Bucky dans les tiennes, appréciant enfin son aspect calleux. Le visage de Bucky prend un air triste alors qu’il enlève doucement sa main des tiennes pour la poser sur ta joue. 
-Je suis désolé de t’avoir fait attendre autant, chuchote Bucky. Ce n’était pas ce que j’avais prévu.
-On est réunis, c’est le plus important, lui assures-tu avec un sourire sincère.
-Certes, mais j’avais peur que tu sois…
Tout comme toi quand il a dû partir pour la guerre, il laisse sa phrase en suspens, n’osant pas exprimer à voix haute la possibilité de ton décès.
-Il faut croire que mon corps savait que tu étais encore vivant et qu’il attendait que tu me reviennes.
-Sûrement.
Bucky continue de caresser ta joue alors que tu poses ta main gauche sur la sienne, approfondissant un peu plus le contact.
-Tu comptes me dire la vérité, maintenant qu’on est seuls ? requiers-tu avec une voix douce.
Sachant très bien de quoi tu parles, Bucky se tend, retirant sa main de ta joue pendant que sa gauche se cache instinctivement dans la poche de sa veste.
-A propos de quoi ? feint-il de ne pas comprendre.
-Bucky, je te connais, malgré ces années de séparation. Et puis, la façon dont tu as dit que “plus ou moins” la même histoire que Steve t’était arrivé me confirme qu’il y a quelque chose que tu ne me dis pas. Qu’est-ce qui t’es arrivé pendant la guerre ? Comment ça se fait que tu sois aussi jeune et que tu aies survécu à cette chute ? 
Réalisant que son semi-mensonge ne t’a pas convaincu ne l’étonne pas. Tu le connaissais par cœur avant qu’il parte à la guerre, bien évidemment que tu peux encore le lire en lui comme un livre ouvert. À cet instant précis, il pense même que tu le connais peut-être mieux qu’il ne se connaît lui-même. Cette pensée lui pince légèrement le cœur. Il reste silencieux, ignorant quoi répondre quand ses yeux tombent sur un livre sur ta table de chevet.
-Tu l’as encore ? 
En entendant Bucky changer de sujet, tu roules des yeux alors qu’il se saisit de ton roman, à côté de sa photo. Il ouvre votre ancien exemplaire du Hobbit, maintenant abîmé à force d’être lu, et découvre des annotations qui n’étaient pas là la dernière fois qu’il l'a lu. Vous n’avez jamais annoté les livres que vous avez lu. Cependant, après son départ, tu avais reprit ta lecture du livre de Tolkien en annotant les commentaires que Bucky faisait à chaque lecture pour avoir l’impression de toujours le lire avec lui. Bucky sent son coeur se serrer en pensant aux nombres de fois où tu as dû lire Le Hobbit en cherchant un peu de réconfort.
-Je m’en sépare jamais, informes-tu. Tu ne vas pas me dire la vérité, n’est-ce pas ?
-Peut-être un autre jour.
Bucky sait qu’il ne devrait pas te cacher ce qui lui est arrivé. Tu risques de le découvrir d’un jour à l’autre, il devrait être celui qui te raconte son histoire, mais il veut le faire un autre moment. Il ne veut pas que ses retrouvailles avec toi soient gâchées. Tu es si heureuse de le retrouver, il ne veut pas te briser le cœur en t’expliquant que pendant soixante-dix ans, il a été torturé et utilisé comme une arme, en plus d’avoir perdu tous les souvenirs qu’il avait avec toi et Michael, jusqu’à ce que Steve le retrouve. Bucky a enfin une chance d’être avec toi après toutes ces années, il ne peut pas tout ruiner avec son histoire. Il a dû confronter d’horribles moments pour arriver à ce moment, il doit s’assurer que ce moment soit un souvenir joyeux. Depuis le Wakanda, il a le droit à une deuxième chance et il ne compte pas la gaspiller. Non, tu n’as pas besoin de savoir tout ce qu’il a traversé et fait. Tu n’as pas besoin de savoir à quel point il peut encore être fragile mentalement. Il est de nouveau à tes côtés, c’est tout ce qui compte.
-Pourquoi ne viens-tu pas t’allonger à mes côtés et me lire Le Hobbit comme avant ? finis-tu par proposer.
-Avec plaisir, mon coeur. 
Bucky t’aide à te positionner correctement dans ton lit avant de te rejoindre. Quand vous avez trouvé une position confortable, tu essayes de lui prendre sa main gauche, mais il se dépêche de tenir le livre de cette main et de te tendre la droite. Tu fronces les sourcils face à son geste. Tu lui tenais toujours la main gauche quand vous lisiez. Tu essayes de ne pas chercher le pourquoi du comment et caresse sa main droite alors que Bucky commence à lire les premiers mots. En entendant la voix de Bucky, tu  as l’impression de faire un bon dans le passé où tout allait bien, où vous étiez jeunes et loin des horreurs de la guerre dans votre petite maison de Brooklyn avec Michael faisant sa sieste paisiblement à l’étage. Tu prends une profonde inspiration, l’odeur de Bucky remplissant tes narines comme autrefois. Pour la première fois en soixante-quatorze ans, tu es enfin à la maison à nouveau. Un sourire paisible prend place sur ton visage. 
Fatiguée par les différentes émotions de la journée, tu t’autorises à t’endormir doucement en continuant d’écouter la douce voix de Bucky, tes caresses sur sa main devenant de moins en moins régulières. Grâce à son ouïe de supersoldat, Bucky sent ta respiration ralentir, l’indiquant que tu tombes dans les bras de Morphée. En tournant la page, Bucky embrasse le haut du crâne. Il continue sa lecture, écoutant attentivement les battements de ton cœur. Il termine de lire le chapitre deux quand il entend ta pulsation devenir de plus en plus faible jusqu’à ne plus être perceptible. Bucky s’arrête dans sa lecture quand il est confronté au silence. Il lui faut quelques secondes avant de réaliser que tu viens de le quitter. Instantanément, ses yeux se remplissent de larmes. Il pose le livre sur la table de chevet et pose son regard sur toi. Délicatement, ses mains trouvent leur chemin sur ton visage où il peut voir l’ombre d’un sourire. Bucky commence à pleurer en le voyant, car même si tu es partie heureuse et sereine à ses côtés, il t’avait promis de te retrouver, mais aussi de rattraper tout le temps perdu et une journée n’est pas suffisante. 
Marvel Masterlist
{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
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ladyniniane · 1 year
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⭐ Un petit commentaire director's cut pour la fanfic que tu as préféré écrire ? :D
Salut et merci pour la question :)
J'ai mis une éternité à répondre parce que grosse fatigue + vacances mais maintenant je suis de nouveau d'attaque donc en avant !
Je vais bien sûr parler de ma fic principale sur FE3H, La geste des preuses. Parce que ça fait plus d'un an que je suis dessus, que j'ai énormément appris et progressé avec cette histoire et que c'est elle qui m'a permis de me remettre à écrire d'une manière bien régulière.
Trouver un titre n'a pas été chose facile, surtout dans une histoire avec quatre protagonistes. J'ai finalement été inspirée par le thème littéraire et iconographique des Neuf Preuses qui se développe en plein coeur de la Guerre de Cent Ans. Il donne notamment naissance à des tapisseries représentant des héroïnes guerrières (pour en savoir plus). Je trouvais que ça collait très bien avec le contexte de l'univers, guerre, chevalerie etc.
Avant cette histoire, je n'écrivais pas tant de fanfics que ça. J'avais déjà écrit une fanfic longue, mais je m'étais surtout consacrée depuis 4 ans à des projets originaux (avec mon propre univers de Fantasy etc.). Cela se ressent d'ailleurs beaucoup de mon approche, avec mon choix de centrer mon histoire sur des OCs (même si j'ai toujours fait ça au final). De même, un autre pan important de ma fanfic est de donner un visage et une personnalité aux mères invisibles qui en sont dépourvues dans le jeu. De même, j'ai tendance à personnaliser ou développer certains aspects de Fodlan en fonction de ce qui m'intéresse.
Je voulais donc des protagonistes qui soient les héroïnes de leur propre histoire. Gladys est arrivée en premier. La base de son personnage m'a été inspirée par Yang Miaozhen, une cheffe militaire et meneuse rebelle de la Chine médiévale. Cette dernière était en effet décrite comme astucieuse et sûre d'elle, douée en tir à l'arc à cheval. A la base, Gladys devait avoir une histoire similaire et avoir pris le commandement des troupes de son frère à la mort de ce dernier. Mais j'ai fait sauter cet élément car je trouvais plus intéressant d'en faire une seigneuresse suo jure.
Enid est arrivée ensuite. Dès le départ, c'était l'élément extérieur au groupe et qui suscite des interrogations et potentiellement de la méfiance. Dans la toute première version, c'était une danseuse, du genre à disparaître après chaque représentation et dont on était pas sûr de l'allégeance, jusqu'à ce qu'il apparaisse qu'elle était clairement du bon côté. Encore un élément qui a sauté...
...Cette fois pour aller à un autre personnage puisqu'on le retrouve dans le passé de Vigdis. Vigdis et Maeve sont arrivées en tout dernier. A la base, il n'y avait qu'un seul personnage de musicienne taciturne mais celle-ci s'est très vite séparée en deux.
Pour Maeve, je voulais un personnage lumineux, dont on pourrait ne pas attendre grand chose mais qui possède beaucoup de force. Et pour Vigdis, j'ai axé sur le contraste entre son aspect dur et martial avec un fond sensible et artistique, avec sa passion pour la broderie. Maeve était au départ un personnage qui devait connaître les poisons, mais pareil ça n'apportait pas grand chose donc c'est passé à la trape.
Pour la dernière membre du groupe, Amalia, je me suis dit que c'était une bonne idée et que ça changerait si Gladys avait sa mère avec elle. Comme ça tout le monde a une adulte plus mature pour apporter un autre point de vue. Et j'aime beaucoup ce personnage qui a su s'adapter et se transformer, apprendre à manier les armes et rejoindre un nouveau milieu pour soutenir sa fille.
Voilà, voilà :)
Posez-moi des questions pour un commentaire sur une de mes histoires (cette fois je réponds plus vite :P)
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THE END OF THE FUCKING WORLD
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PRÉSENTATION DES FACTIONS.
Yo tous.tes les gens!
Des nouveautés sur TEOTFW.
Après une période de ralentissement non-volontaire, la construction du projet reprend! Si le design, les éléments graphiques ainsi que le codage sont presque ENTIÈREMENT terminé (et on remercie @tiababylo pour son engagement et son magnifique travail - for real, vous êtes pas prêt.e.s à tant de BEAUTÉ), la rédaction des annexes et des ressources sont encore en cours de création, mais nous sommes optimistes à compléter le tout très rapidement.
Pour vous, aujourd’hui, une présentation sommaire des FACTIONS dans laquelle vos personnages pourront évolués. Bien évidemment, ses groupes ne sont pas à l’abri des enjeux de survie et chaque groupe pourrait voir son avenir (et survie) à jamais changer par les actions posées en jeu. Eh oui, sur le forum vous êtes MAÎTRE de votre destion (mais surtout, responsable de vos décisions).
Description partielle, vous pourrez en découvrir DAVANTAGE dans les annexes prévues à cet effet. Encore une fois, on remercie le travail de @tiababylo dans la rédaction et création de ses groupes. Un énorme merci également à @reyes pour la relecture.
On vous laisse découvrir!
Et à trèèèèès bientôt.
→ la FEDRA.
Organisme gouvernemental, vestige et ruine de ce qu'était le gouvernement américain, c'est l'autorité en place depuis l'établissement de la loi Marshall et la création des Zones de Quarantaines. Militaires, scientifiques, citoyen.ne.s, iels sont tous rallié.e.s derrière les ruines du gouvernement.
→ les CIVILES.
Habitant.e.s de Zone de Quarantaine ou encore d'autres communautés, iels sont ce qu'il y a de plus commun dans ce monde où tout est prompt à la violence.
→ les LUCIOLES.
Organisme en combat direct avec la FEDRA, dont l'objectif principal est de trouver un vaccin au virus ayant causé la pandémie mais également de bousculer l'état Marshall imposé sur les Etats-Unis, en venant chercher des noises à la FEDRA.
→ les habitant.e.s de JACKSON CITY.
Communauté implantée dans le coeur du Wyoming, il s'agit d'un groupe auto-suffisant, possédant leurs propres champs et leur propre bétail afin de faire perdurer la vie, en plus de l'utilisation d'une centrale hydroélectrique qui est un atout non négligeable.
→ les SOLITAIRES.
Vagabond.e.s ayant décidé que la vie seul.e était préférable à rejoindre un groupuscule et accepter des idéologies pas forcément similaires, iels parcourent les villes et les villages, les terres et les campagnes, essayent de survivre du mieux qu'iels le peuvent.
→ les CROTALES.
Groupe réputé pour sa violence, originaire de Santa Barbara, il constitue un groupe de bandits des grands chemins, terrorisant les petites villes et petites communautés, saccageant tout sur leur passage.
→ les WLF.
Organisme ayant pris possession des territoires de la FEDRA à Seattle, c'est un groupuscule ayant décidé de se dessouder du groupe originel pour pouvoir rejoindre le Wyoming.
→ les SÉRAPHITES.
Les Séraphites sont un groupe de survivant.e.s réunis autour d'un culte fait à une prêtresse. Culte religieux visant à renier les technologies les plus modernes et revenir à un mode de vie plus primitif. Agriculture, chasse, pêche, ce sont des valeurs qu'iels portent avec elleux, en plus de cette violence exacerbée qui se retrouve dans nombre de leurs méthodes.
→ les LOST BOYS.
Enfants esseulés par les tords de la FEDRA, les Lost Boys sont un groupe de jeunes adultes et adolescent.e.s ayant eu leurs rêves brisés par la FEDRA. Des ancien.ne.s étudiant.e.s derrière les bancs militaires de l'organisme fédéral qui croient en une vie meilleure, un monde meilleur. (minimum 21 ans)
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lifextime · 10 months
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20 anecdotes sur " The MAW"
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Dernière partie sur ma série des anecdotes & théories concernant le jeu " Little Nightmares". Dans cette partie là, nous allons aborder " The MAW" (déjà mentionné dans les articles précédents), qui est le lieu central ou se déroule l'intrigue du premier opus.
Le nom du navire “Maw” dans le jeu fait référence à la bouche (mouth en anglais), symbolisant la voracité et l'appétit insatiable des personnages du jeu.
Certains joueurs ont établi des connexions entre le Maw et des thématiques sociales contemporaines, comme la société de consommation excessive et l'exploitation des plus faibles.
The Lady est considérée comme la propriétaire du Maw, le navire étrange dans lequel se déroule l'histoire du jeu.
The Maw est le principal cadre du jeu Little Nightmares. C'est un navire gigantesque et sombre, qui sert à la fois de maison et de prison pour de nombreux personnages.
Le Maw est composé de différentes zones, chacune avec son propre thème et ses propres défis. Parmi elles, on trouve la cuisine, la chambre d'hôtel, la salle à manger et le repaire de The Lady.
Le bâteau est un lieu cauchemardesque où règne une atmosphère oppressante et sinistre. Il est rempli de pièges, d'énigmes et de dangers mortels qui mettent à l'épreuve les capacités des joueurs.
Certains joueurs ont découvert des objets et des environnements qui semblent hors du temps, suggérant que le Maw pourrait exister dans une réalité alternative ou un univers parallèle.
Le Maw est habité par divers personnages étranges et déformés, chacun ayant sa propre histoire et son rôle dans la dynamique de ce lieu étrange.
Il est conçu de manière à créer un sentiment constant de claustrophobie et d'isolement. Les espaces sont souvent confinés, les couloirs sont étroits et sombres, et il y a peu de zones ouvertes.
Le navire est en constante évolution, avec des pièces et des éléments architecturaux qui se déplacent, se transforment ou se déforment, ajoutant à la nature changeante et imprévisible de cet environnement.
Les noms des ennemis dans le jeu, tels que le chef cuisinier appelé “The Janitor” ou les jumeaux cuisiniers nommés “The Twins”, reflètent les rôles qu'ils jouent dans le fonctionnement du Maw.
Les développeurs ont soigneusement conçu les décors du Maw pour créer une esthétique unique et inquiétante, combinant des éléments industriels, des objets de la vie quotidienne et des éléments grotesques pour créer une atmosphère dérangeante.
Certains fans ont remarqué des références à l'histoire de la Seconde Guerre mondiale dans le jeu, comme des uniformes militaires et des masques à gaz, suggérant que le Maw pourrait être une métaphore des horreurs de la guerre.
Le Maw est une métaphore de la société consumériste et oppressante, où les personnages sont réduits à des objets ou à des marchandises et où la quête de pouvoir et de contrôle est dominante.
Certains décors du jeu sont inspirés de lieux réels, comme l'escalier en colimaçon de l'hôtel de ville de Stockholm, qui a été utilisé comme référence pour créer les escaliers du Maw.
C' est un endroit où règne la faim insatiable. La nourriture est un thème récurrent, avec des repas extravagants et des personnages qui se livrent à des actes cannibales.
Le Maw est également un lieu de désespoir et de désolation, où les personnages semblent piégés sans espoir d'échapper à leur destin funeste.
Les environnements du Maw sont remplis de détails visuels et sonores subtils qui racontent des histoires implicites sur les événements passés et les souffrances endurées.
Le Maw est un lieu où la peur et la tension sont omniprésentes, avec des moments de fuite, de cachette et de poursuite qui maintiennent les joueurs sur le qui-vive.
C' est également un endroit où les joueurs doivent résoudre des énigmes et surmonter des obstacles pour avancer, ajoutant une dimension de réflexion et de stratégie au gameplay.
Les différents niveaux du Maw sont conçus de manière à créer une progression dans l'horreur, avec des dangers de plus en plus intenses et des révélations choquantes au fur et à mesure de l'avancement du jeu.
Le Maw est en quelque sorte un personnage à part entière, avec sa propre personnalité et son impact sur les personnages et les événements du jeu.
Certains fans ont établi des liens entre les symboles et les motifs récurrents dans le jeu, tels que l'œil et les masques, suggérant des thèmes de surveillance, d'identité dissimulée et de manipulation dans le Maw.
Certains joueurs ont interprété le Maw comme une représentation de l'inconscient collectif, avec ses symboles et ses horreurs reflétant les peurs et les obsessions humaines les plus profondes.
Les développeurs ont inclus de nombreux détails cachés et des easter eggs dans le Maw, incitant les joueurs à explorer et à découvrir des secrets supplémentaires sur cet environnement mystérieux.
Le Maw est régi par ses propres règles et lois, créant un système de pouvoir et de hiérarchie entre les personnages qui y résident. Les plus faibles sont souvent exploités et opprimés par les plus forts.
Les joueurs peuvent découvrir des salles secrètes et des passages cachés dans le Maw, offrant des raccourcis, des objets cachés et des éléments supplémentaires de l'histoire du jeu. Ces découvertes encouragent l'exploration et la curiosité.
Le Maw peut être perçu comme une allégorie de la condition humaine, explorant des thèmes tels que l'oppression, la perte d'identité et la lutte pour la liberté.
Les environnements du Maw sont souvent délabrés et en état de décomposition, renforçant l'idée d'une société en déclin et d'une humanité corrompue.
Le Maw représente un monde inversé où les normes et les valeurs sont distordues, créant une atmosphère de distorsion et de désorientation pour les joueurs.
Sources :
Wikia / Vikan Gaming / Reddit
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plaque-memoire · 1 year
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Plaque en hommage à : Napoléon Ier
Type : Lieu de résidence
Adresse : 107 Grande rue de la Guillotière, 69007 Lyon, France
Date de pose :
Texte : Hôtel de l'Aigle. A son retour de l'île d'Elbe le 10 mars 1815, l'empereur Napoléon Ier arrivant de Grenoble et de Bourgoing s'est arrêté dans cette maison avec son état-major avant d'aller à Lyon coucher à l'archevêché
Quelques précisions : Napoléon Bonaparte (1769-1821), également connu sous son nom d'empereur Napoléon Ier, est un homme d’État français et premier Empereur des Français de 1804 à 1814. Il est une figure majeure de l'histoire de France et a laissé une marque durable dans la société française dont l'héritage se perpétue encore aujourd'hui. Ayant pris part à la Révolution française, il prend le pouvoir à la suite du coup d’État du 18 Brumaire 1799, d'abord en tant que Premier Consul puis en tant qu'Empereur. Sous son autorité, la France est profondément réformée et atteint l'apogée de son emprise territoriale, en particulier grâce aux nombreuses victoires militaires remportées par Napoléon Ier contre les coalitions européennes. De nombreuses réformes napoléoniennes ont gardé un héritage jusqu'à l'époque moderne, comme la création des préfectures et du Conseil d’État, la mise en circulation du franc (qui ne sera abandonné qu'avec le passage à l'euro en 2002) et surtout la réalisation du premier Code civil (en 1804), lequel sera constamment réactualisé pour régir la vie administrative française. Toutefois, ses succès militaires se font de plus en plus rares, et à la suite de la prise de Paris en 1814, il est forcé d'abdiquer et est exilé sur l'île d'Elbe. Il en revient toutefois en 1815 et reprend le pouvoir pendant une période connue comme les Cent-Jours. Cependant, la défaite de Waterloo signera la fin définitive de ses ambitions. A nouveau exilé, cette fois-ci sur l'île de Sainte-Hélène, il meurt en 1821. Il laisse derrière lui un héritage considérable, qui nourrit tant une légende dorée (où il apparaît comme un homme providentiel et un commandant militaire hors pair) qu'une légende noire (qui le dépeint comme un tyran despotique et belliqueux) sur son compte et fait de lui un des personnages les plus importants de l'histoire de France, voire de l'Europe. De nombreux passages de sa vie ont été représentés ou adaptés dans des œuvres d'art, qu'il s'agisse de peintures, sculptures, livres, films ou jeux vidéo. Une autre plaque commémorative en son honneur peut être trouvée à Lyon, ville qu'il considéra pour la construction d'un nouveau palais impérial (qui ne sera jamais réalisé).
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jules-and-company · 1 year
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vous savez si vous l’aviez pas encore remarqué quand j’hyperfixe sur un truc ça a tendance à pas me laisser tranquille avant que je le couche sur papier. du coup j’ai bien soûlé @kaantt pendant toute une journée là-dessus donc je présente devant vos yeux ébahis nicolas le floch ✨flavour modern au✨:
ils bossent au 36 quai des orfèvres on va pas se mentir. la p’tite brigade de la crim’ c’est eux. le groupe d’enquêtes qui a simultanément le plus gros nombre d’enquêtes résolues au compteur et le plus de gars de l’IGPN sur le dos. ce cher sartine est DRPJ et est très, très proche du président en place. si on continue sur cette voie de la borde = garde des sceaux/premier ministre, selon si on veut inclure saint-florentin, auquel cas la borde est PM et st-flo garde des sceaux. sinon pour nos chers personnages principaux voici comment ça se passe :
- nicolas est bien commissaire, mais chef de groupe en plus. il a bossé pendant trois ans à la PJ de guérande et comme il était insolemment bon à son job les bonnes personnes en ont entendu parler et il a été parachuté commissaire au 36. c’est toujours un enfant trouvé élevé par le chanoine le floch, mais au lieu d’être le fils bâtard du marquis de ranreuil il est le fils (toujours bâtard) d’un ancien militaire enrichi, et ne l’apprend que des années plus tard - ça lui fait un petit choc quand même. côté boulot, tous les mecs de l’IGPN rêvent de le coincer pour tous les petits vices de procédure dans ses enquêtes mais que personne n’arrive à prouver. il aime sincèrement son équipe et y’a pas besoin d’être devin pour savoir qu’il hésiterait pas une seule seconde à se sacrifier pour eux. a son permis moto mais préfère la voiture. se fourre toujours dans les pires merdes (ça c’est canon) et a sa carte de fidélité à l’hôpital de paris. au début ça inquiétait vachement les autres gens du 36 de le voir rentrer la gueule en sang ou d’apprendre qu’une ambulance est venue le chercher mais après quelques mois ça n’étonne plus personne et inquiète seulement sa team. possède une balle anti-stress dans sa boîte à gants et est inscrit à la boxe histoire de passer ses nerfs déjà bien à vif. se retient chaque jour que dieu fait de claquer sartine pour être foncièrement désagréable et ne jamais jouer franc-jeu avec lui. à part ça des cernes sous les yeux de plusieurs kilomètres de long et boit plus de café que d’eau
- bourdeau est le numéro 2 du groupe d’enquêtes, il n’est plus inspecteur mais capitaine. literally the kindest man ever. est nul en informatique et possède un téléphone perso à clapet. il se ment quotidiennement en répétant qu’il a pas vraiment besoin de lunettes mais en sort une paire dès qu’il faut lire un papier pas écrit en police 50. clope régulièrement, est obligé de se rabattre sur les chewing gum mentholés pour couvrir l’odeur des cadavres lors des autopsies (si sanson aperçoit UN mégot il tape une crise maison). lui aussi est connu des services hospitaliers, mais plus souvent en tête de liste du carnet de visite que pensionnaire. nicolas c’est son meilleur ami mais il aimerait vraiment qu’il fasse un peu plus gaffe à lui, aussi bien physiquement que mentalement, et si les autres se sont habitués au manque d’instinct de survie et à la malchance de leur commissaire, eh ben pas lui, et il continuera de se faire un sang d’encre comme au premier jour. au fond il sait qu’il suivra nicolas au bout du monde s’il le faut, mais apprécierait d’arrêter de se retrouver dans la merde jusqu’au cou à chaque fois qu’il le suit dans un de ses plans foireux. partisan du motto “si c’est pas dans le procès verbal, ça n’est pas arrivé”. il est fatigué on a daily basis et claustrophobe sur les bords
- julie de lastérieux en procédurier parce que why the fuck not. s’amuse beaucoup sur les scènes de crime parce qu’elle est fascinée par la psychologie des tueurs, est vraiment hyper douée pour son métier et le prend mal quand elle se trompe sur un élément. oui elle a pécho nicolas. oui elle se fait tuer à cause d’une sombre affaire de diplomatie internationale et elle était plus sous les ordres de sartine que de son commissaire. remplacée par jsp qui, mais toute l’équipe vit très mal sa disparition ça c’est sûr.
- le père marie en adjoint de procédurier parce que why the fuck not bis. ancien séminariste, c’est pour ça que tout le monde l’appelle le père marie. ne sais jamais trop où se mettre sur les scènes de crimes, se signe à chaque vue du cadavre, est une aide précieuse pour julie car il conserve une réflexion aiguisée et peut faire des liens entre des éléments que julie aurait omis de faire.
- tirepot et rabouine, les deux indics devenus rippeurs. ils ont toujours des contacts dans tout paris et sont des as pour trouver tout ce que tu veux sur tout le monde grâce à internet et aux archives. ne les laissez jamais prendre le volant si vous tenez à votre bagnole et à votre vie. 
- sanson, responsable de l’IML de paris, prend son job très à coeur, sa morgue ses lois. est prêt à gifler bourdeau s’il le voit cloper dans sa salle d’autopsie. un cador dans sa profession, aimerait tout de même qu’on arrête de lui ramener des cadavres à moitié détruits
- semacgus, médecin légiste aussi, assiste sanson dans les autopsies, maître de la playlist lors des opérations. dès que nicolas s’est fait marrave et qu’il refuse catégoriquement d’aller à l’hôpital, on le conduit chez semacgus qui lui fait des points de suture en soupirant et en se moquant de son incroyable capacité à attirer la poisse
je vais sûrement rebloguer mon propre post plus tard car vu comment cet au rotates in my mind and brings enrichment to my enclosure je vais penser à d’autres trucs en chemin
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francepittoresque · 2 years
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26 octobre 1440 : exécution de Gilles de Rais ➽ https://bit.ly/3AZvqzq Devant hélas davantage sa célébrité aux extravagances, vices et crimes le menant à la potence qu’à ses exploits militaires durant la guerre de Cent Ans aux côtés de Jeanne d’Arc, Gilles de Rais, fréquemment confondu avec le personnage de « Barbe Bleue » du conte de Perrault, ne laisse pas, aujourd’hui encore, de susciter les controverses quant à sa culpabilité
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