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#tenue du jour
chicinsilk · 1 month
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Between two showers, the trench coat is essential. The umbrella remained in the glove box of the car. I've lost count of all the ones I've forgotten, lost or broken. (YSL Rive gauche trench coat, dress, Miss Dior, Fendi handbag, pumps, Chanel, everything second hand)
Entre deux giboulées, le trench s'impose. Le parapluie quant à lui est resté dans la boîte à gants de la voiture. Je ne compte plus tous ceux que j'ai oublié, perdu ou cassé. (Trench YSL Rive gauche, robe, Miss Dior, sac à main Fendi, escarpins, Chanel, tout en seconde main)
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tealviscaria · 2 months
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Je suis en train de parcourir ma "poésie" (un trop grand mot pour ces textes). Elle est pas terrible la plupart de temps, mais parfois j'ai essayé d'écrire des textes comiques et je rigole tellement à mes blagues nulles. (Je me marre sûrement juste parce que je ne me souviens de rien de ce que j'ai écrit.)
Mais pourquoi je fais ce post. Je viens de trouver un poème qui est en fait une fanfiction de VDF et ça me fume de voir Renard, Raph et Henry qui parlent en rimes.
J'aimerais tellement voir un épisode spécial comme ça :D
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gay-impressionist · 7 months
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La France, une monarchie républicaine ? Mais nooooon
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mika-white-to-blue · 20 days
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Mon coup de cœur du jour ! Qui ne voudrait pas être un vrai homme, employé comme ouvrier, travaillant dur de ses mains, en extérieur, transpirant, se salissant dans sa tenue de haute visibilité et ses bottes en caoutchouc, appliqué et assidu à son travail, aimant la discipline, respectant strictement et consciencieusement les consignes et les ordres de son chef, gagnant en virilité, méprisé par les bureaucrates et pourtant utile à la communauté ?
My favorite of the day ! Who wouldn't want to be a real man, employed as a laborer, working hard with his hands, outdoors, sweating, getting dirty in his high visibility outfit and rubber boots, diligent and diligent in his work, loving discipline, respecting strictly and conscientiously follow the instructions and orders of his leader, gaining in virility, despised by bureaucrats and yet useful to the community?
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hedgehog-moss · 9 months
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do you have any recommendations for favorite french-language poetry? esp written by women?
Yes, sure! We might not have the same tastes (I like nature poetry mostly, and good old lavish alexandrine verse—I find the predictability of it very soothing) but here are excerpts of poems by 13 French-language poétesses :)
(I wanted to add a few men at the end but I spent too much time on the women, and the French male poets I enjoy are very well-known ones anyway, e.g. Hugo, Mallarmé, Prévert, Aragon... also André Breton's surrealist poetry)
• Sabine Amable Voïart, known as Amable Tastu (1798-1885)
D’où vient que l’âme humaine est ainsi disposée, Que jamais ses regards troublés et mécontens N’ont pu s’accoutumer à la marche du temps? Sur l’éternel chemin, chaque borne posée Nous attriste. D’où vient? je ne sais; mais toujours Le vertige nous prend à voir couler nos jours: 
Si vous reparcourez l’enclos où votre enfance Avez-vous souvenir, à l’âge où tout enchante, D’une voix qui vous plut, voix timide et touchante, […] Que, plus tard, cette voix résonne à votre oreille, De vos rêves déçus vous raillez la merveille, Vous prenant en pitié d’avoir si mal jugé… Elle est la même encor; mais vous avez changé!
• Louise-Victorine Ackermann (1813-1890)
(A la comète de 1861) […] Ah ! quand tu reviendras, peut-être de la terre L'homme aura disparu. Du fond de ce séjour Si son œil ne doit pas contempler ton retour, Si ce globe épuisé s'est éteint solitaire, Dans l'espace infini poursuivant ton chemin, Du moins jette au passage, astre errant et rapide, Un regard de pitié sur le théâtre vide De tant de maux soufferts et du labeur humain.
• Marie Dauguet (1860-1942)
Mon coeur est né sauvage et seul comme un merle, Que berça la chanson du vent, subtil orchestre, Ivre des noirs myrtils dont la forêt s'emperle, Grisé d'odeur de source et d'haleine sylvestre. […]
Et d'abord très souvent j'étouffe dans moi-même, Tout m'y semble étriqué, trop étroit et mesquin, Et je fuis l'infini pour l'infini que j'aime, Parmi le ciel, les eaux, les circuits des chemins.
• Alice de Chambrier (1861-1882) (she is Swiss)
J’ai vu comme l’on voit quelquefois dans un rêve, Une immense Cité près d’une immense grève, Avec des dômes d’or et des palais géants, Des temples incrustés de mille diamants […]
Plus tard j’ai repassé devant cette cité, Et voulant la revoir, je m’y suis arrêtée; Mais à peine mes pas ont foulé sa poussière Que devant mes regards elle s’est tout entière Écroulée—et n’est plus qu’une ruine immense Dont le cri des Vautours trouble seul le silence.
• Lucie Delarue-Mardrus (1868-1949)
1. Humanité sans force, endurante moitié Du monde, ô camarade éternelle, ô moi-même ! Femme, femme, qui donc te dira que je t’aime D’un cœur si gros d’amour et si lourd de pitié ?
2. J’aime, en quelque lieu que ce soit, L’heure où l’existence, pour moi, Redevient nocturne et muette.
L’heure sans lois et sans humains, Sans hiers et sans lendemains, Où je ne suis plus que poète.
La seule heure d’esprit total, Celle où, jusqu’oublier mon mal Je sens se fermer toute plaie,
Car je ne fus moi-même, vraie, Car je ne fus ce que suis, — Passionnément — que les nuits.
• Anna de Noailles (1876-1933)
Nature au cœur profond sur qui les cieux reposent, Nul n’aura comme moi si chaudement aimé La lumière des jours et la douceur des choses, L’eau luisante et la terre où la vie a germé.
La forêt, les étangs et les plaines fécondes Ont plus touché mes yeux que les regards humains, Je me suis appuyée à la beauté du monde Et j’ai tenu l’odeur des saisons dans mes mains.
• Renée Vivien (1877-1911) (English, mainly wrote in French)
Dans l’azur de l’avril et dans l’air de l’automne, Les arbres ont un charme inquiet et mouvant. Le peuplier se ploie et se tord sous le vent, Pareil aux corps de femme où le désir frissonne.
[…] Vêtu de clair de lune et de reflets d’argent, Le bouleau virginal à l’ivoire changeant Projette avec pudeur ses blancheurs incertaines. Les tilleuls ont l’odeur des âpres cheveux bruns, Et des acacias aux verdures lointaines Tombe divinement la neige des parfums.
• Valentine Penrose (1898-1978)
Notre Père qui êtes aux cieux des doux matins bercés aux fleurs des laitues bleues, […] que votre nom soit sanctifié ! O Brume d’or dans les vergers, que votre volonté soit faite ! Sur la Terre comme au Ciel ; sur la terre élançant ses arbres au soleil, sur les labours luisants chevauchés de noyers, sur le sol des jardins de chaleur tout vrillés […]. Donnez-nous aujourd’hui notre Pain quotidien. Dans la fraîche cuisine où bourdonne une guêpe, où les fourmis montent leur noir petit chemin […] Et pardonnez-nous nos offenses… […]
• Louise de Vilmorin (1902-1969)
Pois de senteur en ma demeure Et sur mon cœur poids de cent heures
Je t’enlacerai, tu t’en lasseras
Étonnamment monotone et lasse, Est ton âme en mon automne, hélas !
• Andrée Chedid (1920-2011)
Échappant à l'enclume du temps L'Univers sème ses formes Véhicule ses songes S'invente des tumultes
[…] Enserrée dans son globe Empoignant son noyau La Terre emporte l'histoire Vers son immense dérive.
• Anne Perrier (1922-2017) (also Swiss)
1. Ô rompre les amarres Partir partir Je ne suis pas de ceux qui restent La maison le jardin tant aimés Ne sont jamais derrière mais devant Dans la splendide brume Inconnue
2. Lorsque la mort viendra Je voudrais que ce soit comme aujourd'hui Un grand soir droit laiteux et immobile Et surtout je voudrais Que tout se tienne bien tranquille Pour que j'entende Une dernière fois respirer cette terre Pendant que doucement s'écarteront de moi Les mains aimées Qui m'attachent au monde
• Marie-Claire Bancquart (1932-2019)
1. Un tremble c'est le nom du peuplier blanc : luisance furtive.
Éclair des feuilles leur vie scintille
instant après instant elles chuchotent que nous avons aussi des moments miroitants minuscules, étincelantes traces de nous sur le monde. 2. Je suis l’encolure d’un pays vêtu de toile et d’eau, longtemps ténébreux, maintenant étalé sur la nuit, croisé une fois pour toutes par le crépuscule, et qui entend les soleils célébrer leur courbe.
Je suis son oreille, et, dans son oreille, ce qui, bruissant, permet le bruit.
[…] Mais suis-je enclave, ou bien ce pays serait le creux nécessaire au violon, l’autour-de-moi facilitant mémoire?
• Hélène Dorion (1958 - ) (she's from Québec)
Autour de moi les notes lumineuses d'une feuille venue jusqu'à la branche pour remuer avec le souffle danse et boit l'eau qui la sauve au matin quand recommence son chemin vers le soir
et je marche aussi d'un pas qui repose dans l'infini j'écoute le monde qui bruit à travers les arbres seuls comme des êtres occupés à devenir leur forme singulière
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clhook · 1 month
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Post très perso je sais pas si je vais le poster ou s'il va rester longtemps parce que je suis gênée de parler de ça mdr mais j'ai besoin de vider mon sac
j'avais un stérilet au cuivre pendant plusieurs années ça a été graduellement de plus en plus affreux au moment des règles pertes super abondantes douleurs insupportables etc mais je voulais pas l'enlever parce que je veux pas prendre d'hormones donc je serrais juste les dents une semaine et demie par mois mais à un moment j'ai commencé aussi à avoir mal en dehors des règles et surtout mal pendant les rapports je suis allée voir le médecin qui a dit que c'était parce qu'il y avait une mycose donc ok je soigne ça mais j'avais toujours mal je suis allée voir un autre médecin pour avoir un deuxième avis j'ai demandé si ça pouvait pas être de l'endométriose je me suis fait remballer ptdr j'ai fini par retourner voir mon médecin traitant qui a vu que mon stérilet était tombé et que c'était ça qui me provoquait les mycoses donc elle l'a enlevé carrément, elle m'en a prescrit un autre mais j'y suis jamais retournée parce que ça m'a un peu traumatisée et je voulais laisser mon corps trkl pendant un moment mais le fait est plusieurs mois plus tard que rien n'a changé, je suis toujours en pls pendant mes règles et je laisse plus mon mec me toucher parce qu'invariablement à chaque fois qu'on essaye je finis en larmes, pas seulement parce que j'ai mal mais parce que je suis déçue et triste et je culpabilise, impossible de mettre un tampon parce que ça me fait souffrir le martyr, et cerise sur le gâteau j'ai hyper envie d'être enceinte et d'avoir un bébé en ce moment et les gens m'en parlent systématiquement quand je parle du mariage c'est hyper dur de dire "haha on verra plus tard" alors que oui je rêve d'un bb mais je suis en combat constant avec mon corps et je suis fatiguée je pleure tout le temps l'autre jour ma collègue était hyper heureuse de me raconter que son fils va avoir un bébé j'ai tenu la conversation mais après je suis allée pleurer dans les toilettes comme une fragile j'ai pris rdv chez le médecin mais j'ai hyper peur d'y aller parce que j'ai peur d'avoir mal pendant l'examen et j'ai peur qu'elle me dise que j'ai rien et que c'est dans ma tête et que je passe le reste de ma vie comme ça ouin ouin ouin
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drackarys · 1 year
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Tenue du jour....
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perduedansmatete · 7 months
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vendredi soir dans mon lit c'est la routine. j'ai mangé du pain, du saucisson et ma sœur est partie après avoir essayé plein de tenues pour halloween. on a retrouvé ses vieilles robes lolita qu'on a évidemment toutes essayée et j'aimerais m'habiller comme ça tous les jours, elle aussi voudrait retourner dans cette phase de sa vie. après réflexion, nous serons certainement toutes les deux des petits chaperons rouge chacune de notre côté. sinon je me suis pas réveillée ce matin, mon cours d'après était annulé et je suis arrivée super en retard à celui d'encore après donc je n'y suis pas allée, mais j'ai avancé sur mon projet de mémoire que je devrais enfin envoyer afin d'avoir une réponse positive ou négative. aussi c'est les vacances et je n'ai rien de prévu finalement, peut-être un signe du destin pour me pousser à travailler mes cours, chose que je n'ai absolument pas fait depuis le début de l'année.
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ladyniniane · 18 days
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France Travail a accepté de financer le restant de ma formation ! Je suis inscrite, youhou ! (J'ai dû les relancer à 2 jours de la fin de l'échéancier).
Par contre, comme j'ai osé demander des nouvelles à ma conseillère elle se permet donc de m'envoyer un charmant message :
"Normalement lorsqu'un besoin de formation se fait sentir dans l'objectif de créer son activité, afin d'étayer le dossier de demande d'abondement au financement de formation, tous les documents inhérents au travail de projet de création -suivi de prestation tel qu'Activ'Créa (sic.) ou ateliers création..... doivent être joints à la demande. Vous ne nous avez rien transmis en ce sens.
Exceptionnellement, et compte tenu du delta restant à financer entre votre crédit CPF et le devis, la commission vient de valider positivement votre financement. "
Quoi ??? Alors déjà je lui ai envoyé tous les documents demandés et ensuite c'est quoi les Activ'Crea et tous ces trucs ? Evidemment PERSONNE n'est là pour t'expliquer ce que c'est et elle ne l'a jamais mentionné dans aucun de nos échanges (visiblement ce sont des ateliers à faire avec eux. Encore une perte de temps cosmique).
Bien sûr que je n'ai rien créé encore, je fais cette formation dans le but de lancer mon activité.
Tout ça a un côté "tiens allez mauvaise élève, on est bons princes on te balance les sous".
Ne jamais rien leur demander. Mais bon, j'ai quand même gagné.
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chicinsilk · 2 months
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Black and white / Noir et blanc.
3:00 p.m. at the garage door on this beautiful sunny day.
15h00 à la porte du garage par cette belle journée ensoleillée.
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homomenhommes · 2 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 125
Les vacances se déroulent bien. Le trio de copain est devenu nos amis et nous baisons à peu près tous les jours ensemble. Avec ou sans Manu et Théo. Jérôme n'est pas revenu cette année à la boutique de fringue et nous nous sommes contentés des draps de bain que nous avions laissé dans l'appart l'année dernière. Nous finissions la première des deux semaines prévues quand la gendarmerie est venue à la résidence.
Les voir en uniforme sur la terrasse venir vers notre table, nous a fait un peu peur. Y aurait-il un mineur dans le trio ?? Arrivés devant nous ils ont décliné mon nom. Je me suis " dénoncé ". Ils m'ont demandé de les suivre. Je me suis levé en maillot et j'ai écarté les bras en leur demandant " dans cette tenue ". Le plus âgé m'a regardé et m'a dit que nous pouvions aller dans l'appartement. Marc s'est levé et nous a accompagnés. Après l'entrée, il me dit que ma tenue importe peu, il devait juste m'informer que mes parents avaient eu un accident la veille et que malheureusement, ils étaient décédés.
J'ai eu d'un coup les jambes coupées et Marc a juste eu le temps de me rattraper. Dans le brouillard, j'entendais Marc engueuler la marée chaussée pour la délicatesse avec laquelle ils avaient délivré le message. J'émergeais avant qu'ils ne se fâchent. D'une voix blanche je leur ai demandé les circonstances. Quelques explications plus tard, à leur demande je me suis préparé à rentrer. Marc a décidé de rentrer avec moi, ne me sentant pas d'attaque à faire le trajet tout seul. Les gendarmes m'ont alors prévenu que deux des leurs (motards) nous escorteraient, le député local que mon paternel connaissait bien avait joué de son influence pour mon retour.
Marc m'a dit avoir fait passer le message, par Manu croisé en descendant aux motos, que nous quittions la station. ;Les gendarmes avaient eu le temps de prévenir leurs collègues et ils nous attendaient devant la résidence. ;Je suis rentré au radar. Il y avait trois motos devant moi pour m'ouvrir la route et j'ai copié chacun des gestes et chacune des positions de Marc. Sur l'autoroute j'ai enregistré comme une simple info le fait que nous roulions à fond. Les motards devaient être pressés de livrer le colis ! Marc m'a dit plus tard que toute sirène hurlante, nous sommes rentrés à 200 Km/h. Ce n'est que devant la morgue de l'hôpital que j'ai de nouveau repris contact avec la réalité. A postériori, je regrette de ne pas avoir savouré les pointes de vitesse que nous avons faites sur l'autoroute. Les policiers locaux m'attendaient. Descente à la morgue, il fait froid, quelques heures plutôt, je brulais sous le soleil. Deux corps sont sur les tables inox recouverts de draps. ;Ce sont bien mes parents (même si les papiers qu'ils avaient sur le prouvaient indubitablement). Marc me tient par les épaules. Même si je ne les aimais pas plus que cela, que nous ne nous voyions plus que deux ou trois fois par an, leurs morts me choque.
Marc discute des détails sordides avec les keufs et nous sommes autorisés à rentrer chez nous.
Dans la précipitation, Marc n'avait pas prévenu Samir et Ammed. Ils ont été très étonnés de nous voir arriver. Marc les a mis au courant en deux mots et après m'avoir présenté leurs condoléances, nous ont précédé à la maison pour l'ouvrir et la mettre en ordre de marche. De retour du garage, Jimmy était au courant et sans un mot est venu me serrer dans ses bras. Est-ce la fatigue, les nerfs ou la gentillesse de tous, mais je me suis mis à pleurer sans pouvoir m'arrêter. Je n'ai plus de souvenir conscient du reste de la soirée. Je me suis réveillé le lendemain matin dans les bras de Marc. Tout ce qui s'était passé la veille m'est revenu d'un seul coup, les keufs, le retour, les cadavres de mes parents. Marc m'a détaillé les obligations du jour. Retour chez les flics, visite aux Pompes Funèbres pour l'organisation des obsèques, notaire. Je passe les détails mais trois jours plus tard, je me retrouvais en possession de mon héritage. Merci Monsieur Sarkozy pour les frais de successions !! Je décidais de tout vendre sauf le chalet à la montagne, la villa à la baule et quelques meubles et bibelots qui avaient bercé mon enfance. Je gardais aussi les bijoux de ma mère (quelques beaux cailloux).
Avec l'aide d'André, le père de Ric, je plaçais mes avoirs, une vraie petite fourmi !!
Cette histoire m'avait bouffé notre seconde semaine de vacances, à croire qu'ils l'avaient fait exprès !
Marc reprenant le travail et les déplacements, il me dit de repartir à La Palmyre pour me changer les idées. Quand je lui faisais remarquer que le trio s'y trouverait encore, il me dit qu'il en était conscient et qu'il ne me demandait pas d'être fidèle. Je l'adore mon mec ! Trop fatigué, j'ai pris le Z8. Quand je suis arrivé, Marc avait prévenu par téléphone Manu de mon retour, et l'appart était prêt. J'ai retrouvé le trio à la piscine, juste un peu plus bronzé. Je leur ai demandé s'ils étaient retournés à la plage. Réponse négative que sans nous cela manquait de charme ! Le soir même ils restaient avec moi et nous avons passé la nuit dans le grand lit.
Bien sur nous avons baisé et j'ai pris le rôle de dominant. Avec les petits jeunes, j'adore. Avec les deux crevettes, ça été tout seul, de toute façon c'était déjà des passifs soumis. Avec leur pote musclé, il m'a fallu user de persuasion pour qu'il accepte que je l'encule aussi. La première semaine, il ne l'avait accepté que de Marc. Mais j'ai quand même réussi à lui mettre ma bite dans son cul. Ça valait le coup ! Son anus encore vierge 15 jours plus tôt et inutilisé la semaine passé était bien serré et j'ai pris un plaisir immense à sentir ma queue le défoncer. Pas encore très coopératif, il serrait son anneau jusqu'à réussir à m'immobiliser de temps en temps. En fait c'était meilleur que les culs faciles de ses deux potes. Il a admis plus tard que c'était quand même bon de se faire enculer. D'autant plus que ses deux amis n'étaient pas restés inactifs. L'un lui suçait la bite et l'autre mordillait ses tétons. Le lendemain, je les emmenais à la plage bien décidé à leur faire découvrir les charmes des dunes et du sous bois. Dès notre arrivée, je bifurquais sur la droite en haut de la dune. Il ne nous a fallu que quelques 10aines de mètres pour que nous tombions sur un couple entrain de baiser dans une déclivité. Je poussais en avant le trio qui sinon serait resté à les mater. Plus loin un quadra se faisait démonter l'anus par un jeune mec. Il lui demandait explicitement de l'enculer comme une salope. Nous nous sommes installés sur la plage. J'ai pu admirer que leurs culs avaient pris des couleurs. Explication : bronzage à poil sur le balcon de leur appart.
Les questions ont fusées. C'était qui ces mecs ?, c'est toujours comme ça ?, y'en a d'autres ?... Je les informais de ce qui se passe en haut et derrière la dune, leur disant qu'il fallait faire attention car de temps à autre, il nous arrivait de tomber sur de l'étrange. Le fait que Marc ne soit plus avec nous, nous n'avons pas tardé à attirer des mecs. Il faut dire que 4 beaux jeunes mecs ensemble c'est plutôt rare.
Nous avons éconduit trois vieux avant qu'un jeune (de mon âge) arrive nous voir venant d'un couple installé un peu plus loin. A poil, comme 99,99% de la population de la plage, nous avons pu détailler son anatomie plus que correcte. Contact, il nous demande direct si nous étions partants pour une mégatouze que son ami organisait le soir même à sa villa. Après quelques détail sur les participants, nombre : environ une trentaine de mecs, types : tous, blonds, bruns, beurs, blacks, âges : de 18 à 45ans mais bien foutu au minimum. Avec l'accord excité du trio, je prends l'adresse et promet que nous en seront. Il ajoute alors que tous les plus jeunes (c'est-à-dire nous) repartirons avec un cadeau. Nous le questionnons un peu plus mais il refuse de nous le dévoiler. Le reste de l'après midi, nous bronzons et nageons. La visite guidée du sous bois attendra un autre après midi. Bien qu'excité par la perspective du soir, nous gardons nos forces en réserve. Le soir même nous sonnions au portail indiqué. Le jeune mec nous ouvre. Petit chemin en S et nous débouchons sur une grosse villa avec piscine. Il y a déjà une vingtaine de mec. Après présentation au maitre de maison, notre quatuor se délite non sans que je leur aie rappelé les règles de sécurité, pas de baise sans kpote.
Les mecs présents sont vraiment plus que corrects. On se croirait plus à un casting de film porno que d'une touze réelle. Tout le monde est en maillot et certains commencent à être trop petits ! Sonnerie et de nouveaux " amis " arrivent. Je remarque qu'il y a quand même une majorité de jeunes avec une forte proportion de trentenaires. Quelques apéros plus tard, les choses ont commencé à changer. Le signal a été donné par un des jeunes qui un peu trop alcoolisé a retiré son maillot pour nous montre son cul en nous disant que ce dernier était disponible à la sodomie. Le trentenaire le plus proche l'a alors attrapé par les hanches et s'est mis à frotter sa bite entre ses fesses. Moi de mon coté j'avais repéré le plus beau mec de la soirée, trentaine, très bien musclé, rasé avec un méga-paquet dans le slip. Bien que déjà entouré d'admirateurs, je me lançais. En jouant des coudes je me suis fais une place et alors que tous les autres semblaient figés par le mec, je lui ai carrément mis la main au paquet, histoire de soupeser la marchandise. Est-ce mon audace, mon physique pas trop moche ou ma gueule de voyou (voir le diam qui pendouille à mon oreille), mais toujours est il qu'il a fixé son attention sur moi au grand désarroi du reste de son aréopage. ;Description du " Bo-gosse " : trentaine, châtain, clair, 1,90m musclé, sûrement 100 Kg, bronzé, imberbe ou rasé je ne le saurais que plus tard, visage avenant et sourire à fondre. Bien sur, maillot de bain gonflé d'un organe prometteur. Lui me détaille de la même façon et le résultat doit lui plaire puisqu'il passe son bras sur mon épaule avec l'air de dire il est a moi.
D'un coup je me sens protégé, probablement son physique au dessus de la normale ! Comme nous nous sommes trouvés, nous ne sommes pas pressés. Ensemble nous déambulons entre les autres mecs. Je repère que le trio a éclaté et qu'ils sont entre des mains expérimentées. Apéros, grignotage, matage, nos maillots ne s'aplatissent pas et nous nous faisons toucher, tâter au point que mon collègue en a mare et m'entraine vers l'intérieur de la villa. Encore deux, trois obstacles et il me pousse dans une chambre. Vu la taille du lit, c'est plus un baisodrome qu'un lieu de repos !
Un coup de spleen m'attaque. D'un coup je me demande ce que je fais là. Le mec se jette dos sur le lit et me tend les bras. Je me couche sur lui et reste sans bouger au creux de ses bras. Il me laisse faire et attend que je sois prêt. Je me secoue, rester de marbre dans les bras d'un apollon, ce n'est pas trop mon genre, d'autant plus que je ne peux ignorer le développement qui déforme encore plus son shorty de bain.
Lentement je glisse le long de son corps et mes yeux se posent enfin sur l'excroissance. La cordelette dénouée, sa queue en profite pour sortir et se dresser au delà de son nombril. A première vue, 24cm par 5,5de diamètre. Ses boules rasées apparaissent dès que je baisse son maillot au dessous, grosses ! Je lèche d'abord les boules puis ma langue remonte la hampe gigantesque jusqu'au gland. J'agace un moment le dessous de la couronne avant d'attaquer le gland dans son ensemble. Un beau gland bien rose-violet, en forme de cône, ce qui doit bien faciliter la pénétration. En bouche, je l'aspire, fait tourner ma langue dessus, l'agace et exacerbe ses terminaisons nerveuses. Il n'y tient plus et je sens ses mains sur mon crane pousser doucement. J'ai compris et ma bouche descend avalant cm par cm sa bite. A mi chemin, le gland bute dans ma glotte. Un petit effort et il passe l'obstacle. Cela tire de mon partenaire un gémissement approbateur. Mais la position ne me permet pas d'avaler la totalité de son engin. ;Je me dégage et me couche sur le dos. Bo-gosse a compris et se lève. Je glisse ma tête en dehors du lit et il me remet sa bite en bouche. Il s'enfonce, petit coup de rein au passage dans la gorge et enfonce le reste jusqu'à ce que ses couilles se posent sur mes yeux. Je l'entends me féliciter pour l'exploit de l'avaler entier. Il est tellement content qu'il oublie de sortir et que je m'étouffe ! il s'excuse et adapte son rythme de pénétration pour que je puisse respirer un minimum ! Il me dit que c'est une première de se faire bouffer la teub entière. D'ailleurs je la sens se gonfler, prémices d'une jouissance annoncée. Je calme le jeu. Reculant pour sortir mon défonceur de gorge et serrant fermement la base sous ses couilles pour arrêter le flux montant. Il me dit que ce n'est pas nécessaire et qu'il peut jouir plusieurs fois de suite sans débander entre. Je relâche ma pression et il me jouit sur les abdos un quart de litre de sperme blanc (un peu moins en réalité !).
De juter ne l'a pas démobilisé et effectivement sa queue reste raide à souhait. Il me dit de me mettre à 4 pattes et je sens son souffle sur mes fesses puis sa langue lécher ma rosette. Putain que c'est bon ! Il salive bien et je m'ouvre comme la bonne salope que je suis. Il prend son temps et je sens sa langue pousser l'entrée et pénétrer mon oeillet. Je bande comme un malade. Sa main vient traire ma bite en complément. Ce mec me rend fou avec sa langue. Il l'a remplace par deux doigts qui s'enfoncent direct tout entiers. La salive déposée lubrifie efficacement l'entrée d'un troisième doigt. Il me tire la queue en arrière et complète le travail par un léchage de gland très excitant. Je suis tellement excité qu'il n'a plus besoin de bouger, je m'encule moi-même sur ses doigts. Je l'entends mettre une kpote et il pose son gland à mon entrée. Comme il attend, je recule doucement. C'est ce qu'il attendait ! Un petit coup sec et son gland me pénètre, putain qu'il est gros ! Pourtant je le savais après qu'il m'ait défoncé la gorge ! Je me détends, il a sentit ma résistance et me propose du poppers. Je sniffe comme un drogué en manque, une puis deux narines, je me sature. Direct ça me chauffe. La tête gonfle et mon cul s'ouvre. Je sens avec plaisir s'enfoncer le reste des 24cm.
Ses mains sur mes hanches, il se bloque tout au fond de moi. Je le laisse mener la danse. Il se retire doucement mais totalement avant de me pénétrer de nouveau complètement. Il me fait le coup pendant bien 5mn c'est long mais c'est bon ! Puis il se déchaîne. Je me suis fait défoncer ! Petits coups de rein, grandes glissades, changement de positions, il m'a sorti le grand jeu. Comme il avait joui précédemment, il a tenu un bon moment avant de remplir sa kpote. Entre temps j'avais juté et mes cris de plaisir avaient alerté la chambre d'à coté d'où l'apparition à la porte d'une demi douzaine de tête.
Avec Bo-gosse nous avons assuré le spectacle jusqu'à nos deuxièmes jouissances. Les salves d'applaudissements nous ont remis les pieds sur terre, les voyeurs partant, nous sommes restés enlacés un bon moment avant de rejoindre les parties communes. Curieux, nous avons ouvert les portes en passant. Ça baisait dans toutes les pièces. J'ai revu les membres du trio emmancher (pour le plus actif) ou se faisant prendre pour les deux crevettes. Près de la piscine, le buffet avait été dressé et nous nous sommes jetés dessus affamé par nos exercices précédents. J'ai alors remarqué que, comme moi, mon partenaire bronzait en maillot. Il me dit qu'il préférait, qu'il trouvait ça sexy. Je ne pouvais qu'abonder dans son sens. Il a sorti deux mecs de la piscine, ils baisaient dedans et risquaient d'y juter ! D'un plongeon, j'ai entamé quelques longueurs pour détendre me muscles. Un plouf plus tard, j'étais rejoint par Bo-gosse qui alignait un crawl parfait. Bo-gosse, sportif, intelligent ?? Ce serait injuste pour les autres !! Sans vraiment participer à la touze, nous avons nagé un bon moment. Accoudés au bord, l'un à coté de l'autre, il a cherché à me connaître un peu plus. Ce que je faisais dans la vie, si j'étais seul, comment j'étais arrivé là... un véritable interrogatoire en règle. Ce qui le surprenait le plus c'est que de mon coté aucune question. Après tout je ne chercherais pas à le revoir. Lui par contre m'a semblé un peu accro. Du coup je lui ai dit que j'avais déjà un mec et que je ne cherchais pas un deuxième. Ça ne l'a pas refroidi et je l'ai senti bander de nouveau contre mon cul. De ce coté là pourquoi pas il baise bien. Nous nous sommes trainés jusqu'à trouver deux matelas de piscine vides (pas facile à cette heure de la touze). Kpoté et mon cul graissé, sur le ventre j'ai écarté les cuisses et il m'a enculé de nouveau. Trop bon ! Comme un lion, j'ai senti sa bouche sur mon cou et ses dents imprimer leurs marques. Chaque coup de ses reins faisait frotter ma queue sur le tissu excitant mon gland. Un jeune mec est venu me proposer sa bouche. Pas moche (mais le tri avait été fait sur le physique !), environ 18ans, je me suis mis à 4 pattes poussant Bo-gosse à me prendre en levrette. Le ptit, mec s'est glissé sous moi et m'a avalé entier (encore un innocent !). Entre mon cul et ma bite, plusieurs fois j'ai faillit jouir. Mais mes deux acolytes sans se concerter, à chaque fois ont calmés le jeu et leur expertise m'a tenu en halène un bon bout de temps. Ils m'ont fait jouir ensemble, du cul et de la bite en même temps. Assez ravageurs comme effets ! J'ai bien mis 1/4 d'heure, 20 mn avant d'émerger totalement. Mes deux compères hilares dans les bras l'un de l'autre, Bo-gosse m'a présenté le troisième élément comme sa moitié. Je comprends mieux alors leur parfaite entente sur mon corps. Me sentant un peu responsable du trio, je les ai cherchés un bon moment. Les crevettes en 69 se faisaient sodomiser par le maitre de maison et un de ses potes la quarantaine bf. Le musclé, lui, était en train d'emmancher un type plus âgé. Quand il m'a vu, il a levé le pouce comme si c'était une victoire pour lui !
Ils m'ont tous dit qu'ils restaient encore un peu. Je retrouvais le Bo-gosse et sa moitié pour les prévenir que je partais. La moitié s'est insurgé qu'il n'avait eu qu'un avant goût de ma bite et espérait bien se la prendre dans le cul avant mon départ.
Soudain je n'ai plus l'esprit à cela et je les quitte en leur donnant rendez vous sur la plage.
JARDINIER
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mochademic · 6 months
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100 Days of Productivity [Day: 50] || 100 Jours de Productivitè [Jour: 50]
espresso in the morning, matcha in the evening. both in a latte. this familiar routine from when I was still a full-time student has been serving me well this week [or at least, it's been keeping me awake]. I can't believe we're at the half way point for this challenge - a warm welcome to everyone who's joined me so far!
new books cut & bound
book covers started
new pieces created/plating
notes re-written
source material found & categorized
oral assignments completed
currently listening // Suzume Lofi by kuto
espresso le matin, matcha le soir. les deux dans un latte. cette routine familière de l'époque où j'étais encore étudiante à plein temps m'a bien servie cette semaine [ou du moins, elle m'a tenue éveillée]. Je n'arrive pas à croire que nous sommes à mi-parcours de ce défi - bienvenue à tous ceux qui m'ont rejointe jusqu'à présent !
nouveaux livres coupés et reliés
couvertures de livres commencées
nouvelles pièces créées/plaquées
notes réécrites
matériel source trouvé et catégorisé
travaux oraux terminés
chanson // Suzume Lofi par kuto
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lounesdarbois · 6 months
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Pierre Fournier
Tradition: n. f. Transmission de faits historiques, de doctrines religieuses, de légendes, d'âge en âge par voie orale, sans preuve authentique écrite.
Le Littré
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Le détaillant et modéliste de vêtement Pierre Fournier a dirigé les magasins Globe dans les années 1970, Hémisphères dans les années 1980, Anatomica depuis 1993. Toujours actif de nos jours il est âgé de 80 ans cette année.
La création de vêtement repose sur l'esthétique et le fonctionnel, deux critères qui renvoient respectivement aux métiers de styliste et de modéliste. Oiseau rare, monsieur Fournier additionne les deux compétences et a bâti le renom de ses magasins sur des vêtements "anatomiques" les mieux pensés possible, adaptés au corps, résistants à l'usure. Un sens du modélisme concentra dès l'époque de Globe son attention sur les vêtements de base, les "basiques" auxquels il conféra le plus de classicisme possible dans le but de les rendre indémodables, au-dessus des modes. La chemise d'ouvrier aura des coutures, des poches, des lignes les plus adaptées à la morphologie et aux mouvements requis par le travail, critères qui ne sont pas à chercher dans un "techwear" futuriste ni dans un "vintage" caduque mais dans la partie de la culture occidentale qui traverse les époques, la Tradition. Savons-nous combien de vêtements ont-été réellement inventés au 20ème siècle ? 4... Et combien de boissons? Une seule (le coca). Il n'y a pas de créateur de vêtement, tant mieux!
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Pierre Fournier appliquera les principes traditionnels aussi en matière de chaussure, lorsqu'il fera faire par la firme Alden une gamme spécifique. Le critère étant ici le "chaussant", Fournier va au fond de questions que ni les artisans ni les clients ne se posent plus en matière de confort et de maintien, et ose prescrire aux clients un nouvel étalonnage des pointures appuyé par un argumentaire fruit de 30 ans de pratique du métier. Les clients chausseront désormais 2 à 3 pointures au-dessus de leur taille usuelle. Libérant de l'espace derrière le talon et devant les orteils la chaussure est conçue pour serrer davantage le cou-de-pied, notamment dans la largeur, et demeurer plus lâche sous les contreforts et trépointes. Cette manière de chausser supprime les frottements et soutient la voûte plantaire, et au plan esthétique elle donne une chaussure étroite et longue qui est l'idéal en la matière.
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Produire une chaussure pensée pour s'adapter à la forme du pied, un vêtement pensé pour suivre les lignes du corps, aboutissent à une forme définitive à laquelle tout ajout devient un excédent et tout retranchement une amputation. La tradition populaire française s'est toujours tenue à équidistance de deux écueils : d'abord de la mode qui spécule sur une suspension du jugement des masses abruties par le prêt-à-porter (soumission par pression horizontale), ensuite du sartorialisme qui est au contraire l'expression tapageuse d'élites visant à se singulariser (snobisme par les musts).
La qualité suppose l'appelation d'origine contrôlée, qui elle même suppose un terroir protégeant une fabrication locale par un prolétariat choyé. Lorsque l'on comprend le modèle économique que suppose le Made in France on veut relire les théoriciens des modèles économiques durables, organisés au bénéfice des producteurs et des consommateurs compris comme un seul et même peuple.
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Le sujet du vêtement de qualité ouvre tant de perspectives : esthétiques certes mais encore économiques et politiques. Quand nous comprenons la quête esthétique de Pierre Fournier nous percevons que ce standard de qualité renvoie, pour des raisons de coût de fabrication aux thèses de William Morris (L'art et l'artisanat, Comment nous vivons) et à celles de tous les syndicalistes français transcourant : George Sorel, Joseph Proudhon, Charles Maurras, Joseph Fourrier, Edouard Berth. C'est-à-dire le retour aux sujets sérieux, aux questions fondamentales : comment produire dans le pays, par le peuple du pays, pour le peuple du pays. Comment produire local, qualitatif, en circuit court, sans gaspillage, en rémunérant correctement les travailleurs locaux? Quelles sont les pré-requis qu'un Made in France généralisé suppose au plan de l'émission de monnaie, au plan fiscal, au plan des prix de l'immobilier ? Une ébauche de réponse tient dans le discours de George Marchais (PCF) à Montigny en 1981 : protection du prolétariat, arrêt de l'invasion migratoire et éviction des clandestins (xénélasie), hausse des salaires par une baisse des charges sur les entreprises. Mesures de bon sens pourtant déclaration de guerre à la Bourse qui a besoin d'un sous-prolétariat invasif pour abaisser les salaires et le niveau de conscience du prolétariat du pays… Mais mesures nécessaires pour que la veste en flanelle de chez Anatomica qui dure 20 ans vous coûte 80 euros et non pas 750 euros comme aujourd'hui.
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Dans un Made in France bien pensé, l'ouvrier a les moyens d'acheter pour lui-même les produits de qualité qu'il fabrique par son savoir-faire et c'est justice: voiture, maison, vêtement, sont à lui non parce qu'il est un consommateur interchangeable mais parce qu'il en est le producteur exclusif.
Voila l'un des fruits de l'idéal syndical, ou chrétien, ou corporatiste, ou libertarien, ou fasciste, ou socialiste, appelez le comme vous voudrez: vêtir le peuple avec intelligence, avec des pièces sobres, élégantes, fonctionnelles, vêtir un peuple mis en mesure de discerner le vrai du faux, ayant recouvré sa propre tradition que les marchands de drouille lui avaient confisqué, et lui offrir des garde-robes réduites en quantité mais haussées en qualité donc en durabilité. Opposer au trop-plein des armoires, au côté malsain de l'accumulation, la saine épure de quelques pièces très pensées que l'on portera 30 ans, rapées jusqu'à la doublure. Charme d'une patine qui raconte une histoire, la nôtre.
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(écriteau de porte d'entrée du magasin Anatomica)
La création de vêtement est un sujet propice aux transpositions et analogies: stylisme morphologique,  modélisme anatomique, sont la recherche non d'une forme éternelle, mais de l'esprit éternel d'une forme idéale, la plus exacte, la plus fonctionnelle, la mieux ajustée, une forme adaptée tant au mouvement qu'à l'immobilité. "Il n'existe pas de voiture éternelle, le mythe de la 2 CV n'est pas intemporel du tout" me dit un jour Pierre Fournier. Il existe toutefois selon l'usage et le mode de production disponible, une voiture la plus fonctionnelle possible à un moment donné. La différence entre Anatomica et The Kooples par exemple, est la même distance qui a séparé Gabriel Voisin d'André Citroën au début du 20ème siècle: d'un côté l'aristocratie ouvrière où chaque travailleur maîtrise la totalité du travail à accomplir, de l'autre côté l'assembleur de pièces précalibrées dont le modèle industriel repose sur la division des tâches, la parcellisation, le contrôle panoptique, qui aboutira au Fordisme.
Enfin Pierre Fournier a fait montre d'une certaine attitude devant la vie. Nous aimons ces paris tenus, ces investissements risqués, l'insolence d'ouvrir Avenue de la Grande-Armée en 1980 un magnifique magasin racheté à un monsieur de 1900. Nous aimons le goût très sûr pour le vêtement français ancien vendu aux "branchés" de l'époque, pour cette manière de chercher dans le passé les meilleures pièces et de les replacer dans le sens du temps présent. Nous aimons que Fournier n'ait jamais fait de marketing mais que le seul bouche à oreille l'ait placé comme la référence du style français à l'étranger, notamment en Angleterre et surtout au Japon où il est aujourd'hui abondamment distribué (3 magasins là-bas contre 1 seul en France).
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Un vrai tailleur étudie l'anatomie puis le modélisme aussi sûrement qu'un séminariste étudie la philosophie puis la théologie. L'un s'occupe du corps, l'autre prend soin de l'âme. Mais si la philosophie est la servante de la théologie, c'est bien le vêtement qui est au service du corps... Dans un temps où le monde inverti proclame l'exact contraire, Pierre Fournier est l'un des seuls détaillants à avoir cru en la Tradition et à l'avoir mise en pratique. Merci monsieur Fournier!
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recapqsmp · 8 months
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Mercredi 13/09 - La dose de réalité
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Un livre est tombé du ciel devant Etoiles, contenant le message "computer" en binaire. Etoiles est allé vérifier l'ordinateur de Luzu qu'Aypierre avait essayé de détruire, et le code est apparu.
Après un court combat contre lui, avec Philza et Tubbo en spectateur au loin dans un arbre, Etoiles l'a tué et a enfin réussi a récupérer ce qu'il cherchait depuis le début : son épée. Nommée "!" en binaire, elle est complète et fait tomber au sol les objets tenus dans la main. Sur le cadavre du code, Etoiles a aussi trouvé un livre disant "protect". Etoiles a supposé que le code lui a laissé l'épée pour protéger les habitants de Forever, sa mission avec cette arme étant de pouvoir le tuer malgré ses 3000 totems. Etoiles a demandé à Philza et Tubbo de garder tout ça secret.
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https://clips.twitch.tv/AnimatedCleanPepperoniCoolStoryBro-krDQbLubL7cwG-uS
Etoiles en a aussi profité pour changer de skin, pour une version "code".
Forever, en visitant sa ferme à xp, a eu une vision de sa version fatigué tentant de construire une gigantesque machine de destruction du monde, de sa version droguée le mettant en prison et de Cucurucho l'arrêtant dans ses plans.
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https://www.twitch.tv/forever/clip/VibrantVastTriangleTBTacoRight-bHHpBNh0jolQ0i-n
Philza BadBoy et Cellbit veulent essayer de tuer Forever à l'Ordo Theoritas en utilisant le scanner d'entité de Dapper. Cellbit a trouvé la lettre que Pac a laissé chez lui, mais le médicament a disparu. En se rendant à Chumes lab, il a découvert des traces de sang et des tombes. En fouillant dans la chambre de Pac, il est tombé sur une mallette nommée "le jour le plus joyeux". Cellbit a trouvé le mot de passe de la mallette grâce à ce nom : la date où ils ont trouvé Richas, le 30/04. Dedans, il y avait deux médicaments, ainsi qu'un livre détaillant les analyses de Pac sur ceux-ci. Pac a découvert que les médicaments agissent comme une potion fermentée, et qu'il manque probablement un ingrédient pour former le remède. Avec cette idée en tête, Cellbit est retourné voir Philza et BadBoy et ils ont eu l'idée de mettre un médicament dans un alambic, et d'utiliser un œil d'araignée fermenté comme ingrédient final (car celui-ci inverse les effets dans les potions classiques). Le résultat de cette opération a été à la hauteur de leurs attentes : le médicament s'est transformé en remède nommé "la dose de réalité", avec le logo de l'Ordo dessus.
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https://www.twitch.tv/cellbit/clip/BadBoredSrirachaMVGame-mZY_Leke7jn7UojZ
BadBoy s'est chargé d'occuper Forever pendant qu'ils mettaient au point le piège pour lui administrer la dose de réalité. Il s'est rendu dans sa base, et Forever l'a a nouveau demandé en mariage. BadBoy a tourné autour de la question et les deux sont allés voir la nouvelle décoration de la chambre de Richarlyson. Prétextant avoir quelque chose à faire d'urgent, BadBoy est parti, et Cellbit a rejoint Forever avec Pac.
Cellbit a essayé de lui faire croire qu'il songeait a prendre les médicaments lui aussi, pour pouvoir à nouveau passer du temps avec eux et son fils. Forever n'y a pas cru et a essayé de pousser Cellbit dans une cage. L'attaque a échoué et Cellbit a réussi a s'enfuir.
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https://clips.twitch.tv/AliveDignifiedGrasshopperOSkomodo-DSTEqIr5g4qnoPBp
Le groupe a ensuite demandé à Forever de venir leur parler dans les locaux de l'Ordo, et Forever s'est retrouvé pris dans le piège qu'ils avaient concocté : un scanner à objet a volé sa waystone et quelques uns de ses backpacks et totems et les joueurs l'ont poussé dans une cage. La même chose est arrivé à Pac quelques minutes plus tard. De là, l'Ordo a posé des horloges à côté de la prison de Forever et ont essayé de le pousser à bout.
Forever, bien que très positif au début et ne comprenant pas trop ce qui se passait, à fini par tomber en manque et a imaginé Cellbit en Cucurucho. Il l'a insulté, lui a dit qu'il lui avait tout pris. Cellbit lui a demandé où étaient les œufs, Forever a répondu qu'ils avaient fuit une entité bien plus dangereuse que la fédération ou le code. Forever a essayé de s'échapper en balançant des mines partout dans sa cage, mais sans succès.
Cellbit a ensuite administré l'antidote à Forever et Pac. Pac est redevenu lui même, mais Forever s'est endormi, comme étant dans un genre de coma. Ils l'ont transporté dans l'infirmerie des locaux de l'Ordo et ont imaginé une chambre forte verrouillée par 3 couches de protection de Cellbit, Badboy et Philza, où ils pourront mettre les mallettes contenant les médicaments à l'intérieur, pour que personne ne puisse en prendre.
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https://clips.twitch.tv/AnimatedFreezingTigerOneHand-NfRmZx7P_mkZC7ix
BadBoy est allé voir les travailleurs pour leur demander une nouvelle fois ce qui est arrivé aux œufs, mais ceux-ci ont expliqué n'être au courant de rien et être seulement en pause repas. BadBoy est parti à l'église, dépité, pour s'allonger sous la pluie à côté des panneaux de ses œufs, les suppliant de revenir. BadBoy est ensuite allé dans sa base et a ouvert une chambre secrète, où se trouvait une cage, avec un des travailleurs paniqué emprisonné dedans. Il lui a demandé où était son fils, et a coupé son stream là dessus.
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https://clips.twitch.tv/AthleticTrustworthyGerbilDuDudu-yA3vm8QiGOvg2zyJ
Cellbit est revenu voir le centre d'adoption abandonné pour y chercher des réponses. Il a pu découvrir un nouveau livre, disant que la réponse correcte n'est pas le centre. Sous la pièce, il a trouvé une nouvelle salle, avec une image d'un labyrinthe, et la mention "A1" écrite dessus. En revenant aux locaux de l'Ordo, Roier l'a rejoint, et Cellbit l'a tenu au courant de ce qui s'était passé. Il souhaite aussi trouver un screen du jour où l'œuf A1 est mort noyé dans la lave.
Tubbo a discuté avec les travailleurs, et l'un d'eux (Fred) lui a expliqué qu'ils devaient faire attention à ce qu'ils disaient, car la fédération les surveillaient. Néanmoins, il a pu trouver un coffre dans sa base, contenant un message codé du travailleur disant "Demain, 1pm PST".
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https://clips.twitch.tv/CrispyCreativeRingDatBoi-0dAN4PwM-DxadQ5m
Un nouveau teaser de QuackityStudios a été posté sur twitter, annonçant un évènement qui aura lieu dans la nuit de samedi à 3h du matin, heure française.
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claudehenrion · 1 month
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Bienvenue –si j'ose !-- en enfer...
Dans un délai qui risque d'être court, cette ''Fête de Pâques 2024'' restera comme la date officielle du début de la fin de ce qui fut la France : depuis le 15 novembre 2013, ce blog, s'appuyant sur mon arabophonie et ma connaissance de la civilisation arabe –c'est à dire, à peu de choses près, le Coran-- a répété, billet après billet, que nous allions vers une bérézina... Combien de gens de bonne foi et bien intentionnés m'ont écrit que j'étais pessimiste, que je voyais tout en noir...
Et soudain, voilà que toutes les boutiques de sondages se mettent à changer de discours et découvrent ce qu'elles refusaient de voir : les français sont inquiets à en paniquer, ils sont plus pessimistes que je ne l'ai jamais été, et les vrais chiffres sortent enfin des armoires où on les tenait cachés… Faut-il que tout aille mal, pour que nos armadas de vrais parasites/faux démocrates, nos laïcards de salon, nos soi-disant républicains, nosgauchistes d'opérette et nos révolutionnaires du ''Flore'' en soient soudain réduits à dire la vérité, comme de vulgaires hommes de Droite : neuf français sur dix osent enfin dire qu'ils ont peur, dans leur vie de tous les jours, et que l'insécurité progresse à toute vitesse... 72% d'entre avouent ne pas faire confiance au gouvernement pour les protéger (dixit Odoxa, devenue brutalement honnête), et 6 sur 10 ont décidé de se défendre eux-mêmes (alarmes, armes de poing, sports de combat).
Jusque là, on pouvait craindre qu'une passion pour le déni du réel, un attrait pour les idées de Gauche –toutes mauvaises-- et un refus de ce qui n'est pas conforme au grand mensonge qui sert de fondement à toutes nos idéologies mortifères, ne soient devenus de plus en plus difficiles à contourner : le ''système'' en place avait réussi à tout bloquer ! Des gouvernements peuplés d'aveugles et de nuls (mais tout puissants) nous interdisaient tout ce qui n'était pas ''pile-poil'' conforme à leur mensonge, via l'injustifiable (et démodé) enrégimentement à Gauche de 99 % des journalistes (qui doivent être tenus pour co-responsables de tous les maux qui nous tombent dessus). Ils ont été jusqu'à inventer des ''pandémies'' inexistantes pour nous cacher la seule pandémie (qui, elle, en est une, et ''mahousse'' !) qui nous menace vraiment : l'islam triomphant.... aidé dans sa marche par leurs silences et leurs mensonges ! Cet arsenal mortifère nous conduisait peu à peu là où ils voulaient que nous allions : en enfer. Nous n'y sommes pas encore, mais ''on n'en a jamais été aussi près'' !
Nos lamentables gouvernants, incapables --par système, mais aussi par absence d'intelligence et de référentiels culturels-- de désigner par leur nom toutes les horreurs dont ils ont fait notre quotidien, ont brutalement ouvert les yeux, et viennent tout juste de commencer à entr'apercevoir la série de catastrophes à laquelle leur impéritie et leur imprévoyance ne nous laissent que très peu de chances d'échapper : ceux qui ont vu clair ont baptisé ce drame ''le grand remplacement'', pendant que les idiots-utiles parlaient ''d'une chance pour la France''. Cherchez l'erreur !
On en revient toujours à Camus : ''Mal nommer les choses, c'est ajouter au malheur du monde''... sauf que nos faux guides ne nomment même pas : ils esquivent ! Dans un torrent de pensée à l'envers, ils essaient de nous faire avaler que si on est pour la paix, on est pro-poutine... si on est pour dire la vérité, on est complotiste... et si on aime la France en tant que ce qu'elle est (et non en souhaitant leur enfer-sur-terre), on est facho... Notre cas semblait sans espoir...
Devant ce changement, la panique de nos apprentis-ministricules si peu professionnels devrait faire de la peine à voir... sauf que, ayant fait tout ce qu'il ne fallait pas pour que le ciel leur tombe sur la tête, ils n'ont que ce qu'ils méritent ! Nous allons, nous, souffrir ''un max'', mais en ce qui les concerne... ''c'est bien fait pour leur gueule''. Et ils croient nous impressionner en ayant mis devant chaque église, pour Pâques, (''quoi qu'il en coûte'', ajouterait sans doute leur chef, s'il ne s'était pas réfugié dans un inutile ''sauvetage -sic !'' de la forêt amazonienne --qui, sans lui, est condamnée... tout le monde sait ça !-- en veillant à ce que ses costumes voyagent sur un siège ''First Class'', plein prix. Honte à lui !), des militaires lourdement (?) armés des quelques sarbacanes qui nous restent encore, après que nous ayons sacrifié nos arsenaux et nos réserves stratégiques au fantasme anti-poutinien du chef... La vérité ? On ne les croit plus, c'est tout.
Vous rendez-vous compte de ce que signifie cette déroute en rase campagne ? Au nom d'une ridicule ''laïcité'' résiduelle, vidée de son sens et de tout intérêt, seul le christianisme est interdit de pratique, de respect et de considération, en France, où seuls comptent les choix supposés de quelques minorités, surtout si elles ne sont représentatives de rien ou de quelque dépravation indescriptible... Des pouvoirs hostiles ont pris le pouvoir dans nos banlieues, dans nos villes, nos campagnes, nos villages... et nous avons de moins en moins les moyens d'assurer la sécurité dans nos rues... Si Jules Romains revenait parmi nous, il ne ferait plus de ''Ambert et Issoire'' deux ''trous de province'' où des ''Copains'' (joués, plus tard, par Philippe Noiret, Guy Bedos, Pierre Mondy et Claude Rich, accompagnés par Les Copains d’abord de Georges Brassens) exerceraient leurs talents... mais des lieux de ''points de deal'' ! Sic transit gloria mundi, hélas !
Aujourd'hui, la population française –qui n'ose même plus se revendiquer telle, tremble en permanence pour son intégralité physique (je ne parle même pas de son intégrité morale...) pour ses biens, pour ses femmes et ses filles, pour ses enfants visés par les drogues les plus immondes... Notre langue est battue en brèche et arabisée, notre magnifique culture est niée par celui-là même qui devait la promouvoir, nos modes de vie menacés par la violence la plus barbare, et notre histoire, si riche, remplacée par des enchaînements de bobards dont pas un seul ne tient la route, mais que des ''cavaliers d'Allah'' barbus et sales interdisent de mettre en doute, puisqu'ils sont archi-faux !
Au nom de notre gloire fanée, et dans l'irresponsabilité la plus totale... nous avons fait la danse du ventre pour organiser des jeux olympiques qui ne devraient logiquement plus être ni l'un ni l'autre : nous n'avons plus un kopek vaillant en poche, et ceux que nous jetons par les fenêtres vient de traites tirées sur le futur de nos enfants. La guerre rode partout –en partie par notre arrogance à raconter que nous sommes prêts à la déclencher ''pour de vrai'' sans en avoir le début de l'ombre d'un moyen... Au nom du beau mouvement olympique, nous refusons aux athlètes russes de se produire sous les couleurs de leur pays et d'avoir droit à leur hymne national … qui sont les deux strictes définitions-conditions de l'olympisme... Nous sommes inconséquents, irresponsables et provocateurs, en offrant notre gorge aux tueurs de Daech, du défilé inaugural (''Une folie criminelle'', d'après Alain Bauer) au défilé final... qui risque ''d'être de la revue'' !
Et s'il n'y avait que tout ça... Au fil des ans et des mauvaises idées, c'est par vagues successives que nos lamentables gouvernants qui, initialement nuls, se révèlent dangereux tout azimuts (dixit aussi Alain Bauer) détruisent le bel édifice, construit avec amour, persévérance et tellement d'intelligence par 70 générations de français (qui furent, par moments, gaulois ou gallo-romains) : ils croyaient bâtir un monde... et il a suffi de 2 mandatures de ''lumières éteintes'' pour tout foutre par terre... Oh ! Que j'ai mal, très mal, à ma France !
En rongeant les fondamentaux, ils ont fait s'écrouler les murs... et nous voilà offerts, sans défense, aux dangereux vents du large. Un exemple ? Au moment où le monde entier se réarme, fait des stocks de munitions, re-remplit ses arsenaux... nous nous sommes engagés à offrir, gratos, à l'Ukraine (à qui ça ne sera d'aucune utilité : les carottes sont cuites... et nous, avec ! Là encore, il serait sage de voir le monde tel que 7 humains sur 10 le voient...), la totalité de tout ce que nous aurions pu produire... mais que notre impécuniosité va laisser à l'état de ''rêves éveillés''. Pauvre France ! Lorsque les canons tonneront (ce qui est possible, avec les puérils excès présidentiels !), on pourra continuer à donner au monde ce que nous nous croyons encore capables de donner : de mauvais conseils... à surtout ne pas suivre... Dire qu'il suffisait de si peu... trois fois rien, peut-être...
H-Cl.
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Retour sur l'année 2023
Des tremblements de terre meurtriers, une guerre qui s'enlise et une autre qui éclate, le mercure qui s'emballe. Les grands événements de cette année sont pour moi:
1. Émeutes pro-Bolsonaro au Brésil
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8 janvier 2023, des centaines de partisans de l'ex-président brésilien Jair Bolsonaro ont envahi le Congrès, le palais présidentiel et la Cour suprême à Brasilia, une semaine après l'investiture du président de gauche Lula, dont ils rejettent l'élection.
2. Séisme meurtrier en Turquie et en Syrie
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6 février 2023, un séisme de magnitude 7,8 a fait plus de 50'000 morts en Turquie et en Syrie. Ici la ville de Kahramanmaras, au sud de la Turquie, proche de l'épicentre.
3. Ukraine, une guerre qui s'enlise
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8 mars 2023, un soldat ukrainien s'abrite dans une tranchée près de la ville de Bakhmout lors d'un bombardement. Plus d'un an après le lancement de l'"opération militaire" russe en Ukraine, le conflit s'enlise.
4. La grande peur de la montagne
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4 avril 2023, vue sur le village de Brienz-Brinzauls (GR), menacé par un éboulement. Quelques jours plus tard, les autorités annoncent aux habitants qu'ils doivent se préparer à devoir évacuer.
5. Au Soudan, les habitants fuient le chaos
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1er mai 2023, des réfugiés soudanais entrent au Tchad près de Koufroun. Les combats meurtriers qui ont éclaté mi-avril au Soudan entre l'armée régulière et des paramilitaires ont poussé des centaines de milliers de personnes hors du pays. Plus de 7 millions de personnes ont été déplacées dans le pays depuis le début du conflit, a annoncé l'ONU fin décembre.
6. Canada, une saison en enfer
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10 juin 2023, vue d'une forêt ravagée dans la province du Québec, au Canada. Cette année, le pays a dû affronter la pire saison des feux de forêt de son histoire. La fumée s'est propagée jusqu'à New-York.
7. Températures excessives en été, 37 degrés en juillet
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8. A Hawaï, une ville rasée par les flammes
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11 août 2023, un homme marche entre les carcasses de voitures à Lahaina, Hawaï. De violents incendies ont quasiment rasé toute la ville touristique le 8 août et fait près de 100 morts.
9. Deuil national au Maroc après un séisme
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9 septembre 2023, une femme devant sa maison à Marrakech détruite par un puissant séisme la veille. Le catastrophe qui a frappé le Maroc le 8 septembre a coûté la vie à près de 3000 personnes, selon un bilan officiel publié fin septembre.
10. A Gaza, la guerre est déclarée
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8 octobre 2023, Israël déclare l'état de guerre après une attaque sanglante du Hamas, la veille, qui a fait environ 1140 morts. A Gaza, 21'110 personnes, dont une majorité de civils, ont été tuées par les opérations militaires israéliennes
11. Exode massif des Afghans du Pakistan le Pakistan a donné jusqu'au 1er novembre aux sans-papiers afghans pour quitter le pays volontairement. Ils sont 1,7 million à vivre sur sol pakistanais, estiment les autorités. Beaucoup ont peur de rentrer en Afghanistan, où le gouvernement taliban a imposé son interprétation rigoriste de l'islam, interdisant par exemple aux filles l'accès à l'éducation après l'école primaire
12. ChatGPT a pris le monde d’assaut il y a un an et il est facile de comprendre pourquoi. Le chatbot révolutionnaire d’OpenAI peut effectuer une quantité surprenante de tâches, de la tenue d’une conversation plausible à la rédaction d’un document correctement ponctué
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