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#temple de la déesse
lavoixdelarose · 5 months
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Ouverture d'un temple de la Déesse près de Versailles : appel à soutien !
Chères roses, en cette nouvelle année qui approche, j’ai la joie de vous annoncer qu’un temple de la Déesse ouvrira ses portes près de Versailles au Printemps 2024 ! Nous avons besoin de votre aide pour faire éclore ce temple ( infos dans la vidéo). NOUS SOUTENIR :  * Par don Paypal : https://www.paypal.com/donate?hosted_button_id=SBL62WW5LBG7G * Par don Tipee :…
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philoursmars · 8 months
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Bon, n'étant pas très mobile, difficile de créer des posts avec de nouvelles photos. Je reviens donc à mon projet de présenter l'intégralité de mes photos, projet interrompu à l'année 2017. Je vais donc essayer de clore cette année 2017.
Ici, les vacances de Toussaint chez ma sœur, en Normandie.
En Mayenne (Pays de la Loire), le site gallo-romain de Jublains.
situle gréco-italique - Ve s. av. J-C.
Déesse-Mère - IIe s.
Vénus - IIe s.
le Dieu Océan - IIe s.
les 2 suivantes : monnaies gauloises du temple de Juvigné
reflet de famille !
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teatrtenei · 8 months
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Khensut
In Egyptian mythology, Chensit (also spelled Khensit), which means placenta, was the patron goddess of the twentieth nome of Lower Egypt. Chensit was the wife of Sopdu and the daughter of Ra, and was depicted as an uraeus.
(Khensyt, Khensit) Khensut is prominent in the ancient city of Per-Soped (Saft el-Henneh) as the consort of its primary God, Soped. She is apparently mentioned in utterance 301 of the Pyramid Texts, an address to the rising sun, in which it is said, “You [the sun] shall raise up the king’s ka [vitality, spirit-double] for him at his side, even as this khensut-wig of yours mounted up to you.” Some have disputed a reference to the Goddess in this reference to a type of hairstyle or wig, but it would accord with other existing references to Khensut in which she is associated with the royal diadem: “Khensut who is upon the head of Re, great of decisions as Judge,” (Barguet 1950, 3). At Saft el-Henneh she is similarly “Khensut who is upon the head of Soped,” (ibid.). In an inscription from the temple of Horus at Edfu, it appears that Khensut is associated with the two plumes on Soped’s headdress, for in a passage concerning the “consecration of the double-plume” it states, “O Horus, your two eyes are given to you so that you are provided with them, O Soped, provided with your Khensut,” (ibid., 4). A reference to Khensut has also been alleged in CT spells 137 and 142 (again disputed), in which she is responsible for a decree reuniting the deceased with his/her family; in the similar CT spell 134, which does not mention her by name, she is perhaps referred to as “mistress of the crowns/ornaments” (nebet khâu; alternately, “lady of appearances,” i.e., when the king appears on the throne or in procession, from the verb khâi, ‘to rise [like the sun]’, in which regard note Soped’s identification with the east and the rising sun). In her apparent association with the executive acts, so to speak, which give order to the cosmos and secure justice for mortals, Khensut may be said to battle Seth: “Khensut the Great seizes you [Seth], her flame has power over your body,” (Barguet 1950, 5). Khensut is depicted anthropomorphically, usually in the manner of Hathor, with the headdress of a solar disk between bovine horns, or sometimes wearing the plume of Ma’et.
Barguet, Paul. 1950. “La Déesse Khensout.” Bulletin de l’Institut Français d’Archéologie Orientale 49: 1-7. Faulkner, R. O. 1969. The Ancient Egyptian Pyramid Texts. Oxford: Oxford University Press. [PT] Faulkner, R. O. 1973-8. The Ancient Egyptian Coffin Texts. 3 vols. Warminster: Aris & Phillips Ltd. [CT]
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alexar60 · 1 year
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Awa (le mythe d’Eve revisité)
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Elles entrèrent dans une salle immense au centre du temple. Un prêtre leur demanda de se positionner en cercle autour de lui. Puis, il se retira laissant au milieu un panier en osier, dont le couvercle était attaché à une corde. Il recula du cercle d’une dizaine de pas et, d’un tapement répété de ses mains, il mit fin au silence régnant.
La corde souleva le couvercle. Chacune des filles retint sa respiration. Elles attendirent les jambes raidies par la peur, la poitrine gonflée par une promesse divine. Elles avaient peur de leur sort, car tout pouvait basculer d’un moment à l’autre. Soudain, le panier remua légèrement. La tête d’un animal surgit…c’était un serpent !
Sa langue fourchue se promenait dans l’air. Il avait les caractéristiques du cobra. Le serpent venimeux sortit de sa boite et commença à zigzaguer cherchant à sortir du cercle. Les jeunes femmes demeurèrent immobiles, certaines joignirent leurs mains afin de prier le destin, d’autres fermèrent les yeux espérant qu’il s’approcherait ou pas. Elles avaient peur car il  suffisait d’un cracha empoisonné de cet animal, pour mourir dans d’atroces convulsions. Le serpent tourna plusieurs fois autour du panier avant de se décider.
Il se dirigea vers une jeune femme à la peau blanche et aux cheveux noirs. Elle ne savait quoi faire. Elle ne devait pas courir, ni fuir et devait accepter son sort. Le cobra approcha de ses pieds nus. Elle sentit la peau écailleuse frôler ses chevilles. Sa langue siffla. Il leva la tête et attendit patiemment.
-          Il t’a choisi et tu dois accepter, annonça le prêtre.
Dès lors, elle comprit qu’elle devait se baisser, tendre la main et laisser le serpent glisser, enrouler son bras pour se défier du regard. Elle avait peur mais ses yeux noirs ne montrèrent rien de cette peur viscérale. Bien au contraire, elle sourit lorsqu’il sortit sa langue pour humer son parfum. Alors, doucement le cobra remonta son épaule et s’installa autour de son cou telle une écharpe. A ce moment, les autres prêtresses s’agenouillèrent devant l’élue avant de quitter la salle puis de revenir pour la préparer à accueillir Ishtar.
Elle prit un bain de lait. Son corps ainsi que ses longs cheveux, furent recouverts d’huile parfumée. Elle passa la nuit à chanter et écouter des prières pour la déesse. Pendant ce temps, le prêtre s’amusait à regarder le cobra en train d’avaler une souris. Jeu étrange de la vie et de la mort. Pourtant, il était le seul à connaitre le secret du serpent : on avait méticuleusement retiré ses crochets venimeux.
Durant toute la nuit, elle inhala les vapeurs de produits hallucinogènes. Elle dansa trouvant ainsi la transe. Guidée par les prêtres, elle visita le monde des morts et celui des dieux. Elle rencontra enfin la déesse et accepta que cette dernière la pénètre. La transe transforma son esprit. Elle était devenue d’essence divine.
Le soleil était déjà bien haut dans le ciel lorsqu’elle sortit. Elle était nue, uniquement habillée du serpent qui enroulait son cou. Elle marchait empruntant les rues les plus grandes. Tout le monde détournait le regard ou tournait le dos à son passage. Personne ne voulait subir la loi du serpent qui gesticulait lentement sur les épaules de la belle. Cette dernière marchait fièrement, la tête haute, la poitrine bombée, le pubis rasé. Son parfum embaumait la rue. Toutefois, le peuple comprit l’événement. Alors, les gens attendaient qu’elle s’éloigne, pour se regrouper et la suivre sans oser l’approcher ni la regarder, regarder son dos ou ses fesses dénudées.
Aucun des gardes du palais ne furent au courant de sa venue. Ils virent la jeune femme venir vers eux. Ils reconnurent la déesse grâce à la présence du serpent. Alors, le chef ordonna qu’on ouvrit la porte pour laisser entrer la reine des dieux. Ils fermèrent les paupières lorsqu’elle arriva à leur hauteur. Ils pouvaient entendre le cobra siffler. Rayonnante, elle entra dans la forteresse et suivit un chemin qu’elle connaissait déjà, parce qu’Ishtar était déjà venue dans les jardins de ce palais.
Rien n’inquiéta le jeune roi. Il marchait à côté du prêtre, tout en discutant des dernières tablettes lues. Il aimait cette idée de graver dans l’argile des signes qui, permettront aux générations futures de se souvenir des exploits de leurs ancêtres. Il marcha sans réaliser qu’ils se dirigeaient vers la terrasse sacrée. Il gratta sa barbe naissante, puis il s’assit sur un banc installé sous un arbre.
Ils discutaient encore lorsqu’elle fit irruption dans le jardin suspendu. Dès lors, il se leva en découvrant la jeune femme nue. Il tourna la tête afin d’obtenir des explications auprès du prêtes, mais ce dernier ne répondit qu’en souriant. Soudain, il entendit les clameurs, il aperçut son peuple au pied du rempart. Les gens attendaient le début du rite.
-          Je suis Ishtar, reine des dieux et mère des vivants ! Je suis l’épouse des rois, dit-elle.
Elle avança vers le roi. Le serpent redressa la tête et sa langue effleura la joue du jeune homme. Il recula d’un pas, effrayé par l’animal. Toutefois, elle avança encore. Elle sentait bon. Elle attrapa un fruit en forme de poire pendu à une branche, avant de la tendre vers l’homme. Il ne savait que faire. Il hésita puis, il accepta l’offrande. Il croisa le regard du prêtre attentif au moindre de ses gestes. Dès lors, il croqua la poire, mâchant difficilement car elle n’était pas mure. Aussitôt le guide spirituel leva les bras tout en criant :
-          Notre roi est prêt à devenir divin !
Pendant que le serpent se faufilait dans l’arbre, une clameur enthousiaste envahit la cité d’Ur. Toute la population attendait ce sacre. Ils admirèrent leur roi finissant de manger le fruit, pendant que la prostituée sacrée l’emmenait vers l’autel. Le prêtre suivait derrière eux, jouant le rôle du Dieu Ae. Il était comme un père pour le jeune homme. Il voulait que la tradition continue. Le couple stationna devant le piédestal. Il se sentit gêné par la présence du peuple. Elle s’agenouilla, le déshabilla avant de malaxer ses parties intimes. Sa main branlait son sexe jusqu’à le durcir au grand plaisir des citoyens. Leur roi était vigoureux !
Une fois prêts, elle se cambra sur la table de pierre, écartant les jambes afin d’offrir à sa vue sa fente rose et épilée. Il approcha et sans attendre, il pénétra la jeune femme. Ses va-et-vient allaient au rythme des cris de joie du peuple. Il ne l’entendait pas. Il ne savait pas si elle prenait plaisir. Qu’importe, car son rôle était de faire de lui un être immortel, un Dieu.
Le prêtre observait chaque détail de la scène. Il n’y avait aucune règle, aucun interdit dans l’acte. Alors, il laissa l’homme caresser les épaules de sa femme. Il accepta qu’il se penche pour embrasser son cou. Il autorisa la femme à relever la tête pour l’inviter à l’embrasser. Elle se montrait comblée. Et quand vint enfin la jouissance absolue, lorsque le roi râla en éjaculant dans le vagin chaud de sa concubine, le prêtre leva encore les bras pour annoncer la bonne nouvelle aux habitants de la cité :
-          Dumusi, notre dieu-roi est enfin de retour !
Même s’il n’appréciait pas le rituel, il se devait d’accepter d’y prendre part. Il resta quelques secondes affalé sur le dos de la jeune femme. Puis, il se leva, le sexe pendant et englué. Il se rhabilla et quitta immédiatement le jardin sous acclamation de son peuple. Un peu perdue, elle accompagna son maitre. Le prêtre rejoignit le couple. Il invita la prostituée à rester pour continuer le rituel. Puis, il retourna dans le jardin. Le peuple était déjà retourné à ses occupations. Il chercha dans l’arbre, retrouva le serpent qui se laissa attraper facilement. Une fois avoir quitté le jardin, il confia le cobra à un domestique, le plaçant dans un panier en osier. Puis, il retourna dans le temple pour annoncer la bonne nouvelle à ses convives.
Elle n’était pas son genre, pourtant il la trouva attirante. Elle restait étendue sur le lit, attendant qu’il la rejoigne. Pour finir le rituel, ils devaient passer des jours et des nuits entières à faire l’amour. Il savait qu’elle repartira comme elle était venue. Elle n’était qu’une image, une prostituée sacrée et possédée par l’âme d’une déesse. Cependant, il voulut savoir :
-          Comment t’appelles-tu ? murmura-t-il. Je parle de ton vrai nom pas celui d’Ishtar.
-          Awa, répondit-elle. Et toi, tu n’es pas réellement dumusi ?
-          Mon vrai nom est Adamas.
Elle sourit. Elle le trouvait beau avec ses cheveux bouclés et sa barbe de quelques semaines. Elle tendit les bras pour accueillir le jeune roi.
-          Alors Adamas, amusons-nous ! Car après, il te faudra descendre aux Enfer et surmonter les pires tortures au nom de notre cité.
Il déglutit. Il connaissait aussi cette partie pénible dans laquelle il serait battu et fouetté devant la population. Il devait mourir pour renaitre et ainsi montrer qu’il était un vrai dieu. En attendant, il enlaça Awa avant de se caresser mutuellement. Elle sentait bon. Peut-être la choisira-t-il comme reine plus-tard ? C’était aussi le rôle des prostituées sacrées d’Ishtar que de devenir reine.
Alex@r60 – février 2023
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witchysiska · 3 months
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Imbolc ✨️
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C'est quoi Imbolc ?
Imbolc est une fête religieuse celtique irlandaise célébrée le 1er février. Les sources sont peu nombreuses sur cette fête donc les suppositions sont nombreuses.
Imbolc pourrait provenir d'un culte lié à la fécondité et correspond à l'agnelage, moment où les brebis commencent à allaiter leurs petits. Étymologiquement, Cette fête fait également référence à la purification. C'est aussi le début du printemps ou du moins la fin de la période sombre commençant à Samhain car les jours rallongent. Enfin, Imbolc pourrait également être une fête en l'honneur de la déesse celtique Brigit, régnant sur les arts, la guerre, la magie et la médecine, patronne des druides, des bardes, des vates et des forgerons.
Cette fête se retrouve également chez les Romains sous le nom de Lupercales où il était aussi question d'honorer Lupercus, dieu de la fécondité et des troupeaux.
Imbolc par rapport à la Chandeleur ?
D'après ce que j'ai trouvé la Chandeleur aurait bien des origine païennes et proviendrait des Lupercales romaines mais avant de devenir la Chandeleur que nous connaissons, il y avait la fête de la Présentation au Temple.
Pour ce qui est des crêpes, leur forme ronde et leur couleur dorée rappelant le Soleil , il serait surtout question de fêter le retour de celui-ci et les récoltes excédentaires, les semailles d'hiver commençant à cette période. Le pape Gélase 1er en faisait toutefois distribuer aux pèlerins arrivant à Rome.
Et on fait quoi pour Imbolc ?
C'est le moment pour commencer un grand ménage de (presque) printemps : chez soi ou dans nos relations, c'est le moment de se séparer de ce que nous ne voulons plus pour repartir sur des bases saines.
C'est aussi le moment idéal pour faire des crêpes.
Sources :
Imbolc (Wikipedia)
Brigit (Wikipedia)
La Chandeleur (Wikipedia)
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whencyclopedfr · 6 months
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Les Sculptures du Parthénon
La qualité et la quantité extraordinaires des sculptures en marbre qui ornaient le Parthénon d'Athènes, au Ve siècle avant notre ère, en faisaient le temple grec le plus richement décoré. Les sculptures, aujourd'hui essentiellement scindées entre les marbres du Parthénon (marbres d'Elgin) et la collection du musée de l'Acropole d'Athènes, comprenaient autrefois 92 métopes, une frise unique courant sur les quatre côtés de l'édifice, et les deux frontons remplis de 50 figures monumentales. Les sculptures présentaient des scènes de la mythologie qui étaient une métaphore du triomphe grec sur Darius et Xerxès lors des récentes guerres perses. L'ensemble de l'édifice et des œuvres d'art était conçu pour impressionner les spectateurs et glorifier Athènes et sa déesse patronne Athéna. En tant qu'instigateur de l'ensemble du projet, Périclès se vantait à juste titre de "...nous serons la merveille du jour présent et des âges à venir".
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lavoixdelarose · 1 year
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Appel à recréer les temples de la Déesse et mise à jour importante de Cobra
Chères roses, ces derniers jours ont été pour moi intenses et alors que beaucoup de messages m’ont été envoyés dans les rêves concernant une nouvelle étape dans le retour de la Déesse, je souhaitais partager cet appel qui résonne avec, je suis certaine, beaucoup d’entre vous qui êtes sur le chemin de la rose divine. Certaines âmes ont bien sûr déjà répondu à cet appel à manifester la beauté par…
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philoursmars · 5 months
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Il y a une petite quinzaine, je suis allé avec Julien et Katie, au Louvre-Lens. Ici l'expo permanente, la Galerie du Temps :
socle d'obélisque en granite, babouins - Louxor, 1250 av. J-C.
vase, le Maître des Animaux et serpents léontocéphales - Iran du S.E., 2500 av. J-C.
statue récipient - Kaluraz, Iran, 900-600 av. J-C.
rhyton, sanglier - Ugarit, Syrie, 1200 av. J-C.
cratère mycénien avec guerriers et chars - Ugarit, Syrie, 1200 av. J-C.
hommes et chevreau - temple de déesse-mère Ninhursag, Suse, royaume d'Elam, Iran, 2700 av. J-C.
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toilou-egypte2022 · 2 years
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L'après-midi, nous avons visité le temple de Philae, qui a été déplacé dans les années 1960 après avoir été inondé 50 ans plus tôt lors de la mise en eau de l'ancien barrage d'Assouan.
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Il se trouve sur une petite île accessible en bateau. C'est le temple dédié à Isis, déesse protectrice des défunts. Comme le temple d'Edfou, il est resté en très bon état.
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Comme je le disais, le guide a inversé le sens des visites, du coup on était particulièrement seuls durant la visite du temple !
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Avant de rentrer au bateau, nous avons visité une boutique d'huiles essentielles (le vendeur nous a fait une masterclass d'une heure de technique de vente locale !) et une boutique d'épices. On en a profité pour acheter quelques souvenirs !
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Dans la soirée, petit spectacle par une troupe égyptienne, d'abord typique locale puis du folklore améridien (pourquoi pas) qui nous ont fait chanter et danser vigoureusement. Antoine s'est découvert un nouveau talent de danseur (j'exagère à peine). 🕺🏻
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Salam !
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J6 : petit florilège des Temples rencontrés à Chiang Mai ! Ici le style architectural est Lanna, et comme vous pourrez le constater, c'est ... Varié !
Donc lui par exemple, c'est un temple tout en argent. Tranquille. (Oui ils avaient pas de problèmes de sousous à l'époque, contrairement à nous qui devons appeler nos banques pour monter le plafond des retraits en distributeur ><)
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Lui c'était mon petit préféré 🥰 tout en bois sculpté, noir et blanc, ça change beaucoup des couleurs assez flashies qu'on peut avoir ailleurs !
Et parfois, on a un mélange de religion (en tout cas c'est vraiment l'impression que ça donne) sur le même site : on a Buddha et son naga sur la droite, et une déesse indoue sur la gauche !
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Et certains temples ont les murs entièrement peints, c'est assez incroyable. Celui là n'était pas le plus beau mais étais déjà bien sympa, il arrive dans un autre post 😁
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Alors, votre préféré ?
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alexar60 · 10 months
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Ce que cache un masque
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Nul ne se souvient de ces dieux vénérés par les anciens. Peut-être leurs légendes étaient-elles les ancêtres de nos mythologies grecques, égyptiennes ou indous ? A cette époque, ils côtoyaient les géants, les monstres des abysses. Ils vivaient sur les montagnes les plus hautes ou dans les profondeurs des enfers. Ils combattaient les astres et régnaient sur l’univers.
A cette époque, l’homme n’était qu’un simple mortel méprisable, jouet soumis à ces dieux. Il les vénérait parce qu’il les craignait. Il craignait leur courroux, les cataclysmes engendrés par leur colère. Car ces dieux étaient capables de provoquer les tremblements de terre, d’inonder les récoltes, de noyer l’humanité sous des éruptions volcaniques ou juste de foudroyer n’importe quel mortel.
Ofnadwy était une de ces grandes déesses. Elle était la mère de la beauté, de l’éclat, la déesse des déesses et la mère du soleil. Elle aimait regarder les hommes la prier. Parfois, elle entrait dans ses temples et s’amusait des prêtresses invoquant son nom devant l’autel. Il n’y avait rien de plus jubilatoire que d’écouter ces petits êtres chanter ses louanges.
Il arrivait souvent qu’elle s’intéresse à un homme beau et fort. Dès lors, elle descendait de la montagne des dieux et, prenant l’apparence d’une belle femme, elle aguichait sa proie pour se délecter de lui à la tombée de la nuit. Car Ofnadwy était aussi la déesse de la luxure, la mère de toutes les putains. Et aucun homme ne lui résista.
Un matin, après avoir quitté la couche de son amant, la déesse croisa le regard d’un inconnu. Elle suivit discrètement le jeune homme parti chasser dans les bois. Elle se cacha d’arbre en arbre afin d’admirer sa musculature et son visage magnifique. Le jeune homme s’arrêta et visa de son arc  un chevreuil. La flèche partit sans toucher sa cible. Dès lors, il ne put que regarder l’animal fuir.
Qui es-tu jeune et beau garçon ? demanda Ofnadwy en se présentant.
Je m’appelle Didwill, fils de Dewr.
La déesse, de plus en plus émerveillée par Didwill, tourna autour de lui en usant de ses charmes. Elle caressa son doux visage mais il ferma les yeux. Elle comprit qu’il resterait insensible à ses avances.
Si tu acceptes de passer la nuit et de t’offrir à moi, susurra-t-elle au creux de son oreille, je ferai de toi le plus grand des chasseurs. Tu sais que j’en ai le pouvoir.
Il inspira profondément avant de défier du regard Ofnadwy.
Ta proposition m’honore belle et grande Déesse. Mais je ne peux t’offrir ce qui ne m’appartient plus. Car j’ai déjà donné mon amour à Lleuada.
Surprise par ce refus inhabituel, Ofnadwy s’éloigna du chasseur. Cependant, la colère envahit son esprit et elle décida de retourner dans la cité pour rencontrer la fameuse Lleuada. Elle traversa la ville et n’entendit que du bien de sa rivale. Elle était décrite comme une très belle femme aux cheveux noirs, à la peau de lait. Son corps aux courbes parfaites, ses yeux de biche déstabiliseraient n’importe quel héros. Et effectivement, lorsque la déesse remarqua la jeune femme, elle fut stupéfaite de voir que sa beauté était comparable à celle d’une déesse. Elle remonta dans la montagne des dieux, déçue qu’un homme se soit refusé mais surtout, furieuse qu’il préféra une mortelle à sa place.
Pendant plusieurs jours, Ofnadwy ne put retirer de sa mémoire ce couple qu’elle imaginait en train de faire l’amour. La jalousie grossit en elle si bien qu’elle réfléchit à une vengeance.
Si tu t’es refusé à moi, alors tu la refuseras, Grommela-t-elle.
Elle partit rejoindre Copradur le dieu des forges. Ce dernier travaillait dans son atelier au sommet d’un volcan. Sa poigne battait le fer comme jamais. Il avait inventé des armes flamboyantes, des coffres impossibles à forcer, des ornements d’une pure beauté et les plus beaux bijoux que l’homme n’a jamais créés. Copradur était en train de forger une épée lorsque la déesse l’interpela.
Ô Copradur, mon frère ! Je souhaite que tu me construises un objet qui détruirait la beauté de mes ennemies.
Sans poser de question et sans attendre, le forgeron laissa ses domestiques finir l’arme et utilisa toute sa force pour frapper un métal magique. Il tapa constamment la matière rougie par le feu afin qu’elle reste modulable. Il frappa si fort qu’on entendait plus le volcan gronder. Il frappa pendant une semaine et un matin, il présenta son œuvre à sa sœur.
Voici un masque qui répond à tes attentes. Fais porter ce masque à ton ennemie et tu seras comblée, annonça-t-il avant de retourner à sa forge.
Dès lors, Ofnadwy redescendit parmi les hommes. Elle entra dans son temple et invita la belle Lleuada. La jeune femme ne pouvait refuser la convocation apportée par une prêtresse. Devant le lieu sacré, deux rangées de religieux formèrent un couloir. Elle embrassa Didwill qui l’accompagnait. Les amants entrèrent dans le temple. Lleuada et Didwill furent éblouis par la richesse et les trésors décorant les murs. Ils admirèrent les dessins sur les tapisseries qui racontaient l’histoire des Dieux. On proposa au couple d’approcher d’une table couvert de victuailles. Ils mangèrent les mets les plus succulents et délicats. Pour remercier la déesse, ils posèrent aux pieds de sa statue quelques feuilles de lauriers recouvertes d’un peu de leur sang, car telle était la tradition. A ce moment, à leur grande surprise, Ofnadwy se présenta.
Gardez vos pathétiques offrandes, cria-t-elle. Je ne veux que ta beauté Lleuada.
A peine avait-elle fini sa phrase, qu’un groupe de malabars agrippèrent le couple. Les uns pour empêcher Didwill d’intervenir, les autres pour retenir Lleuada. La déesse approcha de la jeune mortelle, sortit le masque de métal magique, et le posa sur la tête de la jeune femme.
Didwill ne put retenir ses larmes en entendant hurler Lleuada. Il essaya de réagir, de se débattre en vain. Cela dura une petite minute, une éternité.
Lorsqu’Ofnadwy retira le masque, elle fut ravie. Didwill pleura suppliant de la sauver, les prêtres et prêtresses demeurèrent choqués mais aussi heureux de voir que leur déesse était capable de telle prouesse. En effet, le masque avait retiré le visage de la belle femme. Il ne restait qu’une surface lisse, blanche et brillante à la place de son nez de sa bouche et de ses yeux. L’ensemble était collé au fond du masque.
La déesse partit en gardant le masque et son contenu comme trophée. On relâcha Didwill qui se précipita vers le corps inerte de Lleuada. Elle était morte, il ne pouvait rien faire. Dès lors, il s’enfuit et nul ne sait où. Certains diront qu’il chercha l’entrée de la montagne des Dieux pour se venger. D’autres, qu’il s’est saoulé avant de se jeter du haut d’une falaise.
En découvrant son acte, Copradur se sentit trahi par la demande d’Ofnadwy. Jamais il n’avait pensé qu’elle utiliserait ce masque contre une innocente mortelle. Il se sentit aussi coupable de cette tragédie. Pendant la nuit, il descendit de son volcan, entra dans le temple pour récupérer le corps de Lleuada et l’emporta avec lui.
Parce que tu as été belle, tu as subi la cruauté des dieux. Alors, je t’élève au rang de celle qui t’as tuée. Désormais, tu règneras la nuit et tout le monde pourra découvrir que tu restes encore belle.
C’est ainsi que Lleuada devint la lune. C’est ainsi que les hommes continuent d’admirer sa beauté même si son visage est caché dans un masque. On dit que la nuit, elle s’élève à la recherche de son visage. Mais chaque fois, Ofnadwy, toujours jalouse, fait apparaitre le soleil pour l’empêcher de le retrouver. Jusqu’à ce qu’elle soit dans les bras d’un de ses amants, alors, la lune réapparait pour chercher encore son visage tout en montrant aux hommes qu’elle reste belle sans.
Alex@r60 – août 2023
Photo : Barbara Steele dans le masque du Démon (1960)
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titou-nz · 2 years
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Temple d’Isis, Assouan - Égypte
Qui était la déesse égyptienne Isis ?
« Mère divine » et épouse fidèle d’Osiris, Isis est l’une des divinités les plus populaires du panthéon égyptien. Protectrice des défunts, elle est adorée dès le IIIème millénaire dans l’Égypte ancienne, avant que son culte ne s’étende aux mondes grecs et romains.
A quoi ressemblait la déesse Isis ?
Très tôt, les premières cosmogonies égyptiennes ont fait d’Isis et Osiris le couple fondateur de la civilisation. Avec leur fils Horus, ils sont les trois principales divinités du panthéon de la Basse-Égypte.
Les représentations de la déesse Isis sont aussi nombreuses que ses fonctions, celles-ci évoluant avec le temps. On peut la voir sous les traits d’une femme, portant sur sa tête soit un siège, hiéroglyphe de son nom égyptien Aset, semblable à un escalier à trois marches ; soit deux cornes lyriformes enserrant le disque solaire. Cette deuxième représentation est due à son rapprochement avec la déesse de la maternité Hathor, souvent coiffée d’un disque solaire posée entre deux cornes de vache. On la représente encore en train de porter un ânkh, le symbole de vie égyptien, (car elle est capable de donner l’immortalité) ou bien assise, allaitant Horus enfant.
Fille du Ciel et de la Terre
Originaire de la ville de Bouto, dans les marais du delta du Nil, Isis apparait dans la seconde moitié du IIIème millénaire av. J.-C. Dans l’Égypte ancienne, entre 2.700 et 2.000 avant notre ère, sont gravés sur les parois des pyramides de Saqqarah, les Textes des pyramides. Ils sont les plus anciens textes religieux faisant mention de la déesse, dont le culte est d’abord mortuaire.
Vénérée pour sa ruse, sa ténacité et son intelligence, à la fois magicienne et déesse, Isis est l’un des cinq enfants de Nout, la voûte céleste, et de Geb, le dieu de la Terre. Dès le ventre de sa mère, elle aime furieusement son frère Osiris. C’est ce que raconte le philosophe grec Plutarque, à qui l’on doit la version la plus complète de la légende d’Isis et Osiris.
Osiris suscite la jalousie de Seth
Osiris, frère et époux d’Isis, est un être parfait mesurant 4 mètres 50 et dont les membres sont en lapis-lazuli. En régnant sur les hommes avec Isis, il les sort de leur animalité et apporte civilisation et fertilité à l’Égypte.
Son rayonnement suscite la jalousie de son frère Seth. Roux, stérile, craint par les égyptiens, celui-ci n’a pas reçu les mêmes talents qu’Osiris. Il fomente alors un complot pour destituer son frère et monter sur le trône à sa place.
Lors d’un banquet, Seth réunit des conjurés et place au centre de la pièce un sarcophage. Chacun s’y étend comme s’il s’agissait d’un jeu. Mais lorsqu’arrive le tour d’Osiris, Seth ferme le sarcophage et le plombe, enfermant son frère… à jamais ?
Isis reconstitue le corps d’Osiris
Le sarcophage est jeté dans le Nil, dérive jusqu’à la mer et arrive au rivage de Byblos, en Phénicie, où il donne naissance à un arbre extraordinaire, un tamaris. Isis, s’étant transformée en oiseau pour parcourir la Terre à la recherche de son époux, parvient à le retrouver. Elle le ramène en Égypte et le cache dans les marais du Nil. Mais c’était sans compter sur Seth, qui découvre le sarcophage une nuit de pleine lune et le découpe en morceaux, 14 ou 42 selon les versions du mythe, qu’il disperse à travers le monde. Avec l’aide de sa sœur Nephtys, Isis réussit à reconstituer le puzzle. Avec Anubis, le protecteur des morts, elle ramène Osiris à la vie en le momifiant, faisant d’Osiris la première momie de l’Histoire. De dieu des vivants, celui-ci passe à dieu des morts, après avoir donné naissance à un fils, Horus. Épouse fidèle et mère dévouée, Isis se consacre à l’éducation de son fils, qui bannira Seth pour rétablir l’ordre dans le monde.
Isis chez les Grecs
Petit à petit, grâce aux différentes conquêtes, le culte d’Isis va s’étendre au-delà des frontières de l’Égypte et atteindre le monde grec. À partir du VIIème siècle av. J.-C., les grecs de la Basse-Égypte assimilent Isis à la déesse Déméter, elle aussi déesse-mère. Au Vème siècle av. J.-C., Herodote reprend cette comparaison dans ses Histoires. Un décret athénien de 333 av. J.-C., un an avant l’annexion de l’Égypte par Alexandre le Grand, fait mention d’un temple d’Isis en Grèce.
Quand il arrive en Égypte, Alexandre ne censure par la religion locale, mais il l’adopte, procédant ainsi à un syncrétisme religieux. À sa mort en 323 av. J.-C., l’un de ses généraux, Ptoémée Ier Sôter, prend le contrôle de l’Égypte et maintient la tolérance religieuse. La dynastie ptolémaïque à laquelle il donne naissance poursuit ce processus d’unification des populations à travers la foi religieuse.
Parmi les différentes formes que prend alors Isis, on trouve celle d’Io, une jeune fille aimée par Zeus, que celui-ci aurait transformée en génisse blanche pour la soustraire à la jalousie d’Héra.
Isis chez les Romains
Isis est ensuite introduite à Rome à l’époque du général Sylla, au Ier siècle av. J.-C.. Elle est assimilée à la déesse Fortuna de Praeneste, déesse de l’amour et de la fécondité. C’est l’empereur Caligula qui décidera de lui faire construire un temple sur le Champ de Mars, avant qu’on en voie un peu partout en Gaule, en Espagne, sur le Rhin et le Danube. Au deuxième siècle de notre ère, l'écrivain romain Apulée va même jusqu’à la qualifier de « mère des étoiles, parente des saisons et maîtresse du monde entier. »
Le culte d’Isis a ainsi été récupéré dans le monde gréco-romain et la déesse égyptienne fut assimilée à de très nombreuses déesses, comme Déméter, Perséphone, Séléné, Cérès ou encore Minerve. Son culte s'est éteint au VIe siècle après J.-C., avec l’avènement du christianisme. La Vierge Marie l’a remplacée dans son rôle de mère divine et déesse universelle.
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omagazineparis · 5 days
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7 lieux à voir lors d'un voyage en Grèce pour un été inoubliable
L’été est là et il est temps de commencer à réfléchir aux vacances. Et si cette année vous partiez en Grèce ? Sous le soleil méditerranéen, le pays offre une multitude d’endroits qui pourraient vous enchanter. Voici nos sept propositions de destinations en Grèce qui vous feront passer un été inoubliable ! Avez-vous toujours rêvé de faire un voyage en Grèce mais ce n’était jamais le bon moment ? Eh bien, cela va changer aujourd’hui ! Dans cet article, on vous propose sept destinations qui vous permettront de passer des vacances d’été idéales. Des endroits qui allient à la fois détente, divertissement et culture. Par ailleurs, plusieurs lieux bénéficient de nombreux sites et monuments qui sont classés au Patrimoine mondial de l'UNESCO. Alors, prêt.e.s à découvrir la Grèce ? C’est parti ! La Crète Ce serait impossible de parler de toutes les beautés de la plus grande île de Grèce tellement elles sont nombreuses. Entre vestiges de l’Antiquité, paysages naturels incroyables et petits villages pittoresques, la Crète est la destination d’été idéale. Commencez par une visite au palais de Knossos, monument qui remonte à l’époque minoenne, qui se trouve près de la ville d’Héraklion. Ensuite, faites une randonnée à la gorge de Samaria, sans oublier votre caméra pour prendre des photos des paysages magnifiques. Prenez un peu de temps pour vous détendre dans une des nombreuses superbes plages du coin. Et le soir, rendez-vous aux tavernes d’Agios Nikolaos pour goûter les spécialités crétoises, accompagnées bien sûr du raki : la boisson traditionnelle de l’île. Delphes Si vous rêvez d’une destination dans la Grèce antique, vous n’avez qu’à vous rendre à Delphes. Faites un tour sur les pentes du Mont Parnasse. Pourquoi ? Il s'agit d'un site archéologique qui figure parmi les plus importants dans le pays. De plus, il accueille des millions de visiteurs chaque année. Considérée comme le centre du monde durant l’Antiquité, la ville abritait aussi le sanctuaire d’Apollon dans lequel l’Oracle délivrait ses prophéties. Flânez entre les ruines et visitez le musée archéologique de la ville où sont exposés des objets qui ont été trouvés sur le site. Outre son passé illustre, Delphes offre également plein de possibilités pour les amateurs de sport. Explorez les paysages verts à travers des randonnées ou admirez-les depuis le ciel en faisant du parapente. Aussi, pensez bien à apporter votre caméra : la vue depuis les montagnes est à couper le souffle ! Corfou Parmi la pléthore d'îles grecques, Corfou parvient à se distinguer. Dans ce véritable paradis sur terre, on trouve une forte influence italienne, présente entre autres dans l’architecture et les saveurs locales. Pour comprendre de quoi il s’agit, vous n’avez qu’à vous rendre dans la capitale de l’île ionienne pour flâner dans ses ruelles. Cela vous permettra d’admirer les bâtiments vénitiens avant de vous rendre à Spianada, la place centrale qui sépare la vieille ville du Vieux Fort. Effectuez une visite au palais Achilleion, la villa au jardin extraordinaire qui fut la résidence de l’impératrice Sissi. En tout cas, n’oubliez pas votre maillot de bain ! Outre ses paysages bucoliques, l’île de Corfou est connue pour ses plages charmantes aux eaux bleues azur. Une destination en Grèce à tester ! À lire également : Top des 10 pays les plus incroyables à visiter cette année Athènes On ne pouvait pas, bien sûr, passer à côté d’Athènes. La capitale de la Grèce contient tout ce qu’on pourrait demander d’une grande ville, en associant son passé ancien à un aspect moderne. Bien que remplie de vestiges de l’Antiquité, la première chose à voir est évidemment le Parthénon. Bâti au Vème siècle avant J.C., le temple dédié à la déesse Athéna est un monument d’importance mondiale. En quittant la colline de l’Acropole, vous pouvez vous rendre dans le quartier de Plaka où des magasins de souvenirs s’épanouissent à coté de petites tavernes. Ensuite, culture et histoire se regroupent dans les différents musées de la ville, comme le musée Benaki ou le musée de l’art cycladique. De Monastiraki, le quartier central et son marché aux puces en passant par la place centrale de Syntagma, le cœur animé de la ville ne manquera pas de vous enchanter. Thessalonique Au nord du pays, située près de la mer Égée, se trouve la deuxième plus importante ville de Grèce. Bien qu’elle dispose également de vestiges de l’Antiquité, Thessalonique est plutôt connue pour son passé byzantin. De nombreuses églises adornent, la plus importante étant la basilique de Saint-Dimitri (Hagios Demetrios), protectrice de la ville. Il s'agit d'un centre culturel important qui, tout au long de l’année, accueille une multitude d’événements : des concerts, des festivals, des expositions. Après une journée d’exploration, rendez-vous à Ladadika, le quartier des restaurants, pour goûter des spécialités grecques traditionnelles. Et pourquoi ne pas terminer la journée par une belle promenade le long du bord de la mer ? Sur le chemin, vous aurez l’opportunité de voir de près la Tour Blanche, monument imposant de l’époque ottomane et symbole de la ville. Nauplie La prochaine destination, toujours en Grèce, est l’une dates plus belles villes du Péloponnèse. À 150 kilomètres de la capitale et près de la mer, Nauplie constitue la station balnéaire préférée des Athéniens. Elle figure aussi parmi les destinations les plus populaires pour les escapades à deux. Aux eaux tranquilles de la mer Égée viennent s’ajouter des maisons à l’architecture vénitienne et des forteresses médiévales pour créer une atmosphère bien romantique. Rendez-vous dans les merveilleuses plages de Nauplie pour faire un tour de bateau dans le golfe ou même à voile. La ville des amoureux peut également se targuer d’une histoire riche, ainsi que du titre de première capitale de l’État grec. Cela vaut le coup d’explorer non seulement la ville elle-même, mais aussi ses alentours. Profitez de votre séjour pour vous rendre sur le site archéologique des Mycènes, pôle majeur de la civilisation mycénienne dans l’Antiquité. Et bien sûr, le magnifique théâtre d’Épidaure, lieu emblématique de la culture grecque. Cyclades Cette liste ne serait pas complète sans la présence des Cyclades : îles de la mer Égée qui accueillent une myriade de touristes chaque année. L’image des petites maisons blanches aux toits bleus que l’on trouve dans cette destination est connue dans le monde entier. La première à considérer pour vos vacances est bien sûr Santorin. Surtout connu pour ses couchers de soleil émerveillants, l’île volcanique peut se targuer du titre de l’île la plus romantique de Grèce. Si pour vous l’été est synonyme de détente, on vous propose de passer une journée dans les eaux chaudes thermales de Santorin. Si, par contre, vous cherchez la vie nocturne, vous n’avez qu’à prendre le bateau destination Mykonos, l’île cosmopolite où la fête ne s’arrête jamais ! Ces destinations en Grèce vous en tenté ? Alors, sortez vos agendas et commencez à planifier votre voyage ! La Grèce vous attend ! Read the full article
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whencyclopedfr · 1 year
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Asherah
Asherah est un mot hébreu pour ce qui était soit une déesse, soit un objet de culte, ou peut-être les deux. Bien que beaucoup voient des preuves qu'Asherah était une déesse individuelle des Israélites, certains chercheurs pensent que le contexte du mot le désigne principalement comme un objet de culte, comme le suggère Mark Smith dans The Early History of God: Yahweh and the Other Deities in Ancient Israël. La Bible parle fréquemment d'asherah (singulier) et d'asherim (pluriel) comme des symboles de culte depuis l'époque des juges israélites jusqu'à juste avant la destruction du royaume de Juda au début du 6ème siècle av. J.-C. D'autre part, certains passages de la Bible font clairement référence à Asherah comme étant une déesse. Dans la Bible, le texte de l'âge du Fer de 1 Rois 18:19 déclare qu'Asherah avait des prophètes à Tyr, tout comme le dieu cananéen Baal en avait. De plus, 2 Rois 23:6 déclare que les prêtres du Temple de Salomon sortirent "tous les objets faits pour Baal, Asherah et toute l'armée des cieux". Ce verset semble également indiquer qu'Asherah était au moins parfois considérée comme une divinité.
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christophe76460 · 6 days
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Plus sur la première lettre aux Corinthiens : L'histoire du voile.
Nous continuons avec nos post sur la première épître aux Corinthiens, et vis-à-vis de certains passages mal compris de cette épître, qui ont fait et font, malheureusement, toujours couler beaucoup d’encre… inutilement, précisons-le.
Je me rappelle lorsque j’étais nouveau converti, ces milieux où on insistait pour que les femmes portent un voile pendant les réunions, pensant ainsi s’appuyer sur la Parole de Dieu.
Je pense aujourd’hui que c’est une des choses les plus stupides qui a pu être enseigné, démontrant plus l’ignorance et la stupidité de ceux qui l’enseignaient, qu’autre chose.
E/ Selon les églises, en effet, des femmes portent un voile à cause des versets 1 à 16 du chapitre 11 de 1 Corinthiens où Paul y déclare : “Toute femme... qui prie Dieu ou qui prophétise, la tête non voilée, déshonore son mari...” (V 5).
Or, il ne donne pas cette ordonnance parce qu’il est mal en soi, et devant Dieu, de ne pas être voilée pour prier, mais à cause, toujours, du contexte de l’époque et du lieu.
Dans le monde gréco-romain de l’époque, le port du voile pour la femme était synonyme de respectabilité.
À plus forte raison à Corinthe, une ville des plus perverties de l’Empire Romain, au point que l’expression “une corinthienne” était devenue synonyme de femme de peu de vertu.
À cela une raison bien précise, à savoir la présence du temple de Vénus, déesse de l’amour.
Attachées à ce temple, se trouvaient un millier de prostituées “sacrées” dont les pratiques sexuelles faisaient partie du culte rendu à leur déesse.
Pour se démarquer, ces prostituées ne se voilaient pas ; certaines se rasaient la tête et portaient des postiches garnies de tresses.
La femme chrétienne qui, voulant profiter de sa nouvelle liberté en Christ, qui ne se voilait pas, était automatiquemrent assimilée à une prostituée et, de ce fait, déshonorait à la fois Christ et son mari.
Et non pas parce qu’elle n’avait pas mis le bon chapeau pour le culte du dimanche !
C’est avec ce contexte en toile de fond, que Paul enjoint - avec raison - aux chrétiennes de se voiler. “
La nouvelle Bible déchiffrée - Manuel biblique” site un commentaire de William Barclays sur le sujet : “Paul écrivait à la ville la plus dissolue du monde antique… dans un tel endroit la correction de la tenue devait être respectée au plus haut point...”
Mais aujourd’hui, et dans notre monde occidental, cela n’a PLUS AUCUNE RAISON D’ETRE.
William Barclays précise très intelligemment : “Il ne serait pas juste de détacher une règle locale des circonstances particulières d’où elle est issue pour en faire un principe universel.”
L’enseignement à retirer n’est donc pas qu’il faut que la femme se voile à toute époque en public, mais que le chrétien doit savoir s’adapter aux coutumes du lieu où il se trouve.
Un proverbe chinois - des plus biblique - dit que : « Quand le sage montre la Lune, l’idiot regarde le doigt. » Nous en avons là une belle illustration.
L’esprit religieux aime mettre l’accent sur la mauvaise partie d’un texte : dans ce cas précis beaucoup mettent l’accent sur le voile plutôt que sur l’enseignement qu’il nous apporte : se conformer aux coutumes du lieu. Particulièrement si celles-ci sont synonymes de respectabilité.
Maintenant, les sœurs qui veulent porter un voile par choix ou par goût peuvent librement le faire, mais appuyer cette démarche par la Parole... comme étant une exigence spirituelle, un critère de spiritualité, alors non, désolé !
Qui plus est c’est dangereux de donner un sens spirituel à quelque chose qui n’en a pas au départ. C’est la meilleure façon pour ouvrir la porte à une fausse doctrine, et de ce fait à l’esprit qui est derrière.
Avez-vous vu comment le voile divise non seulement l’église, mais la société aujourd’hui, avec les islamistes ? Il semble être un instrument d’asservissement par excellence qu’utilisent les esprits religieux.
De nombreux versets peuvent nous paraître bizarres si nous ne les replaçons pas dans le contexte de l’époque et du lieu.
Citons Gordon Fee et Douglas Stuart : “En exégèse, c'est-à-dire pour comprendre ce que signifiait le texte à l’origine, LA PREMIERE TACHE consiste à s’informer du contexte historique.”
Voilà une petite histoire bien connue dans les milieux culinaires :
Regardant sa mère couper les extrémités d’un rôti (d’un jambon ou d’un poulet selon l’histoire) alors qu’elle le préparait pour le mettre au four, sa fille, ne jugeant pas cela très logique, lui demanda pourquoi elle faisait cela.
Au lieu de lui donner une réponse précise, sa mère se contenta de lui dire que c’était parce qu’elle avait toujours vu sa mère à elle faire ainsi.
Mère et fille décidèrent alors d’aller trouver la mère et grand-mère en question, pour lui demander pourquoi elle coupait les extrémités du rôti. Celle-ci leur répondit que c’était parce que c’est ce que faisait sa propre mère !
Cette dernière étant encore vivante, fille, petite-fille et arrière-petite-fille décidèrent d’aller lui poser la fameuse question, pendant qu’il en était encore temps.
Sa réponse : “Tout simplement parce que mon four (ou ma casserole), à l’époque, était trop petit !”.
Deux femmes faisaient, machinalement, une chose dont elles ne comprenaient pas le sens et étaient prêtes à communiquer cette manière de faire à la génération future.
Or ce qui avait un sens à l’époque, et dans le contexte de la cuisine de l’arrière grand-mère, n’en avait déjà plus à l’époque de sa fille. Il a fallu que quelqu’un, d’une nouvelle génération, cherche à comprendre et ose poser la question.
Il en est de même avec beaucoup de traditions, comme celle traitée dans ce post, que l’on transmet de génération en génération dans l’Eglise.
On continue ?
Claude
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cedricenergeticien · 9 days
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Le massage égyptien, également connu sous le nom de Queen massage, est un rituel de bien-être qui puise ses racines dans l’Égypte antique. Exclusivement réservé aux déesses et aux pharaons, ce massage était l’un des secrets de la légendaire beauté de la reine Néfertiti. Son nom signifie littéralement « la belle est venue » ou « belle est la beauté d’Aton ».
Ce massage est très complet et apporte une relaxation profonde et durable. Il agit à la fois sur le corps lui-même et sur les centres énergétiques. Il favorise la relaxation profonde, la détoxification, la revitalisation. La gestuelle du massage égyptien s’inspire des dieux, lieux, temples, animaux sacrés et objets du quotidien de l’Égypte ancienne. Elle aborde spécifiquement les jambes, pieds, bras, mains, dos, crâne et visage, invitant au lâcher-prise dans une alternance de manœuvres relaxantes et profondes. Les mouvements vont des percussions douces aux gestes lissants, en passant par des pressions variées.
Durée : 1h10. Tarif : 70 €.
à Arras. 06 75 72 21 62
#massage
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