Tumgik
#singé
galabuddy · 7 months
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How tall is singe and is she single
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Head in the clouds.
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hyperlexy · 2 months
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- Ainsi soit-il -
Je ne sais pas ce qui est le plus difficile,
Est-ce d'avoir cru à ta prose merveilleuse ?
Est-ce d'avoir été prise à mes dépends dans une boucle temporelle,
Où tu as travaillé d'arrache-pied afin de m'y coincer avec ma volonté ?
Araignée.
Il m'aura fallu un an pour décortiquer par petits morceaux
L'enfumage, l'immaturité, le lien traumatique qui nous liait et
Cette glu que tu m'as déposée dans chaque cellule
A coup de love-bombing.
Un guet-apens.
Oui, je suis coupable, de ne pas m'être assez aimée, j'en prends la responsabilité
Oui, je suis coupable d'être tombée dans tes filets
Emplis de contradictions, d'amertume, de fumée, de déprime
Mais sache que je ne t'ai pas aimé, j'ai aimé mon reflet en toi.
Miroir.
Tu m'as singée, copiée, tu t'es copieusement abreuvé de mes qualités
Je pensais me retrouver en toi, à juste titre.
Copier, coller, critiquer, trépigner, envier, chouiner,
Ce sont tes seuls talents.
Si vide et insignifiant.
Tu t'es nourri de mon essence, a tenté de la faire tienne
J'étais exsangue, et tu continuais en toute lucidité
Il fallait que je te coupe les vivres,
Et récupérer ce qu'il restait de moi avant que tu finisses par me piétiner.
Paillasson.
Je viens de tomber sur un de tes écrits :
Avec le temps, il me parait bien artificiel
Ces mots que tu n'as jamais pensés,
D'ailleurs, à quoi pensais-tu en m'écrivant cette fois-là hormis m'enfoncer la tête sous l'eau avec le sourire ?
Dommage, j'ai tapé le fond pour remonter plus haut encore.
Noie toi dans ton vide existentiel,
Deviens ce que tu veux, fais croire ce que tu désires à qui tu le souhaites.
J'aime tant être la méchante de ton histoire, quand dans la mienne,
Tu es devenu un insignifiant cafard.
Un CANCRELAT.
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Texte et photo: Flavia ZAOUI
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ditesdonc · 8 months
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H.E.C.
Hautes Etudes Cozançardes
Texte écrit par Josiane GOUVERNAYRE
Notre institutrice était Mademoiselle Suzanne Perceval, arrivée à Cozance peut-être à la rentrée 1943. Elle habitait à l'étage avec sa maman et parfois son frère André. Elle bénéficiait d'un jardin avec sa cabane en guise de sanitaire. Entre les légumes on trouvait un griottier, des groseilliers, un cognassier. Parfois nous y faisions de menus travaux, désherbage cueillette et préparation des fruits pour confiture.
Mlle Perceval était très sévère, très exigeante, elle ne tolérait aucun écart en ce qui concernait la politesse, l'entraide, la solidarité, le respect des autres. La première leçon du lundi était la morale.
Je me souviens particulièrement d'une semonce que nous avions reçue pour avoir singé ces pauvres vieux qui traînaient de graves séquelles de leurs blessures de la Grande Guerre. Benoît qui marchait sur les talons, ses pieds gelés avaient été amputés ou le père Garde à la démarche saccadée et à l'élocution difficile car il avait été trépané...
Je me rappelle aussi avoir reçu une baffe bien appuyée car j'avais eu, paraît-il, un geste de mépris envers un camarade !
Mlle Perceval suivait le programme de l'éducation nationale auquel elle ajoutait quelques matières dont le solfège et l'algèbre, ce qui fut couronné d'échec. Elle dut déclarer forfait face à notre manque de motivation. Son but, disait-elle, était « de nous sortir la queue des vaches ».
Pendant la guerre il n'y avait ni gomme ni colle ni crayon de couleur. L'institutrice préparait l'encre en diluant de la poudre dans de l'eau chaude.
La maîtresse nous faisait faire des exercices d'évacuation au cas où. Un jour, je m'étais si bien cachée au fond d'un bosquet que l'on ne me retrouvait plus.
Un autre jour, à la sortie de l'école, dans un fossé près de la croix, nous avons trouvé une arme et son chargeur. Heureusement un grand, Marcel, s'est chargé de les rapporter à l'institutrice.
Nous allions tous à l'école à pied qu'il pleuve, qu'il neige ou qu'il vente. Malgré la période trouble que nous vivions, les parents ne nous accompagnaient pas. La maîtresse nous avait prévenus : « Si vous croisez des Allemands, inutile de m'en parler, ils feront partie du paysage tant qu'on ne les aura pas chassés. » Sous-entendu : «J'appréhende suffisamment lorsque je les aperçois dans les parages !» Et pour cause, elle et sa famille étaient très impliquées dans la Résistance. Alex, un juif, avait même trouvé refuge chez elle un certain temps. Ça, tout le hameau le savait mais personne n'en a jamais parlé.
Le long du mur de la route, dans le jardinet bordé de galets apportés par nos soins, poussaient lilas, rosier, spirée, pommiers du Japon. Nous en assurions l'entretien. C'est là que se dressait le mât qui aurait dû servir à hisser les couleurs pour le salut du matin, mais le drapeau tricolore dormait dans le placard car l'institutrice refusait de se plier aux ordres de Vichy.
En décembre 1943, dans l'après-midi, nous décorions une branche de sapin apportée par mon père : flocons de coton, étoiles en carton faites par nos soins, fils brillants de la tréfilerie et un petit agneau de plâtre trouvé chez nous. Pas de boules, pas de guirlandes. En raison du froid, la récréation a été supprimée, Renée et moi sortons pour soulager un besoin pressant. Soudain des ronflements nous glacent, des camions allemands s'arrêtent sur la place, une trentaine de « Boches » en descendent.
Nous courons prévenir la maîtresse. Craignant le pire, elle ordonne de fermer les volets, nous regroupe au centre de la classe et nous entonnons mon beau sapin. Plusieurs fois de suite nous chantons et rechantons jusqu'au départ des véhicules. Que voulaient-ils : simple détente, présence dissuasive ? En entendant des enfants interprétant un chant de chez eux, ont-ils oublié qu'ils étaient des soldats ? La maman de l'institutrice descend de son appartement, étreint sa fille, toutes deux éclatent en sanglots. Nous retournons à notre décoration sans un mot mais on a tout compris, respectant la consigne maintes fois répétée : même si on sait, on se tait ! J'avoue que maintenant, après tant d'années, les larmes emplissent mes yeux lorsque j'entends « Mon beau sapin ».
Pendant les hostilités des enfants de Lyon avaient été mis en sécurité dans leurs familles ou chez des amis et poursuivaient leur scolarité avec nous. Eugène, un grand, a appris très tardivement qu'il avait fait de la résistance sans le savoir. La maîtresse lui confiait des plis qu'il devait porter dans un endroit désert à un homme jeune qui repartait prestement sans un mot.
A la rentrée 1944, notre maîtresse, debout, les larmes aux yeux, nous a parlé de la libération de Bourgoin le 23 août et nous a appris la mort, près des silos, de son oncle Claude Rochas de Morestel et de Paul Lozitski (lieutenant François de Salagnon) combattants du secteur VII.
Après la guerre, Mlle Perceval s'est mariée avec M. Léon Bouvier, un ingénieur des mines qui nous rapportait de ses lointains déplacements des curiosités: minéraux, soufre du Vésuve, un scorpion séché... C'était quelqu'un de gentil et d'une grande érudition. En 1952, Mme Bouvier, à son grand regret, a dû quitter Cozance pour suivre son mari à St Beuil. Elle a enseigné ensuite à Arnouville-Les-Gonesses puis le couple s'est retiré dans le Loiret.
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rollingstonemag · 5 years
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Un nouvel article a été publié sur https://www.rollingstone.fr/le-tueur-qui-a-inspire-memories-of-murder-arrete/
Le tueur qui a inspiré "Memories of Murder" enfin arrêté ?
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Une nouvelle qui a fait l’effet d’une bombe : un mystère qui hante les mémoires depuis plus de trois décennies et qui a inspiré le chef-d’œuvre Memories of Murder, serait enfin résolu
En 1986, dans la province de Gyunggi, le corps d’une jeune femme violée puis assassinée est retrouvé dans la campagne. Deux mois plus tard, d’autres crimes similaires ont lieu. Dans un pays qui n’a jamais connu de telles atrocités, la rumeur d’actes commis par un serial killer grandit de jour en jour… C’est le synopsis de départ de Memories of Murder, chef-d’œuvre intemporel singé Bong Joon-ho, sorti au cinéma en 2003 (déjà !). Le film, qui a certainement marqué toute une génération (voire plus), en a surtout traumatisé plus d’uns, à cause de cette histoire tirée d’atroces faits réels.
La nouvelle a fait le tour des journaux en Corée du Sud et a atteint l’international : plus de trente ans après les faits, le tueur en série aurait enfin été identifié par les autorités. L’homme, qui a la cinquantaine, est actuellement suspecté pour avoir commis un « crime similaire » aux précédents meurtres, selon l’agence de presse Yonhap. Peu de détails ont été révélés cependant à propos de cette arrestation.
Le tueur en série est suspecté d’avoir violé, puis tué au moins dix femmes, âgées de 14 à 71 ans, entre 1986 et 1991 à Hwaseong (sud de Séoul). Dans Memories of Murder, Bong Joon-ho met en scène les scènes de crimes les soirs de pluie, puis le tueur contact sans arrêt une radio locale pour diffuser la même chanson. Aux États-Unis, le meurtrier a souvent été comparé au fameux Zodiac.
Mais même si un suspect a maintenant été sérieusement identifié, il ne peut pas, d’après les médias locaux, être poursuivi, pour cause de  prescription. En Corée du Sud, il y avait à l’époque une prescription de 15 ans pour ce genre de meurtres. Celle-ci a été allongée à 25 ans en 2007 et finalement levée en 2015, sans être rétroactive. Affaire à suivre…
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#4 - Du Fouquet à la Rotonde
 Votez-les tous, Zeus ne reconnaît pas les miens
Le sacre de Reims sur un parking d’Amiens,
Ce pseudo dieu élu au-dessus de leur liste
Prêtre de campagne, ce piètre duelliste
C’est le simple, le curé, le miraculé
Un génie est singé, un médiocre adulé
Le sept ou le six mai. Voilà votre messie :
Simple semi-dément décimant sans merci
Ce mythe décisif où Sisyphe est heureux
Ses idées ? Son âge. Ses discours ? Areu Areu !
Ce sont ces premiers mots, ceux d’un analphabète
Plus ça devient jeune, plus ça devient bête
Tant de bagatelle pour un énième sacre,
Peuple, ta gabelle, sera ton sang âcre
Le chemin est long à pas mi-lent, mi-rapide
Un nain restera nain au pied de pyramide
Un nez restera nez, pharaon de profil
Ne voit pas son reflet, remonte au fil du Nil
 Victorieux ce Pyrrhus, défaitiste en fœtus
Se joue de Bérénice, se méfie de Titus
Ce petit Tito a-t-il la tête à Toto ?
On s’attend à tout de lui, sauf s’étonner d’un sot.
Si tôt dit, si tôt fait, voilà le chant du cygne.
Nouvel ancien régime, le sang divin rechigne
 On eut Naboléon, on a donc Jupiter
D’un empereur, l’autre… En pire. Noster pater
On prend les mêmes, du Fouquet à la Rotonde
Un crâne repousse avant qu’on ne le retonde,
N’ont ni queue ni tête, les rois sont des lézards,
Dorment sur des lauriers et les rendent aux Césars
Ressortent d’un tombeau, mouvant et arable,
Rampent sur les remparts de châteaux de sable
On vit dans les limbes, lui, loge au mont Olympe.
Gravissent les mortels comme le lierre grimpe
 Drôle de dynastie que cette destinée
Qui choisit des prénoms de premiers de lignée
Tragédie de la farce, l’histoire en représailles
La couronne à Paris et le sceptre à Versailles
Le roi sommeil s’amuse, astre solaire s’éclipse
Brave catastrophe, tente l’apocalypse 
 Le monde d’avant-hier, celui d’après notre erre
Dieu des dieux, dieu du ciel. Du ciel et du tonnerre,
Jupiter avait pour épouse, non de non,
Sa sœur (ou sa mère ?) tenant pour nom Junon.
Qu’il l’aime et l’embrasse qu’il en fasse sa Duègne
Durant toute sa vie ou son règne s’il daigne,
Qu’il fasse son œuvre, de façon neuve
Chevauche son fauve, nasse ou masse sa veuve
Outrage aux bonnes mœurs, ces amours d’un autre âge ?
Peu importe. Vite, ce bateau fait naufrage…
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christophe76460 · 2 years
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Pourquoi fallait-il que Jésus soit à la fois vraiment Dieu et vraiment Homme ? [Gudrun]
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ectobuster-reboot · 6 years
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seaker replied to your post: ghostmcdonalds replied to your link: ...
singé … little hummingbird..hum nö möre…yyou havve the Ears of the flo ö ö ö öwers in bl ö öm
seaker replied to your post:                    ghostmcdonalds replied to your link:             ...                
   FYCK    
carcinogenicgallantry replied to your post:                    ghostmcdonalds replied to your link:             ...                
   thats so valid. whats going on in the above replies   
hey so... i think im going to delete all my blogs now and become a recluse in the mountains named sergio and i grew a beard out and have a scar over my eye suddenly (its face paint) and i got here one stormy night when people decided to laugh at me on the internet and now i cant trust anyone but me and my 36 alpacas also living with me in this mountain because of this, thank yall!
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aspargusplumosus · 6 years
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“J’ai pas le time”
Ma première anecdote concerne une réplique entendue de la bouche d’un slaarié, répondant à un autre qui lui demandait un coup de main :
-”Nan ! j’ai pas le temps !” ou peut-être était-ce “j’ai pas le time !” et il rit.
C’était dit comme une blague, un bon mot. Je me suis d’abord trouvée ignorante de ce qui se disait “ chez les jeunes” ces temps-ci.
Puis le sens de cette phrase m’a frappée : elle est utilisée pour se faire mousser, mais avec beaucoup d’ironie. Ce jeune homme passe sans doute beaucoup de temps oisif, ou à faire des choses mais une par une, comme elles se présentent. Il n’a pas la sensation d’un calendrier plein.
Et cela lui parait à des lieues de lui, de “ne pas avoir le temps”, c’est pour cela que ça le fait tellement rire, c’est une excuse improbable, un peu comme “j’ai aquaponey” ...
A contrario, je connais des gens qui sont réellement compressés par leur calendrier, et leurs “j’ai pas le temps” est plein de regrets, d’excuses ou de stress.
Je ne sais pas laquelle des deux catégories est le plus heureuse, mais celle des gens pressés est certainement mieux perçue, sinon elle ne serait pas singée par l’autre.
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delicatefacebouquet · 3 years
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Peinture de jésus, travail menuisier, par singée Joky Kamo
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galabuddy · 10 months
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Quickdraws.
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frenchcurious · 6 years
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Affiche de ''Cars'' singée par John Lasseter (Disney-Pixar, 2006) - Source Heritage Auctions.
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miamrecettes · 7 years
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GÂTEAU AUX POMMES
INGRÉDIENTS – 14 PORTIONS
300g de pommes coupée en fine tranches
100g de farine de pois chiches
2 oeufs
80g de son d’avoine
60g de miel d'acacia
20g d’huile de colza
1 yaourt grec 0%
11g de levure chimique
RECETTE
Mélanger les jaunes d'oeufs avec la farine de pois chiche et le son d’avoine
Ajouter le yaourt, l’huile, le sirop d'érable et le sachet de levure
Monter les blancs en neige et les ajouter délicatement à la préparation
Eplucher et couper les pommes très finement et les ajouter au mélange (En garder pour la décoration)
Verser dans un moule à cake singé (ou tapissé de papier sulfurisé), poser par-dessus des lamelles de pommes pour décorer
Cuire à 180°C pendant 40 minutes
MIAM!
VALEURS NUTRITIONNELLES / PORTION (30g)
Calories : 94Kcal
Protéines : 4.3g
Lipides : 3.2g
Glucides : 13,8g dont sucres : 6.4g dont fibres : 2.4g
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gaelic · 5 years
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Haute voltige (BRAV, néo-voltigeurs en intervention, sifflés par la foule, singés par les clowns) 2019-09-21 #France Paris #MarchePourLeClimat #climat #ClimateMarch #climate #report #gaelic69 @gaelic69 http://bit.ly/2m7ih3c
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Casino Jack : un film canadien à télécharger sur votre ordinateur
Si vous aimez les films canadiens, optez pour « Casino Jack ». Cette production singée George Hickenlooper est actuellement en VOD sur PlayVOD Sénégal. De plus, si vous le souhaitez, vous pourrez l’enregistrer en toute sécurité sur votre ordinateur pour la voir plus tard.
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L. 5ème
“Madame, c’est quoi ‘a noui singé’?”
“... A new singer??”
“Oui voilà.”
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cafecongo · 7 years
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« Colère noire. Colère de bamboula. Colère nègre. Colère de singe et pas singée. Colère qui a fini de ramper. Colère debout, sur ses deux pieds. Colère poings serrés. Colère envahissante comme la lame dans ton ventre, système sans masque. Colère, colère. »
Joëlle Sambi Nzeba
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