Tumgik
#robe gitane
chicinsilk · 6 months
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US Vogue November 1, 1970
Anjelica Huston wears a printed purple silk gypsy dress with an extravagant neckline and tightly laced bodice, billowing ruffles on the sleeves and skirt. By Geoffrey Beene. Earrings: Flemming for Judith McCann. Marvella pearls. Hairstyle Ara Gallant.
Anjelica Huston porte une robe gitane de soie pourpre imprimée avec un décolleté extravagant et un corsage étroitement lacé, des volants ondulants sur les manches et la jupe. Par Geoffrey Beene. Boucles d'oreilles: Flemming pour Judith McCann. Perles de Marvella. Coiffure Ara Gallant.
Photo Richard Avedon vogue archive
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strongestpotion · 1 year
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oh lucifer, oh laissez-moi rien qu'une fois,,, glisser mes doigts dans les cheveux d'esmeralda
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nemo-in-wonderland · 11 months
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"Belle
C'est un mot qu'on dirait inventé pour elle
Quand elle danse et qu'elle met son corps à jour, tel
Un oiseau qui étend ses ailes pour s'envoler
Alors je sens l'enfer s'ouvrir sous mes pieds
J'ai posé mes yeux sous sa robe de gitane
À quoi me sert encore de prier Notre-Dame?
Quel
Est celui qui lui jettera la première pierre?
Celui-là ne mérite pas d'être sur terre
Ô Lucifer
Oh laisse-moi rien qu'une fois
Glisser mes doigts dans les cheveux d'Esméralda"
THIS IS AS MUCH AS I DARE SHARE.
*drops this here and then runs off in the distance*
--Nemo
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selcouthaesthetics · 2 years
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J'ai posé mes yeux sous sa robe de gitane
A quoi me sert encore de prier Notre-Dame
Quel est celui qui lui jettera la première pierre
Celui-la ne mérite pas d'être sur terre
Ô Lucifer!
Oh! laisse-moi rien qu'une fois
Glisser mes doigts dans les cheveux d'Esmeralda
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notre-dame de paris aesthetic
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la-bucolie · 2 years
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Un vendredi 13 à Osny (version complète)
Je marche depuis chez papa avec mon trépied et mon gros sac sur le dos. Je porte une robe, un haut résille déchiré et de l’eye-liner noir. Look emo pour mon personnage. Sourcils froncés, je fais le chemin habituel : passer devant le lycée à moitié détruit, traverser les rails, arriver à la gare. Je vois Pierre arriver au loin, tout en rouge. Il entre dans une boulangerie, je cours l’attendre devant la vitrine comme un chien impatient. En passant, je me fais siffler.
Pierre me propose un croissant. Il est trop tôt pour avoir faim, alors je le regarde manger et se mettre des miettes partout. Train jusqu’à La Défense, RER puis bus. A Oseraie, on prend un caddie et on déverse toutes nos affaires dedans. Les premiers plans sont des travellings. Test 1,2,3,4… trop de tremblements, il faut acheter du gaffer chez Leroy Merlin (« Leroim », dit Pierre).
Au rayon quincaillerie, on nous indique le rayon peinture. A la peinture, on nous oriente vers les « accessoires de l’électricité ». Là-bas, on nous renvoie, comme une évidence, au rayon peinture. Le gros adhésif gris nous sert à attacher le trépied au caddie. Le soleil est à son zénith, et nous courons sur la route, à l’endroit, à l’envers, jusqu’à n’en plus pouvoir. Un chien nous aboie dessus, depuis le camp de gitans qui nous surplombe. Coupé, la prise est bonne : nuages plats et blancs, champs verts.
On a faim. Je sens que le soleil m’a tapé sur le crâne. Le KFC nous offre une place à l’ombre. Ils se trompent sur mon menu — la commande 7 — j’ai des frites en bonus. Pierre mange son repas, un sachet de poulet épicé, puis une formule enfant. On chante la chanson « Danonino » en même temps, on rit. A la fin du repas, on remplit un formulaire bidon sur internet pour gagner des sundae gratuits.
Après déjeuner, c’est au tour des plans où j’apparais. Endormie dans un caddie, je me laisse bercer, cette fois concentrée pour ouvrir les yeux pile au moment où j’entre dans la lumière. A un moment, Pierre manque de me faire dévaler une pente et m’écraser sur le parking en contrebas. La caméra enregistre tout, ma voix, mon regard paniqué — « Pierre, Pierre ! Retiens-moi ! »
Petite pause où l’on se prend en photo sur une vieille banquette rouge en skaï devant une benne à ordures. Il me filme aussi en train de boire de l’eau.
Je dois poser mes mains sur la vitre brûlante d’une voiture qui n’est pas à nous. Je dois faire semblant de regarder à l’intérieur. C’est une Clio gris foncé. J’ai mal, mais je reste immobile. C’est ça, le cinéma.
Quand la batterie meurt, on retourne au KFC pour la recharger. Installés dans un coin à l’abri du regard des vendeurs, on n’a même pas besoin de consommer. Je vais aux toilettes. En passant devant le miroir, je découvre que j’ai pris d’énormes coups de soleil sur le visage. Je me trouve assez jolie.
Je transvase du Water & Juice goût pêche dans la bouteille de Pierre pour qu’il goûte. Je n’aime pas partager un goulot. Mais fumer le même joint ne m’embête pas. On discute de notre bucket list de choses banales, par exemple être aimé ou jouir. Pas de grand voyage, d’expérience extrême, il y a déjà tant à désirer dans les petites choses. Lui aussi est tout brûlé par le soleil. Il est assorti à son t-shirt de grand-mère et à son jogging.
On traîne un peu trop. Du côté du Lidl et du marchand de piscines, on croise un camion de pizza. Le soleil se couche sur les champs et la route. Les voitures fendent l’air chaud. Des riverains en tongs viennent chercher le dîner. Leurs discussions font une rumeur douce. On commande une pizza à partager : une végétarienne avec une moitié sans poivrons ni champignons pour Pierre. Il faut faire tout le chemin jusqu'à Auchan pour tirer de l’argent. On écoute Suge de Koba la D. Pierre va aux toilettes, je l’attends, les yeux perdus dans une vitrine, sur un banc de la galerie marchande presque vide. J’ai comme une vibration de bonheur dans le corps et le crâne qui me donne envie de déborder, de tout raconter.
Plan où je marche dans un champ. Notre caddie nous suit partout, il nous attend dans les hautes herbes. Je retiens mon souffle pour avancer. Les tiges se plient, je prie pour ne pas tomber dans un terrier de lapin.
On mange notre pizza sur un muret devant une churrasqueira fermée. Toujours les voitures, devant le ciel rose ou mauve. Un chat nous croise, nous échappe. Je n’arrive pas à me retenir de dire à quel point ce moment est parfait. Pierre me parle de deuxième lune et de station spatiale. Il aime les objets célestes. Je lui dis d’imaginer que c’est nous qui surplombons la lune, puisque l’espace n’a pas de sens ; il est bluffé par la perspective.
Dernier plan. Je cours le ventre plein sur le parking en faisant danser mon caddie. Le soleil s’est couché, quelque chose brûle, quelque part. Incendie du soir. Dans la fumée, quelques personnes font encore nettoyer leur voiture à l'Éléphant Bleu.
La musique, c’est Snakes de James Ivy. Un peu rock, voix modifiée, adolescente. Je cours à toute allure, je me propulse, j’halète, je perds le souffle, je fonce sur Pierre, je tourne, je donne tout, à deux doigts de rendre mon dîner. La musique sort de ma poche de veste, elle tourne en boucle. A la fin, je m’écroule dans le caddie et Pierre me pousse. Il prend quelques photos de moi ; je plonge mes yeux dans son projecteur jusqu’à ne plus rien voir.
Il est tard, il n’y a plus de bus.
Sur les routes au milieu des champs, on parle de son père. Les voitures passent, pleins phares, on manque de se faire faucher. Deux animaux de nuit. Parking aux colonnes rouges, au sol presque bleu, je crois voir une piscine. Pierre met Silent Love (Forever), une musique de son film préféré. Les tintements nous accompagnent jusqu’à l’orée de Cergy. Changement de demi-ton ; Pierre exulte. L’entrée des immeubles est toujours illuminée, les boîtes aux lettres ne connaissent pas la nuit. J’appelle Papa pour lui dire que tout va bien, tout va bien, vraiment, ça ne pourrait pas être mieux.
Pierre me montre un clip de rap italien où tout le monde est habillé en bleu et crie sur une instru orchestrale. On se fait écouter mutuellement les chansons qui nous donnent envie de courir – on court. (A Sky Full of Stars de Coldplay…) Les rues sont en pente, l’urbanisme change, on passe des tours beiges aux maisons basses en pierre, fraîches, biscornues. J’ai si mal aux pieds, si mal aux joues. A une fenêtre, on entrevoit une peluche Mario qui nous terrifie. “Mais c’est génial comme super-pouvoir, ça ! Se poster à la fenêtre, la nuit, et faire peur aux gens.” Je trouve l’idée bancale. On parle de manipuler le temps. Je lui dis que je préfèrerais pouvoir me changer en garçon quand j’en ai envie. Il me comprend, il voudrait la même chose, dans l’autre sens. J’aimerais sa taille et ses grandes mains, il aimerait mes épaules pour porter des robes.
On ne peut pas empêcher la nuit de se passer. Quelque part sur le chemin, Pierre compare le prix d’un Uber à celui d’une nuit au Campanile. “Il y a des puces de lit là-bas tu crois ?”. Je me dis que ça serait une façon tout à fait cohérente de continuer cette aventure, ne pas rentrer, être des clandestins, des orphelins, des passagers de la nuit. A ce moment-là, j’oublie un peu ma peur de la saleté, je préfère la possibilité du chaos.
La gare de Cergy-Préfecture est investie de fêtards. Carrelage et poubelle d’un autre monde, New-York ou autre. Une vague odeur de pisse. Des voitures roulent au pas, musique à fond, sur le parking d’un club. Sous un abribus, d’autres retardataires attendent la navette. J’aime ce mot. C’est un vaisseau, c’est un bateau. La nuit, la mer et le ciel sont la même chose. On s’assied à deux sur une place et demie. Pierre range ses jambes comme il peut, il a la nausée. Il me dit que petit, il imaginait des monstres surgir de l’obscurité depuis la voiture de ses parents. Créer un danger de toutes pièces et le fuir, accro à ce sentiment de sécurité. Poursuivi par une ombre, se précipiter sous la couette.
J’essaye de dormir mais mes yeux restent ouverts, encore trop avides de ces images. Je nous vois, deux loques, la fille maquillée et le garçon qui veut vomir, serrés sur un siège. Le ventre de Pierre se gonfle comme le ventre d’un chien, ou d’un autre animal. Le trajet est long, séquencé comme une insomnie. Tantôt je somnole, tantôt je bataille pour trouver une position confortable. A un arrêt, peut-être vers Sartrouville, on émerge en même temps. Pierre dit "Ça va ?” presque à voix basse. Un sentiment très corporel m’enveloppe. La sueur, la fatigue, la digestion, la bouche pâteuse. La navette nous recrache à Nanterre. Il fait frais, je prête à Pierre ma chemise en jean, parfaitement à sa taille. Il est deux heures. On pourrait marcher trente-huit minutes de plus, mais on ne tient plus sur nos pieds. Le Uber coûte 13 euros, comme notre pizza, comme le vendredi 13. Sur la banquette arrière, on ne dit presque rien. J’aime la sensation du cuir. Ça sent un peu le produit WC. Je donne à Pierre la pochette avec des chats brodés que je lui ai achetée chez Guerrisol. La voiture me laisse devant chez Papa, l’au-revoir est rapide.
Juste avant la douche, je me regarde. Je ressemble à une rock-star
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coulisses-tv · 1 year
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"Incroyables mariages Gitans" : Robes de princesses et cérémonies hors du commun, mercredi 29 mars 2023 sur TFX (vidéo)
http://dlvr.it/SlXjtR
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SAMEDI 14 JANVIER 2023 (Billet 2 / 3)
« L’IMMENSITA » (1h 37min)
Un film d’Emanuele Crialese, avec Penélope Cruz, Vincenzo Amato, Luana Giuliani…
Nous l’avons vu au Pathé Convention jeudi en milieu d’après-midi. La salle était quasi pleine, ce qui est assez étonnant pour un film sorti sur les écrans la veille.
C’est le 5e film de ce metteur en scène qui avait réalisé en 2002 « Respiro » (avec une maman qui a des points communs avec celle de « L’Immensita »…), un petit chef-d’œuvre d’émotion que nous avions tous les deux BEAUCOUP aimé.
« L’Immensita » ne plaira pas à tout le monde. Il y a 2 sujets dans ce film (dont un qui pourrait déranger) et la mise en scène, comme dans « Respiro », est « particulière ». En dehors de la présence et du talent incroyables de Penélope Cruz, qui est presque de tous les plans, c’est justement la mise en scène qui a le plus plu à JM, alors que Marina, était beaucoup plus circonspecte à son sujet.
Marina lui a donné ❤️❤️,9 et JM, ❤️❤️❤️,5 sur 5.
_______________________________
Ci-dessous, la critique qui rejoint le plus ce que nous avons pensé du film, Marina est d’accord sur beaucoup de points, sauf qu’elle a été déroutée par certains parti-pris du réalisateur.
Une Penélope Cruz en état de grâce…
De l’air. Elle étouffe. Son mari l’ennuie. Dans la Rome des années 1970, Clara élève ses trois enfants avec un courage de petit soldat. La fille aînée est un garçon manqué. On disait ça comme ça, à l’époque. À 12 ans, Adriana préfère qu’on l’appelle Andrea. L’adolescente mal dans une peau qui n’est pas la sienne pense venir d’une autre galaxie. Elle mange des hosties et espère un miracle - on soupçonne lequel. La mère de famille a un côté fantasque. Le moindre 45-tours la propulse dans une danse effrénée, à la grande joie de ses enfants. Cette femme brisée incarne une liberté dont elle est privée. En face de l’immeuble, il y a un champ de roseaux.
Derrière se cache un campement de Gitans. Adri sympathise avec ces voisins étranges. Cela la change de son école de bonnes sœurs. Le père ne voit rien de ce qui arrive autour de lui. Évidemment, ce balourd de Felice refuse de divorcer. La tribu roule dans une DS décapotable bordeaux. Les vacances se déroulent au bord de la mer. Grandir n’est jamais simple. Pour la gamine, cela se révèle un parcours du combattant. Son secret la dévore de l’intérieur. Sa différence saute aux yeux. On l’admet sans protester. L’émotion passe. On assiste à une suite de croquis justes et rapides.
C’est l’âge des parties de colin-maillard. Un dîner de réveillon crée la gêne. Le jeune frère fait caca dans le couloir de l’appartement garni de moquette. Les crises d’asthme surviennent au pire moment. Comment oublier cet après-midi où tout le monde était allé à une séance du « Docteur Jivago » ? Le film fourmille de détails vrais, d’événements qu’on croyait uniques. Les décors rappellent cette période où les couleurs étaient orangées, où les photos avaient du grain, où l’on collait son œil aux microscopes durant les cours de sciences naturelles.
Il y a de la gravité, un soupçon de colère, un désenchantement diffus. Rien n’est saisi de trop près. Voilà la bonne distance. Le caractère autobiographique ne semble guère douteux. Penélope Cruz est en état de grâce. On ne la reconnaît plus. D’abord, elle parle italien. De telles métamorphoses sont rares. Dans ses robes Fiorucci, elle est menue, tonique, boudeuse, déchaînée. Il faut regarder comment elle imite Patty Pravo ou singe Adriano Celentano devant la télévision. Elle a la rage d’une Anna Magnani, le sourire de Sophia Loren, l’humour de Monica Vitti. C’est comme si elle envoyait valdinguer tout Almodovar. Le dépaysement lui a réussi. Elle mérite tous les prix. Qu’Emanuele Crialese en soit ici remercié. « L’Immensita » est un film qui chante. Il s’agit d’une chanson triste.
(Source : « la critique d’Eric Neuhoff *, écrivain et journaliste au Figaro »)
* Eric Neuhoff est le critique cinéma préféré de notre amie Marie-Ange (T.)
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leparfumdesreves · 2 years
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L'ANDALOUSIE C'EST UNE FEMME
L’Andalousie, c’est un corps de femme
Moulée dans sa robe de Sévillane
Qui fièrement va à la féria
Chevauchant en amazone sur son Alezan doré
L’Andalousie c’est les yeux noirs
D’une Mauresque de Grenade
Qui soupire dans les jardins de l’Alhambra
L’Andalousie c’est une femme qui chante
Sur un air de flamenco
C’est un cri, un air de guitare
Une gitane qui danse
Dans le quartier de l’Albaicin
L ‘Andalousie c’est une corde qui vibre
Dans les jardins secrets, les patios parfumés
Des senteurs d’un lointain passé
Ou murmure l’eau des fontaines de mosaïque
Comme une sempiternelle musique.
L’Andalousie c’est une femme de Grenade,
De Séville, de Cordoue, de Jaen…
Belle ténébreuse qui garde orgueilleusement
Le secret de son envoûtante beauté.
Marie Combernoux
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chicinsilk · 30 days
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US Vogue April 1, 1969
Berkley Johnson wears a gypsy-style dress, in Paisley silk…bright pink and orange with ruffled sleeves, ruffled skirt, fringed silk scarf tied like a gypsy shawl. By Sophie Gimbel of Saks Fifth Avenue. Scarf by David St. David. Pearly strings by Marvella. Shoes, I.Miller. Hairstyle Ara Gallant.
Berkley Johnson porte une robe à l'esprit gitane, en soie Paisley…roses vifs et orange avec manches volantées, jupe volantée, foulard en soie à franges noué comme un châle de gitane. Par Sophie Gimbel de Saks Fifth Avenue. Écharpe par David St. David. Cordes nacrées par Marvella. Chaussures, I.Miller. Coiffure Ara Gallant.
Photo Richard Avedon vogue archive
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jbgravereaux · 4 years
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Jocelyne SAUVARD, “LÉO FERRÉ un artiste vit toujours demain”, p138 à 140: ..Aucune critique chez FERRÉ sur les lois de la mode, aucune peur de la couleur, aucune revendication de la libération de la femme par la simplification de sa toilette. Elle est toujours entourée, rehaussée par sa parure décrite précisément, et qui suit les saisons et l’actualité.                                                                                                                                                                                   Du “pyjama lilas” (: T’ES CHOUETTE) aux “souliers pointus”..”qui flattent tes gambilles”, et “de la frimousse en comprimés” (: ÇA T’VA), à la “robe de cuir comme un fuseau” (: C’EST EXTRA), ou à la “jupe à ras l’bonbon” (: LA “THE NANA”), sans oublier les bas, mieux aimés que les collants (”Quelle défense d’entrer dans le jardin avec des fleurs..”), l’idée c’est d’arriver à “T’es bien roulée dans ton futal” (: LA GITANE), pour définir un style personnel, donc érotique (: TON STYLE) “Tous ces cris de la rue, ces mecs, ces magasins / Tous ces trucs un peu dingues tout cela c’est ton style / Ton style c’est ton cul c’est ton cul c’est ton cul”.                                                                                                                                                                                                                               À l’opposé de la présence évanescente, quoique sensuelle, mais stylisée de la femme surréaliste…chez ANDRÉ BRETON (”Ma femme au sexe de glaïeul”), sublimée à travers l’ELSA d’ARAGON (”C’est toujours la première fois / Quand ta robe en passant me frôle” ou “Tes yeux sont si profonds / Que me penchant pour boire / J’ai vu tous les soleils y venir se mirer”), la femme chez FERRÉ a des yeux, des cheveux, une bouche, des mains, un ventre, un sexe, un cul, des jambes.                                                                                                                                                                                                                                                   Elle porte, comme chez BAUDELAIRE, des vêtements fous, des accessoires, des dessous, des “lingeries de rien, dentelle, chiffon” qui ne sont là que comme faire valoir de ce tout convoité, origine du monde (”Cette blessure d’où je viens” : CETTE BLESSURE) et finalité.                                                                                                                                                                                                               Les seins sont peu évoqués mais LÉO FERRÉ les mettra en musique sur les vers de BAUDELAIRE (”Tes deux beaux seins, radieux/ Comme des yeux” ou “Boucliers provoquants, armés de pointes roses”).                                                                                                                                                                             Ainsi dotée la femme avance (”Quand la nuit a jeté ses feux et qu’elle meurt”) doublant ainsi sa qualité d’objet érotique et reflet de la passion, toujours appelée dans la transgression, et parée des mots du sacré, omniprésents dans l’oeuvre de FERRÉ.                                                                                                                                                                                                                                 Le vocabulaire des prières et rites de l’Église est convoqué, non pour révérer Dieu, mais pour décrire l’amour, les caresses, la possession et tous les jeux du sexe, galvanisés par l’érotisme de la femme. (”Mon âme au creux de ta blessure / Dans le désordre de ton cul / Poissé dans les draps d’aube fine / Je voyais un vitrail de plus” : LA MÉMOIRE ET LA MER).                                                                                                                                                                                           Elle navigue entre fascination et désir “au-delà de l’indigne”, (”Ton style c’est ma loi quand tu t’y plies salope !”) proche encore une fois de la femme “de” BAUDELAIRE: “Dans l’horreur de la nuit malsaine / Me dire, l’âme de cris pleine: / Je suis ton égale, Ô mon Roi”.                                                                                                                                                                                                 Inépuisable source pour LÉO FERRÉ de création musicale, elle est amante vénale, soumise, fière, perverse.. Elle est aussi le double de l’amour qui se donne et qui donne (”C’est l’amour à genoux et qui n’en finit plus /..Ton style c’est ton coeur c’est ton coeur c’est ton coeur”).                                                                                                                                                                               FERRÉ annonce la femme enfant de SERGE GAINSBOURG et innove en introduisant le regard de celui qui imagine (”Quand je fais de moi-même un autre imaginé”), le désir de celui qui la regarde et l’aspire est une soif.                                                                                                                                                 La femme ferréenne est essentiellement eau, et comme l’eau, elle nourrit, abreuve, hydrate, vaporise, glisse, écume. Elle est saline et parfumée (”Ô parfum rare des salants”) ou bien douce. Elle est aussi l’eau de la mémoire, de l’écriture, du fantasme, de la musique comme un courant, la mer (et la mère, aussi, bien sûr), LA MÉMOIRE ET LA MER. “Dans le milieu mouillé de mousse / Reviens fille verte des fjords / Reviens violon des violonades” car l’eau est aussi musique.                                                                                                                                                                                                                                               Mais la femme, trouble, malsaine, polluée, destructrice mène à la damnation. (”La damnation pour un triangle” : LA DAMNATION) comme dans LES MÉTAMORPHOSES DU VAMPIRE de BAUDELAIRE qu’il a mis en musique, dès 1957.                                                                                                                                                                                                                                                       Et la femme est définitivement la mort. (”Tu ressembles à la Mort quand la Mort me ressemble” : TON STYLE)…  
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vangoghs-other-ear · 5 years
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Quasimodo :
Belle
C'est un mot qu'on dirait inventé pour elle / That word must have been invented for her
Quand elle danse et qu'elle met son corps à jour, tel / When she dances she moves her body
Un oiseau qui étend ses ailes pour s'envoler / Like a bird extending its wings to fly away
Alors je sens l'enfer s'ouvrir sous mes pieds / Now I feel Hell opening up beneath my feet
J'ai posé mes yeux sous sa robe de gitane / I’ve undressed her with my eyes
À quoi me sert encore de prier Notre-Dame / What use is it to keep on praying Notre-Dame?
Quel / Who
Est celui qui lui jettera la première pierre / will be the one to throw the first stone?
Celui-là ne mérite pas d'être sur terre / Whoever it is doesn’t deserve to be on earth
Ô Lucifer! Oh! Laisse-moi rien qu'une fois / Oh Lucifer! Oh, just this once
Glisser mes doigts dans les cheveux d'Esmeralda / Let me run my fingers through Esmeralda’s hair
Frollo :
Belle
Est-ce le diable qui s'est incarné en elle / Is it the devil within her
Pour détourner mes yeux du Dieu éternel / that turns my eyes away from the lord on high?
Qui a mis dans mon être ce désir charnel / Who has caused this carnal desire with in me
Pour m'empêcher de regarder vers le Ciel / which distracts me from heaven above?
Elle porte en elle le péché originel / She bears the stain of original sin
La désirer fait-il de moi un criminel / Wanting her makes me a criminal
Celle / She
Qu'on prenait pour une fille de joie une fille de rien / who you could mistake for a prostitute, of no importance
Semble soudain porter la croix du genre humain / suddenly seems to bear the cross for humanity 
Ô Notre-Dame! Oh! Laisse-moi rien qu'une fois / Oh Notre-Dame! Just this once
Pousser la porte du jardin d'Esmeralda / let me press against her garden door 
Phoebus:
Belle 
Malgré ses grands yeux noirs qui vous ensorcellent / Despite her bewitching black eyes
La demoiselle serait-elle encore pucelle? / could she still be a virgin?
Quand ses mouvements me font voir monts et merveilles / The way she moves makes me see stars
Sous son jupon aux couleurs de l'arc-en-ciel / under her skirt, in all colors
Ma dulcinée laissez-moi vous êtes infidèle / Let me stray, sweetheart
Avant de vous avoir menée jusqu'à l'autel / before you take me to the alter
Quel / how
Est l'homme qui détournerait son regard d'elle / Is a man supposed to look away from her
Sous peine d'être changé en statue de sel / under pain of being changed into a pillar of salt
Ô Fleur-de-Lys, Je ne suis pas homme de foi / Oh, Fleur, I’m not a faithful man
J'irai cueillir la fleur d'amour d'Esmeralda / I’m going to deflower Esmeralda
Quasimodo, Frollo, & Phoebus :
J'ai posé mes yeux sous sa robe de gitane / I’ve undressed her with my eyes
À quoi me sert encore de prier Notre-Dame / What use is it to keep on praying Notre-Dame?
Quel / Who
Est celui qui lui jettera la première pierre / will be the one to throw the first stone?
Celui-là ne mérite pas d'être sur terre / Whoever it is doesn’t deserve to be on earth
Ô Lucifer! Oh! Laisse-moi rien qu'une fois / Oh Lucifer! Oh, just this once
Glisser mes doigts dans les cheveux d'Esmeralda / Let me run my fingers through Esmeralda’s hair
Esmeralda
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(the song Belle from the french musical Notre-Dame de Paris)
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3cvinci · 4 years
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Sélection de décembre : le polar historique.
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La Mort n’est pas une fin, Agatha Christie :
Elle est bien belle, la concubine qu’Imhotep a ramenée de son voyage dans le nord. Mais elle n’est qu’une étrangère, et on ne l’aime pas. D’ailleurs, depuis qu’elle a ensorcelé le maître, rien ne va plus au domaine. Et ce démon va finir par décider de tout si l’on n’y prend garde : il faut agir avant qu’il ne soit trop tard. Si elle venait à disparaître, le cœur d’Imhotep retournerait à ses fils. Il suffirait d’écraser le serpent, et tout redeviendrait comme avant ! Mais est-ce bien certain ? Le mal vient-il vraiment de l’étrangère ? On dirait qu’un poison intérieur ronge la maison du maître...
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Fauve, Viviane Moore :
Alors que l’hiver glace la mer et que le vent souffle en tempête, drossant les navires sur la côte, une bête fauve ravage la cité neuve de La Rochelle. Un assassin que ni les hommes du prévôt, ni les templiers n’arrivent à capturer. Dans les ruelles retentit une comptine d’enfant. La malédiction prend la forme d’une statue honorée par un être tenant plus du spectre que de l’humain. Crime de sang, passion, pouvoir, corruption ! Le chevalier Galeran de Lesneven devra aider les templiers à faire toute la lumière sur les meurtres qui souillent la paix de La Rochelle et de leur commanderie.
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Les Incorruptibles, Brian de Palma :
À Chicago durant les années trente, lors de la prohibition, Al Capone règne en maître absolu sur le réseau de vente illégale d'alcool. Décidé à mettre un terme au trafic et à confondre Al Capone, l'agent Eliot Ness recrute trois hommes de confiance, aussi intraitables que lui. Ensemble, ces quatre incorruptibles partent en guerre contre le gang de Capone.
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Élémentaire, ma chère Sarah !, Jô Soares :
1886. L’actrice Sarah Bernhardt fait une tournée triomphale au Brésil. Sommet de son voyage, sa rencontre avec l’Empereur, hélas affligé par le vol du Stradivarius qu’il vient d’offrir à sa maîtresse. Pour Sarah, un seul homme est capable de sortir l’Empereur d’embarras : un étrange Anglais dénommé Sherlock Holmes. Répondant à l’appel de son amie, il débarque à Rio, flanqué de son éternel Watson et affublé de sa casquette à carreaux. Mais la chaleur tropicale, la cuisine épicée, les belles métisses et le cannabis, qui immanquablement vient emplir sa pipe, plongent le célèbre détective dans un brouillard plus épais que le fog londonien.
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Nestor Burma : brouillard au Pont de Tolbiac, Tardi, d’après le roman de Léo Mallet :
Alors qu'il se rend en métro à un mystérieux rendez-vous à la Salpétrière, Nestor Burma est abordé par Belita, une jeune Gitane qui le dissuade d'y aller : c'est inutile, l'homme est mort. Mais ce n'est pas un cadavre qui va arrêter notre détective…
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La Trilogie Berlinoise, Philip Kerr :
Berlin, 1936 : Bernie Gunther, ex-commissaire de la police berlinoise, est devenu détective privé. Désabusé et courageux, perspicace et insolent, Bernie est un homme solitaire, témoin de son époque. Des rues de Berlin “nettoyées” pour offrir une image idyllique aux visiteurs des Jeux Olympiques à celles de Vienne la corrompue, Bernie enquête... à ses risques et périls.
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L’Éclat de Dieu, Romain Sardou :
Plus encore que le Graal ou l’arche d’alliance, l’Éclat de Dieu suscite bien des convoitises depuis la nuit des temps. A celui qui le possède sont en effet promis la compréhension des mystères de l’univers, ainsi que la connaissance et la puissance absolue. Sous couvert d’assurer la protection d’un immense pèlerinage vers Jérusalem, neuf chevaliers francs entreprennent cette audacieuse quête. Mais peu avant le départ, l’un d’eux est assassiné : Cosimo, son neveu, se joint donc à l’expédition pour tenter de découvrir le coupable. Mais Il va devoir redoubler de vigilance et d’habileté pour survivre à cet affrontement de forces qui le dépassent...
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1275 âmes, Jim Thompson :
Shérif de Pottsville, 1280 habitants, Texas, au début du vingtième siècle, Nick Corey mène une vie routinière pas trop fatigante dans la mesure où il évite de se mêler des affaires de ses administrés. Débonnaire, apparemment pas très malin, il se laisse même contester et humilier en public. Comme si ça ne suffisait pas, il est cocu et, aux prochaines élections, il pourrait perdre sa place. Il décide donc de commencer à faire le ménage…
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L.A. Confidential, James Ellroy :
Trois flics dans le Los Angeles des années 50 : Ed Exley veut la Gloire, Bud White est une bombe à retardement munie d’un badge et Jack Vincennes, dit “Poubelle” terrorise les stars de cinéma pour le compte d’un magazine à scandales. Trois flics, trois hommes pris dans un tourbillon cauchemardesque qui testera leur loyauté, leur courage et le peu d’intégrité qu’il leur reste. Trois flics qui pourraient bien tomber un à un...
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Blacksad, tome 2 : Arctic Nation, Juan Díaz Canales & Juanjo Guarnido :
Oldsmill, le maître de la ville, est un tigre blanc. Karup, le chef de la police, un ours blanc. Huk, l'âme damnée de Karup, un renard blanc. Blanc, blanc, blanc, blanc. A leurs yeux, tous les autres habitants, de la pie noire au renard brun-roux en passant par le chat tacheté et la biche châtain, ne sont que racaille. Et si la police n'est pas capable de maintenir l'ordre des blancs, les gros bras d'Arctic-Nation, cagoulés et vêtus de robes blanches, s'en chargent sans états d'âme. Blacksad, chat plus noir que blanc, va devoir se frotter à eux s’il veut retrouver, avant qu’il ne soit trop tard, une petite fille disparue.
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L’Aliéniste, Caleb Carr :
New York, 1896... Un meurtrier auprès duquel Jack l’Éventreur fait piètre figure sème aux quatre vents les cadavres d’adolescentes atrocement mutilées, sans provoquer la moindre réaction des pouvoirs publics... Révolté par tant d’indifférence, Théodore Roosevelt, alors préfet, fait appel à ses amis John Schuyler Moore, chroniqueur criminel, et Laszlo Kreizler, spécialiste des maladies mentales, pour élucider cette énigme terrifiante. Leur méthode est révolutionnaire : en étudiant les crimes, ils pensent pouvoir brosser le portrait psychologique de l’assassin, l’identifier et l’arrêter. Mais ils doivent faire vite, car le meurtrier continue de frapper.
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Les deniers du Gévaudan, Laetitia Bourgeois :
En octobre 1363, dans le village cévenol de Marcouls, noyé de brouillard et de givre, les paysans luttent quotidiennement pour leur survie. Lorsqu’un collecteur d’impôts est porté disparu, toute la communauté est immédiatement soupçonnée. Mais un jeune habitant du village, Barthélémy, sergent de justice obstiné et risque tout, prend l’affaire en main avec l’aide de son amie Ysabellis, guérisseuse aussi rebelle que talentueuse. Ils n’ont qu’un semaine pour découvrir la vérité, sans quoi les habitants de la vallée seront soumis à la terrible “question” dans les geôles du château seigneurial.
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Ostland, David Thomas :
Berlin, 1941. Le jeune et ambitieux Georg Heuser entre dans la police en tant qu’inspecteur à la brigade criminelle. Il est rapidement affecté à la traque d’un tueur en série qui terrorise la ville. Sous la tutelle de son supérieur et mentor, il affirme ses dons d’enquêteur, apprend la loyauté envers ses collègues et jure d’œuvrer toujours au service des innocents. Jusqu’au jour où, pour le récompenser, on le promeut au sein de la SS...
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Le Der des Ders, Tardi, d’après un roman de Didier Daeninckx :
Avant guerre, Eugène Varlot s'était frotté à pas mal de petits boulots : mécano, imprimeur, libraire, comédien. Après avoir "fait son devoir" comme tant d'autres pauvres gars embarqués dans la plus grande boucherie de l'Histoire, il se retrouve sur le carreau. Un peu par hasard, il est devenu détective. Installé en ménage avec la belle Irène qui panse à sa manière les blessures de son âme, il accepte ce qu'il croit n'être au début qu'une enquête de routine sur un banal adultère. Son commanditaire : le colonel Fantin de Larsaudière, de l'héroïque 296ème Régiment, le plus médaillé de toute la guerre. Mais Varlot va vite s'apercevoir qu'il sert d'alibi à une sordide histoire de chantage...
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Trafic de reliques, Ellis Peters :
Frère Cadfael fait partie d'une délégation religieuse qui se rend au Pays de Galles pour ramener à l'abbaye bénédictine de Shrewsbury les reliques de Sainte Winifred. Les tractations avec les Gallois sont difficiles. Pendant le séjour, Rhisiard, leader de l'opposition au transfert, est assassiné. Immédiatement son pauvre serviteur, amoureux transi de sa fille, est désigné coupable. Mais frère Cadfael n’est pas de cet avis, et se prépare à mener l’enquête...
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Penelope Green, tome 1 : La Chanson des enfants perdus, Béatrice Bottet :
Penelope Green, unique héritière du journaliste James Alec Green, décide de reprendre une enquête de son père : le mystérieux dossier FOXGLOVE COURT. Quel terribles secrets va-t-elle découvrir dans les bas-fonds de Londres ?
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La Table des matières, Sylvie Fayet-Scribe :
Qui a torturé puis assassiné Margaret Penfield, respectable bibliothécaire américaine ? Et pourquoi ? Avait-elle identifié la plante qui promet l'immortalité décrite par Hildegarde de Bingen au XIIe siècle ? Pour Laurette Lerbier, révéler au grand public le nom de cette plante fabuleuse serait le point d'orgue de l'exposition sur les jardins qu'elle prépare au Muséum d'histoire naturelle de Paris. Elle se lance donc à la recherche de l'énigmatique source de jouvence. L'enquête la mène dans le monde méconnu des précurseurs d'Internet. Des savants de la Renaissance aux encyclopédistes-mondialistes de la fin du XIXe siècle, en passant par les jansénistes de Port-Royal et les bibliographes révolutionnaires du siècle des Lumières, le but de sa quête ne cesse de se dérober alors que les menaces se font plus précises. Accompagnée de Lucas du Prat, savant botaniste de la police scientifique, Laurette trouvera-t-elle les clefs du mystère ?
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Dissolution, C.J. Sansom :
En 1557, l’Angleterre est déchirée par une violente période de transition religieuse : les réformistes s’apprêtent à dissoudre tous les anciens monastères catholiques, coupables, selon eux, d’idolâtrie obscurantiste. C’est dans cette atmosphère chaotique que Matthew Shardlake, brillant avocat, est reçu au cabinet de Lord Crommwell, chef des réformistes. Ce dernier le somme de se rendre au monastère de Scarnsea, théâtre de rumeurs sordides, dans lequel Shardlake va découvrir le cadavre décapité d’un confrère... Un assassinat inexplicable, des traces de rituel païen, une congrégation frappée de mutisme : l’avocat devra résoudre, une à une, toutes les facettes de cette macabre énigme.
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Meurtres à la pomme d’or, Michèle Barrière :
An de grâce 1556 : François, étudiant en médecine à Montpellier, n’a qu’une idée en tête : devenir cuisinier. Aux dissections, il préfère l’étude du safran, de la cardamone, du gingembre, du macis et autre maniguette sous la houlette de l’apothicaire Laurent Catalan. Mais une série de morts suspectes sème le trouble dans la ville. Un mystérieux breuvage distribué par un apothicaire ambulant en est la cause. Laurent Catalan, en raison de ses origines juives et de ses sympathies pour les protestants, est accusé de complicité et jeté en prison. François mène l’enquête jusqu’à Bologne. Parviendra-t-il à sauver son mentor ?
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L’Affaire de l’auberge rouge, Stéphane de Caneva, Julien Moca & Didier Quella-Guyot :
Plateau de Peyrebeille, campagne ardéchoise, dans les années 1830. Pierre et Marie Martin sont aubergistes. Les rumeurs les plus folles courent sur leur compte ! On les accuse de détrousser et d'assassiner leurs clients. D'ailleurs, comment pourrait-il en être autrement au regard de la fortune qu'ils ont accumulée en si peu de temps ? Et leur valet les aide, à tous les coups ! La vindicte populaire a tranché, on doit juger et condamner les Martin. De toute façon, ils sont coupables, tout le monde le sait. Ou l’a décidé, ce qui revient au même...
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Un Fleuve de ténèbres, Rennie Airth :
Nous sommes en 1921, et le jeune Billy Styles va voir ses débuts dans la police marquée par une horrible expérience. Dans un manoir de la campagne du Surrey, on vient de découvrir les corps ensanglantés du colonel Fletcher, de sa femme Lucy et de deux de leurs domestiques, sauvagement poignardés. Pour les policiers du Surrey, ces meurtres sont le résultat d’un cambriolage qui aurait mal tourné. Appelé de Scottland Yard en renfort, l’inspecteur Madden voit les choses différemment : ce crime, il en est sûr, est l’œuvre d’un psychopathe qui frappera à nouveau. Sans tarder.
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Le Serpent de feu, Fabrice Bourland :
Tandis que les rues de Londres déploient tous leurs atouts pour le couronnement prochain de George VI, les détectives Singleton et Trelawney se retrouvent lancés sur les traces d’une momie mystérieusement disparue. Une affaire d’autant plus insolite qu’elle semble liée au meurtre d’un politicien qui met tout Scottland Yard en alerte... En ces jours où la ville entière est à la fête, les morts s’aviseraient-ils de se relever de leur sépulcre pour se mêler des affaires des vivants ?
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L’Ensorcelée, Jules Barbey d’Aurevilly :
Les lendemains de la Chouannerie. Dans une atmosphère de campagne barbare où interviennent des pâtres jeteurs de sorts et des vieilles femmes hantées par le souvenir de leurs débauches, Jeanne Le Hardouey est “ensorcelée” par un prêtre, l’abbé de La Croix-Jugan, dont le visage porte de terribles cicatrices. Lorsqu’on retrouve Jeanne noyée, les tensions se cristallisent et la mort frappe à nouveau...
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Breaking the wall, Claire Gratias :
Juillet 1989. A Berlin-Est, Markus Schloss se réfugie dans un mutisme incompréhensible tandis que Klaus Weber, qui vit à l’Ouest, se laisse convaincre par une jeune documentariste française de raconter pour la première fois son passé. Mais pour comprendre le lien entre les deux hommes, il faut connaître l’histoire d’Anna...
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Le Secret de l’étrangleur, Tardi, d’après un roman de Pierre Siniac :
Paris, 1959. Dans la capitale plongée en plein brouillard, un étrange étrangleur rôde. Mais que fait la police ? Elle fait grève, permettant ainsi à l'étrangleur d'accomplir ses odieux forfaits. Tardi délaisse le Nestor Burma de Léo Malet pour mettre en scène sa vision de Monsieur Cauchemar, un roman signé Pierre Siniac. Humour noir, dénouement à tiroirs et pavés luisants : du grand Tardi ! 
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Le Nom de la rose, Umberto Eco :
En arrivant dans le havre de sérénité et de neutralité que devrait être cette abbaye – admirée de tout l'Occident pour la science de ses moines et la richesse de sa bibliothèque, l'ex-inquisiteur Guillaume de Baskerville, accompagné de son secrétaire Adso de Melk, se voit prié par l'Abbé de découvrir au plus vite ce qui a poussé un de ses moines à se fracasser les os au pied des vénérables murailles. C'est le premier des sept morts qui seront scandés par les heures canoniales de la vie monastique. Ces décès tragiques sont-ils un signe divin de l’apocalypse à venir ? Où sont-ils les résultats de machinations bien humaines ?
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Le Nom de la rose, Jean-Jacques Annaud :
Sous la direction de Jean-Jacques Annaud, le célèbre roman lyrique d'Umberto Eco se mue en palpitant thriller gothique. Dans une atmosphère d’ombres grotesques et de faux-semblants, Sean Connery campe un surprenant apôtre de la Vérité face à ses confrères obscurantistes et sans scrupules.
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plumedepoete · 4 years
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Durant son voyage, il a rencontré sur sa route, non pas la vieille idylle mais l'idole des jeunes qui au fil du temps et au fil du Nil est devenue la reine de toute, l'Amour, qui se, lit dit le coeur avec un grand A où sur la carte de son corps il en a fait sa capitale. Une vie en majuscule, mais pas en pointillé, dans un nid douillet mais sans David, où chaque intention s'affiche en attention, parce que l'Amour oui se vit et non sévit sur la compagnie love Airlines en classe affaires pour en corps s'envoyer en l'air avec le coeur à faire coucher les étoiles. Voilà pour l'intro mais dans le détail c'est encore plus beau. Elle est apparue de ses plus beaux apparats, qui de ses parements sans pareils font ressortir sa vraie mine naturelle sans les faux traits de Sabine Paturelle, Elle s'avança jusqu'à lui comme une petite bombe en grandes pompes. Elle est à la croisée de destins, entre Lisa Minelli et Alyssa Milano, une escale milanaise à la scala de milan une gitane mais pas gitano, symbole d'un Benvenuti a la felicita, un chant d'amour au son de la dolce vita et du dolce gusto, porté à son coeur de Bohème que les mots aiment mais que sa bouche ne connait ni des lèvres ni des dents. A la recherche de sa bonne heure, elle voit une vie en prose, à l'eau de vie de roses, ne se saoulant pas de sûres crises mais de surprises. Ces destins ne sont pas les siens alors elle s'accroche à ses desseins. La fée est aux aguets, à quai, elle attend sa clochette, la Belle espérant son beau, pas son clochard, pas un belitre mais son bellâtre. Elle rêve d'une relation exclusive sans exclusion, un amour passionnel, pas rationnel, de l'émulsion faut que ça fuse, de la combustion faut que ca pulse, se touche sans effusions ni contusions. Elle ne veut plus de ces cons venus, qui en parvenu sont parvenus en convaincus inconvenants, sur un concerto déconcertant à finir de concert en cons vaincus sur une déconvenue. Car à s'adonner au bourreau des moeurs, qui cultive son coeur et laboure la belle finit abonnée au bureau des pleurs elle ne veut plus de ces paroles de marivaudage qui finissent en actes de mari volage. Meme si les années ont sur son coeur, défait l'effet de ses traits elles sécrètent sur son corps suranné les faits d'un nouveau bonheur, car si elle se ride ou qu'il s'érode c'est la même eau qui coule, celle du temps. Dans la course à l'intimité ce qu'elle veut, c'est le grand prix. Lui, des jours de tonnerre, des nuits de coup de foudre sans éclairs, en clair le championnat du monde des pilotes mais pas des cons-scruteurs. Elle est carossée comme une F1, son chassis se délivre à la manière d'un livre , où les yeux se consument à chaque page comme une histoire sans fin. Au sein de son écurie, elle s'affiche en égérie du dernier modèle sorti, entré comme la première de sa génération. C'est une hybride, qui se débride pour enflammer de son corps électrique les sens du bonheur carburant au super. Il sait que ce genre là, ça ne se domine pas car elle est nerveuse et dynamique, ça s'apprivoise. Il a fallu être sans détour au poste, des tours de piste, des tours d'essai, des essais libres, des arrêts au stand en stand by stop mais à vouloir trop vite courir le circuit le court-circuit n'est jamais très loin. Viser la pôle position est une ambition mais étant le seul à concourir sans concurrent, le rang n'est pas une obligation. Mais si contrairement à lui, elle ne perd jamais la tête et les pédales, la belle s'emploie toujours sur la bête, et finit sur un rale. Sur l'asphalte amoureux, il s'affale, elle s'affole car la piste n'est jamais rectiligne et à ses magnifiques courbes il s'aligne mais courant, à contre - courant, de sens en contre - sens, du point génial au point final, le drapeau finit toujours par damer le pion à sa dame car de ses phares chics à ses pares-chocs, de ses délits chics, en des lots chocs, Sous ses seins cirés se repose le Saint sireoù ses reins à mirer son Saint siège, assassine le sain d'esprit. Un corset au corps sain, de ses dessous, sans dessus, est le cri juste de ses reins elle le laisse, avec sa robe rutilée comme une jeune première, mutilé comme un jeune dernier. Oui, l’Amour est un parcours, un tour du monde qui s’écrit aux mains d’argent et finit sur un livre d’or. Derniers conseils à venir, pour tenir en éveil : Avant que dans cette course pour la vie, le souffle s’essouffle et dans cette course contre la fin avec la mort aux trousses, profitez de chaque jour comme si c’est le premier. Embrasez les jours avant que la nuit vous embrase, baisez la vie avant que la mort ne vous baise. Car c’est là, où l’Amour se terre, dans leurs yeux que se contemple, et qu’on comprend dans ce temple qu’on appelle dictionnaire, qu’au mot Amour, on ne pourrait trouver mieux. Carpe diem ! ©
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thebloodychampion · 5 years
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@hartoforlais
J'ai posé mes yeux sous sa robe de gitane À quoi me sert encore de prier Notre-Dame Quel est celui qui lui jettera la première pierre Celui-là ne mérite pas d'être sur terre Ô Lucifer! Oh! Laisse-moi rien qu'une fois Glisser mes doigts dans les cheveux d'Esmeralda, Esmeralda.
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roussalki-blog · 5 years
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Belle / Pretty
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Belle / Pretty
C’est un nom qu’on dirait invité pour elle / It’s a name that seems to be invented for her
Quand elle danse et qu’elle met son corps à jour, tel / When she dances and updates her body, such
Un oiseau qui étend ses ailes pour s’envoler / that spreads its wings to fly
Alors je sens l’enfer s’ouvrir sous mes pieds / Then I feel the hell open under my feet
J’ai posé mes yeux sous sa robe de gitane / I put eyes under her gypsy dress
A quoi sert encore de prier Notre-Dame, quel / What is the point of praying to Notre-Dame? What
Est celui qui jettera la première pierre / Is the one who will throw the first stone
Celui-là ne mérite pas d’être sur terre / He does not deserve to be on earth
Oh, Lucifer!
Laisse moi rien qu’une fois / Leave me just once
Glisser mes doigts dans les cheveux / Side my fingers into Esmeralda’s hair
Belle / Pretty
Est-ce le Diable qui s’est incarné en elle / Is the Devilincarnated in her
Pour détourner mes yeux du Dieu éternel / To turn my eyes away from the eternal God
Qui à mis dans mon être ce désir charnel / Who put in my being this carnal desire
Pour m’empêcher de regarder vers le ciel / To stop me from looking to the sky
Elle porte en elle le péché originel / She carries in her originel sin
La désirer fait-il de moi un criminel, celle / Does the desire make me a criminal, that
Qu’on prenait pour une fille de joie, une fille de rien / What did a girl of joy think of a girl of nothing
Semble soudain porter la croix du genre humain / Seems suddenly to bear the cross of the human race
Oh Notre-Dame!
Oh! laisse moi rien qu’une fois / Oh! Leave me just once
Passer la porte du jardin d’Esmeralda / Go through the garden gate of Esmeralda
Belle / Pretty
Malgré ses grands yeux noirs qui vous ensorcellent / Despite his big eyes that bewitch you
La demoiselle serait-elle encore pucelle? The maid would she still maid?
Quand ses mouvements me font voir monts et merveilles / When his movements make me see mountains and wonders
Sous son jupon aux couleurs de l’arc-en-ciel / Under his skirt in the colors of the rainbow
Ma dulcinée laissez-moi vous être infidèle / My sweatheart let me be unfaithful to you, what
Est l’homme qui détournerait son regard d’elle / Is the man who would look away from her
Sous peine d’être changé en statue de sel / On pain of being changed into a statue of salt
Ô Fleur-de-Lys, je ne suis pas homme de foi / Ô Fleur-de-Lys, I am not a man of faith
J’irai cueillir la fleur d’amour d’Esmeralda / I will pick Esmeralda’s love flower
J’ai posé mes yeux sous sa robe de gitane / I put eyes under her gypsy dress
A quoi me sert encore de prier Notre-Dame? Quel, / I put my eyes under her gypsy dress? What,
Est celui qui lui jettera la première pierre / Is the one who will throw the first stone
Celui-là ne mérite pas d’être sur terre / He does not deserve to be on earth
Oh Lucifer!
Oh laisse moi rien qu’une fois / Oh leave me nothing once
Glisser mes doigts dans les cheveux / Slide my fingers into Esmeralda’s hair
Esmeralda ...
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