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#robe en coton
chicinsilk · 10 months
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US Vogue June 1953
Mary Jane Russell in a pink cotton dress with a white leather belt. By H.& D. Chalk white earrings and bracelet by Marvella. On the right, Dovima wears a blue cotton broadcloth dress by Anne Fogarty.
Mary Jane Russell dans une robe de coton rose avec une ceinture en cuir blanc. Par H.& D. Boucles d'oreilles et bracelet blanc craie par Marvella. À droite, Dovima porte une robe en drap de coton bleu par Anne Fogarty.
Photo Frances McLaughlin vogue archive
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jeruharomi · 2 years
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Gilet transformable mode d'emploi lave
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chic-a-gigot · 5 months
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La Mode nationale, no. 50, 13 décembre 1902, Paris. Robe de réception et toilette de visites (3 et 4). Supplément au no. 50 du 13 décembre 1902 de la Mode nationale. Bibliothèque nationale de France
(3) — Robe de réception, en drap de Paris mauve foncé. Jupe dentelée et bordée de straps piqués reposant sur un bord de velours violet sombre. Corsage blouse décolletée en V sur une guimpe de velours. Col dentelé en forme souligné d'un plissé de velours. Une bande piquée contourne l'encolure, vient finir dans la ceinture. Cette ceinture se noue devant et s'élargit en deux pans flottants. Manche chemisette peu ample.
(3) — Reception dress, in dark mauve Paris cloth. Laceted skirt lined with stitched straps resting on a dark purple velvet edge. V-neck blouse bodice on a velvet wimple. Shaped serrated collar highlighted with velvet pleats. A stitched band goes around the neckline, ending in the waistband. This belt ties in the front and widens into two floating sections. Loose shirt sleeve.
Matériaux: 5 mètres de drap; 3m,50 de velours.
(4) Toilette de visite pour jeune femme ou jeune fill, en velours de coton ouster À la jupe, cinq volants pèlerines bordés d'un biais de taffetas même ton. Corsage peu blousé; le devant est rayé de biais de taffetas; des biais de taffetas se posent en chevron sur le corsage. Empiècement rond cerclé de biais. La manche à trois pèlerines a un bouffant de taffetas. Ceinture flottante en moire noire.
(4) Visiting ensemble for young women or girls, in ouster cotton velvet. On the skirt, five pilgrim ruffles bordered with a taffeta bias of the same tone. Sparsely bloused bodice; the front is striped with taffeta bias; taffeta bias is placed in a chevron on the bodice. Round yoke circled at an angle. The triple ruffle sleeve has a taffeta bouffant. Floating black moire belt.
Capeline de feutre mélusine gris foncé; draperie et chute de panne noire.
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pompadourpink · 9 months
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Sophie's Misfortunes - #1
Les malheurs de Sophie - la Comtesse de Ségur, 1858
Chapitre 1 - la Poupée de cire
« Ma bonne, ma bonne, dit un jour Sophie en accourant dans sa chambre, venez vite ouvrir une caisse que papa m’a envoyée de Paris ; je crois que c’est une poupée de cire, car il m’en a promis une.
La bonne: Où est la caisse ?
Sophie: Dans l’antichambre : venez vite, ma bonne, je vous en supplie. »
La bonne posa son ouvrage et suivit Sophie à l’antichambre. Une caisse de bois blanc était posée sur une chaise ; la bonne l’ouvrit. Sophie aperçut la tête blonde et frisée d’une jolie poupée de cire ; elle poussa un cri de joie et voulut saisir la poupée, qui était encore couverte d’un papier d’emballage.
La bonne: Prenez garde ! ne tirez pas encore ; vous allez tout casser. La poupée tient par des cordons.
Sophie: Cassez-les, arrachez-les ; vite, ma bonne, que j’aie ma poupée.
"My maid, my maid!" Sophie said one day running into her maid's room. "Hurry up! Open this crate that daddy sent me from Paris. I think it's a wax doll, because he promised me one!" The maid: "Where is the crate?" Sophie: "In the antechamber. Come quick, please!" The maid set her work down and followed Sophie to the antechamber. A white wood crate was on a chair. The maid opened it. Sophie spotted the blonde and curly head of a beautiful wax doll. She let out a cry of joy and tried to grab the doll, which was still covered in wrapping paper. The maid: "Careful! Don't pull it yet. You'll break everything. The doll is kept in place by some cords," the maid said.
Sophie: "Break them, rip them. Hurry, my maid, so that I have my doll!"
La bonne, au lieu de tirer et d’arracher, prit ses ciseaux, coupa les cordons, enleva les papiers, et Sophie put prendre la plus jolie poupée qu’elle eût jamais vue. Les joues étaient roses avec de petites fossettes ; les yeux bleus et brillants ; le cou, la poitrine, les bras en cire, charmants et potelés. La toilette était très simple : une robe de percale festonnée, une ceinture bleue, des bas de coton et des brodequins noirs en peau vernie.
Sophie l’embrassa plus de vingt fois, et, la tenant dans ses bras, elle se mit à sauter et à danser. Son cousin Paul, qui avait cinq ans, et qui était en visite chez Sophie, accourut aux cris de joie qu’elle poussait.
« Paul, regarde quelle jolie poupée m’a envoyée papa ! s’écria Sophie.
Paul: Donne-la-moi, que je la voie mieux.
Sophie: Non, tu la casserais.
Paul: Je t’assure que j’y prendrai bien garde ; je te la rendrai tout de suite. »
Sophie donna la poupée à son cousin, en lui recommandant encore de prendre bien garde de la faire tomber. Paul la retourna, la regarda de tous les côtés, puis la remit à Sophie en secouant la tête.
The maid, instead of pulling and ripping, took some scissors, cut the cords, removed the papers, and Sophie was able to grab the most beautiful doll she had ever seen. The cheeks were pink with little dimples. The eyes were blue and bright. The neck, the chest, the wax arms, charming and chubby. The outfit was simple: a scalloped, percale dress, a blue belt, cotton stockings and black, patent leather boots. Sophie kissed her more than twenty times and, holding her by the arms, she started to jump and dance. Her cousin Paul, who was five years old, and who was visiting Sophie, ran to her cries of joy. "Paul, look at the lovely doll daddy sent me!" Sophie cried out. "Give her to me, I want a better look at her." "No, you would break her." "I promise you I'll be careful. I'll give her back right away." Sophie gave the doll to her cousin, telling him once again to be very careful not to drop her. Paul turned her around, looked at her from every side and then gave her back to Sophie, shaking his head.
*
Sophie: Pourquoi secoues-tu la tête ?
Paul: Parce que cette poupée n’est pas solide ; je crains que tu ne la casses.
Sophie: Oh ! sois tranquille, je vais la soigner tant, tant que je ne la casserai jamais. Je vais demander à maman d’inviter Camille et Madeleine à déjeuner avec nous, pour leur faire voir ma jolie poupée.
Paul: Elles te la casseront.
Sophie: Non, elles sont trop bonnes pour me faire de la peine en cassant ma pauvre poupée.
Le lendemain, Sophie peigna et habilla sa poupée, parce que ses amies devaient venir. En l’habillant, elle la trouva pâle. « Peut-être, dit-elle, a-t-elle froid, ses pieds sont glacés. Je vais la mettre un peu au soleil pour que mes amies voient que j’en ai bien soin et que je la tiens bien chaudement. » Sophie alla porter la poupée au soleil sur la fenêtre du salon.
« Que fais-tu à la fenêtre, Sophie ? lui demanda sa maman.
Sophie: Je veux réchauffer ma poupée, maman ; elle a très froid.
"Why are you shaking your head?" "Because that doll isn't solid. I'm afraid you're going to break her." "Oh, don't worry. I'll take such good care of her, so much so that I'll never break her. I'm going to ask mother to invite Camille and Madeleine to have lunch with us, so I can show them my beautiful doll." "They'll break her." "No, they're too nice to hurt me by breaking my poor doll." The next day, Sophie combed and dressed her doll, because her friends were supposed to come. While dressing her, she thought she was pale. "Maybe," she said, "she's cold. Her feet are freezing. I'm going to put her in the sun for a little bit so my friends can see that I'm taking care of her and keeping her nice and warm." Sophie went to put the doll in the sun in the sitting room's window. "What are you doing at the window, Sophie?" her mother asked. "I want to warm my doll up, mother. She's very cold."
*
La maman: Prends garde, tu vas la faire fondre.
Sophie: Oh non ! maman, il n’y a pas de danger : elle est dure comme du bois.
La maman: Mais la chaleur la rendra molle ; il lui arrivera quelque malheur, je t’en préviens. »
Sophie ne voulut pas croire sa maman, elle mit la poupée étendue tout de son long au soleil, qui était brûlant.
Au même instant elle entendit le bruit d’une voiture : c’étaient ses amies qui arrivaient. Elle courut au-devant d’elles ; Paul les avait attendues sur le perron ; elles entrèrent au salon en courant et parlant toutes à la fois. Malgré leur impatience de voir la poupée, elles commencèrent par dire bonjour à Mme de Réan, maman de Sophie ; elles allèrent ensuite à Sophie, qui tenait sa poupée et la regardait d’un air consterné.
Madeleine, regardant la poupée: La poupée est aveugle, elle n’a pas d’yeux.
Camille: Quel dommage ! comme elle est jolie !
Madeleine: Mais comment est-elle devenue aveugle ! Elle devait avoir des yeux.
Sophie ne disait rien ; elle regardait la poupée et pleurait.
Mother: "Be careful, she'll melt." Sophie: "No, mother, there's no danger. She's as hard as wood." Mother: "But the heat will make her soft. Something bad will happen to her, I'm warning you." Sophie didn't want to believe her mother. She laid the doll out in the sun, which was scorching hot. At that moment, she heard the sound of a carriage. It was her friends showing up. She ran to go meet them. Paul had been waiting for them on the front steps. They ran into the sitting room, talking all at once. Despite their impatience to see the doll, they first said hello to Mrs. de Réan, Sophie's mother. They then went to Sophie, who was holding the doll and looking at her with dismay. "The doll is blind. She doesn't have any eyes!" Madeleine said. "What a shame! How beautiful she is!" Camille said. "But how did she get blind? She was supposed to have eyes." Sophie didn't say anything. She was looking at the doll and crying.
*
Madame de Réan: Je t’avais dit, Sophie, qu’il arriverait un malheur à ta poupée si tu t’obstinais à la mettre au soleil. Heureusement que la figure et les bras n’ont pas eu le temps de fondre. Voyons, ne pleure pas ; je suis très habile médecin, je pourrai peut-être lui rendre ses yeux.
Sophie, pleurant: C’est impossible, maman, ils n’y sont plus.
Mme de Réan prit la poupée en souriant et la secoua un peu ; on entendit comme quelque chose qui roulait dans la tête. « Ce sont les yeux qui font le bruit que tu entends, dit Mme de Réan ; la cire a fondu autour des yeux, et ils sont tombés. Mais je tâcherai de les ravoir. Déshabillez la poupée, mes enfants, pendant que je préparerai mes instruments. »
Aussitôt Paul et les trois petites filles se précipitèrent sur la poupée pour la déshabiller. Sophie ne pleurait plus ; elle attendait avec impatience ce qui allait arriver.
La maman revint, prit ses ciseaux, détacha le corps cousu à la poitrine ; les yeux, qui étaient dans la tête, tombèrent sur ses genoux ; elle les prit avec des pinces, les replaça où ils devaient être, et, pour les empêcher de tomber encore, elle coula dans la tête, et sur la place où étaient les yeux, de la cire fondue qu’elle avait apportée dans une petite casserole ; elle attendit quelques instants que la cire fût refroidie, et puis elle recousit le corps à la tête.
Les petites n’avaient pas bougé. Sophie regardait avec crainte toutes ces opérations, elle avait peur que ce ne fût pas bien ; mais, quand elle vit sa poupée raccommodée et aussi jolie qu’auparavant, elle sauta au cou de sa maman et l’embrassa dix fois.
Sophie's mother said, "I told you so, Sophie. Something bad would happen to your doll if you insisted on putting her in the sun. Fortunately, the face and the arms didn't have enough time to melt. Come on, don't cry. I'm a very skilled doctor, I might be able to give her back her eyes." "It's impossible, mother. They're gone," Sophie cried. Mrs. de Réan took the doll with a smile and shook her a bit. They could hear something rolling around in the head. "Those are the eyes making the noise you hear," Mrs. de Réan said. "The wax melted around the eyes and they fell. But I'll try to get them back. Undress the doll, children, while I get my tools ready." Right away, Paul and the three little girls came upon the doll to undress her. Sophie wasn't crying anymore. She waited restlessly for what was going to happen. The mother came back. She took her scissors and detached the body sewn at the chest. The eyes, which were inside the head, fell onto her knees. She took them with some pliers and put them back where they were supposed to be. To prevent them from falling again, she poured some melted wax that she brought in a little pan on the place where the eyes were. She waited a little bit to let the wax cool down, then she resewed the body to the head. The little ones didn't move. Sophie watched this whole operation with fear. She was afraid it wouldn't work out. But when she saw her doll fixed up and as beautiful as before, she jumped to her mother's neck and kissed it ten times.
*
« Merci, ma chère maman, disait-elle, merci : une autre fois je vous écouterai, bien sûr. »
On rhabilla bien vite la poupée, on l’assit sur un petit fauteuil et on l’emmena promener en triomphe en chantant :
Vive maman ! De baisers je la mange. Vive maman ! Elle est notre bon ange.
La poupée vécut très longtemps bien soignée, bien aimée ; mais petit à petit elle perdit ses charmes, voici comment. Un jour, Sophie pensa qu’il était bon de laver les poupées, puisqu’on lavait les enfants ; elle prit de l’eau, une éponge, du savon, et se mit à débarbouiller sa poupée ; elle la débarbouilla si bien, qu’elle lui enleva toutes ses couleurs : les joues et les lèvres devinrent pâles comme si elle était malade, et restèrent toujours sans couleur. Sophie pleura, mais la poupée resta pâle.
Un autre jour, Sophie pensa qu’il fallait lui friser les cheveux ; elle lui mit donc des papillotes : elle les passa au fer chaud, pour que les cheveux fussent mieux frisés. Quand elle lui ôta ses papillotes, les cheveux restèrent dedans ; le fer était trop chaud, Sophie avait brûlé les cheveux de sa poupée, qui était chauve. Sophie pleura, mais la poupée resta chauve.
"Thank you, my dear mother," she said. "Thank you. Next time, I'll listen to you, for sure." They quickly redressed the doll, set her on a little chair and went for a triumphant walk while chanting: Hooray for mother! I cover her in kisses! Hooray for mother! She is our angel! The doll lived for a long time, well cared-for, well loved. But, bit by bit, she lost her charms. Here's how. One day, Sophie thought it was a good idea to wash dolls, since people wash children. She took some water, a sponge, some soap and started to clean her doll. She cleaned her so well, that she removed all her color. The cheeks and lips became pale as if she were sick and were forever colorless. Sophie cried, but the doll was still pale. Another day, Sophie thought she had to curl her hair. She put some foil in her hair. She ironed it so that it would curl better. When she removed the foil, the hair stayed within. The iron was too hot. Sophie had burned her doll's hair, she was now bald. Sophie cried, but the doll was still bald.
*
Un autre jour encore, Sophie, qui s’occupait beaucoup de l’éducation de sa poupée, voulut lui apprendre à faire des tours de force. Elle la suspendit par les bras à une ficelle ; la poupée, qui ne tenait pas bien, tomba et se cassa un bras. La maman essaya de la raccommoder ; mais, comme il manquait des morceaux, il fallut chauffer beaucoup la cire, et le bras resta plus court que l’autre. Sophie pleura, mais le bras resta plus court.
Une autre fois, Sophie songea qu’un bain de pieds serait très utile à sa poupée, puisque les grandes personnes en prenaient. Elle versa de l’eau bouillante dans un petit seau, y plongea les pieds de la poupée, et, quand elle la retira, les pieds s’étaient fondus, et étaient dans le seau. Sophie pleura, mais la poupée resta sans jambes.
Depuis tous ces malheurs, Sophie n’aimait plus sa poupée, qui était devenue affreuse, et dont ses amies se moquaient ; enfin, un dernier jour, Sophie voulut lui apprendre à grimper aux arbres ; elle la fit monter sur une branche, la fit asseoir ; mais la poupée, qui ne tenait pas bien, tomba : sa tête frappa contre des pierres et se cassa en cent morceaux. Sophie ne pleura pas, mais elle invita ses amies à venir enterrer sa poupée.
Another day, Sophie, who was busy with her doll's upbringing, wanted to teach her to do some amazing feats. She hanged her by the arms from a string. The doll, which wasn't holding on well, fell and broke an arm. The mother tried to fix her up. But, since some pieces were missing, she had to heat up the wax quite a bit. The arm ended up shorter than the other. Sophie cried, but the arm was still shorter. Another time, Sophie thought that a foot bath would be useful to her doll, since all great people had them. She poured some boiling water into a little bucket and plunged the doll's feet into it. When she pulled her out, the feet had melted and were in the bucket. Sophie cried, but the doll still didn't have legs. After all these misfortunes, Sophie didn't love her doll anymore. The doll had become hideous and Sophie's friends were mocking her. At last, one day, Sophie wanted to teach her to climb trees. She put her on a branch and sat her there. But the doll, who wasn't holding on well, fell. Her head struck some rocks and broke into a hundred pieces. Sophie didn't cry. Instead, she invited her friends to come bury her doll.
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detournementsmineurs · 10 months
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"Robe" (détail) de Laferrière en soie façonnée, dentelle mécanique, cannelé de soie, broderies de perles et de fils chenille, taffetas et satin e soie (circa 1890) et "Corsage" non griffé en toile de coton et dentelle mécanique (circa 1900) sur "Jupe" (détail) de Callot Soeurs en taffetas de soie crêpé, mousseline de soie crêpée et cordonnet de soie (circa 1900-05) à l'exposition "La Mode en Mouvement" du Palais Galliera, juillet 2023.
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4nuttyaddict · 2 months
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Robe d'été en coton noire pour fille (taille 6/8ans). Le vêtement se règle à l'aide d'une ceinture. Lien boutique: https://www.ungrandmarche.fr/boutiques/p/vetements-filles/robe-oceane-ceinture-reglable-enfant/4621785
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fashionbooksmilano · 4 months
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Modes et Travaux
Janvier Décembre 1949 31°Année
Edited by Edouard Boucherit , Paris 1949
12 numeri di circa 40 pagine ciascuno, 21x31 cm
euro 360,00
email if you want to buy [email protected]
Modes et Travaux era un mensile parigino fondato nel novembre 1919 da Edouard Boucherit . Viene stampato a Clichy presso le arti grafiche di Paul Dupont. Si occupa di tutto quello che riguarda l’universo femminile, dai piccoli lavori di sartoria alla cura della casa, dai lavori a filo e a cotone all’arte di ricevere.
C’est l’histoire d’une passion pour la couture et la broderie, celle d’Édouard Boucherit, son fondateur, qui lance le 15 novembre 1919 le magazine « Modes&Travaux Féminins ».  Son intention à l’époque est de promouvoir la mercerie de sa mère, située au 10 rue de la Pépinière, dans le VIIIe arrondissement de Paris. Au lendemain de la Grande Guerre, Édouard Boucherit espère participer à la reconstruction en permettant aux femmes, grâce à ses patrons, de se confectionner une garde-robe digne de ce nom. L’histoire des patrons de « Modes&Travaux » suit celle de la société et celle des femmes françaises.
05/01/04
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homomenhommes · 7 months
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5 maillots de corps
Le maillot de corps est un basique qui a sa place dans la garde-robe de tous les hommes. En hiver, il vous protège du froid et en été, il protège votre chemise de la transpiration. Il se porte même comme t-shirt sans manches lorsque le mercure grimpe ! Bref, c’est une pièce pratique que vous pourrez porter toute l’année.
100% de coton
De plus, ces débardeurs se composent à 100 % de coton de qualité ! Grâce à leur col rond, ils seront parfaits sous une chemise ou un pull confortable, tandis que leur coupe idéalement ajustée leur permet de passer inaperçus sous vos vêtements. Ce modèle est également un peu plus long de manière à ce que vous puissiez le glisser facilement dans votre pantalon.
On n'a jamais assez de maillot de corps à la maison, pas vrai ?
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olivierhodfast · 1 year
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#prisonpants #bikers #holdfast #pantalonprisonnier #jeansdenim #jeans
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droitsdesfemmes · 2 years
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Margaret Ethridge Knight (14 février 1838 - 12 octobre 1914) était une inventrice américaine, aujourd’hui considérée comme la « femme inventrice la plus célèbre du XIXe siècle. » Née à York dans l’Etat du Maine, elle va à l’école jusqu’à l’âge de 12 ans puis travaille dans une fabrique de coton. À 12 ans, elle est témoin d’un accident à l’usine : un employé est poignardé par une navette à pointe d’acier sortie d’un métier à tisser mécanique. En quelques semaines, elle met au point un dispositif de sécurité pour le métier à tisser, qui aurait ensuite été adopté par d’autres usines des environs. Le dispositif n’a jamais été breveté et sa nature exacte est inconnue. Des problèmes de santé empêchent Margaret de poursuivre son travail à la filature de coton. Jusqu'à la vingtaine, elle occupe plusieurs emplois, notamment dans la réparation de maisons, la photographie de daguerréotype, la gravure et la tapisserie d’ameublement. À l’âge de 30 ans, employée à la Columbia Paper Bag Company, elle a l’idée d’une machine qui plie et colle du papier pour former un sac en papier souple à fond plat similaire à ceux utilisés de nos jours. Elle fabrique un modèle en bois de la machine mais elle a besoin d’un prototype en métal pour faire breveter son invention. Elle confie la réalisation du prototype en métal à un atelier mais les plans du prototype lui sont volés par un dénommé Charles Annan, qui travaille dans l’atelier. Celui-ci s’empresse de déposer une demande de brevet de la machine, à son propre nom. Lorsqu’elle l’apprend au moment de déposer elle-même une demande de brevet, elle ne laisse pas passer cette injustice et engage en 1870 une action judiciaire pour récupérer la propriété de la demande de brevet déposée. Elle obtient gain de cause et la propriété du brevet lui est finalement transférée. Elle fonde ensuite la Eastern Paper Bag Co. en association avec un homme d’affaires du Massachussetts pour exploiter ce brevet et commence alors à percevoir des revenus de son invention. Margaret créera d’autres d’inventions tout au long de sa vie qui donneront lieu à brevets et vivra des revenus de cession ou licence d’exploitation de ces brevets. Elle est également à l’origine d’un bouclier de robe et de jupe en 1883, d’un fermoir pour robes en 1884 et d’une broche de cuisine en 1885. Puis elle conçoit dans les années 1880-1890 plusieurs machines pour la coupe de matériaux utilisés dans la fabrication de chaussures qui sont protégées par six brevets. En 1894, elle dépose deux brevets, l’un pour une machine à numéroter et l’autre pour un cadre et un châssis de fenêtre. Au début des années 1900, elle développe plusieurs éléments de moteurs rotatifs. Finalement, elle obtient au moins 27 brevets, qui s’ajoutent à d’autres inventions qu’elle n’a pas cherché à protéger. Margaret ne se marie pas et meurt le 12 octobre 1914 à l’âge de 76 ans. Une plaque lui reconnaissant le titre de « première femme à avoir breveté aux États-Unis » et mentionnant ses 87 brevets se trouve sur le Curry Cottage, au 287 Hollis St à Framingham, Massachussetts. En réalité, la première est Hannah Wilkinson Slater en 1793. Cependant, ce titre est probablement la reconnaissance de la grande quantité d’idées transformées en brevets auxquels cette femme a donné naissance et à son imagination pratique. M.E. Knight a été admise au National Inventors Hall of Fame en 2006.
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chicinsilk · 10 months
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US Vogue July 1953
Mary Jane Russell in a black, full-skirted cotton and nylon afternoon dress. By Jerry Greenwald. Satchel by Koret. Gloves by Superb. Earrings by Coro. Tied cap, velvet and Hattie Carnegie braid. The luminous lipstick, "Pink Parasol" by Alexandra de Markoff. Mary Jane Russell dans une robe d'après-midi noire, à jupe évasée, en coton et nylon. Par Jerry Greenwald. Cartable par Koret. Gants par Superb. Boucles d'oreilles par Coro. Casquette nouée, velours et galon Hattie Carnegie. Le rouge à lèvres lumineux, "Pink Parasol" d'Alexandra de Markoff.
Photo Karen Radkai vogue archive
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ekman · 2 years
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C’est l’heure déjà passée où le soleil se dit qu’il serait temps d’assumer le crépuscule qui point. La lumière est pourtant encore assez vive dans la chambre. Nous sommes rentrés de la plage il y a peu. Je suis allongé sur le lit, légèrement vautré, plus en étoile de mer que bien rangé militaire. J’ai rouvert Valeurs Actuelles à la même page que ce matin, que tout à l’heure, pour tenter de finir enfin cet article sur la recomposition des droites. Pour tout dire, je m’en fous un peu. Tes fesses sont un sujet bien plus intéressant, et je les regarde depuis ce matin, elles aussi. En un clin d’œil, ta petite robe de mer est tombée au sol et tu as abandonné tes sandales montantes comme par magie. Il ne te reste que le bas de ton maillot, une sorte de string taillé – si l’on peut dire – dans un tissu bizarre, au toucher électrisant et à l’aspect satiné, un truc pour fétichiste nippon en surpoids. Tu virevoltes ça et là, tu sors un soutif de la commode, une ou deux robes légères de l’armoire, dont celle en lamé moulante que j’adore te voir porter, tu pousses du bout de l’orteil la rangée d’escarpins qui commence un début d’effet dominos, tu me regardes, me souris et décrète “je suis dans la salle de bains, je n’en ai pas pour longtemps, ne me dérange pas, tu prendras ta douche après, je te laisse finir ton article, et si je mettais la petite robe tout en plis un peu grecque, tu sais, la blanche que tu adores ?” Je racle le fond de ma gorge. “Je boirais bien quelque chose. Tu veux un verre de quelque chose ?” Tu me regardes, faussement contrariée. “Dès que l’on parle un peu sérieusement, il n’y a plus personne en fait.” J’éclate de rire. “Un verre de blanc, je veux bien un verre de blanc. Je m’en fous lequel.” Tu entres dans la salle de bains et bien sûr, tu laisses la porte ouverte. Je te vois trifouiller dans des pochettes, dans ton “vanity”, brandir encore une robe – une autre – sur son cintre et l’observer avec une relative circonspection, comme si elle était radioactive. Je vois ton corps parfait, bronzé. Je ressens la chaleur palpitante de ta peau cuivrée, le volume de tes seins, la souplesse de tes hanches. Je sens les boucles folles de ta chevelure salée glisser sur mes épaules et caresser mon torse. Je respire cette fragrance estivale qui émane de toi, ce mélange de crème solaire très chère, d’air iodé et de sable fin. Je te revois à midi manger délicatement cette tomate qui ruisselle et provoque ton rire, et me fait voir tes dents magnifiques de carnassière bien élevée. Je vois ton dos, ta cambrure, le vallon de tes vertèbres. Tu vas entrer dans la cabine de douche et je ferai un effort surhumain pour ne pas t’y rejoindre. Ensuite tu te sècheras lentement, la grande serviette de coton blanc et épais effacera chaque gouttelette d’eau en séjour sur ta peau – puis tu auras ce geste étonnant qu’ont toujours les femmes, et qui consiste, sans rien dévoiler de leur nudité, à rouler n’importe quel tissu-éponge autour de leur corps à la façon d’un pagne, dissimulant leur silhouette alors qu’elles sont sensées être parfaitement seules dans une salle de bains à l’abri de tout regard impudique, fut-ce le leur peut-être. Soins du visage, ongles des pieds, manucure rapide... La serviette te quitte enfin et tu étales sur tes bras, tes épaules, ta poitrine, tes cuisses et jusque sur tes pieds un onguent magique sûrement, une crème qui sent tellement la gonzesse qu’elle rappelle au nez des hommes le baiser nocturne d’une mère qui éteint la lumière, autant que celui d’une amante qui entr’ouvre ses jambes. “Vraiment je ne sais pas quoi mettre pour ce soir. Le resto où ils nous attendent c’est quoi ? Étoilé ? Snob ? Cool ?”. Je regarde ma montre, puis ton ventre magnifiquement sculpté. L’heure a diablement tourné, et moi avec elle. J’ai éclusé mon triple Jack D. on the rocks. “Dommage que tu doives mettre une robe.” J.-M. M.
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mariamnes · 1 year
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robe de style 1931
flickr
robe de style 1931 by .pintuck Via Flickr: Les Modes (Paris) September 1931 "Celeste" robe de style en organdi de coton bleu et tulle point d'esprit. Création de la Masion Agnès-Drecoll.- Mme Havet, Dir. Générale 24 Place Vendôme Photo G. L. Manuel Frères.
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alexar60 · 2 years
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Transylvanie express (31)
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Episodes précédents
Elle était revenue dans mon souvenir !
C’était un soir dans le train. Je me souviens. J’avais fini de préparer un dossier et j’avais loupé mon train habituel. Du coup, je pris le suivant. J’avais hâte de rentrer et savourer un verre bien mérité. Pourtant personne ne m’attendait. J’observai le paysage défilant par la fenêtre sans y porter réellement attention. Il y avait énormément de monde, y compris dans les allées. Je compris que des trains avaient été supprimés. La majorité des voyageurs quittèrent la rame au troisième arrêt. C’est à ce moment qu’elle monta.
Contrairement aux autres jours, elle portait une élégante robe grise. Ses jambes semblèrent plus allongées dans ses bas. Sa chevelure noire glissait sur l’épaule droite. Elle portait une valise. Je remarquai les quelques passagers restants en train de lorgner son passage, son déhanché hypnotisant. Je la devinai mannequin professionnel tellement elle semblait à l’aise dans ses talons aiguilles. Un jeune homme tourna la tête pour mieux dévorer des yeux, les fesses de la callipyge. Elle marchait lentement cherchant la place la plus confortable ; il bavait. Et moi, j’avais envie de lui parler… juste lui dire bonjour. Mais je n’ai rien. Je suis resté assis à la regarder s’éloigner. Puis, je l’ai oubliée.
Cela faisait quatre heures que nous avions quitté le village de bucherons. Le froid commençait à bruler nos joues. Ludmilla recouvrit son menton d’un foulard en coton. Elle s’était blottie dans un manteau récupéré à la gare. De son côté, Johann venait de se réveiller. Son corps remuait aux secousses de la calèche. Il se frotta l’épaule droite puis tira le rideau pour observer l’extérieur. Nous étions encore sur une route de fortune au milieu des bois et du brouillard.
-          Votre main va mieux ? demandai-je.
Il me regarda étonné par ma question. Puis, il serra le poing avant de remuer les doigts.
-          Oui. J’ai dû attraper de l’urticaire en me cognant à quelque-chose, répondit-il.
Il prit le livre posé sur la banquette à côté de lui et se lança dans la lecture. Je trouvai drôle de le voir sautiller dès que les roues du carrosse se soulevaient au contact d’un obstacle. De temps en temps, Ludmilla posait sa tête contre mon épaule. Je devinai ses yeux rieurs, je sentis le plaisir qui traversait son corps et j’entendis battre son cœur.
Nous arrivâmes enfin sur une route de campagne. Les champs abandonnés ou en friche se perdaient dans un paysage désolé où, seuls quelques arbres dispersés régnaient par leur prestance. De plus, le sol ne s’avéra pas de meilleure qualité que celui des sentiers parcourus dans les bois. Le carrosse roula paisiblement. Mais en entendant les chevaux hennir, il s’arrêta brusquement. Nous sortîmes la tête et furent désagréablement surpris de découvrir un corps sur le bord de la route. Le cadavre sur le ventre, présentait des plaies abondantes sur les jambes et les bras. Ses vêtements déchirés indiquèrent qu’il était là depuis un bon moment. Johann ordonna au chauffeur de continuer. Dès lors, la diligence avança nous éloignant de cette vision atroce. Seulement, plus nous approchâmes du prochain village, plus nous vîmes des restes humains.
Il y en avait presque partout, des hommes, des femmes, des enfants, des vieillards, des paysans, des notables, de simples gens dont les corps gisaient. Les uns étaient en lambeaux, déchiquetés, dévorés par les animaux sauvages. Notre passage fit fuir une horde de loups qui se rassasiait d’un de ces malheureux. Les autres succombèrent peu de temps avant notre arrivée. La peau toujours fraiche, le corps encore chaud, les yeux n’avaient rien de vitreux. Ils semblaient dormir, heureux que tout soit fini.
-          Saloperie de maladie, marmonna Johann.
Pour la première fois, je vis Ludmilla se signer de la croix. Ses doigts touchèrent le front, le torse puis les épaules. Elle pria en silence comme pour conjurer un sort ou nous protéger du mal des méninges. Nous traversâmes deux villages dans un silence pesant. A chaque fois, nous constatâmes le même enfer. Des cadavres mutilés sur les chaussées, des loups et des chiens errants grignotant leur visage, dévorant leurs intestins et arrachant les membres.
Un villageois restait assis sur un fauteuil à bascule. Il tanguait d’avant en arrière, les bras sur les reposoirs, la tête droite. Ses yeux tournaient dans tous les sens. Et je compris, en voyant sa bouche s’ouvrir doucement, qu’il était toujours en vie. Il attendait inconsciemment la fin de son calvaire. Sur son rocking-chair, il avait une apparence de poupée qu’on aurait délaissée pour un jouet plus propre et plus moderne. Il soupira un râle étouffé. Sa chemise remua discrètement, le bout d’un tentacule apparut et s’amusa à attraper les mouches qui volaient autours du malade.
Nous n’étions plus très loin de Brasov. Johann espérait que la cité ne soit pas interdite même si nous n’étions pas censés y passer. Cependant, je voulais offrir à Ludmilla quelques tenues plus distinguées et propres que ses vêtements actuels. Aussi, nous avions besoin de prendre un bain, ce que l’historien comprit en sniffant ses aisselles lorsque nous étions assoupis.
Durant mon somme, le roulement du carrosse se transforma petit à petit en roulement de train. Je me réveillai dans le train que je prenais quotidiennement pour travailler sur Paris. Un emploi dont j’avais un vague souvenir. J’attendais patiemment d’arriver à ma gare. J’avais encore à marcher pendant une dizaine de minutes avant d’arriver chez moi. Une maison ou un appartement ? Je ne m’en souvenais pas.
Le bruit du train continuait alors qu’il était arrêté à quai. Pratiquement tous les passagers se levèrent pour descendre. Il ne restait plus que moi, en dehors d’un jeune étudiant habillé d’un costume vieillot. Il portait des bretelles par-dessus sa chemise et un nœud papillon. Il attendait en regardant un partout autour de lui. Des pas retentirent dans mon dos. Je me tournai, et elle avança tel un ange vers le paradis. Son visage rayonnait de bonheur. Elle portait un ensemble gris. Ses bas apportaient une couleur bronzée à ses longues jambes. Ses talons claquaient. Elle marchait naturellement comme un top-modèle de magazine. Sa main droite caressa sa chevelure qui penchait sur son épaule droite, pendant que la main gauche tenait une valise marron. Elle sourit à mon passage, puis continua d’avancer. Le jeune homme resta obnubilé par sa beauté. Il était passionné par la couleur pourpre de ses lèvres, le contour de ses yeux marron. Il serra la bouche en examinant sa poitrine dressée sous le tissu de sa robe. Lorsqu’elle le dépassa, il tourna la tête pour accompagner du regard ses jambes parfaites et son cul ressortit par la robe moulante.
Elle marcha au son de ses talons et du train qui démarra. Puis elle s’arrêta et choisit un siège au fond de la voiture. Elle posa sa valise sur le siège voisin et avant de s’assoir, elle regarda dans notre direction. Gêné d’être pris en flagrant délit, le garçon reprit immédiatement sa posture d’avant. Il observa dehors, devant lui. Il n’osait plus tourner la tête vers le couloir. De mon côté, je continuai de la regarder. Je souris, elle répondit en souriant. Son visage illuminait le wagon. Mais lentement, il se déformait. Je reconnus les pommettes de Ludmilla, son menton. La forme de ses yeux devint plus ovale. Son nez se modela. Le mien se mit à saigner. J’essuyai le fluide rouge avec mes doigts. Dès lors, le train tourna jusqu’à m’écœurer. Cependant, ni l’étudiant ni elle ne bougeait. Ils restaient à leur place. Lui, regardant par la fenêtre. Ses tripes lui sortaient du ventre et dansaient sur ses cuisses. Un filet de sang coulait de son cou, repeignant sa chemise blanche. Elle, continuait de me dévisager. Elle ne souriait plus. Son nez se retroussa, son front s’élargit. Ses yeux changèrent de couleur préférant le jaune au marron. Ses dents s’aiguisèrent. Des griffes poussèrent au bout des doigts. Elle grogna si fort que je me sentis paralysé. Tout-à-coup, elle bondit dans ma direction. Et une fois proche, sa bouche se colla à ma gorge qu’elle entailla jusqu’à l’ouvrir par une plaie béante.
Je me réveillai soudain en pleine nuit. Le carrosse venait de s’arrêter. Nous étions devant la porte d’une forteresse. Johann discutait avec un garde. Il venait d’obtenir notre droit d’entrer dans Brasov.                                                                   Alex@r60 – juin 2022
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detournementsmineurs · 9 months
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"Robe" en coton brodé de fils de soie (circa 1922) et "Robe" en mousseline de soie brodée de perles de verre (circa 1922) présentées au "Musée de la Mode" d'Albi, août 2023.
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memoriae-lectoris · 1 year
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Ventes des biens de Saint-Just après sa mort ; inventaire
La vente de ses biens le 12 fructidor an III ne mentionne cependant dans sa garde-robe que douze cravates d’une valeur, il est vrai, de 1000 F (six de mousseline, cinq de soie et une de tissu inconnu) mais le notaire énumère quarante-trois autres pièces vestimentaires - Deux pantalons de drap bleu, une houppelande de molleton gris [220 F] - Un pantalon de soie blanche [360 F] - Une culotte de peau de daim [163 F] - Un gilet de drap bleu à boutons de cuivre, une culotte de drap bleu, un col noir et sa boucle de cuivre, deux paires de gants, deux ceintures tricolores [132 F] - Deux gilets de mousseline dont un à boutons de cuivre, un chapeau rond à une ou trois cornes [82 F] - Un chapeau rond et à trois corne à gances d’or [175 F] - Un bonnet de police de drap bleu, revers rouge galonné d’or [170 F] - Un mauvais habit de drap gris rayé [600 F] - Un habit de drap bleu, mangé de vers à boutons uniforme, un autre habit de drap bleu [187 F] - Une mauvaise redingote de drap bleu à boutons en cuivre [230 F] - Un manteau de drap bleu [520 F] - Six chemises d’homme [800 F] - Deux mauvaises paires de bas de coton, six mauvaises paires de bas de soie, une paire de bas de filoselle [303 F] - Quatre mauvaises paires de bottes [78 F] - Une paire de bottes, une paire de tirebottes [300 F] Même si on y ajoute une épée à poignée d’acier taillée en pointe de diamant et une canne en bambou (202 F), deux épaulettes et deux contre-épaulettes, trois morceaux de galon, le tout en argent (600 F) et un paire d’éperon et un porte-crayon en argent (1 420 F),  cette garde-robe d’un montant approximatif de 7 542 F en assignats (189 livres environ en monnaie de compte ancienne) ne respire pas l’opulence. Source : Nicole Pellegrin, Les vêtements de la liberté, 1989
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