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#misère sociale
ibonoco · 5 months
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It's raining again
    (Réédition du 6 février 2019) https://ibonoco.files.wordpress.com/2019/02/musique-film-la-haine-1995-vincent-cassel.mp3   UN JOUR DE PLUIE COMME UN AUTRE Un matin pluvieux de février… Un tout petit matin pluvieux comme il y en a tant dans une vie, une vie qui peu à peu perd ses couleurs, se ternit avant de s’éteindre totalement délavée parce qu’il a trop plu alors qu’il faisait déjà beau…
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hcdahlem · 2 years
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En salle
La narratrice de ce premier roman original raconte son enfance marquée par les arrêts au fast-food sur la route des vacances et son travail dans cette même chaîne une dizaine d'années plus tard. Deux récits en parallèle et un contraste saisissant.
  En lice pour le Prix Médicis En lice pour le Prix littéraire les Inrocks En lice pour le prix du Premier Roman 2022 En lice pour le prix du Roman des étudiants France Culture-Télérama En deux mots Sur la route des vacances, l’arrêt au fast-food est une fête pour la narratrice et son frère. Ce qu’elle n’imagine pas, c’est qu’une dizaine d’années plus tard, elle sera employée dans cette même…
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Constance Debré - Offences
RENTRÉE LITTÉRAIRE HIVER 2023 “Il n’y a pas d’innocents”, car nous sommes coupables, nous dit en pointillé Constance Debré dans Offenses. Ce cri, où l’écriture est taillée, dépecée de toutes émotions et de tous ressentis, énonce, dénonce même, la partialité du jugement en matière de Justice et la violence comme expérience salvatrice. Pour elle, loin de représenter la justesse, la Justice n’est…
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gatheringbones · 9 months
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[“Poverty is embarrassing, shame inducing. Misery (misère), the French sociologist Eugène Buret once remarked, “is poverty felt morally.”
You feel it in the degradation rituals of the welfare office, where you are made to wait half a day for a ten-minute appointment with a caseworker who seems annoyed you showed up. You feel it when you go home to an apartment with cracked windows and cupboards full of cockroaches, an infestation the landlord blames on you. You feel it in how effortlessly poor people are omitted from movies and television shows and popular music and children’s books, erasures reminding you of your own irrelevance to wider society. You may begin to believe, in the quieter moments, the lies told about you. You avoid public places—parks, beaches, shopping districts, sporting arenas—knowing they weren’t built for you.
Poverty might consume your life, but it’s rarely embraced as an identity. It’s more socially acceptable today to disclose a mental illness than to tell someone you’re broke. When politicians propose antipoverty legislation, they say it will help “the middle class.” When social movement organizers mobilize for higher wages or housing justice, they announce that they are fighting on behalf of “working people” or “families” or “tenants” or “the many.” When the poor take to the streets, it’s usually not under the banner of poverty. There is no flag for poor rights, after all.
Poverty is diminished life and personhood. It changes how you think and prevents you from realizing your full potential. It shrinks the mental energy you can dedicate to decisions, forcing you to focus on the latest stressor—an overdue gas bill, a lost job—at the expense of everything else. When someone is shot dead, the children who live on that block perform much worse on cognitive tests in the days following the murder. The violence captures their minds. Time passes, and the effect fades until someone else is dropped.
Poverty can cause anyone to make decisions that look ill-advised and even downright stupid to those of us unbothered by scarcity. Have you ever sat in a hospital waiting room, watching the clock and praying for good news? You are there, locked on the present emergency, next to which all other concerns and responsibilities feel (and are) trivial. That experience is something like living in poverty. Behavioral scientists Sendhil Mullainathan and Eldar Shafir call this “the bandwidth tax.” “Being poor,” they write, “reduces a person’s cognitive capacity more than going a full night without sleep.” When we are preoccupied by poverty, “we have less mind to give to the rest of life.” Poverty does not just deprive people of security and comfort; it siphons off their brainpower, too.”]
matthew desmond, from poverty: by america, 2023
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secretmellowblog · 5 months
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@french speakers in the Les Mis fandom, calling for help again! I noticed a funky translation difference between different versions and I’m really curious about your thoughts on what is more accurate!!
In the preface/first sentence of Les Mis, I’m curious about the most accurate way to translate the phrase I’ve bolded:
Tant qu’il existera, par le fait des lois et des mœurs, une damnation sociale créant artificiellement, en pleine civilisation, des enfers, et compliquant d’une fatalité humaine la destinée qui est divine ; tant que les trois problèmes du siècle, la dégradation de l’homme par le prolétariat, la déchéance de la femme par la faim, l’atrophie de l’enfant par la nuit, ne seront pas résolus ; tant que, dans de certaines régions, l’asphyxie sociale sera possible ; en d’autres termes, et à un point de vue plus étendu encore, tant qu’il y aura sur la terre ignorance et misère, des livres de la nature de celui-ci pourront ne pas être inutiles.
Most versions I’ve read translate it as “the degradation of man by poverty” or some equivalent to that.
Hapgood’s translation:
the degradation of man through pauperism,
Wilbour:
The degradation of man by poverty,
But Wraxall, who I’ve heard* is often a lot more inaccurate, translates it as:
the debasement of man by the proletariat
Which seems to have a very different connotation? It comes across (maybe unintentionally) as targeting poor people instead of targeting poverty. My gut instinct was that Wraxall was mistranslating, but it looks like the original French word (le prolétariat) is a cognate for “the proletariat.” Is there some context about the French word’s use, especially in the 19th century, that I (or Wraxall) am missing?
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vicnormansstuff · 4 months
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« Imaginez une société imposant à ses membres des conditions qui les rendent terriblement malheureux, puis qui leur offre des drogues pour les soulager de leur misère. De la science-fiction ? C’est déjà le cas, jusqu’à un certain point, dans notre société. [...] Plutôt que de modifier les conditions qui causent la dépression, la société moderne offre aux gens des antidépresseurs. Le but des ces médicaments est de modifier l’état intérieur d’un sujet de façon à ce qu’il accepte des conditions sociales qu’il jugerait sans cela inacceptables. »
— Theodore Kaczynski, L’Avenir de la société industrielle (1995)
https://libertas.co/wiki/Theodore_Kaczynski
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ameretat · 9 months
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Bonjour à tous,
J’ai hérité d’une partie de la bibliothèque de mon arrière grand-père ! Grand germanophile et passionné d’Histoire. Il avait pour habitude d’offrir un de ses livres à chaque arrière petit-enfant pour Noël. Alors, pour perpétuer cette tradition à ma façon, voilà les livres que je ne lirai pas et que je peux vous donner s’il y en a qui vous intéresse !
Vous pouvez m’envoyer un message privé. N’hésitez pas à partager ce post et à en parler autour de vous ✨
Ps : quand il n’y en a plus, il y en a encore !
Je donne également :
Lettres et Propos sur l'Art, Nicolas Poussin
La tentation de l'Occident, André Malraux
Le Ciel et l'Arcadie, Maurice Denis
Face au drapeau, Jules Verne
Les vieux souvenirs, Prince de Joinville
Vielles Maisons - Vieux papiers, G. Lenotre
Le mystère français, Emmanuel Todd et Hervé Le Bras
Discours sur l'Histoire universelle, Bossuet
l'Histoire du sentiment religieux en France + La poésie pure, Henri Bremond
Histoire de France + Histoire de deux peuples, Jacques Bainville
Histoire contemporaine : philosophie mathématiques
Le XVIIème siècle, Lagarde et Michard
Récits du temps Mérovingien, Augustin Thierry
Histoire d'Allemagne, Charles Bonnefon
L'Allemagne, Edmond Vermeil
L'Allemand, Jacque Rivières
Français et Allemands, Louis Reynaud
La guerre sous les mers, Edmond Dellage
Précis de droit maritime, Georges Ripert
Chronique des Pasquiers, Georges Duhamel
Les coulisse de l'Histoire, Octave Homberg
Splendeurs et misère de M. de Chateaubriand
Des livres sur Charles de Gaulle ainsi que sur sa femme, des oeuvres d'André Maurois, Emmanuel Mounier, et Katherine Mansfield. Une grande collection de l'oeuvre de Jules Romain. Certains volumes de la collection Semaines sociales de France, ainsi que de l'A.E.S.
Et si vous parlez allemand, il y a toute une collection de livres allemands !
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raisongardee · 8 months
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"Nous sommes tellement pétris par Mammon que nous en avons oublié comme la Providence prend soin de nous. N'est-ce pas une chose très angoissante que de voir des jeunes de bonne race mais sans gravité, sans religion, chercher la voie la plus propice à leur faire vite "engranger du fric" ?  Les aventures du cadre Berthier dans le film Une Époque Formidable disait déjà tout. L'immense triche de "faire carrière",  de "viser les hauts salaires" lorsqu'elle est répétée par toute une classe d'âge va forcément démultiplier l'immigration de bas salaires. La muflerie ESC de prétendre au titre de "cadre" pour encadrer, pour superviser ceux qui travaillent et jamais faire soi-même le travail porte en germe la colonisation par importation massive de profiteurs qui vont bâcler le travail, écœurer les travailleurs du sol par bas salaire et bas travail. Un peuple ? Un troupeau de cadres. Universités remplies "d'étudiants étrangers" aspirants cadres. Tous d'accord pour cette attitude quasi métaphysique : faire faire le travail par d'autres et s'enorgueillir de cela. Le travailleur à son compte, autonome, ostréiculteur, plombier, carreleur, sont les vrais créateurs de richesse, les apporteurs utiles de valeur ajoutée. Et quelle misère leur font la police, les normes, le stationnement, le fisc... Le juste châtiment pour avoir prétendu par des études encadrer les autres c'est de devenir soi-même un précaire du tertiaire surdiplômé incapable, n'encadrant personne, et doublé dans la méchante compétition sociale par des ouvriers qualifiés bien payés dès leurs 25 ans."
Lounès Darbois, août 2023.
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pilferingapples · 1 year
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Les Mis Letters: Preface
Tant qu'il existera, par le fait des lois et des mœurs, une dam- nation sociale créant artificiellement, en pleine civilisation, des enfers, et compliquant d’une fatalité humaine la destinée qui est divine ; tant que les trois problèmes du siècle, la dégradation de l’homme par le prolétariat, la déchéance de la femme par la faim, l’atrophie de l’en- fant par la nuit, ne seront pas résolus ; tant que, dans de certaines régions, l’asphyxie sociale sera possible ; en d’autres termes, et à un point de vue plus étendu encore, tant qu’il y aura sur la terre ignorance et misère, des livres de la nature de celui-ci pourront ne pas être inutiles.
-Hauteville-House, 1862. (from this very nice French edition! thank you, @everyonewasabird , for the link!)
Hello everyone in the Les Mis Letters/Les Mis Daily tag! I'm going to be trying to use this year's readalong to work on my French a little -- I absolutely am not up to reading the whole Brick in French, but I'm hoping doing a little comparison reading every day will be good practice to help me get there!
(Fair warning: I'll be keeping my posts in the Les Mis Letters and Les Mis Daily tags spoiler free, or else spoilertagging intensively if necessary, but I've been posting about this book for ..oh no a decade now..and most of my blog is not spoiler free, nor tagged for it, at all.)
It occured to me while I was looking for an online French edition with this quote that the first translation I read of LM was FMA, which includes a decent, if necessarily brief, capsule bio on Hugo, and explained Why the heck one of the most Parisian authors ever was writing from Guernsey (Hauteville House). I may not have been able to really understand the context of the political revolutions in France back then (it was...longer than 10 years ago XD) but at least I knew he was in political exile!
But neither the French original nor the first English translations (Wilbour, Hapgood, assorted others) made mention of it. Which makes sense! They didn't have to! Because Hugo's exile was famous, his then-established role as a republican figurehead and organizer as well known as his writing-- inextricable from his writing at that point, really, with the publication of Les Chatiments. Anyone reading Hugo at that point would entirely have been looking to see a political lens in his work ; even if Hugo hadn't wanted to deal with social issues at all (and of course he did want to!) , just needing to get past the censors of the 2nd Empire would inevitably require an eye to the possible political readings of his novel, and how to pass them by the censor's shears or flat-out bans.
But that was 150+ years ago. These days even a pretty decent bio of Hugo might leave the immediate political context around the writing of LM underexplored, just because really exploring it would take So Much time.
But here with Hapgood, as with the original French, the whole thing can be summed up with "Hautevile-House, 1862"-- the simple fact that France's famous author is not writing from France.
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Pour le logicien Bertrand Russel, un système est toujours:
•soit incomplet et consistant
•soit complet et inconsistant.
Lacan définit ses "quatre discours" (H, U, M, A) comme les modalités logiques d’un "lien social" dégagé de toute nécessité de groupe, pour un sujet apparu comme rejet de la chaîne signifiante, un sujet barré, noté $.
La tentation du totalitarisme fait écho chez le sujet au fantasme de complétude, le rejet – inscrit dans ce que Hegel appelle "la loi du cœur" – du désordre du monde, alors que s’il avait appris quelque chose de la subversion psychanalytique, il y lirait le "pas tout"…
"Il est certain que se coltiner la misère (…) c'est entrer dans le discours qui la conditionne, ne serait-ce qu'au titre d'y protester." (Lacan, Télévision)
La leçon de la psychanalyse n'est pas: "renoncez à vos rêves, la vie est cruelle, acceptez-la telle qu'elle est..." mais plutôt: "vos jérémiades, vos indignations, vos gémissements ne sont qu'hypocrisie car ils sont le paravent derrière lequel vous vous adaptez à cette réalité faite de manipulation et d'exploitation", en nourrissant les symptômes de sens, vous ne faites que leur donner continuité de subsistance.
Si l’universel, l'universalité "concrète" ne se donne qu’au sujet engagé, à savoir le sujet qui aura pris partie, et donc choisi son camp, son camp réel n'a rien à voir avec ce qui se présente à lui comme prédéterminé par la machinerie automatique de l'opinion qui convoque l’imaginaire des identifications, son camp étant son combat réel, il doit être prêt à mourir pour son combat, parce que ce combat n’est rien d’autre que son désir.
Si l’universalité du combat est le seul universel qui nous soit véritablement accessible c’est qu’il tient à la singularité absolue de chaque sujet. Mourir pour son désir, cela aura changé la vie du sujet. Il n’y a pas de "destin collectif". Voilà l'indispensable prémice qui permet de saisir la vérité de l'assertion lacanienne selon laquelle le collectif n'est rien que le sujet de l'individuel.
Si le but de l’analyse ne peut en aucun cas être solipsiste, c’est qu’elle aura permis au sujet de saisir l’écart entre son inscription imaginaire dans "le social" et le réel que comporte la dimension de l’espèce des corps parlants dont il reste jusqu’au bout un représentant.
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kayssweetdreams · 1 year
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Prim and Proper Problems Ch 22
Dolly and Madame Prim gazed at the odd Sickle with confusion, but Yuri and Kaylo gave a smile "Thanks Wormy!" Yuri said. Madame Prim gazed on in confusion, but her expression turned into horror at the giant bug like monster that was angrily staring at her. "I-It's A G-Giant B-Bu-Bu-Bu-!" Madame Prim shuddered "Bu-Bu-Bug? Yes...and this one has a few 'things' to say to you Prim." Kaylo said.
Wormsworth gave an enraged growl as she swung one of the Sickles at Madame Prim, causing her to fall out of the tree. The headmistress let out a scream as she ran away from the willow tree. The girls looked at her as she ran away "Should we go after her?" Dolly asked "Nah...Let her run. The others have a few things to say to her anyway." Yuri replied as Wormsworth took on her human form again and gave Yuri another hug.
Back with Prim, she was currently running for her life from the giant bug like monster that took a swing at her, when her way was blocked by more very large, and very angry monstrosity looking beasts. Haoyu was sitting on Worville's wing "Oh hello again Madame Prim...Did I ever introduce you to our friends the Negabosses? They said that they have a LOT of stuff they want to say to you." He said.
The Negabosses all growled at her, all ready to pounce on the woman. Madame Prim backed away from them, but she found her way blocked by two other odd looking individuals...who both now had glowing balls in their hands. "You must be Madame Prim. We must say...the future for you is looking rather grim." They said, rising above the ground, their eyes locking DIRECTLY at her.
Meanwhile, back inside the school, the Wonder Stars and Misère were currently helping break the PPP students free from the brainwashing, when they heard the terrified shriek of Madame Prim. "What's going on out there?" Emma asked. Rebecca peeked outside "it would appear that the maestros and the very angry Negabosses of the Inhabitants decided to go after Madame Prim." She said, watching as Madame Prim nearly got cut in half by a chainsaw welding Fortie.
"Well...I can't say that she didn't deserve it." Leo said, as they saw her avoid a fireball shot by the Hydrac. "But what do we do now? Most of the staff are planning on fleeing the school, and Madame Prim is still free..." Emma asked. "I've got an idea. I'll be right back, just give me 5 minutes." Trisha Jane said before running back to the headmistress office. The kids wondered what she was doing before they saw the Bruno family tackle and dog pile Madame Prim.
"Well...Couldn't have been said that they don't care about each other." Rebecca said, watching as the various family members began attacking Madame Prim with various things, as Cookie Bruno jumped down on her like a wrestler. That's when Trisha Jane came bounding back with a smug look on her face "That was fast! But...what did you do?" Mei asked. "Wait for it..." Trisha Jane said before a loud "BUZZ" was heard from their pockets.
Pulling out their phones, the kids could see that Trisha Jane had leaked EVERYTHING about the school onto various social media pages, as well as leaked it to the police, the fire department, the news and EVERYONE else. The kids smiled "Nothing like a boarding school in the middle of nowhere that brainwashes kids to get the attention of everyone in town." Emma said.
Misère took a deep breath as she watched the chaos unfold. "This is beautiful." She said, watching the teachers that hurt her a long time ago get doused with paint, feathers, and glitter and humiliated by the freed girls. "You kids managed to take the school that tormented me for so many years...Thank you." She said with a gracious smile, a single tear slipping down her face. "We couldn't have done it without you Misère, after all, you did tell us where the school was hidden." Mei said. "Yes, I did...although, I'm not finished yet." She said with a determined look as she stormed outside to find the former headmistress
Back outside, The Negabosses, Maestros, and both families were still after Madame Prim as the Grim Creeper froze her legs to the ground. "Y-YOU STAY AWAY FROM ME!! GUARDS!! GUARDS!! WHERE ARE YOU?!" She yelled, only to look in dispear at her guards being hung like a piñata, and beat up by a metal bat welding Fortie. Aria walked up to the terrified woman "Stand down Prim. It's OVER." She said.
Madame Prim glared at the young woman "SHUT UP!! I should have brang you to this school in your youth by force when I had the chance! You could have been PERFECT...But look at you now...a dismal disappointment in society." She spat. "No Prim. She's not a disappointment in society. YOU are." Iben said, standing by Aria's side. "I couldn't have agreed more." Misère said as she sauntered towards them.
The former headmistress looked at her former escapee. Misère glared down at her "You made me hide in an old abandoned mansion for most of my days. You had me be cast from my own home. And you do the same things to other girls for years...If anyone is a disappointment to society. It's you. It has been you, and it always WILL be you." She said, getting into Madame Prim's face. "What are you going to do?" Madame Prim asked.
"Something I should have done a LONG time ago." Misère replied. Just then, she turned around, her back to Madame Prim...before she spun around and punched the woman in her face, knocking out a few of her teeth. The Negabosses, Maestros, Inhabitants, and Families looked on in shock as Misère shook her wrist "Oh that felt good! That felt SO good! That was better than the punching bag!" She cheered.
Balan smiled before he saw various flashing lights and heard sirens "It would seem the authorities are here. Better have your human disguises I fear." He said as he snapped his fingers, making him, Lance and the Negabosses look human again while the lights and sirened cars got closer to what was Prim. Proper. Perfection...
Mei belongs to @sundove88
Rebecca belongs to @thehypercutstudios/@thehyperrequiem
Trisha Jane belongs to @lovelyteng
Aria belongs to @shadowqueen402
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hcdahlem · 2 years
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Les corps solides
Les Corps solides, le nouveau roman de Joseph Incardona est une pépite, bien dans la lignée de La soustraction des possibles. On y suit Anna, essayant de se sortir de ses problèmes d’argent en participant à un jeu de téléréalité particulièrement cruel.
    En lice pour le Prix littéraire les Inrocks En deux mots Anna est victime d’un accident de la route au volant de sa camionnette-rôtissoire qui est son gagne-pain. Elle va alors se retrouver en grandes difficultés financières. Son fils Léo décide alors de l’inscrire à un jeu de télé-réalité pour remporter un véhicule de 50000 €. Elle va finir par accepter d’y participer. Ma note ★★★★ (j’ai…
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minivirgo · 10 months
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j’ai tellement de misère à respecter ma social battery 🤮 je me sens toujours terriblement coupable. comment vous faites
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thebusylilbee · 2 years
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"«Travail mauvais qui prend l’âge tendre en sa serre / Qui produit la richesse en créant la misère / Qui se sert d’un enfant ainsi que d’un outil !», Victor Hugo, Melancholia, Les Contemplations, 1856.
C’est un temps que l’on pensait révolu, celui où les enfants s’épuisaient à l’usine. C’est un temps où, dans les années qui suivirent, on avait la volonté ambitieuse de penser la formation de ces jeunes issus de milieux modestes comme un enseignement global, performant dans les gestes professionnels, exigeant dans la construction des savoirs généraux et de la citoyenneté.
Aujourd’hui, le lycée professionnel c’est un peu plus de 600 000 élèves. Soixante-douze pour cent des élèves en baccalauréat professionnel sont des enfants d’ouvriers, d’employés, d’inactifs et de retraités (1). Autant dire que, même si l’école reproduit et amplifie les inégalités sociales, elle reste, pour ces élèves des classes populaires, un outil indispensable pour espérer un avenir meilleur. Et c’est parce que le lycée professionnel scolarise ces enfants-là et que les «premiers de cordée» n’envisagent pas un seul instant d’y mettre leur progéniture, qu’il est aujourd’hui attaqué. Au nom de la sacro-sainte «valorisation de la voie professionnelle», les gouvernements successifs n’ont fait que démanteler, en réalité, des acquis durement gagnés.
C’est la «stratégie du choc»
Déjà, en 2007, le président Sarkozy réduisait d’un an le cycle conduisant à l’obtention du baccalauréat professionnel, passant de quatre à trois ans. Les résultats ont été immédiats : des élèves trop jeunes sont arrivés dans nos classes, des centaines d’heures d’enseignement ont été supprimées, les plus faibles ont décroché, et leur formation a été moins qualifiante. Ce fut la première rupture avec cette école de la deuxième chance. D’autres allaient suivre. En 2014, c’est le gouvernement Hollande qui, dans l’indifférence générale, supprime le label ZEP, entraînant une baisse des moyens et une hausse des effectifs au sein des classes. On arrêtait de donner plus à ceux qui avaient le moins. En 2018, avec la réforme Blanquer, ce sont des centaines d’heures d’enseignement général que l’on retire (encore) aux élèves ; le BEP, parfois le seul diplôme de ces élèves en difficulté, disparaît ; le statut d’enseignant est contesté ; des centaines de postes d’enseignants sont supprimés. Aujourd’hui, le président Macron plante le dernier clou dans le couvercle du cercueil. Toujours plus vite, toujours plus fort, il place l’enseignement professionnel sous l’égide de deux ministères, celui de l’Education nationale et celui du Travail.
Quel sens donner à ce choix ? C’est assez limpide. La formation des enfants de «ceux qui ne sont rien» sera désormais soumise aux besoins économiques des entreprises. C’est la «stratégie du choc» pour balayer cent ans d’histoire de l’enseignement professionnel. Il s’agit de fermer les formations prétendument «non insérantes» et d’instaurer des formations réduites aux débouchés locaux et immédiats. C’est déscolariser davantage en diminuant toujours plus le nombre d’heures d’enseignement au profit du temps passé dans l’entreprise. C’est réduire la possibilité d’orientation de nos élèves déjà entravée par Parcoursup. C’est assumer d’envoyer des enfants de 15 ans au travail alors que leur place est à l’école. Travail qui, comme dirait Hugo, «tue, œuvre insensée / La beauté sur les fronts, dans les cœurs la pensée».
C’est l’inverse qu’il faut faire
Le président Macron s’appuierait sur le «bon sens». Aller en entreprise formerait des travailleurs plus compétents. Alors que les termes de «mobilité», «flexibilité», «adaptabilité», «polyvalence» sont dans toutes les bouches de «ceux qui réussissent», on réduirait la formation de ces futurs travailleuses et travailleurs à un long stage en entreprise ? On les priverait d’une formation conséquente et globale en termes de savoirs, de compétences, de savoir-être ? Il faut vraiment n’avoir jamais porté des marmites de cantines scolaires, tiré du câble électrique sur les chantiers par n’importe quel temps, vidé les fosses septiques ou changé les couches des personnes âgées pour penser que le travail en entreprise peut être préférable à la formation professionnelle scolaire.
C’est exactement l’inverse qu’il faut faire. Pour assurer une formation qualifiante à nos élèves et leur permettre de trouver toute leur place dans l’entreprise et la société, pour leur assurer la possibilité d’une évolution de carrière, il faut augmenter la formation en milieu scolaire et rendre les heures d’enseignement qui leur ont été retirées. Dans les lycées professionnels, tous les élèves sont accueillis sans discrimination, la réussite aux examens en formation initiale est meilleure (2), les poursuites d’études sont plus nombreuses (3), le taux de décrochage est moins élevé (4). Bref, sur le long terme, nos élèves s’insèrent mieux dans la vie professionnelle et citoyenne.
Aux plus vieux, la réforme des retraites ; aux enfants des classes populaires, le travail dès 15 ans ! Qu’en est-il de la «République de l’égalité des chances» d’Elisabeth Borne martelée dans son discours de politique générale ? Il faut être à la hauteur de ce qui se joue aujourd’hui. C’est cela que, nous, enseignantes, enseignants, parents d’élèves, citoyennes et citoyens, devons aux lycéennes et lycéens de l’enseignement professionnel. C’est pour cela que nous manifesterons le 18 octobre et que nous appelons à constituer des collectifs de défense des lycées professionnels partout en France.
(1) Rapport repère et référence statistique, 2022.
(2) Taux d’accès au diplôme de 68 % pour le bac pro et 73 % pour le CAP, contre respectivement 41 % et 59 % en apprentissage.
(3) 46 % contre 9 % pour l’apprentissage.
(4) 13 % contre 30 %."
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profenscene · 1 year
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Lundi 5 juin
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"Ne sois pas trop sévère, tout le monde mène un combat difficile."
Oui, cette citation est gênante - en anglais on dit : cringe - mais j'ai beau en faire le tour, je ne parviens pas à la trouver totalement débile. Pire : elle m'est souvent utile.
Comme lorsque je vois des parents d'élèves.
Comme tout le monde, comme de nombreux autres enseignants, il m'arrive d'essentialiser : "Là-bas - là-bas, c'est là où je bosse - c'est la violence / la misère sociale / des CSP++."
C'est confortable d'essentialiser. Ça permet de se sentir plus à l'aise avec le sentiment de mépris dégueulasse qui naît en nous quand un parent d'élève nous demande un entretien, que l'entretien en question te prend une heure, qu'il ne va nulle part, parce que les phrases sont mal foutues, que les idées émises, tu trouves, sont débiles, que tu en sors sans avoir rien appris.
"Ne sois pas trop sévère, tout le monde mène un combat difficile."
Je tente de voir chacun de mes élèves comme un individu à part entière. Un réservoir potentiel de merveilles. Ils sont les plus fabuleux, pour la bonne raison que nous nous sommes rencontrés.
Et pourtant, j'ai énormément de mal à avoir autant de bienveillance avec les adultes. Parce que je les estime responsables de leur sort, parce que je veux qu'ils se comportent de façon digne, parce que je veux...
Hey.
Du calme.
Ne sois pas trop sévère.
Ne sois pas non plus dans la commisération.
Oui, il y a des adultes et des parents dont les comportements sont alarmants. Mais plus encore qui, tout simplement, ne sont pas sur ta longueur d'onde. N'ont pas tes valeurs. Ça n'est pas grave. Prends ton temps, là aussi. Écoute-les. Oh, et plutôt que cette citation un peu douteuse, pourquoi tu ne t'en tiens pas à ce principe, que tu serines à tes sixièmes depuis le début de l'année, et qui semble avoir fonctionné, si bien fonctionné que c'était un miracle ?
"Prenez soin les uns des autres."
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icariebzh · 1 year
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"Les misères ne cessant de s'accroitre, partout, tout comme les privilèges des riches, j'estime donc que ce n'est plus la peine d'attendre des preuves supplémentaires pour tirer une première conclusion, qui ne sera certes pas admise aisément à Washington, par les institutions de Bretton Woods qui ne cessent de proposer - et d'imposer - le libéralisme. Eh bien, ce libéralisme, le voici en pleine faillite, peu après l'effondrement du communisme. Pour s'en tirer, il faudrait d'abord que cette faillite soit vite reconnue, évaluée - et corrigée. D'autant plus que le dérapage démographique et les atteintes à l'environnement qui s'y ajoutent, ou plutôt qui en découlent, multiplient les menaces d'explosion sociale : elles me font peur. Comment peut-on être optimiste ? Sinon en recherchant presque désespérément un monde possible, construit sur d'autres bases économiques et politiques. Ce ne sera pas facile, mais nous y sommes acculés."
 René Dumont
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