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#mangeurs de viande
jhoumous-fr · 7 months
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"Je suis un prédateur"
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L’hiver polaire approche, et les températures descendront bientôt jusqu’à - 55 ºC. Les Inuits, rodés aux pires conditions climatiques de l'Arctique, s’y préparent. Comment ce peuple de chasseurs a-t-il réussi à s’adapter à un environnement aussi hostile pour l’homme ?
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Lithographie de 1884 représentant une famille inuite avec son équipement traditionnel. À partir du XVIe siècle, le terme d’Esquimau servit à désigner une grande partie des habitants des régions arctiques et subarctiques du globe. On ignore si ce terme signifiait initialement « mangeurs de viande crue » ou « constructeurs de raquettes à neige ». Quoi qu’il en soit, à cette dénomination désormais considérée comme péjorative, on préfère le terme d’Inuit, qui signifie « personnes » ou « êtres humains » en langue inuktitut
On estime que les premiers peuples paléoesquimaux abordèrent l’Arctique nord-américain voici environ 4 500 ans, après avoir quitté l’Asie et traversé le détroit de Béring. Plus tard, la culture néoesquimaude de Thulé, qui s’étendait il y a 1 000 ans de l’Alaska au Groenland. Les Inuits se répartirent en 21 tribus dispersées dans les régions arctiques de Russie (Tchoukotka), d’Alaska, du Canada et du Groenland, devenant ainsi l’ethnie la plus étendue au monde. L’habitat traditionnel le plus représentatif de ce peuple pendant les périodes les plus froides consistait en une construction de pierre et de tourbe, parfois surmontée d’un toit en forme de voûte et soutenue par une structure en os de baleine, de défenses de morse ou de bois flotté récupéré sur la côte. Tout comme les igloos en neige, ces habitations étaient construites sur des plateformes et l’on y accédait en empruntant un tunnel qui servait à piéger le froid. En été, les Inuits s’installaient dans des tentes en peau de caribou (un renne sauvage) semblables aux tipis des Indiens d’Amérique du Nord. La survie dépendait de ce que la nature offrait. Pendant les mois d’été, ils naviguaient à bord de leurs kayaks et de leurs umiaat, de grandes embarcations en peau, en quête de grands mammifères marins. Les femmes se livraient sur la terre ferme à la cueillette de baies et d’autres plantes sauvages, au ramassage d’œufs de volaille et à celui de mollusques et d’algues marines sur la côte. Si l’automne était la période la plus propice à la chasse au caribou, les Inuits la pratiquaient parfois au printemps ou en été, en fonction de la disponibilité des aliments et de leur degré de dépendance à cet animal
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zehub · 6 months
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Pourquoi les végétariens sont-ils une minorité, et les mangeurs de viande si nombreux ?
La diminution de la consommation de viande dans la plupart des pays développés, observée depuis plus d'une vingtaine d'années, constitue indéniablement un phénomène historique tout à fait inédit. Une étude de 2016 révèle qu'un Britannique sur trois a diminué sa consommation de viande, les femmes (34 %) bien plus que les hommes (23 %), les personnes âgées (39 % chez les 65 à 79 ans) davantage que les jeunes (19 % chez les 18 à 24 ans). C'est d'abord le souci de sa santé (59 %) qui conduit à réduire la consommation de viande, avant son coût (39 %) et bien plus que la souffrance animale (20 %).
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5 différences qui m'ont récemment frappée aux Etats-Unis
Des mangeurs de compote En France, on est des mangeurs de compote et ici aux Etats-Unis c’est marrant car la compote n’est pas un dessert mais une sauce nommée “Apple sauce” qu’il est conseillé de manger avec de la viande de porc :)) mais en fait c’est la même chose, sauf que vous ne le trouverez pas au même rayon et qu’il n’y a certainement que vous à ce moment-là qui l’achèterez comme un…
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jessicajac0b · 10 months
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8.16.2023
Aujourd'hui, j'aimerais discuter de l'alimentation des primates. Les primates mangent une variété d'aliments tels que des feuilles, des graines, des fleurs, des fruits, des noix, des insectes et même de la viande d'animaux comme les crabes, les singes et les antilopes. Chaque espèce de primate dépend principalement d'un type de nourriture - par exemple, les lémuriens à vari roux dépendent principalement des fruits et sont donc dit frugivores (mangeurs de fruits) et les gorilles dépendent principalement des feuilles et sont donc dit folivores (mangeurs de feuilles) . L'un des aspects les plus intrigants de l'alimentation des primates est que les plus petits des primates mangent les régimes les plus de haute qualité, tandis que les plus grands primates mangent les régimes les plus de mauvaise qualité. En effet, les grands primates ont des besoins énergétiques absolus plus importants (le total des calories nécessaires quotidiennement), mais des besoins énergétiques relatifs plus petits (le total des calories nécessaires par unité de masse corporelle). Un régime alimentaire de haute qualité pour les primates est riche en protéines et facile à digérer. Certains aliments sont plus difficiles à digérer que d'autres. Les aliments de mauvaise qualité et difficiles à digérer exigeant que le corps dépensent plus d'énergie que les aliments de haute qualité et faciles à digérer. Les feuilles sont l'un des aliments de moindre qualité, tandis que la viande est l'un des aliments de la plus haute qualité. Les gorilles peuvent peser jusqu'à 600 livres, et pourtant, ils se nourrissent presque entièrement de feuilles à faible teneur en protéines et en calories. Il est facile d'imaginer un si gros animal chasser et se régaler d'un dîner de viande, mais les primates qui mangent le plus de viande sont les tarsiers, qui ne pèsent qu'environ 6 onces. Cependant, les besoins énergétiques absolus et relatifs ne sont pas la seule raison de ce schéma. Les grands primates ont de gros estomacs, ce qui signifie qu'il y a une plus grande surface interne avec laquelle la nourriture entre en contact. Ce contact favorise et accélère la digestion des aliments. Donc, vraiment, même si cela semble être le contraire de ce qui devrait être vrai, l'énorme taille corporelle des primates comme les gorilles leur permettent de survivre avec des aliments de si mauvaise qualité. 
Vous trouverez ci-dessous des photos d'un gorille et d'un tarsier à titre de comparaison.
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jakez19 · 10 months
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Risitas réagit à la vidéo "Les Mangeurs de Viande Méritent-ils de Vivre ?"
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news24fr · 1 year
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Si vous commenciez à peaufiner votre halo Veganuary, désolé, j'ai une nouvelle bouleversante, glanée dans une émission de Radio 4 intitulée Est-ce mal de manger des plantes ?. Alerte spoiler : peut-être. Les plantes, explique-t-il, "peuvent ressentir le monde qui les entoure, apprendre, se souvenir et s'engager dans une communication complexe avec les espèces qui les entourent". La recherche suggère que les semis de pois peuvent apprendre à associer un son à la lumière dont ils ont besoin et choisir de pousser dans une direction particulière en conséquence. Ils peuvent aussi s'écouter mutuellement et se protéger en fonction de ce qu'ils «entendent». Les plants d'armoise communiquent entre eux le risque d'être rongés par les insectes et les arbres partagent les nutriments grâce à ce que la professeure Suzanne Simard appelle avec plaisir le "large toile de bois"; ils le font plus avec des arbres auxquels ils sont apparentés qu'avec des « étrangers ».Les plantes font-elles preuve d'intelligence ? "Certainement, oui - je n'y vois aucun problème", a répondu une personne interrogée sur le programme, me rebutant ma pomme de terre au four et faisant craindre ce que les plantes d'intérieur que mon fils a imprudemment laissées à mes soins disent de moi derrière mon dos. .C'est une indication qui fait tourner la tête de tout ce que nous avons encore à apprendre sur le monde. La question vraiment délicate, cependant, est de savoir ce qui reste pour le déjeuner d'un éventuel mangeur éthique? Le fruitarianisme éthique - ne manger que les parties des plantes qui se détachent sans danger, ne causant aucun dommage - pourrait répondre aux normes du Comité fédéral d'éthique sur la biotechnologie non humaine (qui a gouverné que les plantes ont le droit d'être protégé d'un préjudice injustifié). Mais que pourrions-nous manger au Royaume-Uni à cette époque de l'année sous ce régime : des noix ? Ne priverions-nous pas les écureuils ? La viande créée en laboratoire est encore au stade expérimental et coûte plus d'un Bifteck saupoudré d'or Salt Bae, mais la mortalité routière est-elle autorisée ? Je dirais que le respirianisme - ne "mangeant" que de l'air - mérite un renouveau, mais c'est fou, dangereux et probablement une secte, donc non. Alternativement, nous pourrions aller à l'encontre de décennies de conseils médicaux et nous en tenir à des trucs sans relation discernable avec quoi que ce soit de vivant : le régime Irn-Bru ? Ma dernière option : apprendre à faire de la photosynthèse. S'ils sont si intelligents, peut-être que les plantes peuvent nous apprendre. Emma Beddington est une chroniqueuse du Guardian
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Les Merciers
C'était en 1953 dans la prairie cajun du sud de la Louisiane. Décembre était exceptionnellement chaud et étouffant ; les températures ont grimpé dans les années 90. Et l'humidité s'est maintenue à cent. Il y avait une brume qui pendait si épais que le mouvement était encombrant. Papa Noël avait vraiment du mal à bouger avec tous ces vêtements en feutre rouge, ces cheveux blancs assez longs et barbus et un ventre qui tremblait comme un bol rempli de gelée de poivre. Il était chaud aussi, et je ne veux pas dire dans le beau chaud. Littéralement, Papa Noel avait l'air de sortir d'un bain dans le bayou - toujours trempé de sueur !
Une famille, les Mercier, Petal et Pistol Mercier et leurs neuf enfants traversaient une période difficile en cette période des Fêtes. Pistolet, nommé ainsi parce qu'il était un pistolet, un farceur, une vie de fête, et pouvait littéralement tirer sur le haut d'une bouteille de bière, le séparant du corps sans le briser. Bref, revenons aux Mercier : voici les enfants par ordre de naissance : Matilda, Michèle, Arnold, Pimenté, Colinda, Terez, Lucille, Michot et Tee.
Les récoltes avaient été mauvaises cette année et les Mercier avaient du mal à mettre de la nourriture sur la table. Pas des mangeurs extravagants, ni même de gros mangeurs, mais des mangeurs de survie ; les Mercier mangeaient pour rester en vie. La famille mangeait rarement de la viande. Les animaux de la prairie luttaient également contre la chaleur. Ils sont restés pour la plupart cachés sous des zones ombragées pour rester au frais et en vie. C'était une véritable saison d'hibernation au sommet de la Prairie.
Les enfants Mercier espéraient qu'un miracle se produirait dans la Prairie pendant cette saison des plus heureuses de Noël. Tee, le plus jeune, croyait aux miracles. Il avait toujours été un garçon imaginatif, ayant des visions et lévitant avec des esprits. Effrayed Petal and Pistol au début, mais ils ont ensuite appris à apprécier le don spécial de Tee pour le monde spirituel. La prairie cajun du sud de la Louisiane est un endroit spécial où les esprits demeurent et communiquent avec les esprits doués qui peuvent communiquer avec les saints.
Tee s'est réveillé quelques jours avant Noël vers neuf heures du matin ; c'était inhabituel pour Tee, il était un lève-tôt prenant généralement un café au lait avec Pistol et Petal pendant que les huit autres enfants dormaient. Le reste de la couvée a dû être cajolé hors du lit. La famille savait que lorsque Tee dormait, il rêvait, communiquant avec un esprit. Ces matins-là, Tee était un peu groggy, se déplaçant lentement et aux prises avec une vision. Il avait la vision en tête et avait besoin de son café au lait, puis d'une promenade à Bayou Tornade Mais Chien (traduit vaguement signifie tornade, mes chiens) ! C'est là, sur les rives de ce bayou, que Tee a compté et donné un sens à la vision. Alors et seulement alors, l'esprit de Tee a commencé à s'éclaircir et il a pu penser à des choses terrestres comme courir à travers les hautes herbes plumeuses de la prairie qu'il aimait tant.
Le fardeau de la vision a été levé et Tee ne pouvait pas attendre que la famille fasse l'expérience du miracle. Il ne leur a pas dit la surprise, mais dans sa vision, son grand-père qui avait les cheveux et la barbe blancs comme neige est venu vers lui pendant la nuit avec une vision. Tee avait senti un frisson glacé lui parcourir le corps lors de la visite de papa Mercier. Tee était l'un des petits-enfants préférés de papa Mercier. Il est décédé de la grippe quand Tee avait quatre ans. Il vivait à environ un mile de Pistol and Petal et de leurs enfants. Tee habitait surtout chez papa Mercier avec lui. Mama Mercier est décédée avant la naissance de Tee, il ne l'a donc jamais connue.
Tee visitait souvent papa dans des visions pendant qu'il dormait. Cette vision s'est produite vers quatre heures du matin. Tee sentit l'air humide se transformer en air froid et sec. Habituellement, Tee dormait nu à cause de la chaleur, mais aussi parce qu'il n'aimait pas la sensation d'un pyjama comme une veste serrée dans son lit simple. Tee dormait sur un matelas de plumes en duvet d'oie. Vers quatre heures du matin, alors qu'il était découvert et cul nu, Tee sentit l'air glacial. Les visions le laissaient généralement paralysé lorsqu'il communiquait avec le ou les esprits. Papa lui a dit qu'un événement insolite se préparait au réveillon de Noël. Il neigerait jusqu'au réveillon de Noël !
La veille de Noël, Pistolet et Pétale ont réuni tous les enfants. Ils avaient un gombo vert foncé et épais; peu commun dans le sud de la Louisiane en ce sens qu'il n'avait pas de viande. Un gombo vert est plein de feuilles de moutarde. Pétale a fait une grande marmite de riz des Prairies cuit dans une marmite noire. Elle l'a mis sur un feu ouvert pour cuisiner. Juste au moment où ils se sont assis pour manger sur la galerie (porche en plein air). Des boules de riz recouvertes d'un gombo épais et noir ont commencé à remplir leur ventre, puis les Mercies ont remarqué une rotation du vent. L'air était plus frais ! Délicieux et pleins d'énergie, ils ont commencé à danser autour du feu ouvert où le riz était suspendu pendant la cuisson. Pistol jouait du violon et Petal jouait du frottoir (planche à laver) et les enfants dansaient avec fais do do !
Tee regardé depuis le porche. Ils se tournèrent tous vers lui comme pour dire : « Merci pour le miracle !
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williamgunst · 2 years
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"Viandars" contre les cueilleurs de quinoa. McDonald's abandonne son burger sans viande... personne n'en veut !
“Viandars” contre les cueilleurs de quinoa. McDonald’s abandonne son burger sans viande… personne n’en veut !
Je ne sais pas ce que Sandrine Rousseau pense des “mangeurs de burger”. Sont-ils plus forts que la moyenne et faut-il prévoir un grand plat Mac ? Oui, c’est Big-Mac, ça se traduit par “big mac” en français. En termes de marketing, il se vend moins cher que l’anglais ! Cependant, ce qui est certain, c’est que McDonald’s abandonne son burger sans viande car personne n’en veut… “Après avoir annoncé…
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blogfrancaisll2022 · 2 years
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Super Samadi...
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De 14h00 à 16h00 : Formation en leadership. De 16h00 à 18h00 : Super soirée et paroles de Romain Duris.
Il y aura de la musique de toutes sortes pour tous les goûts, nous nous occupons d'embaucher le personnel approprié pour s'occuper de chacune des activités. Nous avons embauché un DJ pour s'occuper de la musique pendant la récréation, plusieurs chefs pour distribuer la nourriture à ce moment-là. Il s'agit d'un buffet où chacun peut choisir ce qu'il veut. Il existe des options de viande et de légumes pour les mangeurs de viande et les végétariens.
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Snowpiercer : un train qui a de la classe.
Attention, comme disent nos amis mangeurs de pancake au caribou : Ostie ! Ça va divulgacher à un point ça va partir en christ !
Donc on va parler ici du film et de la série Snowpiercer en s’intéressant surtout sur le discours sur la lutte des classes, qui est le petit fil conducteur de ces deux œuvres.
Le film Snowpiercer est une adaptation d’une bande dessinée française : Le Transperceneige et la série est une adaptation .... ben je sais pas trop, ça ressemble quand même plus d’une adaptation du film voir une prequelle qu’une adaptation de la bd sans liens avec le film, mais on y reviendra.
Alors c’est pas évident de comparer un film et une série car le format change la manière dont on raconte une histoire. Mais on va se concentrer plus sur le fond, le message, que sur la forme. En sachant qu’il y a plus de matiere dans la serie car c’est beaucoup plus long.
L’histoire :
En voulant lutter contre le réchauffement climatique la planète a pris un petit coup de froid puisque la température avoisine les -100° à peut prés, ce qui rend la civilisation humaine telle qu’on là connait..... compliqué.
Toute l’humanité est morte à exception d’un grand groupe de rescapés qui vivent dans un immense train conçu spécialement pour survivre à la fin du monde et qui voyage dans un grand tour du monde. Ce train a été conçu par un ingénieur de génie du nom de Wilford.
Lors du départ du train des gens qui n’avaient pas de billets se sont ruer vers le train pour y survivre. Ces “sans tickets” survivent à l’arrière du train sans aucun confort ni lumière, ne mangeant que les maigres rations qu’on leur fournit. A la moindre résistance une “correction” [du petit coup de crosse de fusil dans la tronche à l’amputation d’un membre] est administrée pour rappeler qu’ils ne sont pas censés être là à la base et qu’ils survivent parce qu’on le veut bien et que si ils voulaient bien resté sages pendant qu’on s’occupe des vrais passagers ce  seraient cool.
Le film et la série commencent alors qu’une révolution de sans tickets se préparent. D’autres ont déjà eu lieux et ont eu des résultats..... mitigés.
Le film :
On est 17 ans après le départ du train. Format du film oblige on va droit au but, on ne développe pas trop les personnages autres que les personnages principaux et on insiste sur la violence qu’il y a eu à l’arrière du train (cannibalisme, meurtre) en n’en mettant la responsabilité sur Wilford (ce qui n’est pas faux). La révolution est vite menée et se termine par un seul homme, le perso principal qui va chercher à tuer Wilford. On est plus dans une histoire de vengeance que d’une lutte de classe mais comme le film est ultra symbolique pas passe très bien. Notons qu’il s’agit d’un film Coréen, si le film avait été réalisé par un américains il aurait été moins symbolique et plus frontal je pense.
Dans ce train Wilford justifie la situation par la nécessite du maintient d’un équilibre dans l’écosystème qu’est le train. Une place pour chaque chose et une chose à sa place. Pour lui il est parfaitement normal qu’on traite comme des animaux les sans tickets car c’est leur place “naturelle”.
Ce besoin de contrôle de tout les parametres du train va même jusqu’à devoir réguler la population qui ne doit pas depasser un certain seuil. Quitte à organiser des révolutions.
On apprend en fin de film que les révolutions antérieurs (et l’actuel) sont organisés par Wilford et par le chef des sans tickets pour diminuer régulièrement la population des sans tickets et des gardes en les faisant s’affronter jusqu’à un niveau “idéal”. L’idée étant que si on ne le faisait pas au final on mourra tous de faim.
A cela on ajoute un petit concept d’homme machine où les enfants pauvres servent de pièce de rechange et sont lobotomisés façon Metropolis. (déshumanisation par la technique et l’industrie toussa toussa).
Le film se termine par le déraillement du train. Le film finit donc plutôt mal, les deux seuls survivants étant une ado toxicomane et un enfant de moins de 5 ans lobotomisé.
Idée du film : dans le cadre de la lutte des classes la lutte armée est au mieux inutile, au pire on fait que couler le bateau dans lequel on est tous. Tristesse, desespoir, si vous vouliez de la lutte des classes avec une happy end fallait regarder Matrix.
La série :
On est 7 ans apres le départ du train.
Comme on est dans une série on peut développer plus l’univers et même on le doit car 10 épisodes d’une heure avec que du symbolisme comme dans le film on perdrait trop en cohérence.
Du coup le propos sur la lutte des classes peut / va parfois / souvent passer en second plan. Etre assez superficiel voir “naif”.
Et parfois au contraire ça va être des idées plutôt pas mal.
Ici le train est bien séparé en 1er, 2eme et 3eme classe d’une part et les sans ticket à l’arrière. La 1ere vit dans le luxe, ne travaille pas et ont des putains d’appart géants. La 2eme semble etre constitué de travailleurs spécialisés de haut niveaux (médecin, généticien, ect) et ils vivent dans un env 20m² tres confortables. La 3eme classe vit entassée, chacun ayant son coin pas tres propre à lui et est constituée d’ouvriers.
Mélanie Cavil est une sorte hôtesse, elle s’occupe des besoins des passagers et est porte parole de Wilford. On comprend tres vite que c’est en fait elle qui dirige et que Wilford n’est qu’un mirage.
Dans cette série on suit un sans ticket, ancien policier, pour enquêter sur un meurtre dans le train, ce qui va l’amener à découvrir (ainsi que le spectateur ) l’univers du train.
Le bon point positif de la série est qu’ils ne sont pas tombés dans le cliché du “les pauvres sont gentils parce qu’ils sont pauvres et les riches sont méchants parce qu’ils sont riches” même si (et c’est ça qui est bien) beaucoup de personnages sans tickets et de la 1ere classe le pense eux !
On va pendant une grosse partie de la série se concentrer sur la préparation de la révolution et il est intéressant de noter que pour beaucoup de personnage la révolution est un but en soit, il n’y a pas d’apres, ce n’est pas un moyen. Un personnage va même aller jusqu’à dire que ce qu’on obtiendra de la révolution c’est en premier lieu de pouvoir “manger les riches”. C’est surtout Layton, le personnage principal qu lui voit la révolution comme un moyen de mettre en place un système plus égalitaire pour tout le monde.
Initialement Layton partage la vision caricaturale de l’arrière, à savoir que les riches sont méchants par nature et il se moque de manière dédaigneuse qu’on cultive dans le wagon agricole des fraises (symbole facile de luxe) ce à quoi Melanie lui répondra qu’on en a rien a tapper que ce soit un produit de luxe, c’est surtout que c’est le meilleur rapport taille / apport nutritif. 
Et petit à petit le perso de Mélanie va etre tres interessant parce que on se demande le “pourquoi” de ces inégalités et Mélanie va montrer que d’une part certaines choses en fait n’ont pas été voulu et que d’autres n’ont pas été choisit. En fait Mélanie est le personnage qui pose la question “comment gérer des ressources limitées dans un milieu inégalitaire ?” Mélanie est issue d’un milieu modeste, elle ne cherche pas à ce qu’il y ait une domination entre les classes mais elle n’hésitera pas à avoir une attitude tres utilitariste pour gérer les problèmes. Une greve en 3eme classe ? Ok. Vous avez 24h pour arreter la greve où on en tire 10 aux hasards qui partent à l’arriere avec les sans tickets. Parce qu’une greve de 24 ce serait la mort du train.
On enferme quelqu’un a tord ? Peut etre oui, mais là il faut vraiment rassurer les passagers donc tant pis, j’ai quelqu’un sous la main je l’utilise pour dire que j’ai trouver le coupable, je peux pas me permettre qu’il y ait une panique à bord.
Les vaches sont mortes ? Alors en vrais moi j’en ai rien a faire de la viande, ce qui m’inquiete c’est de plus avoir de fumier pour les cultures.
Vous pensez que j’emprisonne dans les caissons de stase tous les opposants et les mécontents ? Ben en fait non je met en stase toutes les personnes avec des compétences particulières dont on aura besoin quand un jour, inévitablement le train s’arretera parce que trop usé et qu’il ne restera que des gens nés dans le train et qui ne savent pas cultiver la terre ou réparer un moteur. 
On brise également le bloc “riche / pauvre” en montrant des situations de sans tickets qui envoi péter la révolution contre de la bouffe ou des gens de la 1ere qui vont fournir une arme discretos pour la révolution.
SAUF QUE
Ben sauf que la révolution finit par arriver. Mélanie est destituer, elle envoi un petit taquet à Layton du type “tu a l’impression que j’étais une dictatrice ? Ben va y, va gérer les problèmes je te regarde” et les deux derniers épisodes ne sont qu’une annonce de la saison deux. Et on s’intéresse de plus en plus aux personnages et de moins en moins à l’intrigue. Que donne le train dirigé par Layton ? Est ce que la révolution ça marche ? Ben on sait pas. On verra peut etre dans la saison deux.
C’est dommage parce que même si c’était diffus il y avait des petits points de réflexions intéressants et il y avait surtout de la nuance.
Alors le film lui était avec zero nuance mais c’était parce que ça avait du sens, on avait plus des symboles que des personnages. Donc là c’était pas grave.
J’espère que la saison deux repartira sur un rail “politique” et nous fera pas une casa del papel en explorant la back story des personnages.
Et j’espère aussi qu’on verra moins Mickey Sumner par ce que 1) comme elle est les 3/4 du temps en uniforme ça déconcentre et 2) quand elle commence à sourire c’est terminé on peut plus suivre l’épisode.
Et maintenant c’est l’heure du petit jeu !!!
Vous etes Mélanie, vous dirigez le train en disant agir au nom de Wilford (qui est surement mort)
Une ado psychopathe de la 1ere classe passe en jugement pour meurtre et torture sur des gens de la 3eme classe (parce que c’était rigolo selon elle). 
Le jury est composé d’un membre de chaque classe. La 1ere classe est en mode “Trololo le juré de la 1ere va forcement voter pour nous, celui de la 2eme aussi donc si le pauvre vote pas pour nous c’est pas grave”. La 3eme classe est elle très remontée et à peur que le crime reste impunie car l’auteur est de la première.
Surprise : les 3 jurés votent coupable et l’ado psychopathe de la 1ere est condamnée à la peine capitale. Les parents pas contents sont assez influents et ont déja posés des problèmes. L’ado vous sous entend qu’elle sait que Wilford n’est pas dans le train et menace de le révéler à tout le monde (donc foutre en l’air le pouvoir que vous avez et peut être jusqu’à lancer une révolte).
Que faites vous ?
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jhoumous-fr · 7 months
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Conseils ...
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zehub · 6 months
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Pourquoi les végétariens sont une minorité et les mangeurs de viande si nombreux 
Le végétarisme se développe au sein des classes les plus aisées des pays les plus riches. Mais à l’échelle mondiale, on observe, à l’inverse, une augmentation de la consommation de protéines carnées.
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fallenrazziel · 4 years
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Les Chroniques de Livaï #465 ~ LA LIBERTE COMMENCE OU FINIT L'IGNORANCE (mars 846) Nadja Rosewitha
L'histoire de Livaï comme vous ne l'avez jamais lue. ​Le personnage le plus populaire de L'Attaque des Titans, le soldat le plus fort de l'humanité… Qui est-il vraiment ? Qu'a-t-il dans le coeur ? Qu'est-ce qui a fait de lui ce qu'il est ? Je me suis mise en devoir de répondre à ces questions en vous livrant ma propre vision de sa vie, de ses pensées, des épreuves qu'il a traversées, ainsi que celles des personnes qui l'ont côtoyé, aimé, admiré, craint, détesté. Si j'essaie le plus possible de respecter le canon, quelques libertés seront prises sur les aspects de sa vie les plus flous. Quelques personnages seront également de mon invention. Livaï, un homme que l'on croit invincible et inatteignable… Est-ce bien sûr ? Jugez-en par vous-mêmes.
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Je me sens si petite ici, cette ville gigantesque m'écrase avec tous ses bâtiments massifs qui cachent même le soleil... On sent qu'il y a ici un raffinement qu'on ne retrouve que partiellement dans les autres villes du Mur Rose. Les gens qui vivent à Mitras sont très riches et sont plus préoccupés par la beauté des lieux que par leur commodité. C'est à qui aura l'habitation la plus impressionnante et décorée... C'est vrai que cette vision nous change de notre quotidien !
Erd et Gunther n'ont pas cessé de tout regarder avec des yeux exorbités, commentant tout ce qu'ils voyaient, en restant toujours collés l'un à l'autre comme s'il avait peur d'être séparés. Je suis restée en arrière avec Claus, tandis que le caporal nous menait dans les rues, les mains dans les poches. Il semble à première vue à son aise ici mais je sais qu'il surveille tous les coins de rue.
Il a insisté pour que nous portions des tenues civiles afin de ne pas nous faire remarquer. Officiellement, c'est parce qu'il ne veut pas être dérangé durant notre excursion par des adorateurs curieux, mais il est possible que la vraie raison soit d'ordre sécuritaire. Je crois que le bataillon n'est pas très apprécié par nombre de nobles, on ne voudrait peut-être pas nous voir traîner ici sans raison.
Claus n'hésite pas à me montrer et me parler des monuments qu'il connaît. C'est vrai, tu as reçu une médaille dans la capitale. Tu as dû être fier ce jour-là. Il me confie qu'en vérité il n'a surtout vu que le palais, mais il a tout scruté avec attention durant le voyage en diligence. Tu ne nous as jamais raconté comment c'était ce jour-là, je veux dire, la Chute... Tu y as combattu, n'est-ce pas ? Il était à la forteresse quand les titans ont attaqué ; une vigie les a vus arriver de loin, se dirigeant droit sur le QG, ce qui a laissé aux explorateurs le temps de prendre la fuite en emportant les choses les plus importantes. Il a même tiré l'épée aux côtés d'Erwin Smith, qui n'était pas encore major à ce moment-là.
J'aimerais vraiment que tu m'en parles un jour. Il me le promet, mais aujourd'hui, nous nous promenons en groupe en essayant de ne pas ressasser les mauvais souvenirs, alors autant rester dans l'ambiance ! Le caporal nous a fait faire le tour de la ville en longeant l'enceinte externe, pas trop rapidement ; puis nous avons visité le musée, ce qui nous a pris la matinée. J'ai faim, pas vous ? Les garçons approuvent et me laissent l'honneur de choisir où je veux manger. Ah ? pourquoi moi ? Bon d'accord, mais vous savez je ne connais aucun établissement ici. Ils m'assurent qu'ils accepteront mon choix et si c'est mauvais, et bien, ils feront bonne figure ; ça ne peut pas être pire que le vulgaire ordinaire des militaire ! C'est vrai ! Dans ce cas... allons par ici, je crois avoir vu quelque chose !
J'emmène tout le monde dans une direction, et le caporal accepte de se laisser mener. Il marche à côté de moi sans rien dire, comme s'ils préférait nous écouter discuter plutôt que de participer. C'était vraiment une bonne idée, caporal ! Cette ville est fascinante et je me demande comment on a pu la construire en seulement cent ans, c'est incroyable ! Il rétorque que ce n'était pas vraiment son idée mais que si ça nous plaît, c'est l'essentiel. Vous êtes si prévenant et gentil ! Je vois du coin de l'oeil Claus qui tire la langue comme s'il était dégoûté mais je ne le reprends pas. Regardez, c'est là-bas. Je crois qu'on doit bien y manger. J'espère que ce n'est pas trop cher...
Tandis que je bifurque vers le restaurant, je me rends compte que le caporal ne suit pas le mouvement. Il demeure figé, la tête tournée sur le côté, et tous les autres s'immobilisent aussi pour le regarder. Il semble fixé sur un escalier qui s'enfonce apparemment sous la capitale et n'en détache pas les yeux, même quand je l'interpelle. Caporal ? Qu'est-ce qu'il y a, là-bas ? Ca m'a l'air sinistre...
Il répond que ça l'est, et sans doute plus encore que je ne l'imagine. Vous voulez dire que ?... Oh... J'hésite à lui demander de préciser, car je me rappelle alors les quelques articles de journaux que j'ai lus à son sujet... Ce serait donc vrai ? Je n'imagine pas un seul instant qu'il me donnera une confirmation ; ceux qui savent la vérité doivent être très privilégiés, je suppose...
Venez, caporal, je suis sûre qu'on mange très bien là-bas ! Je n'ose pas le tirer par le bras ou l'épaule, ce serait incorrect, mais il finit par se détourner pour nous suivre. Après le repas, nous irons à votre salon de thé ; ce sera parfait pour une collation d'après-midi ! Erd et Gunther courent vers la porte et jettent un oeil au menu à l'entrée. Ils ne feront pas leurs difficiles, même maman dit qu'elle n'a jamais eu de problème à leur faire la cuisine, haha !
Je regarde également et retiens quelques plat que je trouve appétissants. Bon, et bien, nous entrons ? Gunther ouvre la porte devant moi et me fais entrer en première. Sa galanterie me touche beaucoup après avoir supporté son éloignement momentané. Je me suis sans doute fait des idées, apparemment, rien n'a changé. Je suis soulagée... Sitôt entrés, nous sommes accueillis par un serveur habillé de façon impeccable qui nous mène à une table pour cinq. C'est un peu intimidant mais je suppose que cela n'arrivera que rarement dans nos vies, autant en profiter !
On nous débarrasse de nos manteaux et nous nous installons. Je me retrouve entre Claus et Gunther, tandis que Erd et le caporal se placent sur la banquette d'en face. Je me sens étrangement... protégée entre eux deux ; la même bienveillance à mon égard, à leur manière personnelle. Gunther me demande si je suis bien installée, et Claus si je ne suis pas trop serrée. Mais non, c'est parfait ! Le caporal passe la main sous la table, puis regarde les couverts avec attention ; c'est son rituel habituel, nous le connaissons par coeur. Apparemment, tout est propre, donc nous pouvons commander ? Le caporal approuve et nous prenons nos cartes.
Il y a tellement de plats différents ! Je n'en connais pas la moitié mais je me sens aventureuse aujourd'hui. Je me décide pour un plat de poisson, tandis que les garçons se jettent sur la viande. Elle doit être de qualité, pas comme celle qu'on a une fois par semaine. En voyant cette profusion, je ne peux m'empêcher de penser à ceux qui ont faim dans le Mur Rose, et ce paradoxe me coupe l'appétit une minute. Mais... ce n'est pas une raison pour se priver, ne rien manger n'arrangera rien pour les autres ! Le caporal se laisse tenter par un plat en sauce, mais qui semble peu protéiné. Ce n'est pas un gros mangeur de toute façon.
Nous annonçons nos choix au serveur, qui repart en cuisine. Il nous laisse des friandises à grignoter en attendant. Je n'aurais jamais pensé manger dans un tel endroit. Quand j'étais dans la garnison, je n'ai jamais eu l'occasion de venir à Mitras. L'établissement a de jolis rideaux roses, des chaises et des banquettes rembourrées, des lustres au plafond, des nappes bien blanches sans aucun trou... C'est vraiment un autre monde.
Je ne pourrais jamais y emmener maman et Mariele, seuls les militaires et les nobles peuvent y circuler... C'est si dommage... Je devrais aller les voir plus souvent, elles me manquent...
Tandis que je suis plongée dans mes pensées, Gunther me demande quel jour on est. Pourquoi cette question, c'est important ? "Très", il me répond, et je surprends même un sourire discret sur les lèvres du caporal. Que se passe-t-il ? Le jour qu'on est... attendez... Je crois que...
Et tout à coup, ça me revient. Je n'y pense plus guère depuis que je suis dans l'armée, mais... oui, je crois savoir ! Vous...  vous y avez pensé alors que même moi j'ai oublié ?
Erd et Gunther rigolent ensemble au-dessus de la table, et Claus reste silencieux sans rien comprendre. J'entends le caporal murmurer "aah, les jeunes..." tout en buvant un peu dans son verre d'eau, et je me rends compte alors que tout était planifié ! Vous avez fait ça pour moi ? Claus lève les bras en affirmant qu'il était pas au courant et foudroie tout le monde du regard. Cette excursion est donc un cadeau d'anniversaire, caporal ? En quelque sorte, qu'il répond. Oh, merci, c'est vraiment généreux de prendre de votre temps pour ça mais ce n'était pas la peine.
Gunther pose sa tête sur mon épaule et je sens une douce chaleur m'envahir. Je le vois sortir de sa poche une boîte, de la taille de sa paume. J'ai le coeur qui bat très vite... Erd est fixé sur moi, lui aussi, et la pièce se met à tourner un peu... Qu'est-ce qu'il y a dans cette boîte ? Claus tend le cou pour voir, et Gunther la pose sur la table devant moi. Un cadeau de toute la famille, lui compris. Je suis sûre que ça a coûté une fortune, je suis gênée... mais... par sainte Maria...
Pendant une minute entière, j'imagine dans cette boîte une bague de fiançailles, toute simple mais si précieuse... J'oublie Erd et Claus et regarde Gunther droit dans les yeux en l'imaginant à mon bras... Mais je reviens vite à la réalité quand Erd m'exhorte à ouvrir la boîte. Oui, d'accord, mais laisse-moi rêver un peu. Car je sens que ce n'est rien de ce que j'imagine.
Je soulève le couvercle et découvre sur un fin velours rouge un pendentif au bout d'une chaîne. Je le soulève délicatement et il scintille un moment à la lumière. Il est en forme de coeur stylisé et je le devine creux. J'ouvre le coeur et dedans se trouvent deux mèches de cheveux, une noire et une blonde. Je devine presque instinctivement à qui elles appartiennent...
Erd m'explique alors que c'est Gunther qui a choisi le pendentif. Oooh, il a choisi le coeur... Lui-même a commandé la chaîne et l'a voulue la plus résistante possible afin que je puisse la porter en mission. Et les cheveux appartiennent à ma mère et ma soeur. C'est... c'est pour ça que vous étiez distants avec moi ? Ils avaient peur d'être découverts alors ils ont décidé de s'isoler quelques temps afin de pouvoir agir sans que je les vois. J'imaginais des tas d'autres choses, je suis désolée d'avoir douté de vous !... Claus, tu peux attacher la chaîne, s'il te plaît ?
Ses mains s'attardent sur ma nuque plus que nécessaire mais je le remarque à peine. La chaîne vient se poser juste au-dessus de ma poitrine. Il ne me gêne pas du tout, je pourrais le porter tous les jours.
C'est toujours réconfortant de porter ses proches près de son coeur.
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Pourquoi les musulmans ne mangent-ils pas de porc ?
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Le régime alimentaire des musulmans, tout comme les autres aspects de sa vie, est régi par la loi divine. Les musulmans (hommes et femmes) appliquent les commandements de l'Islam parce que le concept fondamental de l'Islam est la soumission à Allah, Dieu le Tout-Puissant. Ils sont convaincus qu’avec Sa connaissance infinie, Il sait ce qui est bénéfique à Sa création. C'est un concept qui est fréquemment mentionné dans le Coran :
 « Ne connaît-Il pas ce qu'Il a créé alors que c'est Lui le Compatissant, le Parfaitement Connaisseur. » [Noble Coran 67:14]
 L'Islam est une religion simple et facile à pratiquer. Il interdit un petit nombre de denrées alimentaires, soit parce que la manière par laquelle elles sont préparées est en contradiction avec les lois et les principes de l'Islam, soit parce que les effets négatifs et les inconvénients potentiels de leur consommation sont plus importants que leurs bienfaits. Les dérivés du porc et du cochon, y compris le jambon et le bacon, font partie des aliments interdits. La principale raison pour laquelle les musulmans s'abstiennent de manger du porc est dans la soumission à Dieu, le Tout-Puissant, et dans l’idée qu'il sait ce qui est le mieux pour Sa création. De plus, des recherches récentes sur l'alimentation ont identifié certains risques pour la santé de la consommation de viande de porc et c'est peut-être une des raisons pour lesquelles le Coran décrit le porc comme impur :
 « Dis: «Dans ce qui m'a été révélé, je ne trouve d'interdit, à aucun mangeur d'en manger, que la bête (trouvée) morte, ou le sang qu'on a fait couler, ou la chair de porc - car c'est une souillure - ou ce qui, par perversité, a été sacrifié à autre qu'Allah». Quiconque est contraint, sans toutefois abuser ou transgresser, ton Seigneur est certes Pardonneur et Miséricordieux. » [Noble Coran 6:145]
 En outre, les musulmans ne sont pas les seulement qui s'abstiennent de manger la viande de porc, il est de même pour les juifs et certaines confessions chrétiennes. L'Ancien Testament décrivant le porc comme « impur ». Dans la Bible, nous trouvons le passage suivant :
 « Vous ne mangerez pas le porc, qui a la corne fendue et le pied fourchu, mais qui ne rumine pas: vous le regarderez comme impur. » [Bible - Lévitique 11:7]
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traitor-for-hire · 5 years
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Poussière d’étoile et clair de lune
Il n’est pas de sort dans l’univers qui ne peut être brisé, pense-t-elle. Et sa pauvre âme peut bien être malmenée, mais elle n’a pas été vaincue. Il semble - familier. Peut-être que toutes les créatures ainsi blessées sont comme elle, d’une certaine façon.
La sorcière nommée Jyn vit seule à l’orée de la forêt sauvage. Un soir d’automne elle reçoit un étrange visiteur.
Chapitre 1
« Je sais que vous êtes là, » dit Jyn Erso à la porte ouverte, et au loup derrière.
La créature a rôdé toute la journée aux alentours du cottage, et jusque là n’a rien tenté pour se dissimuler, ni pour attaquer. Ce n’est pas une bête ordinaire venue de la forêt sauvage, même si elle n’est pas sûre de ce que c’est. Mais ça vaut la peine d’essayer de lui parler.
Sa maison se tient à l’orée de la forêt, dans un vallon abrité du vent de nord-est par un rideau d’arbres, et caché aux yeux des soldats, et pire encore, par l’échine bossue de la lande et les marécages du sud. De quelque compagnie qu’elle ait besoin, c’est elle qui la rejoint ; nulle âme humaine ne vient ici, pas sans sa permission, et des indications très précises. Pourtant l’endroit tend à attirer les créatures étranges telles que celle-ci ; l’endroit, ou bien elle-même. Il y a probablement une aura de magie sur elle, comme la lumière de toute une galaxie, si ses yeux pouvait la percevoir. Mais bien que les étincelles de son pouvoir fasse fourmiller le bout de ses doigts et se dresser les cheveux sur sa nuque, il reste invisible à la vision humaine.
Elle lance à nouveau un regard par la porte basse.
« Si vous avez faim, je peux vous trouver quelques restes. Ou peut-être pas des restes, mais je suis sûre d’avoir quelque chose que vous pouvez manger. Qu’en dites-vous ? »
La créature s’avance précautionneusement à l’abri des pins, une ombre grise contre le fond plus sombre. Le soleil s’est couché et la nuit approche à grand pas, bientôt le halo de sa lampe ne suffira pas à lui montrer si la créature est encore là ; mais elle continuera de sentir sa présence, ou son absence. Elle a une énergie étrange, comme de la laine emmêlée et du fil ensanglanté. Et quelque chose, comme un murmure dans l’air, lui dit qu’elle doit apporter à cette âme tourmentée, ce spectre ou ce garou ou quoi que ce soit, une certaine paix, ne serait-ce que pour une nuit.
Ses mouvements sont déséquilibrés, mais la bête parvient tout de même à s’avancer en silence, même en favorisant l’une de ses pattes arrières. Elle n’a jamais vu un tel contrôle chez un animal sauvage. Hésitant et nerveux, allant et venant dans la pénombre, encore et encore.
« Je vous demande de me faire confiance, dit Jyn, comme je vous fais confiance. Hé ? » Elle lève la lampe, et sa lumière révèle les deux yeux brillant dans l’obscurité. « J’ai du fromage, dit-elle. Allez venez, vous savez que vous le voulez... »
C’est une nuit très calme, l’air automnal porteur d’une fraîcheur qui s’insinue sous ses jupes et dans son col. Plus de la moitié de son petit potager est déjà retourné pour l’hiver, et le sol dégagé est parsemé de feuilles tombées. Vingt pieds plus loin, les yeux scrutateurs, et scintillant par dessus, le blanc chemin des étoiles. La lune est en train de se lever, elle peut la sentir dans son dos, bientôt sa lumière débordera par dessus le toit de la maison et baignera la clairière d’argent, mais pour l’instant tout est sombre à l’exception de sa lanterne.
Que la créature vienne ou parte, elle ne peut pas lui forcer la main. Jyn baisse la tête et se tourne pour rentrer, et s’arrête, car du coin de l’œil elle perçoit à nouveau ce mouvement prudent, hésitant, boitillant mais qui avance, et sort des bois. Une ombre mouvante se détache de l’obscurité. Quand elle lève la tête, elle est là.
C’est une, non, un, un loup, maintenant qu’elle peut le voir plus clairement. Il doit avoir été un jour un magnifique animal, avec son épaisse fourrure grise, le ventre de la couleur de l’écume et le collier et le masque sombres, les oreilles noires. Mais il est maigre, si maigre, et effectivement boiteux.
Le loup marque un temps d’arrêt, au milieu de la clairière, soudain complètement immobile quand il sait être vu. Il la regarde avec des yeux qui sont très sombres, et tristes, et très sages.
« Eh bien, frère des bois, entrez si vous le souhaitez, ou restez dehors, à votre guise. Je vais laisser la porte ouverte pour vous. »
Elle lui offre un hochement de tête amical et retourne à l’intérieur. Le faisceau d’herbes qu’elle prépare pour la charpente de la maison de Yarrow est presque fini, et il est temps de chercher quelque chose à manger, qu’elle ait ou non de la compagnie pour le repas. Quel dommage que cette créature enchantée n’ait pas pu être quelque chose comme un oiseau ou une souris, qu’elle aurait pu nourrir de miettes et de verdure. Elle n’a pas de viande à lui offrir, à l’exception d’un vieux talon de porc salé, sûrement impropre à la consommation sans trempage et cuisson préalable, et il n’y a eu qu’un œuf des pondeuses aujourd’hui ; mais il y a du pain, quoique vieux de trois jours et assez sec, et elle a un fromage, enveloppé dans une mousseline humide et gardé au frais dans l’ombre de la fenêtre nord. Et il y a des haricots froids d’hier, mijotés avec de l’huile et des oignons, mais elle ne pense pas qu’un mangeur de viande s’essaiera à manger ça.
Elle essuie rapidement son athame sur sa manche et s’en sert pour trancher un morceau de pain de la miche rassise. Attrape le plat de grès sur le rebord de la fenêtre et dévoile le cylindre blanc, taille deux rondelles et en dépose une, avec le pain et une louche de haricots, dans sa vieille assiette. Elle prend l’autre dans sa main et retourne à la porte.
Le loup est devant le seuil, maintenant, dans la flaque de lumière venue de l’intérieur, et la regarde avec circonspection.
Jyn se penche et tend la main, lui offre la tranche de fromage. « Voilà pour vous, vous voyez ? Je ne vous ferai pas de mal. Là, vous pouvez le prendre, n’ayez pas peur. »
Le loup fait un pas prudent en avant, un seul, s’approche en étirant le cou ; il la renifle et lèche rapidement sa main, emportant le fromage friable en une bouchée, puis recule avec un gémissement anxieux et un air expressif comme elle n’en a jamais vu avant, comme si la créature l’implorait pour quelque chose. Sa pitié ? De l’aide ? Plus de nourriture ? La lune doit être en train de se montrer, puisque soudain la fourrure de la bête est baignée à la fois de la lumière dorée de la lampe et de l’argent du clair du lune, qui se fondent comme une nouvelle magie dans les brillants yeux sombres.
Il tremble, de froid ou de peur, des frissons parcourent son pelage sous la lune.
« Venez à l’intérieur, shh, venez - laissez-moi jeter un œil à votre patte arrière, d’accord ? Je ne vous ferai pas de mal, venez- » et elle tend à la main pour la poser sur la tête tremblante, sur la sombre fourrure soyeuse-
-qui n’est pas du tout de la fourrure, et le loup n’est pas un loup. Nu et tremblant devant sa porte, est un jeune homme à genoux, les mains tendues et les yeux levés vers elle emplis de détresse et d’espoir.
« Eh bien, » dit Jyn, et pour un temps elle n’arrive pas à penser à autre chose à dire. « Eh bien. Alors. Vous voilà donc. »
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