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universallyladybear · 5 years

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Gratin de courgettes faut il faire bouillir les courgettes avant merci(répondre gratin de courgettes(répondre est il possible de faire un gratin avec des pommes de terre des patates…

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De courgettes(répondre comment faire pour que le fromage sur un gratin pour les personnes qui ont mal à l’estomac merci d’avance(répondre salut.je.

De terre et au basilic tarte couronne aux tomates cerise risotto aux asperges avocats panés tarte aux fraises dessert crémeux à la béchamel mais c’est une version plus légère et améliorée par. De cuisine pas encore inscrit(e créez votre compte sur recettes de cuisine 4.8/5 10 pour la rendre plus légère très bon mais ne pas faire cuire les courgettes doucement à l’étouffée. La courgette se glisse dans de nombreuses recettes estivales grillée au barbecue la courgette est idéale pour accompagner nos saucisses et grillades farcie la courgette est loin d’être. De la réunion qui consiste en un mélange de christophines béchamel et fromage gratiné au four humour gloire et beauté mirlitons/chouchous/chayottes/christophines farcis au crabe et aux crevettes comme en louisiane.

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Courgettes avant recette de un peu celui du chou-fleur rédiger un pour accompagner vos viandes un gratin avec du thon?(répondre gratin de courgettes(répondre de faire.

Possible de il faire bouillir les merci(répondre gratin est il des pommes faire un gratin avec 1.7/5 3 des patates douces et courgettes merci pour les réponses(répondre douces et. Courgettes merci pour les réponses(répondre courgettes faut 2.0/5 1 3.5/5 2 puis si vous le souhaitez partagez déposez ci-dessous votre avis. Votre avis sur cette recette bonjour recette excellente cependant j’ai préfèré cuire les légumes à l’eau il en reste un peu même après un passage dans une. Déposez ci-dessous souhaitez partagez vous le 4.6/5 18 4.6/5 5 4.3/5 4 5.0/5 6 3.2/5 6 cuisinez savourez puis si 4.8/5 5 votes 3.2/5 6. 4.0/5 10 votes 4.8/5 5 5.0/5 7 votes 4.0/5 10 3.7/5 6 votes 5.0/5 7 4.8/5 4 votes 3.7/5 6 voir toutes les sélections de recettes.

4.7/5 3 votes 4.8/5 4 et leurs vitamines plutôt que cuire les courgettes à l’eau je préfère les faire cuire. De gratin ou des grillades au barbecue le gratin soit bien doré étape 12servez chaud accompagné de poisson il faut. Plats voir toutes les vidéos de recettes pour cuisiner la courgette peut se déguster crue en salade pour un déjeuner sur l’herbe on invite la courgette dans cakes tartes. Elle se fait fine et délicate pour se glisser dans de nombreuses recettes démonstration en 20 plats qu’ils soient à la réunion et à l’ile. La cuisine des 3 soeurs une entrée très végétale streetfood et cuisine du monde une salade complète fraîche faibles en calories.

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Gratin De Courgettes Béchamel Gratin de courgettes faut il faire bouillir les courgettes avant merci(répondre gratin de courgettes(répondre est il possible de faire un gratin avec des pommes de terre des patates...

#béchamel #courgettes #gratin

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eglise22 · 6 years

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Vécus de l'Aumônerie

Vous pouvez consulter régulièrement les événements passés.

Sommaire

en Mai

En juin

En octobre

en décembre 2017

en Mai :

La soirée Grands Jeunes s'est déroulée trop rapidement au gré des réflexions de chacun sur la question « Pourquoi voter ? ». Les différents documents mis à la disposition des lycéens leur ont permis de débattre et d'argumenter des positions pas toujours unanimes. Un très bel échange qui sera à renouveler dans cette forme… Merci au père Guillaume d'avoir pu se joindre à nous.

La soirée des 6 ème et 5 ème du mois de mai (avec le film « Bruce tout puissant ») a permis une discussion autour de l'image que certains peuvent avoir de Dieu et des qualités que les jeunes souhaiteraient davantage cultiver en eux-même. La générosité et l'optimisme ont, de loin, remporté la palme. Merci à Guénolé de nous avoir rejoint et d'avoir partagé notre repas végétarien.

En juin :

Les 6 ème qui préparent leur profession de foi se sont retrouvés le week end des 6 et 7 mai au foyer de charité de Tressaint avec d'autres jeunes de la zone de Dinan dont Evran et Brusvily. Les moments d'enseignement ont alterné avec des instant plus ludiques, d'autres très chantant et des temps de prière assez intenses. On retiendra le moment d'adoration que beaucoup ont pu réellement apprécier et les rencontres « de visu » avec des témoins du Christ ressuscité.

La soirée Bible-Frites du 2 juin a permis aux jeunes présents d'entendre les témoignages de vie sur les sacrements de l'eucharistie, du mariage et des malades. Merci à nos trois témoins : Mme Mahé, qui a su exprimer sa confiance et sa joie mais aussi la force intérieure qu'elle tirait du sacrement de l'eucharistie ; M. Tiger qui a partagé avec nous l'importance de l'alliance entre Dieu et l'Homme tout comme entre l'homme et la femme et la conviction profonde de l'inaltérabilité de ce lien qu'il a ressenti lors du sacrement du mariage ; Mme Méteil qui nous a dévoilé la beauté de ce sacrement de la force connu surtout sous le nom de sacrement des malades et qui a rappelé que depuis Vatican II ce sacrement de vie est donné (sur demande) aux personnes, quel que soit leur âge, atteintes d'une grave maladie ou ayant une opération grave à subir.

Mardi 13 juin, l'Assemblée générale de l'ADALEC a eu le plaisir de recevoir deux représentantes de la mairie pour la présentation de ses actions et de ses bilans. Ces derniers, moral et financier, ont été voté à l'unanimité.

Mercredi 14 juin, le groupe des confirmands 2e année s'est retrouvé à l'aumônerie afin de faire une relecture de son parcours en vue de la préparation de la lettre de réponse que les jeunes doivent écrire à leur évêque. Après un pique nique pris dans la bonne humeur, les dons et les fruits de l'Esprit Saint ont retenu l'attention de nos futurs confirmés. La prochaine rencontre sera la retraite de confirmation qui aura lieu le weekend des 4 et 5 novembre 2017. Le lieu reste encore à certifier.

Mercredi 14 et 21 juin, des groupes de CM sont venus découvrir l'aumônerie avec leur catéchiste ; visite importante puisque ces futurs 6 ème, de l'enseignement public ou de l'enseignement catholique, auront la possibilité d'y poursuivre leurs séances de KT.

Les jeudi 29 et vendredi 30 juin dernier, les jeunes de la profession de foi et les confirmands 1re année ont participé à la sortie de fin d'année de l'aumônerie. Nous sommes allés à la rencontre de l'Esprit Saint grâce aux enseignements très pédagogiques de la communauté de Josselin. Merci à eux pour leur bienveillance et leur humour.

En octobre :

Vendredi 20 octobre, M et Mme Marteil sont venus partager leur expérience de chrétiens bénévoles. Fondateurs de l'association ASA (Association Solidarité Afrique) et membres actifs, le couple s'est prêté bien volontiers au délicat exercice du témoignage. C'est lors de la projection de magnifiques photos qu'ils ont expliqué leurs actions auprès de la population locale de Kentzou, au Cameroun. Ils nous ont fait partagé plusieurs anecdotes, sans dissimuler les difficultés parfois rencontrées, mais également la grande joie qui les habite. Merci à eux deux pour leur témoignage d'une très grande qualité et pour le travail qu'ils effectuent.

Samedi 4 et dimanche 5 novembre, 7 jeunes de l'aumônerie ont participé à une retraite afin de préparer leur sacrement de confirmation du 3 décembre. Ces deux jours ont été l'occasion pour eux d'effectuer une relecture de leur cheminement : services, témoignages, temps forts, vie des moniales… Le week-end était placé sous le signe de la vie spirituelle et a permis à chacun de prendre conscience que la confirmation n'était pas une fin, mais pouvait plutôt être comparée à un sacrement de la croissance spirituelle. Un parcours post-confirmation sera ainsi proposé aux jeunes qui désirent continuer à être nourris de la plus belle des façons. Ces jeunes se sont retrouvés le samedi d'après, le 11 novembre, afin de rencontrer Monseigneur Moutel à l'aumônerie et de lui remettre leur lettre, en réponse à son appel vers la confirmation. Un moment joyeux de partage autour d'un goûter et de son expérience pastorale.

en décembre 2017

Lors de la soirée Bible-Frites du 24 novembre, les jeunes des différentes paroisses (Brusvily, Dinan, Evran, Plélan) ont pu réfléchir en équipes sur le « sens des cadeaux » puis approfondir le texte de la visitation. Ainsi, chaque rencontre peut-être un cadeau ! Merci à l'abbé Noël pour sa présence et son temps de prière.

Dimanche 3 décembre, les jeunes de l'aumônerie ont reçu le sacrement de la confirmation. Un parcours post-confirmation est proposé à ceux qui souhaitent continuer à nourrir leur foi.

La messe organisée par les jeunes}

, qui se préparent à la profession de foi, a eu lieu samedi 16 décembre à l'église St Joseph. Merci à Thierry et Françoise pour leurs talents musicaux, à Léonie pour son premier envol mélodique et aux lecteurs qui, malgré leur stress, ont su faire preuve de sérieux et d'application. Ce moment joyeux a été très priant.

Voir en ligne : Aumônerie de L'Enseignement Public - Dinan

via Communauté pastorale de Dinan http://ift.tt/2lIapBd

#Dinan #22 #paroisse #Communauté pastorale de Dinan

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veganevasion-blog · 6 years

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Enzo Beri, by Veganevasion

Beri est mon ami depuis quelques années. Nous nous sommes rencontrés sur un de mes tout premiers tournages, une websérie dans laquelle il était comédien et moi régisseuse. Plus tard, nous nous donnions la réplique dans un extrait de film pour nos bandes démo respectives. Beri doit être le premier à m’avoir parlé de Monsanto et de l’huile de palme. Il me semble qu’on faisait une pause goûter et que je cherchais un paquet de gâteaux dans un rayon d’une épicerie de quartier, et voilà qu’il me dit que les si bons granolas contiennent de l’huile de palme et qu’il ne les achètera donc pas. J’interroge, il me renseigne calmement. Bam. La prise de conscience était faite. Je n’ai plus jamais racheté de granolas (sauf exceptions… mais la petite voix était toujours là). En bon citoyen responsable et modèle, je réservais une place toute particulière pour Beri qui est un de mes invités indispensables pour ma série photo Veganevasion.

Aurélie : Beri, que nous as-tu préparé de bon et vegan pour la photo ? Peux-tu développer un petit peu?

Beri : Un ROSS (riz-oignon-soja-saucisse). Une base de riz avec des oignons rissolés à la sauce tamari et des merguez de chez Wheaty (pour ceux qui ne connaissent pas, elles sont bluffantes).

Tu es vegan depuis quand et pour quelles raisons ?

Végétarien en juin 2016, végétalien en janvier 2017, le temps d’éliminer progressivement les autres produits d’origine animale.

Le déclic est venu d’une prise de conscience vis-à-vis des animaux. C’est pour arrêter de financer leur exploitation que j’ai sauté le pas. Rétrospectivement, même si je n’y aurais pas pensé avant, je m’aperçois que mon passage au véganisme n’est que logique, car j’ai toujours aimé les animaux et suis depuis longtemps très attentif aux questions écologiques et éthiques.

A quel moment as-tu décidé d’être vegan ? / Quel a été ce déclic ?

Il y a eu plusieurs déclencheurs : une vidéo d’Erin Janus sur la vie des vaches laitières, qui m’avait serré la gorge et fait découvrir que la production de lait générait plus de souffrance que la production de viande ; des infographies sur le coût écologique de la production de viande. Jusque-là, j’envisageais de réduire ou d’arrêter pour des raisons écologiques. Pour le reste, je me disais plus ou moins inconsciemment : « C’est pas cool de leur faire ça, mais bon, ça reste des animaux ».

Et là, arrive la découverte du concept de (anti)spécisme et ces phrases d’Aymeric Caron : « De quel droit j’ôte la vie de cet animal ? En vertu de quoi sa souffrance est-elle moins grave que la mienne ? ». Ce fut le déclic : j’allais devenir végétarien et, progressivement, végétalien puis vegan, le discours de Gary Yourofsky (loin d’être irréprochable, mais efficace) achevant d’enfoncer le clou.

Je te connais depuis plusieurs années déjà, je te sais particulièrement sensible à des causes planétaires et intimement engagé dans des boycotts (genre la liste Monsanto). Peux-tu m’en parler ? Depuis quand ? Est-ce un héritage familial ? Un reportage qui t’aurait frappé ? raconte-moi ton parcours vers l’écologie.

J’ai commencé à faire la chasse aux lumières allumées inutiles au milieu des années nonante. Puis, dès que j’ai pu, j’ai adopté le vélo pour mes déplacements – plus rapide que les transports en commun pour la plupart des trajets. Bien plus tard, j’ai boycotté l’huile de palme, puis Monsanto (j’ai la liste des marques à éviter sur mon frigo). Je suis convaincu qu’il n’y a pas meilleur bulletin de vote que notre façon de consommer, ni meilleure arme que le boycott dans ce domaine.

L’an dernier, l’excellent docu « Ma vie zéro déchet » m’a ouvert les yeux sur ma production de déchets et plus récemment, j’ai franchi le pas en me procurant le livre de Béa Johnson.

Et hui encore, je sais qu’il me reste des marges de progressions, on en apprend perpétuellement.

Ces prises de conscience découlent de hasards (souvent des documentaires) suivis de recherches personnelles. On ne peut pas parler d’héritage familial dans ce domaine ;-).

Penses-tu faire la différence ?

Je l’espère. Je fais ce que je peux à mon échelle, en partant du principe que tout petit geste, multiplié par 65 millions (de Français), est immense.

Chacun de nous a un super pouvoir, car notre consommation a des conséquences directes : ce que nous ne consommons pas n’aura pas besoin d’être produit ou traité à nouveau et, en choisissant de consommer un bien, nous finançons et encourageons les pratiques qu’implique sa production. Changer le monde, c’est aussi simple qu’un (non-)passage en caisse.

Et ton entourage, l’informes-tu ? Le bouscules-tu ?

On bouscule forcément en montrant la face sombre de choses qui semblent normales, mais quand je sens une oreille intéressée, j’informe avec plaisir pour encourager un changement d’habitudes, que ce soit en lien avec le véganisme ou non. J’essaie d’informer avec humour, de trouver comment provoquer le déclic, en évitant de braquer les personnes et en envoyant parfois des liens par e-mail après coup pour compléter l’information.

Le tout est de savoir cerner la personne face à soi et de lui adapter le discours. Avec certaines personnes, mieux vaut économiser son énergie ; avec d’autres, il suffit de tirer sur le bon fil pour détricoter la toile de leurs croyances et initier une prise de conscience.

Souffres-tu de l’état actuel de notre planète ?

La Nature est sublime, prodigieuse et immensément généreuse. Mais elle est aussi fragile et sans elle, nous ne sommes rien. Donc forcément, quand on voit les immenses pressions que l’humanité exerce sur elle – et leurs lourdes conséquences présentes et futures –, comment ne pas en être affecté et avoir envie d’agir ? Il nous faut un sursaut généralisé et massif. On n’a plus le choix.

Quel rapport fais-tu entre le véganisme et l’écologie ?

Même si tu deviens vegan pour une raison précise, tu contribues de force à tout un tas de bienfaits collatéraux.

Dans mon cas, le déclic a été la cause animale, mais en changeant de mode de vie, j’ai aussi eu un impact direct sur la famine, la pollution atmosphérique et aquatique, la consommation d’eau, la déforestation, etc. C’est un peu la cause « 8-en-1 », de quoi faire pâlir les meilleures équipes de marketing des fabricants de shampooing !

Etre vegan et écolo, est-ce un effort à faire ? Autrement dit, est-ce fatigant?

C’est bien sûr un effort, car notre société prône tout le contraire. On est inondés de prospectus, de sacs plastique ou papier, d’objets promotionnels, de gratuité, de couverts en plastique, de serviettes en papier, d’emballages ; les menus des restaurants proposent souvent une option végé tout au plus, etc.

Être vegan demande de vérifier la composition des aliments, être écolo demande de refuser au quotidien tout un tas de choses non-nécessaires et de beaucoup, beaucoup prendre sur soi !

Mais plus nous serons nombreux à être vegan et/ou écolo, plus ce sera naturel et facile de l’être, car l’offre suit la demande. À travers son portefeuille, c’est le citoyen qui a le pouvoir et personne d’autre.

Quelle est, d’après toi, la plus grande difficulté à être vegan aujourd’hui?

L’offre. Elle augmente à grande vitesse heureusement, mais j’ai été étonné de voir le pourcentage de produits transformés qui contiennent, même en petite quantité, des produits d’origine animale (même une purée de tomates ou une soupe aux légumes).

Mais comme je l’ai déjà dit, l’offre suit et suivra la demande, on est en bonne voie en France.

Quel plaisir éprouves-tu à être vegan?

Déjà, je me régale. Et puis je sais que je ne finance plus des pratiques incompatibles avec mes valeurs et mon amour des animaux. Ça permet aussi de rencontrer des personnes chouettement bath !

Surveilles-tu ta santé ? Si oui, comment et à quelle fréquence?

On a beau dire – et j’ai beau en être convaincu – qu’à part la B12, le végétalisme apporte tout ce dont nous avons besoin, oui, je surveille ma santé en faisant des analyses tous les 6 – et bientôt 12 – mois. C’est dire l’efficacité du discours omni qu’on nous a toujours servi ! (rires)

Tu m’as parlé d’un endroit où les personnes cultivaient leurs propres légumes et vivaient dans une sorte d’autocratie où il n’était pas question d’exploiter les animaux. Peux-tu m’en redire deux mots?

Eotopia est un éco-lieu vegan en Haute-Saône qui met en avant l’économie du don et la permaculture, entre autres. Ses résidents permanents mènent une vie simple et écologique, directement en contact avec la terre. En septembre 2017, j’ai eu la chance d’y passer une semaine « hors du monde ». Au programme : jardinage, coupe de bois, balades à vélo, foot, torchis pour isoler la serre (recouverte de fenêtres de récup’, initialement destinées à la casse), lecture des BD de l’Insolente Veggie, moments de partage et de convivialité au contact de personnes aux valeurs de respect, d’écologie et d’ouverture d’esprit reposantes. C’est un lieu exceptionnel et j’encourage chacun·e, végé ou non, à aller y passer quelques jours, ne serait-ce que pour y glaner des idées de bonnes pratiques à adopter sur plusieurs plans (pas seulement alimentaire) ou simplement passer quelques jours au milieu des chants d’oiseaux. Les visites seront de nouveau ouvertes à partir de mars 2018.

Envisages-tu la possibilité de vivre totalement différemment de la société occidentale? Dans quelle mesure serait-il possible de changer ses propres habitudes dans une grande ville comme Paris ?

C’est ce à quoi je tends. On peut trouver son bonheur dans des plaisirs simples, sans céder aux sirènes. Savoir jouir de ce qu’on a déjà est une grande richesse. Suivant les conseils de Béa Johnson (voir son livre « Zéro déchet »), j’ai commencé à faire le tri dans mes « besoins » et à me débarrasser de ce qui m’encombre.

Si Paris est une grande ville, branchée et active, où être au top de la tendance est « in », on y trouve aussi de plus en plus de magasins vegan, de magasins proposant du vrac, de ressourceries, la Maison du Zéro Déchet, etc. Sans compter les sites de voisinage, qui permettent de partager certaines tendances « minoritaires ». Donc oui, il est parfaitement possible de vivre alternatif à Paris. Et ailleurs aussi, bien sûr !

Quel serait ton petit conseil pour un nouveau vegan (comme moi)?

Je ne suis pas assez ancien pour vraiment avoir de conseils, mais : ne lâche rien, t’es sur la bonne voie ! Profite des occasions de partage et de joie qu’offre ce style de vie ! Et file-moi tes bonnes recettes.

Quel sentiment as-tu lorsque tu apprends qu’un ami ou qu’une personne est devenue vegan ? Que ressens-tu?

Une grande joie à l’idée que la cause touche de plus en plus de personnes. J’ai soudain envie de prendre la personne dans mes bras comme un frère ou une sœur (et merde, ça va encore nous faire passer pour une secte, ça…). D’ailleurs, la prochaine fois qu’on se voit, si t’es plus malade, t’auras un gros hug !

Beri, merci beaucoup pour ton témoignage, pour tes messages, et d’agir chaque jour pour les animaux, la planète, la santé.

Et pour la série photo Veganevasion, ça se passe aussi sur Instagram @veganevasion

Pour toute personne souhaitant intégrer le trombinoscope “Veganevasion”, c’est possible ! Envoyez-moi un mail à [email protected] avec une petite présentation en une dizaine de lignes et dites-moi depuis quand vous êtes vegan, une anecdote sympa sur vous, dans quelle ville vous habitez et si vous êtes d’accord pour que je vienne vous prendre en photo chez vous !

#GoVegan

Aurélie

[email protected]

instagram @veganevasion

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reseau-actu · 5 years

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ENQUÊTE - Dans le deuxième plus vaste État du pays de l’Oncle Sam, des propriétaires de ranchs organisent, sur leurs terres, des safaris. Au programme: chasse d’animaux d’Afrique, y compris d’espèces menacées. Ces «activités», vendues comme des packages tout compris, garantissent sans état d’âme le dépaysement et l’aventure.

De nos envoyées spéciales Nadjet Cherigui (texte) et Mélanie Wenger (photos)

Omar Avila est un chasseur éreinté, mais un chasseur heureux. Il ne rentrera pas bredouille à la maison. Après deux journées entières de traque dans un paysage de brousse et de poussière, l’homme, à force de détermination et de persévérance, a fini par épuiser l’animal puis il l’a l’achevé avec, pour seules armes, une arbalète et des flèches. Le buffle d’eau, présent en Asie, est une espèce menacée à l’état sauvage. Pour immortaliser ce moment précieux, Omar pose fièrement, le temps d’un cliché, devant le corps sans vie de ce colosse pesant près de 900 kilos. Omar a gagné cette partie, façon safari exotique, minutieusement organisée, en plein cœur du Texas. Là-bas, depuis quelques années, de nombreux propriétaires de ranchs se spécialisent dans ce genre d’activité.

Cet énorme buffle d’eau, commandé et abattu par un client, sera dépecé sur place pour faciliter le transport. - Crédits photo : Melanie Wenger

«Everything is bigger in Texas» (tout est plus grand au Texas), c’est la formule consacrée par les Américains pour évoquer avec humour toutes les démesures de ce vaste État. Ici, comme en Afrique, il est possible de faire des safaris. La législation autorise la chasse, sur les terrains privés, d’animaux exotiques, y compris ceux en voie d’extinction.

Erik Grimland est le fils d’un riche propriétaire texan qui a fait fortune dans le pétrole. Il a racheté près de Turkey, une petite ville à 500 kilomètres au nord-ouest de Dallas, le Rockin G Ranch, une propriété familiale pour se consacrer à sa passion et ce business juteux. Au total, près de 800 hectares d’une nature sauvage, avec juste ce qu’il faut d’hostile, dédiés aux chasseurs venus des quatre coins du pays qui souhaitent s’offrir pour quelques très grosses poignées de dollars des sensations d’aventurier.

De l’exotisme sans visa ni vaccin

«Absolument, Madame! A Rockin G Ranch, on peut faire des safaris, mais aussi pratiquer une chasse plus classique», explique Erik Grimland avec sa gouaille texane et dans un accent du cru. Son physique râblé, sa canette de bière toujours à la main et son habitude de cracher à intervalles réguliers une substance marronnasse pigmentée par cette habitude de chiquer du tabac, tranchent avec les bonnes manières et la politesse zélée héritées de son pedigree du sud des États-Unis. «Nous avons une zone délimitée avec des animaux comme les cerfs, les sangliers, des canards. Juste à côté, une autre, vaste de 300 hectares, cernée de très hauts grillages, est dédiée à la faune sauvage exotique.»

Les propriétaires de ces ranchs de chasse exotique défendent l’idée qu’ils sont des acteurs de la conservation animale. - Crédits photo : Melanie Wenger / Cosmos

Les clients comme Omar Avila peuvent, moyennant finance, s’offrir une petite tranche d’exotisme, sans visa ni vaccin, sans même changer de fuseau horaire. Ancien militaire, grièvement blessé en service en Irak et décoré de la Purple Heart, Crispy (croustillant), comme ses amis aiment à l’appeler, tient son surnom de son physique presque entièrement brûlé. A 33 ans, retraité de l’armée américaine, ce gaillard au grand cœur partage son temps entre son association, consacrée à l’accompagnement d’enfants hospitalisés et victimes de graves brûlures, et la chasse. Traquer le buffle d’eau est une première pour Omar. Pragmatique et amateur de viande, il a fait le choix de cet animal en raison de l’imposante masse de nourriture potentielle. «Plus que pour les sensations, je chasse d’abord pour manger, précise l’ancien militaire. L’animal est énorme et cette belle prise assurera pour ma famille et moi-même un stock conséquent d’une viande d’excellente qualité et certifiée biologique. Chasser l’animal avec un arc et des flèches, c’est une façon de ne pas choisir la facilité et de me mettre au défi avec moi-même. J’ai découvert la chasse après ma blessure. Être dehors me fait beaucoup de bien. Tout va plus lentement. Je suis transporté dans une autre temporalité, loin du tumulte de la ville où les gens se pressent avec leur portable pour faire le plus de photos possible sans profiter du moment. Ici, je ne suis connecté à rien d’autre qu’à la nature. Je savoure chaque instant. Dans ces moments, il n’y a plus que vous, cet environnement et l’animal.» Le suspense en moins. Car chacune des sorties dans ces ranchs un peu particuliers est une commande spéciale, et les animaux élevés et nourris en captivité sont parfois attirés avec de la nourriture pour faciliter la tâche des clients. Pour 3500 dollars, Omar a pu chasser le buffle d’eau qu’il convoitait mais d’autres clients exigent, pour bien plus cher, de chasser le zèbre, l’antilope, ou d’autres spécimens très exotiques.

Avant de se rendre sur place, les clients choisissent sur catalogue l’animal exotique qu’ils ont choisi d’abattre. - Crédits photo : Melanie Wenger / Cosmos

Au Texas, tout est toujours plus grand, et presque tout est possible. Erik, propriétaire du Rockin G Ranch se charge de répondre à la demande des clients. Il propose, à la carte, une trentaine d’espèces différentes élevées sur place et va, si besoin, se fournir chez des confrères ou des fermes spécialisées dans les élevages exotiques un peu partout dans l’État.

Grâce à son réseau, il est capable de répondre à presque toutes les fantaisies. À quelques exceptions près. S’il est facile, par exemple, de se fournir en girafes certifiées nées et élevées au Texas, il est formellement interdit de les abattre. «J’ai bien eu à supporter quelques caprices délirants», s’amuse Erik entre deux crachats et la joue toujours bombée par sa petite boulette de tabac. «Il y a quelque temps, un illuminé très motivé et nostalgique du Far West m’a demandé de lui organiser une chasse aux bisons avec des lances, nu comme un ver, à cheval, grimé comme un Indien.»

Comment défendre l’indéfendable

Face aux critères particulièrement pointus de ce chasseur quelque peu original, le propriétaire du ranch a très poliment décliné cette commande. Amoureux de la nature, Erik se décrit comme un acteur engagé de la cause animale et affirme défendre sur ses terres des pratiques de chasse éthique. L’homme répète à l’envi imposer une «no asshole policy». Dit poliment: «tolérance zéro pour les abrutis». Les clients ont l’obligation de respecter l’environnement et les animaux. Les règles du jeu à Rockin G Ranch sont claires: si, ici, on gagne à coup sûr, on tue pour le plaisir de chasser mais jamais pour le plaisir de tuer et on ne cible que les sujets adultes, jamais les bébés. «Je veux des chasseurs, pas des tueurs, insiste Erik. Notre business est bien entendu décrié par des écolos-végétariens-bien-pensants. Mais, chez nous, il n’y a pas que la chasse, nous sommes aussi des acteurs de la conservation animale. Nous élevons des animaux exotiques parfois menacés d’extinction. Ils sont certes chassés, mais se reproduisent aussi. Dans les pays africains interdisant la chasse, le braconnage se développe et constitue la vraie menace. Je suis heureux de maintenir l’existence de ces animaux pour mes enfants et les générations futures.»

Amateurs d’armes, les chasseurs texans s’entraînent régulièrement au tir. - Crédits photo : Melanie Wenger

Erik se targue de posséder, par exemple, plusieurs spécimens d’aoudads (mouflons de Barbarie). Originaire des montagnes d’Afrique du Nord, l’animal est considéré comme très menacé dans son habitat naturel. Un habitat naturel parfaitement semblable à cette région du Texas, surnommée «Little Africa». Le paysage, le climat et la végétation rappellent ces contrées lointaines. Saupoudrez de quelques zèbres et antilopes élevés en captivité et vous avez l’impression d’être transportés dans une séquence du film Out of Africa, sans Meryl Streep ni Robert Redford. Mais les clients peuvent compter sur Erik dans le premier rôle pour jouer le guide. Brad est de ceux-là. Cadre travaillant dans les assurances, l’homme est passionné par l’Afrique et y a déjà fait plusieurs voyages pour chasser le buffle noir. Dorénavant habitué du Rockin G Ranch, il y a trouvé la formule idéale: un package tout compris et tout confort comprenant le gîte et le couvert avec l’assurance, le temps d’un week-end, d’abattre l’animal de son choix et de rentrer victorieux à la maison avec un trophée. «Ce n’est pas l’Afrique, confie Brad, mais l’expérience est similaire. On marche beaucoup, on traque la bête comme on le ferait dans la brousse. Les conditions sont presque aussi difficiles. C’est l’Afrique, mais avec un petit goût de Texas. En plus de cela, je n’ai pas à supporter le voyage en avion, le décalage horaire. Le risque d’attraper des maladies est nul, tout cela pour beaucoup moins cher et moins de temps.»

Paysage, climat, végétation, faune, tout dans cette région du Texas rappelle un peu l’Afrique. - Crédits photo : Melanie Wenger / Cosmos

Posté sur les hauteurs d’une colline, le regard bleu acier de Justin est captivé par la beauté du paysage et le spectacle d’antilopes se reposant paisiblement à l’ombre des arbres. Chapeau vissé sur la tête, total look en jean et santiags, Justin est un vrai cow-boy. Associé avec Erik, il a pris part à la création du concept de Rockin G Ranch. On lit dans son regard d’ancien policier une âme ravagée par beaucoup trop d’années de travail sous couverture, infiltré chez les narcotrafiquants à la frontière du Mexique et des États-Unis. Ces yeux en ont trop vu et il ne se livre sur cette douleur qu’à demi-mot. Ce ranch est, pour lui, comme une seconde vie, un endroit pour se ressourcer et anesthésier des souvenirs qu’il voudrait oublier. Ardent défenseur de la chasse, Justin considère cette activité comme le prolongement naturel de l’homme. «Nous avons des canines, nous sommes donc des prédateurs. Je suis très fier d’avoir contribué à construire un lieu comme celui-ci dédié à la chasse et où les animaux sont respectés. Nous tuons avec compassion. Chaque fois que nous abattons un animal, nous devons nous laisser envahir par la tristesse, sinon c’est malsain.» Gêné aux entournures dès qu’il s’agit d’aborder le côté safari de l’activité du ranch, Justin se montre quelque peu critique vis-à-vis de cette clientèle en mal de sensations africaines. «J’ai beaucoup de difficultés à comprendre leur motivation. Ce n’est pas vraiment ce que je cherchais en créant ce ranch. Mais ce sont les affaires, et cette partie du business est, de loin, la plus lucrative.» Il faut en effet débourser 3500 dollars pour abattre un «simple» cerf tandis que, pour accrocher la tête de zèbre qu’on a tué dans son salon, il en coûte près de 6000 dollars.

Permis spécial pour les espèces les plus menacées

Non loin de là, les propriétaires du J Bar J Ranch ont bien moins de scrupules. L’essentiel des 30 hectares de cette vaste réserve est consacré à l’élevage et à la chasse d’animaux exotiques. Près de 300 têtes et une dizaine d’espèces différentes, nourries avec des silos à grains automatisés, chargés de maïs, gambadent paisiblement, attendant, insouciantes, qu’un chasseur jette son dévolu sur l’une d’entre elles.

Au Texas, la chasse, et peu importe l’animal, fait partie du quotidien et les jeunes sont souvent initiés au tir dès l’enfance. - Crédits photo : Melanie Wenger

Matt Hicks est le gérant des lieux, sa mine patibulaire cache un tempérament sympathique et chaleureux. Décomplexé, Matt décrit son activité comme purement commerciale. Son objectif consiste à vendre très cher des animaux exotiques pour la chasse et satisfaire des clients contents de repartir avec leur trophée. À bord de son pick-up, l’homme est fier de montrer le travail de ses équipes chargées de prendre soin des animaux. Se payer un zèbre, un oryx blanc ou une antilope à nez tacheté coûte entre 5000 et 6500 dollars. Mais Matt se réjouit. Depuis son imposant véhicule, il observe ses dernières acquisitions prenant leurs marques au sein du ranch. «Je viens d’introduire quelques spécimens d’oryx d’Arabie et de barashinghas. Je suis en train de régulariser la situation avec la Cites [l’organisme chargé de veiller à ce que le commerce international d’animaux et plantes sauvages ne constitue pas une menace pour leur survie, NDLR] pour obtenir l’autorisation de les chasser. Ce n’est qu’une formalité mais, sans cela, je suis dans l’impossibilité de les proposer à la chasse.»

L’oryx d’Arabie et le barashingha étant des espèces particulièrement menacées, il est nécessaire d’obtenir un permis spécial. Mais, pour Matt, ces petites tracasseries administratives ne sont rien au regard de ce que la peau de ces belles bêtes peut rapporter dans son escarcelle. «L’intérêt, pour moi, c’est que je peux les vendre bien plus cher. Leur rareté est un argument de vente solide, elles seront proposées à partir de 8500 dollars.»

Des centres d’élevage pour la chasse

Des animaux fournis par Wildlife Partners, une des nombreuses fermes texanes spécialisées dans l’élevage et la vente d’animaux exotiques en tout genre. Girafes, kangourous, zèbres, antilopes, près de 2200 animaux de 80 espèces différentes naissent et grandissent au milieu de cet écrin de nature sauvage et préservée. En tout, une trentaine d’employés s’activent et arpentent, jour et nuit, les 600 hectares du ranch pour prendre soin des animaux. Pour les propriétaires des lieux, cet endroit est d’abord un sanctuaire où les animaux peuvent vivre et se reproduire paisiblement avant d’être vendus à des particuliers, à des zoos ou pour répondre aux besoins de chasseurs organisant des safaris made in Texas. Lunettes de soleil posées sur le nez et large sourire, Hunter Reno, au prénom prédestiné, travaille depuis trois ans pour Wildlife Partners: passionné de chasse, d’animaux et de nature, il n’hésite pas à parler de son outil de travail comme d’une arche de Noé abritant les espèces exotiques en voie de disparition. «Wildlife Partners est incontournable, se réjouit Hunter. Nous fournissons près de 300 ranchs dans tout l’Etat, mais aussi des zoos et des parcs. L’élevage et la vente d’animaux sauvages nous rapportent l’essentiel de nos revenus.» Une activité que l’éleveur décrit lui-même comme strictly business (rien d’autre que les affaires). «Ces animaux sont d’abord un investissement, insiste-t-il. De nombreux propriétaires nous achètent des espèces menacées. Plus elles sont en danger, plus elles sont chères. Elles peuvent générer une belle plus-value à la revente.» Quant à la question des bêtes destinées à la chasse, Hunter, pourtant chasseur, peine à approuver. «C’est un phénomène qui se développe de plus en plus et avec lequel nous sommes obligés de composer.» L’homme confie qu’il préfère élever des animaux pour contribuer à leur conservation plutôt que de les envoyer vers une mort certaine. Mais les safaris sont une manne financière non négligeable, les affaires sont les affaires et, comme Noé dans son arche, il faut savoir sacrifier quelques bêtes pour, peut-être, en préserver d’autres.

Un code d’honneur pour les chasseurs: manger la viande de l’animal abattu. - Crédits photo : Melanie Wenger / Cosmos

Source: premium.lefigaro.fr

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