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#madame. Puis
lolochaponnay · 3 months
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En jouant sur un chantier avec ses copains, un gamin s'est fait renverser accidentellement un fût de goudron sur lui. De peur de se faire disputer, il a tardé à rentrer à la maison, et le goudron a figé et durci. Sa maman l'emmène aux urgences. Le toubib réfléchit quelques minutes, puis il essaie d'arracher des plaques de goudron, en vain. Il teste plusieurs dissolvants, sans plus de résultat. Alors, il dit à la maman : - Déshabillez-vous entièrement, madame. Puis, vous vous allongerez sur le lit, derrière ce paravent! - Mais...Je ne comprends pas...Ce n'est pas moi le patient! - Non, mais dans un cas aussi compliqué, ça ira plus vite d'en faire un autre que de nettoyer celui-là!
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anggloria · 5 months
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LOVE BEYOND SHADOWS | EPISODE 4: EN FLAGRANT DÉLIT
Disponible sur TikTok: https://vm.tiktok.com/ZGeRFAbkM/
Durée : 00:04:36
⚠️SPOILER ALERT⚠️:
Histoire écrite:
Chioma a discrètement lu les messages entre Uber Eats et Travis. Sous le choc elle ne sait pas quoi faire donc elle décide de ne pas réagir directement par peur d’être frappée une deuxième fois par Travis.
Le lendemain arrive et la nuit a porté conseil a Chioma: elle décide d’attendre Loree pour tout lui expliquer et de faire comme si de rien était avec Travis. Elle lui prepare un bon petit déjeuné avant qu’il aille travailler afin qu’il ne soupçonne aucun comportement étrange venant de Chioma.
Dès qu’il est sorti de la maison, Chioma appelle directement Loree pour TOUT lui expliquer. Furieuse et intelligente, Loree lui dit qu’il faut trouver qui pourrait être Uber Eats. Ni Instagram ni Facebook n’ont aidé… « Il faut fouiller ses mails! » dit Loree. Chioma fouille dans ses mails et y trouve une ancienne réservation dans un hôtel. Dans le mail il y a écrit:
« Nous vous remercions pour votre réservation, Monsieur TRAVIS et Madame BECKY »
Elle s’appelle donc Becky …
En voyant a quel point Chioma est dévastée, Loree lui propose de prendre de l’air et de faire un tour au centre commercial, puis d’aller au coffee shop boire un cappuccino.
Au coffee shop, un homme plutôt séduisant regarde Chioma avec insistance. Il est beau mais Chioma ne le calcule pas plus que ca. Quand Loree et Chioma sont assis a leurs table, elles discutent de leurs découverte. Loree a l’excellente idée d’aller suivre Travis dès qu’il part faire son jogging.
(dans l’episode 2 Chioma doutait d’ou Travis était réellement allé même si il prétendait être aller faire son jogging)
Même si Chioma a peur de se qui pourrait se passer, elle accepte de le suivre le jour ou il fera son jogging.
2j plus tard…
Nathan, le meilleur ami de Travis, rend visite a Travis et Chioma. Ils se comportent comme des enfants malgré leur âge mais cela fait plaisir a Chioma d’avoir de la visite. La journée se passe très bien et après le départ de Nathan, le moment tant attendu arrive… Travis se prépare pour faire son jogging!
Chioma tente de lui tirer les vers du nez mais Travis ne donne aucune réponse, just un petit bisous sur la joue et… il est parti.
Chioma se précipite sur iMessage pour prévenir Loree:
Chioma: ca y est… je crois qu’il part voir Becky…
Loree: on continue mon plan?
Chioma: pas le choix…
Loree: ma belle courage, tu mérites beaucoup mieux! Prépare toi, on y va!!!!
Quelque minutes plus tard…
Chioma et Loree sont cachées derrière un buisson et ont Travis en vue. Il entre dans une petite maison…
Les filles vont devant la fenêtre de la maisonnette et Loree se précipite de prendre son iPhone pour tout filmer. Ce qu’elles y voient est choquant…
Travis qui embrasse… Becky.
FIN D’ÉPISODE
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Au Café Marand, l'ambiance est aussi torréfiée que le café lui-même. On dit qu'ici, le café est si fort que même les cuillères ont peur de s'y aventurer. J'en ai vu une tenter le plongeon une fois. Elle n'est jamais ressortie. Le garçon, un petit brun décoiffé aux airs de poète maudit, prétend que leur café est récolté directement dans l'arrière-cour. Je ne suis pas allée vérifier. La dernière fois que j'ai mis le nez dehors, il pleuvait tellement que les poissons eux-mêmes prenaient un parapluie. Madame Marand, la tenancière, prétend que son café est le plus fort du village. Je veux bien la croire. Après trois tasses, on ne cligne plus des yeux, de peur de manquer le spectacle de ses propres tremblements. Et puis il y a ce client régulier, un certain Monsieur Moka, qui prétend avoir des visions après chaque espresso. Selon lui, le fond de sa tasse lui a révélé les résultats des prochaines élections, le secret de la vie éternelle et la recette du flan parfait. Personnellement, après deux tasses, tout ce que je vois au fond de la mienne, c'est un trou dans mon porte-monnaie. Au Café Marand, le café coule à flot, mais c'est l'ambiance qui nous retient. Tellement présente qu'on dirait presque qu'elle a sa propre chaise à chaque table. Et alors que les heures défilent, on se rend compte que la pendule du Café, probablement choquée par tant de caféine, a décidé de prendre sa retraite anticipée. D'ailleurs, entre deux tasses, on murmure que le temps, ici, s'est tellement ralenti qu'il envisage sérieusement de porter plainte pour harcèlement chronologique. Et c'est ainsi, entre un rire et un ristretto, que le Café Marand devient notre petite parenthèse d'absurdité dans un monde qui en manque parfois cruellement.
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homomenhommes · 3 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 92
Quand nous sortons de la voiture, le fils de bourge plein aux as descend de la sienne (c'est juste une 206CC, rien à voir avec mon propre cabriolet !!) avec un pote à lui.
Dans la voiture Jean m'avait dit qu'il avait décalé les passes de sa mère à l'après midi vu qu'il savait que le retour de gang bang serait difficile tôt le matin et que son paternel était en séminaire tout le WE (ça je le savais, j'avais pas eu de cours à donner le matin).
Nous nous saluons, Jean me présente comme un ami et je vois l'autre baver sur ma caisse (ça leur fait du bien à ces jeunes cons de voir qu'ils ne sont pas les plus privilégiés !).
Nous entrons tous les 4 dans la maison. Personne, la mère de Jean doit être en attente dans la maison de la piscine. J'accompagne Jean qui les emmène. Pour le pote du bourge c'est la première fois. Malgré ses airs de " j'ai tout vu, j'ai tout vécu ", il n'a pas l'air d'en mener large.
Passé la porte nous tombons sur Madame, à 4 pattes, la chatte dégoulinante et l'anus occupé par le gode, prête à être saillie.
Le bourge ne met pas de temps pour être à poil queue bandée. Son pote est plus lent, matant tout, la meuf le décor...
Je fais le tour et me présente à sa tête. Je m'accroupie et lui relève le menton. Quand elle me voit elle a un léger mouvement de recul. Son menton n'échappe pas à ma main et je lui dit de bien s'occuper des deux petits mecs et de ne rien refuser de ce qu'ils voudraient faire.
Avec Jean nous leur souhaitons une bonne baise et partons dans sa chambre mater sur son micro l'enregistrement des 4 caméras.
Quand nous arrivons devant le PC, le bourge est en train de faire " l'article ". il décrit la mère de Jean comme il le ferait d'un objet. De la bouche qu'il précise profonde, avec une langue agile et une gorge accueillante, à sa chatte brûlante et mouillée à son cul souple sans oublier les seins assez gros pour se branler entre eux.
Il appui sa description par l'utilisation de chaque élément. Il enfonce sa bite direct au fond de la gorge de la meuf, son pote n'en revient pas, il lui dit n'avoir vu cela que dans les pornos et pensait à moitié que c'était truqué. Après trois coup de queue, il sort pour, après avoir tourné autour et s'être kpoté, s'enfoncer dans la chatte de nouveau 3 coups de bite et il lui ôta le gode pour l'enculer. Ressorti il demanda à son pote si il avait compris le truc. Devant son acquiescement, il lui céda la place. Nous avons pu voir alors son pote en action. Grand et mince, sa bite nous paru correct (environ 17/18 par 4 ou 5). Il la présenta à la bouche de la mère de Jean qui lasse d'attendre, c'est avancée pour la lui gober.
Une des caméras les filmant de profil, nous avions une vue imprenable sur les événements ! Elle commença par lui téter le gland quelques minutes puis absorba la hampe cm par cm et fini par avaler le gland, le nez dans la touffe de poils. La jeune n'a pu se retenir et ses mains sur la tête de la meuf, il l'appuya de toute ses force sur son sexe. Il ne relâcha sa pression que quand le bourge lui a fait remarquer que si il continuait ils finiraient par baiser un cadavre !! Un moment nous avons cru (Jean et moi) qu'il avait déchargé, mais non , il est ressorti encore tout raide et sans traces blanchâtres sur le gland. Le bourge lui dit de tester les autres orifices. Kpoté, il pénétra le vagin avec une réflexion digne de la postérité ! : " putain c'est quand même meilleur qu'une main ! ". Et le bourge de surenchérir que son cul était encore meilleur vu qu'il serrait plus la bite. Aussitôt son pote a changé de trou et s'est enfonce dans l'anus de la meuf. Il a convenu lui aussi qu'un cul c'était encore meilleur.
Comme il commençait à accélérer les va et vient (annonciateurs de montée vers la jouissance), son pote le tira en arrière et lui dit que c'était pas pour une simple baise qu'il l'avait fait venir mais pour qu'ils la prennent ensemble.
Il dit à son pote de se coucher sur le dos et à la mère de Jean de le chevaucher. Après s'être bien assuré que la bite de son pote était dans la chatte, il s'est mis en position et s'est enfoncé dans son cul. Ce mec est un vicelard, il s'est accroché aux épaules de la meuf et à chaque fois qu'il la pénétrait, il tirait sec pour accentuer le coup et faire claquer le haut de ses cuisses sur ses fesses. Sans se préoccuper plus que cela de son pote, il s'est mis à insulter la mère de Jean, la traitant de " pute ", de " salope, garage à bites etc. ".
Le mec dessous avait empoigné les seins qui pendaient au dessus de lui et les tétaient l'un après l'autre. D'une voix rauque la mère de Jean leur a demandé de la prendre tous les deux, ensemble dans sa chatte. Nouvelle série d'épithètes par le bourge qui consent à sortir du cul et après avoir changé de kpote, s'est enfoncé dans le vagin au coté de son copain.
Je la connais cette meuf, je suis sûr qu'elle allait jouer de ses muscles vaginaux pour les serrer. C'est vrai qu'une bite normale se trouve au large dans son trou moite, mais deux bites accolées, ça commence à faire un diamètre respectable !
C'est ce qui se passe, le bourge gueule quand elle commence son massage interne. Il répète les insultes précédentes à défaut d'en trouver de nouvelles. Brutalement il se recule et gueule qu'il a failli juter.
Il se calme un peu pour faire baisser la pression et demande à son copain de l'enculer en levrette.
Ce dernier se retire du vagin où il était bien au chaud et prend position à genoux entre les cuisses de la mère de Jean (sur le dos) qui met son anus au niveau de la bite en calant ses reins par des coussins et en écartant bien les genoux. Le bourge lui est repassé devant se faire sucer. Il attend que son pote soit bien parti dans ses va et vient pour venir se placer à ses cotés. Je ne vois pas où il veut en venir, dans cette position ils ne pourront pas entrer à deux ! Je l'avais pressenti vicieux mais pas à ce point !! Il pousse son pote dans les bras de la mère de jean le collant à ses seins et en le faisant basculer vers l'avant recale les coussins pour que l'équilibre tienne. Nous le voyons se passer une kpote et la graisser copieusement. Puis, alors que son pote est bloqué par les bras et les jambes de la mère de Jean, il se pointe juste derrière lui et l'encule sans lui demander son avis ! Je vous l'avais dit, un vrai vicieux ce bourge !! L'autre pousse un hurlement qui a du arracher les tympans de la meuf. Mais coincé, il ne peut réagir.
Le bourge le prend par les hanches et entame aussitôt les va et vient. Les cris s'atténuent et quand la mère de Jean répond positivement à sa question sur le fait que la bite dans son cul bande encore malgré l'assaut, il conclu qu'il se doutait que son pote était pd et que maintenant il aurait à sa disposition une meuf pro et un mec et qu'il était sur qu'en plus il devait adorer sucer une pine. Le mec en sandwich n'avait pas l'air de réagir plus que cela, il subissait l'assaut avec ce qui semblait être du plaisir et bientôt nous l'avons entendu crier qu'il jutait. Nous l'avons alors vu se tordre et après chaque coup de rein qui devait ponctuer une éjaculation, il reculait se prenant la bite de son pote au plus profond de son cul.
Depuis déjà pas mal de temps, j'enculais moi même Jean sur son bureau afin que tous les deux nous puissions voir le spectacle sur l'écran. Faisant attention à bien le prendre sur la longueur totale de mon sexe pour maîtriser la montée de sperme et je contenais ma jouissance. Mais arrivé à ce stade, je n'ai pu me retenir et j'ai rempli ma kpote alors que Jean jutait sous le bureau. Quel beau salaud ce jeune bourge ! Mais il n'en avait pas fini vu qu'il n'avait pas jouit. Il a demandé à la mère de Jean de garder son pote coincé entre ses bras et après avoir déculé, il a fait le tour de l'ensemble à se pieds, a dékpoté et a présenté son gland à son pote. Ce dernier a voulu refuser. Pas de chance le bourge n'est pas patient ! et du coup il s'est pris une baffe. Surpris il a ouvert la bouche, probablement pour protester, mais sans en avoir le temps. Dès qu'il a légèrement entrouvert les lèvres, il s'est fait envahir la bouche par la bite qu'il refusait juste avant. Le bourge lui tenant la tête par les oreilles lui a bourré la gueule sans se préoccuper de ses haut le coeur ! et bientôt nous avons pus voir le jus s'écouler de sa bouche, de chaque coté de la bite encore en mouvement. Sous peine de s'étouffer, nous l'avons vu déglutir plusieurs fois !!
Pendant que le trio se remettait de ses émotions, je remballais mon " matériel " et Jean me donnais ma part (sur les passes de sa mère).
Je le quittais non sans avoir copié l'enregistrement sur ma clé USB et rentrais sagement à la maison.
JARDINIER
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empiredesimparte · 1 year
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French People magazine Voici
Hortense defies imperial protocol with Oliver
This is a crucial year for the imperial family of Francesim. This summer, Napoléon V will be crowned Emperor in Paris. As hotel prices soar in the capital, the monarchical institution is busy making the next preparations for this historic day. However, one person close to the imperial family does not seem to be happy: the Duke Oliver of Rothsey, the son of King Alexander III of the Scots.
It's no longer a mystery that the young heir is having an affair with Madame Hortense. In his latest official portrait, Prince Oliver shows a shocking photo: he and the Emperor's sister are openly kissing and embracing! A photo that doesn't seem to please the imperial family…
A source close to the Emperor deplored :
"the Duke of Rothsey's childish behaviour": "The Imperial Household reproaches a lack of communication with the Scottish Royal Family. There should have been an official public announcement in due form. The Emperor is very disappointed in his sister and Oliver, whom he thought was his friend."
Indeed, Princess Hortense has been seeing the Duke of Rothsey secretly for several months. According to Scottish sources, the young couple have wanted to make their relationship official. Emperor Napoléon IV has always refused, and it seems that his son has continued this refusal. Furthermore, imperial protocol doesn't allow official or unofficial couples to appear even hand in hand, except on rare occasions such as a wedding.
Will the Scottish family be invited to Napoléon V's coronation? It is difficult to know at the moment.
Collaboration with @officalroyalsofpierreland
Traduction française
C'est une année cruciale pour la famille impériale de Francesim. Cet été, Napoléon V sera couronné Empereur à Paris. Alors que le prix des hôtels flambent à la capitale, l'institution monarchique s'occupe des prochains préparatifs pour ce jour historique. Cependant, un proche de la famille impériale ne semble pas se réjouir : le duc Oliver de Rothsey, le fils du roi Alexandre III des Ecossais.
Cela ne fait plus de mystères désormais : le jeune héritier entretient une liaison amoureuse avec Madame Hortense. Dans son dernier portait officiel, le prince Oliver expose une photo choc : lui et la soeur de l'Empereur s'embrassent et s'enlacent ouvertement ! Une photo qui ne semble pas plaire à la famille impériale...
Une source proche de l'Empereur déplore "le comportement puéril du duc de Rothsey" : "La maison impériale reproche un manque de communication avec la famille royale écossaise. Il aurait fallu une annonce publique officielle en bonne et due forme. L'Empereur est très déçu par sa soeur et Oliver, qu'il pensait être son ami".
En effet, cela ferait plusieurs mois que la princesse Hortense fréquente le duc de Rothsey secrètement. Selon les sources écossaises, le jeune couple souhaiterait officialiser leur relation depuis plusieurs semaines. Ce que le précédent Empereur puis Napoléon V auraient toujours refusé. De plus, le protocole impérial ne permet pas aux couples d'apparaître ne serait-ce que main dans la main, sauf en de rares occasions comme un mariage.
La famille écossaise sera-t-elle invitée au couronnement de Napoléon V ? Difficile de le savoir pour l'instant.
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je-suis-ronflex · 2 months
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Comme j'ai pas eu le CAPES interne à rien du tout je me suis dit que j'allais faire du shopping pour me détendre : je voulais de quoi jardiner et rempoter mes plantes à l'arriver du printemps mais je n'ai rien trouvé de ce dont j'avais besoin je me suis dit que c'était pas grave et que j'allais acheter des livres parce qu'il y a des offres "2 achetés = 1 offert" dans toutes les librairies sauf que les livres repérés étaient en rupture de stock MAIS j'ai quand même trouvé un livre qui a l'air méga cool Puis comme j'étais triste je suis allé m'acheter des pâtisseries et sur le chemin une madame à dit à sa copine madame que mon sac était trop beau et du coup ça fait quand même un peu plaisir
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cendres-et-volcans · 4 months
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Je m'étais égaré madame, dans le dédale de mes envies. J'ai du perdre la notion du temps ou des lieux, j'ai cessé d'exister, pour un instant dans la courbure de votre ventre.
Là où s'arrête le désir, débute l'amour puis renait le désir.
J'ai posé mon visage, au creux de votre ventre, comme une alliance entre nos deux visions, comme un acte de paix et de silence. Et vous avez approuvé ma reddition, vous lui avez laissé le temps de l'acceptation, pour que sans déshonneur je vous embrasse a nouveau, votre main sur mon cou.
Et la, dans l'inattendue douceur, dans la lenteur des peaux qu'on découvre, renaissent les vagues et les envies
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prosedumonde · 7 months
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Et le puis-je, Madame ?  Donner ce qu’on adore à ce qu’on veut haïr, Quel amour jusque-là pût jamais se trahir ?
Pierre Corneille, Suréna
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bruleeparlalune · 5 months
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Traduction française de Fear & Hunger 2 - Termina - #2
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Comme prévu, nouvel update sur la traduction française de F&H2. Ça avance lentement mais sûrement, en espérant que je puisse la sortir avant la prochaine MAJ du jeu. Haha.
Traduction faite durant le mois :
Les objets : les noms et descriptions des objets, de la nourriture, des objets de soin, des livres et les morceaux de gens ou d'animaux ou d'autres bestioles pas protégées par la SPA.
Les noms des ennemis et de leurs membres.
L'extérieur du train. Comprends la discussion du début de jeu, ainsi que les discussions de hub.
Première rencontre avec Per'kele.
Maison de l'homme des bois. Avec le sous-sol.
Une partie de la vieille ville, qui correspond à la zone du soldat 1, de l'extérieur du manoir du maire et Karin à l'entrée de la maison.
Petit sneak peak juste en dessous !
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Il y a quelques points que je veux particulièrement remonter. Par justification de traduction, d'appel à l'aide, ou parce que c'est particulièrement intéressant.
Les ennemis
La majorité vont être traduit : Villageois/Villageoise, Fusilier, Homme-Pillier, Vieille aux rats, Dance Mécanique, Clébard Fétide, Cocon Imparfait, Lunette Chialeuse...
J'en profite du coup pour proposer la traduction de Moonscorch, qui serait du coup Flambelune. Cela donnera le cancer de la Flambelune, et un Flambeluné.
J'hésite grandement à traduire les nom Needles et Stitches, qui pourrait être traduit par Seringues et Soutures, mais ça ne sonne pas top. Mais ça fait flic de laisser des nom en anglais dans une trad française.
En parlant de flic, je comptais traduire Bobby par Flic/Flicaillon/Poulet, mais ça enlèverai le contexte du nom. En Angleterre, bobby est un mot familier pour désigner les policiers londoniens, avec leur casque bombé. Vu le design de l'ennemi dans le jeu, le nom restera.
Par contre, Bellend sera traduit par Gland. C'est très important.
Avis à la population, mais surtout aux experts : pour l’ennemi Sew Job, le mot existe bien en anglais, mais je ne trouve pas d'équivalent en français. Enfin si, ce serait Travaux de couture, mais ça sonne faux. Pour le moment, le nom placeholder pour cet ennemi serait Peau Rapiécée. Question pour les gentils messieurs et madames de mon PC qui font de la couture : est-ce que vous avez un mot pour Sew Jobs, dans votre domaine ?
2) Première rencontre avec Per'kele
Point général, car il concerne tout le texte, mais j'ai dû bidouiller un peu pour garder le texte le plus neutralement genré possible.
3. Extérieur du train
La manière dont est fait le jeu, chaque zone comprend tous les dialogues et textes possible dedans, que ce soit les Party Talk, les diagnostiques médicaux, les discussions avec les NPC, lorsqu'on fouille dans des objets... En même temps, des textes se répètent entre chaque zone, alors qu'ils devrait être dans l'onglet Common Events... Après, ce sont des textes que je ne traduit qu'une fois, puis je les recopie dans les autres zones. Je n'aurai pas à les retraduire et ça m'avancera le travail.
Cette partie là a été longue à traduire, car elle comprend à la fois la discussion du début de jeu (et les alternatives selon le personnage qu'incarne le joueur), mais aussi toutes les discussion de hub (Marcoh et Tanaka qui boxe, Olivia qui creuse la terre, Henryk qui fait sa popotte dehors, Daan qui clope). Il y a d'autres zones comme ça, qui sont pas mal chargée de texte, comme l'intérieur du train, le bar jazz, et l'intro des personnage.
Pas mal de dialogue sont des ref à d'autres média, comme par exemple la référence à Jimmy Buffet quand on demande un coup à boire à Daan au bar (je reviendrai sur celui-là plus tard). Là, lorsqu'on essaye de l'embrigader dans notre groupe alors qu'il est au complet, il refuse en disant qu'il sera juste un "party poison". Je n'ai pas réussi à trouver si c'était une expression idiomatique ou bien une référence. La seule référence que j'ai trouvé, c'est un titre de MCR (qui est nul à chier imo). Du coup, dans le contexte, je pense qu'il voulais dire "plombeur d'ambiance".
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Les "Bremen pigs" de Karin. On n'a pas l'air, en français, d'avoir un équivalent de l'insulte "pigs", sauf dans le cas de la police, où c'est poulet. Du coup, Karin dira dans la traduction "chiens de Bremen" ou "chiens brêmois", qui gardent le côté insultant et la comparaison aux animaux.
Je crois avoir bien passé en revu sur quoi j'ai taffé ce mois-ci. Avec les vacances de Noël, je devrais pouvoir mieux travailler dessus et bien avancer.
Prochaine update le mois prochain !
Joyeux Noël et bonnes vacances à tous !
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selidren · 2 months
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Hiver 1916-1917 - Champs-les-Sims
6/7
Cela me rappelle que nous attendons un heureux événement pour le printemps. Adelphe aurait bien voulu vous en parler lui-même, mais les temps sont si rudes qu'il nous écrit à peine à nous même. Son épouse, Marie, attend leur quatrième enfant. Ma pauvre belle-soeur n'est plus toute jeune, mais elle est aussi dynamique qu'autrefois, et qu'elle a bien hâte de cette naissance. Rendez-vous compte, cela fait déjà vingt ans qu'elle a mis Alexandre au monde. Pour ma part, je ne sais si je veux encore d'autres enfants, mais il n'y a rien au monde qui me procure plus de bonheur que de les voir grandir. Antoine par exemple, grandit bien trop vite. On dirait un homme adulte dans le corps d'un jeune garçon. Eugénie dit qu'il est exactement comme Maximilien, le père de Constantin. Mon époux me parle assez rarement de son père, et Adelphe m'a avoué qu'il fallait éviter le sujet avec lui car les deux s'entendaient très mal. En revanche, Madame Eugénie ne tarit jamais d'éloges à son sujet et de son amour pour son épouse, Rose se souvient de lui avec émotion et Adelphe lui-même admet que pour lui, Maximilien a été une excellente figure paternelle. J'ai beaucoup de mal à me figurer un tel personnage : un être apparemment brillant, capable des amours les plus profonds comme du plus grand des désintérêts. Il est si dommage que Constantin prenne la même voie avec ses propres enfants mais qu'y puis-je ?
Transcription :
Marc-Antoine « Je vois, mais moi, je dois faire quoi ? Je suis le quatrième enfant de Papa. C’est Noé l’aînée. »
Eugénie « Arsinoé oui, c’est sur elle que repose le plus important des devoirs. Elle devra, comme son père, son grand-père, son grand-oncle, et tous les héritiers de la famille, se marier et avoir des enfants. La prochaine génération repose sur elle. »
Marc-Antoine « Comme vous ? C’était aussi votre devoir ? »
Eugénie « Pas exactement, mais oui, j’ai été en charge de mettre au monde les héritiers Le Bris, comme ta Maman. Puis je les ai élevés et j’ai défendu leurs intérêts. Je n’ai peut-être pas toujours eu les idées très éclairées, mais j’ai toujours défendu les intérêts de mes descendants. »
Marc-Antoine « Donc elle devra faire des enfants quand elle sera grande. Et qu’est-ce que vous voulez dire ? Défendre les intérêts ? »
Eugénie « Protéger la famille, leur assurer un revenu, comme le fait encore ton oncle Adelphe bien que ce soit le hasard qui ait posé cette responsabilité sur ses épaules. Grand-Dieu, il était si jeune... »
Marc-Antoine « Vous auriez pu le faire aussi non ? SI il était si jeune je veux dire... »
Eugénie « Oh non, lui c’est un homme, mon garçon. Ta mère te diras sans doute que je suis dépassée en disant cela, mais toutes ces choses sont le travail de l’homme de la famille. Maximilien l’a fait avant Adelphe, et c’est lui qui a réellement bâti la fortune de notre famille. Et après Adelphe, ce sera à toi de le faire. Tu seras l’homme de la famille. »
Marc-Antoine « Si j’ai bien compris, Noé devra se marier, donc ce sera à son mari de le faire. »
Eugénie « Non ! Les hommes qui arrivent dans la famille sont de potentiels vautours qui ont à coeur leur propre nom. Ce devra être toi. »
Marc-Antoine « Donc, si je dois être l’homme de la famille, je devrai observer Adelphe non ? »
Eugénie « Exactement ! Ce garçon est un excellent modèle. Mais rappelle-toi toujours que, adulte, ta priorité absolue, ce sera ta sœur. Tu m’entends ? Absolue ! Elle devra pouvoir compter sur ton soutient sans failles, peu importe les épreuves ! »
Marc-Antoine « J’ai compris. Elle aura besoin de moi. »
Eugénie « Comme ton Papa a besoin d’Adelphe. Et comme Lucrèce avait besoin de Maximilien. »
Marc-Antoine « Grand-Mère, qui est Lucrèce ? »
Eugénie « Oh... »
Marc-Antoine « Je sais que c’est une tante de Papa, mais c’est à peu près tout. Sinon, il y a des rumeurs… »
Eugénie « N’écoute jamais ces rumeurs, au grand jamais, ce ne sont que d’affreux mensonges ! Oh mon petit, j’aimerai t’en parler mais c’est encore très dur. Un jour peut-être. Sache simplement qu’ elle sera la seule de mes enfants qui ne reposera jamais ici, et que cette absence me déchire le coeur depuis plus de vingt ans. »
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oldtvandcomics · 7 months
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Salut ! D'habitude, je blogue en anglais, mais je viens tout juste de terminer ce livre en français, et je dois ABSOLUMENT en parler.
Le voilà :
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Nous Sommes la Poussière, de Plume D. Serves. Photo prise ici avec la recommandation de Les Mots A La Bouche, la librairie queer à Paris. C'est pas là où je l'ai acheté d'ailleurs, mais dans Le Nuage Vert, librairie fantastique à Paris, car Paris est grande et a des magasins spécialisés comme ça (je viens de la campagne, pour moi, c'est du nouveau). J'avais demandé des livres queer des écrivains français (Les Mots A La Bouche) et des livres des écrivains français qui parlent des minorités, surtout queer ou handicapés (Le Nuage Vert), car je lis presque exclusivement en anglais, et je ne sais pas comment trouver le genre de livre que je cherche en autres langues, bien que je sache qu'ils existent de super choses.
Et ce livre-là, il était TELLEMENT BIEN, je ne peux pas dire.
La madame de Le Nuage Vert me l'a vendu comme science-fiction très léger, mais je trouve que c'est mieux décrit comme du réalisme magique. L'idée est qu'il y a cette condition qui fait matérialiser autour des gens un nuage des particules de poussière électromagnétiques, ce qui évidemment va impacter la qualité de vie. Ce qu'est pire, c'est tous les stigmas sociétaux qui viennent avec. En fait, c'est un handicap et traité comme un. Le personnage principal est une jeune femme diagnostiquée assez tard, qui vécut toutes ces discriminations, et s'engage dans de l'activisme pour les combattre. Elle est aussi lesbienne.
Et ce livre, il parle DE TOUT. Je n'ai jamais vu la monde dans laquelle j'existe représentée comme ça avant.
Il parle des difficultés de recevoir une diagnose, le sentiment de voir ta vie se passer sans toi, les différentes difficultés des gens qui sont diagnostiqués comme adultes vs comme enfants, le privilège de "passer", la discrimination que font face les couples handicapés qui veulent des enfants, les difficultés d'organiser un mouvement activiste, activisme violent vs non-violent, la médecine alternative, les difficultés qu'ont les parents à se faire croire si leur enfant a un handicap invisible, l'intersectionnalité des identités marginalisées et comment la société les criminalise... Je ne balgue pas, je pourrais encore continuer avec les sujet auquel il touche.
C'est super clair que l'écrivaine a des expériences personnelles dans ce milieu (son bio dit qu'elle est militante autiste et queer, et c'est vrai qu'on reconnait la communauté autiste dans celle des magnophiles). Je ne suis pas de tout, mais pas de toute une personne à faire des notes dans un livre, mais ici, j'ai passé toute la lecture à vouloir souligner des passages que OUI, REGARDEZ, C'EST EXACTEMENT COMME CA ! (Évidemment, je ne l'ai pas fait. Je ne prends pas de notes dans des livres.)
Aussi, j'aime bien le style de l'écriture. C'est assez léger comme structure, comme ce sont des chapitres courts interrompues de textes encore plus courts dans la première et deuxième personne, qui donnent voix à l'inventeur des mailles qu'ils forcent les gens à porter et a au moins deux personnes anonymes qui sont aussi en train d'essayer de vivre avec leur handicap (ou bien une personne différente chaque chapitre, ce n'est pas vraiment clair). C'est super, parce que ça aide beaucoup avec l'immersion et donne le sentiment qu'on parle d'une vraie communauté de gens, et aussi, ça permet de temps à se passer entre les chapitres. Donc la narrative est plus une collection de petits moments de la vie d'Elias, au lieu d'une narrative stricte qui progresse de A à B à C et puis c'est fini. C'est un bon choix, que rend le tout beaucoup plus réaliste.
En bref, c'est un super livre que je recommande fort de lire à tout le monde. Surtout si tu es un peu dans ce milieu de l'activisme qui se bat pour les droits de minorités. Ou si tu veux lire un bon livre d'un écrivain français.
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Pâques 2024.
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Bonjour madame Dupuis, que me vaut cette demande de rendez vous?
- Je voudrais faire un crédit à la consommation.
- Tout va dépendre du projet mais je vous cache pas qu'en ce moment notre banque est assez frileuse là dessus. Quel est votre projet exactement ?
- J'aimerai faire un repas de famille pour Pâques, et je veux faire un boeuf bourguignon pour 8 personnes.
- Houlala! Ah oui, là c'est un projet ambitieux. Vous n'avez pas un peu d'argent de côté? Les taux sont haut en ce moment.
- Non, pas un centime de côté. J'ai tout dépensé le mois dernier pour faire un plein d'essence.
- Et vous ne pourriez pas remplacer le boeuf par du poulet ukrainien ? Ça serait moins cher.
- Mouais, ça m'emballe moyen. Je tiens vraiment à avoir du boeuf pour mon boeuf bourguignon.
- Bon, je vous aime bien madame Dupuis, vous êtes une bonne cliente de notre banque. Je peux vous proposer un crédit sur 10 ans à un taux de 5%.
- Oh merci, merci beaucoup ! Et y'a un possibilité d'avoir un crédit un peu plus long pour acheter du chocolat pour les enfants 
- N'abusez pas non plus madame Dupuis. Et puis dans la France d'aujourd'hui il faut apprendre aux enfants à faire des sacrifices.
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homomenhommes · 4 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 64
Le mercredi PM c'était le jour du trentenaire dont j'ai débloqué la meuf. Lui, depuis cela, il préfère les plans à trois avec moi. Comme je n'étais pas spécialement partant, il a su mettre sur la table les arguments qu'il fallait pour me convaincre (et il en a fallu car 26 x 6,5 c'est pas ma tasse de thé)! du coup ce mercredi là Jean est de repos. Comme j'entre chez eux, elle me saute au cou et me remercie à l'oreille. Je lui dis qu'elle va pas non plus me remercier à chaque fois qu'elle me voit !
Elle porte une minijupe tellement petite qu'on dirait une grosse ceinture sous laquelle elle ne porte rien. Heureusement qu'elle a la chatte rasée sinon les poils dépasseraient ! Ma main s'égare de suite dans la région et j'en ressort les doigt trempés de sa mouille. Comme son mec nous rejoint, je lui dis qu'il a déjà bien avancé le travail en lui montrant mes doigts. Il me dit que non c'est juste qu'elle est excitée à l'idée de l'après midi de baise !
A eux deux ils m'aident à me sortir de ma combi en cuir et continuent jusqu'à ce que je me retrouve à poil. Je me tourne vers la meuf et la mets rapidement dans le même appareil. Le mec qui venait de faire un peu de muscu histoire d'avoir les muscles avantageux, n'a eu qu'à tomber son short flottant à slip intégré.
Tous les 3 à poil, nous avons gagné le salon. Je poussais la meuf le dos sur la table basse et à 4 pattes entre ses jambes commençais à lui bouffer la chatte. Son mec dans mon dos, m'écartait les fesses pour me lécher l'anus et commencer le long travail d'assouplissement. Après l'avoir fait jouir en lui mordillant le clito, je me suis enfilé dans sa chatte. Son mec, moins à l'aise pour continuer son anilungus, est venu devant se faire sucer.
J'ai pu voir les gros progrès de madame. En effet, il n'a pas fallut longtemps avant qu'elle ne le prenne en entier. Quand elle le laissait échapper pour reprendre son souffle, son gland bondissait vers mon visage. En me penchant, j'ai commencé à lui téter le gland. Comme il s'attardait dans ma bouche, elle lui goba ses couilles fraîchement rasées.
Sa chatte commençant à se dilater franchement, je prévint le mari de m'y remplacer pendant que je lui ferais le cul.
Prenant la place de sa meuf, il se coucha sur le dos. Elle vint l'enjamber et s'enfiler les 26cm. J'ai attendu quelques va et vient puis me suis imposé dans son anus. Je poussais sur ses omoplates, écrasant ses seins sur les pecs de son mec, je dégageais la " porte arrière ". La kpote encore pleine de sa lubrification, je me suis introduit sans brutalité mais sans m'arrêter non plus jusqu'à ce que mes couilles reposent sur celles de son mari. Au dedans de la meuf, je sentais bien tous les détail de la grosse bite de son mec, notamment les contours de son gland.
Elle de son coté n'en pouvait plus et venait de jouir une deuxième fois bruyamment. Nous avons laissé retomber un peu la pression puis avons commencé à la faire coulisser sur nos teubs. Bientôt c'est elle qui a fait le travail et jouait du bassin pour augmenter son trip. Alors qu'elle prenait son pied une 3ème fois, nous en sommes sortis. Je savais que mon tour était venu de ma faire saillir (il n'y a pas d'autre mot quand on s'apprête à recevoir un mandrin de 26 x 6,5 dans le cul !). Aidé de sa meuf, il se mit à me préparer l'anus. Graissage, doigtage, 2 puis 3 du mec, 4 de la petite main de la meuf.
Même ainsi préparé, je me suis mis une bonne dose de poppers dans le nez quand il a commencé à me pénétrer. Deux autres doses plus tard, je sentais ses poils pubiens sur mes fesses. C'est dans ces moments là que je me dis que je ne vole pas mon fric !
Je me détend au maximum pour profiter sans douleurs de la saillie. A sa meuf qui nous regarde je dis qu'elle se prépare car après moi il se finira dans le sien de cul. Sa grosse bite me lime grave et bientôt l'asticotage interne de ma prostate a raison de ma résistance et je jute sans pouvoir me retenir. Il n'insiste pas et sort rapidement. Je tiens ma " vengeance ", j'attrape la meuf et la pousse à 4 pattes les seins écrasés sur le verre de la table basse. Dekpotant le mari, je pousse avec deux doigts un paquet de gel dans le cul puis pose le gland nu de son mec sur l'anus.
Excité, il ne se retient pas et s'enfonce direct dans sa meuf. A la façon qu'elle a de supporter l'assaut, j'en déduit qu'il doit assez souvent l'enculer. Je leur pose la question. Lui me répond que chaque fois qu'ils baisent, il se finit dans son cul. Je passe ma mains sous la table jusqu'à sa chatte et lui pince le clito. Elle se contracte brusquement, serrant violemment l'anus. Son mec qui ne s'y attendait pas trouve la pression intéressante. Je la laisse se décontracter puis recommence. Même cause même effet, il se trouve bloqué dans son va et vient et doit forcer pour avancer. Il dit que c'est encore meilleur ! elle de son coté ne dit pas non.
Je fais glisser sur le coté la table basse et sur le dos vient en 69 avec la meuf. Avec les dents, j'attrape son clito pendant qu'elle me suce. A chaque fois qu'il la pénètre, je reçois ses couilles dans le front ! quand je lui mordille le clito, je déclenche un nouveau spasme. Heureusement que j'étais enfoncé dans sa gorge à ce moment là car, sans se contrôler, elle a voulu refermer la mâchoire !! j'ai quand même bien senti ses dents !!!
A la 5ème fois, (alors que j'avais sorti ma bite par précaution), nous lui avons provoquer un orgasme assez phénoménal. Pendant plusieurs minutes, nous l'avons tenu alors qu'elle sursautait sous les spasmes de son orgasme. Lui compressé à répétition lui a tout largué dedans et est sorti encore gluant de sperme, en en entraînant avec une bonne part.
Le tapis du salon tâché de plaques de sperme allait devoir passer au pressing !
Je prenais ma douche en premier et laissais la place au mec alors que je me séchais. De le voir tout savonneux en train de se frotter le corps, je me suis fait la réflexion que son petit cul était franchement attirant. Il faudrait que je tente une approche dans ce sens la prochaine fois !
Nous nous sommes fixés un rendez vous pour septembre, because vacances.
JARDINIER
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kamomille9 · 1 year
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Fanfic Pendranièvre : Le Coeur a ses Raisons... Chapitre 3
Hello à tous ! J’espère que vous avez passé un bon week-end !
Chapitre 3 : La Destination
Guenièvre de Carmélide ne put s’empêcher de soupirer bruyamment une fois sortie de son ancienne chambre. Tout son corps tremblait. Il lui avait fallu tout son courage pour s’opposer au Roi et à présent tous ses nerfs se relâchaient enfin. Elle fit quelques pas en se reposant contre le mur. Elle devait s’éloigner le plus possible… Mais c’était sans compter sur le chevalier Perceval :
_ Ma Reine ? Vous allez bien ?
Guenièvre essuya son visage des nombreuses larmes versées avant de finalement se tourner vers le chevalier.
_ Seigneur Perceval ! Si vous souhaitez parler au Roi il est dans sa chambre.
_ En fait, il m’a balancé la porte à la figure juste avant d’y rentrer un peu plus tôt… J’étais dans le cirage pendant un bon moment je pense… jusqu’à ce que je vous vois sortir…
_ Je dois vous laisser, je suis navrée…
Seulement, Perceval n’était pas disposé à la laisser s’échapper.
_ Où allez-vous donc ma Reine ? Je peux vous accompagner si vous le…
_ Ne m’appelez plus comme cela ! Je ne suis plus Reine…
_ Je comprends pas…
Guenièvre soupira une nouvelle fois avant de poursuivre son chemin vers les quartiers des serviteurs, où Angharad devait déjà l’attendre.
_ Ma Reine ? Vous allez où ? Je peux peut-être vous accompagner…
_ N’avez-vous point une réunion de la table ronde dans peu de temps ?
_ Bah… C’est possible, je sais plus bien après ce coup sur la tête… Mais j’pense pas que le Roi voudrait que je vous laisse seul…
_ Je vous le répète Seigneur Perceval : je ne suis plus Reine. Ce que voudrait ou ne voudrait pas le Roi à mon encontre n’a plus aucune importance…
_ Je comprends pas bien… Pourquoi vous dites que vous n’êtes plus la Reine ?
_ Mon mariage avec le Roi vient d’être annulé. Je ne suis plus ni la Reine, ni même sa femme. Il est donc inutile de me suivre…
Arrivée à destination, Guenièvre toqua à la chambre de sa bonniche. Lorsqu’Angharad ouvrit, elle écarquilla les yeux en voyant sa maîtresse vêtue modestement à côté de son soupirant.
_ Je suis navrée de vous déranger mais je préférais que vous l’appreniez par moi au lieu de devoir faire confiance aux commérages qui ne vont pas tarder à se répandre.
_ Madame ?
_ Mon mariage avec le Roi a été annulé. Je quitte le château sur l’heure. Je souhaitai juste vous dire aurevoir et merci d’avoir été mon amie…
_ Mais Madame… Que dites-vous là ? Une annulation de mariage ?
_ J’aimerai avoir le temps de vous en dire plus… Sachez juste qu’il s’agit de ma décision, j’ai fait annuler mon mariage. Je dois partir à présent…
Guenièvre prit brièvement la jeune femme dans ses bras avant de filer vers la sortie réservée aux serviteurs.
_ Seigneur Perceval ! Je vous en supplie ne la laisser pas toute seule ! Suivez-la et protégez-la ! Je ne sais pas ce qu’elle a en tête mais les routes sont trop dangereuses pour une femme seule…
Le chevalier acquiesça brièvement, prit un instant la main de la jeune servante, puis courut rejoindre la Reine… enfin l’ex-Reine. Angharad avait du mal à saisir exactement tous les tenants et aboutissants de la situation mais elle ferait peut-être mieux de prévenir le Roi et le Seigneur Karadoc que Perceval filait le train de la Reine… enfin, ex-Reine.
-o-
Guenièvre et Perceval finirent par sortir de l’enceinte du château et se retrouvèrent sur la route royale. La princesse de Carmélide essayait de faire rebrousser chemin à son accompagnateur, sans grand succès.
_ Il n’est pas nécessaire que vous m’accompagniez Seigneur Perceval, je peux voyager seule !
_ Ma Reine, les routes sont trop dangereuses ! Angharad et le Roi m’en voudraient s’il vous arrivait quelque chose ! Donc temps que l’on ne sera pas arrivé à constipation, je resterai avec vous !
_ Constipation ? demanda Guenièvre, troublée par son insistance.
_ Bah là où vous voulez vous rendre quoi.
_ Destination ?!
_ Ah oui, ça marche peut-être mieux ! Merci ma Reine.
_ Arrêtez de m’appeler comme ça ! Je ne suis plus Reine !
_ Ouais, je sais mais si je vous appelle pas comme ça, je sais pas comment vous appeler…
_ Guenièvre, tout simplement.
_ Ouais mais je trouve pas ça assez respectueux…
_ C’est juste mon prénom Seigneur Perceval… Vous voulez absolument m’accompagner ?
_ Oui, ma Reine, je serais plus rassuré.
_ Alors ce sera à la condition que vous arrêtiez de m’appeler « ma Reine » pour me nommer Guenièvre à la place !
Perceval la regardait attentivement. Il n’était pas certain de pouvoir, ni vouloir, l’appeler ainsi mais si c’était le prix à payer pour venir avec elle…
_ D’accord mais vous m’appeler Perceval tout court alors !
_ Marché conclu !
Ils se sourirent amicalement, continuant de marcher…
_ Où allons-nous du coup ?
_ Ma tante réside avec son mari dans un domaine au bord de la mer. Un peu au-dessus de la ville d’York.
_ C’est au moins à trois jours de marche ça ?!
_ En effet… Mais on peut pousser jusqu’en Carmélide si vous êtes pas content ! Il faudra juste ajouter trois jours de marche en plus…
_Trois jours, plus trois autres jours, ça fait…
_ Six jours Perceval, coupa Guenièvre en voyant le chevalier compter sur ses doigts.
_ Ah bah alors non, trois jours c’est très bien !
_ Ma tante sera contente de me voir, cela fait longtemps que je n’ai pas pris le temps de lui rendre visite.
_ Votre tante, c’est la cousine de votre mère c’est ça ?
_ Non, c’est la sœur de mon père, Fraganan, répondit-elle en fronçant les sourcils au mot « cousine ».
Perceva acquiesça gentiment sans faire de commentaire. Il restait, tout de même une question trottant dans la tête du chevalier :
_ Vous avez dit à Angharad que vous avez annulé votre mariage avec le Roi…
_Oui et ?
_ Pourquoi vous avez fait ça ?
_ Vous ne voulez pas savoir…
_ Je vous poserai pas la question si je voulais pas savoir !
_ Perceval… Ce n’est pas que je ne vous fais pas confiance mais je crains que la vérité ne vous mette en colère et ne fasse baisser votre estime pour le Roi.
_ C’est pas faux… Mais du coup, c’est quoi qu’il a fait le Roi ?
La princesse leva les yeux au ciel. Pour l’avoir suffisamment entendu de la bouche d’Arthur, elle savait que le chevalier était mou de la comprenette. Cependant, il était si gentil et agréable avec elle qu’elle ne se voyait pas le renvoyer bouler comme avait pu le faire son ex-mari.
_ Vous savez que le roi a des maîtresses ?
_ Oui, j’ai jamais trop compris d’ailleurs… Au Pays-de-Galles, les hommes ils prennent pas de maîtresse. La fidélité, c’est important chez nous que ce soit envers l’homme ou envers la femme. En plus, quand on est amoureux, je pense qu’on a pas besoin de maîtresse… C’est pour ça que j’ai jamais compris, puisque le Roi il vous aime, pourquoi il avait besoin de maîtresses.
Guenièvre resta interdite quelques minutes. Elle avait cru mal entendre les dires de Perceval. Ces paroles étaient si surprenantes qu’elle crut un instant les avoir rêvées…
_ Le Roi n’a jamais été amoureux de moi.
_ Bah moi, je pense que…
_ Non, je vous assure il ne l’est pas, ne l’a jamais été et ne le sera jamais ! Là n’est pas la question de toute façon ! J’ai surpris le Roi embrassant Dame Mévanwi, c’est pour ça que j’ai décidé d’annul…
_ QUOI ! QUOI ?! Le Roi a embrassé cette vilaine morue ?!
_ Cette quoi ?
_ Mévanwi, la femme de Karadoc ! C’est rien qu’une mocheté, qu’une grosse morue, une vilaine frisée !
_ Perceval !
_ Quoi ? Vous allez me dire le contraire peut-être ? Elle me donne envie de gerber dés que je la vois ! Et vous me dites que le Roi l’a embrassé ?! Je sens que je vais être malade…
Guenièvre n’en revenait pas. Auprès de toute la gente masculine du royaume, Mévanwi était considérée comme une très belle femme. Même elle, ne pouvait nier ce fait et pourtant… Pourtant, le Seigneur Perceval, sans doute le chevalier le plus fidèle du Roi Arthur, pensait sincèrement que la femme de son plus proche compagnon était hideuse. Il y avait de quoi se poser des questions…
Cependant, Guenièvre se mentirait à elle-même si elle disait qu’elle n’était pas ravie que le chevalier pense cela de la femme qui avait finalement réussi à briser son mariage…
Le voyage jusque chez sa tante allait être long mais avec un acolyte comme Perceval de Galles, Guenièvre de Carmélide se disait qu’elle n’aurait pas pu trouver mieux pour éviter de broyer du noir.
-o-
NDA: Voilà à vous de me dire ce que vous en pensez ;)
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