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#il dit à la maman :
maviedeneuneu · 2 years
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Mon frère vient de me dire qu'il aimerait bien qu'on se fasse un tattoo en commun
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lolochaponnay · 3 months
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En jouant sur un chantier avec ses copains, un gamin s'est fait renverser accidentellement un fût de goudron sur lui. De peur de se faire disputer, il a tardé à rentrer à la maison, et le goudron a figé et durci. Sa maman l'emmène aux urgences. Le toubib réfléchit quelques minutes, puis il essaie d'arracher des plaques de goudron, en vain. Il teste plusieurs dissolvants, sans plus de résultat. Alors, il dit à la maman : - Déshabillez-vous entièrement, madame. Puis, vous vous allongerez sur le lit, derrière ce paravent! - Mais...Je ne comprends pas...Ce n'est pas moi le patient! - Non, mais dans un cas aussi compliqué, ça ira plus vite d'en faire un autre que de nettoyer celui-là!
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ernestinee · 2 months
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Tout d'abord on lui a dit qu'il ne dépasserait pas les 6 ans de vie, et son coeur de maman s'est brisé.
Ensuite on a discuté elle et moi, le petit avait 2 ans et quelques, et le pronostic se basait en fait sur des observations. "Non il n'a pas su faire l'examen en fait, le petit bougeait trop"
Le généticien avait dit "Il a les pouces plats, les yeux fort écartés, le visage est caractéristique de tel syndrome, ces enfants là ne vivent pas au delà de 6 ans"
Elle avait pleuré pleuré pleuré, à la maison, au bureau, en voiture, aux toilettes sûrement, sous la douche aussi, elle avait les yeux des personnes dévastées de chagrin mais qui doivent tenir. Parce qu'il y a le petit, la grande sœur, et un bébé dans son ventre.
J'étais un peu dans le déni, c'était déjà mon patient depuis quelques mois, j'ai dit "y a rien qui nous le prouve" et elle me dira plus tard qu'elle s'est accrochée à ça comme à une bouée. Y a rien qui nous le prouve.
L'année suivante, le petit était plus calme, les tests génétiques ont pu être faits et révéler autre chose. Un truc qui ne le condamne pas, j'ai pas retenu. Un truc qui lui file juste une tête typée, des pouces plats et des traits autistiques.
"Autisme sévère", on lui a dit. "Ne vous attendez pas à ce qu'il parle". Là il avait 4 ans. Il va sur 8 ans maintenant.
Je crois que j'avais parlé ici de son premier mot.
Hier c'était sa première phrase.
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valentine1994 · 2 months
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Dispute avec mon copain hier, qui a finie par moi faisant mon sac et claquant la porte à 1h du matin. Deux jours avant qu'on soit sensés signer un contrat pour un appartement ensemble. Ça m'a pris 2 minutes, je pouvais pas faire autrement. J'avais dit "J'ai envie de rentrer chez moi", à quoi il avait répondu "Fais-le alors, mais saches que je t'arrêterai pas et que j'appèlerai pas." Alors j'ai bondis hors du lit - il faut protéger sa fierté... Le seul truc qui aurait pu m'arrêter c'est le fait que j'avais déjà pris ma dose de mélatonine. Bref, je me retrouve à sangloter sur la route, avec mon petit sac sur le dos. Je voyais des couples qui sortaient de leurs Ubers et rentraient chez eux main dans la main, tous beaux. Moi je faisais peur, je le sais parce que j'ai vu mon reflet dans le miroir de l'ascenseur. J'étais plus en colère contre moi-même que contre lui. C'est ça le plus douloureux dans l'histoire. Des disputes on en a eues, mais cette fois-ci le coupable est à l'intérieur de moi, c'est mon anxiété sociale et la façon dont elle me paralyse, me gâche la vie. C'est elle qui est responsable du petit drame d'hier.
Ça a commencé par une soirée Monopoly avec ses soeurs. Ça rend la dispute presque drôle. À chaque fois que je rencontre sa famille je suis paralysée par l'angoisse, et le fait de parler suédois avec eux arrange pas les choses. Les mots sortent pas, je suis silencieuse et m'en veux d'être silencieuse. Je me force à parler et tout ce que je dis est maladroit, les larmes me montent aux yeux, je veux rentrer chez moi, respirer à nouveau. Bref, hier ça avait malgré tout bien commencé, même si j'étais fatiguée après une journée de boulot. Ça a mal tourné quand elles ont mis de la techno, monté le son et se sont mises à danser autour du Monopoly. Là mon corps tout entier s'est paralysé et j'ai fixé le plateau de jeu pendant ce qui m'a semblé être une éternité. Dans la voiture sur la route du retour mon copain m'a à peine adressé la parole et la paranoia a commencé à faire son petit bonhomme de chemin dans ma tête. Je pouvais rien dire parce que sa soeur était dans la voiture avec nous. Mais je savais qu'il trouvait que j'avais été désagréable avec ses soeurs. C'est super important pour lui que ça se passe bien avec ses amis et sa famille, que je sois intégrée.
"L'intégration", le concept autour duquel ma vie tourne depuis que je suis arrivée en Suède. J'ai essayé de m'intégrer dans ma coloc, au boulot, à l'université, avec sa famille et ses amis. J'essaie de parfaire mon suédois à côté des études et du boulot, je m'adapte, je regarde personne au supermarché et je dis pas "bonne journée au revoir" à la caisse du supermarché. Je dis juste "merci" comme tout le monde et je me casse. Je coupe plus la parole, j'attends mon tour pour parler et quand je le fais je regarde tout le monde dans le groupe. J'ai des opinions modérées. Je me place à un mètre de distance des autres quand je fais la queue et je marche jamais sur les pistes cyclables. J'ai perdu mes couleurs, et pour régler ça je suis une thérapie cognitivo-comportementale dans un CMP suédois. Je paie 200€ par mois pour faire du yoga avec des jeunes mamans qui travaillent dans le domaine de la culture et adorent la France, c'est à dire Aix-en-Provence et Paris. Mais hier j'ai fais l'erreur d'être silencieuse à la table du Monopoly, et maintenant mon copain est inquiet, il se demande si je réussirai un jour à m'intégrer.
Hier il m'a demandé de prendre mes responsabilités. Je sais pas si c'est le fait d'avoir fait l'armée, d'être capricorne ou tout simplement suédois qui le fait dire ça. Peut-être un mélange des trois. Selon lui, il faut avoir besoin de personne dans la vie. Il vis pourtant à 10 minutes de chez ses parents et a un papa qui est allé le chercher chez le médecin la semaine dernière, avant de lui faire des courses. Tous ses amis sont des amis d'enfance sur qui il pourra compter toute sa vie. Ce que je veux dire c'est qu'il a un filet de sécurité immense en dessous de lui. Et maintenant je vais comparer sa situation avec la mienne, je sais que je devrais pas comparer mais je vais le faire. Je suis partie à l'étranger toute seule et ai réussi à m'en sortir toute seule et la semaine dernière je devais noter le numéro de téléphone d'une personne de confiance quelque part, et j'avais que lui. Hier quand je faisais ma petite crise d'angoisse silencieuse devant le Monopoly j'attendais juste une main sur mon épaule, parce que je sais qu'il a vu. Mais j'ai eu que du silence en retour, et dans le lit il était presque collé contre le mur pour être trèèèès loin de moi. Il est presque midi et je sais qu'il appèlera pas aujourd'hui, et demain on doit signer le contrat. Ou plutôt, il doit signer le contrat parce qu'ici c'est pas mon pays.
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e642 · 18 days
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Je suis extrêmement triste ce soir. Ça fait depuis que je suis rentrée que je n'ai pas vu autre chose que des larmes brouiller ma vision. Je suis fatiguée. J'ai mal au ventre. Je me sens seule. Et je me suis dit que j'allais appeler ma maman mais au fond, pour quoi faire ? À part l'angoisser et qu'elle me le reproche. Appeler mon père pour quoi faire ? À part qu'il comprenne rien et me dise d'arrêter de chialer. Il faut que je me calme et que je respire. Je me sens fragile et vulnérable. Perdue entre sanglots, grelots, peur, pleur. Je suis morte de froid, intérieurement j'ai la sensation que mes os sont en verre et qu'ils vont se briser.
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Maman bien étonnée d’entendre Liszt | Mummy very surprised to hear Liszt— 1837
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Arrivée et déballage du piano de Chopin. Tout le village reste pétrifié d’admiration | Arrival and unpacking of Chopin’s piano. The whole village is frozen in admiration— Valdemossa, January 1839. Chopin at the piano accompanied by George, Maurice and Solange.
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On dit que c’est Chopin ! il s’en défend | They say it’s Chopin! He denies it— April 1839
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Présentation de Lambert à Chopin | Introduction of (Louis-Eugène) Lambert to Chopin— Nohant, June 1844
Delacroix / Maurice Sand (?) : Chopin, je vous présente mon ami Lambert | Chopin, I introduce you to my friend Lambert.
Chopin: C’est un petit juif ! | He’s a little Jew!
Lambert: Bonjour monsieur. | Hello monsieur.
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Ça c’est le jeu de ‘Listy’ ! Il n’en faut pas pour accompagner la voix | That’s the playing of Liszt! You don’t need such playing to accompany the voice— Nohant, June 1844. Sketch drawing of Pauline Garcia Viardot and Chopin at the piano.
Caricatures by Maurice Sand (1823-1889), French artist and son of George Sand, Frédéric Chopin’s lover.
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homomenhommes · 1 month
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 133
Franck et les filles
Il est 13h quand j'émerge. Emma déjà prête me regarde dormir du fond d'un fauteuil du salon. Je m'étire langoureusement et lui fais signe de venir. Elle refuse de la tête. J'insiste. Elle me dit l'heure et me demande comment s'est passé la soirée. Je lui dit que nous avons fait un tour en voiture et fini à l'Indiana à se faire draguer par des minettes.
Douche, maillot, bermuda, polo et baskets et nous descendons au restaurant. Franck nous voit arriver et nous fait de grand signe pour que nous les joignons à lui et son grand père. Il salut Emma et me dit bonjour avec un grand sourire. Le grand père me remercie pour la bonne soirée que j'ai fait passer à son petit fils, il ne l'avait pas vu aussi gai depuis leur arrivée. Emma se tourne vers moi et je répond à sa question muette par un léger haussement des épaules doublé de mon sourire le plus innocent. Ça ne la trompe pas un instant. Récit de la soirée par Franck édulcoré du passage pipe et sodo. ;
Franck me dit au café qu'il avait appelé les filles et qu'elles nous attendaient vers 16h. Je vais négocier avec Emma (que je baise avec des mecs ne la dérange pas, avec des filles je ne sais pas encore). Je lui explique le topo, notre relation de la veille, Franck et moi et le fait que je veux qu'il s'essaye aussi aux femmes. Question très féminine, " elles sont jolies ? ". Je lui confirme que nous n'allions pas baiser des thons et j'ajoutai qu'elle (Emma) était de toute façon hors concours et d'ajouter " Maman ". Ce dernier mot m'a valu la claque que je méritais et que j'attendais. De son coté elle sait que je lui suis attaché et que c'est surtout pas une jeune meuf qui pourra me séparer d'elle. J'ai mon " autorisation ".
Dans une sacoche je fourre serviette de bain, kpote et gel. Je retrouve Franck dans le hall, il m'y attendait depuis un bon 1/4 d'heure. Nous allons à pieds chez les filles c'est à 10mn. Il profite de ce moment pour me demander des conseils vite fait. Je lui dis de ne pas s'inquiéter et de calquer son comportement sur moi.
Pas la peine de sonner, elles nous guettaient et viennent nous ouvrir quand on est encore à 5 m du portillon. Elles sont en bikini très petits. Elles nous entrainent dans la maison pour arriver à une piscine à moitié dehors. Franck et moi quittons nos quelques vêtements et nous exposons nos musculatures avantageuses. Les filles ne nous soupçonnaient pas aussi bien foutu ce matin en boite. Plongeons, courses poursuites, maillots qui glissent et nous voilà tous les 4 à poil dans le bassin. Franck ne peut s'empêcher de bander. Les filles se collent à nous cherchant baisers et caresses. La pelle, Franck y a mis un peu trop d'enthousiasme mais s'est rapidement adouci. La fille dans mes bras est mignonne mais c'est le corps de Franck qui me fait bander. Je sors la mienne de l'eau et la couche sur une des méridienne. Franck suit aussitôt. Nous passons une bonne heure et demi à les faire jouir avec la langue et la bite, échangeant nos partenaires. Pendant les échauffourées, j'ai mis plusieurs fois discrètement un doigt dans le cul de Franck et à ce que j'ai pu voir pour son plus grand plaisir. ;Nous laissons des filles fatiguées mais qui en redemandent. Sur le retour, je dis à Franck qu'il pourra se les faire toutes les deux jusqu'à la fin de son séjour vu comme elles sont chaudes. Il me dit qu'il réessayera mais qu'il avait préféré notre entrevue particulière.
Nous rejoignons Emma au bord de la piscine. Elle nous demande si le filles valaient le coup. Franck rougit, il ne s'attendait pas à ce qu'elle soit au courant. Je lui dis que j'avais mis le pied de Franck à l'étrier et qu'à partir de maintenant il s'en occuperait tout seul. Je me penche et lui roule un patin si profond que j'en bandais presque. Quand j'ai fait tomber le short mon maillot était très avantageux. Avec Franck et Emma nous avons aligné les longueurs, repoussant les mémés sur le bord du bassin.
Ce soir là, Emma nous accompagna à la boite de nuit. Nous y avons retrouvé les deux blondes qui ne nous ont pas trop collées vu l'intimité que dégageait mon attitude avec Emma. ;Elles ont juste insisté auprès de Franck pour décrocher un nouveau rendez vous. ;J'ai dû de mon coté virer deux, trois bellâtres qui insistaient lourdement auprès d'Emma. Franck était tout content de sa soirée. Un passage aux toilettes lui a permis de me demander quand nous allions nous retrouver. Je l'ai calmé et lui ai dit que cette nuit était à Emma. Un moment déçu, il me dit avec un sourire que le lendemain il y aura muscu. Je lui fais rapidement un bisous sur les lèvres et nous retournons danser. Avec Emma nous avons fait l'amour avant de nous endormir.
Le matin suivant, muscu comme promis la veille. Réveillé tôt (enfin 10h) en short et marcel de sport, je tape à la porte de Franck et j'ai la surprise le la voir s'ouvrir sur un jeune dépeigné, en caleçon lâche, les yeux gonflés de sommeil. Je le pousse et avant qu'il n'en soit revenu, le place sous la douche et ouvre grand le robinet d'eau froide. Hurlements, il se débat mais je suis quand même plus fort que lui et je sors mouillé de l'histoire mais vainqueur. Pour aller à la salle, je lui emprunte un short et un t-shirt secs. Je les remplis plus que lui et je suis à la limite de l'indécence question short. Tant pis, mon coté exhibitionniste trouve cela très drôle. Nous trouvons quand nous entrons quelques mecs entre 30 et 50 ans en train de se donner bonne conscience sur les appareils de cardio. Notre arrivée provoque un découragement général. Pour les complexer encore plus, nous zappons l'échauffement et passons direct au développé couché. Raisonnable, je décide de séries en poids croissant et nous nous échauffons quand même sur les premières barres. Quand nous sommes sur les séries à plus de 80 Kg, ils nous laissent seuls. Pourquoi ?? Dégoutés peut être ?? ;Une bonne heure et quelques exercices plus tard, nous allons nous doucher les cabines ne sont pas communes mais très grandes chaque. Nous profitons que nous soyons seuls pour n'en partager qu'une. Juste rincés, je me suis fait violé par Franck. Sucé jusqu'à ce qu'il arrive à avaler mes 20cm (après une série d'étranglement juqu'à ce qu'il rythme sa respiration), il s'est préparé l'anus de ses doigts. Puis après m'avoir roulé une pelle et posé une kpote sur mon bout, il s'est empalé dessus. A parti de ce moment là, je n'ai pu résister et je l'ai enculé debout alors qu'il se tenait arque bouté contre le carrelage. Ses coups de rein me disait tout le bien que je lui faisait. Ses fesses ronde dans mes mains sont un bonheur de muscle. Franck se donne tellement que je doute qu'il ne devienne qu'un banal hétéro. Mes bras passés sous les siens, je le décollais du mur et le maintenais contre mon torse, mordillant son cou. J'ai joui dans son cul comme il explosait contre la porte vitrée. Nous avons continué par notre douche, parlant de choses et d'autres enfin surtout Franck qui me disait combien il avait apprécié cet assaut. A notre sortie, deux mecs nous ont regardés, étonnés. Avec naturel, j'ai attrapé Franck par le cou et lui ai roulé un patin avec la langue. Puis nous sommes passés dignement devant eux. La porte franchie nous avons éclatés de rire comme des sales gamins qui ont fait une blague. Nous en riions encore quand nous avons rejoint Emma auprès de la piscine où elle nous avait commandé un petit déjeuner reconstituant. J'ai été obligé de lui raconter. Comme elle me demandait si ce n'était pas les deux types qui arrivaient et que c'était bien eux, elle a attendu qu'ils la regarde pour m'attirer à elle et me m'embrasser sur la bouche. Une fois décollés, nous les avons regardé. Ils ne semblaient plus savoir où ils habitaient. Sans plus se préoccuper d'eux, nous avons Franck et moi fini notre petit déjeuner.
Avec Emma nous nous sommes promenés l'après midi sur Guérande et ses marais salants. Nous avons testé l'océan à notre retour. Trop froid ! retour à l'hôtel et à ses piscines.
Franck me cherchait pour me dire que les filles l'avaient appelé et nous avaient invité pour la soirée. Je refusais de l'accompagner et lui dit qu'il savait tout ce qu'il fallait savoir pour assurer maintenant. Ça l'a un peu refroidi mais comme j'insistais, il s'est finalement décidé à y aller seul.
Nous n'avons vu revenir Franck que le lendemain matin vers 11h. comme j'étais avec Emma au bord de la piscine, il nous y a rejoint. Après les salutations, il n'a pu se retenir et nous a raconté sa soirée et sa nuit. Nous avons mieux compris la tête de déterré qu'il arborait ce matin là. A elles deux, elles l'ont littéralement vidé de la moindre goutte de sperme. Il nous a même dit qu'il avait réussit à sodomiser la plus salope des deux. Comme je lui demandais si c'était meilleur que nous, il m'a répondu " différent ". Je l'ai poussé dans le bassin, nous nous sommes fait engueuler par le surveillant car il était tout habillé. Cela ne l'a pas empêché de mater Franck dans ses vêtements collés sur sa peau ! Je l'ai accompagné se changer. Dès que la porte de sa chambre s'est refermé, il m'a sauté dans les bras et nous avons échangé un baiser, de sa part plutôt passionné !
Comme je lui en demandais la raison, il m'a dit, pour rien, juste qu'il m'aimait. Douche glacée entre mes omoplates !! alors que lui se dévêtait devant moi avec un naturel déconcertant. Malgré ce que je venais d'entendre ou peut être à cause de cela, je bandais comme un âne. Cette fois c'est moi qui l'ai " violé " pour son plus grand plaisir. Son corps jeune et musclé me rend actif et surtout ne me laisse pas sur ma faim. Avec lui pas de désir d'être sodomisé, juste l'envie de le prendre, lui. Allongés sur le lit sa tête au creux de mon épaule, j'ai réfléchi à la façon de lui parler. Ok j'ai été le type qui l'a révélé au sexe, ça l'a impressionné, c'est normal mais il n'a pas encore vu tout ce que le monde lui réservait ... Après avoir écouté sagement mon discourt, il m'a sauté dessus ses jambes me bloquant le bassin, ses mains fixant mes poignets au matelas. il m'a regardé fixement dans les yeux et doucement a rapproché son visage jusqu'à poser ses lèvres sur les miennes. Ma queue s'est raidie direct et placé comme il était s'est enfoncée sans barrière dans son cul. Comme je voulais sortir de lui, il m'a dit qu'avant moi il était vierge et que moi j'était clean. Ça plus ce qu'il m'avait dit plus tôt, j'ai cédé. Il m'a fait l'amour avec brio. Alternant les assises brusques et profondes avec un travail du gland par son anneau, du grand art pour un néophyte. Ma bite était tout à son bonheur dans l'intimité de son boyau. Au chaud, suffisamment lubrifié pour que j'y glisse sans heurts mais avec un anneau encore bien nerveux, il m'a emmené tout droit vers la jouissance. J'ai quand même réussi à l'éjecter au moment ou j'explosais me répandant sur son dos plutôt que dans son cul. alors que mon sexe sortait de lui il a juter et m'en a mis partout. Je lui ai pris la tête et lui a dit de nettoyer avec sa langue. Chose faite 5mn plus tard. Il n'a pas détesté le goût de son sperme.
Nous avons rejoint la civilisation avec beaucoup de retard pour le déjeuner. Au café, son grand père m'a pris à part et ma demandé ce qu'il me devait pour m'être occupé de son petit fils, il ne l'avait jamais vu aussi bien dans sa peau. Il savait que j'étais Escort boy et savait que nos services étaient tarifés. J'ai eu beau lui dire que Franck était une distraction " hors contrat " et que cela m'avait fait plaisir aussi, il n'en démordait pas. seul le retour d'Emma et Franck a clos notre discussion. J'ai consacré notre dernière journée exclusivement à Emma. J'ai juste indiqué à Franck les " hommes de service " pouvant être éventuellement gay. Notamment l'un des surveillants de la piscine dont le slip avait tendance à gonfler quand Franck et moi étions dans le bassin. Plus tard dans la journée, c'est le grand père qui est venu me voir. Il m'a demandé si je pouvais continuer à être en relation avec son petit fils pour l'aider et le guider au besoin. Je l'ai regardé bien en face et lui ai dit que ce ne serait peut être pas dans le sens qu'il désirerait. Que je me l'étais déjà fait et que si je le revoyais ce serais de nouveau le cas. Très cool le papy m'a tendu une enveloppe en me disant que je ne lui apprenait pas la vie et que si cela rendait Franck heureux alors ce n'était pas un problème. J'aime c'est gens respectueux des désirs et des choix des autres. J'acceptai sans réfléchir plus.
Avant notre départ, nous avons échangé (avec Franck) nos n° de téléphone et une pelle bien vorace.
Pendant le retour, Emma s'est moqué gentiment de moi et de mon âme de saint Bernard. Comme je me rabaissais en dénonçant mon coté vénal, elle m'a dit que ce devait être pour cacher le coté hyper sensible de mon caractère. Venant d'une autre personne j'aurais pris cela pour de l'ironie.
Quand j'en ai parlé à Marc le soir même, j'ai eu droit au même couplet, avec en plus une demande de description complète de l'animal, on ne se refait pas !
Vers 22h appel de Franck pour me dire que oui le maitre nageur aimait les garçons. Je lui ai dit que OK il avait attendu 18 ans pour se décoincer mais que ce n'était pas une raison pour sauter sur tout ce qui bouge.
JARDINIER
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Les paroles de la chanson gare aux cons. Tout à l’heure, j’roulais sur mon scooter dans Paris d’une voiture au feu rouge un mec me dis: eh madame il est quelle heure? J’lui répond midi. Ol me dit madame qu’est-ce que t’es bonne tu veux pas me faire une pepi. Ses potes rigolent sur le moment j’ai pas compris j’répond, mon grand c’est pas comme ça qu’on parle aux gens t’aimerais pas qu’on parle comme ça à ta maman. Le mec me regarde avec une tête de chien de garde il m’fait « vas-y parle pas d’ma mère ou ôte défonce » j’lui répond « du calme Alphonse. J’te connais pas-tu m’agresse, c’est quoi ce manque de délicatesse? On t’a pas dit de traiter les femmes comme des princesses? » il m’dit « ouais mais toi j’te baise ». J’lui dis bah non justement c’est ça le malaise
[Refrain :]
Tu sais que « garçon »
Si t’enlève la cédille ça fait « gars con »
Et gars au con ma fille
Gars aux cons, gars aux cons, gars aux cons
Qui perdent leurs cédilles
« garçon »
Si t’enlève la cédille ça fait « gars con »
Et gars au con ma fille
Gars aux cons, gars aux cons, gars aux cons
Qui perdent leurs cédilles
De Koxie
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swedesinstockholm · 9 days
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5 avril
j'aimerais pouvoir instaurer un quota de temps de pensée quotidien consacré à un sujet. j'accorderais quinze minutes par jour au sujet r. par exemple, quinze minutes quotidiennes que j'aurais épuisées dès 8h15 du matin et hop je serais tranquille pour le reste de la journée. je lui ai parlé de pessoa et il m'a dit qu'en grand romantique il avait adoré le berger amoureux ou un truc comme ça, j'étais assise sur la marche devant la véranda au soleil et je me suis pris la tête dans les mains en gémissant. autre sujet: ce soir dans le train pour revenir de sète je parlais du sud avec maman, je disais que vivre ici était plus sain que vivre au luxembourg, et puis j'ai vu mon reflet dans la vitre avec ma casquette mes nouvelles lunettes de soleil et mon double denim et j'ai imaginé que c'était le reflet de mon moi d'ici. mon moi qui est là où elle est censée être.
6 avril
cet après-midi dans la voiture pour aller à pézenas je me disais que je devais rediriger mon énergie et remplacer r. par le sud de la france. ne plus tomber amoureuse que de territoires. me concentrer sur les arbres et les champs et les vignes qui défilent par la fenêtre ouverte de la voiture et le vent qui s'engouffre dedans et qui fait du bruit par dessus nostalgie et la colline de sète et celles d'agde et les bateaux qui rentrent dans l'hérault et ceux amarrés aux quais et sur le vocabulaire marin et le bruit des vagues sur la plage et l'odeur de marée et le pin du port de la pointe courte et les falaises du cap d'agde et les marais du bagnas et les flamants roses qui marchent avec la tête dans l'eau et les mouettes qui crient dans le ciel quand le soleil commence à se coucher. ne plus tomber amoureuse que de territoires et de littérature. j'ai trouvé la nouvelle édition décensurée de ravages dans une librairie à pézenas, le gros livre mauve qui trônait en exposition sur la table en ellipse de la librairie exc quand j'y avais lu géotropismes. maman me l'a acheté et je l'ai serré contre moi jusqu'à la voiture. autres cadeaux de la journée: une glace caramel beurre salé-chocolat à la mirondela, une vieille chemise de nuit à bords rouges que j'ai trouvée en triant des cartons chez mamie dans la pièce du fond, une bouteille de thé glacé rooibos-pastèque-menthe que h. avait déposée sur la table en bas parce que j'avais dit que j'adorais la bouteille rouge et rose quand on était chez elle.
ce matin j'étais encore en train de feuilleter le catalogue immobilier de sète et je me disais que quand je sortirais de ma non-vie, ce serait comme si je revenais de la mort. et quand on revient de la mort, tout est du bonus. quand on revient de la mort les choses sont moins graves et elles pèsent moins lourd, la gravité perd de son pouvoir, le centre de la terre n'a plus le même attrait. j'imagine. quand je reviendrai de la non-vie je veux faire les choses sans réfléchir. je sais pas quelle forme ça prendra de revenir de la non-vie, peut être que j'arriverai jamais à en sortir, mais dans ma tête ça va quand même finir par arriver.
8 avril
petit journal d'amour qui était caché dans ma banane toute la soirée d'hier dans les loges de la maison poème puis sur mes genoux pendant ma discussion intime interminable avec r. assis sur l'accoudoir du canapé puis sur la banquette du bar avec l., d. et c. et les autres et enfin sous la pluie de bruxelles pour rentrer chez m. en chantonnant don't go wasting your emotions lay all your love on me toute seule dans les rues de st. gilles. au bar l. m'a dit qu'elle adorait ma banane et je l'ai ouverte pour lui montrer sa meilleure qualité: mon journal rentre dedans! et elle a dit c'est de là que viennent tes poèmes! elle a fait une remarque sur le pendentif en perles et j'avais envie de lui raconter l'histoire de r. qu'y a derrière mais c'était pas trop le moment. ils se sont rencontrés hier soir. j'étais en train de discuter avec l. et d. quand je l'ai vu accoudé au bar en train de discuter avec la serveuse mais j'ai fait semblant de pas le voir, jusqu'à ce qu'il se retourne et me voie. je lui ai pas sauté dans les bras comme dans mes fantasmes, je l'ai pas serré fort contre moi, j'étais trop timide, et lui aussi était timide, c'était un peu bancal, et puis l. a dit mais tu connais des gens ici! et je me suis rapprochée de lui en disant c'est mon seul ami. elle a demandé comment on s'était rencontrés et j'ai dit ici à la maison poème et on aurait dit que je racontais une histoire de rencontre amoureuse très romantique.
j'ai passé la soirée à discuter avec lui au lieu de me joindre aux autres. il parlait beaucoup et parfois je m'ennuyais et je me disais est-ce que je suis vraiment amoureuse de lui au point de me priver de discussions avec mes pairs poètes? visiblement oui. il m'a confié plein de trucs intimes sur ses névroses et j'ai remis les deux pieds en plein dans la delulu. j'ai de nouveau réussi à me persuader qu'il était juste terrorisé de m'avouer et surtout de s'avouer à lui-même qu'il avait des sentiments amoureux pour moi. je veux pas en démordre. il m'a confié qu'il aimerait avoir une expérience homosexuelle et je me demandais s'il me disait ça parce qu'il me prend pour une lesbienne et que donc il a moins peur d'être jugé. il m'a dit que ça coinçait encore un peu parce qu'il craignait le regard des autres mais ok OK non mais j'y crois pas, est-ce que je suis vraiment en train de parler de la sexualité de r. alors que hier soir j'étais de retour sur les planches, derrière un micro, j'avais de nouveau les genoux qui tremblaient mais à part ça j'étais archi à l'aise, même avec les gens, quand j'étais pas prise en otage par les états d'âme de r. j'étais avec l. et d. et c. et j'étais normale et l. était un coeur avec moi, je me sentais même presque jolie, je portais mon double denim de sète et j'étais bronzée de la mer mon amour merci ma peau coopératrice. r. m'a écrit que j'avais l'air dans un méga mood en rentrant et je sais pas trop ce que ça veut dire mais j'ai dit ça c'est parce que je reviens de la mer lol. j'allais pas lui dire que c'était à cause de lui. ça c'est parce que t'étais là r. la vérité c'est que j'étais pompée à bloc parce que j'avais des interactions sociales avec des gens qui n'étaient ni des retraités ni des gens de ma famille, j'ai rencontré des nouveaux gens cool j'étais dans mon monde et les gens m'aimaient bien ET j'étais contente d'être avec r. c'était tout ça à la fois.
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microcosme11 · 7 months
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Letter to 13-year-old Hortense
Quartier général, Milan, 22 prairial an IV [10 juin 1796]
J’ai reçu votre aimable lettre au milieu des horreurs de la guerre. Il n’est rien de plus charmant que ce qui me rappelle le souvenir d’aimables enfants que j’aime pour eux et parce qu’ils appartiennent à la personne du monde qui m’intéresse le plus.
Vous êtes une méchante et très méchante. Vous voulez me mettre en contradiction. Sachez donc, aimable Hortense, que lorsque l’on dit du mal des hommes l’on s’expose.
Lorsque l’on dit du mal des femmes, l’on excepte celles dont les charmes et la douce influence a captivé notre cœur et absorbé tous nos sentiments… Et puis, vous le savez bien, votre maman est incomparable sur la terre, personne ne joint à son inaltérable douceur ce je-ne-sais-quoi qu’elle inspire à tout ce qui l’entoure. Si quelque chose pouvait ajouter au bonheur que j’ai de lui appartenir, c’est les doux devoirs qu’il m’impose à votre égard. J’aurai pour vous les sentiments de père et vous aimerai comme votre meilleur ami… Mais je suis fâché contre vous, contre votre bonne maman, elle m’avait promis de venir me voir et elle ne vient pas. Le temps est long loin de ce que l’on aime. Jugez du plaisir que j’aurais réhaussé à vous voir, à discuter avec vous et à vous conter des histoires terribles. Une petite part dans votre souvenir. Un baiser à Eugène à qui je dois écrire. Croyez-moi pour la vie.
Vôtre
Bonaparte
P.S. Vous devez avoir reçu la petite boite de parfums. Je vous rapporterai cent belles choses.
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Headquarters, Milan, 22 prairial year IV [June 10, 1796]
I received your kind letter amidst the horrors of war. There is nothing more charming than that which reminds me of lovely children whom I love for themselves and because they belong to the person in the world who interests me the most.
You are bad, very bad. You want to contradict me. Please know, kind Hortense, that when we speak ill of men we expose ourselves.
When we say bad things about women, we except those whose charms and gentle influence have captivated our hearts and absorbed all our feelings… And then, you know well, your mother is incomparable on earth, no one joins unalterable sweetness with the je ne sais quoi that she inspires in everything around her. If anything could add to the happiness I have in belonging to her, it is the sweet duties she imposes on me towards you. I would have the feelings of a father for you and would love you as your best friend… But I am angry with you, with your good mother; she promised to come to see me and she is not coming. It’s a long time away from those we love. Judge the pleasure I would have had seeing you, talking with you and telling you terrible stories. A small part in your memory. A kiss to Eugène to whom I should write. Trust me for life.
Your
Bonaparte
P.S. You should have received the small box of perfumes. I will bring you a hundred beautiful things.
napoleonica
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moonchiesim · 9 months
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Été 1889, Brindleton Bay
Cher journal, Mon mari est un homme charmant. Je le savais parce qu'il m'a fait la cour pour deux années pleines avant les épousailles, mais de vivre ensemble m'a vraiment fait comprendre quel bel homme j'avais là. Joséphine Lennox. Ça sonne bien, non ? Mon père, Jean Baptiste Abbot, il est chimiste et il sait des choses. Il a dit du grand bien de François Xavier, parce que le défunt père de mon mari était vétérinaire, alors son fils a hériter de son intellect, de toute évidence, et que nos enfants seront vifs d'esprits, eux aussi. Je n'ai pas l'habitude de notre petite vie, mais c'est pas si pire. Tu sais, mon journal, la vie à Windenburg avec maman et les petits me manque un peu, mais j'apprécie de m'occuper d'une maison, même si elle tombe de partout et que même les lapins me cherchent la bagarre !
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Automne 1889, Brindleton Bay
Cher journal, J'ai appris que j'attendais un enfant. Les nausées n'ont pas trompé Mrs. Reed, qui vient juste de donner naissance à des jumeaux. Des jumeaux ! Ô Seigneur ! Je prie le ciel chaque fois que je repense aux hurlements qui ont déchirés le ciel cette nuit-là où elle a donné naissance. Est-ce si terrible de donner naissance ? Quand je pense à mon ventre qui s'arrondit drôlement vite, je ne peux m'empêcher de me demander qui se cache là-dedans, et quel nom je vais bien pouvoir lui donner, à ce petit-là. François Xavier propose Séverin si c'est un garçon et Gabrielle si c'est une fille. Je lui ai dit que Gabrielle était le nom de ma cousine, et j'ai cherché des inspirations dans le journal en allant faire les courses. Je n'ai pas encore d'idée.
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Été 1890, Brindleton Bay
Cher journal, Au moment de perdre les eaux, j'étais en train de laver le linge. La bassine sentait bon la pomme, c'était une recette de la propriétaire du magasin général. J'ai accouché sur le plancher de cuisine parce que j'avais trop mal pour me rendre ailleurs. François Xavier était au travail, il est ingénieur sur un chantier naval du port. Je me souviens que j'avais du mal à me concentrer assez pour réfléchir qu'il fallait que je pousse plus fort, plus vite avant qu'il ne rentre, parce que j'avais sali le plancher. Je m'excuse pour ma grossièreté, ô journal ! Je ne devrais pas raconter ces bêtises. J'ai donné naissance à un magnifique garçon qu'on va appeler Séverin, comme le voulait François Xavier.
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Séverin Lennox, né un samedi d'été 1890
Cher journal, Séverin demande beaucoup d'attention. Il pleure souvent, il mange beaucoup, il salit tout. Je suis constamment épuisée, mais je suis heureuse. Oui, je suis heureuse, voilà. François Xavier m'a parlé de son grand projet qu'il se gardait d'aborder depuis quelques mois avant la naissance de Séverin. Je voyais bien que quelque chose lui trottait en tête, mais il m'en faisait des mystères. Apparemment que le gouverneur de Chestnut Ridge offre des terres à prix modique pour les familles désireuses de se faire pionniers de cette région encore mal débroussaillée. J'ai dit à François Xavier que le train s'y rendait même pas pour déposer des denrées, et lui a répondu que c'était prévu, et que même Chestnut Ridge prévoyait de bâtir la première centrale hydroélectrique de tout le pays. Ça dirigerait l'électricité vers les ménages, et on aurait plus à aller en ville pour en faire usage. L'eau courante était en voie d'être installée aussi, comme ici à Brindleton Bay, et le train... Ça viendrait certainement avec les rumeurs de la centrale. Il en a parlé avec tellement de passion, et il a dit que nous ferions beaucoup d'argent grâce à son poste d'ingénieur dans ce chantier-là. En plus, il a dit que là-bas, il y avait une école pour Séverin, comme ici à Brindleton, et une église catholique. Ça m'a un peu rassuré, surtout qu'il a dit qu'on pourrait emmener nos poules et notre chèvre. Jamais sans ma chèvre, que je lui avait dit. Ça fait qu'on est en train de tout mettre dans des valises. Séverin aime pas trop le chahut que ça fait, mais on a pas le choix de le barrouetter un peu, le pauvre petit. Il va s'y faire.
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Printemps 1891, Brindleton Bay
Cher journal, C'est notre dernière journée à la maison de Brindleton Bay. Mrs. Reed est venu nous saluer et nous souhaiter bonne route. Ça faisait un bail qu'on l'avait pas vu, mais nous nous écrivions. Elle avait ses deux bouches à nourrir, c'était le double de mes tâches, alors je comprenais tout à fait qu'elle ne m'ait pas visité dans ce temps-là. François Xavier est plus détendu depuis qu'il a pris le dernier jour en congé pour s'assurer de bien fermer la maison et d'avoir tout en main quand on va partir, tôt demain matin. Un certain M. Richard va nous conduire jusqu'à Chestnut. François Xavier dit que c'est notre voisin le plus proche, et aussi qu'on va être la maison la plus avancée dans la ville, à ce qui paraît. Je commence à avoir hâte de partir, parce que la maison a pas l'air normale, dans toutes les boîtes et les valises. Le printemps est frais, mais il fait majoritairement beau, ce qui est rare par ici. La prochaine fois que je vais t'écrire, ô journal, nous nous serons établis à Chestnut. Je te donne des nouvelles bientôt.
Début d'un decade challenge qui débute dans les années 1889-90 dans un cadre québécois mêlé à l'univers des sims, et joué dans la save file de @antiquatedplumbobs 💛🌞
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icariebzh · 1 month
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"Tu ne sais pas d'où tu viens. Peut-être es-tu née en route? tu n'as pas d'autre pays que les bras de ta mère, pas d'autres racines que ses jambes qui vous ont portées jusqu'ici. Tu ne sais d'où tu viens, ni où tu vas.T u as appris à marcher en chemin.T u joues avec des cailloux sur la plage immense et vide.T u attends sans poser de questions.T u fais des tas, des petits murs qui s'écroulent, tu imagines que tu te construis une maison qui pourrait vous abriter toutes les deux. Une maison si solide que le vent n'y entrera pas ni le sable ni la chaleur ni la douleur ni les larmes ni les vagues.T u t'appliques, mais, malgré ta patience et les jours de labeur, rien ne tient jamais et il faut recommencer sans fin. Le soleil arrose ton monde de lumière sèche, tu as soif et tu as peur de regarder la mer. Tu lui tournes le dos depuis que tu l'as vue pour la première fois, tu lui tournes le dos pour l'oublier. Mais tu l'entends...Tu entends son souffle, elle s'avance,puis se retire. Sa langue d'eau salée tente de t'attraper. Langue liquide, plus large que la plage, langue énorme qui claque, qui lèche le sable, qui rampe jusqu'à toi. La mer est une bête et ta maman dit qu'il va falloir monter sur son dos..../..." Carole Martinez extrait de: "SOS Méditerranée-Les écrivains s'engagent" Editions Gallimard
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selidren · 3 months
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Printemps 1916 - Champs-les-Sims
6/9
Cléo a réagit comme je l'escomptais. Elle s'est drapée dans cette espèce de tristesse offensée qui lui donne ses airs de comédienne de théâtre et elle commente sa peine à longueur de temps sans pour autant accepter de parler clairement ou d'être consolée. J'ai beaucoup de mal à communiquer avec elle parfois. Elle s'enferme depuis tous les après-midis dans le bureau où elle écrit quelque chose qu'elle appelle son "journal de guerre".
Transcription :
Cléopâtre « Vous avez bientôt terminé ? »
Madame Legens « Aucune idée Mademoiselle, je ne suis pas mécanicienne. Vous devriez prendre un livre plutôt que de vous morfondre en en soupirant devant la cheminée. »
Cléopâtre « Je n’ai pas l’esprit à ça. Ma tristesse est bien trop profonde pour lire des histoires. J’ai besoin d’écrire mon journal, il n’y a que ça qui puisse me consoler. »
Madame Legens « Ne soyez pas si dramatique. »
Cléopâtre « Grand-Mère dit la même chose. Et si jamais c’est ma nature d’être dramatique ? »
Madame Legens « Vous êtes trop jeune. »
Cléopâtre « Je suis une petite fille que son Papa n’aime pas, j’ai des raisons pour être triste jusqu’à la fin de ma vie. Quand je serai une femme, je ne porterai que du noir et j’aurai un chapeau avec une voilette si épaisse que personne ne pourra voir mes yeux. Comme les dames en deuil. »
Madame Legens « Et c’est pour cette raison que vous avez cassé la machine à écrire de votre Papa ? »
Cléopâtre « Non, j’ai fait une faute de grammaire et en essayant de retirer la feuille j’ai entendu un clac et un grrrr. Et le touches ne pouvaient plus bouger après ça. Vous voyez Madame Legens, j’ai des raisons d’être triste. Je suis une petite fille mal aimée mauvaise en grammaire et qui casse le seul objet qui lui apporte du bonheur… *soupir*» 
Madame Legens « Je vois. J’irai en parler avec votre Maman. »
Cléopâtre « Si vous voulez. Elle ne peut rien faire pour moi de toute façon. »
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aisakalegacy · 21 days
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Printemps 1918, Al Simhara, Égypte (14/20)
Il va sans dire que Simmon, l’oncle comme le père, sont furieux, car toute cette affaire les fait passer pour des tarlas et met en jeu leur crédibilité même sur l’île. Toute cette affaire a eu lieu il y a quelques mois, et avec le recul, vous voulez savoir le pire ? Moins d’un quart des hommes conscrits sont effectivement partis à la guerre. Les deux tiers se font exempter ! À Hylewood, parmi les conscrits, personne n’est parti en Europe et tout le monde est déjà de retour à la maison. Comme quoi, il n'était pas nécessaire d’en faire tout un plat et d’abandonner ma fille à l’autel…
[Transcription] Eugénie Le Bris : Est-ce que ça va, ma chérie ? Louise Le Bris : Non, Maman. Oh, où est-il ? Comment a-t-il pu faire une chose pareille ? Eugénie Le Bris : Il a laissé une lettre dans sa chambre en partant… Il fuit la conscription car il ne veut pas mourir en Europe. Il ne dit naturellement pas où il se rend, ou quand il sera de retour. Louise Le Bris : Il aurait pu m’en parler !… J’aurais pu le suivre, j’aurais pu venir avec lui ! Eugénie Le Bris : C’est qu’il ne voulait pas que tu viennes. Eugénie Le Bris : Tant mieux qu’il soit parti. Tu as évité le pire. Tu n’aurais pas voulu être coincée avec un chum comme cela. Louise Le Bris : On allait se marier, Maman… Eugénie Le Bris : Je sais. Les hommes peuvent être cruels, ou lâches. Ils n’ont pas peur de sacrifier les femmes autours d’eux si cela peut servir leurs propres intérêts. Louise Le Bris : Pouvez-vous rester jusqu’à ce que je m’endorme ? Eugénie Le Bris : Je ne bouge pas, Louise.
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e642 · 16 days
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J'ai pas appelé ma mère la dernière fois où j'étais triste. En revanche, je l'ai eue le lendemain matin et en fait ça n'allait pas mieux. Donc naturellement je me mets à chialer (c'est le "ca na pas lair d'aller" qui m'a trahie) et elle me demande ce qui va pas et je déblatère. Et je me souviens plus comment j'en suis arrivée là mais à un moment je pleurais et je disais "maman j'en peux plus des gens, ils sont trop bêtes, je vais jamais y arriver, ils sont si vides comment c'est possible d'être entourée que de gros tocards etc". Et genre ya eu un silence et elle a éclaté de rire. Puis elle s'est repris, elle a dit "pardon c'est nerveux, c'est juste que voir que ça te pèse autant la bêtise des autres, c'est lunaire". Du coup j'ai ri aussi. Puis j'ai continué à trash talk l'entièreté de l'humanité.
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clhook · 8 months
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Mes parents ont trois chats à la maison + 3 autres des voisins qui squattent chez eux donc ils leur parlent beaucoup, hier j'étais au tel avec ma mère et au moment de raccrocher elle m'a dit "bisous ma grosse bichette" puis elle était 😱😨 mdrrrrr maman je pense que tu parles bcp TROP aux chats
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